Traduction d’un texte de Byshyofficesub.
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Exhibition et gang-bang.
Pendant les quatre semaines qui suivent ma « réunion » avec les quatre hommes noirs, je ne revois pas M. Thomas, même pour des raisons professionnelles légitimes. Cette absence commence à avoir un impact sur mon corps et plus particulièrement ma chatte. J’en ai honte. Je suis presque constamment excitée et chaque fois que mon téléphone sonne ou qu’une notification de mail apparaît sur mon écran, ma chatte palpite. Si bien que je me pose beaucoup de questions sur ma santé mentale et quelle femme je suis vraiment.
Mais le dimanche vers 15h30, l’absence de mon maître se termine. Je reçois un message sur mon téléphone. Il est écrit : « Salope, je sais que ton mari n’est pas chez toi pour la semaine. Je viendrai te chercher demain à 8h00 pour t’emmener au travail. Tu porteras la robe bleue que j’aime bien et la lingerie que je t’ai envoyée à Noël »
Je lis le message une deuxième fois. Comment sait-il que mon mari est parti en voyage d’affaires ? Qu’est-ce qu’il prévoit ? A la pensée de la robe et des sous-vêtements en dentelle qu’il veut que je porte, j’ai des picotements dans ma chatte. La robe est très moulante et courte.
Mes mains se glissent automatiquement dans mon jean. Je suis déjà bien mouillée. Je suis sur mon canapé dans mon salon en caressant furieusement ma chatte humide. Mes tétons durcis tendent le tissu de mon tee-shirt. Bientôt je jouis en pensant au lendemain.
Il est 7h00 et je suis sous la douche. Ma chatte réagit instantanément alors que je savonne mes gros seins. Je n’ose pas me faire jouir alors que M. Thomas sera là dans une heure. Mais mon sexe continue à s’humidifier.
Je secoue la tête pour essayer d’échapper à mes idées vicieuses. Je coupe l’eau, prend une serviette et je retourne dans ma chambre pour m’habiller. Je m’assure que les stores soient fermés pour que personne ne puisse me voir. J’enfile le string bleu pâle et le soutien-gorge assorti que mon Maître veut me voir porter. Le string couvre à peine ma chatte et mes mamelons sont bien visibles à travers le tissu fin du soutien-gorge. La robe est bleu foncé avec un col rond et des boutons sur le devant. Elle s’évase en bas et elle est vraiment très courte. Elle fait également une taille trop petite. Si bien que la porter me fait rougir et m’excite encore plus.
Je prends mon sac à main quand M. Thomas arrive dans sa Mercedes. Je crois que c’est une classe S ou quelque chose comme ça, mais je ne connais pas trop les voitures. Quoi qu’il en soit, elle est sportive avec seulement deux portes. Je suis très embarrassée quand deux voisines me voient dans ma robe sexy saluer M. Thomas. Et lui, sachant que je suis gênée en profite pour mettre sa main sur mes fesses pour me conduire du côté passager de la voiture. Avant que je m’asseye il soulève ma robe et montre mon cul à Mme Taylor. Je peux entendre ma voisine hoqueter de surprise quand elle voit mon string et mes fesses. J’ai trop honte pour pouvoir la regarder alors je monte vite dans la voiture, le visage tout rouge.
Le véhicule est très bas, si bien que ma robe remonte sur mes cuisses quand je m’assois. M. Thomas sourit en regardant mes jambes et mes tétons qui pointent clairement sous le tissu de ma robe. Avant de quitter mon allée, il se tourne vers moi et dit :
- Maintenant Anna, sois une bonne fille et défais les boutons de ta robe.
- S’il vous plaît Monsieur, pas ici, mes voisines nous regardent.
- Tu veux que j’envoie à Mme Taylor la vidéo que tu as faite il y a trois semaines ? Fais bien attention !
Mes mains tremblent et je ne regarde pas à l’extérieur de la voiture pendant que je déboutonne le haut de ma robe. Un, deux, puis trois boutons plus tard, on peut voir clairement mon soutien-gorge et mes mamelons sont bien visibles.
- S’il vous plaît Monsieur, on peut y aller maintenant ? S’il vous plaît !
- Pas encore, je dois voir si tu portes tout ce que je t’ai dit de porter. Montre-moi ton string Anna !
Mon visage devient encore plus rouge alors que je relève ma robe pour montrer le string bleu en dentelle qui, à ma plus grande honte, a une tache humide.
- Bonne fille !
