Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.
le dressage commence.
Je rentrai rapidement chez moi. En approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.
Cela importait peu, je rentrai tout droit au garage et refermas la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignai mon sac et me ruai dans la salle de bain, je me débarrassai de mes fringues putassières et préparai une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.
Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.
Je m'habillai et préparai le souper. Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un message de mon mari pendant la journée.
Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les informations. Nous avions un ordinateur pour la seule raison qu'il avait parfois besoin de travailler à la maison. Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la société, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore moins regonfler les batteries. Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de sombrer dans les bras de Morphée.
Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte. Nous lisions souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale.
Et voila que j'étais devenue une pute, une salope
-"Oh mon Dieu, qu'allais-je faire ?"
Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin.
Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'entendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pensai :
-"Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé autant d'hommes dans la journée ?."
Je me débrouillai pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient violée. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche. J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes.
J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille. Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir. Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.
On regarda en chœur les informations, plus particulièrement pour avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait. Nous votions républicain quoi qu'il arrive. C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas. Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas. La pollution était un mythe.
Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement. Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit. Je regardai l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de retourner à la maison de Snake.
Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne sonne le réveil, j'arrêtai la sonnerie me levai et préparas le petit déjeuner de mon mari. et j'avalai une tasse de café. C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer.
Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeai mon équipement de lavage dans la voiture, pris une douche rapide et enfilai ma tenue de salope. Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.
Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrêmement courte qui exposait une large potion de mes miches. Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.
Je grimpai dans ma voiture et me pressai de gagner la maison de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait son petit déjeuner lorsque je frappai à la porte, il me hurla d'entrer, je posai mon équipement de lavage et retournai à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.
Lorsque j'eus descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevai ma tenue de pute et jetais un coup d'œil circulaire pour déterminer par quoi commencer. C'était, et de loin la maison la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposai que ce par quoi j'allais commencer importait peu. Je gagnai la cuisine pour demander à Snake ses instructions.
Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler son repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé ?
Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandai s'il avait des instructions particulières à me donner.
-"Ouais je vais aller me reposer un moment je veux que tu te remues ton petit cul, mais sans te crever. Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard. Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine, et le salon et que tout soit impeccable. Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes."
Je lui demandai où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne disposait de rien qui m'aurait facilité la tâche. Je commençai par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue. Snake recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :
-"Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre. Je dors mieux les couilles vides !"
Je posai tout et le suivis dans la chambre. Un seul coup d'œil à sa chambre suffit à me rendre malade. Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit. Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie ?
Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés. J'étais incapable de discerner leur couleur originelle. De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançai dans sa piaule. Je pensai tout d'abord : "Quel porc !" puis, je réalisai que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt.
Je rampai sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me retourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune. Le parfum qui se dégageait de son entrecuisse couvert de sueur était innommable. J'hésitai un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchai et entrepris de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattai de la langue. Je cajolai alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.
Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'intéressait pas vraiment. J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.
Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille, j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux. D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt que d'y être forcé.
Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrai pas le temps passé à le cajoler. Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalai le foutre tiède et lui nettoyai minutieusement la bite.
J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer. Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler. Je me glissai dehors et fermai la porte et m'empressai de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.
Je décidai de commencer par la minuscule cuisine, elle était répugnante, mais si petite que j'espérai que cela ne me prendrait pas beaucoup de temps pour la nettoyer. D'autant plus que j'avais vu les piles d'assiettes sales dans sa chambre.
Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était auparavant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.
Je passai au salon. Je ne trouvai pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait. Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passai l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière. Puis, je me préparai un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette. J'étais épuisée, mais je n'osai pas m'arrêter.
Je transportai mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyai celui-ci à son tour. J'évitai de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir. Je sortis l'aspirateur par la porte de devant et le rangeai hors de mon chemin, rassemblai mes produits de décrassage et gagnai la salle de bain. Je commençai par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottai et frottai avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait. Je nettoyai les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant. Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottai le sol à plusieurs reprises avant de le cirer.
J'en terminais finalement. J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce. Il leva la lunette des toilettes, se tint en face, sortit sa grosse bite et projeta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.
Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait ? Bordel de merde !
