Traduction d’un texte de Byshyofficesub.
****
Les deux clients.
« Oh mon Dieu » Pensé-je pendant que M. Thomas m’enlève ma robe pourpre et expose mes gros seins nus.
Il m’avait dit, il y a dix minutes, que je devais enlever mon soutien-gorge, le laisser sur mon bureau et le rejoindre dans le sien.
Alors qu’il glisse sa bite raide dans ma bouche, je me demande en pensée comment une avocate intelligente, bien mariée et bien éduquée peut finir à genoux avec une queue de vingt centimètres, qui n’appartient pas à son mari, dans sa bouche.
Mais mes pensées sont interrompues quand M. Thomas pousse sa queue au fond de ma gorge et m’étouffe. La salive coule sur mon menton et ma poitrine. Mes yeux commencent à pleurer et, chose embarrassante, comme ils réagissent toujours, mes tétons durcissent. Je rougis tandis que ma chatte commence à tremper le mince tissu de ma culotte.
Maintenant, M. Thomas baise durement ma bouche, sa bite devenant de plus en plus dure alors qu’il grogne. Je ne peux rien faire, car je gémis autour de sa bite pendant qu’il pince mes mamelons sensibles :
- Ohhhhhh…uuhhhmmm…Mmmmmm. Marmonné-je.
- Prépare-toi salope ! Dit-il.
Puis je sens qu’il se raidit et qu’il éjacule dans ma gorge et sur mes seins. Je gémis et frotte ma chatte pour essayer de me soulager. Mais je n’y arrive pas. Alors M. Thomas me dit de me rhabiller et de partir.
- Mais Monsieur, puis-je me nettoyer d’abord, puis-je utiliser vos toilettes privées. Supplié-je.
Il me montre juste la porte.
Honteuse, je me précipite dans mon bureau en espérant que personne ne me verra et que le sperme sera caché par ma robe.
Trois heures plus tard, je me retrouve dans mon lit à la maison, vêtue d’un long tee-shirt et d’une culotte rouge. Pendant que mon mari lit un livre au salon, je rédige mon histoire au lieu de finaliser les contrats pour le bureau. Vous vous demandez probablement comment une femme mariée qui travaille dans un des plus réputés cabinets d’avocats de Toronto en arrive à devoir cacher à son mari des vêtements souillés de sperme.
Voilà, il y a six ans, j’avais un petit ami très dominateur. Il pensait qu’il serait bon pour moi d’aller visiter certains sites internet pour adulte. Il me demanda de la faire alors que j’étais stagiaire dans le cabinet d’avocat que mon père m’avait trouvé. Lorsque j’ai mentionné à mon petit ami que le chef de l’informatique était un bon ami de mon père, il a sauté sur l’occasion pour m’humilier.
Il me fit rencontrer M. Thomas après le travail afin que nous trouvions un accord. Si je faisais tout ce qui me demandait, il se débrouillerait pour que le service informatique me laisser visiter ces sites adultes sans que personne ne le sache. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, mon copain avait déboutonné mon chemisier et il avait dit à M. Thomas de toucher ma poitrine qui fait bien du 95 D. Mes mamelons durcirent aussitôt et je rougis alors que mon corps me trahissait.
Six mois plus tard, mon petit ami me quitta mais M. Thomas m’avait prise au piège. Et même si deux ans plus tard je me mariais, je restai sa salope.
C'est pourquoi, six ans plus tard, lorsque je pense au lendemain et au bureau, je ne pense pas à l'importante réunion que j'ai pour une fusion d'entreprise, mais je pense aux humiliations que je vais subir en étant habillée de ma petite robe bleue avec mes chaussures à talons de 13 centimètres.
Le lendemain matin, je marche vers mon bureau dans ma petite robe bleue. Mes seins tressautent à chaque pas, car je ne peux pas porter de soutien-gorge. Je rougis. Mes seins et mon cul me rendent très sexy, car la robe est d'une taille trop petite. Ça me semblait une bonne idée à l'époque où je l'ai acheté, avant que je ne connaisse M. Thomas. Je m'installe rapidement à mon bureau et je me dis qu'il ne faut pas que j'en bouge.
