samedi 29 mai 2021

Lancé de dés

 Traduction d'un texte de usm1carbine.

*****

Nous sommes lundi soir. Suzanne embrasse son mari qui part pour son travail. Ils sont mariés depuis quelques années et il travaille dans un casino comme gardien de sécurité. Elle entend la voiture partir et décide de se changer pour la nuit. Ses mains déboutonnent son chemisier et l'enlève. Puis elle se débat avec le fermoir de son soutien-gorge pour libérer ses gros nichons qui ne demandaient que ça. Elle les frotte pour enlever la marque et la douleur qu'ont laissé les élastiques.

Elle se regarde dans le miroir. A 28 ans elle est en pleine forme. Ses gros seins ne tombent pas encore, les aréoles légèrement sombres accentuent ses mamelons. Elle continue de se regarder en caressant sa poitrine avec ses mains.

Elle aurait dû faire l'amour avec son mari avant qu'il ne parte travailler. Elle est tellement excitée. Ses mains quittent ses seins à contrecœur pour déboutonner son pantalon et l'enlever. Sa culotte rose laisse apparaître le contour des lèvres de sa chatte. Son doigt passe dessus. Elle ferme les yeux en souhaitant avoir une grosse bite à baiser.

Elle enfile une chemise de nuit après avoir abandonné avec réticence la caresse de sa chatte maintenant humide. Elle se couche dans son lit en pensant que son mari ne reviendra que dans neuf heures. Elle s'endort, sa main posée sur sa chatte et aussitôt elle se met à rêver d'une grosse queue qui la ferait gémir et crier. Ce rêve revient souvent ces derniers temps. Puis soudainement elle se réveille, effrayée. Des mains parcourent son corps, quelqu'un est vraiment là, ce n'est pas un rêve.

Alors qu'elle veut crier, une main se pose sur sa bouche et elle voit la lumière être allumée. Il y a trois hommes noirs dans sa chambre.

- Si tu restes une petite chienne blanche tranquille, peut-être que nous ne te ferons pas de mal. Dit l'un.

- Pas beaucoup du moins! Dit un autre.

Les hommes rient en mettant dans sa bouche une petite culotte qu'ils ont récupérée dans la panière de linge sale. Elle a mauvais goût. Puis les hommes la roulent sur le ventre et elle sent que ses poignets sont attachés avec son soutien-gorge. Ils attachent aussi ses chevilles avec la ceinture de son peignoir. Ils la font rouler sur le dos. Un des hommes la soulève et la jette sur son épaule.

Une main passe sous sa chemise de nuit et caresse son cul à travers la culotte.

- Ça va être génial les gars!

Ils sortent de la maison, en vérifiant qu'il n'y a personne dans la rue. Ils la déposent sur le siège arrière d'une voiture. Un des hommes monte avec elle alors que les deux autres montent à l'avant. Elle essaie de crier, mais seuls des sons étouffés sortent de sa bouche.

- Fais fermer sa gueule à cette salope blanche! Dit le conducteur.

Suzanne sent une douleur vive sur son cul. L'homme claque ses fesses une nouvelle fois en disant :

- Ferme-là putain de salope!

Elle commence à sangloter en sentant la douleur vive dans son cul. Sa tête est sur le siège et elle ne peut pas voir où ils vont. Mais ils roulent longtemps.

La main qui vient de la fesser se balade librement sur son cul pendant le voyage. Les longs doigts de l'homme serpentent entre ses jambes et caressent les lèvres gonflées de sa chatte. Puis ils passent sous sa culotte et l'homme fait pénétrer un doigt dans son antre humide. Il le remue, le sort et le remet brutalement alors qu'elle se tord sur la banquette. Puis il s'arrête brusquement.

L'homme se déplace de l'autre côté de la banquette arrière et elle sent une main qui la saisit par les cheveux et relève sa tête. Suzanne peut alors voir qu'il a sortir son sexe. Ses yeux s'écarquillent en voyant la taille de l'engin. l'homme commence à frotter son sexe sur son visage, du liquide pré-éjaculatoire barbouillant ses joues.

- Maintenant je vais t'enlever ça de la bouche. Je ne veux pas de cris. Tu te contentes de sucer ma bite. Et si tu la mords, je te promets que tu le regretteras.

Il retire la culotte de sa bouche. Mais Suzanne refuse d'ouvrir la bouche pour laisser entre sa bite. Il resserre alors son emprise sur ses cheveux et elle crie de douleur. Il en profite qu'elle ouvre la bouche pour y enfoncer sa queue.

C'est beaucoup plus gros que tout ce qu'elle a eu auparavant. Elle peut sentir ses lèvres s'étirer alors que l'homme pousse son engin. Suzanne lutte pour reprendre son souffle. La position qu'elle a ne lui permet pas de tout prendre et elle en est contente, il l'aurait étouffée sinon. La main dans ses cheveux bouge sa tête de haut en bas sur le sexe alors que l'homme continue à pousser. Elle retient son envie de vomir alors que le rythme accélère. Les yeux de Suzanne sortent presque de ses orbites tandis que la queue éperonne sa petite bouche. Elle essaie de combattre les sensations qui commencent à apparaître, les picotements et la moiteur entre ses jambes. Elle avait voulu de la bite, mais pas ça.

Le rythme de l'homme devient de plus en plus rapide. Elle comprend qu'il va bientôt jouir. Elle pense avec horreur qu'elle va devoir avaler son sperme. Elle n'a jamais avalé de foutre à part celui de son mari. À l'université elle faisait des fellations, mais elle faisait éjaculer les hommes sur sa poitrine, elle n'avalait jamais.

Elle peut entendre le souffle de l'homme s'accélérer et sa bite se tendre alors qu'il gémit et que du sperme chaud inonde sa gorge. Elle n'a pas d'autre choix que de l'avaler. Elle entend alors une voix à l'avant qui dit :

- Mec, laisse-nous-en, il y en a qui attendent.

Le noir sur le siège arrière rit et répond :

- Elle a encore deux trous cette salope!

Suzanne sent la prise se relâcher sur ses cheveux alors que l'homme la repousse. Un goût salé dans la bouche, elle sent les mains de l'homme retourner à son entrejambe. Le bâillon ayant disparu, elle peut respirer plus facilement. Mais elle n'a toujours aucune idée d'où ils l'emmènent.

Finalement la voiture s'arrête. Les hommes sortent de la voiture et celui de derrière la jette sur son épaule. Elle regarde autour d'elle et peut voir de grands champs agricoles à la lumière de la lune. Ils entrent dans une maison et elle est jetée sur un canapé. Maintenant elle peut voir clairement ses agresseurs. Il ont vingt ans environ et sont musclés, leur peau d'ébène brillant dans la lumière de la pièce.

- Quel est ton nom salope? Demande l'un deux.

Son sourire blanc et éclatant attire son attention. Elle répond :

- Suzanne.

Tout en continuant de sourire il dit :

- Eh bien Suzanne, petite pute blanche, ton mari nous a jeté du casino l'autre soir. Ce n'est pas gentil de sa part étant donné que nous gagnions gros. Donc nous avons pensé que nous allions récupérer nos pertes avec toi. Quand nous en aurons fini avec toi, la petite bite de ton pathétique mari ressemblera à un cure-dents pour toi.

Les trois hommes rient. Suzanne les regarde alors qu'ils commencent à se déshabiller. Elle ne peut s'empêcher d'avoir peur lorsque qu'elle voit leurs énormes queues raides, dont celle qui a presque déchiré sa bouche. Elle a du mal à imaginer ce qu'elles vont faire ailleurs.

Elle regarde celui qui semble être le chef se diriger vers un placard et revenir avec un énorme couteau de boucher. Elle commence à trembler.

- Ne t'inquiète pas salope, je vais juste couper tes vêtements.

Il coupe les bretelles de sa chemise de nuit et la laisse tomber sur le sol.

- Regardez ces gros nichons les gars!

Elle sent des mains empoigner ses seins et les serrer brutalement. Elle a l'impression que ses tétons vont gicler sous la pression. Elle grimace de douleur.

- S'il vous plaît arrêtez. Je ne vous ai rien fait. Réglez vos affaires avec mon mari.

Mais les hommes prêtent peu attention à ses paroles.

- Mais on le fait! On va baiser sa femme. On va te baiser jusqu'à ce que tu jouisses si fort que sa petite bite ne te satisfera plus jamais.

Le couteau coupe sa culotte. Des mains plongent dans son buisson soigneusement entretenu. Des doigts écartent les lèvres de sa chatte et caresse son intimité.

- Cette chatte a vraiment l'air bonne à manger. Dommage que je ne le fasse pas! Dit l'un des hommes en y enfonçant un doigt.

Les noirs libèrent ses mains et la pousse à quatre pattes sur le sol. L'un d'eux se met à genoux devant elle et commence à frotter sa grosse bite noire sur son visage.

- On va apprendre à cette chienne la supériorité des noirs!

Suzanne sent une sangle en cuir s'abattre sur son cul. Pour l'éviter elle se penche en avant et son visage entre en collision avec la bite devant elle. Elle peut sentir les zébrures sur son cul alors que la sangle continue de tomber. Bientôt la sensation de douleur disparaît en arrière plan alors que son corps essaie de réagir à ce mauvais traitement. Suzanne vacille sous les coups et pousse des cris. Elle est obligée de garder la bouche ouverte et la queue étire sa bouche en entrant. Son corps se soumet à leurs caprices. Elle est brisée. Elle sent que les coups s'arrêtent et des mains frottent ses fesses maintenant toutes rouges.

Suzanne n'a pas apprécié ce traitement, mais elle commence à apprécier le sexe dans sa bouche. Elle le suce et fait tourbillonner sa langue dessus. l'homme commence à lui baiser la bouche plus rapidement.

Elle sent un tiraillement sur ses chevilles alors que l'on coupe la ceinture du peignoir pour libérer ses jambes. On lui les écarte et un homme avance entre, sa grosse bite pendant sur sa cuisse. Bientôt le sexe entre dans sa chatte. C'est comme si les parois de son vagin se déchiraient à chaque poussée. Des énormes boules noires s'écrasent maintenant sur son menton alors que la bite remplit sa bouche. Elle sent le gland au fond de sa gorge. Soudain l'homme attrape ses cheveux alors qu'il gicle en elle. Puis il se retire légèrement et finit de se vider sur sa langue. Elle avale tout.

Dans sa chatte, la bite est maintenant complètement enfouie. Son sexe est entièrement étiré. Elle sent des couilles frapper son clitoris alors que l'homme pousse. Son esprit est embrumé, elle sent un orgasme approcher.

Suzanne n'a jamais été prise aussi complètement auparavant. Aucune bite n'a remplit sa chatte autant que ça. C'est trop pour son corps alors que des vagues de plaisir la traverse. Elle gémit autour de la queue toujours dans sa bouche. Mais celle-ci se retire et une autre prend sa place.

