lundi 27 février 2023

Mes deux amants turcs Ch. 03

Texte de Claire de ma lune 

Les inconnus.

Un internaute m’a suggéré de faire lire mes récits à mes amants et je trouvais l’idée plutôt excitante, ce fut en fait pire que cela. Ils ont été à la fois flattés et vexés, de la façon dont je les décrivais, mais surtout, ils ont eu accès à une chose à laquelle je n’avais pas pensé, ce que je ressentais.

J’étais presque plus gênée de leur révéler mes sensations et mes envies, que de me faire baiser. Je ne regrette pas pourtant de l’avoir fait et je suis même allée jusqu’à leur faire lire les innombrables mails que j’avais reçus où certains n’hésitaient pas à me faire des propositions de scénarios vraiment torride.

Ce fut finalement ce qui mit le piment qu’il manquait jusqu’alors car soyons honnête, je ne leur faisais lire que ceux qui m’excitaient vraiment, autant dire, moins de 10% de ceux que je recevais.

L’un des tous premiers scénarios qu’ils me firent réaliser, fut de les sucer en extérieur les yeux bandés. Je pensais que l’on allait faire ça dans la campagne ou dans un bois et là je me suis bien trompé, car le lieu fut le parking d’un restaurant routier. Je ne sais pas à qui, ni combien de sexe j’ai pu sucer, mais par contre, j’ai mouillé comme une folle à le faire et je ne sais pas s’ils étaient encore tous là quand mes amants m’ont sautée dans la voiture sans m’enlever le bandeau, mais rien que d’imaginer que ça pouvait être le cas, j’ai eu un de ces orgasmes qui m’a foudroyée.

Je reconnais que ce soir-là, je n’en ai eu qu’un, mais il m’a littéralement coupé en deux. Ils ont remis cela une fois rentré, mais le désir n’y était plus. C’était la première fois finalement que je faisais ça avec de vrais inconnus que je ne voyais même pas et je n’avais qu’une hâte, c’était de recommencer.

Ils m’ont baisé comme ça plusieurs fois les yeux bandés à leur appartement, mais il me manquait le frisson de l’inconnu. Dans mes rêveries, je ne pensais plus qu’à ça, je me voyais toute nue au milieu d’inconnus lubriques, abusant de moi. Franchir le pas est autre chose, mais cela m’obsédait de plus en plus.

Je leur ai demandé de renouveler la séance du parking, mais ils m’ont répondu qu’il fallait prendre son temps, sinon que je n’avais qu’à y aller toute seule.

Ils m’ont fait languir plus d’un mois avant de me remmener dehors, en me promettant que là ce ne serait pas trois routiers que je sucerais, mais sûrement davantage et qui me baiseront peut-être aussi. Je regrettais ce soir-là d’être venu en jeans, mais un regret de très courte durée, car toutes mes fringues ont fini dans le coffre.

Un gros frisson m’a parcouru le dos quand ils m’ont mis le bandeau et quand une dizaine de minutes plus tard, ils ont garé la voiture. Ils sont sortis à l’extérieur et je suis restée ainsi pendant un petit moment, seule à l’intérieur. Je ne savais pas ou j’étais et je commençais à me faire plein de film dans la tête, j’avais peur et pourtant cela m’excitait vraiment. J’ai enfin entendu des bruits de pas et des hommes qui discutaient : 

- Ils nous ont pas menti, elle est à poil dans la voiture !

La portière s’est ouverte et ils m’ont faite sortir. Je ne savais ni où j’étais, ni avec qui et pourtant j’adorais. J’ai rapidement eu un sexe dans la bouche et des mains sur mes seins et mes fesses et un homme qui demandait si on pouvait me la mettre où on veut. Et Hussein a répondu : 

- Partout elle aime ça !

On m’a allongée sur une table je suppose, et l’un d’eux a lancé : 

-  Eh les mecs, si on lui rasait la touffe on y verrait mieux !

J’ai voulu me redresser pour protester, mais j’ai juste failli m’étouffer avec le sexe qui s’est enfoncé dans ma gorge. 

Quand j’ai senti les premiers coups de rasoir sur mon pubis je me suis raidie, mais je n’osais pas bouger. Pour m’être déjà fait le maillot plusieurs fois, je savais qu’il suffit de pas grand-chose pour se couper, alors je les laissais faire et malgré moi je mouillais.

- On y voit pas mieux comme ça, l’escalope à l’air et juteuse à point !

J’ai entendu : 

- Attendez les mecs, faut mettre les capotes !

Ils m’ont tiré vers le bord de la table et ont commencé à me prendre l’un après l’autre pendant que Khaled me disait à l’oreille : 

- Ça te plaît que ces salauds te baisent, qu’ils bavent sur toi comme des porcs, attends qu’ils s’attaquent à ton cul, tu vas aimer !

Je ne sais pas si c’est les paroles ou les mecs qui s’agitaient entre mes cuisses, mais je jouissais pas violemment comme la dernière fois, mais plus longtemps et en plusieurs fois.

On m’a libéré la bouche pour me retourner et me mettre le cul au bord de la table. Le premier qui m’a investi l’anus l’a fait plus doucement que ce que mes amants me faisaient d’ordinaire et ouvrant la bouche pour la première fois, je lui demandais de ne pas m’enculer comme une pucelle. J’ai senti comme une agitation derrière moi : 

- Vous avec entendu les gars, elle veut se faire ramoner la dame, faut lui en mettre un coup !

Et pendant je ne sais pas combien de temps, ils se sont relayés entre mes fesses avec une réelle ardeur.

Ce soir-là, pour la première fois, j’ai découché, car premièrement mon mari était en déplacement pour trois jours, et deuxièmement je n’en pouvais plus. La séance a dû durer 2 ou 3 heures, je ne sais pas trop, mais c’était vraiment très dur surtout quanq le plaisir est au rendez-vous.

Je suis d’ailleurs restée trois semaines sans venir voir mes amants qui malgré mes remerciements regrettaient d’y être allé un peu fort. Je leur ai dit que j’espérais que l’on pourrait remettre ça, mais pas tout de suite, et que je comptais sur eux pour que ce soit aussi bien voire encore meilleur. Et pourquoi pas le mois prochain quand Serge sera revenu du Cameroun.

Cette histoire est totalement vécue, et je remercie celui qui en a donné l’idée à mes amants.

A suivre ...

samedi 25 février 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 11

Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

 ****

Le week-end commence.

Christy raccroche et se dirige vers son placard. Entendre Kévin l'a secouée. Tout a commencé innocemment il y a quelques années. C'était un bel homme et il était poursuivi par toutes les filles. Christy fut sur un nuage quand il décida de sortir avec elle. Toutefois les choses changèrent rapidement après qu'ils aient fait l'amour une première fois .

A chaque fois ensuite le garçon lui fit faire des choses de plus en plus humiliantes avant de la baiser. Au point qu'elle en arriva à se présenter chez lui plutôt qu'il vienne la chercher. Et elle n'était autorisée à porter qu'un manteau et des chaussures. Quand il est parti à l'université, elle baisait chaque personne qu'il lui ordonnait. Christy était devenue une salope soumise. Elle frissonne quand elle se rappelle de leur fête de remise des diplômes. Elle avait bien essayé de lui résister une fois, mais il lui avait dit qu'il avait des photos et des vidéos et que si elle refusait de faire ce qu'il disait, il montrerait tout.

Du coup, l'idée de refuser quelque chose à Kévin ne lui est plus jamais venu à l'idée. Elle ferait tout ce qui lui dirait et il le savait. Peu importe qu'il 'expose plus. Après la fête de remise des diplômes, tous ses camarades savaient qu'elle était sa salope soumise.

Christy regarde l'heure. Il lui reste plus d'une heure avant de partir pour la maison des parents de Kévin. Elle sort plusieurs jupes et hauts qu'elle jette sur son lit. Les trente minutes qui suivent elle essaie ses vêtements pour essayer de trouver la combinaison qui réponde aux exigences de son maître.

Christy se présente à la maison des parents de Kévin avec une bonne avance de quarante-cinq minutes. Elle frappe et c'est le père, Marcus qui ouvre la porte. Il est surpris quand il la voit. La jeune fille se retient de rire quand elle voit l'homme habillé avec un soutien-gorge, une petite culotte, des bas et des chaussures à talon.

- Heu... M. GRABAS, je dois voir Kévin ici. Bégaie-t-elle.

Marcus gémit et répond :

- Entre s'il te plaît. Il n'est pas encore là, mais il devrait bientôt arriver. Dit Marcus en lui désignant le salon et en lui demandant de s'asseoir pour attendre.

Christy essaie de ne pas le regarder et se contente de hocher la tête. Elle se dirige vers une chaise sur le côté et s'assoit. Marcus se met sur le canapé juste en face d'elle et est récompensé par une vue dégagée sur la chatte nue sous la jupe de la jeune fille.