Quand j'ouvre mon ordinateur, je remarque qu'il y a un message de mon tourmenteur. « Oh non, pas aujourd’hui alors que j'ai une réunion importante » pensé-je. Mais mes tétons durcissent immédiatement en lisant le message.
Il a des instructions pour moi. Mon Dieu, quand je les lis je ne peux croire qu'il soit sérieux. Alors je le relis en pensant avoir mal compris la première fois. Je sursaute quand un coup est frappé à la porte de mon bureau.
- M. Thomas ? Bonjour, que faites-vous à cet étage ? Demandé-je innocemment avant qu'il referme la porte.
Puis dès que j'ai entendu le déclic de la serrure de la porte qui se ferme, je le supplie :
- S'il vous plaît, vous...Vous ne pouvez pas me faire enlever ma culotte pendant la réunion. S'il vous plaît Monsieur…
- Salope, tu vas faire ce que je te dis ou alors je dirai à tous les associés quel genre de site tu visites. Dit-il calmement mais d'un ton menaçant.
Puis il ajoute :
- Et quand j'irai dans la salle de réunion tu auras retiré ta culotte et tu l'auras mise où je t'ai dit. Et comme je ne suis pas un homme méchant, si tu fais cela tu seras récompensé.
Après ces mots il sort de mon bureau en me laissant seule dans mes pensées. Je ne peux pas faire ça. Mais mes mamelons ont déjà durci et ma chatte commence à couler. Pendant une heure je subis la torture d’être de plus en plus excitée à l’idée d’enlever ma culotte lors d’une réunion importante.
J’entre dans la salle de conférence à 10h00. Il y quatre personnes pour chaque entreprise ainsi que trois avocats et moi. Heureusement, comme la salle est grande, il y a de l’espace entre chaque participant.
Alors que l’avocat chargé du dossier commence la réunion, je soupire et, les mains tremblantes, je laisse tomber mon stylo. Profitant d’être penchée, je fais un peu glisser mon string bleu. Je regarde nerveusement tout autour pour voir si quelqu’un l’a remarquée. Je pense que… Je ne peux pas le faire… Mon Dieu je ne peux pas…
C’est alors que l’un des présidents d’une des entreprises se lève pour commencer une présentation de la proposition de fusion. Les lumières sont alors éteintes.
Tremblante, je glisse ma main sous ma robe, en essayant de ne pas détourner les yeux de l’écran. Heureusement, l’obscurité cache mes mouvements. Je fais glisser mon string et je le fais descendre le long de mes cuisses. Faisant une fois de plus tomber mon stylo, je fais glisser mon sous-vêtement sur mes pieds et je le mets dans mon sac.
Je regarde autour de moi et je vois l’homme assis pas loin de moi sourire. Je ne sais pas s’il a remarqué ce que j’ai fait, Mais comme il me regarde et le fait que je sois assise avec ma chatte nue me font rougir et excite mon sexe. En baissant la tête, je remarque que mes tétons pointent sous ma robe serrée.
Alors que je reste assise en essayant de me concentrer sur l’exposé, ma chatte devient de plus en plus humide. Il est humiliant pour moi d’être autant excitée, de vouloir désespérément me toucher. Mais enfin la réunion se termine. J’attends que tout le monde soit parti pour aller au fond de la pièce et mettre mon string dans un dossier près de l’équipement audiovisuel comme on me l’a ordonné.
Je retourne dans mon bureau où je ferme la porte, excitée au point de vouloir jouir. Je me connecte alors au site de chat pour adultes habituel et instantanément je reçois un message de M. Thomas qui dit simplement : « Interdit de jouir. Dans mon bureau à 12h30 ».
A cette heure-là, j’arrive dans son bureau et je ferme la porte. Je tremble d’excitation, j’espère qu’il me laissera jouir.
- C’est bien salope, je suis content que tu aies fait ce que je t’ai demandé. Dit-il en tenant mon string dans sa main.