J'attendis qu'il en eut fini et je revins vers cet endroit qu'il souillait. Le flot de son urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol. Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit. En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordonnant :
-"Fais-moi une petite pipe ma chérie !"
Je frémis à cette idée. Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas ? Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture. Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.
Aussi ouvris-je misérablement la bouche pour qu'il se glisse entre mes lèvres. Une goutte de pisse tremblait, suintait encore de son méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci !
Il me tapota la tête puis regagna son lit. Je nettoyai à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain.
Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayai-je soigneusement, le lavai et l'épongeai. Pour finir j'époussetai et cirai le salon. Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.
Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans. Aussi nettoyai-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminai et pris une profonde respiration. Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos. Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les endroits que je venais de nettoyer.
Je gagnai la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode. Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.
Je regardai l'horloge, et à ma grande surprise je constatai que cela faisait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche. Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour.
Je terminai mon coup d'œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce. Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.
Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie. Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyai sa bite à pleine bouche, puis il constata :
- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot ! Demain tu t'occuperas de la chambre et de la lessive. Reviens à la même heure ! Et maintenant rhabille toi et va-t'en !"
Je ne comptai pas m'en tirer à si bon compte, je le quittai après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois. Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain. En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi. De toute manière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée. Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.
Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arrivée. Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre. Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :
-"Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien."
-"Oui tu pourrais, stupide connasse ! Mais tu vas te rendre à la laverie automatique de Dorchester. Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refuser à qui que ce soit ! Si un gugusse te met la main au cul, ou te tâte les nichons, tu lui souris. S'il te dit de le sucer ou de te pencher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit ! Je me suis arrangé pour que ta prestation soit surveillée par un bon ami. Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir. C'est bon ?"
-"Oui monsieur....." soupirai-je cherchant désespérément à cacher ma déception.
Je me dépêchai de gagner sa chambre et je rangeai les assiettes sales dans l'évier, puis je triai le linge à laver, il me semblait impossible que je puisse tout laver en une journée. Je nettoyai la chambre, balayai le plancher, époussetai, ouvris le lit, retournai le matelas, mais il était aussi dégoûtant à l'envers que sur l'endroit. Puis je chargeai le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs. Je me dirigeai vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.
-"Tu aimerais que je dorme bien ? Tu sais ce qu'il faut faire pour cela !"
-"Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable ?"
-"Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe !"
-"Oui monsieur !"
Je fis de mon mieux et ne tardai pas à partir pour la blanchisserie, le goût de son foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.
Je me garai et jetai un coup d'œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre. Je décidai que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plusieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands. Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.
Je déchargeai le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines. Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lavages.
Il y avait 4 personnes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient attentivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier. Je m'assis et cherchai à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restai les yeux braqués sur la page attendant la fin du lavage.
Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandai si l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake. Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.
Du coin de l'œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à côtée de moi et me demanda :
- "Hey chérie que lis-tu ?"
Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.
-"Ta peau semble douce !" me dit-il.
-" T'as de beaux cheveux... Un joli corps... Une véritable perfection... "
Et, tandis qu'il me complimentait sa main, s'approcha de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire. Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur copain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien. Et je ne pouvais toujours que leur sourire.
Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre côté de moi. Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir son pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma chatoune. Et je ne pouvais toujours que sourire.
Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards. Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne.
Les deux qui ne me molestaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste. Et je souriais toujours.
Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toison rousse. Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.
Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d'œil. Puis, je dus m'agenouiller et dès que je me penchai en avant je me retrouvai avec une grosse bite en foufoune et une autre en bouche. Par chance ils jouirent juste à l'instant ou les machines à laver s'arrêtaient.
Je demandai aux deux autres de me laisser remettre mon linge dans mon panier avant qu'ils ne me sautent à leur tour. Et une fois qu'ils se furent tous satisfaits dans mes orifices, ils m'entourèrent à nouveau et me prirent en sandwich. Et je souriais toujours.
Je me débrouillai pour leur demander de m'aider à terminer ma lessive, ce qui fait que j'en eus fini bien plus tôt que je l'avais pensé. Ils me reprirent alors une fois de plus, puis je rentrai chez Snake. Je m'appliquai à rentrer discrètement pour ne pas le réveiller. Mais il était déjà levé.
