samedi 29 mai 2021

Lancé de dés

 Traduction d'un texte de usm1carbine.

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Nous sommes lundi soir. Suzanne embrasse son mari qui part pour son travail. Ils sont mariés depuis quelques années et il travaille dans un casino comme gardien de sécurité. Elle entend la voiture partir et décide de se changer pour la nuit. Ses mains déboutonnent son chemisier et l'enlève. Puis elle se débat avec le fermoir de son soutien-gorge pour libérer ses gros nichons qui ne demandaient que ça. Elle les frotte pour enlever la marque et la douleur qu'ont laissé les élastiques.

Elle se regarde dans le miroir. A 28 ans elle est en pleine forme. Ses gros seins ne tombent pas encore, les aréoles légèrement sombres accentuent ses mamelons. Elle continue de se regarder en caressant sa poitrine avec ses mains.

Elle aurait dû faire l'amour avec son mari avant qu'il ne parte travailler. Elle est tellement excitée. Ses mains quittent ses seins à contrecœur pour déboutonner son pantalon et l'enlever. Sa culotte rose laisse apparaître le contour des lèvres de sa chatte. Son doigt passe dessus. Elle ferme les yeux en souhaitant avoir une grosse bite à baiser.

Elle enfile une chemise de nuit après avoir abandonné avec réticence la caresse de sa chatte maintenant humide. Elle se couche dans son lit en pensant que son mari ne reviendra que dans neuf heures. Elle s'endort, sa main posée sur sa chatte et aussitôt elle se met à rêver d'une grosse queue qui la ferait gémir et crier. Ce rêve revient souvent ces derniers temps. Puis soudainement elle se réveille, effrayée. Des mains parcourent son corps, quelqu'un est vraiment là, ce n'est pas un rêve.

Alors qu'elle veut crier, une main se pose sur sa bouche et elle voit la lumière être allumée. Il y a trois hommes noirs dans sa chambre.

- Si tu restes une petite chienne blanche tranquille, peut-être que nous ne te ferons pas de mal. Dit l'un.

- Pas beaucoup du moins! Dit un autre.

Les hommes rient en mettant dans sa bouche une petite culotte qu'ils ont récupérée dans la panière de linge sale. Elle a mauvais goût. Puis les hommes la roulent sur le ventre et elle sent que ses poignets sont attachés avec son soutien-gorge. Ils attachent aussi ses chevilles avec la ceinture de son peignoir. Ils la font rouler sur le dos. Un des hommes la soulève et la jette sur son épaule.

Une main passe sous sa chemise de nuit et caresse son cul à travers la culotte.

- Ça va être génial les gars!

Ils sortent de la maison, en vérifiant qu'il n'y a personne dans la rue. Ils la déposent sur le siège arrière d'une voiture. Un des hommes monte avec elle alors que les deux autres montent à l'avant. Elle essaie de crier, mais seuls des sons étouffés sortent de sa bouche.

- Fais fermer sa gueule à cette salope blanche! Dit le conducteur.

Suzanne sent une douleur vive sur son cul. L'homme claque ses fesses une nouvelle fois en disant :

- Ferme-là putain de salope!

Elle commence à sangloter en sentant la douleur vive dans son cul. Sa tête est sur le siège et elle ne peut pas voir où ils vont. Mais ils roulent longtemps.

La main qui vient de la fesser se balade librement sur son cul pendant le voyage. Les longs doigts de l'homme serpentent entre ses jambes et caressent les lèvres gonflées de sa chatte. Puis ils passent sous sa culotte et l'homme fait pénétrer un doigt dans son antre humide. Il le remue, le sort et le remet brutalement alors qu'elle se tord sur la banquette. Puis il s'arrête brusquement.

L'homme se déplace de l'autre côté de la banquette arrière et elle sent une main qui la saisit par les cheveux et relève sa tête. Suzanne peut alors voir qu'il a sortir son sexe. Ses yeux s'écarquillent en voyant la taille de l'engin. l'homme commence à frotter son sexe sur son visage, du liquide pré-éjaculatoire barbouillant ses joues.

