jeudi 13 mai 2021

J'appartiens à Snake désormais Ch. 02

  Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.

L'asservissement de notre héroïne se poursuit.

J'étais heureuse d'être enfin sortie de cette maison où j'avais pensé être relativement en sécurité, je ne savais pas ce qu'avait programmé Snake et j'étais légèrement inquiète. On partit en moto, je dus m'asseoir derrière lui, sur un siège minimum.

Je n'avais jamais fait de moto auparavant, j'étais terrifiée. Mon siège était en porte à faux sur les feux arrière. Il n'y avait pas de dosseret, rien qui pouvait m'empêcher de glisser en arrière. Il me montra comment caler mes pieds et m'ordonna d'agripper sa taille et me prévint que je ne devais en aucun cas lâcher sa taille, pas même une seconde. Si je le lâchais, il arrêterait sa machine et me collerait une bonne fessée à cul nu quel que soit l'endroit où l'on se trouva. Je lui dis que j'avais bien compris.

En fait dès le démarrage de la moto je démontrai que je m'étais pas montrée aussi attentive que cela ! 
Il démarra, le son de l'échappement était dément, il était si brutal que cela ma déchirait les tympans. Il accéléra encore, la moto se cambra, la roue avant quitta le sol et il s'engagea sur la chaussée. Je faillis glisser de mon siège sur la route.

Comme on dévalait la contre allée menant à la voie principale je remarquais que ma jupe se relevait, je lui dis qu'il fallait que je la glisse sous mes fesses afin que le vent cesse de s'engouffrer en dessous, il me rétorqua que c'était trop tard maintenant.

Ce n'était pas si mal au début, jusqu'au moment où il quitta la voie principale sur la quelle la vitesse était limitée à 60 km heure. Soudain ma jupe roula sur mes hanches exposant mon bas ventre alors que l'on traversait le carrefour à l'entrée de la ville. Je lui criai que nous allions nous faire arrêter mais il répliqua que cela ne le tracassait pas, que lui avait son pantalon en bonne place.

Je commençai par jeter un coup d'œil circulaire histoire de savoir qui pouvait me voir, il y avait pas mal de monde, et plus spécialement les conducteurs de camion qui devaient bénéficier d'un magnifique point de vue. 

Lorsque nous arrivâmes au premier feu, je pensais que ma jupe allait se remettre en place, mais ce ne fut pas le cas. Les cotés retombèrent bien sur mes cuisses mais l'avant restait tirebouchonné exposant la totalité de ma fourche intime. Je réalisai que je devais m'en accommoder et fermer les yeux en espérant que tout se passerait bien jusqu'au moment où nous arriverons à l'endroit où il avait décidé de m'emmener. J'essayai de plus y penser.

Finalement il s'arrêta devant une boutique qui me parut totalement invraisemblable. D'un coté du magasin se tenait un bar, apparemment un bar pour motards à voir le nombre de motos garées sur le parking. De l'autre coté s'ouvrait sur une boutique de cuir et de lingerie sexy.

Il me dit de descendre ce que je m'empressai de faire. Je dus le suivre dans la boutique de cuir. 
Lorsque nous sommes entrés, il y avait déjà une foule de motards sirotant des pichets de bière tout en plaisantant. Ils levèrent les yeux, et, reconnaissant mon maître chanteur ils le saluèrent en chœur de son surnom.

- "Salut Snake que racontes-tu ?"

C'est ainsi que j'appris comment on le surnommait.

- "Qu'est ce que c'est que cette gonzesse que tu trimbales avec toi ?"

- "Snake ! " pensai-je soudain, un surnom qui correspond particulièrement bien à ce suppôt de Satan !

Je suivis Snake alors qu'ils s'approchaient pour serrer des mains d'un groupe restreint. La plupart avaient des surnoms aussi évocateurs que le sien, le groupe était formé de quatre hommes et d'une femme. Dans leur dos je vis une porte qui donnait sur une piscine où des gens s'amusaient tout en buvant et se distrayant au son d'une musique d'ambiance. Ils discutèrent quelques minutes en m'ignorant, ce qui me souriait d'ailleurs. J'étais extrêmement consciente du danger d'être vue en compagnie de Snake, et je priai pour que personne ne me connaissant ne m'ait vue chevauchant la moto pour nous rendre à cet endroit mal famé. Mais cela ne dura pas. Il me tira devant lui et me présenta :

- "Ma nouvelle salope elle commence tout juste son l'entraînement ! Il y a juste une demi-heure elle se faisait baiser par un motard... Elle est toujours en train de récupérer !"

Mon visage s'empourpra alors que l'assistance, et même les filles éclataient de rire. L'un d'eux commenta :

- "Alors finalement t'as trouvé chaussure à ton pied ?"

Le colosse nommé Larry, qui paraissait être le patron demanda :

- "Où t'es-tu dégotté une petite pute aussi classieuse ?"

