mardi 29 août 2023

Le bois de Boulogne.

 Récit écrit par Lesbicamille.

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Fin 2011, j'avais alors 21 ans, j'ai connu un homme un peu plus pervers que les autres de son âge : Fausto.

Contrairement aux filles, mes goûts pour les hommes est restrictif, je n'aime que les matures, très matures. Celui-ci était un retraité de 68 ans très vert, il voyageait beaucoup sur son bateau, sa vie était partagée entre le nord de la région parisienne et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... Pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais très pervers dans ses propos, il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte…

Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges était de plus en plus proche et la tension montait. Je me surprenais à contrôler plus souvent ma boite mails, il me racontait tellement de choses et savait me faire raconter mes vices ou fantasmes les plus intimes, sur moi et ce que je pouvais savoir sur ma mère aussi… Bref, il était entré dans ma vie de tous les jours... Du lever au coucher, mais aussi dans ma culotte… Je mouillais rien qu'en voyant un de ses mails non lu...

Après quelques mois de correspondances sans tabou, il voulait me voir, je ne parle pas des photos les plus coquines que je lui envoyais, mais il voulait qu'on se rencontre. J'étais très surprise, je m'amusais avec lui et lui avec moi, mais de là à le rencontrer… J'avais un peu peur… Ça ne m'intéressait pas vraiment…

Pour me rassurer il m'avait donné son n° de téléphone, celui de sa plaque minéralogique, sa ville, mais ça ne m'amenait pas grand-chose… Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois, il me mettait la pression tous les jours, c'était dans ma tête maintenant, j'y pensais un peu tout le temps… Et j'ai finalement accepté.

Nous avions rendez-vous place de la porte Dauphine vers 21h00, près de l'université. J'habite pas loin, mais j'avais oublié qu'il ferait nuit en novembre... C'est idiot, mais je vais quand même passer en voiture et si ça m’inquiète trop ou s'il n'est pas seul, je ne m'arrête pas.

J'arrive dans mon Austin en roulant doucement. Je cherche sa voiture, un 4x4 japonais avec des plaques 93. Je passe l'université et je vois la voiture garée devant le RER sur la place. J'arrive doucement à sa hauteur, il m'a vu dans son rétro, j'avais décrit ma voiture au toit blanc. Il sort aussitôt de sa voiture et vient au-devant de moi sur la route. Je vais pas lui rouler dessus et je suis bien obligée de m'arrêter. Il vient à la portière et me dit qu'il va me laisser sa place, qu'on sera mieux pour discuter dans la sienne.

Il sort, je me gare à sa place, et je vais à sa vitre et lui dit que malheureusement je ne peux pas rester plus d'une demi-heure, car mes parents m'attendent. Je mens bien sûr. Il semble contrarié, mais me dit que ce n'est pas grave et me dit de monter dans la voiture, ce que je finis par faire.

Il démarre. Je m'étonne, mais il a vu la voiture de police qui tourne sur la place et il ne peut pas rester en double file. Mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le bois de Boulogne par la route du lac. Je suis un peu saisie, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte de suite qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend.

Il roule une centaine de mètres, et quand il s'arrête je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route, il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m'embrasser.

J'avais pas vraiment envie de l'embrasser, me laisser caresser à la limite, mais bon, pas vraiment attirant, mais il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe. Je suis bloquée, il est rapide, quand je bloque une main l'autre se place entre mes cuisses... Là il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte, dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère. Il s'en fiche et nos jeux de mains deviennent ridicules après tout ce que l'on se racontait par mail, il me le dit et de guerre lasse je le laisse caresser par-dessus la culotte mais bien que je tienne cette main il la passe sous ma culotte et doit sentir que je mouille déjà.

Il entre ses doigts et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutif au-dessus des seins les faisant jaillir. Il me les suce tout en me branlant. C'est tellement bon, il s'y prend bien, puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant avant de rentrer son truc dans ma bouche.

Je suis complètement en biais, pas bien. Pour plus de confort je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager. Mon compagnon en profite pour relever ma robe par-derrière. Le dos nu il peut passer sur le côté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, ne pouvant aller plus bas, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses. Mais je réalise en même temps que de ce fait je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager.

Il me fouille de ses doigts, devant, derrière, je suis hyper excitée, aussi je m'active sur son sexe, mais pas trop, je ne veux pas que cela finisse trop vite, ma main droite sent la dureté de son engin, ma bouche, tantôt happe une bonne partie de son sexe, tantôt joue avec son gland, l'enveloppant de la langue, tout en branlant doucement le reste de sa verge. Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser pour mieux se laisser aller sur le dossier et profiter pleinement.

Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses, je veux relever la tête, mais il me la maintient sur son sexe. Je sursaute, des mains touchent mes fesses, mes cuisses. Des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation.

Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête. Les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition. Je ne sais pas combien ils sont, mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, les seins pendants dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte et mes fesses. Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins, comme il peut. Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa verge, trop prise à ressentir mon plaisir d'être ainsi fouillée, tripotée par tous ces gens. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder.

Mais Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a dû être trop forte pour avoir le temps de sortir.. Seulement, surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux, je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe. Rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi, robe ouverte, seins sous le soutien, la culotte sur les cuisses.

Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent, peut-être un peu étonnés de mon âge apparent. Moi j'en vois trois qui sont à me regarder, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation, ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois deux autres personnes qui arrivent, sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture.

Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses. Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup.

Je tourne la tête. L'un d'eux m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un second, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, vient le tour de mon soutien, ma culotte reste coincée aux genoux.

Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée par ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison.

Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire. Je n'ai pas le temps de me poser la question de ce qu'il va se passer que l'homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait m'allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de façon que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière, ma culotte est tombée aussi, dernier rempart symbolique depuis longtemps sur les genoux. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée je suis à la bonne hauteur pour eux.

Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde. Tout cela a été très vite, une ou deux minutes pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte.

On me pénètre sans douceur. J'accueille cette queue avec plaisir, tout cela m'avait bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, je suis quand même inquiète de la suite. Je suis secouée à plat ventre sur ce siège, je subis, je laisse faire cette queue qui me claque les fesses, mais il sort et envoie son sperme sur mes fesses. Un autre entre aussitôt et me prend comme une chienne à grands coups. Je vois devant moi que des hommes regardent aussi du côté chauffeur, je ne sais pas combien sont arrivés depuis tout à l'heure, l'attroupement autour de la voiture a dû en attirer d'autres. Et mon manque de résistance les a encouragés à me prendre pour une bonne salope excitée.

Fausto sort de la voiture pour céder sa place. Un type s'assoit la braguette déjà ouverte, le machin dehors, il se glisse sous ma tête et essaie de mettre son sexe dans ma bouche. Je suis toute à mon plaisir, et il me dérange, j'ai pas envie de participer, je ne veux que me faire pénétrer, envahir, mais il ne l'entend pas comme ça et m'oblige à prendre son sexe. Je commence à gémir, je ne peux retenir le plaisir qui monte, qui monte, malgré les changements successifs, les uns après les autres prennent ma chatte insatiable. Ils ne tiennent pas, trop excités à regarder, à attendre leur tour, ils ne me pénètrent que pour baiser cette jeune salope et se vider.

Pendant ce temps, l'autre au volant bouge tout seul dans ma bouche en me tenant la tête, je n'ai ni l'envie ni la force de réagir. Il éjacule aussi dans ma bouche, je crache par terre, écœurée.

Un autre a pris la place dans ma bouche, j'ouvre à peine les yeux pour voir, je suis complètement en délire de ces queues qui me bousculent, se succèdent. Puis, enfin, l'un d'eux s'intéresse à l'anus. De ses doigts il fait pénétrer le sperme que j'ai pris sur les fesses, délicatement il entre ses gros doigts, un puis deux, il me prépare. Puis, ohh ! Je sens quelque chose d'énorme qui distend mes parois. Et il insiste, au point que j'arrive à dégager ma tête pour me retourner, et là, un gros black souriant s'essouffle à essayer de me pénétrer. J'ai mon petit derrière complètement rempli, il pousse un peu et revient, et recommence. Il me pénètre de plus en plus, jusqu'à ce qu'il parvienne à tout rentrer. Je reste bouche ouverte limite tolérable, je me cambre au mieux pour diriger mes fesses en fonction de la douleur, il prend ça pour du plaisir et commence son va-et-vient dans mes reins. 

Je n'ai pas repris le sexe de celui qui s'est assis au volant, je suis obligée de gouverner les aller et retours de ce concombre, il doit être aussi gros et long. Je me suis redressée sur mes bras, mes seins pendent et ballottent au rythme de ses entrées sorties. Le torse ainsi relevé est visible de tous ceux qui sont autour de la voiture, mes seins, mon visage tendu vers le plafond, la bouche ouverte sans son, comme pour aspirer l'air, je subis ce beau sexe surdimensionné.

Je suis en pleine vue dans cette voiture. Quelqu'un a allumé le plafonnier. Je continue à recevoir le sexe du black, de mieux en mieux, j'ai moins mal et je recommence à apprécier cette verge qui m'assène inlassablement ses coups de marteau, à fond, je recommence à gémir, ce gémissement quasiment ininterrompu, coupé un instant à chaque secousse dans mes reins. Les yeux mi-clos, je vois les mateurs prenant des photos avec leurs téléphones.

- "J'aime, continue!" lui dis-je dans un souffle, "continue salaud !"

Les gens rient ou commentent autour, je n'entends pas bien dans ce brouhaha et je m'en fiche. Je me connais, je suis partie, j'ai envie, envie, envie ! Excitée, je rebaisse la tête sur le pantalon du type au volant et je reprends cette verge molle maintenant, mais mouillée que j'englobe. Je m'active, le lèche, le branle, le gland enveloppé de ma langue, il ne résiste pas à ce traitement et se lâche dans ma bouche, je continue à le branler, bien a fond pour qu'il termine totalement.

Voyant cette démonstration en pleine lumière, un autre fait sortir celui-ci pour se mettre à sa place, sa queue est prête, tendue, mouillée aussi, il me la rentre dans la bouche.

Le black hésite, et sort. Je suis étonnée, je ne l'ai pas senti éjaculer, mais ma déception est courte, car il rentre dans ma chatte trempée. Je n'ai pas encore eu mon orgasme, mais c'est tellement bon de garder son explosion, être toujours limite, les pénétrations successives précédentes dans ma chatte étaient trop rapides pour me laisser arriver à la jouissance, mais me donnait du plaisir constant. Là, le black à l'air disposé à aller au bout. C'est délirant, j'ai encore sorti la verge de ma bouche, la branlant machinalement, accélérant, ralentissant, au rythme de mes pénétrations, mes sensations, la pressant en fonction de mes montées.

Le black me laboure, expression que je n'aime pas, mais il me laboure, je ne sais pas quoi dire d'autre, mon ventre est secoué de plus en plus violemment, je me suis redressée encore, les deux bras tendus, appuyés sur le siège, le visage tourné vers le plafond, vers la lumière, bouche ouverte comme pour happer l'air, les yeux grands ouverts, attentionnée, en attente de l'orgasme qui arrive… qui explose! 