- Je vous avais dit que cette salope blanche adorerait sucer une bite noire.

En seulement deux coups il pousse sa queue au fond de la gorge de la jeune femme qui s'applique à le sucer. Les coups de rein dans sa chatte soulèvent ses genoux du sol. Ce martèlement rend sa chatte si vivante qu'elle jouit à nouveau. l'homme l'accompagne et elle peut jurer sentir son sperme couler dans son ventre.

Suzanne a un grand sentiment de vide lorsque l'homme se retire de sa chatte. Mais ce vide laisse place à, la douleur de ses parois étirés. Mais bientôt l'homme est remplacé par un autre qui la remplit tout autant. Elle grimace légèrement quand l'homme commence à claquer ses fesses pendant qu'il la baise. Pendant ce temps, la bite dans sa bouche déverse un flot de sperme qu'elle accueille volontiers dans sa bouche. Elle peut sentir le foutre s'échapper des coins de ses lèvres avant qu'elle n'avale le tout. Sa bouche est maintenant vide et ses cris sont bien audibles alors que l'homme la martèle. Elle a du mal à reprendre son souffle.

Son corps entier et son esprit sont maltraités par la seule faute de son mari. Mais elle commence à profiter de ces attentions, même si les hommes sont plus rudes que ce qu'elle est habituée.

La grosse bite noire se vide en elle alors qu'il la baise violemment. Suzanne crie d'extase alors qu'un autre orgasme traverse son corps.

Quand le noir se retire, elle s'effondre sur le sol, ses poils pubiens recouverts de foutre. Elle essaie de reprendre son souffle et elle revit dans sa tête les orgasmes qu'elle vient de vivre. Ils ont raison, ça sera difficile pour la bite de son mari de la satisfaire après cela. Puis elle voit l'un des hommes s'approcher avec la sangle en cuir.

- Non, s'il vous plaît, je ferai tout ce que vous me direz, pas ça, s'il vous plaît.

Mais la sangle s'abat sur ses mamelons durcis. L'homme lui fouette les seins, le ventre, le dos et les fesses. Des marques rouges apparaissent partout où la sangle entre en contact avec la peau blanche crémeuse.

- Tu oublies salope que nous voulons nous venger de ton mari. Il a besoin de marques visibles pour se rappeler ce qu'il nous a fait.

Les coups continuent à pleuvoir jusqu'au moment où elle est presque anesthésiée, son esprit éloignant la douleur. Quand il s'arrête son corps est couvert de zébrures rouges. Elle reste allongée sur le sol.

- Dites les gars, alors que je regardais son joli cul devenir rouge sous la sangle, je me suis dit que j'aimerai bien l'enculer.

Suzanne a vraiment peur, personne ne l'a encore sodomisée. La pensée d'une grosse bite noire déchirant son petit trou du cul la fait grincer des dents et elle se met à pleurer.

Les hommes la roulent sur le ventre. Elle sent ses jambes écartées par deux d'entre eux alors que le dernier frotte sa bite sur sa chatte pour la lubrifier. Sa bouche s'ouvre alors que le noir pénètre son petit trou du cul serré et jamais utilisé. Elle crie de douleur alors que l'homme pousse pour s'enfoncer et que les deux autres la tiennent immobile. Elle avait eu l'impression que la bite était énorme dans sa chatte, mais elle était trop immense dans son cul serré. Le noir commence à sortir et à pénétrer à nouveau en disant :

- Cette putain de garce a vraiment le cul serré. J'ai l'impression que ma bite est dans un étau.

Alors que lentement le cul de Suzanne s'habitue à la grosse queue, l'homme la pilonne de plus en plus vite, son membre remplissant entièrement son derrière. Elle gémit. Ses seins couverts de zébrures infligés par la sangle frottent sur le sol à chaque coup de rein du noir. La douleur est presque insoutenable, car l'homme est implacable et l'encule avec vigueur. Il accélère le rythme et Suzanne s'évanouit de douleur, son corps tressautant sous les coups de boutoirs. Elle reste comme une poupée de chiffon alors qu'il la baise rudement.

La prochaine chose dont elle a conscience c'est une sensation d'herbe mouillée. Elle ouvre les yeux pour voir que son corps douloureux est allongé sur sa pelouse. Du sperme séché la recouvre et chacun de ses trous est douloureux. Les zébrures sont toujours là et lui font mal si elle les touche. Elle se retourne et essaie de se relever, mais ses forces ont disparu. Il est très tôt le matin et personne n'est encore réveillé. Elle en remercie son ange gardien et elle rampe jusqu'à la porte d'entrée. A l'intérieur elle reste allongée jusqu'à ce que son mari rentre à la maison.

Il est très en colère et veut appeler une ambulance ainsi que la police, mais Suzanne l'avertit :

- Ils ont dit que si nous avertissions qui que ce soit, ils nous feraient à tous les deux la même chose la prochaine fois.

La mâchoire du mari tombe à l'idée de se faire baiser par trois hommes noirs. Il aide sa femme à se relever et voit écrit dans son dos avec un marqueur indélébile : « CETTE PUTE BLANCHE AIME LA BITE NOIRE ». Il conduit sa femme sous la douche pour la nettoyer. Mais ce qu'il ne sait pas c'est que les hommes ont réveillé en elle un besoin que seule une bite noire pourra désormais assouvir.

FIN.

jeudi 27 mai 2021

J'appartiens à Snake désormais Ch. 03

Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.

le dressage commence.

Je rentrai rapidement chez moi. En approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.

Cela importait peu, je rentrai tout droit au garage et refermas la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignai mon sac et me ruai dans la salle de bain, je me débarrassai de mes fringues putassières et préparai une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.

Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.

Je m'habillai et préparai le souper. Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un message de mon mari pendant la journée.

Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les informations. Nous avions un ordinateur pour la seule raison qu'il avait parfois besoin de travailler à la maison. Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la société, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore moins regonfler les batteries. Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de sombrer dans les bras de Morphée.

Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte. Nous lisions souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale. 

Et voila que j'étais devenue une pute, une salope

-"Oh mon Dieu, qu'allais-je faire ?"

Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin.

Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'entendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pensai :

-"Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé autant d'hommes dans la journée ?."

Je me débrouillai pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient violée. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche. J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes.

J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille. Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir. Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.

On regarda en chœur les informations, plus particulièrement pour avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait. Nous votions républicain quoi qu'il arrive. C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas. Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas. La pollution était un mythe.

Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement. Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit. Je regardai l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de retourner à la maison de Snake.

Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne sonne le réveil, j'arrêtai la sonnerie me levai et préparas le petit déjeuner de mon mari. et j'avalai une tasse de café. C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer.

Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeai mon équipement de lavage dans la voiture, pris une douche rapide et enfilai ma tenue de salope. Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.

Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrêmement courte qui exposait une large potion de mes miches. Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.

Je grimpai dans ma voiture et me pressai de gagner la maison de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait son petit déjeuner lorsque je frappai à la porte, il me hurla d'entrer, je posai mon équipement de lavage et retournai à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.

Lorsque j'eus descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevai ma tenue de pute et jetais un coup d'œil circulaire pour déterminer par quoi commencer. C'était, et de loin la maison la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposai que ce par quoi j'allais commencer importait peu. Je gagnai la cuisine pour demander à Snake ses instructions.

Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler son repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé ?

Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandai s'il avait des instructions particulières à me donner. 

-"Ouais je vais aller me reposer un moment je veux que tu te remues ton petit cul, mais sans te crever. Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard. Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine, et le salon et que tout soit impeccable. Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes."

Je lui demandai où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne disposait de rien qui m'aurait facilité la tâche. Je commençai par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue. Snake recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :

-"Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre. Je dors mieux les couilles vides !"

Je posai tout et le suivis dans la chambre. Un seul coup d'œil à sa chambre suffit à me rendre malade. Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit. Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie ? 

Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés. J'étais incapable de discerner leur couleur originelle. De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançai dans sa piaule. Je pensai tout d'abord : "Quel porc !" puis, je réalisai que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt.

Je rampai sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me retourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune. Le parfum qui se dégageait de son entrecuisse couvert de sueur était innommable. J'hésitai un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchai et entrepris de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattai de la langue. Je cajolai alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.

Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'intéressait pas vraiment. J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.

Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille, j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux. D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt que d'y être forcé.

Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrai pas le temps passé à le cajoler. Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalai le foutre tiède et lui nettoyai minutieusement la bite.

J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer. Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler. Je me glissai dehors et fermai la porte et m'empressai de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.

Je décidai de commencer par la minuscule cuisine, elle était répugnante, mais si petite que j'espérai que cela ne me prendrait pas beaucoup de temps pour la nettoyer. D'autant plus que j'avais vu les piles d'assiettes sales dans sa chambre. 

Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était auparavant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.

Je passai au salon. Je ne trouvai pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait. Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passai l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière. Puis, je me préparai un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette. J'étais épuisée, mais je n'osai pas m'arrêter.

Je transportai mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyai celui-ci à son tour. J'évitai de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir. Je sortis l'aspirateur par la porte de devant et le rangeai hors de mon chemin, rassemblai mes produits de décrassage et gagnai la salle de bain. Je commençai par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottai et frottai avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait. Je nettoyai les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant. Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottai le sol à plusieurs reprises avant de le cirer. 

J'en terminais finalement. J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce. Il leva la lunette des toilettes, se tint en face, sortit sa grosse bite et projeta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.

Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait ? Bordel de merde ! 

J'attendis qu'il en eut fini et je revins vers cet endroit qu'il souillait. Le flot de son urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol. Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit. En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordonnant :

-"Fais-moi une petite pipe ma chérie !"

Je frémis à cette idée. Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas ? Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture. Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.

Aussi ouvris-je misérablement la bouche pour qu'il se glisse entre mes lèvres. Une goutte de pisse tremblait, suintait encore de son méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci !

Il me tapota la tête puis regagna son lit. Je nettoyai à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain. 

Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayai-je soigneusement, le lavai et l'épongeai. Pour finir j'époussetai et cirai le salon. Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.

Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans. Aussi nettoyai-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminai et pris une profonde respiration. Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos. Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les endroits que je venais de nettoyer.

Je gagnai la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode. Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.

Je regardai l'horloge, et à ma grande surprise je constatai que cela faisait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche. Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour. 

Je terminai mon coup d'œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce. Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.

Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie. Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyai sa bite à pleine bouche, puis il constata :

- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot ! Demain tu t'occuperas de la chambre et de la lessive. Reviens à la même heure ! Et maintenant rhabille toi et va-t'en !"

Je ne comptai pas m'en tirer à si bon compte, je le quittai après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois. Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain. En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi. De toute manière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée. Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.

Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arrivée. Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre. Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :

-"Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien."