Celle-ci rougit tout en s'assurant que ses jambes sont écartées. Elle sait qu'elle montre son intimité. Mais comme le père de Kévin porte de la lingerie elle sait qu'il ne lui dira pas qu'elle ne s'est pas assise correctement. Ils restent silencieux pendant quelques minutes avant que Marcus se lève et dise :

- Je suis désolé Christy, mais j'ai d'autres choses à faire. S'il vous plaît, installez-vous confortablement et si vous voulez quelque chose, demandez-le simplement.

Marcus sort de la pièce et se dirige vers le bureau. Rapidement il connecte l'ordinateur et s'agenouille en attendant l'arrivée de Maître X.

- Que veux-tu esclave? Beugle Maître X.

- S'il vous plaît Maître, puis-je changer de tenue? Mon fils Kévin a demandé à une de ses amis de venir ici et j'ai dû lui ouvrir la porte avec les sous-vêtements féminins. S'il vous plaît, puis-je mettre un pantalon et une chemise. Plaide Marcus.

- Pourquoi pas esclave! Jessie t'a mis des vêtements dans un sac dans votre armoire. Mais n'oublie pas de suivre les règles.

- Oui Maître! Merci Maître! Dit Marcus avant de sortir du bureau pour aller s'habiller.

****

Kévin regarde sa montre et sourit. Il vient de quitter l'université avec le colis que lui a laissé Maître X. Il a passé la précédente demi-heure à regarder tout ce qui se trouvait dedans. Il a d'abord sorti le téléphone et l'a allumé. Ensuite ce fut l'oreillette et bientôt il entendit la voix de Maître X.

- Bonjour Kévin. Dit calmement Maître X.

- Bonjour Maître, je viens de récupérer le colis et je suis sur le chemin de la maison de mes parents. Répond Kévin.

- Bien, j'espère que tu as fait tout ce que je t'ai dit? Demande l'homme tout en sachant que c'était fait.

- Oui Maître X, j'ai fait tout ce que vous avez commandé. En fait, Christy doit déjà être chez mes parents maintenant.

- Excellent! Maintenant rentre chez toi et prends la en main. Dit Maître X avant de raccrocher.

****

Marcus ouvre la sac pour en sortir ses vêtements pour la soirée. A l'intérieur se trouve un pantalon en caoutchouc extensible, un débardeur en lycra et une paire de chaussures plates de sa femme. Il gémit et une larme coule sur sa joue.

- Mon Dieu, je pleure encore, qu'est-ce qui se passe? C'est embarrassant, mais je ne peux pas m'arrêter de pleurer. J'aimerais que Maître John soit ici pour me dire quoi faire. Je n'ai pas eu de ses nouvelles aujourd'hui. Sa queue me manque. Peut-être que je peux le chercher pour le sucer? Je dois sucer une bite! Dit Marcus en se parlant à lui-même et en s'habillant.

Quand Marcus se lève et se regarde dans le miroir, il est ravi par ce qu'il voit. Le pantalon moule ses jambes et son cul. Le haut moulant aussi indique clairement qu'il porte quelque chose en dessous et on voit bien que c'est un soutien-gorge. Les vêtements ne crient pas que se sont des affaires féminines, mais les chaussures si. Marcus sait qu'il va être ridicule devant ses enfants et il ne peut rien y faire.

****

Quand Kévin passe la porte d'entrée il est récompensé par la belle vue sur la chatte sans poil de Christy. Elle est toujours assise dans le fauteuil, les jambes écartées. Sa jupe est remontée au point de n'être plus qu'une ceinture autour de sa taille. Elle rougit mais Kévin sait que c'est plus d'excitation que de gêne. Il arrive à lire en elle comme un livre. Une fois qu'elle lui avait cédé et commencé à obéir à ses ordres, il n'en fallut de rien pour qu'elle devienne son esclave.

- Hello! Il y a quelqu'un ici? Crie Kévin.

Il entend son père lui répondre depuis le couloir :

- J'arrive mon fils, je change de vêtements. Dit Marcus en enfilant ses chaussures et en prenant son courage à deux mains.

Kévin se dirige vers son esclave tremblante d'excitation assise sur la chaise. Il fait glisser ses doigts sur son visage et prend son menton dans sa main.

- C'est bon de te voir esclave. As-tu été sage pendant mon absence? Ou as-tu pensé que c'était fini? Souviens-toi que je sais tout, donc tu ferais mieux de me dire la vérité. Dit Kévin doucement à son oreille.

- Je suis désolé Maître, je pensais que vous m'aviez oublié. Je suis sorti avec Jamal un de nos anciens amis. Vous vous souvenez de Jamal? Dit Christy d'une voix tremblante, en priant mentalement de ne pas être punie.

Kévin sourit.

- S'il vous plaît Maître, vous ne m'avez pas appelé depuis des semaines et des mois. Je pensais que notre relation était terminée. Je ne savais pas que vous vouliez continuer. S'il vous plaît Maître, ne me punissez pas. Supplie-t-elle.

Kévin se moque bien de ce qu'elle a pu faire. Il veut juste voir si son emprise sur elle est encore bien installée. Mais il va la punir quand même, il veut qu'elle souffre. Le garçon tend la main, pince et tord les mamelons de la jeune fille jusqu'à ce qu'elle halète de douleur.

Marcus entre dans le salon et voit son fils maltraiter Christy. Immédiatement sa queue se redresse. Il voit une très jolie femme, la jupe autour des hanches, la chatte bien en vue. Son fils lui pince les tétons si fort que son visage grimace de douleur. Marcus observe la scène attentivement, mais ce n'est pas Christy qui retient son attention. C'est le comportement dominateur de son fils et le contrôle qu'il a sur la jeune fille. Marcus voudrait être Christy et être humilié par son fils.

Quand Kévin remarque que son père les regarde il rit et demande sarcastiquement :

- Tu profites du spectacle papa?

La voix de Kévin sort Marcus de ses pensées :

- Hé fils! Peut-être devrais-tu faire ça en privé.

Kévin regarde son père et remarque la bite dure qui ressort dans le pantalon moulant. Il rit intérieurement de la façon dont son père est habillé. Il laisse Christy et se tourne vers Marcus.

- Papa, qu'est-ce qui se passe? Et que portes-tu? Mais ce sont les chaussures de maman? Mon Dieu papa, y a-t-il quelque chose que je dois savoir? Demande Kévin en commençant à rire.

Marcus lève les yeux vers son fils et commence à dire quelque chose quand Kévin attrape le bras de Christy et la tire avec lui dans les escaliers. Il regarde son fils emmener la femme presque nue dans sa chambre à coucher, une main sur le bras, l'autre tripotant son cul. L'esprit de Marcus revient à l'idée de se soumettre à son fils dominant.

Kévin tire Christy dans les escaliers et la stoppe dans le couloir de l'étage, quand il est hors de vue de son père.

- Arrête esclave! Je veux que tu te déshabilles ici et maintenant. A moins que je te dise autre chose, tu vas rester nue. Si tu veux te rhabiller, assure-toi alors que je sois content de toi. Commande Kévin avec des yeux sévères.

Maître X voit tout par l'intermédiaire des caméras de la maison. Mais il sait qu'il ne peut pas commenter la scène sinon Kévin va se demander comment il sait. Alors il parle au garçon en passant par l'oreillette.

- Kévin, pourquoi ton téléphone n'est pas dans ta poche avec la caméra allumée pour que je puisse regarder?

Le garçon s'arrête net. Il a oublié une des règles. Il met alors le téléphone dans sa poche, l'objectif tourné vers l'extérieur. A ce moment, Christy est nue, ses vêtements étalés sur le sol.

Quelques secondes plus tard, l'image transmise par le téléphone arrive à Maître X qui dit :

- C'est bon esclave. Je ne retiendrai pas cette infraction. Mais à moins que tu ne veuilles sucer la bite de ton père, tu ferais mieux de ne pas enfreindre une autre règle. Aboie Maître X.

Kévin marmonne un « désolé » et tire Christy dans son ancienne chambre. La peur et l'excitation se reflète sur le visage de la jeune fille et tout son corps rougit. Dès que Kévin a fermé la porte, Christy se met à genoux et dit :

- S'il vous plaît Maître, que doit faire votre esclave pour vous plaire?

Christy aime et déteste à la fois les mots qui s'échappent de sa bouche.

Maître X veut pousser la jeune fille plus profondément dans la soumission alors il parle à Kévin dans l'oreillette :

- Fais-la se mettre à quatre pattes et demande-lui de te demander de l'enculer. Et ne sois pas doux pour le faire.

Kévin répète les mots entendus et Christy se précipite pour se mettre en position.

- S'il vous plaît Maître, prenez mon cul. S'il vous plaît, enfoncez votre merveilleuse bite dans mon cul profondément. J'ai besoin de votre sexe et j'en ferai ce que vous voudrez. Demande Christy.