Snake sourit et précisa:

- "Je te raconterai ça en détail plus tard... En gros, je fais chanter cette stupide connasse ! C'est la nénette la plus naïve, la plus bécasse dont j'ai jamais disposé ! Tu vas avoir du mal à le croire, mais elle n'avait jamais sucé de bite avant ce matin !"

Ils s'esclaffèrent en chœur :

- Eh ben merde alors ! C'est pas possible ! Jamais !"

Je me tenais tête baissée consciente de leur complet étonnement. Snake reprit :

- "Ouais et regardez-moi ces merdes qu'elle se fout sur le dos. Je te l'ai amenée pour acheter quelques bonnes tenues de salope. Des fringues qui la mettraient en valeur."

Larry me reluqua longuement et nous emmena Snake et moi vers les étagères. Je vis que trois hommes et plusieurs femmes nous suivaient. Nous nous arrêtâmes devant une étagère remplie de jupes courtes, elles étaient si courtes que je pensais qu'il était interdit de porter de telles nippes. Il me demanda quelle taille je portais, et lorsque je lui eus répondu, il saisit une jupe une taille en dessous et me la tendit. Il me dit alors de l'essayer. Je cherchai des yeux la cabine pour changer de tenue, Snake intervint alors :

- "Es-tu sourde ? Essaie cette jupe !"

Je soupirai sourdement et dit que je cherchais la cabine pour me changer. Snake se moqua de moi d'une voix aiguë, c'est alors que je réalisai que je devais essayer cette jupe sous les yeux des spectateurs ravis de l'aubaine.

- "Oh mon Dieu... S'il te plait Snake, ne me fait pas faire ça !"

La gifle arriva si vite que je ne la vis pas venir. Elle était si violente que mon visage tourna de 45°. J'étais trop choquée pour pousser un cri. Je le regardai avec crainte, tremblante de peur, je ne comprenais pas pourquoi il m'avait giflée si violemment. D'une voix furieuse il m'expliqua :

- "Premièrement, seuls mes amis m'appellent Snake, stupide connasse... Toi tu t'adresses à moi en m'appelant maître ou monsieur... T'as compris ?"

Les gens qui nous entouraient étaient tout sourire, et se marrait comme si c'était vraiment amusant, même les filles semblaient s'amuser de mon attitude aussi naïve. Je hochai la tête et acquiesçai servilement :

- "Oui monsieur !"

Je tremblais comme une feuille, peur et douleur mélangées, je ne voulais pas à nouveau le mettre en colère.

- "Donne-moi la jupe que tu portes ! Fous-toi à poil ce sera encore le mieux !"

J'avais bien trop peur pour tergiverser. Je retirai prestement corsage et jupe et me glissai entièrement nue sous les yeux de Snake, Larry et des autres autres spectateurs. Non, ils étaient plus de quatre maintenant, deux autres hommes avaient vu ce qui se passait et s'étaient joints à mes admirateurs. Ils se tenaient contre le mur et assistaient ravis de l'aubaine, à mon humiliation. Ils avaient tous les yeux fixés sur moi estimant d'une façon générale que je n'étais pas mal foutue.

Je dus tourner sur moi-même, tous purent voir Larry me tendre la jupe que j'enfilai. Elle descendait tout juste sous mon entrecuisse et je pense que la raie de mes fesses devait être visible bien que je me tienne droite comme un "I". Si je me penchais, bref il valait mieux que je m'abstienne de me pencher en avant. 
La jupe s'enroulait autour de la taille et se boutonnait à la ceinture, c'était la seule fermeture. Si l'on exceptait ce bouton tout le coté était grand ouvert. 

Ils me firent arpenter l'allée de bas en haut, lorsque je passais devant eux il suffisait à mes admirateurs de tendre la main pour me peloter les fesses. Je savais qu'il valait mieux que je me taise et les laisse faire.

Lorsque je rejoignis Snake et Larry, Larry tendit la main et empoigna mes nibards. Je me tins tranquille, il serrait rudement mes nichons et me dit :

- "On va voir si on peut trouver quelque chose pour couvrir tes miches."

Sur ces mots il se mit à fouiller les étagères, il dégotta un "marcel" masculin avec des emmanchures extrêmement larges. Je l'enfilai et me rendis compte que cela laissait découvert les flancs de mon torse, on voyait clairement mes nichons au travers des emmanchures.

Je remontai une nouvelle fois l'allée et, cette fois, mes admirateurs me pelotèrent les miches en passant les mains par les emmanchures de mon maillot. Même les filles en sourirent et me pelotèrent les nibards.

Larry se saisit d'un autre haut à résille, j'enlevai celui que je portais et l'essayai à son tour, mes mamelons étaient entièrement visibles, la totalité de mes miches était exposée, je me sentais plus exhibée que couverte. Cette tenue accentuait la taille de mes nichons en les mettant en évidence.

Larry et Snake empoignèrent deux autres brassières aussi provocatrices et décidèrent que j'avais besoin de deux autres jupes.

Puis Larry fit une nouvelle suggestion, il me mena vers un ensemble d'articles en cuir et il se saisit de ce qui paraissait être un harnais en cuir, il le glissa à mes bras et l'attacha dans mon dos. Il était constitué comme un soutien-gorge, mais à la place des bonnets, il y avait des trous qui encerclaient les nibards tout en les exposant sensuellement.