Je m'écroule et laisse mon visage revenir se reposer sur les genoux du type au volant. Il n'ose même pas me déranger, je reste comme ça quelques minutes, imaginant que tous les yeux étaient fixés sur moi en pleine lumière, me voyant hurler de plaisir lorsque le plaisir arrivait à son paroxysme, les seins tendus, bouche ouverte, dressée et matée par la grosse queue du black…

FIN

dimanche 27 août 2023

Les malheurs de Florence Ch. 06

Récit de Elko

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Final dans la cité.

A peine arrivé dans l'enceinte du lycée le lundi matin, David fut interpellé par Asma qui l'emmena dans les toilettes des filles. Blandine et Clémence, les filles chéries de la directrice étaient toutes les deux à quatre pattes en train de se faire baiser par des élèves du lycée.

- Je gagne un max de fric, elles sont bien dressées. Lance Asma.

David a du mal à cacher son érection. Les cris et les gémissements des esclaves d'Asma résonnent dans les toilettes. La jeune fille tire David par le bras.

- Vient, j'ai autre chose a te montrer.

Ils se dirigèrent vers le bureau de la conseillère principale d'éducation, madame Dumas. Celle ci était accroupi devant trois élèves suçant leurs bites, sa jupe en cuir remonté sur ses cuisses devoilent les bas auto-fixant. Ses seins sont malaxés par des mains avides.

A coté d'elle debout sur des talons aiguilles, la directrice du lycée, madame Gautier, la jupe tirebouchonnée autour de la taille se fait ramoner par la queue d'un black pendant qu'elle en suce un autre.

David reste interloqué. Il n'aurait jamais imaginé que madame Gautier se transformerait aussi vite en pute. Comme si Asma lisait dans ces pensées, elle lui fourni une explication.

- On a été chercher la CPE chez elle et on a débarqué à quinze chez la dirlo. La CPE n'est pas mariée et la dirlo est divorcée. On a été tranquille tout le week-end pour un dressage express, tiens regarde.

Comme a son habitude, Asma a fait une vidéo. On y voit madame Gautier et ses filles baisées comme des chiennes dans toutes les pièces de la maison ou elles habitent par une horde de jeunes les faisant hurler de plaisirs aussi bien la mère que ses filles. La scène ou Madame Gautier dut lécher la chatte de ses filles et vice et versa excita au plus haut point David. Madame Dumas, elle, est filmée en gros plan en train de se faire défoncer par Fatou avec son gode-ceinture pendant qu'elle suce des bites à la chaine.

- A la fin, elles en redemandaient. Ricana Asma.

La sonnerie retentit alors que les jeunes se vidaient sur le visage de leur directrice et de leur CPE.

A la pause de midi, Asma vint de nouveau chercher David et le conduisit dans le bureau de la directrice cette fois. Madame Gautier léchait la fente de Fatou qui lui appuyait sur la tête en la traitant de sale pute. Madame Dumas, elle, s'enfonçait un gode dans sa chatte en gémissant et en regardant la directrice se faire humilier. Asma sortit le sexe bien dur de son prof.

- Allez chien, tu sais ce qu'il faut que tu fasses.

Humilié, David se masturbe en regardant la directrice et la CPE en train de se brouter le minou. Fatou enfonce son index et son majeur dans la fente de madame Gautier, allongée par terre pendant qu'elle doit lécher sa subordonnée accroupie sur elle. Les deux femmes ne tardèrent pas à jouir en poussant des hurlements. David éjacula en criant sur la moquette du bureau de la directrice.

Le soir venu, David se rendit chez sa mère.

Florence l'accueillit vêtue de sa robe en latex achetée dans le sex-shop. avec des talons aiguilles rouges. Les seins a l'air sont déjà rouge d'avoir été trituré par Rachid et Moktar qui reprennent leur manège devant le fils. Faisant vite gémir Florence.

Cécile arriva dans le salon. Vêtue d'une minijupe en cuir avec un zip sur le devant. Ses jambes sont gainées de bas résilles avec des talons aiguilles au talons en acier. 

Ils se dirigent tous vers la Mercedes. David au volant, Florence et Cécile a l'arrière tripotées et doigtées par Brahim et Rachid. La Mercedes démarre sans que quiconque ne réalise que monsieur Duval-Cochet arrivait à ce moment, son séjour a l'étranger ayant été annulé. Interloqué, il regarde son épouse habillée comme une pute accompagnée de son fils et sa copine monter dans leur Mercedes avec des inconnus et partir avec eux. Intrigué, il décide de les suivre...

la Mercedes se gara devant une barre d'immeuble de la cité. Florence et Cécile en sortirent aussitôt entourés par des jeunes du quartier. Les seins de Florence étant accessibles a tous, ils sont vites malaxés.

- C'est ca les salopes que tu nous avais promis ? Demande l'un deux en farfouillant sous la jupe de Cécile.

- Oui, les autres sont là ?

- Ouais, elles sont déjà au travail.

Ils se dirigent tous vers les caves de l'immeuble. Des cris et des gémissements entrecoupés de supplications accueillent Florence et Cécile.

David découvre la directrice madame Gautier habillée d'une combinaison en résille ouverte au niveau de la chatte se débattre avec Fatou et Asma. Les joues rouges, décoiffée, elle halète en gémissant. Fatou fait coulisser un gode dans sa chatte.

Plus loin, ses filles, Blandine et Clémence, en équilibre sur des talons aiguilles, une jupe ultra courte ne dissimulant rien du tout, pompent des bites à la chaine.

Madame Dumas, seins à l'air, se fait mettre des claques puissantes sur les fesses par Aya, la mère de Fatou et Asma.

Florence est contrainte de doigter Cécile pendant que celle-ci fait de même avec sa belle-mère. Les deux femmes gémissent sans retenue pendant que, de son autre main, Florence doit masturber son propre fils.

Rachid filme toute la scène.

Philippe Duval-Cochet descendit silencieusement les escaliers qui menaient à la cave. Il entend des cris de femmes, des gémissements et des rires et des insultes. Il s'approche encore et découvre l'horreur.

Pleines de perversions, Fatou et Asma ont eut un idée. Gautier et Dumas sont assises sur un canapé en très mauvais état et avec des taches plus que suspectes qui trône au milieu de la cave. Les jambes bien relevées, elles gémissent sous les coup de langues de leurs filles respectives qui leur mordillent le clitoris.

David se fait pomper par sa mère et sa copine qui se disputent le droit de le sucer. Florence lui lèche le gland salivant dessus pendant que Cécile lui lèche les couilles.

Rachid et Brahim se positionnent derrière Clémence et Blandine occupées a bouffer la chattes de leurs mamans et les pénètrent les faisant vite gémir.

Leurs mères ne tardent pas à jouir comme des folles en hurlant.

David éjacula un torrent de sperme sur le visage de sa mère.

Rachid et Brahim défoncèrent encore Blandine et Clémence les pilonnant violemment et ils jouirent sur leurs culs.

Philippe assistant a cette scène d'une perversité sans nom se caresse la bite a travers son pantalon attendant la suite...

Florence se retrouve accroupie devant plusieurs jeunes. Elle suce une bite pendant qu'elle en branlent deux autres de ses mains manucurées. Les commentaires salaces pleuvent.

- Quelle salope !!

- Elle suce comme une pute....

Madame Duval-Cochet devant son fils, mais aussi devant son mari toujours caché, continue de pomper le jeune qui enfonce sa bite jusqu'au fond de sa gorge la faisant hoqueter.

Cécile se fait peloter les seins et branler par Fatou, Asma et Aya. Elle haleté violemment pendant que les doigts s'agitent dans sa chatte et sur son clitoris.

Les jeunes éjaculent sur le visage de Florence la remaquillant de foutre.

Youssouf et Moktar, déchainés, font crier la directrice et la CPE à quatre pattes, échevelées, haletantes pendant que leurs filles se font prendre en double.

Les deux jeunes filles sont empalées sur les bites de deux noirs pendant que deux arabes les pilonnent sans ménagements.

Madame Gautier et madame Dumas se font goder par leurs propres filles. Blandine et Clémence font coulisser un gode que leur a donné Fatou. Les deux femmes allongées sur le sol de la cave bafouille des mots sans suite en ondulant du bassin. Jouissant sans retenue.

Cécile et Florence sont au prise avec Asma et Aya.

Toutes deux ont enfilé un gode-ceinture et elles pilonnent leurs deux victimes les faisant hurler. Debout sur leurs talons aiguilles, les deux bourgeoises, les seins ballotant dans tous les sens, halètent et gémissent.

Issa, le père de Fatou et Asma débarqua soudain avec des potes à lui , les pères des jeunes qui étaient déjà dans la cave. Ils se ruèrent sur Florence au grand désespoir de David. Sa maman se retrouve à genoux pompant trois bites en même temps. L'épaisseur des bites lui déforme la mâchoire.

Cécile poussée dans le canapé se fait défoncer par Youssouf.

Madame Gautier et madame Dumas debout, hurlent sous les coups de pines de deux blacks qui les enculent. Blandine et Clémence se font bouffer la chatte par Asma et Fatou tout en suçant des bites.

Plusieurs jeunes crachèrent leurs foutres sur le visage de Florence pendant que celle ci se faisait enculer par Moktar.

David dut s'approcher de sa mère haletante sous les nombreux orgasmes qu'elle a eu. A grands renforts de claques sur le cul pour qu'il obéisse, il pointe son gland sur l'ouverture des reins de sa maman qui frémit et tourne la tête en voulant protester. David encula sa mère la faisant hurler. Il la prend aux hanches et se met à la pilonner comme un fou. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Florence ouvre la bouche, elle halète, gémit en se pinçant les seins. Brahim tout en filmant lui pinça le clitoris et madame Duval-Cochet hurla sa jouissance.

Témoin de toute cette déchéance, Philippe se branle de la main droite en poussant de petits gémissements. Il éjacula par terre quand il vit son fils enculer sa femme. Il partit précipitamment ne voulant pas en voir plus.

L'orgie se termina rapidement. Tous ces jeunes aux couilles pleines éjaculèrent leurs foutres sur les visages de Florence, Cécile, Blandine, Clémence et leurs mères. Méconnaissables, recouverts de spermes, extenuées, elles cuvent leurs orgasmes sur le sol de la cave...

Evidemment, tout cela ne pouvait rester sans conséquence. Philippe demanda le divorce. La rumeur de vidéos circulant sous le manteau dans l'enceinte du lycée remonta jusqu'à l'inspection d'académie.

David, madame Gautier et madame Dumas furent renvoyés de l'Education nationale. Sans travail, sans logement, le pavillon appartenait à son père et celui ci ne voulait plus le voir, David et sa mère se voyait déjà mendier dans les rues de Nantes.

Ce furent Brahim et Fatou qui trouvèrent la solution...

Fatou grogna et se retourna dans son lit. Pestant contre le bruit qui venait du salon. Folle de rage, elle se leva et ouvrit la porte de sa chambre.

- Oh je dors moi !!

Mais les cris continuent. Elle avança dans le salon. Florence, à quatre pattes, hurle sous les coups de pines d'Issa. A coté d'elle, Cécile est empalée sur le gode-ceinture d'Aya. Elle monte et descend faisant bouger ses seins.

David est devant eux, voyeur comme d'habitude, branlé par Asma. Il est résigné maintenant. Lui, sa mère et sa copine sont devenus les esclaves sexuelles de toute la famille de Fatou.