Kévin et Maître X sourient aux supplications tandis que le jeune garçon s'évertue à libérer sa queue. Il sait par expérience que ça va être douloureux pour tous les deux de la sodomiser sans lubrification. Il décide alors de s'enfoncer dans sa chatte dégoulinante pendant que ses doigts travaillent pour préparer le petit trou.

Christy gémit quand Kévin utilise sa chatte au lieu de son cul. Son corps accueille avec joie sa queue. Elle pousse en arrière pour avaler profondément le membre.

Kévin adore la façon dont elle essaie de prendre sa queue profondément dans son vagin. Alors il la baise sauvagement avec quelques coups de rein. C'est à ce moment qu'il arrive à enfoncer deux doigts dans son cul. Maître X désirant humilier encore plus la jeune fille, il demande au garçon de les retirer de son cul et de les enfoncer dans sa bouche.

Christy ne sait pas que les doigts sortent de son cul. Ce n'est qu'après les avoir goûtés qu'elle réalise où ils étaient. Elle lutte pour ne pas vomir alors que Kévin frotte ses phalanges sales sur la langue de son esclave. Christy vient juste de finir de nettoyer les doigts que Kévin se dégage de sa chatte et enfonce brutalement sa queue dans son cul.

- Oh mon Dieu Kévin, s'il te plaît soit gentil, s'il te plaît, s'il te plaît, vas-y doucement... Gémit Christy alors que le douleur est intense.

Maître X sourit et dit à Kévin :

- Maintenant Kévin, titille son clitoris tout en lui martelant le cul. Juste avant de jouir, retire-toi et gicle sur son visage. Puis mets ta bite dans sa bouche pour qu'elle la nettoie.

Kévin se regarde dans le miroir de l'autre côté de la pièce. Il se voit tous les deux, y compris sa chemise avec le téléphone dans la poche. Il sourit et hoche la tête pour signifier qu'il a compris.

Kévin continue à enculer son esclave. Il martèle son cul de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément, encore et encore, jusqu'au moment où ses couilles sont sur le point d'exploser. Il saisit les cheveux de la jeune fille et relève sa tête jusqu'à ce que son corps soit presque plié en arrière. Il lui murmure à l'oreille :

- Je vais marquer mon esclave avec ma semence. Je veux que tout le monde sache que tu es mon esclave. Tu laisseras mon foutre sur ta figure et tu nettoieras ma bite, salope.

Christy crie quand elle perd la bataille où elle essayait de ne pas jouir sans permission. Son corps en a décidé autrement. Chaque nerf est à vif alors qu'un orgasme la traverse. Kévin regarde sa soumise succomber à ses coups de bite. Alors il l'encule encore et encore, lui envoyant des vagues de douleur qui se combinent avec la jouissance et qui submergent l'esclave qui tremble.

Kévin sait qu'il ne va pas résister longtemps, car le cul de Christy enserre sa queue comme un étau.

 
Il se retire et fait se retourner la jeune fille. Puis il pointe son engin vers le visage de l'esclave presque comateuse. Après une semaine de chantage et d'humiliation constante, les couilles de Kévin débordent de semence. Jets après jets il recouvre la figure de Christy. Quand il s'est enfin vidé, il pousse sa bite en train de débander dans la bouche féminine.

Christy ne résiste pas. En fait, elle souhaite nettoyer l'organe étonnant qui vient de satisfaire son corps. Elle l'avale et passe sa langue autour de la hampe. Elle s'assure be bien nettoyer la bite.

Il faut environ une dizaine de minutes avant que l'un ou l'autre puisse bouger ou parler. Puis Kévin se dirige vers son sac et en sort un collier de chien rose. Il est assez large avec des boutons en argent et un anneau sur le devant. Christy ne dit rien et ressent même un peu de fierté d'être maintenant l'esclave officielle de l'homme. Kévin sourit depuis la première fois qu'elle le voit. Elle l'aime quand il montre son côté humain. C'est son côté dominateur maléfique qu'elle déteste, mais dont elle ne peut se passer.



****

Jessie est chez M. ASH. Elle est arrivée deux heures plus tôt et elle regarde l'horloge en priant pour que le temps chez son voisin dégoûtant se termine. Son corps est couvert de sperme, car non seulement il a utilisé tous ses orifices disponibles, mais il a également veillé à ce que ses deux neveux soient également présents pour profiter de la mère de famille nue d'à côté. Jessie n'avait aucune idée de qui ils étaient, mais elle a seulement fait tout ce qu'on lui ordonnait et elle a satisfait les trois comme bon leur semblait. Les deux garçons viennent de partir en la laissant seule avec le gros voisin sale,

Robert ASH n'en a pas cru sa chance quand il est allé à l'autre bout de la ville la semaine dernière. Il avait vu Jessie et son mari se soumettre à John le voisin de l'autre côté de la rue, ainsi qu'à d'autres ces dernières semaines. Il avait pris des dizaines de photos et était sur le point de faire chanter la famille quand il l'avait vu au coin de la rue en train de vendre son corps. Robert avait presque joui quand il l'avait vu. Elle était presque nue,

Les deux jours suivants, il s'était rendu au même coin de rue pour prendre des photos de sa voisine en train de se prostituer. Il se caressait la queue en imaginant comment la mettre à genoux devant lui. Le troisième jour, Robert était le premier à attendre que Jessie quitte l'université et arrive au coin de rue. Il a adoré quand elle l'a reconnu, son visage affichant la honte qu'elle ressentait. Il a pensé que ça valait bien la peine de dépenser 150 dollars pour abuser d'elle. Il a même réussi à prendre des photos avec sa bite enfouie dans sa bouche, sa chatte et son cul. Il sait que quand elle retournera chez elle, elle n'aura pas d'autres choix que d'être son esclave.

Maintenant, il lui reste encore une heure avec elle et il compte bien en profiter. Il avait invité ses neveux et tous les trois avaient profité de la professeure salope encore et encore. Ce que Jessie ignore, c'est que les neveux viennent de s'inscrire à l'université et qu'à partir de maintenant elle les verra tous les jours.

Robert sait qu'il n'arrivera plus à bander, mais il veut enseigner à la mère de famille une leçon de bonnes manières. Elle l'a giflé dans la rue devant les autres voisins et il veut qu'elle sache que c'est impoli et qu'elle ne doit jamais plus lever la main sur un homme.

- Bien salope, il est temps que je t'apprenne la discipline. Tu te souviens quand tu m'as giflé l'autre jour? Eh bien il est temps de payer pour ça. Maintenant lève-toi et penche-toi. Je vais te donner la fessée et je veux que tu comptes chaque coup. Et remercie-moi de t'apprendre les bonnes manières. Aboie Robert.

- Oui Monsieur.

Jessie grimace à l'idée de la fessée. Elle se demande combien de coups il va lui donner. Son corps est déjà bien douloureux après deux heures de baise intensive et de soumission. Elle ne sait pas si elle va pouvoir endurer plus. Elle tourne le dos au gros homme dégoûtant et elle se penche.

Elle se retrouve debout, pliée en deux, les mains sur les genoux, son cul nu couvert de sperme présenté à son voisin haï.

- Supplie-moi de t'apprendre les bonnes manières salope de prof! Exige Robert pour l'humilier autant que possible.

Jessie pleure ouvertement maintenant. Son esprit a du mal à digérer l'humiliation de devoir supplier d'être punie par son gros maître. « Oh mon Dieu, est-ce que je le considère comme mon maître? » pense-t-elle en se mettant à pleurer encore plus fort. A chaque fois qu'elle croie qu'elle ne peut pas descendre plus bas, il se passe une chose qui l'avilie encore plus.

- S'il vous plaît Maître ASH, punissez-moi d'avoir été impolie. Je suis désolé de vous avoir frappé et je mérite d'être fessée par mon Maître. S'il vous plaît Maître ASH, donnez-moi une fessée.

Robert ne peut plus attendre et il fait tomber sa ceinture sur le cul nu juste devant lui.

CLAC

Le bruit sec résonne dans la pièce alors que Jessie plie les genoux.

- AIEEEEEE! Crie-t-elle alors que la douleur est la plus intense qu'elle n'ait jamais ressentie.

- Un! Merci Maître de m'apprendre les bonnes manières. Coasse-t-elle.

CLAC, CLAC, CLAC, CLAC

Quatre autres coups tombent sur le cul qui rougit rapidement.

Jessie est pratiquement à quatre pattes alors que la douleur s'intensifie à chaque coup. Il lui faut presque une minute avant de pouvoir murmurer :

- Cinq! Merci Maître de m'apprendre les bonnes manières.

Robert continue d'abattre sa ceinture sur le cul presque à vif. Jessie crie en remerciant son voisin brutal qui la torture.

CLAC, CLAC, CLAC.

Jessie n'en peut plus et se laisse tomber à terre. Elle pleure de manière hystérique et supplie l'homme d'avoir pitié d'elle.

- Bien esclave! Seras-tu de nouveau impolie avec moi?

- Oh non Maître! Je ne vous refuserai plus rien. Je vous prie, arrêtez la fessée. Pleure la professeure.