-"Oui tu pourrais, stupide connasse ! Mais tu vas te rendre à la laverie automatique de Dorchester. Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refuser à qui que ce soit ! Si un gugusse te met la main au cul, ou te tâte les nichons, tu lui souris. S'il te dit de le sucer ou de te pencher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit ! Je me suis arrangé pour que ta prestation soit surveillée par un bon ami. Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir. C'est bon ?"

-"Oui monsieur....." soupirai-je cherchant désespérément à cacher ma déception.

Je me dépêchai de gagner sa chambre et je rangeai les assiettes sales dans l'évier, puis je triai le linge à laver, il me semblait impossible que je puisse tout laver en une journée. Je nettoyai la chambre, balayai le plancher, époussetai, ouvris le lit, retournai le matelas, mais il était aussi dégoûtant à l'envers que sur l'endroit. Puis je chargeai le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs. Je me dirigeai vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.

-"Tu aimerais que je dorme bien ? Tu sais ce qu'il faut faire pour cela !"

-"Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable ?"

-"Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe !"

-"Oui monsieur !"

Je fis de mon mieux et ne tardai pas à partir pour la blanchisserie, le goût de son foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.

Je me garai et jetai un coup d'œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre. Je décidai que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plusieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands. Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.

Je déchargeai le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines. Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lavages.

Il y avait 4 personnes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient attentivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier. Je m'assis et cherchai à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restai les yeux braqués sur la page attendant la fin du lavage.

Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandai si l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake. Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.

Du coin de l'œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à côtée de moi et me demanda :

- "Hey chérie que lis-tu ?"

Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.

-"Ta peau semble douce !" me dit-il.

-" T'as de beaux cheveux... Un joli corps... Une véritable perfection... "

Et, tandis qu'il me complimentait sa main, s'approcha de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire. Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur copain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien. Et je ne pouvais toujours que leur sourire.

Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre côté de moi. Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir son pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma chatoune. Et je ne pouvais toujours que sourire.

Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards. Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne.

Les deux qui ne me molestaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste. Et je souriais toujours.

Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toison rousse. Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.

Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d'œil. Puis, je dus m'agenouiller et dès que je me penchai en avant je me retrouvai avec une grosse bite en foufoune et une autre en bouche. Par chance ils jouirent juste à l'instant ou les machines à laver s'arrêtaient.

Je demandai aux deux autres de me laisser remettre mon linge dans mon panier avant qu'ils ne me sautent à leur tour. Et une fois qu'ils se furent tous satisfaits dans mes orifices, ils m'entourèrent à nouveau et me prirent en sandwich. Et je souriais toujours.

Je me débrouillai pour leur demander de m'aider à terminer ma lessive, ce qui fait que j'en eus fini bien plus tôt que je l'avais pensé. Ils me reprirent alors une fois de plus, puis je rentrai chez Snake. Je m'appliquai à rentrer discrètement pour ne pas le réveiller. Mais il était déjà levé.

Il me jeta un œil et explosa de rire, je dus lui raconter comment cela s'était passé, sans éviter les détails sordides. Puis, je lui fis une pipe, il jeta un œil sur sa montre et s'écria :

-"Bordel chérie ! Mon copain va être drôlement déçu. Il était sensé te surveiller pendant encore une heure. BORDEL !"

Je pris une douche rapide, me servis d'une serviette et rangeai les autres. Je fis le lit puis lavai les couverts et assiettes que j'avais ramenés de sa chambre ce matin. Puis je rinçai ma brassière dont le haut était souillé de sperme, il n'y avait pas de toilettes dames à la laverie. Il se faisait tard et j'étais pressée de regagner ma maison. J'attendis que Snake se serve de moi à nouveau mais il téléphonait sans me prêter attention.

Je devais partir rapidement pour préparer le souper et cela commençait à me préoccuper. Je vis soudain une voiture se ranger à l'extérieur et je jetais un coup d'œil anxieux à Snake. Il me fit signe d'aller ouvrir la porte. J'invitai à entrer le couple qui attendait derrière la porte. Je ne les avais jamais vus auparavant. Ils me mangeaient du regard.

Finalement Snake reposa son téléphone et me révéla que c'était le couple qui était sensé me surveiller à la laverie, il leur dit ce qui s'était passé et ils explosèrent tous trois de rire. Puis la femme s'assit, releva sa jupe et m'intima :

-Viens ma chérie, cela va ta changer du goût de sperme que tu as en bouche !"

Je savais que cela arriverait un jour, mais mon Dieu que c'était dur. Je traversai la pièce et m'agenouillai entre ses cuisses, et je commençai à la lécher comme Snake m'avait léché une paire de jours plus tôt me donnant tant de plaisir. Elle semblait apprécier mes caresses linguales.

Je sentis alors son époux s'agenouiller dans mon dos, et tout de suite il me pénétra violemment enfouissant tout de go sa grosse bite au fin fond de mon utérus. Pourquoi diable ces hommes étaient-ils si violents ? Jamais l'un d'un ne me fera l'amour ? Bien que je ne tienne pas particulièrement à faire l'amour avec aucun d'entre eux. 

J'avais déjà joui de nombreuses fois dans la Blanchisserie automatique. J'étais fatiguée. Aussi attendis-je que le couple ait joui et j'ai regardé Snake pour voir s'il m'autorisait à partir. Il hocha la tête. Je me ruai dans la salle de bain, m'essuyai la chatte et le visage et me précipitai dans le salon pour enfiler ma jupe et ma brassière, puis je me pressai de rentrer chez moi. Comme je partais Snake m'intima d'être chez moi le lendemain à la même heure.

Une fois chez moi je pris une douche rapide puis j'entrepris de préparer le souper. Il me vint d'un seul coup à l'idée que je n'avais pas vérifié ma boite aux lettres informatique depuis le dernier mail qui m'enjoignait de me rendre chez Snake ce qui m'avait amené à endurer l'une des pires journées de ma vie.

Je gagnai le bureau et allumai l'ordinateur, je me figurais à cet instant que le pire était advenu, je m'attendais surtout à trouver des mails d'amis et de la famille. J'avais reçu plusieurs douzaines de messages. La plupart s'avérèrent être des spams, d'autres d'amis qui m'envoyaient des blagues, il y en avait deux émanant de Snake. Je craignis d'en dévoiler le contenu, mais je devais le faire.

J'ouvris le premier, il concernait ma première journée de soumission, il ne contenait que d'horribles photos de moi nue, en train de sucer des bites, et de me faire baiser à couilles rabattues. J'ouvris le second message, c'était le même que le précédent en pire. Il voulait sûrement se moquer de moi en me rappelant que je n'étais qu'une pute à son entière disposition.

La soirée se passa rapidement, j'étais si lasse que je dormis comme une bûche. Une fois Jay reparti à son boulot le lendemain matin, je me douchai rapidement et me tint prête à le recevoir.

Je rinçai les jupes que je pouvais porter les autres jours, il ne me restait plus que le harnais de cuir de propre comme haut. Je l'enfilai et me débrouillai pour dissimuler la plus grande surface de mes nichons en resserrant les sangles qui traversaient mes nibards pour ce faire.

A suivre...

mardi 25 mai 2021

La naissance d’une salope.

Traduction d’un texte de SplendiSpunk.

 ********

Je regarde Alice depuis un certain temps maintenant. Elle habite dans mon quartier et c’est une très belle femme. Je pense qu’elle doit avoir trente ans environ. Elle est assez grande avec des cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Elle est enseignante au lycée local et célibataire ou divorcée, car elle vit seule.

Moi-même, je suis un homme célibataire, un peu plus âgé qu’elle. Je la vois tous les matins quand je pars au travail. Généralement elle fait du jogging et nous avons commencé à nous saluer quand nous nous croisons.

J’étais en ville le week-end dernier et, à ma grande surprise, j’ai vu Alice dans un bar que je fréquente. Après l’avoir aperçue, je réfléchissais sur la meilleure façon de l’aborder quand je l’ai vue quitter le bar avec trois hommes noirs assez costauds. Comme je suis un gars assez curieux, je les ai suivis en m’assurant de rester derrière et de ne pas me faire voir. J’ai été encore plus surpris de voir que l’un des hommes avait passé son bras autour de la taille d’Alice. Ils se sont tous dirigés vers la ruelle à côté du bar.

Je me suis alors lentement approché pour jeter un coup d’œil. J’ai vu que Alice était maintenant agenouillée sur le sol avec les trois hommes autour d’elle. J’entends l’un des gars lui dire quelque chose et immédiatement elle baisse la tête. Bien que je n’étais pas assez proche pour entendre ce qui avait été dit, j’ai vu Alice déboutonner son chemisier et le faire glisser de ses épaules sur le sol de la vieille ruelle sale. D’autres mots furent prononcés et Alice tendit ma main derrière elle et dégrafa son soutien-gorge pour le laisser tomber sur son chemiser. Alors qu’elle se trouvait à genoux, seins nus, sa poitrine bien exposée à l’air frais de la nuit, instinctivement j’ai sorti mon portable et j’ai commencé à prendre des photos.

En peu de temps, les trois hommes ont ouvert leur pantalon et ont sorti leur bite. Je comprends qu’Alice est soit forcée, soit autorisée à sucer ces trois blacks. Je sais que la rumeur dit que tous les hommes noirs ont d’énormes queues, mais seule la bite d’un gars était vraiment grosse, les autres étant dans la moyenne. Alice se mit à les sucer une par une, la plus grosse étant la dernière. Tous les gars baisaient son visage en forçant leur bite à fond dans sa bouche. A en juger par ses réactions, ils s’enfonçaient jusqu’à sa gorge, car elle étouffait et vomissait de la bile et de la salive. Mais cela ne ralentissait pas les gars qui se relayaient rapidement sans lui permettre de se reposer.

Et pendant qu’ils lui baisaient la bouche, les gars parlaient beaucoup. Il me semble qu’ils l’insultaient et la traitaient de tous les noms pendant qu’elle s’activait sur les bites bien dures. Un premier homme a joui. Il s’est retiré et il a éjaculé sur ses seins et son visage. Ne lui laissant aucun repos, un deuxième a enfoncé sa bite dure dans sa bouche dès que le premier a cessé de lui gicler dessus. Les railleries et moqueries ont continué tout comme les haut-le-cœur d’Alice quand la queue a atteint sa gorge. Ce gars-là fut un peu plus endurant et il a choisi lui aussi de couvrir les seins et le visage avec son foutre.

