Traduction d’un texte de Byshyofficesub.
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Les quatre hommes noirs.
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m’appelle Anna. Je suis mariée, heureuse en amour, et avocate. Mais j’ai une double vie. Je suis devenue l’esclave sexuelle de l’homme responsable de l’informatique dans le cabinet juridique où je travaille. Il s’appelle M. Thomas et il me fait chanter pour me forcer à faire tout ce qu’il désire.
Ce lundi commence comme d’habitude avec une réunion avec mes collègues. Tandis que je rejoins mon bureau, l’associée responsable des fusions, Mme Patterson me dit que j’ai une réunion avec deux sociétés que M. Thomas a amenées. Elle me dit qu’il a demandé spécifiquement que ce soit moi qui m’en occupe. J’ai un frisson qui parcoure ma colonne vertébrale.
Cinq minutes après, je reçois un message de M. Thomas qui m’ordonne d’être dans son bureau dans deux minutes sans soutien-gorge. Il me dit aussi que si je suis en retard, je devrais enlever autre chose. Rapidement, je dégrafe ma robe et je décroche mon soutien-gorge et je le fais glisser sur un bras puis sur l’autre. En le mettant dans mon sac à main, je rougis en me rendant compte que j’ai fait cela alors que la porte de mon bureau est ouverte. Heureusement, je pense que personne ne m’a vu.
Mes tétons durcissent en frottant contre le tissu de ma robe. Gênée, mes gros seins tremblent tandis que je me dirige rapidement vers l’ascenseur. J’ai l’impression de ne pas passer inaperçu de mes collègues ce qui me fait rougir et me sentir humiliée.
Je suis contrariée et embêtée par le temps que je mets pour me rendre au bureau de M. Thomas. Je tremble alors que j’ai une minute de retard. Je frappe à sa porte.
Il sort la tête par la porte et me dit :
- Tu es en retard. Enlève ta culotte et tu pourras entrer. Oh, laisse-la sur le bureau de ma secrétaire.
Avant que je puisse protester, il me ferme la porte au nez. Nerveuse, je regarde autour de moi. Humiliée, mes mains tremblent alors qu’elles lèvent l’ourlet de ma robe. Je tire mon string sur mes cuisses libres. Je ne peux m’empêcher de rougir, car je remarque qu’il est humide. Je suis vraiment honteuse quand je pose mon sous-vêtement sur le bureau de la secrétaire. Je frappe à nouveau et j’entends :
- Entre !
Je pénètre dans son bureau et machinalement mes mains remontent ma robe pour montrer ma chatte lisse.
- Bien ! Dit-il.
Il est assis dans son fauteuil près de la fenêtre et il pointe son doigt vers le sol. C’est comme si je suis en pilotage automatique, je me mets rapidement à genoux alors qu’il ouvre sa braguette et sort son engin déjà bien dressé. J’entoure son membre de mes lèvres chaudes tout en me demandant si les gens dans l’immeuble en face de nous peuvent me voir lui tailler une pipe.
Tandis que je le suce avec application, M. Thomas me fournit des instructions sur ce que je dois porter pour la réunion du lendemain. Tandis qu’il finit de parler, je le sens se tendre.
Il saisit l’arrière de ma tête pour forcer sa bite dans ma gorge et il éjacule en grognant. J’essaie de tout avaler, mais ses jets de sperme sont trop abondants et s’échappe pour tomber sur ma robe. Tandis que je regarde la tache de foutre, il m’ordonne de partir.
Je suis soulagée quand je vois que mon string est toujours sur le bureau et que la secrétaire n’est toujours pas arrivée. Je marche rapidement vers l’ascenseur pour retourner à mon bureau.
Le lendemain matin, à 9h50, je suis dans un taxi qui manque avoir un accident étant donné que le chauffeur a l’œil rivé sur son rétroviseur pour me reluquer. Il est vrai que je suis avec une mini-jupe blanche qui me colle à la peau et un chemisier rose avec trois boutons enlevés qui mettent en avant mon décolleté. Mais le chauffeur ne voit pas ce qu’il y a en dessous : un string rose et un soutien-gorge assorti très coûteux. C’est exactement ce que M. Thomas m’a ordonné de porter.