Ces tenues m'horrifiaient et je devais les essayer comme le ferait un modèle sous les yeux ravis d'une bande de motards hilares. 

Ils me dirent de prendre mes vieux vêtements et de les poser sur le comptoir à coté de mes nouvelles tenues. Puis ils m'emmenèrent dans un coin ou se trouvait une importante collection de chaussures et de boots pour la plupart des chaussures de pute bien entendu.

J'étais assise sur un siège, entourée de nombreux spectateurs, Larry empoigna ma cheville et posa mon pied sur la toise. Ma jupe avait remonté au-dessus de ma taille exposant mon buisson doré. Jambes en l'air, ma foufoune se trouvait offerte aux regards de l'entière assistance.

Et Larry prenait tout son temps. Il me mesura la plante des pieds et attrapa une paire de très hauts talons, il me les enfila aux pieds, s'assurant que je gardais les jambes largement écartées pendant toute la manœuvre. Il enveloppa la langue lanière de fixations autour de mes chevilles et les boucla sur mon mollet, lorsque j'eus les deux chaussures aux pieds, il me laissa les poser au sol et se recula.

Je dus me lever et marcher de long en large. J'étais si concentrée sur le fait de ne pas tomber que je n'avais pas remarqué que mes nibards étaient sortis des petits bonnets sensés les dissimuler aux regards.

Je marchai de long en large pendant une bonne minute prenant lentement de l'assurance en apprenant à marcher en bon équilibre avec ces chaussures. Je jetai un coup d'œil furtif dans un miroir et réalisai alors que mes j'exhibais mes nichons et leurs mamelons dardés, je me pressai de les remettre en place dans leurs bonnets sous les rires des spectateurs. Puis nous retournâmes au comptoir face à la caisse enregistreuse.

Tandis que Larry demandait la facture, Snake déclara qu'il me préférait en "marcel". J'enlevai mon harnais de cuir et enfilai rapidement le maillot pensant qu'il dissimulerait un peu mieux mes charmes, mais je ne tardai pas à déchanter, les emmanchures démesurées exposaient la totalité de mes nibards à qui regardait de coté. Je cherchai à ajuster ma tenue, mais Snake m'ordonna de cesser de me trémousser, je lui obéis laissant mes voisins jouir de la vue intégrale de mes miches.

Finalement la facture s'élevait à 275 $, j'avais du mal à le croire. J'espérai que cela découragerait Snake et qu'il rendrait la marchandise au vendeur, mais il me dit :

- "Paye ma chérie !"

Je le regardai désorientée, incompréhensive, je n'avais pas d'argent sur moi, je n'avais pas pris mon sac lorsque nous étions sortis. Je balbutiai :

- "Mais... Mais... Je... Je n'ai pas... Pas d'argent sur moi !"

- "Tu n'es qu'une une grosse cruche !" siffla Snake sourdement.

- "A quoi tu pensais pour faire des courses sans emmener d'argent ?"

Les spectateurs souriaient et riaient à gorges déployées, ravis d'assister à cette scène. Sauf moi bien sûr. Je ne pouvais que demeurer sans voix, désarmée. Snake me jeta un regard vicieux et il calcula rapidement.

- "Ok, voyons un peu... 275 $... Je crois que nous devrions aller au bar pour voir ce qu'on peut tirer de ton cul."

Je couinai de désespoir alors qu'il me poussait vers la porte donnant sur le bar, mais Larry l'arrêta dans son élan.

- "Hey Snake, 50 dollars pour me la faire !"

Snake se tâta quelques secondes et surenchérit :

- "75 $, et tu ne les regretteras pas, elle est quasiment vierge !"
 
- "C'est d'accord !" répliqua Larry avec un certain enthousiasme.

Snake me poussa vers Larry, je chancelai sur mes hauts talons et lui tombai dans les bras. Sous les regards concupiscents il me courba sur une table de service et se prépara à me posséder. D'une chiquenaude il releva ma courte jupe sur mes reins et commença à me doigter la chatoune.

- "Merde !" grogna-t-il alors constatant la sécheresse de mon vagin.

- "Aussi sèche que le désert de Gobi !"

Snake soupira :

- "Désolé Larry mais comme je viens de te le dire c'est une nouvelle. Elle n'a encore jamais travaillé."

Les spectateurs gloussaient alors que Larry me saisissait les cheveux me forçant à m'agenouiller au sol. Il pressa mon visage contre son pénis et l'enfourna dans ma bouche rétive.

- "T'as dix secondes pour lubrifier ma bite." grogna-t-il "C'est le temps que je te laisse avant de faire mon trou dans ta petite chatte crispée. Je n'ai pas l'intention de te faire mal, mais je ne veux pas que la sécheresse de ton vagin irrite la peau da ma bite."