- Mais comment savoir si ta chatte (je déteste ce mot dans sa bouche et il le sait) est encore nue ? Soulève ta robe !
Normalement je proteste toujours, c’est trop humiliant. Mais je suis tellement excitée.
Mes mains tremblent alors que j’attrape l’ourlet de ma robe et que je la soulève lentement sur mes jambes pour révéler mes lèvres de chatte scintillantes. Je commence à être contente quand il marche vers moi. Je pense qu’il va me toucher. « Ouiii… S’il vous plaît… mmmm » Gémis-je dans ma tête. Il pose alors une boite sur la table à côté de moi et dit :
- Tu porteras ce qui est dans la boite demain. Et tu diras à ton mari que tu rentreras tard. Et souviens-toi, interdit de jouir.
A la fin de ces mots, il me montre la porte et me demande de partir. Puis il ajoute :
- N’ouvre pas la boite avant d’être chez toi !
Je passe le reste de la journée en essayant désespérément de ne pas me toucher. Et je me demande ce qui peut se trouver dans la boite.
Je rentre à la maison en faisant mine que tout va bien. Pendant le dîner, je dis à Tom que je rentrerai tard le lendemain. Un peu plus tard, alors que mon mari s’est installé à son bureau pour travailler un peu, je me dirige vers notre chambre et je sors la boite que j’avais cachée dans le placard. Je commence à l’ouvrir. Mes mains tremblent et j’ai la chair de poule sur la peau lisse de mes bras.
Dans la boite, il y a une note de M. Thomas qui dit : « Salope, tu porteras ce qui est dans la boite et rien d’autre. Assure-toi que ta chatte est bien lisse et que tu as averti ton mari que tu rentreras tard. Nous retrouverons quelques amis importants après le travail.
Ton Maître.
Et n’oublie pas : Interdit de jouir. »
Je frémis en terminant de lire le mot. Nous ne sommes jamais sortis en public ensemble, pensé-je en examinant l’intérieur de la boite.
J’y trouve un ensemble de sous-vêtement, soutien-gorge et string en dentelle rose. Je frissonne à l’idée de les porter. La boite contient également une jupe très courte et un chemisier sans manche en tissu très fin Je rougis en me rendant compte que tout cela est bien trop petit. Je finis l’exploration de la boite en sortant une paire de chaussure à talons hauts, très hauts.
Je cache le tout et m’allonge sur le lit. Je m’endors en pensant que la journée de demain allait être intéressante.
Le lendemain matin, comme d’habitude, mon mari part au travail alors que je suis sous la douche. J’ai eu un sommeil vraiment agité. Des rêves érotiques ont tourné dans ma tête toute la nuit. Mes mamelons étaient durs et ma chatte humide. Je suis entrée dans la douche avec la pensée de la journée qui allait arriver. Tout en me lavant, je ne peux m’empêcher de caresser mes tétons durs. Je dirige le jet d’eau du pommeau de douche vers ma chatte et je gémis. J’ai envie de me toucher, mais je me rappelle des monts de mon Maître : Interdit de jouir. Alors, avec un soupir désespéré, je repose le pommeau de douche et je finis de me laver les cheveux.
Mon corps aime la sensation de ce nouveau string sur ma peau et je rougis en mettant la jupe serrée qui laisse presque voir mes fesses. Le petit chemisier est tellement fin que tout le monde va pouvoir voir mon nouveau soutien-gorge. Les talons des chaussures sont tellement haut qu’ils font ressortir la longueur des mes jambes. Mon esprit crie que je suis malade d’accepter cela, mais mon corps n’est pas d’accord.
Bien que je reçoive une quantité inhabituelle de regards accentués, la journée se passe normalement. Sauf que je n’ai pas de nouvelles de M. Thomas, ce qui fait que mon corps est très excité et a envie de son attention. Chaque fois que mon téléphone sonne ou que mon ordinateur signale que j’ai un message, mes tétons durcissent et ma chatte palpite. Enfin, M. Thomas m’appelle pour me dire de le retrouver dans le hall d’entrée.