Sur ces mots, il sort lentement de mon allée devant Mme Taylor et Mme Simpson. Du coin de l’œil, je peux les voir regarder à l’intérieur de la voiture.
M. Thomas continue dans la rue, puis prend une avenue. A cette heure matinale, l’avenue est très passante avec des bus et beaucoup de voitures. Alors que nous sommes arrêtés à un feu rouge, j’entends soudain frapper à ma fenêtre. Je vois alors un groupe d’étudiants qui me regardent et rient.
- Allez Anna, donne-leur du spectacle ! Touche-toi Anna ! Caresse ta chatte !
Ma main lui obéit tout de suite, sans écouter ma tête. Elle glisse sous le string. Je peux encore entendre les jeunes frapper à la vitre, mais je n’ose pas les regarder. Je ferme les yeux et je gémis quand mes doigts touchent ma chatte humide.
- C’est bien Anna ! Mais continue à te toucher pendant la route pour aller au travail. Mais n’oublie pas, tu n’as pas le droit de jouir.
J’écarte les lèvres de ma chatte et je plonge deux doigts dans ma grotte intime sans me soucier de qui peut me voir, piéton ou voiture. Un camion klaxonne tandis que je caresse mes mamelons avec l’autre main.
Je suis dans une voiture qui roule dans un trafic dense avec deux doigts dans ma chatte et ma main gauche qui tripote ma poitrine. Je fais aller et venir mes doigts dans mon sexe, jambes écartées. Je suis vraiment excitée et mouillée, je gémis bruyamment dans la voiture.
- S’il vous plaît M. Thomas, puis-je jouir ? S’il vous plaît Monsieur ?
Il secoue la tête en conduisant.
- S’il vous plaît Maître, je dois jouir !
- Si tu ne peux pas tenir, tu es autorisée à arrêter. Mais tu n’es pas autorisée à jouir. Est-ce clair Anna ?
Mes gémissements s’intensifient.
- Anna ! Est-ce que tu comprends ?
- Oui Monsieur… Je… Je le fais…
Il faut que je sorte mes doigts de ma chatte, mais je ne peux cesser de me caresser. Après ce qui me semble une éternité, nous arrivons au parking de notre travail.
- Tu ferais mieux de soignetr ta tenue avant d’aller travailler. Dit M. Thomas
Je remets ma robe en place. Mes tétons sont toujours bien durs et ils pointent sous le tissu. En sortant de la voiture, je ne peux éviter de montrer mon entrejambe. M. Thomas me tapote les fesses avant de quitter le parking et il me souhaite une bonne journée.
J’entre dans mon bureau encore tremblante d’excitation. Je n’arrive pas à croire qu’il m’a obligé à me toucher de chez moi à ici. Je passe le reste de la matinée à essayer de travailler, et je continue à attendre que M. Thomas m’appelle ou m’envoie un message, mais rien. Le déjeuner passe et toujours rien. Et l’après-midi est pareil, je n’ai aucune nouvelle de lui. Je suis de plus en plus anxieuse et excitée.
Je prends le métro pour rentrer chez moi où je tourne en rond comme un fauve dans une cage. Puis mon téléphone sonne, j’ai enfin un message de lui. Il dit : « Salope, demain tu porteras la jupe noire de costume que j’aime bien, un chemisier blanc et transparent, des bas et les talons de dix centimètres que tu as acheté il y a quelques semaines. Oui je sais ce que tu as acheté, tu ne peux rien me cacher. C’est tout ce que tu es autorisée à porter. Je passerai à huit heures. Et n’oublie pas, interdit de jouir ! »,
Bien sûr, je remarque que dans sa liste manquent la culotte et le soutien-gorge.
Il est 7h15 le lendemain, je sors juste de la douche. Mes mamelons sont bien durs et je mouille déjà en regardant la courte jupe noire qui couvrira à peine mes fesses et le chemisier transparent. Heureusement j’ai trouvé une veste. Mes yeux se portent sur les talons hauts que je dois porter. Je rougis en m’imaginant à ce que je vais ressembler aujourd’hui. j’enfile la jupe, le chemisier qui frotte sur mes mamelons sensibles et qui les fait durcir encore plus.
Je viens de finir de mettre mon rouge à lèvres et je glisse mon pied droit dans une chaussure quand j’entends le claquement d’une portière. C’est M. Thomas. Mes seins sautent de haut en bas quand je me dépêche de descendre les escaliers. Je me dis que j’ai bien fait de mettre une veste.