- Il n'y aura pas de cadeau. Tu feras ce que je te commande et si je veux te fouetter le cul, tu accepteras et tu aimeras. Reviens demain à onze heures. Crie Robert en jetant la ceinture sur le côté avant de s'asseoir dans un fauteuil.


Jessie met plusieurs minutes avant de se relever. Quand finalement elle y arrive et commence à se diriger vers la porte, ASH l'appelle :

- Arrête salope, je veux admirer ton cul rouge. Lève-toi sur tes orteils et mets les mains derrière la tête.

Jessie obéit et attend qu'il la laisse enfin partir. Dès qu'il l'autorise, elle se précipite dehors par la porte de derrière et elle rentre lentement chez elle. « J'espère que les enfants ne sont pas arrivés, je ne sais pas comment je pourrais expliquer mon état » Pense Jessie.



Dès que Jessie est partie, Maître X appelle Robert pour s'assurer qu'il n'oublie pas ses instructions.

****

Julie a réussi à rester debout après avoir inséré les boules de geisha dans sa chatte dégoulinante. Elle n'a jamais eu quelque chose comme ça enterré dans son sexe et elle n'a jamais marché la chatte remplie. Quand elle a fermé les jambes, elle a perdu son souffle lorsque les boules ont été poussées plus profondément en elle. Elle paniqua et pensa : « Oh putain, et si je peux pas les faire sortir? Que vais-je faire? Je ne peux pas aller aux urgences pour qu'on m'aide! »

Elle marche en gardant les jambes les plus écartées possible tout en portant le sac avec ses nouveaux jouets. Sa jupe est relevée au-dessus de sa chatte et comme elle garde les cuisses écartées elle ne peut la baisser. Heureusement il n'y a personne et elle arrive à sa voiture sans que personne ne la voit.

Elle s'assoit sur le siège conducteur, les jambes écartées. Elle glisse les doigts dans sa chatte et tire sur le cordon pour retirer les boules. Juste au moment où la première est sur le point de sortir, son nouveau téléphone vibre. Paniquée, elle tâtonne pour le trouver avant la troisième sonnerie.

- Oui Monsieur. Marmonne-t-elle.

C'est alors qu'elle remarque que ce n'est pas un appel normal , mais un appel vidéo. Le visage de Jason remplit l'écran.

- Tu ferais mieux de ne pas sortir ton nouveau jouet. Avertit-il avant d'ajouter :

- En fait, je veux que tu conduises et que tu te masturbes en même temps jusqu'à chez toi esclave.

- Oh, s'il vous plaît Maître, je ne peux pas conduire et me toucher en même temps. S'il vous plaît Maître laissez-moi sortir les boules jusqu'à ce que j'arrive. Demande Julie.

- Attends salope, j'en ai marre que tu te plaignes toujours. Quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans rechigner et sans poser de questions. Maintenant active-toi et mets le téléphone à un endroit où je peux te voir. N'oublie pas que tu ne peux pas jouir sans ma permission.

Julie est vaincue. Elle démarre la voiture. Elle met un certain temps pour se rendre sur l'autoroute et faire le chemin.Elle reste les jambes écartées et se masturbe. Ne voulant pas être vue, elle reste sur la voie la plus à droite et le plus loin possible des autres voitures.

Trente minutes plus tard, elle lutte pour ne pas jouir. Elle s'arrête alors sur une aire de repos et supplie Jason de la laisser repartir normalement.

L'homme regarde la jeune fille se débattre pour obéir à ses ordres. Il sait très bien qu'elle be pourra pas rentrer chez elle sans s'arrêter. Et comme il le prévoyait, Julie s'arrête et commence de nouveau à le supplier, même si ses doigts n'arrêtent pas de titiller son clitoris.

- S'il vous plaît Maître, ayez pitié de moi. Je vais avoir un accident si je ne jouis pas bientôt. Plaide Julie.

- Il n'en est pas question! Pour t'aider, tu vas ouvrir le sac et sortir les petites pinces à ressort noires avec les élastiques. Il y en quatre dans le sac. Je veux que tu en fixes une paire sur tes mamelons et l'autre sur les lèvres de ta chatte. Assure-toi que les élastiques sont bien reliés les uns aux autres. Tu pourras arrêter de te masturber, mais alors tu devras tirer sur les élastiques jusqu'à ce que tu n'aies plus envie de jouir. Puis tu recommenceras à te masturber.

Julie se remet à pleurer, mais sa main est déjà dans le sac pour prendre les pinces. Quand elle les sort elle a un sursaut. Ces pinces ne sont que de grandes pinces à papier utilisées pour tenir des feuilles sur un support. Elle fixe la première sur son mamelon droit et elle miaule de douleur. Quand elle pose l'autre sur son mamelon gauche, l'élastique reliant les deux pinces tirent sur ses tétons pour les rapprocher. La paire de pinces maintient une tension constante sur ses mamelons et décuple la douleur.

Quand elle répète le processus sur ses petites lèvres, elle se demande comment tout relier. Alors elle met une pince sur sa lèvre gauche et passe l'autre entre celles de ses seins sous l'élastique avant de la fixer sur l'autre lèvre. Plus elle tire, plus ses mamelons et ses petites lèvres sont tendus. A présent, elle doit rester penchée un peu en avant pour réduire une partie de la tension. Julie n'a plus envie de jouir, la douleur a effectivement fait disparaître toute excitation.

- Bien esclave, ça devrait t'empêcher d'avoir un orgasme pendant un moment. Maintenant reprends ta route et recommence à jouer avec ta chatte. Si tu sens que tu vas jouir, tu peux t'arrêter et tirer sur les pinces jusqu'à ce que tu puisses recommencer.

Jason regarde le visage de Julie qui montre un profond désarroi. Il la voit acquiescer et redémarrer. Il ne faut pas longtemps avant que le corps de Julie soit sur le fil du rasoir. Et maintenant la douleur rejoint le plaisir de l'excitation. Sachant qu'elle ne va pas pouvoir tenir plus longtemps, elle quitte la route et entre dans un relais routier.

Jason regarde attentivement alors que la jeune fille excitée tremble et que son corps est couvert de sueur. Il attend de voir ce qu'elle va faire, ne voulant pas l'interrompre. Sa patience est récompensée quand elle arrête la voiture, ouvre son chemisier et attrape les élastiques qui relient ses seins et sa chatte.

Les yeux de Julie sont vitreux et ses mains tirent fortement sur les élastiques. Ses petites lèvres et ses mamelons sont tirés de manière obscène sur son corps et le visage de la jeune fille est contracté par la douleur. Elle continue d'infliger des sévices à ses mamelons et à sa chatte pendant près de cinq minutes. Et enfin, elle se penche et s'allonge sur le volant en haletant.

- Esclave? Pourquoi n'es-tu pas en train de te masturber? Je ne t'ai pas donné la permission d'arrêter. Dit Jason.

- Je suis désolé Monsieur, j'essaie de me calmer. J'étais si proche de l'orgasme que je devais faire quelque chose pour l'arrêter. Répond Julie alors que sa main retombe sur sa chatte et qu'elle recommence à se masturber.

- Eh bien, je ne suis pas impressionné par ta performance. Alors pour le reste du voyage tu laisses ton chemisier ouvert. Ordonne Jason.

- Oui Monsieur! Dit Julie en essayant de rassembler ses esprits et de retourner sur l'autoroute.

****

Kévin et Christy sont assis sur le canapé du salon quand Marcus entre.

- Je dois faire des courses avant que ta mère revienne. Je ne devrais être absent qu'une heure ou deux. Dit-il

Kévin lui fait un simple geste de la main. Il s'amuse avec Christy nue, du sperme plein le visage.

Marcus essaie d'ignorer la scène, mais sa queue le trahit encore. Il y a deux semaines, ça aurait été à cause de la belle jeune femme nue dan son salon. Cependant, à présent, c'est à cause de son fils dominateur qui contrôle complètement Christy. « J'aimerais que mon visage soit couvert de foutre » pense Marcus.

Il sort de la maison. Ses instructions sont de pas être là quand sa femme reviendra de la maison du voisin. Il ne doit pas se montrer avant que Maître X ne l'appelle. Ne sachant pas où aller, il gare sa voiture au coin de la rue et rejoins la maison de Maître John. Il a besoin d'une bite.

****

Jessie ne voit pas la voiture de Kévin dans l'allée. Elle pousse un soupir de soulagement. Elle va pouvoir entrer chez elle, prendre une douche et contacter Maître X pour savoir ce qu'elle sera autorisée à porter. D'une main tremblante, elle tourne la poignée et ouvre la porte. En entrant et en se dirigeant vers la cuisine, elle est soulagée de s'éloigner de ASH son voisin. Mais dès qu'elle franchit la porte, elle sursaute en voyant Kévin devant elle.

- Qu'est-ce que tu fous maman? Pourquoi es-tu nue? Et pas seulement ça, pourquoi rentres-tu nue de la maison de M. ASH. Demande Kévin.