Lorsque le troisième homme s’est présenté devant elle, il a saisi une poignée de ses cheveux et il a tiré son visage vers le haut pour qu’elle le regarde. Puis il lui a dit quelque chose en tirant sa tête en avant sur son sexe qu’il enfonça dans sa bouche et sa gorge. Il la retint solidement contre elle et Alice eut manifestement du mal à respirer. Quand il tira sa tête en arrière, elle toussa et cracha un amas de salive et de bile. Puis elle accepta de nouveau cette grosse bite dans sa bouche. Chaque fois qu’il pénétrait sa bouche, il s’enfonçait jusqu’à remplir sa gorge avec son membre dur. Elle paniquait à chaque fois, mais elle ne refusait jamais. Elle avait toujours la bouche ouverte et elle était toujours prête quand il tirait ses cheveux.

Quand enfin il a joui, il s’est retiré, mais en tenant toujours les cheveux d’Alice pour gicler sur sa face. Il a giclé si près et son sperme est sorti avec assez de force pour éclabousser et rebondir sur sa bite. Il a couvert son visage et ses cheveux de sa semence. Puis quand il a fini, il enfonce sa bite moins profondément et lui fait nettoyer le sperme qui était dessus.

J’ai vu alors les trois blacks s’éloigner dans la ruelle. Alice récupéra ses vêtements et remit son soutien-gorge et son chemisier. Elle ne fait rien pour nettoyer ses seins ou son visage avant de se lever et quitter la ruelle.

Je suis retourné au bar avec mon téléphone portable rempli de photos. Je me suis mis dans un coin tranquille pour revoir ces images. J’ai remarqué qu'Alice est revenue également dans le café pour récupérer son sac avant de repartir. J’ai trouvé qu’elle avait du cran de marcher calmement avec ce foutre sur le visage et dans ses cheveux.

Je n’ai jamais pris d’aussi bonnes photos. Content de moi, j’ai aussi quitté le bar pour rentrer chez moi. Sur le chemin, j’ai réfléchi pour savoir ce que je pourrais tirer de ces photos, de la façon dont je pourrais les utiliser. La première chose que j’ai faite c’est de les enregistrer sur mon ordinateur personnel et d’en imprimer un jeu. J’étais tellement pris par cette histoire que je ne me suis pas rendu compte qu’il était tard. Heureusement nous étions vendredi soir et je ne travaillais pas le lendemain.

Je me réveille le samedi matin avec un plan que je suis déterminé à mettre en œuvre dès aujourd’hui. J’attrape le jeu de photos que j’ai imprimé et je le mets dans une enveloppe en griffonnant un mot sur l’extérieur. Ensuite je sors de la maison avec l’enveloppe et, en voiture, je me mets à la recherche de ma joggeuse préférée. Je la vois à quelques pâtées de maison. Je la dépasse puis je fais demi-tour et je reviens vers elle. Je me gare et sors de ma voiture pour attendre qu’elle passe. Alors qu’elle s’approche, je peux voir qu’elle m’a reconnu. Elle hoche la tête pour me dire bonjour. Je lui tends alors l’enveloppe pour la forcer à la saisir et je lui dis :

- On reste en contact !

Puis je remonte dans la voiture et je démarre tout de suite sans lui laisser le temps de me questionner.

Je rentre chez moi et je m’assois à une fenêtre d’où je peux voir Alice rentrer chez elle après son jogging matinal. Quand elle apparaît, je remarque qu’elle ne court plus, mais qu’elle marche en tenant l’enveloppe et en la regardant. Elle entre chez elle et je souris. Les photos ont sûrement été une surprise pour elle et à la façon dont elle marchait, elle semblait également inquiète. Il faut maintenant que je sois patient et que j’attende qu’elle vienne d’elle-même. Elle me connaît assez pour savoir où j’habite. Et pour que mon plan fonctionne, il faut que ce soit elle qui fasse le prochain pas.

L’attente n’est pas aussi longue que celle que je prévoyais. Alice frappe à ma porte ce soir-là, en tenant toujours l’enveloppe dans la main. J’ouvre la porte et je la regarde en attendant qu’elle parle. Le silence s’établit pendant un certain temps qui me semble une éternité mais qui ne dure qu’environ trente secondes avant qu’elle dise :

- Je suppose que vous étiez là la nuit dernière. Je sais que je passe pour une salope, mais croyez-moi quand je vous dis que je n’avais pas le choix.

- Vous voulez dire que vous avez été violée ? Vous avez été forcée de faire une fellation à trois hommes dans une ruelle ?

- Non je n’ai pas été violée. J’ai été forcée de le faire à cause de quelque chose que j’ai fait il y a quelques semaines. Et je me suis faite prendre.

- J’ai l’impression que tu t’es encore faite prendre Alice. Alors dis-moi ce qui t’est arrivé la première fois ?

- Je me suis laissée séduire par un jeune homme dans ma classe. Les hommes d’hier soir étaient son père et ses oncles. Ils m’ont dit que si je leur obéissais, ils ne diraient rien à l’école et je ne perdrais pas mon travail d’enseignante.

- Et crois-tu que la nuit dernière est la seule chose qu’ils veulent que tu fasses ? Ne crois-tu pas qu’ils peuvent vouloir plus ? Tu réalises qu’ils te tiennent toujours dans leurs griffes, non ?

- Non, je pense que c’est fini. J’ai réussi à enregistrer la conversation dans le bar avant de les sucer dans l’allée. Et je les ai appelés pour leur dire que j’enverrai des copies à leurs femmes s’ils me faisaient chanter à nouveau. Je pense donc qu’ils ne m’ennuieront plus.

- Intelligent de ta part. Malheureusement je ne suis pas marié et j’ai des photos. Maintenant, je sais à quel point tu chéris ton travail. Donc j’espère que tu te rends compte que j’ai le pouvoir et que tu te trouves dans une position délicate.

- Merde oui, je me le suis dit dès que j’ai vu les photos. J’espérais pouvoir parvenir à un arrangement, vous payer par exemple. J’ai vraiment besoin de mon travail et j’ai surtout besoin que l’on ne ternisse pas ma réputation si je veux enseigner ici ou ailleurs.

- Bon, alors pour commencer je m’appelle Eric, mais tu m’appelleras toujours Monsieur. Est-ce clair ?

- Oui.

- Oui quoi ?

- Oui Monsieur, je comprends parfaitement. Est-ce que je dois vous sucer ?

- Alice, tu vas espérer que ce que je te demanderai sera seulement de me sucer la bite. Maintenant rentre chez toi. Je t’appellerai quand je le voudrais et tu répondras. Tu viendras quand je te le dirai et tu feras ce que je dis, sinon ces photos ne seront pas seulement envoyées à ton école, mais aussi à ta famille et affichées sur internet. Compris ?

- Oui Monsieur, j’ai compris.

- Ok, rentre chez toi ! Je ne vais pas interférer avec ton travail, mais tu dois être prête à tout moment, donc donne-moi ton numéro de portable.

Alice obéit et donne son numéro. Je programme le sien dans son portable avec « Monsieur » comme nom de contact. Je la regarde rentrer chez elle, les épaules tombantes et la tête baissée. Je souris en pensant à tous les jeux auxquels je veux jouer avec mon nouveau jouet.

Je décide d’attendre quelques jours et de laisser l’ampleur de la situation s’enraciner dans l’esprit d’Alice. Le vendredi soir suivant, juste une semaine après l’aventure avec les trois blacks, je l’appelle et lui dis d’être devant ma porte à 19 heures. Elle me dit « Ok » et je me demande ce que je vais devoir casser chez elle pour en faire un jouet dévoué. Je sais que je dois lui retirer tout respect de soi si je veux réussir. Alors quand elle frappe à ma porte un peu avant l’heure dite, j’attends qu’il soit exactement 19 heures pour lui ouvrir la porte et la laisser entrer.

- Alice, quand je dis 19 heures c’est 19 heures, ni plus tôt, et certainement pas plus tard. Ne refais pas l’erreur.

- D’accord, je m’assurerai d’être juste à l’heure à l’avenir.

Je m’approche d’elle et je la gifle sur la joue.

- Tu as déjà oublié de me montrer du respect, je vais aussi devoir t’éduquer.

- Non Monsieur, désolé Monsieur. Je suis juste un peu nerveuse et je ne sais pas vraiment ce que vous allez faire de moi.

- Il faut que tu saches que je te considère maintenant comme ma salope personnelle. Et tu feras tout ce que je te demanderai ou les photos seront diffusées. Suis-je clair ?

- Oui Monsieur ! Je ne suis pas sûre de pouvoir faire tout ce que vous voulez, mais je ne veux pas que qui que ce soit voit ces photos. Me les donnerez-vous un jour Monsieur ?

- Je n’ai pas encore décidé, salope ! Je pense que ça dépendra de tes performances et de mon intérêt à te garder ainsi. Plus longtemps tu m’obéiras et tu seras docile, et plus je serais amené à te donner ces photos.

- Merci Monsieur, je vais faire de mon mieux.

- Eh bien voyons comment tu peux te montrer obéissante, salope !

Je vais m’asseoir dans un fauteuil inclinable et je lui montre le centre de la pièce.

- Ici salope !

Alice avance où je lui indique et elle reste immobile en attendant mes instructions. C’est bien, mais la partie difficile pour elle est encore à venir.

- Enlève ton pantalon et ta culotte, je te veux nue de la taille aux pieds !

Alice reste figée et semble réfléchir de mon ordre. Mais cela ne me plaît pas.

- Tout de suite salope ! Tu dois m’obéir aveuglément. Tu ne dois pas chercher à réfléchir ou comprendre, tu dois faire ce que je veux immédiatement. Allez, dépêche-toi !

Alice déboutonne son pantalon et le fait glisser le long de ses jambes galbées avant d’en sortir. Elle lui donne un léger coup de pied pour le pousser sur le côté. Puis elle fait de même avec sa culotte. Elle se retrouve face à moi et je regarde sa chatte rasée entre ses jambes fermées.

- Écarte les jambes, salope !

Cette fois, elle obéit rapidement et écarte les pieds. Je lui dis alors de se tourner et de se pencher. Elle prend cette pose jusqu’à ce que je lui dise de faire demi-tour. Je vois que sa chatte s’est humidifiée. J’ai l’impression que même si je lui fais subir un chantage, son corps réagit à la situation.

- Je veux que tu te masturbes devant moi Alice. Assieds-toi par terre les jambes écartées et joue avec ta chatte devant moi. Jouis pour moi salope !

Alice s’assoit lentement en ouvrant les jambes. Je vois sa chatte humide s’ouvrir. Quel spectacle ! Elle ferme les yeux et commence à se toucher légèrement. Ma bite est maintenant dure comme du roc. Mais je dois continuer à assurer mon emprise.

- Salope, ouvre les yeux et regarde-moi pendant que tu te masturbes.

Elle ouvre lentement les yeux et relève sa tête pour me regarder. Alors qu’elle continue à caresser sa chatte, je vois que sa respiration est devenue un peu plus irrégulière et sa main se déplace de plus en plus vite. Elle bouge sa main libre sur sa poitrine et elle commence à serrer et tripoter ses seins pendant que ses doigts ouvrent sa chatte. Elle a le souffle court maintenant, ses mains bougeant frénétiquement. Elle se rapproche de l’orgasme. Elle n’arrive pas à garder ses jambes immobiles alors elle les plie et les déplie encore et encore. Ses doigts font des cercles rapides autour de son clitoris gonflé.