J’ouvre la porte d’entrée. M. Thomas est là et il me bloque le chemin.
- Voyons voir Anna si tu as respecté mes instructions. Enlève ta veste !
- S’il vous plaît Monsieur, pas ici ! Ce chemisier est si transparent qu’il ne cache rien. S’il vous plaît !
Mais j’obéis en baissant les épaules. j’enlève ma veste pour la poser sur mon bras. Mes mamelons sont clairement visibles dans la lumière du jour qui entre par la porte. Je suis reconnaissante que M. Thomas soit devant la porte quand M. Jones sort de sa maison. Il me fait un petit geste naturel.
- Ce n’est pas tout Anna ! Lève ta jupe !
Mes mains tremblent alors que je soulève ma jupe et montre ma chatte nue. M. Thomas approuve d’un hochement de tête. Mais avant que je puisse tirer ma jupe vers le bas, il se dirige vers la voiture et me laisse bien en vue. Je pense que je réussis à baisser ma jupe avant que Mme Hopkins qui se promène avec son bébé dans une poussette me voit. Mais elle ne manque pas de bien regarder mon chemisier transparent. Baissant la tête, je me dépêche de rejoindre la voiture. M. Thomas rigole quand il voit que j’essaie d’ouvrir la porte passager qui est verrouillée. M. Jones qui part pour faire son jogging, trébuche en me regardant.
M ; Thomas déverrouille la porte et je suis autorisée à monter. Mon visage est si rouge que je crois pouvoir sentir la chaleur s’en dégager. Mes tétons sont bien dressés, bien durs et je mouille. Je mets ma veste sur mes genoux et M. Thomas sort sa voiture de mon allée.
- Mets la veste sur la banquette arrière, Anna. Et remonte ta jupe !
Il faut encore que j’expose ma chatte le temps du trajet.
- Maintenant Anna, je veux que tu te caresses, mais je ne veux pas que tu jouisses. Et je veux que tu regardes tout le temps par la fenêtre. Compris ?
- Oui Monsieur !
Je réponds docilement. Ma chatte est déjà tellement humide que mes doigts glissent facilement. Un gros SUV s’arrête à côté de nous. Le conducteur me regarde me doigter. Il sourit. J’ai tellement honte que je détourne la tête. M. Thomas saist alors mon mamelon gauche et le tord à travers mon chemisier.
- Qu’est-ce que je t’ai dit, salope ? Descends ta vitre et dis à cet homme ce que tu fais !
Immédiatement je rougis et ma chatte se contracte alors que je baisse la vitre et que je dis au conducteur du SUV que je suis en train de doigter ma chatte bien humide.
Deux blocs de maisons plus loin, je suis prête à jouir.
- S’il vous plaît Monsieur, je dois jouir !
En réponse, mon mamelon gauche est de nouveau tordu violemment.
- D’accord salope, tu peux arrêter de te caresser. Mais à la place tu vas sucer ma bite !
Je me penche tandis que nous nous arrêtons pour laisser passer une voiture. Je rougis encore en me rendant compte que ma jupe est si courte que tout le monde passant dans la rue peut voir mon cul nu.
M. Thomas pousse ma tête sur sa bite bien raide. Je déplace mes lèvres de haut en bas sur son engin. Mon cul tortille alors que je suis encore plus exposée. Ma vitre est toujours baissée et je suis sûre d’entendre les gens dire que je suis une pute. Ma honte fait que je suis encore plus excitée et je gémis autour du sexe de mon Maître. Je le branle avec ma main droite pendant que je lèche son gros gland, puis je descends et remonte ma bouche de plus en plus vite sur son sexe. Je peux le sentir se tendre alors que nous arrivons sur le parking de notre entreprise. Des jets de sperme frappent l’arrière de ma gorge et j’essaie de tout avaler. Tandis que je lèche soigneusement sa bite, il se gare.
- C’est bien salope ! Dit-il en descendant de la voiture.
Il me tend ma veste et c’est la dernière fois que je le vois de la journée.
Je passe ma journée au bureau sans soutien-gorge ni culotte. Je résiste tant bien que mal à ne pas courir aux toilettes pour me faire jouir, j’ai trop peur des conséquences. C’est très dur lors de la réunion de deux heures dans une salle où la climatisation ne fonctionnait plus. Je dois enlever ma veste et les clients fixent constamment mes seins et mes tétons durs sous le chemisier transparent. Dès que la réunion se termine, je cours à mon bureau, humiliée, ma chatte inondée. Quand j’y arrive, je trouve un message de M. Thomas : « As-tu aimé la panne de climatisation ? ». Bon sang, je n’arrive pas à croire qu’il l’a fait exprès.