Maître X commence à rire en voyant l'expression de peur et d'humiliation de Jessie.

La mère de famille bégaie :

- K... Ké... Kévin... Je ne savais pas que tu étais déjà arrivé. Donne-moi une minute pour enfiler quelque chose et je t'expliquerai.

Maître X dit à Kévin par l'intermédiaire de l'oreillette de maintenir la gêne.

- Ne me mens pas maman! Tu reviens de chez le voisin complètement nue, le cul tout rouge. Et n'est-ce pas du sperme partout sur toi?

- Kévin, je t'en prie, ce n'est pas ce que tu penses... Commence à expliquer Jessie quand on frappe à la porte de derrière.

Kévin étant le plus près, tourne la poignée et ouvre la porte. Debout, à l'entrée se trouve M. ASH qui ne porte qu'un short. Il sourit à Kévin et dit :

- Désolé de vous déranger, mais ta mère a oublié quelque chose.

Il tend un billet de cent dollar. Kévin le regarde alors qu'il se tourne pour partir. Mais avant, avec un sourire sournois il ajoute :

- Dis-lui demain à la même heure. Et qu'elle ne se donne pas la peine de s'habiller.

Kévin est sous le choc alors que le gros voisin rentre chez lui. Jessie aurait voulu se faufiler dans un trou de souris en entendant cette conversation. Lorsque Kévin se tourne pour lui faire face, son visage est rempli de dégoût.

- Qu'est-ce que tu fous maman? Tu te prostitues chez les voisins maintenant? C'est une bonne chose que papa soit sorti. Peut-être que je devrais l'appeler pour qu'il rentre et voit ce que sa femme fait.

- S'il te plaît Kévin, tu ne comprends pas... Tente de s'expliquer Jessie.

- Qu'est-ce que je ne comprends pas? Tu es rentrée toute nue de chez M. ASH non?

- Oui, mais...

- C'est du sperme sur ton corps non?

- Oui, mais...

- Il t'a fessé n'est-ce pas?

- Oui, mais...

Et il est venu ici et viens de te donner cent dollars. Et il a confirmé un rendez-vous pour demain, pas vrai?

- Oui. Répond la mère de famille alors que ses épaules s'affaissent.

Elle ne trouve pas le moyen de s'en sortir. Son fils vient de la surprendre en train de faire la pute.

- Alors dis-moi ce que je ne comprends pas!

- Je ne peux pas Kévin. Je suis tellement désolé. S'il te plaît, pardonne-moi.

- Que dois-je faire? Dire à papa que sa femme est une pute, ou me taire? Dit le garçon en observant sa mère.

Maître X observe la version plus jeune de lui qui maintient la pression. Il sait que Jessie va bientôt être à genoux, suppliant son fils de ne rien dire à Marcus, parce que c'est ce qu'il lui a ordonné.

Jessie s'agenouille et baisse la tête.

- Kévin, s'il te plaît, ne le dis pas à papa, je ferais ce que tu veux.

Le garçon baisse les yeux sur sa mère, nue, couverte de sperme et suppliante.

- Tu n'es rien de plus qu'une salope, et papa mérite mieux. A partir de maintenant je te possède. Tu feras tout ce que je te dirais, peu importe où nous sommes. Maintenant vas-y et nettoie-toi avant que papa ne rentre à la maison.

Jessie hoche la tête et va pour sortir de la cuisine. Mais juste avant qu'elle ne le fasse, Christy fait son apparition. Les deux femmes ont le souffle coupé quand elles se voient.Le haut de Christy est descendu sous ses seins et sa jupe est remontée autour de sa taille. Le sperme de Kévin est sec sur son visage et sa poitrine.

Jessie, nue et à genoux, également recouverte de sperme, rampe vers sa chambre. Les deux femmes échangent un regard qui veut tout dire. Toutes les deux savent qu'elles ont des problèmes et un frisson de peut remonte leur dos.

A suivre...

jeudi 23 février 2023

Comment j'ai gagné mes galons de pute Ch. 03

Texte de Verovidecouilles 

Une surprise pour la belle-mère.

Le lendemain, mon mari était absent, car il avait été invité à assister un grand prix de formule 1 qui se déroulait à l’étranger. Guy m’avait proposé de l’accompagner, bien sûr, mais ayant tout de suite réalisé que c’était là une belle occasion pour me gorger du foutre de son fils durant tout un week-end, j’avais décliné poliment en essayant de cacher ma joie du mieux que je pouvais (heureusement que Guy n’avait pas, comme son fils, pour habitude de mettre sa main dans ma culotte à tout moment, sans quoi ma chatte de salope m’aurait trahie : elle était trempée !). Guy ne rentrerait donc que dans la soirée de dimanche. Puisque j’avais refusé, Guy avait invité Rémy. Mais les deux nuits à l’hôtel étaient réservées pour une chambre double, et vu que j’ai passé le week-end à faire la pute pour Rémy, j’imagine que celui-ci a dû de son côté préférer la perspective de dormir dans le lit de son père plutôt qu’avec son père…

Guy m’avait annoncé la bonne nouvelle en début de semaine et j’y ai pensé pendant tout le reste. Ce fameux vendredi soir donc — celui où j’ai perdu mon pucelage anal — j’avais tout préparé pour profiter au maximum du temps dont je disposais. En rentrant du travail, je me suis vite déshabillée pour revêtir la tenue que j’avais prévue. Assez succincte, à vrai dire: un caraco noir en dentelle totalement transparent ainsi que des bas à coutures, noirs également, tenus par un porte-jarretelles très mince de couleur identique. Mon maquillage était très appuyé, notamment j’avais mis un rouge à lèvres rouge vif: je voulais que mon « récipient à sperme » soit bien apprêté pour quand Rémy viendrait s’y soulager et qu’il voit bien mes lèvres s’activer autour de sa queue. En y pensant, je salivais d’avance ! Des mules à très hauts talons complétaient ma tenue. J’avais négligé de mettre une culotte et je faisais très chienne. 

Quand Rémy est rentré à la maison, il m’a trouvé dans cette tenue. Je me suis aussitôt agenouillée pour dorloter sa bite et ses couilles avec ma langue. Il a bandé très rapidement. Tout en léchouillant ses bourses, j’ai demandé si je pouvais les lui vider. Il a accepté et il m’a rapidement inondé la bouche de son sperme, ce qui m’a fait piailler de bonheur et de reconnaissance. J’ai tété son gland jusqu’à ce qu’il me retire ma sucette, puis il s’est mis en peignoir, sans rien en dessous. Ça m’a émoustillée et je me suis assise sur le fauteuil pour tripoter ma vulve humide, les jambes bien écartées, posées sur les accoudoirs. Il est venu à côté de moi et il a introduit ses doigts dans ma chatte et dans mon cul. Je suintais de désir. Tout en fouillant mes orifices, Rémy a murmuré :

- Ce que tu m’excites, petite traînée ! Le pied que je vais prendre quand je vais gicler dans tes trous de pute…

Je lui ai souri amoureusement. Oh Oui ! Avoir le vagin bien rempli par sa bite. A cette pensée, je le sentais qui bâillait d’envie. Et puis accueillir Rémy dans mon cul et le laisser y répandre son foutre, c’était le cadeau que je mourrai d’envie de lui faire.

- Oui mon amour, je suis ta pute…

J’ai vu sa bite à nouveau gonflée sortir de son peignoir et je me suis immédiatement penchée pour la pomper avec avidité. Rémy s’est écrié : 

- Encore ? Tu es vraiment insatiable!  J’ai envie de te baiser, moi !

- Pardonne-moi mon chéri… C’est que j’aime trop ton sperme…

- Si c’est du foutre à avaler qu’il te faut pour que je puisse te décharger dans la chatte, tu vas en avoir ! 

Rémy a pris son téléphone portable. J’étais curieuse de savoir ce qui allait se passer, mais pas au point d’interrompre la pipe gloutonne que je faisais à mon amant ! Quelqu’un a décroché à l’autre bout et Rémy a dit :

- Salut, Pierre ! Je ne te dérange pas ?

Silence.

- Parfait ! Dis-moi, je t’appelle au sujet de ma belle-mère… je t’en ai parlé, tu sais, la bouffeuse de sperme… oui… eh bien je ne m’en sors plus ! Elle est tellement salope qu’elle passe son temps à me traire du matin au soir ! En ce moment elle essaie de se bâfrer de mon jus pour la deuxième fois de la soirée, alors que ça ne fait même pas une heure qu’on est ensemble. Pas moyen de lui remplir la chatte et le cul tellement elle est gourmande.

Silence.

- Évidemment qu’elle raffole du foutre ! Je te l’ai dit, je passe mon temps à juter dans la bouche de cette pute.

J’ai émis un gémissement sourd pour confirmer les dires de Rémy.

Cette conversation m’excitait, ça me plaisait que Rémy décrive à cet ami prénommé Pierre la putain que j’étais devenue et que j’étais heureuse d’être. J’ai calmé le rythme de mes succions pour mieux savourer, pour que Rémy n’éjacule pas trop tôt.