Je vérifie mon maquillage, remets du fard à joues pour être plus sexy et je descends pour le retrouver. Quand je le vois, je m’aperçois qu’il est avec deux hommes que je n’ai jamais rencontré. Je vois aussi une limousine attendre à l’extérieur. M. Thomas me dit :
- Anna, voici M. Bergin et M. Crosby. Notre cabinet d’avocat pense faire l’acquisition de leur nouvel équipement de sécurité.
- Bonjour, heureuse de vous rencontrer.
Je réponds timidement et je rougis alors que les deux hommes regardent mes gros seins qui essaient de s’évader du soutien-gorge.
- Allons dîner ! Propose M. Crosby en désignant la limousine.
Nous nous installons dans le véhicule. Je m’installe entre M. Bergin et M. Crosby. Le premier est grand, environ 1m90 pour 95 kilos et le deuxième est gros, bine enrobé dans la graisse. M. Thomas se place sur la banquette en face de nous dans la limousine. Après avoir tapé sur la vitre de séparation, la voiture commence à bouger.
Je rougis quand je remarque que ma jupe est remontée sur mes cuisses pendant que M. Bergin me donne un verre de champagne. Je commence à tirer sur le tissu, mais je vois M. Thomas qui secoue la tête.
Alors je laisse ma jupe qui est au raz de ma chatte et je bois rapidement le verre de champagne qui est aussitôt rempli de nouveau.
Je suis nerveuse et confuse, mais mes pensées sont brusquement interrompues quand M. Crosby Me demande :
- Alors Anna, Mike (le prénom de M. Thomas) nous dit que vous êtes une très bonne avocate et que votre mari est vice-président d’une société de conseil. Je dois dire qu’il est un homme chanceux.
A ma grande surprise, il met une main sur ma cuisse nue. M. Bergin fait de même en plaçant sa main sur mon autre jambe.
Je commence à repousser leurs mains en disant :
- S’il vous plaît Messieurs, je suis une femme mariée…
Mais M. Thomas m’interrompt en disant :
- Anna, laisse les mains où elles sont et laisse les faire ce qu’ils veulent.
Choquée, je le regarde et je l’implore de mes yeux. Je ne dis rien et pose mes mains à côté de moi en affichant un visage rempli d’embarras et d’excitation.
J’ai la chair de poule alors que les mains des deux hommes glissent lentement vers le haut de mes cuisses pendant qu’ils m’interrogent sur mon travail et ma famille. Je rougis et je gémis presque à voix haute tandis que M. Crosby touche légèrement ma chatte en me disant qu’il connaît mon père et ma mère.
M. Thomas regarde et se réjouit de ma gêne et de mon émoi. M. Bergin dit alors :
- C’est tout à fait la salope sexy que tu nous a décrit, Mike.
M. Crosby qui continue à caresser la partie la plus sensible de mon être demande :
- Et elle fera tout ce que tu lui diras de faire ?
Je rougis encore plus alors qu’ils parlent de moi comme si je n’étais pas là. Ses propos ont bien sûr un effet sur mon corps.
- Oui Steve (le prénom de M. Crosby).
Alors que la voiture ralentit devant le restaurant, M. Thomas me regarde et dit :
- Anna, tu vas retirer ton soutien-gorge avant que l’on aille dîner.
Je le regarde et secoue la tête :
- S’il vous plaît Monsieur Thomas, mon chemisier est trop fin. Murmuré-je timidement.
- Anna, tu ne vas pas me mettre dans l’embarras devant mes amis et clients, non ? Enlève ton soutien-gorge et laisse-le sur le siège de la limousine.
Submergée de honte et avec trois paires d’œils braquées sur moi, je passe mes mains dans le dos pour dégrafer mon soutien-gorge, puis je descends les bretelles l’une après l’autre, retire ce sous-vêtement que je place en tas sur le siège. Je baisse la tête et je vois mes mamelons qui pointent à travers le tissu fin du chemisier.