Je fis de mon mieux, utilisant ma langue autant que possible, Sa bite était de taille ordinaire, j'en fus surprise eu égard à sa stature, elle paraissait petite en comparaison de sa taille gigantesque. Après s'être longuement enfoncé dans mon arrière-gorge, il se retira, me courba sur la table, retroussa ma courte jupe, écarta mes cuisses en grand et engouffra son épaisse colonne dans ma chatte. Je réalisai alors que j'étais loin d'être sèche.

Apparemment il s'était enfoncé dans ma bouche pour lubrifier sa queue, mais c'était inutile, ma foufoune était déjà inondée de cyprine, je suppose que c'est d'avoir du parader nue devant tous ces inconnus qui m'avait excité mécaniquement.

Il s'enfonça profondément en moi et se mit alors à me labourer frénétiquement, il me ramona longtemps avant qu'enfin je ne le sente éjaculer sa grasse semence au fin fond de mon utérus. J'étais bien au-delà des larmes. Je restai courbée sur la table lorsqu'il se retira de ma chatte, attendant passivement les ordres à venir.

Apparemment un autre client s'était déclaré alors que Larry utilisait ma chatte, il s'empressa de le remplacer.

Larry sortit par la porte du fond et revint rapidement avec une caisse de bières et une douzaine de motards. C'est alors que je les entendis prononcer ces termes terribles : gang bang, moi qui pensais qu'ils abuseraient de mes charmes un à un.

Je me rappelle être restée courbée sur la table alors que deux hommes me forçaient simultanément, puis je dus me mettre à quatre pattes, de cette façon embrochée sur une bite je me faisais enculer tandis qu'une bite nerveuse s'enfonçait dans mon arrière gorge et que je branlais deux derniers clients.

Je ne sais pas exactement quand, mais on me déshabilla à nouveau. Je me rappelle avoir entendu Snake qu'il était inutile de souiller mes vêtements neufs. Je ne sais pas combien de clients je dus satisfaire ce jour là, certains me prenaient puis reculaient pour jouir du spectacle que je leur offrais, d'autres partaient après m'avoir sautée.

D'autre homme et quelques couples défilaient dans le magasin ignorant que je me faisais violer à coté de la caisse enregistreuse. La femme qui était restée tout le temps de mon épreuve me prit par le bras et me dit :

- « Viens avec moi ma chérie ! Viens te laver le cul ! Tu dégoulines de foutre. »

Alors que nous nous éloignions, je me rendis compte que l'un des spectateurs avait filmé la totalité de ma performance, il tendait la caméra à Snake alors qu'on m'emmenait.

En fait c'était un véritable gâchis : le sperme de ces hommes qui m'avaient culbutée coulait à flot le long de mes jambes, des filets de semence décoraient mon menton pour ensuite couler dans mon cou. J'étais incapable de dire combien d'hommes m'avaient possédée, j'avais tenté de les compter, mais j'avais du abandonner, ils étaient trop nombreux.

Toujours entièrement nue, la femme m'emmenait vers les toilettes pour dames, des sifflets enthousiastes et des commentaires salaces saluaient ma progression. A peine la porte des toilettes fermée dans notre dos, je tombai à genoux et me mis à geindre comme une petite fille désespérée. Mon accompagnatrice me dit alors :

- « Allez chérie... reprends tes esprits..... Garde le contrôle de tes réactions... Snake ne t'amènera pas ici tous les jours... Si tu vois ce que je veux dire... »

Je ne comprenais pas ce qu'elle sous-entendait, Snake m'effrayait, finalement je réussis sécher mes larmes et me relevai. Je la regardai et lui dis :

- "Je voudrai mourir !."

Elle me sourit et répliqua :

- "Chérie, tu ne lui obéirais pas si tu voulais vraiment mourir... Snake fait de toi sa chose... Comment est-il parvenu à refermer ses griffes sur toi ?"

Tout en parlant, elle m'aidait à me nettoyer de toutes ces traces de sperme qui souillaient mon visage et mon corps.

- "Je ne sais pas très bien... " Répondis-je sourdement.

- "Il m'a appelée tôt dans la matinée. Je répondis à un appel, une voix autoritaire me dit alors de consulter ma boite aux lettres. Je m'exécutai et trouvai des photos de moi très compromettantes, dont certaines en sous-vêtements. S'y trouvaient aussi la copie de discussions libres que j'avais eue avec des inconnus. C'était des propos très érotiques, mais totalement fantasmés ! Je n'avais jamais fait ce que je décrivais ! Ces interlocuteurs étaient sensés habiter aux antipodes. Il m'ordonna de le rejoindre chez lui à 9 heures, et là il m'a violée et reviolée. Je me laissai faire, mais c'était tout de même des viols. Il me prit en photos et enregistra des rushs de moi nue et souillée de foutre. il me menaça de ruiner ma vie. Je pourrai aussi bien mourir maintenant. Lorsque mes parents, mon pasteur ou mon mari apprendront ce que j'ai fait ! Mon Dieu que pourrai-je faire ? "

- "Je suis désolée pour toi ma chérie, mais tu me sembles une proie idéale. Je pense que Snake va garder ton secret. Parce que tant qu'il le taira, il gardera une énorme emprise sur toi. Je pense que tu ne peux que lui obéir en espérant que tu n'en souffriras pas trop. Et maintenant retournons avec eux, tu es aussi propre que tu peux l'être sans prendre de douche. Allons-y !"