- Ça tombe bien ! T’as qu’à passer te les faire vidanger par ma pute.

Silence.

- Au contraire, cher ami ! C’est toi qui me rends service ! Je vais peut-être enfin pouvoir la baiser !

Silence.

- Comment ? Bien sûr que non que ça ne la dérange pas ! Tiens, pour te le prouver, c’est elle-même qui va te le demander.

Long silence.

J’ai arrêté de sucer. Rémy a ôté son sexe de mon gosier pour me tendre le téléphone. Je suis restée stupéfaite. Ça me sidérait qu’il puisse me demander un truc pareil ! Qui pouvait bien-être cet ami avec lequel Rémy venait de parler de moi en termes très crus et qu’il me demandait de convier pour une partie de jambes en l’air ? Un copain de fac sans doute… Néanmoins, j’avoue que l’idée de devenir le jouet de deux jeunes hommes le temps d’une soirée m’a séduite, d’autant que je me sentais très disposée à assouvir leurs moindres caprices. Et puis j’avais promis à Rémy que je serai bien gentille, je ne l’oubliais pas. Après quelques hésitations, j’ai fini par prendre le téléphone :

- Bonjour monsieur.

- Bonsoir petite pute ! Alors, il paraît qu’on a du mal à s’empêcher de sucer des bites? A dit doucement une voix grave.

- Oui, c’est dur de se retenir, j’aime trop ça… J'en veux toujours plus. Ai-je répondu sans réfléchir.

L’homme a ri. 

- Tu vas être contente alors, ça fait trois jours que je n’ai pas joui et j’ai les couilles bien pleines, tu peux me croire. Ça te dirait que je vienne les essorer dans ta gueule ?

- Oh Oui! S’il vous plaît…  Ai-je murmuré.

Mon esprit chavirait totalement. Je savais que Rémy voulait que je me montre très salope et j’essayais d’être à la hauteur. Mais dans le même temps, j’avais l’impression de ne plus m’appartenir, l’impression que celle qui parlait au téléphone avec cet inconnu était une autre. En fait, c’était ma vraie nature qui émergeait péniblement. J’ai repris en minaudant :

- Ce serait bien si vous pouviez venir, j’ai très envie de vous faire gicler avec ma bouche.

- D’accord, puisque tu insistes, je vais venir! T’embêtes pas pour l’adresse, je sais où t’habites. Par contre, pour que tu n’ouvres pas à n’importe qui, on va convenir d’un code, ok ? Je frapperai deux coups, puis trois coups, puis quatre coups. Compris ? Maintenant repasse-moi ton maître, petite chienne.

Rémy a repris le téléphone, son ami lui a dit quelque chose, il a ricané et a dit « à tout de suite » avant de raccrocher.

Je n’ai pas songé à reprendre ma fellation : je n’arrivais pas à imaginer que dans quelques minutes, un homme que je ne connaissais pas allait venir chez moi pour profiter de mes charmes, parmi lesquels figuraient mes talents buccaux. Ça me paraissait incroyable ! Le pire, c'est que je souhaitais vraiment que ce Pierre vienne me faire subir les derniers outrages ! En quelques semaines, Rémy avait fait de moi une nymphomane qui, sur simple demande, acceptait de se livrer au premier venu. Mon cœur avait beau battre la chamade, je n’envisageais pas une seule seconde de refuser de me plier à tout ce que mes mâles pourraient exiger de moi, à commencer par les sucer autant qu’ils le désireraient, bien sûr.

Durant le petit quart d’heure qui s’est écoulé avant que son copain n’arrive, Rémy a réajusté son peignoir et s’est installé dans son fauteuil préféré. Je suis restée assise au milieu du salon, perdue dans mes pensées, mais je voyais bien aussi que Rémy m’observait avec une curiosité amusée. Soudain, au milieu du silence : toc, toc… toc, toc, toc… toc, toc, toc, toc…

- Tâche de ne pas me décevoir…  M’a glissé Rémy tandis que je me relevais pour aller ouvrir à son invité.

Habillée comme une putain, je me suis approchée de la porte, j’ai respiré un grand coup et j’ai ouvert. J’ai cru m’évanouir tellement le choc a été violent ! Sur le pas de la porte, l’œil narquois, se tenait Pierre D***, 46 ans, le directeur de l’hôpital de M***, mon patron !! Voilà pourquoi la voix au téléphone m’avait paru si familière ! La tête me tournait en repensant à ce que je lui avais dit quelques minutes auparavant. Et que dire de la tenue dans laquelle je lui avais ouvert la porte.

Sans faire de manière, mon patron s’est avancé vers moi et a plaqué sa main contre ma chatte :

- Surprise de me voir, ma chère ? Faut pas… Rémy m’a raconté quelle salope tu étais, et d’après ce que j’ai pu entendre lors de notre petite conversation téléphonique, il a dit vrai. Pas la peine de faire ta mijaurée, ça fait longtemps que j’ai envie de te faire goûter ma bite, et c’est pour ce soir, crois-moi !

Pierre m’a palpé la chatte, le cul et les seins pendant quelques instants, puis il est entré dans le salon où l’attendait Rémy. Après l’avoir salué, il lui a offert un verre puis il m’a ordonné de m’asseoir sur le canapé, les jambes bien ouvertes. J’ai obéi, mais je m’inquiétais pour la suite. Comment ces deux-là avaient-ils fait pour se rencontrer ? (J’ai eu la réponse le lendemain: Rémy a tout simplement attendu un soir que je quitte mon travail pour aller voir mon patron. Il a prétendu que c’était une affaire urgente au sujet de sa secrétaire, et Pierre l’a reçu. Là, Rémy a raconté en détail sa vie avec sa nouvelle putain et il lui a proposé — en toute simplicité — d’en profiter. « Inutile de te dire qu’il a accepté avec joie! » m’avait précisé Rémy en me racontant l’histoire)

Pour l’heure, Rémy et Pierre sont venus se placer face à moi. Ils ont commencé à tenir des propos salaces, me traitant de salope et de pute, m’annonçant qu’ils allaient me baiser par tous les trous et que j’avais tout intérêt à me montrer bien mignonne. Chacune de leurs paroles m’électrisait l’esprit et me procurait dans le bas-ventre des ondes de chaleur qui me rendaient lascive. Puis ils ont commenté mon corps, en tout cas mes seins, mes fesses et ma vulve qui, je le sentais, débordait de ma liqueur. Pierre l’a remarqué :

- On dirait qu’elle mouille, ta chienne !

- En permanence ! A répondu Rémy joyeusement.

- Regarde ! les poils autour de son vagin sont trempés… Quelle pute ! a insisté Pierre.

Sur ce, Rémy m’a ordonné de me caresser la chatte. Je le faisais régulièrement devant lui, mais devant lui tout seul ! La présence de mon patron m’a fait un peu hésiter, mais je savais qu’en tripotant ma moule juteuse, j’allais les stimuler et qu’ainsi ils me rempliraient l’estomac de leur foutre. Pendant que je me branlais, j’ai pensé que dès lundi la vie au bureau ne serait sans doute plus la même, car je savais bien que Pierre n’en resterait pas à cette soirée : il m’avait sous la main 8 heures par jour et 5 jours par semaine…

Ça m’a excité et j’ai senti l’orgasme arriver. A ce moment-là, Rémy m’a dit d’arrêter. Avec Pierre, ils se sont approchés du canapé. Rémy s’est assis à ma droite, Pierre à ma gauche. Ils m’ont peloté les seins, le ventre, la chatte, le cul, les jambes. Les quatre mains qui me parcouraient comme si j’étais une poupée de chair me faisaient ronronner de plaisir. Leurs doigts ont ensuite investi mes orifices. Lorsque Pierre m’a enfoncé le majeur dans l’anus, j’ai ouvert en grand mes jambes que j’ai posées sur leurs genoux, en bonne salope avide de pénétrations en tout genre que j’étais déjà. Ils ont mis chacun deux doigts dans ma chatte puis ils ont tiré doucement chacun de leur côté pour me l’élargir et pouvoir, selon Rémy, « mieux explorer le fond de mon vagin de pute ».

- Elle est encore étroite pour son âge ! Tu la baises souvent ? A demandé Pierre.

- Jamais ! Je ne peux pas, elle me fait toujours juter dans sa bouche avant ! Impossible de la tringler tellement elle me pompe le nœud.

Ils ont éclaté d’un rire gras.

- Et tu l’encules ?

- Pas plus, et pour les mêmes raisons. Elle est vierge de ce côté-là. Mais avec ton aide, ce ne sera plus le cas encore très longtemps.