- Bonne fille ! Dit M. Thomas alors que le conducteur ouvre la porte. Celui-ci sourit lorsque qu’il voit mon soutien-gorge sur le siège. Je me sens encore plus humiliée.
Je rougis alors qu’une serveuse blonde et magnifique nous accompagne dans une petite stalle privée à l’arrière du restaurant. Mes seins tremblotent lorsque je marche sans soutien-gorge. La stalle est ronde et bien que privée, elle fait face au restaurant et elle est sur le chemin qui mène aux toilettes.
Encore une fois, je me retrouve assise entre M. Bergin et M. Crosby. Ils se parlent comme si je n’étais pas là. M. Thomas commande du champagne alors que les deux hommes recommencent à poser leurs mains sur mes cuisses et les déplace vers ma chatte humide.
Alors que le serveur apporte le champagne, je commence à gémir, car ils touchent mon string. En rougissant, je prends ma tête entre mes mains et je réponds que je vais bien à la demande du serveur.
Tandis que M. Thomas commande les entrées, M. Bergin et M. Crosby écartent mes jambes avec leurs mains. Leurs doigts massent ma chatte maintenant très humide à travers mon string. Mes tétons durcissent et je dois étouffer un nouveau gémissement. Si des gens vont aux toilettes et nous regardent, ils peuvent clairement voir ce que les deux hommes me font.
Après avoir commandé, M. Thomas se tourne vers moi et me dit :
- Tu aimes ça Anna même si tu ne veux pas. Tu aimes que deux hommes que tu connais à peine te tripote.
Ses paroles me font rougir et je gémis doucement. Je me mords la langue, mais le gémissement m’échappe :
- Oooohhhh… Mmmmmm…
M. Thomas me dit calmement :
- Maintenant Anna, tu vas aller aux toilettes et enlever ton string. Comme tu n’en as plus besoin, tu le laisseras sur le lavabo.
Je secoue la tête, car cette situation est trop humiliante.
- Anna, je pense que vous devriez faire ce qu’il dit. Ajoute M. Bergin avec une légère pression de ses doigts sur ma chatte.
Je hoche la tête timidement. M. Crosby enlève sa main, mais caresse mes fesses quand je me lève. Aux toilettes, je me regarde dans le miroir. Mes mamelons durs sont très visibles sous mon haut très fin. En soupirant, j’entre dans une cabine et je fais glisser mon string mouillé sur mes cuisses, révélant ainsi mes lèvres humides et lisses. Descendant ma jupe, je sors de la cabine. Et là, avec horreur, je vois une femme qui arrange son maquillage. Rapidement je me lave les mains et je pose sans regarder mon string sur le lavabo. J’entends une exclamation alors que je sors des toilettes pour retourner retrouver les trois hommes.
Mon visage est rouge pivoine quand je m’assois. Je remarque que l’entrée est arrivée, mais avant que je commence à manger, M. Thomas dit :
- Écarte les jambes, Anna. Il faut que tu nous montres que tu as bien fait ce que nous t’avons demandé.
Alors que j’amène ma première bouchée avec une fourchette, j’écarte automatiquement mes jambes. Bientôt, deux mains se retrouvent sur ma chatte nue.
La nourriture étouffe un gémissement. M. Thomas me regarde et sourit tout en mangeant. J’essaie de rester impassible alors que deux hommes que je connais à peine caresse ma chatte. M. Crosby glisse un doigt épais dans ma grotte ce qui me fait gémir alors qu’un couple se dirige vers les toilettes. Je rougis alors que les trois hommes se moquent de moi. J’ai arrêté de manger et je bois encore plus de champagne tout en essayant de retenir mes gémissements.
M. Bergin frotte mon clitoris alors que M. Crosby fait entrer et sortir son gros doigt de ma chatte humide. Je suis tellement humiliée quand le serveur vient prendre la commande et que j’ouvre la bouche en me mordant la langue comme M. Thomas me l’ordonne. Je suis pas loin de l’orgasme tandis que je pense que je n’ai pas joui depuis plusieurs jours.