Madame Gautier et madame Dumas sont les putes de Brahim et sa famille. Il n'est pas rare qu'ils se retrouvent tous dans les caves pour ramener un peu de frics à la maison.

Blandine et Clémence sont les pute de Youssouf et Moktar et leurs familles. Elles sont souvent emmenées dans d'autres cités pour être louer à d'autres jeunes. Parfois leurs mères les rejoignent....

FIN

vendredi 25 août 2023

Les aventures d’une soumise au bureau - Ch. 03

Traduction d’un texte de Byshyofficesub.

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Exhibition et gang-bang.

Pendant les quatre semaines qui suivent ma « réunion » avec les quatre hommes noirs, je ne revois pas M. Thomas, même pour des raisons professionnelles légitimes. Cette absence commence à avoir un impact sur mon corps et plus particulièrement ma chatte. J’en ai honte. Je suis presque constamment excitée et chaque fois que mon téléphone sonne ou qu’une notification de mail apparaît sur mon écran, ma chatte palpite. Si bien que je me pose beaucoup de questions sur ma santé mentale et quelle femme je suis vraiment.

Mais le dimanche vers 15h30, l’absence de mon maître se termine. Je reçois un message sur mon téléphone. Il est écrit : « Salope, je sais que ton mari n’est pas chez toi pour la semaine. Je viendrai te chercher demain à 8h00 pour t’emmener au travail. Tu porteras la robe bleue que j’aime bien et la lingerie que je t’ai envoyée à Noël »

Je lis le message une deuxième fois. Comment sait-il que mon mari est parti en voyage d’affaires ? Qu’est-ce qu’il prévoit ? A la pensée de la robe et des sous-vêtements en dentelle qu’il veut que je porte, j’ai des picotements dans ma chatte.  La robe est très moulante et courte.

Mes mains se glissent automatiquement dans mon jean. Je suis déjà bien mouillée. Je suis sur mon canapé dans mon salon en caressant furieusement ma chatte humide. Mes tétons durcis tendent le tissu de mon tee-shirt. Bientôt je jouis en pensant au lendemain.

Il est 7h00 et je suis sous la douche. Ma chatte réagit instantanément alors que je savonne mes gros seins. Je n’ose pas me faire jouir alors que M. Thomas sera là dans une heure. Mais mon sexe continue à s’humidifier.

Je secoue la tête pour essayer d’échapper à mes idées vicieuses. Je coupe l’eau, prend une serviette et je retourne dans ma chambre pour m’habiller. Je m’assure que les stores soient fermés pour que personne ne puisse me voir. J’enfile le string bleu pâle et le soutien-gorge assorti que mon Maître veut me voir porter. Le string couvre à peine ma chatte et mes mamelons sont bien visibles à travers le tissu fin du soutien-gorge. La robe est bleu foncé avec un col rond et des boutons sur le devant. Elle s’évase en bas et elle est vraiment très courte. Elle fait également une taille trop petite. Si bien que la porter me fait rougir et m’excite encore plus. 

Je prends mon sac à main quand M. Thomas arrive dans sa Mercedes. Je crois que c’est une classe S ou quelque chose comme ça, mais je ne connais pas trop les voitures. Quoi qu’il en soit, elle est sportive avec seulement deux portes. Je suis très embarrassée quand deux voisines me voient dans ma robe sexy saluer M. Thomas. Et lui, sachant que je suis gênée en profite pour mettre sa main sur mes fesses pour me conduire du côté passager de la voiture. Avant que je m’asseye il soulève ma robe et montre mon cul à Mme Taylor. Je peux entendre ma voisine hoqueter de surprise quand elle voit mon string et mes fesses. J’ai trop honte pour pouvoir la regarder alors je monte vite dans la voiture, le visage tout rouge.

Le véhicule est très bas, si bien que ma robe remonte sur mes cuisses quand je m’assois. M. Thomas sourit en regardant mes jambes et mes tétons qui pointent clairement sous le tissu de ma robe. Avant de quitter mon allée, il se tourne vers moi et dit :

- Maintenant Anna, sois une bonne fille et défais les boutons de ta robe.

- S’il vous plaît Monsieur, pas ici, mes voisines nous regardent.

- Tu veux que j’envoie à Mme Taylor la vidéo que tu as faite il y a trois semaines ? Fais bien attention !

Mes mains tremblent et je ne regarde pas à l’extérieur de la voiture pendant que je déboutonne le haut de ma robe. Un, deux, puis trois boutons plus tard, on peut voir clairement mon soutien-gorge et mes mamelons sont bien visibles.

- S’il vous plaît Monsieur, on peut y aller maintenant ? S’il vous plaît !

- Pas encore, je dois voir si tu portes tout ce que je t’ai dit de porter. Montre-moi ton string Anna !

Mon visage devient encore plus rouge alors que je relève ma robe pour montrer le string bleu en dentelle qui, à ma plus grande honte, a une tache humide.

- Bonne fille !

Sur ces mots, il sort lentement de mon allée devant Mme Taylor et Mme Simpson. Du coin de l’œil, je peux les voir regarder à l’intérieur de la voiture. 

M. Thomas continue dans la rue, puis prend une avenue. A cette heure matinale, l’avenue est très passante avec des bus et beaucoup de voitures. Alors que nous sommes arrêtés à un feu rouge, j’entends soudain frapper à ma fenêtre. Je vois alors un groupe d’étudiants qui me regardent et rient.

- Allez Anna, donne-leur du spectacle ! Touche-toi Anna ! Caresse ta chatte !

Ma main lui obéit tout de suite, sans écouter ma tête. Elle glisse sous le string. Je peux encore entendre les jeunes frapper à la vitre, mais je n’ose pas les regarder. Je ferme les yeux et je gémis quand mes doigts touchent ma chatte humide.

- C’est bien Anna ! Mais continue à te toucher pendant la route pour aller au travail. Mais n’oublie pas, tu n’as pas le droit de jouir.

J’écarte les lèvres de ma chatte et je plonge deux doigts dans ma grotte intime sans me soucier de qui peut me voir, piéton ou voiture. Un camion klaxonne tandis que je caresse mes mamelons avec l’autre main.

Je suis dans une voiture qui roule dans un trafic dense avec deux doigts dans ma chatte et ma main gauche qui tripote ma poitrine. Je fais aller et venir mes doigts dans mon sexe, jambes écartées. Je suis vraiment excitée et mouillée, je gémis bruyamment dans la voiture.

- S’il vous plaît M. Thomas, puis-je jouir ? S’il vous plaît Monsieur ?

Il secoue la tête en conduisant.

- S’il vous plaît Maître, je dois jouir !

- Si tu ne peux pas tenir, tu es autorisée à arrêter. Mais tu n’es pas autorisée à jouir. Est-ce clair Anna ?

Mes gémissements s’intensifient.

- Anna ! Est-ce que tu comprends ?

- Oui Monsieur… Je… Je le fais…

Il faut que je sorte mes doigts de ma chatte, mais je ne peux cesser de me caresser. Après ce qui me semble une éternité, nous arrivons au parking de notre travail. 

- Tu ferais mieux de soignetr ta tenue avant d’aller travailler. Dit M. Thomas

Je remets ma robe en place. Mes tétons sont toujours bien durs et ils pointent sous le tissu. En sortant de la voiture, je ne peux éviter de montrer mon entrejambe. M. Thomas me tapote les fesses avant de quitter le parking et il me souhaite une bonne journée. 

J’entre dans mon bureau encore tremblante d’excitation. Je n’arrive pas à croire qu’il m’a obligé à me toucher de chez moi à ici. Je passe le reste de la matinée à essayer de travailler, et je continue à attendre que M. Thomas m’appelle ou m’envoie un message, mais rien. Le déjeuner passe et toujours rien. Et l’après-midi est pareil, je n’ai aucune nouvelle de lui. Je suis de plus en plus anxieuse et excitée.

Je prends le métro pour rentrer chez moi où je tourne en rond comme un fauve dans une cage. Puis mon téléphone sonne, j’ai enfin un message de lui. Il dit : « Salope, demain tu porteras la jupe noire de costume que j’aime bien, un chemisier blanc et transparent, des bas et les talons de dix centimètres que tu as acheté il y a quelques semaines. Oui je sais ce que tu as acheté, tu ne peux rien me cacher. C’est tout ce que tu es autorisée à porter. Je passerai à huit heures. Et n’oublie pas, interdit de jouir ! »,

Bien sûr, je remarque que dans sa liste manquent la culotte et le soutien-gorge.

Il est 7h15 le lendemain, je sors juste de la douche. Mes mamelons sont bien durs et je mouille déjà en regardant la courte jupe noire qui couvrira à peine mes fesses et le chemisier transparent. Heureusement j’ai trouvé une veste. Mes yeux se portent sur les talons hauts que je dois porter. Je rougis en m’imaginant à ce que je vais ressembler aujourd’hui. j’enfile la jupe, le chemisier qui frotte sur mes mamelons sensibles et qui les fait durcir encore plus. 

Je viens de finir de mettre mon rouge à lèvres et je glisse mon pied droit dans une chaussure quand j’entends le claquement d’une portière. C’est M. Thomas. Mes seins sautent de haut en bas quand je me dépêche de descendre les escaliers. Je me dis que j’ai bien fait de mettre une veste.

J’ouvre la porte d’entrée. M. Thomas est là et il me bloque le chemin.

- Voyons voir Anna si tu as respecté mes instructions. Enlève ta veste !

- S’il vous plaît Monsieur, pas ici ! Ce chemisier est si transparent qu’il ne cache rien. S’il vous plaît !

Mais j’obéis en baissant les épaules. j’enlève ma veste pour la poser sur mon bras. Mes mamelons sont clairement visibles dans la lumière du jour qui entre par la porte. Je suis reconnaissante que M. Thomas soit devant la porte quand M. Jones sort de sa maison. Il me fait un petit geste naturel. 

- Ce n’est pas tout Anna ! Lève ta jupe !

Mes mains tremblent alors que je soulève ma jupe et montre ma chatte nue. M. Thomas approuve d’un hochement de tête. Mais avant que je puisse tirer ma jupe vers le bas, il se dirige vers la voiture et me laisse bien en vue. Je pense que je réussis à baisser ma jupe avant que Mme Hopkins qui se promène avec son bébé dans une poussette me voit. Mais elle ne manque pas de bien regarder mon chemisier transparent. Baissant la tête, je me dépêche de rejoindre la voiture. M. Thomas rigole quand il voit que j’essaie d’ouvrir la porte passager qui est verrouillée. M. Jones qui part pour faire son jogging, trébuche en me regardant.

M ; Thomas déverrouille la porte et je suis autorisée à monter. Mon visage est si rouge que je crois pouvoir sentir la chaleur s’en dégager. Mes tétons sont bien dressés, bien durs et je mouille. Je mets ma veste sur mes genoux et M. Thomas sort sa voiture de mon allée.

- Mets la veste sur la banquette arrière, Anna. Et remonte ta jupe !

Il faut encore que j’expose ma chatte le temps du trajet.

- Maintenant Anna, je veux que tu te caresses, mais je ne veux pas que tu jouisses. Et je veux que tu regardes tout le temps par la fenêtre. Compris ?

- Oui Monsieur !