Sur ces mots elle me poussa hors des toilettes pour retourner au bar, les sifflets et les commentaires salaces saluèrent mon retour dans la salle. Puis je retournai dans le magasin, où je pus réenfiler mes chaussures, ma micro-jupe, et le tee-shirt, je me sentais mieux, bien qu'aussi peu vêtue, après avoir été aussi longuement exposée aux regards concupiscents de ces hommes. Snake me tendit le sac avec les vêtements qu'il avait choisi et une facture phénoménale.

- "On a fait un sacré extra dans cette boutique, Je le divise avec vous."

Je regardai stupidement la facture, et à la paire de billets de banque qui l'accompagnait. 10 dollars pour salaire de mon gang-bang ! Je me contentai de souffler :

- "Merci monsieur..."

Snake sourit et nous retournâmes au bar vider une paire de demis. J'avais passé tant de temps entièrement nue que je ne faisais pas attention au fait que mes nibards et mon cul étaient découverts.

Normalement je ne bois jamais de bière, mais je sirotai toutes les bières que Snake commandait.

Snake dit au revoir à ses copains et nous étions sur le point de sortir lorsque l'un des hommes accoudés au bar intervint :

- "Hey Snake, si tu veux, je peux déposer ce sac chez toi dans la soirée, je suis en camion... "

Snake répliqua :

- "Merci Mickey... J'apprécie ton geste ! " et il lui tendit le sac.

On sortait lorsque je réalisai que mes vêtements initiaux se trouvaient dans le sac.

- "Monsieur... " commençai-je craintivement "Puis-je dire quelque chose ?"

Il me jeta un coup d'œil intrigué et m'interrogea :

- "Que veux-tu salope ?"

- « Monsieur, je devrai rentrer chez moi tout à l'heure... Je ne peux pas le faire dans cette tenue ! Mes vêtements se trouvent dans le sac.»

- "Tu rentreras chez toi dans la tenue que je te dirais ! Tu portes ce que je veux quand je le veux ! As-tu une autre question ? "

- "Non monsieur..." soupirai-je désespérée.

Je repris ma route résignée à retourner chez moi dans cette infâme tenue de pute. Mais avant que nous sortions du bar, Mickey ajouta :

- "Hey Snake, si ta pute me fait une autre pipe, je te ramène le sac chez toi d'ici un petit quart d'heure ! Est ce d'accord ? "

Snake lui sourit et répliqua :

- "Ca marche pour moi ! Es-tu d'accord salope ?"

Comme si j'avais le choix !

- "Oh oui monsieur, si c'est ce que vous voulez !"

Des spectateurs explosèrent de rire et l'un d'eux commenta :

- "Bordel Snake, elle est drôlement arrangeante. Tu cueilles son pucelage ce matin et ce soir elle connaît déjà sa place. J'aimerai que tu me formes une pute de cette façon."

Snake rit à pleines dents et répondit :

- "Merde alors, je ne sais pas Bubba, c'est beaucoup de travail et de sacrifice pour y parvenir. Peut-être bien qu'on pourrait en trouver une avec un peu de cervelle. Ce serait d'autant plus facile que ce ne serait pas une sombre idiote."

Ils explosèrent à nouveau de rire à mes dépens, et nous sortîmes sur ces derniers commentaires salaces de Snake. Il enfourcha sa moto et je m'assis derrière lui. Mais cette fois il ne m'obligea pas à boucler mes mains autour de sa taille, je posais les mains sur ses épaules. Cela me semblait beaucoup plus évident.

Mes nichons étaient totalement exposés à la vue des véhicules qu'on côtoyait, et dès que je bougeais ma minuscule jupe bouchonnait et devenait pratiquement inexistante, il me dit de ne la redescendre que si on croisait des flics.

Bien sur, dès que je bougeais ma micro jupe s'envolait et mes emmanchures s'élargissaient livrant tous mes charmes aux voitures qui circulaient. Les chauffeurs klaxonnaient et me hurlaient leurs encouragements salaces tout le long du chemin de retour. Je ne sais pas si l'on croisa des flics, je tenais mes yeux hermétiquement fermés. 

On arriva à son domicile vers 14 heures, je devais rentrer chez moi pour 16 heures. Peut -être bien qu'il serait las de me torturer pour ce jour, et qu'il me laisserait partir tout de suite. Ce que je pouvais être stupide ! 

On pénétra dans la maison, il m'envoya dans la salle de bain prendre une douche rapide. Je lui demandai une serviette propre, Snake rit et dit :

- "T'as encore de la chance que ne t'oblige pas à t'essuyer avec mes sous-vêtements sales !"

Je le croyais. Je pris une douche rapide et me séchai avec la serviette la moins souillée que je trouvais, puis je remis mes nouveaux vêtements et revins dans le salon.