M. Thomas se penche sur la table et me murmure :
- Tu vas jouir, petite salope mariée. Ici dans un lieu public rempli d’inconnus.
Sur ces mots, je saisis la nappe à pleines mains, je m’arque en arrière, mon corps se raidit, mes mains se crispent sur le tissu. Et je jouis dans cette stalle de restaurant.
- Ooohhhhh… Aaaaaahhhh… Mmmmmm…
Le reste du repas se passe comme si rien ne s’était passé, bien que ma jupe soit troussée à ma taille et que les femmes qui sortent des toilettes chuchotent en me regardant et en riant, supposant que le string abandonné sur le lavabo m’appartient. Les hommes parlent de tout et de rien, de la météo, de l’entreprise, de notre nouveau maire, de sport. Ce n’est que lorsque l’addition arrive que les choses se compliquent de nouveau pour moi. M. Thomas se penche et me murmure encore :
- Si tu ne veux pas avoir à payer l’addition, tu ferais mieux d’enlever les trois boutons du haut de ton chemisier.
Rougissant et plaidant que je n’ai pas les moyens de payer l’addition, je déglutis, baisse la tête de honte et commence à déboutonner mon chemisier. Lorsque le troisième bouton saute, on voit clairement mes tétons par l’ouverture du chemisier.
Nous nous levons et je descends ma jupe du mieux que je le peux. Quand nous traversons le restaurant, je me sens tellement honteuse d’attirer le regard des gens et de les entendre murmurer. Une femme dit à une autre que je suis probablement une prostituée alors qu’une autre dit que c’est mon string dans les toilettes.
Mon visage est rouge pivoine lorsque nous arrivons à la limousine. Le conducteur jette un long regard sur ma poitrine alors qu’il nous ouvre la portière. Alors que le véhicule se remet à rouler, je remarque que la glace de séparation avec le chauffeur est ouverte. Une fois de plus, je suis assise entre M. Crosby et M. Bergin qui caressent lentement leur entrejambe. M. Thomas me dit :
- Maintenant Anna, montre à nos invités quel genre de fille tu es , montre-leur que tu es une bonne salope soumise.
Je rougis à la mention de ma soumission alors que mes mains se posent sur les pantalons des deux hommes et que je commence à caresser les bosses qui augmentent sous le tissu.
Bientôt, j’entends le bruit des fermetures éclairs que l’on baisse et je vois que le chauffeur lance souvent des regards à son rétroviseur. Tandis que mes mains entourent deux bites, M. Thomas déboutonne complètement mon chemisier pour dévoiler mes gros seins et mes tétons très durs. Je gémis doucement quand il le fait et je commence à branler les deux bites plus rapidement. M. Thomas dit :
- Bonne fille ! Maintenant, pourquoi ne montrerais-tu pas quelle bonne suceuse tu es ?
Je suis tellement humiliée que je reste figée. Mais la main de M. Crosby force ma bouche à descendre sur sa petite, mais épaisse queue.
Il gémit alors que j’enveloppe son membre au goût salé avec mes lèvres chaudes et humides. Je n’aime pas ce goût, mais je n’ose pas m’arrêter. Je bouge ma tête de haut en bas sur sa virilité.
- Hhhmmmm… Mmmmm
Je gémis autour de la bite alors que M. Bergin vient d’introduire deux doigts dans ma chatte. Alors qu’il les fait glisser dans et hors de moi, je suce M. Crosby de plus en plus vite et de plus en plus efficacement. Il gémit très fort. C’est alors qu’il sort de ma bouche et me jette sur le sol de la limousine.
- Salope, écarte tes jambes ! M’ordonne le gros M. Crosby.
Son corps adipeux se place entre mes cuisses et je gémis quand il glisse sa grosse bite dans ma chatte humide qui s’adapte pour bien prendre l’épaisseur de son membre.