Rémy et Pierre ont encore ri, puis ils ont continué patiemment à explorer mes orifices avec leurs doigts. Bien vite, j’en ai eu deux dans le cul. Hummm ! Les mots manquent pour décrire à quel point ça me faisait mouiller qu’ils me traitent comme un morceau de viande, comme une bête d’étal. Je me sentais ouverte de la chatte et du cul comme jamais auparavant. Rémy a poursuivi ses explications :

- Mais t’inquiète pas ! Que ces deux autres trous soient provisoirement délaissés, ça lui plaît à cette salope. Elle adore bouffer ma queue. Hein, salope, t’aimes ça me vider les couilles ?

Mon excitation était telle que j’ai définitivement perdue toute retenue. J’ai réclamé en criant :

- Oh oui, je vous en prie ! Donnez-moi vos bites à sucer !

Pierre m’a dit sournoisement :

- Attention Véronique ! Si tu me suces, tu sais que je vais te gicler mon sperme en pleine gueule et que tu vas devoir tout avaler... Or, je te l’ai dit tout à l’heure, j’ai les couilles vraiment pleines. C’est ça que tu veux ?

- Oui ! Oui ! Venez vous vider dans ma bouche ! J’avalerai tout, je le promets !

Rémy a semblé ravi de ma docilité.

- Une vraie serpillière à foutre. A-t-il commenté.

- Oui Rémy, je raffole du sperme, je voudrais en avaler des litres, tu sais… Vous allez m’en donner plein, hein ? Vous allez bien me remplir de jus…

Ils n’avaient pas cessé de me doigter la chatte et le cul pendant que je parlais et j’ai eu mon premier orgasme de la soirée. 

Pierre s’est levé en disant :

- Ta pute me fait bander comme un taureau. Je peux me soulager dans sa bouche ?

- Mais je t’en prie… t’as entendu, salope ? Va le sucer !

Je me suis mise à genoux et Rémy est resté derrière moi, assis sur le canapé. Pierre s’est déshabillé en un temps record pour faire apparaître une belle bite bien gonflée. Elle était beaucoup moins épaisse que celle Rémy, mais incontestablement plus longue. Une belle tige appétissante, en tout cas ! Comme Rémy me l’avait appris, je me suis avancée pour lui lécher ses couilles poilues.

- Pas si vite ! M’a dit Pierre.

Qu’est-ce qui n’allait pas encore ? Quel caprice voulait-il m’imposer, celui-ci ? Je n’ai pas tardé à le savoir. Avant que je puisse le toucher, j’ai dû renifler sa bite et ses couilles. Une forte odeur a envahi mes narines. Ça sentait la sueur, l’urine et le sperme séché. Il fallait vraiment avoir faim pour sucer une bite pareille. Bien sûr, c’était mon cas et je trépignais d’impatience. J’avais envie d’avoir sa bite dans la bouche, moi !

Pendant quelques minutes, j’ai dû humer les moindres recoins de son sexe négligé. Puis il m’a fait bouffer ses couilles et lécher son gland au goût âcre qu’il a fini par enfourner dans ma gorge. Je dis bien dans ma gorge ! Je n’avais pas l’habitude (pas encore…) car avec Rémy cette pratique était impossible. Mais avec Pierre, les choses étaient différentes : plus fine, sa queue pouvait pénétrer plus loin. En l’occurrence, j’avais littéralement son gland au milieu de la gorge, bien au-delà de la luette. En me maintenant la tête, il s’est enfoncé encore un peu plus loin et mon nez est venu toucher les poils de son pubis. J’étouffais et je me suis débattue. En appuyant vivement sur le ventre de Pierre, j’ai réussi à me dégager pour reprendre mon souffle. J’ai senti Rémy se lever dans mon dos. Il m’a brusquement saisi les poignets sans dire un mot et me les a attachés avec la ceinture de son peignoir.

- Une pute doit savoir sucer une queue bien à fond. Parfois, les hommes aiment éjaculer directement dans l’estomac de leur suceuse. Pierre va t’apprendre…

- Avec joie… A conclu ce dernier.

Sans que désormais je puisse me défendre, Pierre a de nouveau introduit sa bite au fond de mon gosier.

- Nettoie-moi bien la queue, sale chienne ! Voilà, comme ça… Bordel ! T’as vu ça Rémy?  Je ne l’ai pas lavée depuis plusieurs jours, mais ça ne l’empêche pas de me la bouffer jusqu’aux couilles.

Mon instinct de suceuse m’avait tout de suite indiqué comment ouvrir ma gorge pour laisser passer la queue de Pierre et j’étais fière de montrer que maintenant elle coulissait plus facilement dans mon gosier. Ma « leçon » a duré de longues minutes. A certains moments, Pierre se branlait carrément dans ma gorge à un rythme effréné, puis il ralentissait et m’enfonçait sa verge le plus loin possible. Il ne me laissait respirer qu’après que mon nez soit venu buter contre son pubis. Pour me reposer il me laissait lui téter la pine, comme j’aime. J’avais de la bave qui coulait à profusion sur mon caraco et la mouille qui dégoulinait le long de mes cuisses finissait de me rendre toute glaireuse. Fidèle à mes nouvelles habitudes, j’ai couiné comme une chienne quand il m’a finalement remplie de sa délicieuse purée en maintenant sa queue bien enfoncée dans ma gorge. Pas besoin d’avaler, il m’a tout giclé directement dans l’œsophage. Et il n’avait pas menti au niveau de la quantité.

- Aaahh ! Je débande, mais elle tête encore ! Quelle merveilleuse putain ! Aucune femme ne m’avait jamais aussi bien sucé ! Y a encore des progrès à faire, mais ça va me changer de ma femme et des stagiaires. Dire que c’est ma secrétaire… Elle n’a pas fini d’en avaler, de mon foutre ! S’est exclamé Pierre.

« J’y compte bien! » me suis dis-je en moi-même, tout en espérant que la prochaine fois, il éjaculerait sur ma langue afin que je puisse savourer sa semence. J’ai pensé qu’à présent ça allait être au tour de Rémy de venir se soulager dans ma bouche, mais il s’est simplement contenté de me délier les mains et de m’ordonner de me mettre en levrette. J’ai posé mes avant-bras sur le sol et j’ai tendu ma croupe pour bien faire saillir ma fente. Je devais faire très chienne, car Pierre reprenait déjà de la vigueur. Rémy a dit :

- Maintenant que t’as eu ta ration de foutre, je vais te baiser, petite garce !

Rémy s’est mis derrière moi, il a placé son gland sur l’entrée béante de mon vagin de pute (désolée si ce mot revient souvent dans mon vocabulaire, mais c’est ce que je suis) et il s’est enfoncé en moi lentement, centimètre par centimètre. Contrairement à ce que je croyais, ma chatte n’a eu aucun mal à accueillir sa queue épaisse. Elle était aux dimensions exactes de sa queue, elle formait un fourreau parfait pour la bite de mon amant, et j’ai soupiré d’aise. Quand ses couilles ont touché mon clitoris, j’ai su qu’il était bien au fond et j’ai crié :

- Ouuii ! Vas-y maintenant, ramone-moi la chatte avec ta grosse bite ! Baise ta femelle comme elle le mérite.

Rémy a commencé par me limer doucement. Sa bite frottait bien contre mes muqueuses vaginales et c’était exquis. Que c’était bon d’avoir une bite dans le ventre, surtout depuis tout ce temps (en effet, Rémy ne m’ayant rien dit à ce sujet, dans le doute, je ne baisais plus avec Guy, et je le suçais encore moins : j’avais trop peur de ne pas pouvoir m’arrêter à temps). 

- Ouaahh ! Salope ! Tu pompes aussi bien avec ta chatte qu’avec ta bouche, à ce que je vois !

C’était vrai ! Je sentais ma moule se contracter autour de son membre comme pour l’aspirer bien au fond. Rémy s’est mis à me pilonner un peu plus fort en me tenant par la taille. J’ai senti l’orgasme monter dans mes reins.

- Salope ! Ce que c'est bon de te baiser… Je crois que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps… Ça y est, je vais te gicler dedans… Ouuuhh ! Tiens ! Prends ça dans ta chatte de pute…

Il s’est enfoncé en moi au maximum, son gland a buté contre mon utérus. J’ai senti les palpitations de sa queue contre les parois distendues de mon vagin et son foutre brûlant s’est déversé au fond de mon trou. J’ai hurlé de bonheur avec l’impression de m’évanouir. Rémy est resté à l’intérieur de moi le temps de se vider complètement les couilles. Pendant ce temps il a déclaré à Pierre :

- Putain ! Sa chatte est une vraie trayeuse à sperme ! Je te la conseille !

(J’ouvre ici une parenthèse pour vous dire que c’est le surnom de ma chatte : trayeuse à sperme. Au vu des centaines d’éjaculations que mon vagin a recueilli depuis, je trouve que ça lui va assez bien. Vous connaissiez déjà le surnom de ma bouche — récipient à sperme — et j’aurais très bientôt l’occasion de vous dire quel est celui de mon cul…).

J’ai senti Rémy presser sa queue pour faire sortir les dernières gouttes de sperme dans mon ventre. Il s’est ensuite retiré et un courant d’air frais est entré dans mon vagin qui était resté béant après le passage de Rémy. Un peu de sperme s’en est échappé et a coulé sur le sol.