Je réponds docilement. Ma chatte est déjà tellement humide que mes doigts glissent facilement. Un gros SUV s’arrête à côté de nous. Le conducteur me regarde me doigter. Il sourit. J’ai tellement honte que je détourne la tête. M. Thomas saist alors mon mamelon gauche et le tord à travers mon chemisier.

- Qu’est-ce que je t’ai dit, salope ? Descends ta vitre et dis à cet homme ce que tu fais !

Immédiatement je rougis et ma chatte se contracte alors que je baisse la vitre et que je dis au conducteur du SUV que je suis en train de doigter ma chatte bien humide. 

Deux blocs de maisons plus loin, je suis prête à jouir.

- S’il vous plaît Monsieur, je dois jouir !

En réponse, mon mamelon gauche est de nouveau tordu violemment.

- D’accord salope, tu peux arrêter de te caresser. Mais à la place tu vas sucer ma bite !

Je me penche tandis que nous nous arrêtons pour laisser passer une voiture. Je rougis encore en me rendant compte que ma jupe est si courte que tout le monde passant dans la rue peut voir mon cul nu.

M. Thomas pousse ma tête sur sa bite bien raide. Je déplace mes lèvres de haut en bas sur son engin. Mon cul tortille alors que je suis encore plus exposée. Ma vitre est toujours baissée et je suis sûre d’entendre les gens dire que je suis une pute. Ma honte fait que je suis encore plus excitée et je gémis autour du sexe de mon Maître. Je le branle avec ma main droite pendant que je lèche son gros gland, puis je descends et remonte ma bouche de plus en plus vite sur son sexe. Je peux le sentir se tendre alors que nous arrivons sur le parking de notre entreprise. Des jets de sperme frappent l’arrière de ma gorge et j’essaie de tout avaler. Tandis que je lèche soigneusement sa bite, il se gare.

- C’est bien salope ! Dit-il en descendant de la voiture.

Il me tend ma veste et c’est la dernière fois que je le vois de la journée.

Je passe ma journée au bureau sans soutien-gorge ni culotte. Je résiste tant bien que mal à ne pas courir aux toilettes pour me faire jouir, j’ai trop peur des conséquences. C’est très dur lors de la réunion de deux heures dans une salle où la climatisation ne fonctionnait plus. Je dois enlever ma veste et les clients fixent constamment mes seins et mes tétons durs sous le chemisier transparent. Dès que la réunion se termine, je cours à mon bureau, humiliée, ma chatte inondée. Quand j’y arrive, je trouve un message de M. Thomas : « As-tu aimé la panne de climatisation ? ». Bon sang, je n’arrive pas à croire qu’il l’a fait exprès.

A dix-huit heures, je me dirige vers le métro après avoir encore été ignorée par M. Thomas toute la journée. Confuse, je suis encore excitée quand je prends la rame de métro. Ma jupe ne cache rien de mes jambes lisses quand je m’assois et le mouvement de la rame fait que mes seins se balancent d’avant en arrière.

Arrivée à la maison, je trouve une boite sur le perron. Elle est petite, donc il ne s’agit pas de vêtements. Je suis sur le point de l’ouvrir quand mon téléphone sonne. C’est mon mari. 

- Oui mon chéri, ça va bien. Oui le travail m’occupe. Et toi ton voyage ?

Je continue à ouvrir la boite alors que mon mari me raconte son voyage d’affaires. Quand je l’ouvre, j’ai le souffle coupé et je pousse un petit cri.

- Ce n’est rien, mon chéri. Je viens de voir une araignée et j’ai eu peur. Dis-je en mentant.

En réalité je vois un plug de dix centimètres et un œuf vibrant commandé à distance. Je fixe les objets tout en disant au revoir à mon mari :

- Je t’aime aussi mon chéri. Bonne soirée !

Alors que je raccroche, je vois que j’ai un message de M. Thomas : « Demain matin tu insères le plug et l’œuf avant que je vienne te chercher. Ne t’inquiète pas pour la télécommande, elle est en de bonnes mains. Débrouille-toi pour porter quelque chose de sexy. Et rappelle-toi que tu n’as pas le droit de jouir. »

Mercredi matin, je sais que je vais avoir du mal à marcher. Avec le plug dans mon cul et l’œuf dans la chatte, il est difficile pour moi de rester debout, de marcher ou de m’asseoir. Je me regarde dans le miroir de ma chambre. Mon visage reflète mon excitation, mes mamelons sont bien durs sous mon soutien-gorge en dentelle et ma robe verte foncée. Au moins, avec ces objets, je suis obligée d’avoir une culotte. 

J’entends une portière de voiture claquer dans la rue alors, en soupirant, je descends l’escalier. Je fais deux pas quand mes genoux se plient et que des frissons parcourent mon corps quand l’œuf se met en route. Je gémis et lutte pour arriver à la porte d’entrée. Je l’ouvre en me préparant à supplier M. Thomas d’arrêter. Ma chatte est déjà bien humide. Je suis surprise car je vois sur mon perron, M. Stewart, un de mes voisins. L’œuf se met à vibrer plus vite. Je vois plus loin M. Thomas qui sourie alors que je lutte contre ces sensations dans ma chatte.

- Mo… Monsieur Stewart, comment allez-vous ? Dis-je en balbutiant.

Quand il me regarde de haut en bas, ça ne fait qu’accroître mon embarras et mon excitation. 

- Bonjour Anna. Ma femme et moi souhaiterions vous inviter avec votre mari pour un dîner la semaine prochaine. Est-ce possible ?

J’agrippe la porte, ma chatte se contacte autour de l’œuf vibrant. J’essaie de garder une voix calme :

- Oui ce ser… ait bien M. Stewart.

- Oh appelez-moi Ron ! Et cette robe vous va très bien ! Dit-il avant de s’éloigner.

Je rougis encore plus à ses compliments. L’œuf s’arrête subitement de vibrer. Alors je me dirige lentement vers la voiture de M. Thomas.

- Bonjour Anna, je vois que tu aimes mon cadeau. Dit-il quand je rentre dans sa voiture, ma robe remontant sur mes cuisses.

Le trajet jusqu’au travail est atroce. Il n’arrête pas de jouer avec la télécommande de l’œuf, le démarrant, le poussant au plus haut niveau de vibration puis l’arrêtant subitement.  Mon corps et en feu, mon esprit est dans le brouillard, je voudrais pouvoir jouir avant d’arriver au travail. 

- Ne t’inquiète pas Anna, la télécommande sera en de bonnes mains toute la journée. Dit-il alors que nous entrons dans l’ascenseur.

La matinée se passe assez normalement si on exclut le fait que le plug dans mon cul bouge et s’enfonce quand je m’assois. Je ne peux l’oublier et il garde mon excitation éveillée. Toutes les deux minutes, je me demande quand l’œuf va reprendre vie. Mais ni M. Thomas, ni l’œuf enfoui dans ma chatte ne donnent signe de vie. 

Plutôt confiante et assez à l’aise, à 13h00, je me dirige vers une réunion programmée. Je sais que M. Thomas est sorti pour un rendez-vous à l’extérieur et qu’il ne sera donc pas là.

Mais c’est quand le client commence à expliquer le motif de la fusion de son entreprise que  ça arrive. Au début, je mets cela sur le compte de mon imagination, mais ce n’est pas ça. Je me tortille sur mon siège en regardant autour de moi. L’œuf vibre dans ma chatte. Personne ne me regarde, mais mon sexe commence à mouiller. Oh mon Dieu, qui a la télécommande ? Je panique. Je ne vois pas M. Thomas et je suis en train de me tortiller sur mon siège en réunion tout en essayant de ne pas gémir.

Je ne connais pas notre client depuis longtemps et je me demande bien avec qui mon secret a été partagé ? J’étouffe mes gémissements en buvant un peu d’eau. Je croise les jambes, mais ça ne fait qu’accroître les vibrations et la pression sur le plug. J’agrippe la table et je me mords les lèvres. Mes tétons pointent clairement sous ma robe. Et tout d’un coup j’entends une question.

- Pardon M. Ryan ? Balbutié-je.

- Anna, avons-nous les autorisations nécessaires et est-ce que la loi nous permettra de faire ce que veut M. Chan ?

Les vibrations sont plus fortes maintenant. Mon visage est rouge.

- Anna, vous allez bien ? Vos yeux sont vitreux.

- Ça… Ça… Va… M. Ryan. Tout… Tout va bien (l’oeuf s’arrête de vibrer). Nous avons toutes les autorisations nécessaires, la fusion devrait bien se passer au niveau légal.

Je regarde autour de moi. Personne ne dit un mot et ne me lance de regards bizarres.

La réunion se poursuit et l’œuf reste inactif. Je commence à me demander si je n’ai pas imaginé tout ça dans ma tête.

Je retourne dans mon bureau où je trouve une note de M. Thomas. Il est écrit : « Salope, j’espère que tu as apprécié ta réunion. J’au oublié de mentionner qu’il y avait deux télécommandes avec l’œuf. »

J’ouvre grand les yeux. Il a donné une télécommande à quelqu’un. Oh mon Dieu, je n’arrive pas à croire qu’il ait fait ça. Je me sens terriblement humiliée et vulnérable.

Alors que je pense que ma situation ne peut être pire, l’œuf recommence à vibrer. Je suis assise droite comme un I dans ma chaise. Mon Dieu, je crois que je vais jouir sur place. C’est alors que Mme Carter entre dans mon bureau avec un grand sourire et une télécommande dans la main. Je suis choquée. Mme Carter est une grande blonde au corps athlétique en bonne forme pour ses 50 ans. Ses yeux sont très bleus, elle a une superbe poitrine et un cul bien ferme.

- Petite salope, petite pute, tu ne mérites pas de jouir ! Murmure-t-elle en éteignant l’œuf alors que j’étais proche de l’orgasme.

Je voudrais désespérément jouir.

- Salope, maintenant tu vas retirer ton string et l’œuf. Tu mettras celui-ci dans ta bouche.

Elle ferme la porte de mon bureau pendant que je fais glisser mon string sur mes jambes. Je sors l’œuf de ma chatte trempée en gémissant. Puis je le mets dans ma bouche. Je la vois qui relève sa robe pour me  montrer une chatte nue, bien lisse, avec de grandes lèvres qui scintillent de son jus.

- Maintenant, tu vas lécher ma chatte avec l’œuf dans ta bouche de pute !  Tout de suite !

J’ai du mal à l’entendre parler aussi vulgairement. L’œuf commence à vibrer dans ma bouche tandis que je l’appuie de haut en bas sur son sexe. Elle gémit et se tortille.

- Oui c’est ça, salope. Fais-moi jouir et peut-être que je te laisserai avoir un orgasme.

Donc, Désespérée de pouvoir jouir, je pousse l’œuf contre son clitoris et je glisse deux doigts dans sa chatte. 

- Oui, oui, oui… C’est ça, petite pute… Gémit-elle.

Elle appuie ma tête contre son sexe, l’œuf dans ma bouche contre son clitoris. Mon jus coule sur mes cuisses pendant qu’elle gémit et m’insulte. 

- Oui, je veux que tu me fasses jouir, salope. Fais-moi plaisir, putain.