- Maintenant je vais t'enlever ça de la bouche. Je ne veux pas de cris. Tu te contentes de sucer ma bite. Et si tu la mords, je te promets que tu le regretteras.

Il retire la culotte de sa bouche. Mais Suzanne refuse d'ouvrir la bouche pour laisser entre sa bite. Il resserre alors son emprise sur ses cheveux et elle crie de douleur. Il en profite qu'elle ouvre la bouche pour y enfoncer sa queue.

C'est beaucoup plus gros que tout ce qu'elle a eu auparavant. Elle peut sentir ses lèvres s'étirer alors que l'homme pousse son engin. Suzanne lutte pour reprendre son souffle. La position qu'elle a ne lui permet pas de tout prendre et elle en est contente, il l'aurait étouffée sinon. La main dans ses cheveux bouge sa tête de haut en bas sur le sexe alors que l'homme continue à pousser. Elle retient son envie de vomir alors que le rythme accélère. Les yeux de Suzanne sortent presque de ses orbites tandis que la queue éperonne sa petite bouche. Elle essaie de combattre les sensations qui commencent à apparaître, les picotements et la moiteur entre ses jambes. Elle avait voulu de la bite, mais pas ça.

Le rythme de l'homme devient de plus en plus rapide. Elle comprend qu'il va bientôt jouir. Elle pense avec horreur qu'elle va devoir avaler son sperme. Elle n'a jamais avalé de foutre à part celui de son mari. À l'université elle faisait des fellations, mais elle faisait éjaculer les hommes sur sa poitrine, elle n'avalait jamais.

Elle peut entendre le souffle de l'homme s'accélérer et sa bite se tendre alors qu'il gémit et que du sperme chaud inonde sa gorge. Elle n'a pas d'autre choix que de l'avaler. Elle entend alors une voix à l'avant qui dit :

- Mec, laisse-nous-en, il y en a qui attendent.

Le noir sur le siège arrière rit et répond :

- Elle a encore deux trous cette salope!

Suzanne sent la prise se relâcher sur ses cheveux alors que l'homme la repousse. Un goût salé dans la bouche, elle sent les mains de l'homme retourner à son entrejambe. Le bâillon ayant disparu, elle peut respirer plus facilement. Mais elle n'a toujours aucune idée d'où ils l'emmènent.

Finalement la voiture s'arrête. Les hommes sortent de la voiture et celui de derrière la jette sur son épaule. Elle regarde autour d'elle et peut voir de grands champs agricoles à la lumière de la lune. Ils entrent dans une maison et elle est jetée sur un canapé. Maintenant elle peut voir clairement ses agresseurs. Il ont vingt ans environ et sont musclés, leur peau d'ébène brillant dans la lumière de la pièce.

- Quel est ton nom salope? Demande l'un deux.

Son sourire blanc et éclatant attire son attention. Elle répond :

- Suzanne.

Tout en continuant de sourire il dit :

- Eh bien Suzanne, petite pute blanche, ton mari nous a jeté du casino l'autre soir. Ce n'est pas gentil de sa part étant donné que nous gagnions gros. Donc nous avons pensé que nous allions récupérer nos pertes avec toi. Quand nous en aurons fini avec toi, la petite bite de ton pathétique mari ressemblera à un cure-dents pour toi.

Les trois hommes rient. Suzanne les regarde alors qu'ils commencent à se déshabiller. Elle ne peut s'empêcher d'avoir peur lorsque qu'elle voit leurs énormes queues raides, dont celle qui a presque déchiré sa bouche. Elle a du mal à imaginer ce qu'elles vont faire ailleurs.

Elle regarde celui qui semble être le chef se diriger vers un placard et revenir avec un énorme couteau de boucher. Elle commence à trembler.

- Ne t'inquiète pas salope, je vais juste couper tes vêtements.

Il coupe les bretelles de sa chemise de nuit et la laisse tomber sur le sol.

- Regardez ces gros nichons les gars!

Elle sent des mains empoigner ses seins et les serrer brutalement. Elle a l'impression que ses tétons vont gicler sous la pression. Elle grimace de douleur.

- S'il vous plaît arrêtez. Je ne vous ai rien fait. Réglez vos affaires avec mon mari.