A dix-huit heures, je me dirige vers le métro après avoir encore été ignorée par M. Thomas toute la journée. Confuse, je suis encore excitée quand je prends la rame de métro. Ma jupe ne cache rien de mes jambes lisses quand je m’assois et le mouvement de la rame fait que mes seins se balancent d’avant en arrière.
Arrivée à la maison, je trouve une boite sur le perron. Elle est petite, donc il ne s’agit pas de vêtements. Je suis sur le point de l’ouvrir quand mon téléphone sonne. C’est mon mari.
- Oui mon chéri, ça va bien. Oui le travail m’occupe. Et toi ton voyage ?
Je continue à ouvrir la boite alors que mon mari me raconte son voyage d’affaires. Quand je l’ouvre, j’ai le souffle coupé et je pousse un petit cri.
- Ce n’est rien, mon chéri. Je viens de voir une araignée et j’ai eu peur. Dis-je en mentant.
En réalité je vois un plug de dix centimètres et un œuf vibrant commandé à distance. Je fixe les objets tout en disant au revoir à mon mari :
- Je t’aime aussi mon chéri. Bonne soirée !
Alors que je raccroche, je vois que j’ai un message de M. Thomas : « Demain matin tu insères le plug et l’œuf avant que je vienne te chercher. Ne t’inquiète pas pour la télécommande, elle est en de bonnes mains. Débrouille-toi pour porter quelque chose de sexy. Et rappelle-toi que tu n’as pas le droit de jouir. »
Mercredi matin, je sais que je vais avoir du mal à marcher. Avec le plug dans mon cul et l’œuf dans la chatte, il est difficile pour moi de rester debout, de marcher ou de m’asseoir. Je me regarde dans le miroir de ma chambre. Mon visage reflète mon excitation, mes mamelons sont bien durs sous mon soutien-gorge en dentelle et ma robe verte foncée. Au moins, avec ces objets, je suis obligée d’avoir une culotte.
J’entends une portière de voiture claquer dans la rue alors, en soupirant, je descends l’escalier. Je fais deux pas quand mes genoux se plient et que des frissons parcourent mon corps quand l’œuf se met en route. Je gémis et lutte pour arriver à la porte d’entrée. Je l’ouvre en me préparant à supplier M. Thomas d’arrêter. Ma chatte est déjà bien humide. Je suis surprise car je vois sur mon perron, M. Stewart, un de mes voisins. L’œuf se met à vibrer plus vite. Je vois plus loin M. Thomas qui sourie alors que je lutte contre ces sensations dans ma chatte.
- Mo… Monsieur Stewart, comment allez-vous ? Dis-je en balbutiant.
Quand il me regarde de haut en bas, ça ne fait qu’accroître mon embarras et mon excitation.
- Bonjour Anna. Ma femme et moi souhaiterions vous inviter avec votre mari pour un dîner la semaine prochaine. Est-ce possible ?
J’agrippe la porte, ma chatte se contacte autour de l’œuf vibrant. J’essaie de garder une voix calme :
- Oui ce ser… ait bien M. Stewart.
- Oh appelez-moi Ron ! Et cette robe vous va très bien ! Dit-il avant de s’éloigner.
Je rougis encore plus à ses compliments. L’œuf s’arrête subitement de vibrer. Alors je me dirige lentement vers la voiture de M. Thomas.
- Bonjour Anna, je vois que tu aimes mon cadeau. Dit-il quand je rentre dans sa voiture, ma robe remontant sur mes cuisses.
Le trajet jusqu’au travail est atroce. Il n’arrête pas de jouer avec la télécommande de l’œuf, le démarrant, le poussant au plus haut niveau de vibration puis l’arrêtant subitement. Mon corps et en feu, mon esprit est dans le brouillard, je voudrais pouvoir jouir avant d’arriver au travail.
- Ne t’inquiète pas Anna, la télécommande sera en de bonnes mains toute la journée. Dit-il alors que nous entrons dans l’ascenseur.
La matinée se passe assez normalement si on exclut le fait que le plug dans mon cul bouge et s’enfonce quand je m’assois. Je ne peux l’oublier et il garde mon excitation éveillée. Toutes les deux minutes, je me demande quand l’œuf va reprendre vie. Mais ni M. Thomas, ni l’œuf enfoui dans ma chatte ne donnent signe de vie.