Il me jeta un œil et explosa de rire, je dus lui raconter comment cela s'était passé, sans éviter les détails sordides. Puis, je lui fis une pipe, il jeta un œil sur sa montre et s'écria :
-"Bordel chérie ! Mon copain va être drôlement déçu. Il était sensé te surveiller pendant encore une heure. BORDEL !"
Je pris une douche rapide, me servis d'une serviette et rangeai les autres. Je fis le lit puis lavai les couverts et assiettes que j'avais ramenés de sa chambre ce matin. Puis je rinçai ma brassière dont le haut était souillé de sperme, il n'y avait pas de toilettes dames à la laverie. Il se faisait tard et j'étais pressée de regagner ma maison. J'attendis que Snake se serve de moi à nouveau mais il téléphonait sans me prêter attention.
Je devais partir rapidement pour préparer le souper et cela commençait à me préoccuper. Je vis soudain une voiture se ranger à l'extérieur et je jetais un coup d'œil anxieux à Snake. Il me fit signe d'aller ouvrir la porte. J'invitai à entrer le couple qui attendait derrière la porte. Je ne les avais jamais vus auparavant. Ils me mangeaient du regard.
Finalement Snake reposa son téléphone et me révéla que c'était le couple qui était sensé me surveiller à la laverie, il leur dit ce qui s'était passé et ils explosèrent tous trois de rire. Puis la femme s'assit, releva sa jupe et m'intima :
-Viens ma chérie, cela va ta changer du goût de sperme que tu as en bouche !"
Je savais que cela arriverait un jour, mais mon Dieu que c'était dur. Je traversai la pièce et m'agenouillai entre ses cuisses, et je commençai à la lécher comme Snake m'avait léché une paire de jours plus tôt me donnant tant de plaisir. Elle semblait apprécier mes caresses linguales.
Je sentis alors son époux s'agenouiller dans mon dos, et tout de suite il me pénétra violemment enfouissant tout de go sa grosse bite au fin fond de mon utérus. Pourquoi diable ces hommes étaient-ils si violents ? Jamais l'un d'un ne me fera l'amour ? Bien que je ne tienne pas particulièrement à faire l'amour avec aucun d'entre eux.
J'avais déjà joui de nombreuses fois dans la Blanchisserie automatique. J'étais fatiguée. Aussi attendis-je que le couple ait joui et j'ai regardé Snake pour voir s'il m'autorisait à partir. Il hocha la tête. Je me ruai dans la salle de bain, m'essuyai la chatte et le visage et me précipitai dans le salon pour enfiler ma jupe et ma brassière, puis je me pressai de rentrer chez moi. Comme je partais Snake m'intima d'être chez moi le lendemain à la même heure.
Une fois chez moi je pris une douche rapide puis j'entrepris de préparer le souper. Il me vint d'un seul coup à l'idée que je n'avais pas vérifié ma boite aux lettres informatique depuis le dernier mail qui m'enjoignait de me rendre chez Snake ce qui m'avait amené à endurer l'une des pires journées de ma vie.
Je gagnai le bureau et allumai l'ordinateur, je me figurais à cet instant que le pire était advenu, je m'attendais surtout à trouver des mails d'amis et de la famille. J'avais reçu plusieurs douzaines de messages. La plupart s'avérèrent être des spams, d'autres d'amis qui m'envoyaient des blagues, il y en avait deux émanant de Snake. Je craignis d'en dévoiler le contenu, mais je devais le faire.
J'ouvris le premier, il concernait ma première journée de soumission, il ne contenait que d'horribles photos de moi nue, en train de sucer des bites, et de me faire baiser à couilles rabattues. J'ouvris le second message, c'était le même que le précédent en pire. Il voulait sûrement se moquer de moi en me rappelant que je n'étais qu'une pute à son entière disposition.
La soirée se passa rapidement, j'étais si lasse que je dormis comme une bûche. Une fois Jay reparti à son boulot le lendemain matin, je me douchai rapidement et me tint prête à le recevoir.
Je rinçai les jupes que je pouvais porter les autres jours, il ne me restait plus que le harnais de cuir de propre comme haut. Je l'enfilai et me débrouillai pour dissimuler la plus grande surface de mes nichons en resserrant les sangles qui traversaient mes nibards pour ce faire.
A suivre...
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