Tandis que l’homme commence à me baiser, son collègue, M. Bergin, prend sa bite dure en main et me l’amène à la bouche. Il l’enfonce de plus en plus dans ma gorge alors que M. Thomas se sert un verre de Champagne et regarde mon calvaire
J’étouffe et je pleure alors que la bite s’enfonce encore plus dans ma bouche. M. Crosby continue de me marteler de plus en plus fort. Tout cela, avec les vibrations de la limousine ne font que renforcer mon excitation. Les spasmes de ma chatte et mon incapacité à reprendre une respiration régulière me font dire que je suis sur le point de jouir.
La chair de poule s’étend sur mon corps alors qu’il se raidit. Je m’arque en arrière alors que mes tétons durcissent encore plus. Je gémis fort autour de la bite de M. Bergin pendant que je jouis et mon corps tremble de plaisir.
- OHHHHHh… MMMMMM… OOOUUUUIIII…
Alors que ma chatte se resserre sur la bite de M. Crosby, je peux entendre celui-ci gémir de plus en plus fort. Il sort alors son engin de ma chatte et me dit :
- Viens ici, je veux gicler sur tes gros seins !
Je me mets à genoux juste à temps pour que sa grosse bite commence à gicler du sperme sur ma poitrine. C’est chaud et l’odeur est âcre.
- Maintenant Anna, sois une bonne fille et nettoie M. Crosby. m’ordonne M. Thomas.
Je lèche la bite de l’homme pour la rendre propre et tandis que je me penche légèrement M. Bergin en profite pour glisser sa queue dans ma chatte libre. Surprise, je gémis fort.
Je laisse tomber la bite de M. Crosby de ma bouche et son collègue me saisit les hanches pour me baiser en levrette. Mon visage est enfoui dans le siège de la limousine alors qu’il me martèle de plus en plus fort et de plus en plus vite. Mes hanches commencent à reculer sur son engin et bientôt je me retrouve à faire tout le travail en m’empalant sur sa queue.
- Cette salope se baise elle-même sur la bite ! Baise-le, salope soumise ! Dit M. Thomas.
Je gémis à la mention de ma soumission.
M. Bergin se penche en avant et attrape mes seins. Il pince mes tétons, me faisant gémir plus fort. Mes mamelons commencent à me faire mal alors qu’il les tord. La douleur et le plaisir se mélangent. Je commence à suer et je continue à gémir. Je vais avoir un orgasme. M. Bergin se retire et me retourne, puis il éjacule sur ma poitrine.
Même si personne ne me dit de le faire, je prends sa bite dans mes petites mains et je commence à la lécher. Je peux voir que M. Thomas sourit et est satisfait. Quand j’ai fini de nettoyer la queue de M. Bergin, mon collègue me montre son entrejambe, baisse son pantalon et dit :
- A mon tour, salope !
J’enveloppe son membre avec mes lèvres humides et je commence à le sucer lentement. Je suis tellement absorbée par ma fellation que je ne remarque pas que la limousine s’est arrêtée. Je rougis quand la portière s’ouvre pour laisser M. Crosby et M. Bergin descendre. Le chauffeur me regarde fixement tailler une pipe à M. Thomas.
- Ne bougez pas ! Nous avons passé un bon moment et nous espérons qu’il se reproduira. Disent les deux clients en partant.
Le chauffeur ferme la portière et bientôt l limousine se remet en route. M. Thomas me regarde et me demande :
- Sois une bonne salope bien mouillée parce que ce soir je vais baiser ton cul mignon.
Je retiens mon souffle à ces mots. Je n’ai pas été sodomisée depuis mes années étudiantes. A cette pensée, ma chatte dégouline et mes tétons deviennent encore plus durs.
Tandis que je me mets à genoux, le cul en l’air, le visage enfoui dans le siège, je murmure :
- S’il vous plaît monsieur Thomas, ne soyez pas brusque… Il y a longtemps que je n’ai pas été sodomisée… C’est… C’est trop vicieux.
Je gémis dans un mélange de douleur et de plaisir quand le gland de l’homme glisse dans mon cul. Il ne bouge plus et caresse mon clitoris, me faisant gémir lentement. Mais mes gémissements se changent en cri de douleur quand il enfonce brutalement sa queue dans mon cul.