Plutôt confiante et assez à l’aise, à 13h00, je me dirige vers une réunion programmée. Je sais que M. Thomas est sorti pour un rendez-vous à l’extérieur et qu’il ne sera donc pas là.
Mais c’est quand le client commence à expliquer le motif de la fusion de son entreprise que ça arrive. Au début, je mets cela sur le compte de mon imagination, mais ce n’est pas ça. Je me tortille sur mon siège en regardant autour de moi. L’œuf vibre dans ma chatte. Personne ne me regarde, mais mon sexe commence à mouiller. Oh mon Dieu, qui a la télécommande ? Je panique. Je ne vois pas M. Thomas et je suis en train de me tortiller sur mon siège en réunion tout en essayant de ne pas gémir.
Je ne connais pas notre client depuis longtemps et je me demande bien avec qui mon secret a été partagé ? J’étouffe mes gémissements en buvant un peu d’eau. Je croise les jambes, mais ça ne fait qu’accroître les vibrations et la pression sur le plug. J’agrippe la table et je me mords les lèvres. Mes tétons pointent clairement sous ma robe. Et tout d’un coup j’entends une question.
- Pardon M. Ryan ? Balbutié-je.
- Anna, avons-nous les autorisations nécessaires et est-ce que la loi nous permettra de faire ce que veut M. Chan ?
Les vibrations sont plus fortes maintenant. Mon visage est rouge.
- Anna, vous allez bien ? Vos yeux sont vitreux.
- Ça… Ça… Va… M. Ryan. Tout… Tout va bien (l’oeuf s’arrête de vibrer). Nous avons toutes les autorisations nécessaires, la fusion devrait bien se passer au niveau légal.
Je regarde autour de moi. Personne ne dit un mot et ne me lance de regards bizarres.
La réunion se poursuit et l’œuf reste inactif. Je commence à me demander si je n’ai pas imaginé tout ça dans ma tête.
Je retourne dans mon bureau où je trouve une note de M. Thomas. Il est écrit : « Salope, j’espère que tu as apprécié ta réunion. J’au oublié de mentionner qu’il y avait deux télécommandes avec l’œuf. »
J’ouvre grand les yeux. Il a donné une télécommande à quelqu’un. Oh mon Dieu, je n’arrive pas à croire qu’il ait fait ça. Je me sens terriblement humiliée et vulnérable.
Alors que je pense que ma situation ne peut être pire, l’œuf recommence à vibrer. Je suis assise droite comme un I dans ma chaise. Mon Dieu, je crois que je vais jouir sur place. C’est alors que Mme Carter entre dans mon bureau avec un grand sourire et une télécommande dans la main. Je suis choquée. Mme Carter est une grande blonde au corps athlétique en bonne forme pour ses 50 ans. Ses yeux sont très bleus, elle a une superbe poitrine et un cul bien ferme.
- Petite salope, petite pute, tu ne mérites pas de jouir ! Murmure-t-elle en éteignant l’œuf alors que j’étais proche de l’orgasme.
Je voudrais désespérément jouir.
- Salope, maintenant tu vas retirer ton string et l’œuf. Tu mettras celui-ci dans ta bouche.
Elle ferme la porte de mon bureau pendant que je fais glisser mon string sur mes jambes. Je sors l’œuf de ma chatte trempée en gémissant. Puis je le mets dans ma bouche. Je la vois qui relève sa robe pour me montrer une chatte nue, bien lisse, avec de grandes lèvres qui scintillent de son jus.
- Maintenant, tu vas lécher ma chatte avec l’œuf dans ta bouche de pute ! Tout de suite !
J’ai du mal à l’entendre parler aussi vulgairement. L’œuf commence à vibrer dans ma bouche tandis que je l’appuie de haut en bas sur son sexe. Elle gémit et se tortille.
- Oui c’est ça, salope. Fais-moi jouir et peut-être que je te laisserai avoir un orgasme.
Donc, Désespérée de pouvoir jouir, je pousse l’œuf contre son clitoris et je glisse deux doigts dans sa chatte.
- Oui, oui, oui… C’est ça, petite pute… Gémit-elle.
Elle appuie ma tête contre son sexe, l’œuf dans ma bouche contre son clitoris. Mon jus coule sur mes cuisses pendant qu’elle gémit et m’insulte.
- Oui, je veux que tu me fasses jouir, salope. Fais-moi plaisir, putain.