- "Tu n'as pas besoin de t'habiller quand on est à la maison ! Tu ne dois les porter que lorsque l'on sort !"

Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait dire, puis, je vis son visage se crisper et il me balança une sévère beigne. Les vêtements, je ne devais pas porter de vêtements dans sa maison, pour ce qu'ils cachaient d'ailleurs ! Je me dévêtis prestement et me penchai pour enlever mes chaussures, mais il me dit de les garder aux pieds.

- "C'est très bien ma chérie" concéda-t-il sur le ton de la conversation, "on a un peu de temps à tuer".

- "Qu'aimerais-tu faire?"

- "Tout ce que vous voudrez maître." répondis-je aussi obséquieusement que possible.

- "Peut être bien que tu pourrais trouver quelque chose à sucer en attendant que Mickey ne ramène tes vêtements. Qu'en penses-tu petite salope ?"

- "Oui maître."

Que pouvais-je répondre d'autre ?

- "Alors demande-le-moi !"

Il voulait que je lui demande de sucer sa bite. Je pris une profonde inspiration, il m'avait déjà giflé deux fois aujourd'hui et je ne tenais pas à me prendre une troisième claque.

- "S'il vous plait maître, pourrais-je sucer votre pénis ? " demandai-je servilement.

- "Mon quoi ? " m'interrogea-t-il incrédule.

- "Stupide salope ! Si je t'entends encore dire un mot comme cela, je te flanque une rouste ! M'as-tu bien compris ?"

Je pensais que oui. J'ignorais seulement de quels termes je devais me servir, et même si je connaissais ce vocabulaire qu'il voulait que j'emploie.

- "Je suis désolée monsieur, je n'ai jamais employé ces mots. Je ferai de mon mieux je vous le promets !"

- "Que veux-tu dire, tu n'aurais donc jamais employé de termes grossiers ?"

- "J'ai parfois dit merde quelque fois et parfois bordel !" rétorquai-je avec hésitation.

Je vis alors son visage s'empourprer et je comptai mon erreur.

- "Je suis désolée monsieur, je veux dire que je n'ai jamais dit que merde !"

- "Poste-toi devant moi salope !"

Lorsque je fus en place, il m'intima :

- "Montre du doigt les endroits les plus importants de ton corps et cite-moi leurs noms !"

Ca s'avérait plus difficile que je l'avais pensé, eu égard aux épreuves que j'avais endurée toute la journée. Je désignai ma poitrine et dit :

- "Mes nibards"

Puis, je dirigeai mon doigt vers mon vagin et ajoutai :

- "Mon con" 

Puis désignant mon anus :

- "Mon trou du cul"

Il désigna alors son pénis et me demanda :

- "Et ceci ?"

- Une bite." répondis-je docilement, j'écoutai ces mots couler de ma bouche pour la première fois, cela me gêna énormément.

- "Une bite et quoi encore ?"

- "Une bite et des couilles !"

- "Désormais tu n'emploieras plus d'autres termes que ceux-là, mets-toi bien ça en tête ! Tu m'as compris salope ?"

- "Oui monsieur." répondis-je misérablement.

- "C'est bon." coupa-t-il "Et maintenant ramène ton cul et suce ma bite. Et t'as intérêt à ce que ce soit bien fait !"

Je me dirigeai vers son entre-cuisse, mais il m'arrêta, descendit son pantalon et son caleçon et s'assit face à moi. Je le débarrassai de ses vêtements, il allongea ses jambes et je commençai par lui lécher les burnes. La puanteur de ses organes génitaux était abominable. Il avait déjà eu des rapports sexuels avec moi, enfin ce n'est pas tout à fait juste, en réalité il m'avait baisée avant que nous quittions la maison ce matin même et il ne s'était pas lavé depuis. Je ne crois pas qu'il m'avait baisée à nouveau dans le magasin, il était bien trop occupé à encaisser le fric de ces mecs qui voulaient me baiser. Cela voulait donc dire son éjaculation avait séché. Le foutre séché qui souillait sa queue et ses couilles dataient donc de quatre bonnes heures plus tôt. De toute manière il semblait que sa dernière douche remontait à longtemps.

Je lui léchai les burnes, respirant par la bouche autant que possible pour éviter de renifler la puanteur, comme je lui léchai les burettes, sa gosse bite frottait contre mon visage. Après quelques minutes il releva ses jambes sur les accoudoirs de son fauteuil et m'invita à approcher.

- "Allez chérie, enfouis ton visage entre mes cuisses. Lèche mon trou du cul comme tu le ferais pour une petite chatte."

Je n'avais pas le courage de lui avouer que je n'avais jamais mignoté de chatoune, aussi enfouissais-je mon visage dans sa raie du cul et je léchai le pourtour de l'étroit œillet. C'était infâme. Je ne vous dis le goût qui s'en dégageait. Mais je me débrouillais pour lui complaire, et bientôt il reposa ses jambes au sol et me dit :

- "C'est bon, et maintenant voyons si tu arriveras à me faire éjaculer avant l'arrivée de Mickey."