- Mets tes doigts dans ta chatte Alice. Je veux savoir combien tu peux en fourrer là-dedans !

Sans hésitation, elle pousse deux doigts dans son sexe humide et elle se baise furieusement. Elle retire son autre main de sa poitrine et s’en sert pour pincer son clitoris engorgé. Elle ajoute un autre doigt dans sa chatte et je peux sentir qu’elle va jouir d’un moment à l’autre. Quand elle introduit un quatrième doigt et commence à faire tourner sa main pendant qu’elle pince et tord son clito, elle crie et gémit. Il est évident qu’elle jouit.

Je la laisse profiter de son orgasme et je regarde sa main qui reste maintenant immobile dans sa chatte alors que l’autre continue machinalement à caresser son clitoris. Quand sa respiration reprend un rythme normal, je me lève et je l’attrape, puis je lui dis :

- Bien salope ! Remets ton pantalon et rentre chez toi. Je te ferai savoir quand j’aurai encore besoin de toi. Mais à l’avenir, quand je t’appelle, tu ne prendras pas de pantalon. Les salopes portent toujours un chemisier et une jupe. Si tu veux porter des bas, ce sera avec un porte-jarretelles. Plus de culotte ni de soutien-gorge, est-ce clair ?

- Oui Monsieur.

Ses mots sortent lentement, elle est toujours sous l’impact de son orgasme et de mon renvoi chez elle. Elle ne comprend pas que je ne l’ai pas baisée ni même touchée. Je veux qu’elle soit confuse et obéissante. Elle met son pantalon et sort tranquillement. Je prépare déjà dans ma tête la prochaine session. Je l’appellerai quand je serais prêt. Elle obéit bien, mais il y a encore beaucoup de travail à faire pour la changer en la salope que je veux.

Je laisse à Alice une semaine pour se demander ce qui risque de se passer. Puis je laisse des instructions affichées sur sa porte d’entrée le vendredi après-midi. Je sais qu’elle les verra à son retour du travail. Je lui ordonne d’être « prête » lorsque je viendrai la chercher le samedi matin à onze heures. Délibérément, je ne mentionne pas comment elle doit être habillée pour voir si elle va se souvenir de ce que je lui aie dit.

De ma fenêtre je la vois rentrer du travail et faire une pause devant sa porte d’entrée. Elle tend prudemment la main vers la note pliée avant de l’ouvrir pour la lire. Quand son sac de cours lui échappe des mains et qu’elle baisse la tête, je comprends qu’elle avait espéré que je ne continue pas mon chantage. Lentement elle se penche et ramasse son cartable avant de rentrer chez elle. Elle ne va sûrement pas dormir tranquillement en se demandant ce que je lui réserve le lendemain.

Je prends Alice à l’heure prévue et je suis ravi de voir qu’elle porte une jupe et un chemisier. Ses jambes sont nues et ses seins pendent librement derrière le chemisier en coton. Nous n’avons parcouru que quelques mètres lorsqu’elle dit :

- Monsieur ?

- Oui salope, tu peux parler !

- Monsieur, puis-je savoir où nous allons et combien de temps je serai partie ?

- Sache que dans le futur, je ne te dirai jamais où nous allons et combien de temps ça peut durer. Mais aujourd’hui, comme il s’agit de la première fois, je vais te le dire. Nous allons dans une ville à environ une heure d’ici afin que tu puisses m’obéir dans te soucier d’être reconnue. Nous serons partis sûrement toute la journée.

Elle ne dit plus rien et reste assise tranquillement pendant que je conduis. En arrivant en ville, je roule jusqu’à un centre commercial sur la périphérie. Nous descendons de voiture et entrons dans un magasin de vêtements. Je tire Alice par la main derrière moi et je m’approche d’une jeune vendeuse pour lui dire :

- Je cherche à trouver des vêtements plus sexy pour ma salope. Avez-vous des chemisiers transparents et des jupes courtes ?

La vendeuse a un sourire narquois et regarde Alice qui est sous le choc. Elle baisse la tête de honte.

- Oui, nous avons des articles qui vont mettre en valeur votre salope. Voulez-vous que je fasse une sélection et que je vous l’apporte dans les cabines d’essayage ?

- oui ce serait bien. Viens salope !

Une fois de plus, je prends la main d’Alice et je l’emmène dans les vestiaires. Il ne faut pas longtemps à l’employée pour revenir avec un certain nombre d’articles qu’elle remet à Alice. Tandis que celle-ci prend les vêtements, je dis :

- Ça vous dérange si elle laisse la porte ouverte pour que nous puissions voir ce qui lui convient ou non ?

- Pas du tout Monsieur, il s’agit d’une bonne idée.

Je regarde le visage de ma voisine qui est en état de choc alors qu’elle réalise qu’elle va devoir s’habiller et se déshabiller à la vue de tout le monde et surtout de la vendeuse qui la regarde étrangement.

Nous la regardons alors se déshabiller et attendre complètement nue que nous lui disions quoi essayer. Si la taille et la dureté de ses mamelons est une indication, alors je peux dire qu’elle est excitée par cette exposition forcée.

La première tenue est plus sexy que ce qu’elle portait en venant. Le chemisier rouge est transparent et ne cache rien de sa poitrine. La jupe assortie est si courte que si elle se penche un peu, son cul et sa chatte sont vraiment exposés.

- Alors Mademoiselle qu’en pensez-vous ?

- Eh bien la taille est correcte, et j’aime la façon dont on distingue ses seins. Mais ne croyez-vous pas que la jupe est un peu longue pour une vraie salope ? Vous avez dit court, donc laissez-moi voir si je peux trouver quelque chose d’autre.

J’entends Alice pousser un petit gémissement de surprise, alors que la vendeuse cherche dans le tas de vêtements pour trouver autre chose. Elle sort une autre jupe rouge et fait signe à Alice de la mettre. Celle-ci descend la première jupe le long de ses jambes sexy, nous montrant sa chatte rasée. Puis elle enfile l’autre jupe, et même moi, je suis étonnée de voir à quel point elle est courte. Avec celle-ci Alice ne peut plus se permettre de se baisser, ses fesses étant déjà sur le point d’apparaître.

- J’aime celle-là. Elle ressemble maintenant à une vraie salope, Monsieur. Êtes-vous satisfait ?

- Oui je le suis. Peut-elle les garder sur elle ?

- Oui, mais je crains que ses chaussures ne soient pas assorties. Est-ce que ça vous dérangerait si nous en trouvions de plus belles ?

- Allons-y !

Alice veut se changer ,mais je l’arrête.

- Mademoiselle, pourriez-vous jeter ces vieux vêtements ? Nous n’en avons plus besoin.

- Certainement Monsieur. Si vous le permettez, puis-je vous demander si votre salope est disponible pour satisfaire d’autres personnes ?

- Une fois qu’elle aura été correctement formée, elle le sera. Donnez-moi votre numéro Mademoiselle, et je vous appellerai une fois que je serai satisfait de son éducation en soumission.

La vendeuse griffonne son nom, son adresse et son numéro de téléphone sur un papier avant de me le remettre. Alice secoue la tête comme si elle est prête à pleurer. Quand je la tire vers la zone du magasin où se trouvent les chaussures, elle se fige en voyant à quel point elle va être exposée à travers la vitrine pour les personnes se promenant dans la galerie commerciale. Je lui mets alors une claque sur le cul en disant :

- Salope, ce n’est que le début de ton entraînement. Si tu préfères, je peux te faire retirer totalement tes vêtements avant de te faire essayer les chaussures. C’est ce que tu veux salope ?

- Monsieur, s’il vous plaît ? Tout le monde va voir mon sexe et ma poitrine. Avec ces vêtements c’est comme si je suis nue. S’il vous plaît Monsieur non !

- Bon ben écoute ! Nous pouvons tout simplement arrêter tout ça et alors je diffuserai les photos. C’est ton choix ?

Alice secoue la tête. Elle espère toujours garder son emploi et sa réputation. Elle suit lentement la vendeuse jusqu’aux chaussures et elle s’assoit en attendant. La seule chaise fait face à la vitrine et à en juger par ceux qui se promènent et qui prennent le temps de jeter un coup d’œil, je pense que la rumeur va vite se répandre qu’il y a quelque chose à voir dans ce magasin. Entre temps, notre vendeuse a apporté des chaussures à essayer. Elle s’agenouille devant Alice et bloque pour le moment la vue depuis la galerie commerçante.

Tandis qu’Alice essaie des chaussures avec des talons de dix à quinze centimètres, je vois que la vendeuse en profite pour toucher sa chatte. Sans surprise, ma voisine se plaint et je vois les doigts de la vendeuse complètement mouillés quand elle les retire. En fin de compte, nous choisissons une paire de chaussures rouges avec des talons de quinze centimètres pour compléter la tenue d’Alice. Je paie les achats et nous quittons le magasin. Je fais le tour complet du centre commercial avec Alice avant d’entrer dans une animalerie qui se trouve en fait juste en face du magasin de vêtements. Je peux voir dans la vitrine qu’un certain nombre de jeunes hommes et quelques filles nous ont suivis, fixant les fesses qui sortent sous l’ourlet de la jupe de ma voisine.

Dans le magasin pour animaux de compagnie, je mène Alice directement dans la zone où se trouvent les colliers et laisses de chien. Je lui en fais essayer quelques-uns. Je lui demande de les attacher autour de son cou afin que je puisse voir ce que j’aime. Finalement, je choisis un collier en cuir assez large avec sa laisse assortie. Après avoir payé ces deux articles, le vendeur veut les mettre dans un sac, mais je l’arrête.

- Ma salope va porter son nouveau collier, pas besoin de le mettre dans un sac, il suffit d’enlever les étiquettes.

L’employé a l’air surpris, d’autant plus qu’il lorgnait les seins et les fesses presque nus d’Alice alors que je lui tendais le collier et la laisse. Quand j’attache le tout au cou de ma voisine, elle me regarde avec froideur. Elle ne s’oppose pas à ce que je fais, mais je vois bien qu’elle est mortifiée à l’idée d’être vue conduite en laisse pour sortir du centre commercial. Je la tire jusqu’à ma voiture, mais avant d’ouvrir la porte, j’interpelle un jeune homme noir qui nous a suivis.

- Tu veux un peu de ma salope ? Dis-je.

Il est surpris, mais il hoche la tête et s’approche.

- Elle n’est pas très habile et son entraînement n’est pas terminé, mais serais-tu content si elle te faisait une fellation ?