Mais les hommes prêtent peu attention à ses paroles.

- Mais on le fait! On va baiser sa femme. On va te baiser jusqu'à ce que tu jouisses si fort que sa petite bite ne te satisfera plus jamais.

Le couteau coupe sa culotte. Des mains plongent dans son buisson soigneusement entretenu. Des doigts écartent les lèvres de sa chatte et caresse son intimité.

- Cette chatte a vraiment l'air bonne à manger. Dommage que je ne le fasse pas! Dit l'un des hommes en y enfonçant un doigt.

Les noirs libèrent ses mains et la pousse à quatre pattes sur le sol. L'un d'eux se met à genoux devant elle et commence à frotter sa grosse bite noire sur son visage.

- On va apprendre à cette chienne la supériorité des noirs!

Suzanne sent une sangle en cuir s'abattre sur son cul. Pour l'éviter elle se penche en avant et son visage entre en collision avec la bite devant elle. Elle peut sentir les zébrures sur son cul alors que la sangle continue de tomber. Bientôt la sensation de douleur disparaît en arrière plan alors que son corps essaie de réagir à ce mauvais traitement. Suzanne vacille sous les coups et pousse des cris. Elle est obligée de garder la bouche ouverte et la queue étire sa bouche en entrant. Son corps se soumet à leurs caprices. Elle est brisée. Elle sent que les coups s'arrêtent et des mains frottent ses fesses maintenant toutes rouges.

Suzanne n'a pas apprécié ce traitement, mais elle commence à apprécier le sexe dans sa bouche. Elle le suce et fait tourbillonner sa langue dessus. l'homme commence à lui baiser la bouche plus rapidement.

Elle sent un tiraillement sur ses chevilles alors que l'on coupe la ceinture du peignoir pour libérer ses jambes. On lui les écarte et un homme avance entre, sa grosse bite pendant sur sa cuisse. Bientôt le sexe entre dans sa chatte. C'est comme si les parois de son vagin se déchiraient à chaque poussée. Des énormes boules noires s'écrasent maintenant sur son menton alors que la bite remplit sa bouche. Elle sent le gland au fond de sa gorge. Soudain l'homme attrape ses cheveux alors qu'il gicle en elle. Puis il se retire légèrement et finit de se vider sur sa langue. Elle avale tout.

Dans sa chatte, la bite est maintenant complètement enfouie. Son sexe est entièrement étiré. Elle sent des couilles frapper son clitoris alors que l'homme pousse. Son esprit est embrumé, elle sent un orgasme approcher.

Suzanne n'a jamais été prise aussi complètement auparavant. Aucune bite n'a remplit sa chatte autant que ça. C'est trop pour son corps alors que des vagues de plaisir la traverse. Elle gémit autour de la queue toujours dans sa bouche. Mais celle-ci se retire et une autre prend sa place.

- Je vous avais dit que cette salope blanche adorerait sucer une bite noire.

En seulement deux coups il pousse sa queue au fond de la gorge de la jeune femme qui s'applique à le sucer. Les coups de rein dans sa chatte soulèvent ses genoux du sol. Ce martèlement rend sa chatte si vivante qu'elle jouit à nouveau. l'homme l'accompagne et elle peut jurer sentir son sperme couler dans son ventre.

Suzanne a un grand sentiment de vide lorsque l'homme se retire de sa chatte. Mais ce vide laisse place à, la douleur de ses parois étirés. Mais bientôt l'homme est remplacé par un autre qui la remplit tout autant. Elle grimace légèrement quand l'homme commence à claquer ses fesses pendant qu'il la baise. Pendant ce temps, la bite dans sa bouche déverse un flot de sperme qu'elle accueille volontiers dans sa bouche. Elle peut sentir le foutre s'échapper des coins de ses lèvres avant qu'elle n'avale le tout. Sa bouche est maintenant vide et ses cris sont bien audibles alors que l'homme la martèle. Elle a du mal à reprendre son souffle.

Son corps entier et son esprit sont maltraités par la seule faute de son mari. Mais elle commence à profiter de ces attentions, même si les hommes sont plus rudes que ce qu'elle est habituée.