Je ne l'avais pas vraiment sucé auparavant. Il m'avait baisé en bouche. Mais j'avais une idée, je posai les lèvres sur son gland et commençai à le sucer avec enthousiasme. Il s'enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche, j'essayai de le contenter sans étouffer. Mais malgré tout mon bon vouloir, je ne parvenais pas à l'introduire dans ma gorge, j'avais peur qu'il ne me gifle violemment aussi tentais-je de tout mon cœur de l'absorber au-delà de ma luette.

Un moment plus tard il se lassa de mes vaines tentatives, il me saisit la tête et donna un violent coup de rein, il me contraignit à savourer sa présence, puis il me libéra en remontant ma tête. Il répéta plusieurs fois le même processus. Après plusieurs tentatives il accrut encore la violence de son coup de boutoir et à ma grande surprise, horrifiée, je le sentis s'enfoncer dans mon arrière-gorge. C'était douloureux, mais je me rendis compte qu'en m'appliquant, je parvenais à respirer par le nez. Il se préparait à juter et m'en prévint.

Lorsqu'il cracha ses lourds jets de foutre, il se débrouilla pour que seul son gland se trouve entre mes lèvres, je pus ainsi savourer pleinement le remplissage de ma bouche. Je pouvais ainsi profiter de toute la saveur de son foutre. Je me retirais et finis de le faire juter en le branlant d'une main caressante. Juste avant de me remplir la bouche de sperme, il m'avait prévenu :

- "N'avale tant que je ne te l'aurai pas dit salope !"

Aussi restai-je quelques instants la bouche pleine de son amère potion. Je me débrouillai pour contenir mes hauts le cœur, dès qu'il eut fini de vomir sa gourme il se retira de ma bouche et me regarda les joues gonflées de foutre.

- "C'est bien ma chérie, on va avoir une sacré dose de plaisir tous deux, tu apprends vraiment très vite, je vais faire de toi une bonne petite salope en u temps record !"

- "Et maintenant quelques règles : tant que je ne te dirai rien d'autre, tu viendras chaque matin, je te dirai à quelle heure la veille, s'il y a un changement de plan, je te le téléphonerai. Une fois rentrée chez toi tu pourras porter ce que tu veux, mais lorsque tu viendras chez moi tu mettras tes tenues de pute et il vaudrait mieux que je ne te trouve jamais portant des sous-vêtements."

- "Oui monsieur." marmottai-je sourdement la bouche toujours pleine de foutre.

- "Tant que je ne serai pas lassé de toi, et je ne sais pas dans combien de temps cela arrivera, tu feras tout ce que je veux sans me poser de questions, sans proférer la moindre remarque, et cela inclut le fait de sucer ou de te faire baiser par tous ceux que je te désignerais, hommes, femmes, bêtes. As-tu une question à poser ?"

- "Non monsieur." répondis-je humblement.

J'entendis à cet instant un véhicule se garer devant la maison, Snake m'intima d'avaler le foutre que j'avais en bouche. J'avalai tout avec allégresse, j'espérais désespérément qu'il m'offrirait une boisson qui me permettrait d'estomper cet ignoble fumet que j'avais en bouche. Snake me poussa vers la porte m'ordonnant :

- "Va ouvrir la porte !"

- "Bien monsieur....." je traversai de la pièce et ouvris la porte juste au moment où Mickey arrivait mon sac de vêtements à la main.

Je m'écartai pour le laisser passer, mais il me poussa devant lui et dit :

- "J'adore te voir marcher devant moi ! tourne du cul !"

Ces mots m'avaient toujours gênée, je ne les utilisais jamais bien sur, mais j'étais consciente que laisser les employer en parlant de moi était tout aussi humiliant. Je haïssais ce type de comportement, mais il est vrai que pour eux je n'étais qu'un con à remplir. Mickey jeta le sac sur le canapé et m'attira à lui. Snake intervint :

- "Tu ferais mieux de ne pas lui rouler de pelle, je viens de lui coller une sévère giclée de foutre en pleine gorge."

- '"Est-ce bien vrai salope ?"

- "Ouvre grand ta bouche que je vois ça !"

J'ouvris docilement ma bouche.

- "Ouvre la plus !" m'ordonna-t-il sèchement.

Je m'efforçai de l'ouvrir encore plus lorsque soudain je sentis qu'il tordait mes nichons de son autre main.

- "Force-toi ma chérie, je suis sur que tu peux faire mieux."

J'ouvris la bouche aussi grandement que possible, au point de disloquer mes mâchoires. J'avais peur qu'il ne soit pas encore content. Il me regarda alors droit dans les yeux m'interdisant de détourner le regard. Puis il se pencha sur moi, me tenant par la chevelure d'une main, tordant mes nichons de l'autre et il cracha droit dans ma bouche, et il recommença encore et encore. J'étais épouvantée jamais, je n'avais jamais imaginé qu'on me ferait endurer une telle infamie, je n'avais jamais entendu parler de ce genre de rapport.