Le jeune black acquiesce tandis qu’Alice me regarde et me supplie des yeux. Mais v oyant que je n’ai pas l’intention de changer d’avis, elle se met à genoux dans le parking. Le garçon baisse sa braguette et sort une grosse bite qu’il présente devant son visage. Je tire sur la laisse et Alice ouvre la bouche et lèche doucement la bite maintenant bien dure. Je dis au noir :

- Attrape ses cheveux et tire-là vers toi. Je veux que tu mettes ta grosse queue aussi loin que tu peux en elle. Je veux que tu baises sa bouche, que tu l’étouffes.

Il tend la main et saisit une poignée de cheveux blonds et tout en poussant ses hanches en avant, il tire sa tête vers lui. Il enfonce sa bite profondément en elle. J’entends Alice gargouiller et s’étouffer alors que la queue bloque sa gorge. Puis le jeune homme se retire et Alice a des hauts le cœur tout en crachant une énorme quantité de salive. Il ne lui laisse pas le temps de se reposer et il force une nouvelle fois son membre dans sa gorge. Et ça continue encore et encore alors que ma voisine tousse et crache de la bile. Je suis content, car le jeune black prend son temps avant de jouir. Et quand il le fait, il se retire sans sortir complètement pour l’obliger à avaler son foutre.

J’ordonne à Alice de bien lécher sa bite pour la nettoyer afin de remercier l’homme de lui avoir mis sa queue dans sa bouche. Puis je tire sur la laisse pour la remettre debout et je pose ma main sur sa chatte. Je pousse deux doigts à l’intérieur et je les ressors humides et gluants. Je les montre au jeune :

Je voulais que tu voies à quel point ma petite salope est heureuse. Tu vois comme elle mouille cette petite pute ?

Je dis à Alice de monter dans la voiture et nous partons en laissant le jeune gars souriant regarder nous éloigner. C’est un bon début de journée, mais il reste encore beaucoup de temps. Je me dirige en ville à la recherche d’un bon endroit. Je remonte des rues dans les mauvais quartiers et je m’arrête devant un bar miteux qui ne doit attirer que des personnes défavorisées. Il doit servir de la bière bon marché et ne doit pas être très propre. C’est parfait. 

Je dois vraiment tirer sur la laisse d’Alice quand elle voit où je l’emmène.

- Oh mon Dieu non, S’il vous plaît non. Je ferais n’importe quoi, mais pas ici Monsieur ! S’il vous plaît !

Je tire plus fort. Je vois un banc dans la rue et je la tire vers lui avec force. Je m’assois et je la couche rapidement sur mes genoux. Sa jupe courte ne couvre plus son cul et je commence à la fesser en public dans la rue.

- Tu es ma salope ! Tu dois apprendre à ne pas parler à moins que je te donne la permission.

Je continue à claquer son cul tout en parlant. Elle gémit de plus en plus fort alors que la peau de son derrière devient rouge écarlate.

- Avec moi, tu n’as plus le droit de vivre ta vie comme tu le veux. Je vais faire le nécessaire pour que tu apprennes que tu es maintenant ma soumise. Compris salope ?

Je lui donne quelques claques supplémentaires alors qu’elle marmonne son accord en hochant la tête. Je me rends compte qu’elle commence à souffrir et ça me satisfait. Je me lève en la laissant tomber sur le trottoir.

- Maintenant, tu vas marcher à quatre pattes comme un chien à côté de moi. Et je ne veux plus de plaintes.

Je la conduis dans le bar. L’intérieur pue la bière et la pisse rance. Les quelques clients de l’endroit boivent de la bière pas très fraîche dans des verres pas très propres. Personne ne nous regarde quand nous entrons. Je tire Alice jusqu’au bar et je m’assois sur un tabouret en la faisant s’agenouiller à mes pieds. Je commande un verre et j’annonce alors que j’ai une salope avec moi qui doit être baisée. Je demande si quelqu’un veut.

Un vieil homme dans un coin se lève et vient vers moi. Il baisse les yeux sur ma voisine, puis me regarde. Il sourit et dit :

- Je n’ai jamais vu un cul aussi beau de ma vie. J’aimerais baiser cette garce. Mais ça serait mieux si je le faisais dans les toilettes. Je ne crois pas que le patron veuille que l’on salisse cette pièce plus qu’elle ne l’est.

Il fait un signe de tête au barman en disant cela. L’homme hoche la tête et désigne les toilettes. Je remets au vieil homme la laisse et je lui dis que je le suivrais dans un instant, car je veux profiter de mon verre avant.

Il tire Alice qui rampe à quatre pattes derrière lui. Une fois qu’ils sont entrés dans ce que je pense être des toilettes puantes, je parle de nouveau à tous les clients.

- Je vais laisser au barman 100 euros pour couvrir toutes vos boissons d’aujourd’hui si vous abusez de ma salope d’une manière ou d’une autre. Vous pouvez baiser sa chatte, l’enculer, vous faire sucer ou lui pisser dessus si vous le souhaitez. Elle a besoin d’apprendre la discipline.

Sur ce, je remets l’argent au barman et je me rends aux toilettes. J’entends les clients se lever derrière moi alors que j’ouvre la porte. Le vieil homme baise Alice par-derrière. Elle est toujours à quatre pattes. Je trouve un endroit à l’écart et je regarde le reste des clients entrer. Un homme s’approche d’Alice et présente sa queue flasque à ses lèvres. Elle ouvre la bouche et enfourne la bite puante puis elle essaie de faire de son mieux pour la faire bander.

Le vieil homme grogne et éjacule alors qu’il est encore dans sa chatte. Il se retire une fois terminé et il est rapidement remplacé par un autre homme plus âgé. Lui aussi enfonce sa queue dans la chatte maintenant humide et collante et il commence à la baiser rudement.

Manifestement, Alice semble apprécier cette invasion alors qu’elle commence à grogner et gémit autour du membre dans sa bouche. Je vois ses joues gonfler et un peu de liquide séminal blanc s’échapper des coins de sa bouche. L’homme vient de jouir dans sa bouche. Après s’être retiré, il reste devant elle et en tenant sa queue dans sa main, il commence à lui uriner au visage. Alice secoue la tête pour échapper au jet, mais elle ne peut empêcher la pisse de couvrir son visage.

Il ne faut pas longtemps pour que tous les hommes aient utilisé Alice d’une manière ou d’une autre. Elle est toujours à quatre pattes dans les toilettes lorsque le barman vient en dernier. Il dit aux gars qu’il vient de remplir tous leurs verres et qu’il les rejoindra plus tard. Puis il ouvre son pantalon et sort son sexe qui durcit rapidement. Il se met à genoux derrière Alice et écarte ses fesses avec ses mains. Quand il aligne sa bite maintenant bien dure sur son trou du cul, je l’entends gémir.

Le barman ne dit rien en enfonçant d’un coup sec sa queue dans son cul. Alice crie de douleur, mais ne bouge pas alors que l’homme commence des va-et vient dans son cul. Puis il accélère et la sodomise violemment. Alice gémit de plus en plus fort.

Quand il jouit, ma voisine fait de même. Puis il tire sa bite de son cul et se place devant elle. Elle se détourne du sexe sale, mais il attrape ses cheveux et tire sa tête pour qu’elle lui fasse face. Enfin il pousse son membre contre ses lèvres.

- Nettoie ma bite, salope !

Lentement, Alice ouvre la bouche te tend la main pour nettoyer la queue qui vient de sortir de son cul. Elle lèche le sperme et nettoie rapidement le sexe de l’homme. Une fois terminé, l’homme me serre la main en me disant de revenir quand je voulais.

Je prends la laisse et tire Alice. Nous traversons le bar et nous rejoignons ma voiture. Je pense qu’elle en a assez pour aujourd’hui, alors je la ramène chez elle. Quand elle est sortie de la voiture, je lui dis :

- Même heure samedi prochain, sois prête salope !

Les yeux vides, elle me regarde et hoche la tête. Puis, le corps couvert de pisse et de sperme, elle rentre chez elle.

FIN

dimanche 23 mai 2021

Un fils indigne Ch. 03

Texte de Géronimo (Elko)

Le maitre de ma mère.

Salut a tous! C'est Gabriel. Vous vous souvenez de moi ? Je vous ai raconté dernièrement comment j'ai découvert par le plus grand des hasards que ma mère était une salope. J'ai mis Christophe mon meilleur ami dans la confidence et nous avons abusé tous deux de ma mère. Elle m'a avoué après que je l'ai interrogée qu'elle était sous l'emprise du Diable. intrigué, vous l'imaginez bien, j'ai décidé de la suivre dans tous ses déplacements. Isabelle, ma mère, a tenté de reprendre le contrôle de la situation. Nous avons eu une grande discussion où elle m'a demandé de ne pas continuer. Que c'était une folie. Et si ton père apprenait m'a t'elle dit. Elle paraissait vraiment embarrassée et je n'ai pas insisté. Je suis de plus en plus excité quand je la regarde. Je l'observe plus ou moins discrètement toute la journée. Je lui impose de faire le ménage uniquement vêtu d'un tablier blanc et de mules à talons. Plus sexy que ces horribles pantoufles qu'elle a du jeter. Je m'adresse à vous Messieurs, avez-vous déjà demandé à votre épouse de faire le ménage déguisée en soubrette sexy ? Je vous le conseille, c'est très excitant ! Elle s'apprête à sortir. Aujourd'hui, elle est habillée d'une courte jupe blanche avec un haut noir. l fait très beau et elle n'a pas mis de bas. Ce qui m'ennuie un peu, j'aime quand elle met des collants ou des bas. Elle a enfilé des sandales à hauts talons.

-Ou vas-tu? Lui demandai-je.

Elle rougit légèrement.

- Je vais à la réunion de mon association.

Ma mère appartient à une association caritative qui s'occupe des défavorisés et des jeunes en difficultés, beaucoup de bourgeoises comme elle travaillent bénévolement par cette association très connue dans le quartier. Elle sort et je m'empresse d'enfiler mes baskets pour la suivre.

Son cul moulée par la jupe ondule, ses talons claquent sur le trottoir. Suivre ma mère est un vrai plaisir pour les yeux. Plusieurs hommes et des jeunes hommes voir des adolescents la matent sans aucune honte. C'est vrai qu'elle est bien roulée ma mère. Grande, fine, de belles jambes, elle ne fait pas ses 44 ans. Elle rentre dans un local située à la sortie du centre-ville et je m'arrête devant. Sur la devanture, une inscription : LE REFUGE DE LA MISERICORDE. J'hésite une fraction de seconde et j'entre à mon tour en prenant soin de ne pas faire de bruit. Il n'y a personne dans la pièce qui semble être un mélange de salle d'attente et d'accueil. J'entends une discussion étouffée dans la pièce voisine et j'entrouvre discrètement la porte.