La grosse bite noire se vide en elle alors qu'il la baise violemment. Suzanne crie d'extase alors qu'un autre orgasme traverse son corps.

Quand le noir se retire, elle s'effondre sur le sol, ses poils pubiens recouverts de foutre. Elle essaie de reprendre son souffle et elle revit dans sa tête les orgasmes qu'elle vient de vivre. Ils ont raison, ça sera difficile pour la bite de son mari de la satisfaire après cela. Puis elle voit l'un des hommes s'approcher avec la sangle en cuir.

- Non, s'il vous plaît, je ferai tout ce que vous me direz, pas ça, s'il vous plaît.

Mais la sangle s'abat sur ses mamelons durcis. L'homme lui fouette les seins, le ventre, le dos et les fesses. Des marques rouges apparaissent partout où la sangle entre en contact avec la peau blanche crémeuse.

- Tu oublies salope que nous voulons nous venger de ton mari. Il a besoin de marques visibles pour se rappeler ce qu'il nous a fait.

Les coups continuent à pleuvoir jusqu'au moment où elle est presque anesthésiée, son esprit éloignant la douleur. Quand il s'arrête son corps est couvert de zébrures rouges. Elle reste allongée sur le sol.

- Dites les gars, alors que je regardais son joli cul devenir rouge sous la sangle, je me suis dit que j'aimerai bien l'enculer.

Suzanne a vraiment peur, personne ne l'a encore sodomisée. La pensée d'une grosse bite noire déchirant son petit trou du cul la fait grincer des dents et elle se met à pleurer.

Les hommes la roulent sur le ventre. Elle sent ses jambes écartées par deux d'entre eux alors que le dernier frotte sa bite sur sa chatte pour la lubrifier. Sa bouche s'ouvre alors que le noir pénètre son petit trou du cul serré et jamais utilisé. Elle crie de douleur alors que l'homme pousse pour s'enfoncer et que les deux autres la tiennent immobile. Elle avait eu l'impression que la bite était énorme dans sa chatte, mais elle était trop immense dans son cul serré. Le noir commence à sortir et à pénétrer à nouveau en disant :

- Cette putain de garce a vraiment le cul serré. J'ai l'impression que ma bite est dans un étau.

Alors que lentement le cul de Suzanne s'habitue à la grosse queue, l'homme la pilonne de plus en plus vite, son membre remplissant entièrement son derrière. Elle gémit. Ses seins couverts de zébrures infligés par la sangle frottent sur le sol à chaque coup de rein du noir. La douleur est presque insoutenable, car l'homme est implacable et l'encule avec vigueur. Il accélère le rythme et Suzanne s'évanouit de douleur, son corps tressautant sous les coups de boutoirs. Elle reste comme une poupée de chiffon alors qu'il la baise rudement.

La prochaine chose dont elle a conscience c'est une sensation d'herbe mouillée. Elle ouvre les yeux pour voir que son corps douloureux est allongé sur sa pelouse. Du sperme séché la recouvre et chacun de ses trous est douloureux. Les zébrures sont toujours là et lui font mal si elle les touche. Elle se retourne et essaie de se relever, mais ses forces ont disparu. Il est très tôt le matin et personne n'est encore réveillé. Elle en remercie son ange gardien et elle rampe jusqu'à la porte d'entrée. A l'intérieur elle reste allongée jusqu'à ce que son mari rentre à la maison.

Il est très en colère et veut appeler une ambulance ainsi que la police, mais Suzanne l'avertit :

- Ils ont dit que si nous avertissions qui que ce soit, ils nous feraient à tous les deux la même chose la prochaine fois.

La mâchoire du mari tombe à l'idée de se faire baiser par trois hommes noirs. Il aide sa femme à se relever et voit écrit dans son dos avec un marqueur indélébile : « CETTE PUTE BLANCHE AIME LA BITE NOIRE ». Il conduit sa femme sous la douche pour la nettoyer. Mais ce qu'il ne sait pas c'est que les hommes ont réveillé en elle un besoin que seule une bite noire pourra désormais assouvir.

FIN.

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