Tout mon corps tremblait de révulsion, mais je ne bougeai pas d'un poil si l'on excepte ces tremblements convulsifs. Ce type était bien pire que Snake. Il lâcha finalement mes cheveux et m'ordonna de tendre la langue. puis il lâcha mes nichons et entreprit d'enlever son pantalon, il le descendit sur ses genoux et m'intima :

- "Je pense ma bite n'est pas assez lubrifiée. Penche-toi, fais moi bander, enduis ma queue de salive que je puisse te baiser facilement."

Il se pencha encore et j'embouchai sa mentule. Sa bite n'était pas aussi grosse que celle de Snake et cela prit du temps avant qu'il ne parvienne à s'introduire dans mon arrière gorge.

- "Eh bien mon salaud !" s'esclaffa-t-il s'adressant à Snake

- "Tu prétends que cette salope n'a jamais sucé de bite auparavant. Est-ce vrai ? Bordel ce qu'elle est bonne !"

Snake lui répondit fièrement :

- "C'est ce qu'elle prétend... Et je l'ai crue après sa première pipe ! Elle ne savait vraiment pas sucer une bite. Mais sa chatte était si étroite et goûteuse en compensation. Merde alors, elle était quasiment vierge ! Une salope de 22 ans mariée à un connard à petite bite depuis moins d'un an. Elle m'a dit qu'elle était arrivée vierge à son mariage. Tu crois ça mec ?"

- "Eh ben mec t'as vraiment une chance de cocu, quelle bon coup !"

Il me repoussa brutalement et m'enjoignit de m'allonger sur le dos pour qu'il puisse vérifier l'étroitesse de mon chaton. Je m'allongeai selon son gré comme une petite chienne bien dressée, instantanément il s'étendit sur moi. Une nouvelle fois je fus surprise de contraster que mon vagin, pardon ma chagatte était à nouveau trempée de cyprine, prête à l'accueillir. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.

Il fora sa grosse bite dans ma chatoune et entreprit de me labourer vigoureusement. Il semblait que tous les motards œuvraient ainsi à en juger par mon récent gang bang. Je ne sais pas s'il m'avait déjà baisée cet après-midi, mais il me chevaucha longuement avant de gicler en moi. Au début je me contentais de subir passivement attendant qu'il en finisse. Ma foufoune était douloureuse, et je n'espérais qu'une chose, rentrer rapidement chez moi.

Mais après un bon moment je commençai à sentir mes sens répondre à ses assauts. Je me mis à gémir et lorsqu'il se pencha sur mon torse et entreprit de mâchouiller mes tétons, je commençai à jouir lourdement. Lorsqu'il exulta à son tour, il me mordit si sévèrement un téton qu'une tache de sang en décora l'aréole. Il resta étendu sur moi une bonne minute, reprenant ses esprits, puis il se releva, me fit mettre à genoux et m'invita :

- "Il semblerait qu'il y ait une chose que Snake ne t'a pas encore enseigné ma petite chérie. Lorsqu'un mec est assez gentil pour te baiser fougueusement, tu dois ensuite le remercier en lui nettoyant la queue rapidement."

Je pris une profonde inspiration et je pris sa bite souillée en bouche faisant de mon mieux pour la nettoyer aussi vite que possible de façon à en savourer le moins longtemps possible le goût et de pouvoir à nouveau respirer librement. Mais une fois que j'eus correctement nettoyé sa bite, je dus faire de même avec ses burnes aux flagrances plus que douteuses. Je me débrouillai pour cacher mon dégoût de peur des répercussions. Enfin Mickey se recula et remonta son pantalon.

- "Merci Snake, si tu as besoin d'un coup de main pour dresser cette pute, pense à moi je serai heureux de pouvoir t'assister."

- "J'apprécie ton offre." répliqua Snake hilare.

- "Ravi de t'avoir fais plaisir Mickey, à la revoyure !" 

Et sur ces mots, Mickey nous quitta. Snake se tourna vers moi et me dit :

- "Je veux te voir demain à 7 heures du matin, salope. Amène des produits de nettoyage ainsi qu'un aspirateur. Ma femme de ménage n'est pas venue depuis un bon moment, aussi t'occuperas-tu du ménage demain. Et maintenant tu peux riper tes galoches !"

Je sortis ma tenue usuelle du sac, mais Snake m'arrêta me disant de garder la tenue de cet après-midi, lui obéissant aveuglement je remis ma tenue de salope. Je faisais tout pour partir rapidement et rentrer chez moi prendre une bonne douche avant de réfléchir à la façon d'affronter mon mari, mes parents, mon pasteur, mes amis, et tous ceux que je devrais rencontrer à un moment ou à un autre.

Je gagnai ma voiture, tachant de ne pas me faire remarquer, que les gens me connaissent ou pas. Les voisins de Snake semblaient vaquer à leurs occupations sans s'occuper du reste. Je vis des gens qui travaillaient dans leurs jardins, mais personne ne sembla me jeter de coup d'œil inquisiteur.

A suivre...

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