La grande pièce ressemble à un débarras. Ou plutôt, devrais-je dire à la caverne d'Ali Baba ! Il y a de tout ! Des fringues, des meubles, des denrées non périssables, un grand lit même au fond de la pièce. Surement une réserve ou l'association entasse tout ce qu'ils pourront donner aux plus démunis. Je découvre ma mère agenouillée devant le type que j'avais aperçu dans la boite échangiste. Il est bedonnant, les cheveux blancs, il doit avoir la soixantaine. Il a sorti son sexe qui palpite devant les lèvres pulpeuses de ma maman. Elle ouvre à peine la bouche qu'il y engouffre sa bite et maman pousse un gémissement étouffé. Sa jupe est retroussée et on aperçoit sa fente. Elle n'avait pas mis de string pour aller rendre visite à ce gros pervers. Il appuie sur la tête de ma mère pour s'enfoncer encore plus loin. Sa queue coulisse entre les lèvres rouges de maman. Il rentre et sort avec régularité en soufflant et en bafouillant des injures a l'encontre de ma mère.

- Quelle petite pute tu fais ! T'es vraiment une chienne.

Ma mère s'applique à sucer cet homme qui l'avilie complètement. Les bruits de succions emplissent la salle. Je sens mon sexe durcir dans mon pantalon comme à chaque fois que je suis le témoin de la soumission de ma mère.

L'homme releva ma mère et lui ordonna d'enlever son haut. Elle s'exécuta, les yeux baissés, découvrant sa poitrine mis en valeur par un magnifique soutien-gorge qui laisse apparaitre la pointe de ses seins ! Maman a vraiment de la lingerie de pute ! Je suis étonnée de la voir attifée de cette manière. Elle, la bonne épouse, la femme respectable. Si papa savait ça.

Il triture les nichons de maman qui pousse un gémissement. Il lui malaxe les mamelons, lui tire la pointe des seins et elle pousse un cri de douleur. Il la retourne et lui claque les fesses.

- Qui suis-je pour toi ? lui lance-t-il d'une voix forte.

- Vous... Vous êtes... Philippe... mon amant, marmonne ma mère d'une voix misérable.

Nouvelle claque sur les fesses. Son derrière devient rouge.

- Et vous êtes mon maitre a qui je dois obéir aveuglement.

- Qui t'as ordonné cela ? crie l'amant ou le maitre, du coup je ne sais plus.

- Mon... Mon... Mari...

C'est comme si je recevais un coup de poignard en plein cour ! Mon père est au courant ! Et c'est lui qui a livré ma mère à ce pervers ? Mais pourquoi ? Encore un mystère qu'il me faudra éclaircir. Décidément ! Je découvre de biens étranges secrets de famille.

Maitre Philippe, puisque qu'il semble que ce soit son nom, courbe ma mère sur une table basse, jupe troussée, dévoilant son cul rougie et lui ordonne de rester dans cette position. Il revient avec un gode rose qu'il tend à ma mère. Celle-ci s'en empare et commence à le sucer comme s'il s'agissait d'une bite. Ses lèvres vont et viennent autour de la queue factice de latex. Philippe lui prend le gode et le fait coulisser rapidement avec une lueur salace dans le regard. Maman doit s'appliquer à sucer la fausse bite. Elle salive dessus. De la bave coule sur son menton. Il fait le tour de la table et enfonce brutalement le gode dans la chatte baveuse de maman. Il fait de nouveau coulisser le gode rapidement. Très vite, j'entends maman qui couine et je la vois qui ondule du cul. Elle pousse un gémissement. Elle halète.

- Oui... Oui... Maitre. Allez y.

- Ou est ton mari en ce moment? 

- A l'étranger comme toujours, il n'est que rarement à la maison, gémit ma mère en soufflant.

- Et c'est bien pour ca qu'il t'a confié à moi ! Il ne te fait pas confiance ! Il te connaît trop ! Tu es une vraie chienne en chaleur.

- OUIIIII, crie ma mère en ayant un orgasme foudroyant.

Philippe retira le gode ordonnant à maman de le nettoyer. Elle donna de grands coups de langue, léchant sa propre cyprine. Il la releva la tenant par les cheveux et la poussa vers un grand lit à baldaquin. Elle se retrouva à genoux dessus, la croupe cambrée et Philippe lui ordonna de rester dans cette position. Philippe enfonça son index et son majeur dans la chatte de maman.

- T'es trempée. t'es vraiment une salope.

Nouveau gémissement de maman. Je sors ma bite et commence à me branler.

Le maître de maman sortit de la pièce et revint très vite avec des cordelettes avec lesquelles il lia les poignets et les chevilles de maman aux quatre colonnes du lit. De cette façon, maman était à la merci de son maître. Elle commença a le supplier d'arrêter, qu'elle n'aimais pas être attachée mais Philippe lui enfonça une culotte roulée en boule dans la bouche et ses supplications se terminèrent en gémissements. Il l'humilia encore plus en lui avouant que la culotte était sale, qu'elle avait été portée pendant une semaine par une autre salope comme elle. Intéressant ! Il avait donc plusieurs soumises ce brave homme ?

Philippe empoigna son sexe et s'enfonça dans le con d'Isabelle. Il donna un violent coup de rein et s'enfonça de toute sa longueur. La labourant avec violence. Je me branle comme un forcené, je vais m'arracher la bite si ca continue.je pousse des gémissements mais ils sont couverts par ceux de maman qui hurle presque à chaque aller-retour de Philippe. Son gros ventre claque contre les fesses de maman. Il transpire à grosses gouttes. Il s'active sur ma mère en l'insultant et en la traitant de grosse chienne, de salope. Il sortit et força l'anus de ma mère qui poussa un hurlement étouffé par le bâillon improvisé. Il s'enfonça avec violence dans son cul. Les mains agrippés à ses hanches, il lança en avant son gros ventre. Violant ses reins, Philippe s'enfonçait dans sa croupe. Ma mère gémissait sans discontinuer. Il se retira d'un coup causant une nouvelle douleur à ma mère et fit le tour du lit se mettant devant son visage ravagé. Des larmes coulent sur ses joues et j'ai un sentiment de honte qui m'envahit. Soudain, Philippe se branla au dessus du visage de ma mère, qui les yeux exorbités, tout rouges, fixe la bite de Philippe. Il lâcha une trainée de foutre qui alla s'écraser sur le front de maman et commença à couler sur son nez. Un autre jet plus puissant alla s'écraser sur son menton. J'éjaculai au même moment. Le sperme jaillit allant s'écraser sur le sol.

Philippe libera ma mère et lui ôta le bâillon. Il lui tendit un mouchoir pour qu'elle essuie ses larmes et le sperme. Elle le remercia d'un sourire. Elle se rhabilla, redevenant une bourgeoise respectable.

Philippe tendit sa main et maman la baisa ! Je fus quand même stupéfait d'être le témoin de cet avilissement extraordinaire ! Ma mère était vraiment devenue l'esclave soumise de cet homme et mon père le savait. Pire, il avait ordonné à ma mère de le devenir ! Mais Pourquoi 

Ma mère sortit et des que j'en eu l'occasion, je la suivis toujours sans avoir été repéré par Philippe. Je venais de prendre une décision ! J'allais demander de sérieuses explications à ma mère et à mon père des qu'il rentrerait !

A suivre...

vendredi 21 mai 2021

El Emperador (partie 2)

  Bande dessinée érotique de Máximo Carvajal.

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mercredi 19 mai 2021

18 Maîtres Ch. 10

Traduction d'un texte de Penitr8me.

Contrôle à l'aéroport.

Après m'avoir réveillée ce vendredi matin, Maître Chris m'indique que je n'irai pas au travail ce jour-là. Il m'annonce que je vais partir en voyage avec lui, Maître Josh et Maître Tom. Ça me fait bizarre de ne plus pouvoir contrôler ma vie, de pouvoir être emmenée loin de chez moi et de mon travail sur un coup de tête. C'est étrange aussi de ne plus avoir rien à faire, Maître Chris me dit que mes bagages sont déjà préparés avec tout ce que j'ai besoin.

- Tu n'as pas besoin de vêtements où nous t'emmenons. Sourit Maître Chris.

Je veux demander où on va. Et je pense qu'il s'attend à ce que je le demande. Mais comme une bonne esclave, je tiens ma langue. Je découvrirai le lieu quand il sera le moment de le découvrir.

Il me penche sur le lit et enfonce un plug en acier inoxydable dans mon cul. Puis il glisse deux grosses boules de Geisha dans ma chatte.

- Si tu les laisses tomber, tu seras punie!

J'ai l'habitude d'être emmenée au travail avec ça et je n'ai jamais rien laissé tomber donc je ne suis pas trop inquiète. Et puis le plug est gros et retient bien les grosses boules.

Mon Maître utilise une pompe sur mes tétons, pour étirer chaque mamelon et y glisser autour un petit anneau qui les tient érigés. Quand j'enfile ma robe, mes seins pointent contre le tissu pâle et fin. Comme d'habitude je n'ai pas de culotte, mais c'est assez inhabituel qu'ils ne me laissent pas prendre de soutien-gorge, car ma poitrine est assez grosse. Je porte une robe d'été qui n'est pas trop adaptée pour cette saison et ce mois d'avril. Les lanières de cette robe aident à soutenir mes seins lorsque qu'elles sont attachées derrière mon cou. Des sandales complètent mon look « prête pour l'été ».

Et juste avec cette tenue, je sors de l'appartement avec Maître Chris. Je n'ai aucune idée où nous allons et pour combien de temps. Dans l'ascenseur, au lieu de me faire relever ma robe, il me pousse à genoux et me demande de le sucer. Personne ne prend l'ascenseur avec nous. En bas, une voiture et un chauffeur nous attendent. Je suppose que les bagages sont déjà chargés parce que je ne les vois pas jusqu'à notre arrivée à l'aéroport. Je n'ai pas réalisé que nous allions à l'aéroport car Maître Chris m'a demandé que je le suce tout le chemin pendant qu'il regardait son téléphone. Quand la voiture s'arrête, il demande au chauffeur de patienter une minute, puis il gicle au plus profond de ma gorge avant de me lâcher.

L'aéroport, mon Dieu! Les seules choses qui passent dans ma tête sont la vision des objets en acier qui me farcissent. Je peux voir mon Maître regarder mon visage pendant que je réalise. Je vois qu'il me regarde lutter pour ne rien demander. Je suis déterminée à ne rien dire. Mais je redoute le passage à la sécurité de l'aéroport et j'ai raison de le faire.