Tout d’un coup, elle se cabre, gémit et se met à trembler. Le jus de sa chatte gicle sur ma bouche et mon visage. Son sexe se resserre sur mes doigts.
Puis elle me repousse et rajuste sa robe comme si rien n’était arrivé. Elle prend l’œuf dans ma bouche et elle le glisse dans son sac à main. Puis elle se dirige vers la porte. Je trouve la force de dire :
- Mme Carter, vous… Vous avez dit que je pourrais jouir si vous aviez un orgasme.
Ma voix est tremblante de désespoir. Elle rit. Je la supplie :
- S’il vous plaît Mme Carter, puis-je jouir ? Ma chatte est tellement mouillée et je suis désespérée.
- Elle rit encore et, sans un mot, sort de mon bureau sans m’autoriser à jouir. Mon humiliation continue de croître.
Quelques instants plus tard, M. Thomas me contacte pour me dire d’enlever le plug et de le laisser sur mon bureau.
A 18 heures, je quitte mon travail, tendue, excitée et honteuse en pensant au plug qui trône sur le dessus de mon bureau. Je n’ai pas de nouvelles de M. Thomas dans la soirée à part un message laconique qui me dit de prendre le métro demain matin et me rappelle que je ne dois pas jouir. Il ne me donne pas d’instructions sur ce que je dois porter, je ne reçois pas de colis avec des objets pervers non plus qui pourraient m’embarrasser le lendemain. Je me couche la chatte humide et anxieuse.
Toute la nuit, je suis tourmentée par de mauvais rêves où je suis fouettée, torturée et obligée de jouir. Je me réveille encore plus excitée, plus mouillée et complètement honteuse. Qu’est-ce qui se passe avec moi ? Qu’est-ce que je deviens ? Je me pose ces questions alors que je me dirige vers la douche. Je grimace quand je me lave, mon cul étant encore douloureux du port du plug hier toute la journée. Mes pensées se tournent vers ce plug bien en évidence sur mon bureau. Je suis tellement humiliée, je me demande ce qui va arriver. Ma chatte et encore plus humide quand je sors de la douche pour m’habiller. C’est étrange de ne pas avoir reçu d’instructions de M. Thomas, pas de SMS ou d’appel téléphonique. C’est trop bizarre.
Je choisis une jupe crayon qui descend juste au-dessous du genou. Pour une fois, je suis heureuse de la longueur. J’enfile un chemisier bleu par-dessus un soutien-gorge en dentelle violette. Ainsi j’ai l’air sexy, mais professionnelle, en tout cas bien différente de la salope durant cette semaine. J’enfile des talons de 8 centimètres et je me dirige vers le métro. M. Stewart me salue quand je passe. Il a l’air presque déçu de ma tenue.
En arrivant au travail, je me dirige rapidement vers mon bureau. A l’intérieur je regarde et je ne vois ni le plug ni une note quelconque. Toute la matinée je me demande où est passé l’objet et qui l’a pris. Mais je ne le découvre pas. En fait mon travail me paraît trop normal, ennuyeux même. Je n’ai pas de nouvelles de M. Thomas et Mme Carter agit comme si rien ne s’était passé hier. Ce calme me rend folle. J’ai un manque d’humiliations. Mon Dieu, que c’est horrible de penser ça, me dis-je.
Quand je reviens d’une réunion à 16h30, j’ouvre ma porte de bureau et je trouve, posée soigneusement sur mon bureau, une très courte robe noire avec un profond décolleté en V et de fines bretelles. Je trouve aussi un string noir, le soutien-gorge assorti et des talons noirs de 10 centimètres. Il y a un message disant : « Salope Anna, ce soir nous allons à une soirée spéciale. Tu dois porter ça et rien d’autre. Je serai là à 17h30 pour te prendre. Sois prête : »
Je verrouille ma porte de bureau et je me déshabille. Le string est très doux quand je le tire sur mes cuisses lisses. Ma chatte répond déjà au port de cette lingerie fantaisie. La robe couvre à peine mes fesses et plonge bien au-dessous de mes seins. Avec les chaussures et mon maquillage, je ressemble à une escort-girl de grande classe. Mon estomac se crispe lorsque M. Thomas frappe à ma porte.
- Tu es superbe ! Dit-il quand j’ouvre.
Il a dans les mains une bouteille de champagne et un sac. De celui-ci il retire un plug et du lubrifiant.
- Maintenant, sois une bonne fille Anna et mets ce plug pendant que je verse deux coupes d ece merveilleux champagne.