Tout d’un coup, elle se cabre, gémit et se met à trembler. Le jus de sa chatte gicle sur ma bouche et mon visage. Son sexe se resserre sur mes doigts. 

Puis elle me repousse et rajuste sa robe comme si rien n’était arrivé.  Elle prend l’œuf dans ma bouche et elle le glisse dans son sac à main. Puis elle se dirige vers la porte. Je trouve la force de dire :

- Mme Carter, vous… Vous avez dit que je pourrais jouir si vous aviez un orgasme.

Ma voix est tremblante de désespoir. Elle rit. Je la supplie :

- S’il vous plaît Mme Carter, puis-je jouir ? Ma chatte est tellement mouillée et je suis désespérée.

- Elle rit encore et, sans un mot, sort de mon bureau sans m’autoriser à jouir. Mon humiliation continue de croître.

Quelques instants plus tard, M. Thomas me contacte pour me dire d’enlever le plug et de le laisser sur mon bureau. 

A 18 heures, je quitte mon travail, tendue, excitée et honteuse en pensant au plug qui trône sur le dessus de mon bureau. Je n’ai pas de nouvelles de M. Thomas dans la soirée à part un message laconique qui me dit de prendre le métro demain matin et me rappelle que je ne dois pas jouir. Il ne me donne pas d’instructions sur ce que je dois porter, je ne reçois pas de colis avec des objets pervers non plus qui pourraient m’embarrasser le lendemain. Je me couche la chatte humide et anxieuse.

Toute la nuit, je suis tourmentée par de mauvais rêves où je suis fouettée, torturée et obligée de jouir. Je me réveille encore plus excitée, plus mouillée et complètement honteuse. Qu’est-ce qui se passe avec moi ? Qu’est-ce que je deviens ? Je me pose ces questions alors que je me dirige vers la douche. Je grimace quand je me lave, mon cul étant encore douloureux du port du plug hier toute la journée. Mes pensées se tournent vers ce plug bien en évidence sur mon bureau. Je suis tellement humiliée, je me demande ce qui va arriver. Ma chatte et encore plus humide quand je sors de la douche pour m’habiller. C’est étrange de ne pas avoir reçu d’instructions de M. Thomas, pas de SMS ou d’appel téléphonique. C’est trop bizarre.

Je choisis une jupe crayon qui descend juste au-dessous du genou. Pour une fois, je suis heureuse de la longueur. J’enfile un chemisier bleu par-dessus un soutien-gorge en dentelle violette. Ainsi j’ai l’air sexy, mais professionnelle, en tout cas bien différente de la salope durant cette semaine. J’enfile des talons de 8 centimètres et je me dirige vers le métro. M. Stewart me salue quand je passe. Il a l’air presque déçu de ma tenue.

En arrivant au travail, je me dirige rapidement vers mon bureau. A l’intérieur je regarde et je ne vois ni le plug ni une note quelconque. Toute la matinée je me demande où est passé l’objet et qui l’a pris. Mais je ne le découvre pas. En fait mon travail me paraît trop normal, ennuyeux même. Je n’ai pas de nouvelles de M. Thomas et Mme Carter agit comme si rien ne s’était passé hier. Ce calme me rend folle. J’ai un manque d’humiliations. Mon Dieu, que c’est horrible de penser ça, me dis-je.

Quand je reviens d’une réunion à 16h30, j’ouvre ma porte de bureau et je trouve, posée soigneusement sur mon bureau, une très courte robe noire avec un profond décolleté en V et de fines bretelles. Je trouve aussi un string noir, le soutien-gorge assorti et des talons noirs de 10 centimètres. Il y a un message disant : « Salope Anna, ce soir nous allons à une soirée spéciale. Tu dois porter ça et rien d’autre. Je serai là à 17h30 pour te prendre. Sois prête : »

Je verrouille ma porte de bureau et je me déshabille. Le string est très doux quand je le tire sur mes cuisses lisses. Ma chatte répond déjà au port de cette lingerie fantaisie. La robe couvre à peine mes fesses et plonge bien au-dessous de mes seins. Avec les chaussures et mon maquillage, je ressemble à une escort-girl de grande classe. Mon estomac se crispe lorsque M. Thomas frappe à ma porte. 

- Tu es superbe ! Dit-il quand j’ouvre.

Il a dans les mains une bouteille de champagne et un sac. De celui-ci il retire un plug et du lubrifiant.

- Maintenant, sois une bonne fille Anna et mets ce plug pendant que je verse deux coupes d ece merveilleux champagne.


Il fait sauter le bouchon de la bouteille alors que je lubrifie mon cul et le plug. A ma grande surprise il glisse facilement dans mon petit trou pour le remplir. Le port de l’autre plug a été payant.

M. Thomas me tend une coupe de champagne. j’en prends une gorgée. J’apprendrai plus tard qu’il a mélangé du somnifère avec le liquide.

- Mmmm, très bon Monsieur ! Dis-je en savourant le champagne.

Je prends une autre gorgée et je me sens étourdie tout d’un coup. Je monte une main à ma tête alors que la coupe s’échappe de mon autre main. Je m’effondre dans mon fauteuil de bureau et la dernière chose que je me souviens est d’entendre M. Thomas dire que je suis une bonne fille.

Je me réveille, il fait sombre. Ai-je les yeux bandés ? Non, c’est une cagoule. Je suis enchaînée. Mes bras sont tirés au-dessus de mon corps, mes jambes sont écartées et mes chevilles enchaînées au sol. Tout d’un coup il y a une lumière vive et j’entends quelque chose être tiré, comme des rideaux. J’entends des hoquets de stupéfaction de personnes invisibles, puis une voix. C’est M. Thomas.

- Ce soir, nous avons une surprise pour notre collecte de fond. Il s’agit d’une salope, d’une pute pour notre divertissement.

Je rougis alors que je me rends compte qu’il parle de moi. Il continue :

- Mais attention ce n’est pas une salope ordinaire, une pute ordinaire. Il s’agit d’une femme mariée exerçant le métier d’avocate qui est devenue une vraie traînée.

J’entends des applaudissements ainsi que des acclamations. Tout d’un coup, la cagoule est enlevée. Je plisse les yeux pour m’habituer à la lumière. Je vois que je suis sur une scène. Il y a environ cent personnes devant moi. Ils portent tous des masques. Heureusement j’en porte un aussi. Je regarde M. Thomas en l’implorant des yeux. c’et si humiliant de se trouver ainsi. Mais je n’ose pas dire quoi que ce soit.

- Maintenant, nous allons commencer les enchères pour lui enlever ses vêtements. On commence à 200, je vois 250, oui 300 !

Il murmure que je suis très populaire. Je rougis encore. Quelqu’un dans la salle lance :

- 500

- 500 ? Est-ce que ça va ? Alors 500 oui !

Je regarde avec horreur M. Thomas tendre à un homme un étrange couteau brillant qui lui à la lumière des projecteurs. L’homme prend le couteau et le pose sur mes jambes nues, me faisant frissonner. Le public rigole quand je gémis et je tremble de mon humiliation. Le couteau tranche rapidement ma robe, je me retrouve en string et soutien-gorge. Le couteau est froid sur ma peau quand il passe sous mon soutien-gorge pour le trancher. Mes seins sont libérés. Quand mon string tailladé tombe sur le sol, ma chatte est bien humide.

- Regarde l’écran à droite!

Je regarde, comme le public, un grand écran de télévision. Je vois un gros plan de ma chatte humide.

- Je vous avais dit que c’était une salope spéciale. Elle mouille déjà.

Je secoue la tête d’embarras et d’excitation. La caméra bouge et révèle mes tétons dressés et bien durs puis mon visage rougissant.

- Continuons ! Cette salope n’a pas été très sage je crois ! Une fessée est appropriée. Je pense que 50 est un bon prix pour une claque sur son cul. Mais nous allons plafonner son châtiment à 20 coups. Dit M. Thomas en tenant une raquette. En sanglotant je laisse échapper un « non » de ma bouche.

Tandis que les gens font la queue pour me punir, la chaîne qui enserre mes poignets est abaissée et déplacée vers l’avant ce qui fait que je me retrouve pliée à la taille. Le premier coup est rapide et fort. Un cri s’échappe de ma gorge.

- Stop, arrêtez ! Commande M. Thomas.

Il dit alors au public que l’on doit compter. Les gens crient :

- Un !

Le deuxième coup est violent et fait trembler mon cul. Le public crie et rit. Au cinquième coup, mes fesses sont rouges et chaudes. L’écran de télé révèle à quel point je suis humide. Les gens, en criant les chiffres, ne font qu’augmenter mon excitation et ma honte. Le dixième coup tombe. J’halète dans la douleur et le plaisir. Ça ne passe pas inaperçu. 

- Bon sang, je crois qu’elle pourrait jouir d’être fessées. Je vous avais dit qu’elle est spéciale.

« CLAC » fait la raquette. Je gémis et la chaleur de mon cul envahit mon corps. Au moment ou le vingtième coup frappe mon cul à vif, je suis dans un bonheur orgasmique, mes gémissements et mes cris se mélangeant aux acclamations du public qui finit de compter  pendant que je jouis. 

- Quelle salope ! Constate M. Thomas.

Puis il annonce :

- Maintenant, qui va être le premier à la baiser ? Le trou que vous voulez ! Avons-nous 1000 ? Oh j’entends 1200 ! 1500 ! Wow 2000 !

Je n’arrive pas à croire que l’on dépense autant d’argent pour moi. j’en suis presque fière. L’homme qui a gagné monte sur scène. Il est grand, musclé, vêtu d’un costume de très bonne qualité et d’un masque noir. Il sourit en sortant sa queue déjà bien raide. J’en ai un bref aperçu quand il frappe mon visage avec avant de me contourner et se placer derrière moi. Sans avertissement, il m’encule. Mon pauvre cul, son engin est vraiment épais alors qu’il s’enfonce centimètre par centimètre dans mes entrailles. Je gémis encore à cause de la douleur et du plaisir. Il passe une main sous moi et frotte ma chatte trempée alors qu’il me sodomise brutalement. Être enculée devant un public joyeux de mon sort ne fait qu’exacerber mon excitation et mon humiliation. Il m’encule sur un rythme soutenu et je peux bien sentir sa queue dans mon cul. Soudain il se raidit et éjacule en moi. Puis il sort sa queue et l’écran de télévision montre du sperme glisser sur ma chatte et mes cuisses. 

- Maintenant Mesdames et Messieurs, nous offrons ces trous pour 500. S’il vous plaît, alignez-vous ici devant elle. Je peux voir tous ces gens payer et faire la queue. Bon sang, ils vont tous me baiser, ou me lécher, ou me faire sucer ! On détache mes chevilles et mes bras. Je suis obligée de chevaucher une bite qui s’enfonce facilement dans ma chatte. Une autre queue se glisse dans ma bouche alors qu’une troisième s’enfonce dans mon cul. Je vois sur l’écran que je suis bien coincée entre trois hommes. Je gémis autour de la bite dans ma bouche. Mon cul part à la rencontre de ces queues. Puis l’homme dans ma chatte ainsi que celui dans mon cul éjaculent en même temps. Un autre orgasme me fait crier. L’homme devant moi retire son engin de ma bouche alors que je jouis. Il arrose mon visage. Son foutre coule sur mon menton et tombe au sol. Le public rit.