- Sortez-la ! Sortez-la Monsieur… Elle… Elle est trop grosse. Crié-je.
Mais il ne fait rien à part recommencer à titiller mon clitoris, ce qui me fait trembler et gémir. Ma tête et mon corps sont troublés par ce mélange de plaisir envoyé par mon clitoris et la douleur dans mon cul. Puis M. Thomas commence lentement à aller et venir dans mon petit trou.
- Aie, ça fait mal Monsieur… S’il vous plaît Monsieuuuuur !
Il commence à aller de plus en plus vite. Mes protestations et la douleur entre mes fesses se transforment bientôt en râles de plaisir. M. Thomas me pince mes mamelons gonflés et il les tord durement. Je geins et, à ma grande surprise, mes hanches commencent à répondre à ses mouvements.
- Oui salope, baise ma bite avec ton cul ! Putain, que ton cul est serré ! Oooohhh mmmmm ! Gémit-il.
Mes seins oscillent d’avant en arrière, car il me baise de plus en plus rudement. Mon corps se raidit, je n’arrive pas à croire que je vais jouir avec une bite dans mon cul. La peau scintillante de sueur, je gémis plus fort.
- C’est qui la salope qui jouit avec une bite dans le cul ?
Ces mots me rendent honteuse et encore plus excitée.
- C’est qui la pute mariée qui a une bite d’un autre homme que son mari dans le cul ?
Cette phrase est de trop, je tremble et je crie ma jouissance :
- Aaaaaaahhhh Arggggghhhh ouuuiiiii OUIIIIIIII !
Je tremble toujours quand M. Thomas me place sur le dos sur le plancher de la limousine. Il place sa bite entre mes seins et se branle avec. Il gémit en envoyant des giclées de sperme sur mon cou et ma poitrine.
Je gémis comme une grosse pute alors que je prends sa queue et que je la lèche sans me soucier d’où elle vient.
Quand M. Thomas remet sa bite dans son pantalon, je me rends compte que nous sommes arrivés devant ma maison.
- Maintenant Anna, je compte sur toi pour donner un pourboire au chauffeur. Dit mon collègue.
- Mais Monsieur Thomas, nous sommes devant chez moi. Quelqu’un pourrait me voir, mon mari pourrait nous voir. Plaidé-je.
Il attrape mes cheveux et tire dessus en disant :
- Tu feras ce que je dis, salope !
Je hoche la tête, et , nue, la poitrine recouverte de sperme, je me faufile hors de la limousine pour me diriger vers le siège du chauffeur. Ma soirée se termine à genoux dans la rue, la queue du chauffeur dans la bouche, attendant qu’il se vide dans ma gorge.
Alors que j’avale le foutre du chauffeur, M. Thomas me dit :
- Tu as bien obéi ce soir, je suis content. Tu n’as pas besoin de venir au travail demain. Ne t’inquiète pas je m’arrangerai avec le patron.
Dans la nuit noire, alors que la limousine s’éloigne, je me faufile dans ma maison. Heureusement mon mari est profondément endormi. Je glisse sous la douche pour laver tout le sperme qui me recouvre. Tandis que l’eau chaude tombe sur mes seins, je commence à pleurer en pensant à ce qui m’arrive.
Je me réveille le lendemain matin, mon mari est déjà parti. En allumant ma tablette, je remarque que mon mari m’a laissé un petit mot d’amour sur la table. Je vérifie mes mails et choquée je découvre des photos de moi la nuit dernière : Moi au restaurant, dans la limousine et au final à genoux dans la rue. Je les regarde avec horreur et fascination alors que ma main s’égare sur ma chatte douloureuse et déjà humide.
A suivre…
Obéissante et bien dressée... un bon commencement
RépondreSupprimerSuperbe récit jusqu ou va aller la soumission
RépondreSupprimerElle est bien partie pour devenir une bonne soumise
RépondreSupprimerElle decouvre la jouissance dans l'humiliation, elle ne va plus pouvoir s'en passer, que c est bon !
RépondreSupprimer