Il fait sauter le bouchon de la bouteille alors que je lubrifie mon cul et le plug. A ma grande surprise il glisse facilement dans mon petit trou pour le remplir. Le port de l’autre plug a été payant.
M. Thomas me tend une coupe de champagne. j’en prends une gorgée. J’apprendrai plus tard qu’il a mélangé du somnifère avec le liquide.
- Mmmm, très bon Monsieur ! Dis-je en savourant le champagne.
Je prends une autre gorgée et je me sens étourdie tout d’un coup. Je monte une main à ma tête alors que la coupe s’échappe de mon autre main. Je m’effondre dans mon fauteuil de bureau et la dernière chose que je me souviens est d’entendre M. Thomas dire que je suis une bonne fille.
Je me réveille, il fait sombre. Ai-je les yeux bandés ? Non, c’est une cagoule. Je suis enchaînée. Mes bras sont tirés au-dessus de mon corps, mes jambes sont écartées et mes chevilles enchaînées au sol. Tout d’un coup il y a une lumière vive et j’entends quelque chose être tiré, comme des rideaux. J’entends des hoquets de stupéfaction de personnes invisibles, puis une voix. C’est M. Thomas.
- Ce soir, nous avons une surprise pour notre collecte de fond. Il s’agit d’une salope, d’une pute pour notre divertissement.
Je rougis alors que je me rends compte qu’il parle de moi. Il continue :
- Mais attention ce n’est pas une salope ordinaire, une pute ordinaire. Il s’agit d’une femme mariée exerçant le métier d’avocate qui est devenue une vraie traînée.
J’entends des applaudissements ainsi que des acclamations. Tout d’un coup, la cagoule est enlevée. Je plisse les yeux pour m’habituer à la lumière. Je vois que je suis sur une scène. Il y a environ cent personnes devant moi. Ils portent tous des masques. Heureusement j’en porte un aussi. Je regarde M. Thomas en l’implorant des yeux. c’et si humiliant de se trouver ainsi. Mais je n’ose pas dire quoi que ce soit.
- Maintenant, nous allons commencer les enchères pour lui enlever ses vêtements. On commence à 200, je vois 250, oui 300 !
Il murmure que je suis très populaire. Je rougis encore. Quelqu’un dans la salle lance :
- 500
- 500 ? Est-ce que ça va ? Alors 500 oui !
Je regarde avec horreur M. Thomas tendre à un homme un étrange couteau brillant qui lui à la lumière des projecteurs. L’homme prend le couteau et le pose sur mes jambes nues, me faisant frissonner. Le public rigole quand je gémis et je tremble de mon humiliation. Le couteau tranche rapidement ma robe, je me retrouve en string et soutien-gorge. Le couteau est froid sur ma peau quand il passe sous mon soutien-gorge pour le trancher. Mes seins sont libérés. Quand mon string tailladé tombe sur le sol, ma chatte est bien humide.
- Regarde l’écran à droite!
Je regarde, comme le public, un grand écran de télévision. Je vois un gros plan de ma chatte humide.
- Je vous avais dit que c’était une salope spéciale. Elle mouille déjà.
Je secoue la tête d’embarras et d’excitation. La caméra bouge et révèle mes tétons dressés et bien durs puis mon visage rougissant.
- Continuons ! Cette salope n’a pas été très sage je crois ! Une fessée est appropriée. Je pense que 50 est un bon prix pour une claque sur son cul. Mais nous allons plafonner son châtiment à 20 coups. Dit M. Thomas en tenant une raquette. En sanglotant je laisse échapper un « non » de ma bouche.
Tandis que les gens font la queue pour me punir, la chaîne qui enserre mes poignets est abaissée et déplacée vers l’avant ce qui fait que je me retrouve pliée à la taille. Le premier coup est rapide et fort. Un cri s’échappe de ma gorge.
- Stop, arrêtez ! Commande M. Thomas.
Il dit alors au public que l’on doit compter. Les gens crient :
- Un !
Le deuxième coup est violent et fait trembler mon cul. Le public crie et rit. Au cinquième coup, mes fesses sont rouges et chaudes. L’écran de télé révèle à quel point je suis humide. Les gens, en criant les chiffres, ne font qu’augmenter mon excitation et ma honte. Le dixième coup tombe. J’halète dans la douleur et le plaisir. Ça ne passe pas inaperçu.
- Bon sang, je crois qu’elle pourrait jouir d’être fessées. Je vous avais dit qu’elle est spéciale.