Les bites sont rapidement remplacées par d’autres. Une femme glisse sous moi et pose sa langue sur ma chatte. Je jouis instantanément quand elle me lèche soigneusement. Puis des bites, toujours des bites, je suis dans un état de jouissance continu.

A un moment donné, j’ai dû m’évanouir. Quand je me réveille, je suis dans une belle chambre. Le soleil brille, il est évident que nous sommes le lendemain. Je suis nue, mais propre. Je grimace en passant mes doigts sur les zébrures de mon cul et les contusions de mon corps. J’ai mal à la chatte et au cul. Je regarde autour de moi et je vois une belle robe sexy accrochée à une penderie ainsi qu’un mot sur la table :

« Salope, tu es libre de partir. Je te libère du chantage et de toutes les obligations que tu avais envers moi. Tu peux retrouver ton mari et revenir au travail, notre relation ne sera désormais que professionnel. Toutefois, tu peux aussi choisir de rester dans cette maison et je te garantis tout le plaisir que tu n’as jamais imaginé. Tu as le choix. M. Thomas.»

Je relis encore et encore ce bout de papier. La liberté est-elle possible ? J’enfile la robe et je mets mes pieds dans des talons de 6 centimètres qui m’attendent. J’essaie d’ouvrir la porte. Elle n’est pas verrouillée et ouvre sur un long couloir bien décoré. Je franchis le seuil, mais ma chatte palpite. J’hésite.  

Alors je ferme la porte, je m’allonge sur le lit, écarte les jambes et commence à caresser mon clitoris. Tandis que je me rappelle des évènements de la nuit précédente, je jouis en sachant que je ne reverrai plus mon mari.

FIN.

mercredi 23 août 2023

Les tribulations de Béatrice Ch. 02

 Texte de Xmaster.

****

Béatrice se retrouve au domicile d'Ahmed.

Béatrice est maintenant sur un petit nuage. Cet homme la fait mouiller terriblement, elle se sent femelle jusqu'au bout des ongles, et elle a même apprécié lorsque l'homme lui a écrasé le sein de sa main puissante. Elle laisse son imagination vagabonder et se voit déjà dans une étreinte torride avec ce bel arabe. Au bout de quelques minutes, Ahmed revient, il se place juste à côté de la blonde, la prend dans ses bras pour la tourner vers lui, et lui annonce :

- Ton cocu de mari s'est barré, on va pouvoir être tranquille, et j'ai très envie de toi... 

A nouveau l'homme embrasse la blonde. Cette fois il lui tient la nuque de sa main gauche alors que sa main droite va directement sous la robe. Là, il introduit son index et son majeur joins dans la vulve détrempée, et masse doucement le clitoris avec son pouce. La femme se pâme. Entre l'excitation de ce baiser, les ondes de plaisirs que lui procure son clitoris et les caresses de ces doigts magiques qui fouillent son intimité en dilatant son vagin, elle en sait plus où elle se trouve, ne pense plus aux autres clients et aux trois hommes attablés avec eux et se laisse maintenant aller comme si elle était seule avec son nouvel amant. Dans un souffle, arrêtant un instant son baiser, Ahmed dit à sa proie d'un ton ne supportant aucune contradiction :

- On va chez moi... 

Puis il se tourne vers ses amis et annonce :

- Bon ! On lève le camp... 

Sans comprendre réellement ce qui se passe et en quelques minutes seulement, Béatrice se retrouve dans la voiture assise à l'arrière entre Ahmed et Aziz. Son amant s'adresse au chauffeur en arabe et la voiture démarre. Dès qu'elle roule, Ahmed remonte la jupe de la blonde et dit suffisamment fort pour que tout le monde puisse entendre :

- J'adore les vieilles salopes comme toi qui ne portent pas de culotte... 

Puis il l'embrasse à nouveau. L'atmosphère étrange, l'alcool, l'excitation, tout concourt à mettre la femme dans un état second. Elle sent des mains caresser ses cuisses, son entrejambe, ses seins, mais cette langue qui fouille sa bouche lui donne tant de plaisir qu'elle se laisse faire comme si elle n'était déjà plus qu'un objet de désir. 

Peu après, se calant contre la portière, l'homme s'arc-boute pour défaire sa braguette et glisser son pantalon sur ses genoux. Il exhibe sa grosse queue au regard fiévreux de la blonde en jouant avec le membre dans sa main droite. De sa main gauche il attrape la nuque de la femme et la contraint à venir prendre en bouche le sexe déjà impressionnant bien qu'il ne soit pas encore en pleine érection. Puis il ordonne d'une voix dure :

- Suce-moi bien ma petite chérie... 

Sans mot dire, Béatrice s'empare, d'une bouche gourmande, de cette bite parfumée. Et, bien qu'elle fasse peu de fellation à son époux, elle se surprend à déguster cette queue qui grossit dans sa bouche. 

Aziz, qui a remarqué le manège de cette vieille salope tout au long de la soirée, jette un regard complice à son ami, et comme ce dernier lui adresse un clin d'œil, il s'empare des fesses dénudées de la blonde et les écarte. Puis il se contorsionne sur la banquette pour venir lécher l'anus ainsi offert. Très vite il force le sphincter avec sa langue, tirant de ce fait, de longs râles étouffés de la blonde. Il s'aperçoit que le muscle n'offre que très peu de résistance, prouvant que cette vieille chienne a l'habitude de se faire sodomiser. Il le note mentalement et se promet d'en faire part à ses amis tout à l'heure. 

Béatrice est aux anges ! C'est la première fois que quelqu'un la sodomise avec la langue, et elle trouve cela divin. Et puis, la brusquerie de cet homme qui lui tient les fesses n'est pas pour lui déplaire, elle découvre que ce manque de manière ou de savoir vivre, dont n'use absolument pas son mari, est une chose des plus excitantes. 

Bientôt la voiture ralentit, tourne à gauche et entre dans la cour d'un petit pavillon à la périphérie de la ville. Le conducteur stoppe le moteur et demande :

- Voilà Ahmed, nous sommes arrivé chez toi, tu nous offre un pot pour finir la soirée ?

- Oui, oui, venez on va jeter un sort à ma bouteille de whisky... 

Puis il baisse son regard sur la blonde qui le suce toujours et lui dit : 

- Allez viens, on va prendre un pot et après je te fais grimper aux rideaux ma belle... 

Toujours dans un état second, Béatrice se redresse et laisse son compagnon sortir de la voiture, puis, à son tour, elle sort en réajustant sa petite robe bleue. L'homme attrape le bas de la robe de sa conquête et lui remonte haut sur le ventre dégageant ainsi sa chatte rasée avant que la pauvre femme ne puisse réagir, puis il lui ordonne :

- Reste comme ça, que mes potes puissent voir ta jolie moule lisse. 

Puis il lui prend la main et l'entraîne dans la maison pendant que les trois autres hommes sortent de la voiture et suivent le couple. Tout va trop vite pour la blonde qui se laisse faire. Bien sur de marcher ainsi la chatte à l'air est encore une nouveauté très excitante, mais elle a un peu honte également d'être ainsi exposée aux regards des autres mâles. 

Les trois hommes observent en détail les fesses plates qui se dandinent devant eux. Ahmed déverrouille la porte et fait pénétrer sa proie dans le salon. Là, attendant que ses amis arrivent eux aussi, il la prend dans ses bras, se tourne de façon à être face au canapé et l'embrasse à nouveau furieusement tout en frottant sa bite gonflée de désir, mais toujours enfermée dans son écrin de toile, contre la chatte nue et lisse. Très vite et avec habileté, il fait glisser les bretelles de la robe sur les frêles épaules. Béatrice est terriblement excitée, elle sent son sexe mouiller abondamment, un léger frisson parcourt ses jambes, mais le fait que cet homme cherche à lui dénuder la poitrine, si vite et devant ses copains la gène, elle commence à protester doucement en dégageant sa bouche :

- Non... Attends...

- Chut... Répond l'homme tout en continuant à descendre les bretelles sur les bras de la blonde, faisant ainsi apparaître les deux seins qui tombent tout de même un peu et dont les tétons pointent en direction opposée. 

Puis il plaque à nouveau sa bouche sur celle de la femme et reprend son baiser avec encore plus de fougue. Les trois acolytes entrent dans le salon et vont s'installer sur le canapé sans perdre une miette du spectacle qui leur est offert. 

Lorsqu'il voit que ses copains sont confortablement installés et qu'ils fixent leur attention sur le cul de la blonde, Ahmed dégage sa bouche et fait tourner la pauvre femme sur elle-même pour l'exhiber en pleine lumière à ses amis en disant :

- Voilà les vieilles salopes comme je les aime, pas de soutif, pas de slip, toujours prête à être prise comme des chiennes qu'elles sont... 

Est-ce l'alcool, le lieu, l'atmosphère ou l'excitation des mots crus, Béatrice ne pourrait le dire, toujours est-il qu'elle est totalement fière d'être le sujet de tous les regards. Elle dévisage orgueilleusement un à un les visages de ces trois hommes plus jeunes encore que son amant. Ahmed se penche légèrement en avant, attrape la cuisse gauche de la blonde, la tire à lui en la remontant en laissant la blonde sur une jambe, puis il ordonne encore :

- Écarte... 

Puis tournant les yeux vers ses amis, il ajoute : 

- Elle a une jolie chatte bien rasée cette vieille truie non ? 

Il prononce quelques mots en arabe, puis fini par dire : 

- Vous pouvez venir toucher, je vous la prête...

- Mais... Commence à se plaindre Béatrice très surprise de l'attitude bizarre de l'homme avant qu'elle ne soit coupée dans son élan.

- Laisse-toi faire, on va te faire jouir comme une reine des milles et une nuits ma salope !

Tout en maintenant toujours la jambe relevée, Ahmed embrasse à nouveau la blonde en lui passant sa main libre dans les cheveux. De longs frissons de volupté passent dans le dos de Béatrice qui ferme les yeux et se laisse pénétrer la bouche par cette langue énervée qui fouille en elle. Ses seins tremblent légèrement et les tétons se dressent comme pour réclamer leur dose de caresses. Bien que sa position ne soit pas très confortable, elle se rend compte qu'elle adore finalement être exhibée dans ces postures obscènes et elle mouille comme jamais au auparavant. Bientôt elle sent une goutte de cyprine qui s'échappe de son sexe détrempée et commence à couler le long de sa jambe droite. 

Aziz, qui a déjà eut l'occasion de goûter au cul de la blonde, se décide à intervenir et se lève tranquillement. Il fait les trois pas qui le séparent du couple, puis s'agenouille et vient plaquer sa bouche sur la chatte offerte qui suinte. Très habillement il titille le clitoris avec sa langue tout en passant son majeur droit du sexe à l'anus. 

De sentir ces deux langues qui la fouillent intimement provoque des étincelles dans le cerveau surchauffé de Béatrice. Elle perd le peu de conscience qu'elle avait encore quelques secondes avant, et s'abandonne totalement. Elle commence à pousser de petits râles qui viennent mourir dans la bouche de Ahmed qui n'arrête pas son baiser pour autant. 

Les deux autres copains qui restent sur le canapé se regardent, et, de concert, se lèvent à leur tour et viennent auprès du trio infernal. Ali commence par tâter d'une main le sein droit de la blonde, et de l'autre il s'amuse à pincer sans ménagement le téton érigé. Moustafa, quant à lui reste devant Ahmed à contempler le spectacle qui lui est offert. 