Comme nous voyageons en première classe, la file d'attente est courte. Je mets le petit bagage que l'on m'a donné à la sortie de la voiture sur le convoyeur. Je suis nerveuse car je n'ai aucune idée de ce qu'il contient. Ensuite, on me demande de traverser le scanner après mon Maître. Je le fais sans hésitation, mais je me demande à quoi je ressemble sur l'écran avec ma chatte et mon cul farcis d'acier. Je ne suis pas surprise quand l'homme qui travaille sur le scanner me tire sur le côté pour un examen complémentaire. Impuissante, je regarde mon Maître. Il ne fait que sourire.

Un homme sur la quarantaine, et vêtu d'un uniforme de la sécurité de l'aéroport s'approche et me prend par le coude.

- Ne t'inquiète pas Mike, je m'en occupe. Vous voyagez avec cette femme Monsieur?

- Oui c'est ça! Répond Maître Chris.

- Bien, venez avec nous s'il vous plaît. Javier? Prends leurs bagages et rejoins-nous s'il te plaît.

Un homme à la peau sombre et des cheveux noirs et courts prend nos valises et nous suit dans un couloir. L'homme de la sécurité tient toujours mon coude bien serré.

Il me conduit dans une pièce avec un bureau et deux chaises. Il y a un paravent dans un coin, comme chez le médecin pour pouvoir se changer rapidement. Il y a aussi un lavabo avec un distributeur de serviettes en papier. L'homme de la sécurité fait signe à mon Maître de s'asseoir pendant qu'il prend la chaise derrière le bureau. Je suis debout à côté de mon Maître pendant que Javier dépose nos bagages dans un coin.

- S'il te plaît Javier, va chercher Suki et Max! Demande le garde de sécurité.

Javier sort de la pièce. Je me tiens là, complétement effrayée. Je déteste avoir des ennuis. Maître Chris le sait. Il ne veut pas croiser mon regard et il sourit. Pendant ce temps, l'homme me détaille de la tête aux pieds. Il me déshabille carrément du regard. Et il semble fasciné par mes tétons qui pointent sous la robe.

La porte s'ouvre et une jeune fille blonde d'une vingtaine d'années entre accompagné d'un homme plus âgé, entre 45 et 50 ans je dirais. Le premier homme dit alors :

- Très bien, nous allons pouvoir commencer. Mademoiselle, s'il vous plaît, tenez vous bras et jambes écartés.

Je regarde mon Maître.

- Fais ce qu'il te dit! Dit-il avec sa voix autoritaire.

Je me mets dans la position voulue. Après tous ces mois, je suis habituée à toutes ces positions de soumission. L'homme de la sécurité se lève lentement et s'approche de moi. Il s'arrête à côté de mon épaule et me regarde de haut en bas. Il bouge derrière moi, mais si près que je peux sentir son souffle sur ma peau. Quand je sens sa main sur mon cul je me détends car je comprends que ce n'est que le début. Il soulève ma robe et je sens ses doigts caresser l'extrémité du plug.

- Mmmmm... Dit-il doucement.

Il bouge ses doigts jusqu'à ma chatte et en introduit deux profondément jusqu'au moment où il sent les boules bouger.

- Mmmm... Dit-il encore.

Il passe devant moi. Je détourne les yeux, en signe de soumission car je sais que mon Maître le veut. Mais l'homme pose son doigt humide sur mon menton et relève ma tête jusqu'à ce que je le regarde dans les yeux.

- A poil! Ordonne-t-il.

Comme mon Maître m'a ordonné de faire ce que dit cet homme, immédiatement, je détache le haut de ma robe et je la descends sur le sol. Je me retrouve complètement nue à l'exception des sandales.

- Et bien, regardez ça! Dit-il en touchant mes tétons enserrés dans des bagues.

Ils sont sensibles. Je dois respirer fort pour ne pas gémir. L'homme rit et attrape mes seins à pleines mains.

- Penche toi sur le bureau!

Il laisse ma poitrine. Je fais un pas et je me penche en écartant bien les jambes. Je sens sa main qui saisit le plug et qui l'arrache violemment. C'est douloureux mais je réussis à ne pas pleurer. Sans le plug anal, il est plus facile pour son doigt d'atteindre et de sortir les boules de ma chatte une par une. Je le vois mettre ces objets sur le bureau mais je ne tourne pas trop la tête pour qu'on le voit.

J'entends que l'on déchire un emballage, je devine qu'il s'agit d'un préservatif. Bientôt je sens une bite pénétrer ma chatte et commencer à me limer. L'homme tient fermement ma tête sur le bureau. Je l'entends soupirer de plaisir pendant qu'il me baise. Dans les minutes qui suivent, j'entends que l'on déchire un autre emballage de préservatif. Puis je sens une autre bite me pénétrer. Je vois l'homme de la sécurité contourner le bureau et regarder mon visage pendant que je me fais baiser. Il caresse sa bite encore enveloppée du préservatif.

L'homme derrière moi me pilonne encore quelques secondes avant que l'officier m'ordonne de me tourner et de m'allonger sur le bureau. La jeune blonde, Suki, écarte mes cuisses et commence à me lécher et me mordiller. Je prends une grande respiration et j'essaie de rester silencieuse. La fille introduit trois doigts dans mon vagin alors que sa langue titille mon clitoris. Je sens un orgasme se former en moi. Mes hanches bougent toutes seules.

- Tu peux jouir si tu veux esclave!

Merci mon Dieu, mon Maître me permet de me libérer. Je sens la chaleur s'accumuler dans mon clitoris avant de se répandre dans mon corps et faire trembler mes cuisses dans les mains de la blonde. Je gémis un peu sous la force de l'orgasme.

- Ah ouais! C'est vraiment une salope n'est-ce pas?

Je ne peux dire qui a parlé mais ce n'est pas l'homme de la sécurité.

Suki m'ordonne de me lever. Je reste debout, mon jus coulant le long de ma jambe, pendant qu'elle baisse son pantalon et s'assoit sur le bureau. Elle me montre sa chatte. Obéissante, je glisse ma langue dans sa chatte très humide. Je dois me pencher légèrement pour mettre mon visage entre ses cuisses et au bout de quelques secondes je sens les gars en profiter pour une deuxième tour. L'un après l'autre, ils me baisent pendant que je broute Suki. Ils s'enfoncent en moi si brutalement que j'ai peur de mordre la jeune blonde. Cependant, je ne pense pas qu'elle s'en serait préoccupée. Parfois les hommes tirent sur mes seins ou les tordent.

Bientôt j'entends un gars jouir et je le sens se raidir. Puis il sort sa bite. J'entends le préservatif utilisé heurter le revêtement plastique de la poubelle.

- C'était rapide.

Je crois que c'est Javier qui parlait au plus vieux, Max.

- Je ne suis pas en forme ces jours-ci, je suis un peu fatigué. Répond une voix un peu penaude.

- Passons à la meilleure partie! Dis le gars de la sécurité.

J'entends le bruit d'un gant en caoutchouc qu'on enfile ainsi que le son incomparable de lubrifiant sortant d'un tube. Puis je sens un doigt froid et gluant pénétrer mon trou du cul. Après des mois de sodomie, il n'est plus aussi serré alors le doigt entre facilement. L'homme sonde profondément, je suis contente que ma routine matinale comprenne un lavement anal.

- Impeccable, elle est propre.

Je ne sais pas s'il veut dire que je suis bien lavé ou que je ne transporte pas de drogue mais je suppose que ça n'a pas d'importance. Je le sens positionner sa bite et il l'enfonce si fort que ses couilles frappent mon cul. Encore une fois, comme j'ai l'habitude d'être enculée et qu'il utilise suffisamment de lubrifiant, je n'ai pas mal. Il me donne des coups de reins encore et encore, pendant cinq minutes environ jusqu'au moment où je sens qu'il se libère dans mon cul. Il gémit de plaisir puis sort.

Je ne bouge pas et je sens Javier qui prend son tour pour me sodomiser. Il me lime pendant quelques minutes puis il se retire, m'attrape par les cheveux pour me forcer à me mettre à genoux. Maître Chris me tend un nouveau préservatif. J'enlève celui qui se trouve sur la bite dressée de Javier et je le remplace par celui qu'on vient de me donner. Puis je prends la queue dans ma bouche. L'homme me tient toujours par une touffe de cheveux alors il tire ma tête sur sa bite, m'étouffant. Puis il me relâche pour que je puisse le sucer. Il ne tient pas longtemps avec le travail de ma langue. Je suis devenue experte en fellation. Son sperme est récolté par le préservatif donc je n'ai pas à l'avaler. Mais après l'avoir enlevé, il met son doigt dedans pour recueillir un peu de foutre qu'il étale sur chacun de mes seins.

- Garde le toute la journée salope!

Les autres rigolent. Je reste agenouillée, mon regard sur le sol devant moi. J'entends les hommes refermer leur braguette, la porte s'ouvrir et la pièce se vider.

- Merci Chris, c'était génial!

- Pas de problème Bruce, c'est quand tu veux! Répond Maître Chris.

- Vraiment? Demande l'homme.

- Bien sûr, tu peux venir la baiser quand tu veux lorsque nous serons revenus.

- C'était amusant, j'ai toujours voulu faire ça à un gros cul qui déclenche le scanner. Mais j'oubliais, est-ce que je peux encore faire une chose?

Je l'entends s'approcher et je vois ses pieds près de moi.

- Bien sûr, nous avons encore quelques minutes avant l'embarquement.

Bruce me tourne de l'autre côté et appuie sur ma tête pour que je lève mon cul en l'air. J'entends de nouveau le lubrifiant et je sens quelque chose de froid et dur introduit dans ma chatte.

- Prends ça dans ta chatte salope!

Je ne peux voir ce que c'est mais c'est épais et lisse. Après avoir pilonné ma chatte avec, il retire l'objet, y applique plus de lubrifiant et le pousse contre mon anus. C'est trop épais, sans bout effilé, ça me fait mal quand ça me pénètre. Je réussis quand même à ne pas crier.

- Très bien, je me suis toujours demandé ce que ça serait de fourrer mon bâton dans un cul, maintenant je sais.

- C'est bon?

- Ouais c'est super. Merci bien.

Il sort son bâton et me le fait lécher. Puis il me laisse là, nue, agenouillée, mon visage sur le sol et le cul à l'air. J'entends Maître Chris baisser sa braguette et je l'entends grogner pendant qu'il se masturbe. Enfin je sens son sperme tomber sur mon cul.

Il se penche et frotte le foutre sur mon dos. Puis il en étale sur mes seins. Il se lève et je l'entends se laver les mains au lavabo pendant que je ne bouge pas. Il me laisse là un bon moment pour que le sperme sèche sur moi.

- Tu le porteras toute la journée esclave! Dit-il en souriant.

- Oui Maître.

Finalement je sens ses doigts sur mes fesses. Il remet le plug dans mon cul et les boules dans ma chatte. Puis il me laisse remettre ma robe.

Il ramasse nos valises et me ramène dans le couloir où Javier nous attend pour nous escorter jusqu'au terminal principal.

A suivre...