« CLAC » fait la raquette. Je gémis et la chaleur de mon cul envahit mon corps. Au moment ou le vingtième coup frappe mon cul à vif, je suis dans un bonheur orgasmique, mes gémissements et mes cris se mélangeant aux acclamations du public qui finit de compter pendant que je jouis.
- Quelle salope ! Constate M. Thomas.
Puis il annonce :
- Maintenant, qui va être le premier à la baiser ? Le trou que vous voulez ! Avons-nous 1000 ? Oh j’entends 1200 ! 1500 ! Wow 2000 !
Je n’arrive pas à croire que l’on dépense autant d’argent pour moi. j’en suis presque fière. L’homme qui a gagné monte sur scène. Il est grand, musclé, vêtu d’un costume de très bonne qualité et d’un masque noir. Il sourit en sortant sa queue déjà bien raide. J’en ai un bref aperçu quand il frappe mon visage avec avant de me contourner et se placer derrière moi. Sans avertissement, il m’encule. Mon pauvre cul, son engin est vraiment épais alors qu’il s’enfonce centimètre par centimètre dans mes entrailles. Je gémis encore à cause de la douleur et du plaisir. Il passe une main sous moi et frotte ma chatte trempée alors qu’il me sodomise brutalement. Être enculée devant un public joyeux de mon sort ne fait qu’exacerber mon excitation et mon humiliation. Il m’encule sur un rythme soutenu et je peux bien sentir sa queue dans mon cul. Soudain il se raidit et éjacule en moi. Puis il sort sa queue et l’écran de télévision montre du sperme glisser sur ma chatte et mes cuisses.
- Maintenant Mesdames et Messieurs, nous offrons ces trous pour 500. S’il vous plaît, alignez-vous ici devant elle. Je peux voir tous ces gens payer et faire la queue. Bon sang, ils vont tous me baiser, ou me lécher, ou me faire sucer ! On détache mes chevilles et mes bras. Je suis obligée de chevaucher une bite qui s’enfonce facilement dans ma chatte. Une autre queue se glisse dans ma bouche alors qu’une troisième s’enfonce dans mon cul. Je vois sur l’écran que je suis bien coincée entre trois hommes. Je gémis autour de la bite dans ma bouche. Mon cul part à la rencontre de ces queues. Puis l’homme dans ma chatte ainsi que celui dans mon cul éjaculent en même temps. Un autre orgasme me fait crier. L’homme devant moi retire son engin de ma bouche alors que je jouis. Il arrose mon visage. Son foutre coule sur mon menton et tombe au sol. Le public rit.
Les bites sont rapidement remplacées par d’autres. Une femme glisse sous moi et pose sa langue sur ma chatte. Je jouis instantanément quand elle me lèche soigneusement. Puis des bites, toujours des bites, je suis dans un état de jouissance continu.
A un moment donné, j’ai dû m’évanouir. Quand je me réveille, je suis dans une belle chambre. Le soleil brille, il est évident que nous sommes le lendemain. Je suis nue, mais propre. Je grimace en passant mes doigts sur les zébrures de mon cul et les contusions de mon corps. J’ai mal à la chatte et au cul. Je regarde autour de moi et je vois une belle robe sexy accrochée à une penderie ainsi qu’un mot sur la table :
« Salope, tu es libre de partir. Je te libère du chantage et de toutes les obligations que tu avais envers moi. Tu peux retrouver ton mari et revenir au travail, notre relation ne sera désormais que professionnel. Toutefois, tu peux aussi choisir de rester dans cette maison et je te garantis tout le plaisir que tu n’as jamais imaginé. Tu as le choix. M. Thomas.»
Je relis encore et encore ce bout de papier. La liberté est-elle possible ? J’enfile la robe et je mets mes pieds dans des talons de 6 centimètres qui m’attendent. J’essaie d’ouvrir la porte. Elle n’est pas verrouillée et ouvre sur un long couloir bien décoré. Je franchis le seuil, mais ma chatte palpite. J’hésite.
Alors je ferme la porte, je m’allonge sur le lit, écarte les jambes et commence à caresser mon clitoris. Tandis que je me rappelle des évènements de la nuit précédente, je jouis en sachant que je ne reverrai plus mon mari.
FIN.
Il est parvenu à ses fins, il en a fait une salope soumise et insatiable prête à renoncer à son ancienne vie pour assouvir ses besoins sexuels. Bravo, très belle histoire
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