Ahmed, une idée derrière la tête, décide d'arrêter son baiser et s'adresse immédiatement ensuite à son ami Moustafa en lui tendant la jambe gauche qu'il tient toujours :

- Tiens moi ça s'il te plaît. 

Le nouvel arrivant ne se fait pas prier et s'empare de la jambe pour la maintenir comme précédemment. Ali profite que la pauvre femme ait la bouche libre pour venir l'embrasser à son tour. Si elle n'était pas si saoule, très certainement qu'elle réagirait, mais dans l'état d'excitation et d'alcoolémie où elle se trouve actuellement, Béatrice, ne se formalise ni d'être traitée comme un objet, ni qu'un autre homme à l'haleine chargée vienne l'embrasser, elle se laisse faire et pousse même un petit cri étouffé lorsqu'elle sent deux doigts s'insinuer dans son rectum. 

Ahmed sort de la pièce pendant que Aziz, qui vient de glisser son majeur et son index accolé dans le cul de la femme commence à les pousser le plus loin possible à l'intérieur de l'ampoule rectale. Une fois que ses doigts sont totalement introduits, il commence à les écartés pour dilater l'anus. Pendant toute cette opération, il a continué à s'occuper frénétiquement du clitoris qu'il a toujours en bouche. 

Moustafa en profite pour venir à son tour malaxer le sein libre de la pauvre femme en faisant des commentaires salaces en arabe. 

Ahmed revient avec son caméscope qu'il est en train de préparer pour filmer les ébats de ses quatre invités. Choisissant de commencer par une petite présentation, il va se placer dans le coin de la pièce qui lui permet d'être en face de la blonde, filme pendant quelque secondes la scène, puis demande en arabe à son ami Ali de cesser son baiser et de tourner vers la caméra le visage de la femme. tout en filmant, et regardant la femme à travers le petit moniteur de son appareil, il commence à dire d'une voix forte :

- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'arabes non ?

Béatrice, la tête guidée par la main ferme de l'homme qui vient de l'embrasser, a un regard perdu. Elle est toujours sous l'emprise de ses sens en émoi, et elle s'entend répondre, comme si sa voix venait de quelqu'un d'autre :

- Oui...

- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein ?

- Oui...

- Viens filmer son trou du cul bien ouvert là ! annonce Aziz en arrêtant un instant de s'occuper du clitoris. 

Puis il reprend sa succion.

- Comme ça tu aimes bien te faire prendre le cul ma salope ?

- Oui...

- Tu vas voir, on va tous y passer dans ton cul, tu vas te régaler... 

Puis Ahmed se déplace pour aller se mettre accroupi derrière la blonde et filmer l'anus toujours occupé par les doigts d'Aziz.

Béatrice n'est plus qu'objet de désir et terrain de jeux pour ces grands enfants vicieux. Sa chair est palpée, malaxée, ses seins sont triturés, pincés, étirés, sa chatte et son anus sont explorés, fouillés. et pourtant, malgré le contraste entre le bien que peut lui faire cette langue habile et le mal de ces mains qui la triturent, elle est folle de bonheur. Autant les caresses apaisantes que les pincements douloureux sont sources de plaisirs. Et ces mots, ces mots si crus, si durs, sans aucune poésie, sans ambages ni douceur, et bien ces mots, eux aussi, participent à cet état d'abandon total dans lequel elle se laisse aller.

- Écartes lui bien le trou du cul que je filme ça en gros plan, Aziz ! Dit Ahmed en cadrant au plus près.

 Sans répondre, l'homme fait ce que son ami attend de lui en écartant ses doigts autant qu'il lui est possible et en les faisant lentement ressortir, ouvrant ainsi le sphincter.

- Ah salope, t'as un trou du cul ! c'est un véritable appel au peuple ça ! Tu dois en avoir pris des bites de ce coté là ! 

Et comme Béatrice ne répond pas, Ahmed donne une tape sur la fesse et demande encore : 

- Alors salope ! Tu réponds ? Combien de fois t'es tu faites enculer ?

- Je ne sais pas, finit par balbutier la blonde dans un souffle. 

L'homme se remet debout et recule d'un pas tout en continuant de filmer la scène, puis il demande à ses amis :

- Allez me l'allonger sur la grande table... 

Aziz retire ses doigts d'un geste brusque et se recule pour se mettre, lui aussi, debout. Ali lâche la jambe et Moustafa prend la main de la pauvre femme et la guide vers la table de la partie salle à manger de la grande pièce. Une fois arrivé devant la table, il lâche la main, prend la femme par dessous les bras et l'assois sur le plateau de bois. Puis il lui ordonne d'une voix bizarre :

- Allonge-toi salope ! 

En tremblant un peu, car elle n'est vêtue que de sa robe roulée sur son ventre, Béatrice s'allonge doucement sur la table sans que personne n'ait besoin de l'aider, les jambes dans le vide. Lorsqu'elle est allongée, elle entend la voix directive de Ahmed lui intimer :

- Tu vas être notre pute... T'as envies d'être notre pute, hein ?

- Oui... 

Encore une fois c'est machinalement que la femme répond. Elle est maintenant totalement déconnectée de la réalité, et seuls ses fantasmes dirigent ses actes.

- Moustafa, place-la qu'elle puisse nous sucer pendant qu'on va la baiser !

Sans ménagement, l'homme qui vient d'être interpellé attrape les cheveux de la blonde et tire dessus pour qu'elle vienne se mettre au bord de la table. Dès qu'elle est en place, il défait prestement sa braguette, et sort sa queue déjà en érection, la porte à la bouche, et, appliquant une pression contre la tête de manière à ce que la femme ne puisse rien faire d'autre que d'ouvrir la bouche, il ordonne :

- Vas-y, suce salope !

Aziz est arrivé entre les jambes de la blonde et vient de recommencer à lui lécher la chatte. Très vite il passe ses bras sous les cuisses écartées et les remontent haut sur ses épaules.

- Voilà une bonne vieille salope qui va nous servir de vide-couilles les mecs ! Annonce Ahmed tout en continuant de filmer.

Cette fois il fait un gros plan sur la queue de son pote que la blonde suce au rythme des coups de langues qu'elle reçoit sur son clitoris. Ali, ne voulant pas rester en dehors du coup, vient se placer à la gauche de son ami Moustafa et sort sa queue à son tour.

- Voilà ma salope, deux bites d'arabe pour toi toute seule, fais les bien bander. 

Le ton de la voix de Ahmed en dit long sur sa propre excitation, néanmoins il continue de filmer. Il va se placer de l'autre coté de la grande table et zoome de manière à faire un gros plan sur le visage de la blonde qui vient de passer à la deuxième bite. Enfilant prestement une capote, Moustafa se rend au bout de la table et donne une tape amicale à son complice Aziz en lui disant :

- Laisse-moi la place que je la bourre bien cette pétasse mariée... 

L'homme se relève et laisse sa place. Moustafa, s'emparant des cuisses de la blonde, vient placer son gros gland contre la vulve détrempée. D'un sévère coup de rein, il fait pénétrer son membre au plus profond du vagin, arrachant ainsi un cri à Béatrice qui reste tout de même étouffée par la bite qu'elle a en bouche. 

- Vas-y mon ami, défonce lui la chatte à cette vieille truie salace... 

Ahmed est venu se placer à côté de l'homme qui, effectivement, donne de violents coups de reins comme si il voulait faire pénétrer son dard toujours plus loin. Des paroles en arabe sont échangées, mais la pauvre Béatrice ne peut rien y comprendre. De toutes façon, au point où elle en est actuellement, c'est bien la dernière de ses préoccupations que de savoir ce qui se dit. Elle a l'impression d'être déchirée par cette énorme bite qui va-et-vient en elle à toute vitesse, et elle a bien du mal à continuer de sucer cette autre queue qu'elle a en bouche.

- C'est bon ça hein salope? Une bonne grosse queue qui te remplit bien la chatte, hein pétasse ? 

Comme la blonde ne répond pas à Ahmed, ce dernier vient lui pincer le téton gauche tout en continuant à filmer, et ordonne encore :

- Allez, dis-le salope que cette bite te fait plus de bien que celle de ton cocu de mari...

- Aie... Oui... 

La voix est toujours étouffée, et entrecoupée de râles sourds.

- Tu vas voir quand Moustafa va te la mettre dans le cul... 

L'homme ahane comme un beau diable en limant à grands coups de bites le vagin un rien trop étroit pour son membre. Mais avec la fin de soirée, l'excitation et l'alcool qu'il a aussi consommé sans trop de modération, il fini par jouir dans la capote dans un concert de jurons arabes.

Béatrice n'en peut plus, elle éjecte tant bien que mal la queue qu'elle suçait juste à l'instant encore, et part dans un orgasme fantastique qui lui arrache de grands cris. 

A suivre...

lundi 21 août 2023

samedi 19 août 2023

Expérience Unique, mais troublante.

 Récit de Sarah89

*****

Bonjour, je me présente, je m’appelle Sarah (c’est en réalité mon deuxième prénom), j’aurais 20 ans en novembre prochain et j’ai décidé de vous confier quelque chose qui m’est arrivé au début de cette année. Je suis en pleine période de doute depuis quatre mois maintenant à cause de ce qui m’est arrivée, c’est à la fois excitant mais en même temps cela va à l’encontre de tous mes principes.

Mais laissez-moi d’abord me présenter plus en détail. Il est toujours difficile de faire son introspection et de délivrer objectivement aux autres la vérité sur qui l’on est vraiment, mais je crois que l’on peut dire que j’ai toujours vécu dans un milieu très protecteur et très aisé. Je suis fille unique, mon père qui est architecte et ma mère qui est instit m’ont toujours choyée, couvée et j’ai toujours été couverte de cadeaux plus que de raison. Ils m’ont offert une éducation « parfaite », m’inculquant les bonnes mœurs, les lois de la bienséance, une éducation très clean en somme mais relativement fermée et très catho.

Le chemin tout tracé, catéchisme, scolarité complète de la maternelle à la terminale dans un établissement privé très serré, autant dire que ma mère ne m’a jamais acheté de string de mon adolescence et que me les achetant en douce dès l’âge de 16 ans, j’avais l’impression de défier l’autorité parentale, c’était le seul acte représentatif de ma « crise d’ado » inexistante donc. Vous voyez un peu le tableau.

En début de terminale, j’ai rencontré Julien (prénom changé, ça m’étonnerait qu’il lise cela mais, sait-on jamais ?)

Avant lui, disons que je n’ai jamais eu de petit-ami, ou seulement quelques flirts anodins, pour faire un peu comme tout le monde et se prouver que l’on peut plaire (même si je n’avais et n’ai toujours aucun doute à ce niveau-là, 1m66, 50kg un 90B bien rempli, des cheveux très blonds et très longs jusqu’à mi-dos et des fesses dont je suis assez fière : je sais donc que je plaît aux garçons)

Bref avant Julien, je m’étais déjà posé des questions sur l’amour mais pas vraiment sur le sexe. Je l’ai présenté assez rapidement à mes parents et cela a tout de suite accroché, lui venant d’un milieu assez similaire au mien. Après 5 mois de baisers adolescents, les choses sont devenues un peu plus sérieuses, et les caresses que l’on pouvait se faire sont devenues de moins en moins anodines. Nous avons fait l’amour et je dois dire que je suis assez heureuse de ma première fois, cela s’est bien passé.