- Ramasse, traînée !

Huuumm ! J’aime quand il me parle comme ça ! Je me suis exécutée avec plaisir sous le regard des deux hommes. Toujours à quatre pattes et le cul bien relevé comme une chienne en chaleur, j’ai lapé les gouttes de sperme répandues sur le tapis. Après, j’ai mis à plusieurs reprises deux doigts dans mon vagin pour récupérer le plus de foutre possible. J’adore être une salope. En tout cas, le spectacle a dû plaire à mon patron car sa bite était de nouveau tendue à bloc. Assis sur le canapé, l’œil lubrique, il m’a demandé :

- Ça te fait mouiller d’exciter le mâle, hein ? Petite raclure à sperme ! Tu veux faire ta salope, eh bien je vais t’en donner l’occasion… Viens me sucer, et à quatre pattes !

Tandis que je m’avançais vers lui, Pierre a mis un préservatif sur le bout de sa queue.

- Mets-le-moi avec ta bouche. Avec ça, tu seras sûre de ne pas en perdre une goutte. Tu vois comme je suis gentil avec toi, petite pute ?

Rémy a applaudi l’idée. Je la trouvais pas mal non plus, sauf que je déteste l’odeur du caoutchouc. Mais je crois que je suis prête à tout si ça me permet d’ingurgiter du foutre ! La croupe toujours relevée, j’ai fait de mon mieux pour faire coulisser la capote le long de sa bite. Une fois en place, je me suis mise à la sucer. L’odeur du caoutchouc était encore plus écœurante que lorsqu’un peu plus tôt j’avais goûté à sa bite négligée (de toute façon, j’allais devoir m’y habituer car Monsieur le Directeur avait une certaine prédilection pour les jeux un peu cra-cra !). Je me suis cependant forcée à caresser avec mes amygdales son gland recouvert de caoutchouc du mieux que je pouvais (être une bonne putain, cela demande parfois des efforts). 

Pendant ce temps, Rémy était venu se placer derrière moi pour jouer avec mes trous. Il s’est servi du mélange poisseux contenu dans mon vagin pour humecter mon anus, puis il a commencé par me pénétrer d’un doigt, puis de deux et enfin de trois. De temps en temps, il les retirait pour cracher dans mon cul ouvert. Ça y est, cette fois, je sentais que, après ma chatte, c’était au tour de mon petit cul de passer à la casserole. Rémy a confirmé :

- Je vais t’enculer, traînée ! Je suis sûr que tu es une très bonne anale.

Je me suis concentrée sur la queue que je suçais, pleine d’appréhensions mais excitée et curieuse quand même. Rémy m’a écarté les fesses et sans plus de précaution il a transpercé mon œillet encore vierge avec son gros gland. Heureusement que la bite de Pierre me bâillonnait, sans quoi j’aurais hurlé.

Mais le plus dur était fait. Rémy s’est enfoncé dans mon boyau qui a fini par accueillir sa bite toute entière. Il est resté quelques instants immobile afin de laisser mon sphincter s’habituer à sa présence, puis il a commencé à me fouiller les entrailles avec son pieu. Mon vagin de pute était crispé par l’orgasme qui s’annonçait déjà et je tortillais du cul comme une chienne. 

C’était la première fois que je baisais avec deux hommes et la sensation était fabuleuse. Embrochée de part en part, j’avais l’impression d’être une poupée soumise à leur volonté, un simple objet de plaisir dont ils pouvaient disposer à leur guise. La queue de Rémy bougeant dans mon cul me faisait un bien fou et celle de Pierre m’empêchait de pousser des cris, de plaisir cette fois.

Pierre a fini par ouvrir les vannes. Il a bredouillé :

- Tiens, salope !

J’ai senti sur ma langue la capote se remplir de sperme chaud. J’ai dégluti sa queue et, fascinée, j’ai commencé à suçoter le paquet de sperme épais contenu dans le réservoir de la capote, j’ai joué avec en le faisant rouler avec ma langue contre mon palais, puis j’ai entrepris d’enlever la capote pendant que Rémy continuait de m’enculer (ce qui n’était pas très pratique !). Sans cesser de bourrer mon cul de salope, Rémy a dit :

- Non mais, elle se croit tout permis !

Il m’a claqué les fesses à plusieurs reprises. Pendant qu’il me donnait la fessée, il me questionnait :
 
- Tu crois sans doute que tout t’est dû, petite pute ? T’as perdu ta langue ? Tu ne peux pas demander poliment à Pierre de te donner son foutre, plutôt que de te ruer dessus comme une affamée ? Espèce de chienne mal élevée !

Voilà maintenant qu’il me réprimandait comme une gamine devant mon patron ! Si on m’avait dit un jour que cela me plairait je ne l’aurais pas cru, mais là, j’étais au comble de l’excitation. Rémy a arrêté de bouger.

- Allez ! Demande !

J’ai réfléchi un instant à ma phrase afin qu’elle soit la plus servile possible et j’ai levé les yeux vers Pierre :

- Est-ce que je peux nettoyer votre capote, s’il vous plaît monsieur ?

- Mais oui, tu peux, petite pute. Tu ne l’as pas volé. A-t-il répondu.

La queue de mon amant bien calée au fond de mon trou du cul, j’ai enlevé délicatement la capote de Pierre en faisant attention de ne rien renverser, et avec un peu de répugnance, je l’ai portée à ma bouche. Le sperme a coulé sur ma langue. Il avait un drôle de goût, mais il était encore tiède et j’ai tout avalé avec gourmandise. J’ai ensuite retourné la capote pour la lécher sous le regard silencieux des deux hommes.

- Elle a tout avalé ? A finalement demandé Rémy, toujours immobile dans mon cul.

- Bien sûr ! A confirmé Pierre.

Rémy a semblé très satisfait de ma prestation puisqu’il lui a suffi de quelques va-et-vient pour balancer sa purée au fond de mon cul. J’ai senti son sperme chaud se répandre dans mon intestin, je me suis un peu caressé le clito et j’ai joui avec une rare intensité. Rémy s’est retiré de mon cul et est venu s’asseoir à côté de Pierre. J’ai fixé mon enculeur dans les yeux, j'ai fait pénétrer mes doigts dans mon cul dilaté et je les ai portés à ma bouche pour recueillir son offrande. Rémy m’a traité de chienne affamée et de vicieuse puis il m’a dit :

- J’ai adoré t’enculer, mais ça n’a pas été facile : tu es serrée ! Pierre va donc se charger de t’élargir le cul et pour ça, il t’enculera tous les jours. Comme ça, quand tu rentreras du travail, je saurai que tu as la rondelle bien ouverte et je te déchargerai dans le cul à mon tour. Tu es d’accord ?

- Oui, mon amour…

- Tu verras, tu ne pourras bientôt plus t'en passer… 

La suite des réjouissances s'annonçait bien. J’allais donc devoir me soumettre aux désirs d’un deuxième « éducateur » que je devinais aussi pervers que le premier. Je sentais que j’allais adorer et j’ai frémi de plaisir à cette idée, tout en recommençant à me toucher comme une collégienne. Rémy a préconisé à Pierre de ne pas hésiter à se servir aussi de ma chatte et de ma bouche et à faire de moi sa pute personnelle. 

Ensuite, Pierre s’est rhabillé. Pendant qu’il reboutonnait sa chemise et refaisait son nœud de cravate, j’ai dû lécher son sexe encore poisseux. Lorsqu’il a enfilé son caleçon, c’est moi-même qui ai rangé sa bite et j’ai encore embrassé son sexe à travers le tissu avant qu’il ne remette son pantalon. Pierre a tapoté ma joue comme on l’aurait fait avec un animal (une chienne par exemple) et il m’a demandé de ne pas être en retard au bureau lundi, car il avait hâte de m’enfiler par tous les trous. 

Finalement, il a salué Rémy et il est parti. Je n’y ai pas prêté attention, et pour cause,j’étais revenue m’installer confortablement entre les cuisses de Rémy. Sa queue avait été un peu souillée par mon cul et j’ai donc entrepris de la nettoyer comme je l’avais fait avec celle de Pierre. J’étais définitivement mâtée, je le savais, et je me suis bien appliquée. Je parcourais vicieusement de ma langue chaque repli de son sexe débandé, je tétais le gland, je suçotais délicatement le prépuce, je couvrais aussi chaque parcelle de ses couilles ridées de baisers plus tendres les uns que les autres et je me suis même surprise à leur chuchoter « mes petites chéries ».

La bite de Rémy a fini par regrossir sous l’effet de mes caresses buccales. J’en ai profité pour entraîner Rémy dans ma chambre. Là, il m’a baisée dans le lit conjugal jusqu’à ce qu’il me jute dans la chatte. Je me suis endormie dans les bras de mon amant vicieux, l’entrejambe englué par son sperme.

A suivre...