Je sors du taxi en ne pouvant éviter de montrer mon string rose au chauffeur. Je regarde autour de moi, et nerveusement je contrôle l’adresse sur mon téléphone. Ça ne peut pas être ça. Je suis entourée de maisons vides et délabrés dans un vieux quartier. Avant que je puisse demander quoi que ce soit au taxi, il redémarre et s’éloigne. Effrayée et nerveuse, je me dirige vers la maison indiquée. Je me trouve bientôt devant une porte à la peinture écaillée. Je frappe. A ma grande surprise, elle est ouverte par un homme noir bien habillé qui doit faire 1m85 et 120 kilos.
- Entre Anna !
Nerveusement je fais un pas en avant. Sur la droite se trouve un autre homme noir aussi bien habillé et baraqué que l’autre. Deux autres gars sont assis sur un canapé en cuir usé. L’homme qui m’a ouvert la porte continue :
- Bienvenue Anna. Monsieur Thomas a raison, vous êtes très belle.
Les quatre hommes rient.
- Je… Je suis ici pour discuter de la fusion de votre entreprise. Répondis-je nerveusement.
Les rires s’intensifient.
- Quoi ?
Je commence à être vraiment inquiète.
- Anna, tu es ici parce que M. Thomas t’a envoyé pour être à nous toute la journée.
- Euhhh… Non… Ce n’est pas ça… Je suis… Je suis une honnête femme… Une femme mariée.
Ils continuent tous de rigoler.
- Anna, tu feras tous ce que nous demanderons ou mon ami ici enverra la vidéo que M. Thomas a partagé avec nous à ton mari et ton père. Tu crois que ton père aimerait voir comment sa fille a aimé être baisée dans la limousine ?
Choquée et effrayée, je fais deux pas en arrière vers la porte d’entrée. Mais l’homme à ma gauche me saisit les bras et les tiens derrière mon dos.
- Voyons Anna. Maintenant c’est simple, veux-tu vraiment que nous partagions ces photos et vidéos ?
- Non s’il vous plaît ! S’il vous plaîîît…
- Alors dis-nous que tu es notre salope pour la journée. Dis-le !
- S’il vous plaît, laissez-moi partir. S’il vous plaît…
L’un des hommes commence alors à taper sur son téléphone.
- Il va tout envoyer, Anna. Est-ce que tu le veux vraiment ? Est-ce que tu veux que ton père voit sa fille jouir avec une grosse bite dans le cul ?
- Non ! Non… S’il vous plaît… Je suis… Je suis votre salope. Chuchoté-je.
- Plus fort !
- Je suis votre salope ! Dis-je alors que des larmes coulent sur mes joues.
Tout de suite, l’homme qui vient de parler se place devant moi et déchire mon chemisier. Les boutons s’envolent et mon soutien-gorge est exposé. L’homme qui retient mes bras finit d’arracher mon chemisier et le lance sur le sol. Tout d’un coup je vois un flash, mon Dieu je crois qu’ils prennent des photos. Du coup je manque de m’apercevoir que le grand homme noir devant moi a sorti un couteau.
- Maintenant nous allons voir si tu es aussi bien en vrai qu’en vidéo .
Je gémis de terreur quand la lame froide se pose sur ma peau. L’homme fait glisser le couteau sur mon ventre et remonte jusqu’à mon soutien-gorge. J’ai la chair de poule quand il glisse la lame entre mes deux seins.
- Je crois que tu aimes ça, salope. Murmure-t-il en coupant mon soutien-gorge.
Mes mamelons durcissent instantanément. Il coupe les bretelles et mon soutif tombe au sol. Ma poitrine se soulève quand j’halète de peur et d’excitation. Mon Dieu, qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? Je suis sein nu, entourée de quatre hommes noirs costauds dont deux prennent des photos et je suis excitée. Le couteau glisse sur un mamelon dur et me fait gémir et trembler. L’homme qui tient la lame se contente de rire
- Une belle salope ! Dit-il en plaçant son couteau sur le haut de ma jupe.