A la fin de l’année 2007, on a tous les deux décroché notre Bac, lui S et moi ES. J’ai intégré une prépa moyenne dans une ville de province assez importante (dont je tairais le nom) et lui une école d’ingénieur post-bac dans la même ville. Du haut de nos 11 mois de couple, nous avons décidé de nous installer ensemble. Et ça a pas trop mal marché globalement, à tous les niveaux même si je sentais que côté sexe j’avais envie de découvrir plus de choses que lui visiblement. En réalité cela a toujours été très correct de ce côté-là mais jamais très imaginatif.

Et puis en janvier dernier, lors de ma deuxième année de prépa HEC, il m’est donc arrivé quelque chose. Pour remettre les choses dans leur contexte, il faut savoir que je n’avais pas fait l’amour avec Ju depuis 10 jours, que j’avais envie mais qu’il était très occupé à bosser pour ses cours.

On avait prévu une petite soirée entre filles le jeudi soir, pour décompresser un peu et faire les folles. Je me suis donc apprêtée, j’ai mis une petite jupe (pas trop courte quand même) un petit haut sympa pour aller danser dans un bar latino.

On s’est pris la tête un peu avec Julien qui n’avait pas l’air très chaud pour me laisser sortir comme ça alors que ma tenue n’avait rien d’indécent. Après l’avoir rassuré que j’aurais une bonne conduite ce soir et que je ne me laisserais pas draguer si l’on m’accoste, je finis par avoir le dernier mot.

Donc sortie entre copines dans un bar dansant latino assez bonne ambiance. On boit un ou deux verres puis d’autres et je dois dire que l’alcool me monte un peu à la tête. On danse collées avec les filles, on se « chauffe » entre nous, on rigole (assez facilement d’ailleurs) et on prend conscience qu’en réalité on est passablement éméchées, et moi plus que les autres.

Certains mecs nous regardent avec insistance mais rien de bien méchant. Et puis le DJ met un petit zouk, et je sens Chloé, (enfin je croyais que c’était Chloé) qui vient derrière moi et m’attrape par la taille pour me serrer contre elle. Quand j’aperçois des mains noires sur mon ventre je dois me rendre à l’évidence et prends conscience que ce n’est pas Chloé, mais après tout ce zouk est anodin, bon enfant et je me laisse prendre au jeu de l’inconnu qui me fait danser. Surtout qu’il danse délicieusement bien. Je me laisse guider.

Les choses deviennent assez vite incontrôlables pour l’inconnu apparemment dont je sens petit à petit le sexe gonfler et frotter avec insistance contre mes fesses. Et là je ne sais pas pourquoi je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer le sexe de cet inconnu derrière moi et de le comparer à celui de mon homme. Et même si Julien n’a pas à rougir de son pénis, il ne fait visiblement pas le poids à côté de la queue qui se frotte à moi.

Malgré tout je songe à stopper ce petit jeu qui devient déplacé quand le black me glisse quelque chose à l’oreille, et c’est ce quelque chose je pense qui a tout déclenché.

D’une manière crue et directe qui m’a fait tressaillir et instantanément mouiller, il m’a susurré : 

- T’as l’air d’aimer la bite toi, vu la manière dont tu te frottes à ma queue.

Cela m’a mis dans tous mes états, et il a enchaîné : 

- Tu la sens ma queue bien dure hein ? Dès que j'ai vu ta tête et ton regard de petite salope, j'ai su que tu étais une chienne en manque de bite.

Le jeu a pris une autre tournure, mon string est trempé, car il continue tout en me parlant de frotter sa queue sous ma jupe.

Ça a été comme un déclic pour moi, comment un homme dont je n’avais même pas vu le visage, a pu me percer à jour aussi bien, car j’ai toujours eu la conviction d’être une salope frustrée et enchaînée, et j’imagine sans me vanter que c’est rare d’en prendre conscience aussi vite, à mon âge.

Je me laisse aller, il m’a à sa botte. J’entends sa voix rauque à nouveau qui dit : 

-  Viens chez moi tout de suite on s'éclipse et je vais te défoncer comme tu le mérites.

On ne m’a jamais parlé comme ça, je suis excitée comme je ne l’ai jamais été, je crois avec le recul que j’étais en train de me découvrir réellement. Je prétexte à mes copines, qui bizarrement n’ont dû avoir qu’un aperçu de ce qui se tramait réellement que je vais aux toilettes, et je me faufile à la sortie du bar rejoignant le supposé black dont je ne découvre qu’enfin le visage, un visage dur, rongé par l’alcool, ce mec a bien 40, 45 ans facile !!!! 

Qu’est ce que je suis en train de faire ? 

Peu importe, il continue avec ses insanités qui me font tant frissonner et je le suis, passive et avide de sexe. On arrive à la porte d’un bâtiment modeste, banal et moche d’après mes vagues souvenirs.
Je reçois un texto des filles qui me demandent si j’ai vomi et si je suis tombée dans la cuvette des toilettes. Je leur réponds brièvement que j’étais crevée, que je suis rentrée, et que d’ailleurs j’arrive chez moi dans peu de temps.

L’homme me fait entrer dans son appartement, et vu l’état de l’appart’, je devine instantanément qu’il vit seul.

La porte à peine refermée, il se rue sur moi, et je me laisse faire, je l’ai suivi jusque chez lui sans dire un mot, ça prouve que je dois bien être d’accord très certainement. Il m’attrape par les cheveux, me fait m’agenouiller avec brutalité, ouvre sa braguette, sort sa queue, qui est belle et bien énorme, et m’appuie sur la tête pour me l’enfoncer dans la bouche.

A genoux, affamée de bite, j’essaie tant bien que mal d’engloutir ce gros morceau de chair, sans succès, et il recommence :

- Bouffe-moi la bite sale petite pute et caresse-moi les couilles.

Je suis entièrement soumise à lui. J’aime la manière brutale dont il me traite, cet homme qui pourrait être mon père en définitive. Lorsque je prends conscience de cela, je me sens encore plus chienne que je ne le suis.

Je lèche donc son membre sur toute sa longueur, je gobe ses bourses, je lape son gland, j’essaie d’être la plus salope possible, plus qu’une actrice porno dans les deux ou trois films sur lesquels je suis déjà tombée en voulant télécharger des séries sur internet et que j’ai conservé précieusement bien entendu.

Soudain la porte de l’appartement s’ouvre, et un autre black qui parait un peu plus jeune entre dans la pièce. Le salaud qui est en train de me défoncer a dû prévenir un de ses potes juste avant que je le rejoigne à la sortie du bar et a dû lui promettre qu’il pourrait remplir une petite salope (que je suis) par tous les trous.

L’idée de me faire embrocher par deux gros membres bien dur fait du chemin dans ma tête et me conquiert totalement je dois l’avouer. L’homme qui vient de rentrer me lance : 

- Alors c’est toi la chienne bouffeuse de bite ? J’vais me joindre à la partie et je vais te faire crier sale petite pute, je vais te donner ce que tu mérites.

Ses paroles accentuent une nouvelle fois mon excitation. Sans tarder le nouvel arrivant se désape et enfourne sans plus de ménagement sa queue dans ma bouche toute huileuse de liquide spermatique. Je les pompe à tour de rôle pendant qu'ils me caressent les seins et la chatte à travers mes vêtements.

Charles (le premier que j’ai rencontré, c’est son nom) m’ordonne d'arrêter de les sucer, m’arrache mes vêtements et me porte jusqu'au canapé. Il se place derrière moi et je m’attelle à ma tache d’avaleuse de chibre sur son pote. Charles frotte sa bite aux alentours de mon petit minou et me dit :
 
- Tu en as envie hein?

- Oui !

- Non, dis-moi que tu as envie de ma grosse queue !

- Oh, putain j'ai envie que tu me la mettes profond !

Il se décide alors à me prendre comme la dernière des putes et m’assène de grands coups de reins qui font claquer ses couilles contre mon cul. Il me met de violentes claques sur les fesses en gueulant encore et encore: 

- Tiens prends ça, salope et continue de bouffer la bite de mon pote !

J’adore ça, je ne comprends pas que je puisse être devenue une vraie salope en une heure à peine, c’est à croire que c’était caché là au fond de moi depuis mon adolescence. Le tableau est vraiment digne d’un film X quand j’y pense, je suis en train de me faire défoncer par deux grands blacks qui ont une bonne vingtaine d’année de plus que moi, et qui me traitent comme une traînée, je pense à Julien que je suis en train de tromper, sans complexe. Pire, j’aime l’idée de le tromper, alors que c’est mon premier amour… Paradoxal… Alors j’explose :

- Je veux que vous m’enculiez sévèrement, je veux qu’on baise mon cul, ma bouche et ma chatte !

C’en est trop pour l’ami de Charles qui me décharge sur le visage, dans les yeux et dans les cheveux sans crier gare. Je me surprends à nouveau à crier : 

- J’adore ça, j’adore qu’on m’en foute plein la gueule !

Et m’entendre gueuler m’acheva et déclencha chez moi un puissant orgasme.

Charles d’une voix primaire au bord de l’explosion dit qu’il n’en a plus pour longtemps non plus. Je le supplie quasiment de venir éjaculer sur mon visage. Il s’approche, attrape ma tête et me fait bouffer sa queue : 

- Tiens je viens à peine de la sortir de ton cul catin, t’es la pire des salopes, de celles qui sucent des bites juste après s’être bien fait enculer !

Et dans un dernier râle, il appuie sur ma tête et déverse tout son foutre dans ma bouche, ce à quoi je ne m’attendais pas, en gueulant : 

- Avale tout ça, petite garce, tiens t’aime ça le foutre hein !

J’ai l’impression de recevoir une bonne quinzaine de centilitres de son sperme encore chaud. Je fus bien obligée de tout avaler devant la pression des deux hommes, et finalement, avaler ce liquide tout chaud fut une première expérience plutôt satisfaisante. Encore sous le coup de l’excitation ce n’était pas si mauvais !

Les deux hommes m’ont gardé toute la nuit, m’ont baisée et re-baisée au moins quatre ou cinq fois, avec la même brutalité. Je pensais à Julien qui devait se faire du souci, cela m’inquiétait quant à la manière dont je devrais m’expliquer sur le fait que j’avais découché et me rendait folle de plaisir en même temps. De toute façon j’avais coupé mon portable. Cela attendrait demain, je voulais profiter un maximum de cette nuit complètement dingue et surréaliste.

Le lendemain j’étais complètement vidée et épuisée. J’ai menti à Julien en disant que j’avais passé la nuit chez Amandine, car la soirée avait fini très tard et que je ne voulais pas rentrer seule à une heure pareille. Il n’a pas l’air d’avoir de doute.

Je n’ai pas gardé contact avec mes deux baiseurs, mais je me suis découvert une envie de sexe énorme, j’ai des envies furieuses de me faire prendre 3 à 4 fois par jour, et pour combler ce manque que Julien ne peut pas complètement assumer, je me caresse où je peux.

FIN.