D’un mouvement rapide il la coupe et la laisse tomber. Je suffoque sous le choc et l’air frais sur mon entrejambe. Maintenant il ne me reste que mon string et mes talons hauts. Je remarque que les autres hommes commencent à se déshabiller. Je suis fascinée par leur corps, leur musculature et mon Dieu, leurs queues sont énormes. Mes pensées sont interrompues quand l’homme au couteau s’exclame :
- Putain les gars, elle mouille. Regardez sa culotte.
Je rougis immédiatement tandis que je regarde vers le bas et que je vois une tache humide sur mon string. Alors que mes bras sont toujours tenus derrière moi, ma poitrine dressée, mes mamelons bien durs, l’homme passe son couteau sur le côté de mon string et le coupe d’un coup. Bientôt mon string humide se retrouve sur le sol avec mes autres vêtements. Je me retrouve nue devant quatre étrangers.
- Maintenant Anna, mets-toi à quatre pattes et avance vers le canapé. Montre à mes amis que tu es une bonne suceuse. Montre-nous ce que sait faire une bouche de femme mariée.
Je m’agenouille et je commence à avancer vers le canapé. Mes seins se balancent et mon cul se déplace d’un côté à l’autre. Je prends les deux bites dans mes petites mains. A côté de ces engins monstrueux, mes mains semblent toutes petites. Je commence à les caresser. Sachant que je n’ai pas d’autres choix, je lèche un gland puis l’autre. J’aperçois d’autres flashs et j’entends parler d’une vidéo alors que je glisse mes lèvres humides sur l’une des bites pendant que je caresse l’autre. J’essaie de faire entrer de plus en plus la queue dans ma bouche, mais elle est si grosse. Puis l’autre bite gifle ma joue et je dois le sucer aussi. J’alterne entre les deux hommes se trouvant sur le canapé.
Tout en les suçant je commence à gémir autour de leurs queues. Je suis de plus en plus excitée. C’est alors que je sens que quelque chose de froid être aspergé entre mes fesses. Sortant la bite de ma bouche, je regarde derrière moi et je vois que l’on applique un lubrifiant et que l’on approche un gros plug de mon cul. Je secoue la tête de peur.
- Non Anna, ne bouge pas ! Recommence à sucer ces queues que tu aimes tant.
J’ai le souffle coupé et je crie autour de la bite dans ma bouche quand le plug entre centimètres par centimètres dans mon cul.
- Aiiie ! Ohhhh… Argghhhh…
- C’est vraiment une bonne salope ! Dit l’homme dont le sexe se trouve dans ma bouche.
Pour me distraire de la douleur dans mon cul, il saisit ma tête et pousse son membre dans ma gorge. J’étouffe. Luttant pour respirer, je peux presque voir mon visage devenir rouge puis violet. Tandis qu’il ressort sa bite pour me laisser respirer, le plug est totalement poussé dans mon trou du cul.
- AIIIIIEEEEE ! Mon Dieu, sortez-le… Il est… Il est beaucoup trop gros… S’il vous plaît….
Je crie, mais pour que j’arrête de protester, la bite est de nouveau poussée dans ma bouche. L’homme commence à me baiser le visage, la salive dégoulinant sur mon menton. J’entends un bourdonnement et un vibro-masseur est soudainement pressé contre ma chatte. Je gémis bruyamment en raison de la surprise et de la queue dans ma bouche.
Tandis que je continue à gémir, le membre dans ma gueule se contracte. L’homme sort sa bite de ma bouche et gicle son foutre collant sur ma poitrine. Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’une autre queue envahit ma bouche. Le vibro-masseur remplit sa mission. Je sens que ma chatte a des spasmes et je gémis de plus en plus fort autour de l’énorme bite noire dans ma gorge.
- Bon Dieu, cette salope mariée va jouir. Je sens que ta chatte aime ça ! Vas-y salope, jouis pour nous !
Tandis que la queue entre et sort de ma bouche, je jouis en gémissant et tremblant, des gouttes de sueur perlant dans mon dos. J’essaie de respirer alors que la bite s’enfonce dans ma gorge pendant mon orgasme. Mais l’homme la ressort rapidement et une seconde décharge de foutre chaud asperge mes seins et mes tétons durs. De grandes mains noires frottent le sperme sur ma peau. Mes mamelons durs sont très sensibles et le plug continue de forcer les parois de mon cul.
- Maintenant Anna, il y a une chambre au fond. Tu vas y aller… Et ne fais pas sortir le plug ou tu seras punie.
Je me déplace à quatre pattes, humiliée avec l’objet qui dépasse de mon cul. Ce plug veut sortir de mon cul en mouvement alors je serre les fesses, rougissante alors que je vois d’autres flashs. Il faut que je fasse une pause, car le plu commence à glisser. Mais cela donne juste l’occasion aux hommes de frapper mon cul durement. CLAC !
- Avance salope !
Tortillant mon cul, mes seins se balançant sous moi, j’avance vers un endroit sombre, une chambre fraîche et sale. Je passe la porte et je suis brutalement jetée sur un matelas crasseux et dégoûtant. Alors que mon estomac est révulsé, un des hommes saisit le plug et le fait glisser dans et hors de mon cul. Je gémis et je grogne :
- Uggghhhh… Arggghhhh…
C’est alors que la bite la plus grosse que je n’ai jamais vue est placée devant mon visage. Elle appartient à l’homme au couteau. Il frappe ma figure avec son monstrueux engin.
- Allez salope, tu peux la toucher, la lécher, la sucer.
Il dit cela d’un ton neutre, comme s’il commandait une pizza. Je suis effarée alors que mes mains arrivent à peine à faire le tour de son gourdin.
Je lèche son gland quand tout d’un coup deux mains claquent violemment mon cul. Mes fesses commencent à brûler alors qu’ils continuent à frapper encore et encore mes fesses. Je place mes lèvres autour de l’énorme bite alors que son propriétaire encourage ses amis à me claquer le cul :
- Allez-y les gars, donnez une bonne fessée à cette chienne ! Elle mérite la fessée cette salope !
Ils s’amusent de mon humiliation. Je gémis et je grogne autour de la queue dans ma bouche. Mes fesses piquent et brûlent. Enfin ils arrêtent de me claquer le cul et ils enlèvent le gros plug. Je continue de gémir autour de la grosse bite qui envahit ma bouche. Je sens alors des mains qui relèvent mon derrière. J’essaie de ne pas laisser tomber le membre de ma bouche alors qu’un homme se positionne sous moi. Bientôt je peux sentir une queue entrer dans ma chatte humide. Je n’arrive pas à croire comment elle est si grosse quand elle me perfore. Je retire la queue de ma bouche et je gémis bruyamment. Mes hanches commencent alors à se déplacer d’elles-mêmes. Mes fesses montent et descendent sur la bite. Je me baise moi-même.
Une autre queue est bientôt mise dans ma main droite alors que celle devant moi reprend position dans ma bouche. Elle est poussée dans ma gorge, me faisant étouffer. Alors que j’essaie de reprendre ma respiration, je peux sentir la quatrième bite se présenter sur mon trou du cul. Finalement elle pénètre assez facilement étant donné l’élargissement de mon trou préparé par le plug. Je me sens vraiment pleine. Je n’ai jamais eu deux bites, une dans la chatte une autre dans mon cul, en même temps. Je gémis avec le membre dans ma bouche. C’est autant de douleur que de plaisir. Ma main droite branle rapidement la queue qu’elle tient. Elle ne tarde pas à se contracter et je peux sentir le foutre atterrir sur mon visage alors que l’homme gémit fort. Je continue à le caresser et, à ma grande surprise, il continue à bander.
Les deux queues en moi commencent à me baiser de plus en plus vite. Je sens que je vais jouir de nouveau. L’orgasme se construit en moi quand je pense combien je suis remplie. J’ai le souffle court, je gémis et je transpire. Mes seins se balancent d’avant en arrière.
- MON DIEEEEUUUU ! Crié-je autour de la bite dans ma gueule.
Mon dos se cambre, mes hanches m’empalent sur les deux bites et je jouis comme la vraie salope que je suis devenue. Ma chatte se contracte autour de la queue qui l’envahit et je peux alors sentir son propriétaire gicler son sperme chaud en moi.
Le gars qui m’encule continue de me sodomiser pendant quelques minutes pendant que je m’applique à sucer l’homme devant moi. Puis avec un grognement il sort de mon arrière-train et je sens ses jets de foutre frapper mon dos.
La queue que j’ai dans la main se glisse sous moi et je suis remise à genoux. La bite dans ma bouche s’échappe et je gémis alors que l’homme que je branlais s’enfonce dans ma chatte humide. Son sexe est si long qu’il frappe des endroits qui n’ont jamais été touchés par personne. L’homme saisit mes hanches et me tire vers le bas pour que je m’empale bien dessus. Mes seins se balancent, ma bouche est ouverte, mes yeux vitreux à cause de mon excitation tandis que le noir m’utilise pour son plaisir.
Je me réveille de mon état second quand je suis poussé vers le bas sur la poitrine de l’homme. Je sens un liquide qui coule sur mon cul. Je regarde derrière moi et je vois la grosse bite de l’homme au couteau pointée sur mon petit trou. A la pensée de cet engin entre mes fesses me terrifient je secoue la tête en geignant :
- S’il vous plaît, non ! Elle est trop grosse ! S’il vous plaît…
Mes plaintes sont ignorées et l’énorme queue commence à pénétrer mon cul. Je crie de douleur alors que mon petit trou est étiré.
- Non.. NON… S’il vous plaît, retirez-la !!
- La ferme !
Une bite est alors enfoncée dans ma bouche et bientôt mes trois orifices sont remplis. Je suis tirée, poussée, malmenée pour le seul plaisir de ces hommes. D’autres flashs illuminent la pièce tandis que le quatrième homme continue de prendre des photos humiliantes. Je gémis et grogne de douleur et de plaisir tandis que je suis baisée avec ces énormes bites.
L’homme dans ma chatte retire presque totalement sa bite, puis il l’enfonce rapidement et profondément. Mon orgasme est soudain et je crie de plaisir autour du membre dans ma bouche. L’homme qui me sodomise le fait de plus en plus vite.
Mais, la douleur et le plaisir sont beaucoup trop intenses pour moi et je m’évanouis. Quand je me réveille, je suis recouverte de sperme, il fait sombre et la maison est calme.
- Quelqu’un ? Dis-je nerveusement.
Mais pas de réponse. Je vois que sur la table il y a une clé USB et une lettre. Il est écrit : « J’espère que tu apprécieras les photos et les vidéos, salope. Nous sommes impatients de pouvoir te revoir. Il y a des vêtements pour toi dans le placard et nous t’avons commandé un taxi. »
Je gémis alors que j’essaie de bouger. J’ai mal au cul. Je vais jusqu’au placard où je trouve une robe couleur crème un peu trop petite pour moi, et un string blanc. J’enfile cette tenue de salope et je me dirige vers la porte d’entrée. Je me regarde dans le miroir du couloir et je vois que mes cheveux sont emmêlés avec du sperme et que la robe ne cache pas mes tétons qui pointent. J’ouvre la porte et je sors pour me diriger vers le taxi qui attend. Je me sens trop humiliée en pensant que quatre hommes noirs viennent de me baiser, que j’ai joui plusieurs fois et que je ne connais même par leur nom.
A suivre…
Super recit ou trouvez l original en anglais
RépondreSupprimerHumiliée certes mais Florence prend tout de même un pied d’enfer. Jusqu’où va l’emmener M. Thomas ? Il me tarde de lire la suite. Merci pour cette fantastique histoire
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