Texte de Verovidecouilles
La belle-mère devient avide de sperme.
Durant les semaines qui suivirent, Rémy s’appliqua à me faire comprendre à moi-même quelle était ma véritable nature. J’étais faite pour être traitée comme la dernière des putes, pour vider les couilles des hommes avec tous mes trous, et à commencer par ma bouche (mon « récipient à sperme » comme j’aime aujourd’hui l’appeler). C’est ce que j’ai compris petit à petit grâce à Rémy qui, en guise d’introduction à mon éducation, me fit le sucer au moins une fois par jour et, quand c’était possible, jusqu’à trois ou quatre fois (c’est beau la jeunesse !). Cela se produisit fréquemment, car c’était une période où mon mari était souvent absent. Voici comment les choses se déroulèrent.
Le lundi soir, c’est-à-dire le lendemain de mon « p’tit déj » un peu particulier, Rémy me fixa toute la soirée. Il me jetait des regards appuyés qui en disaient long sur ses intentions à mon égard. Gênée par la présence de son père, je ne pouvais soutenir ses regards, mais j’étais tout de même au comble de l’excitation, surtout lorsque je me remémorais ce qui s’était passé la veille. Au bout d’une heure, ma culotte n’était plus qu’une éponge.
Après le repas, Rémy est ressorti et j’en ai profité pour me jeter sur mon mari. J’ai sucé sa bite flasque et au bout de cinq minutes d’efforts, il a fini par bander. Quand j’ai senti qu’il était à point je l’ai enjambé et il m’a limé un très long moment (l’âge aussi, ça a du bon !) avant de jouir au fond de ma chatte. Ce fut délicieux et je crois que je n’avais jamais pris un pied pareil avec Guy ! Il est vrai aussi que pendant tout ce temps, je n’avais pas cessé une seule seconde d’imaginer que c’était Rémy qui me baisait…
Je ne le revis que le mercredi soir. Sachant que son père serait absent pour quelques jours, il était présent lorsque je suis rentrée de mon travail. J’ai tout de suite eu un mouvement de recul en le voyant assis dans le salon.
- Reviens ici tout de suite ! Me lança-t-il, glacial.
J’ai obéi et je me suis approchée de lui.
- A poil ! A-t-il continué sur le même ton.
Inutile de faire des manières, je le savais! Et puis de toute façon, je n’en avais pas envie, j’avais plutôt envie de me laisser guider par ses désirs. Ses ordres m’avaient rendue molle, je pressentais que j’allais aimer ce qu’il allait me faire et je mouillais par avance. J’ai donc ôté ma jupe et mon chemisier.
- Quelle horreur ! S’est-il exclamé.
Susceptible comme je suis, j’ai aussitôt cru qu’il parlait de moi, de mon physique ! J’ai tourné les talons pour m’en aller, vexée et donc totalement refroidie.
- Les collants… A-t-il ajouté.
Je me suis arrêtée. Effectivement, je portais sous ma jupe, et par-dessus un petit slip de dentelle blanche, un collant noir de bonne qualité, certes, mais qui me donnait indéniablement un air de bobonne. Rémy me regardait d’un œil aussi effaré que navré. J’étais sur le point de lui dire que, zut!, les collants, c’était tout de même bien pratique, mais je me suis abstenue, car j’ai réalisé que, vraisemblablement, là n’était pas la question. J’ai alors enlevé mon collant, puis le reste de mes sous-vêtements et je me suis retrouvée face à lui nue et tremblante d’inquiétude.
Rémy m’a fait asseoir sur un fauteuil à accoudoirs et m’a ordonné de passer mes jambes de part et d’autre. J’ai obéi sans discuter. Il a avancé son siège jusqu’à mon fauteuil et a commencé à explorer ma chatte qui était béante du fait de ma position. Je me suis détendue et très vite j’ai tendu mon bassin à la rencontre de ses doigts qui me faisaient tellement de bien. J’ai fermé les yeux pour mieux apprécier et je l’ai entendu me dire calmement :
- Tu vas m’écouter très attentivement, Véronique. Comme je te l’ai dit, ces photos que j’ai de toi en situation pour le moins délicate, c’est pour moi une chance inespérée. Tu n’es pas prête de les revoir, je te le garantis. Je compte bien profiter au maximum de ton merveilleux corps et des talents de salope que je devine en toi. On va bien s’amuser tous les deux, tu verras… Je te veux soumise au moindre de mes caprices, sans concession. Je vais faire de toi une pute docile au service de mes couilles, tu vas devenir leur bonniche. Je veux que tu les traites avec la plus grande attention, comme si ta vie en dépendait. Ton principal boulot sera naturellement de veiller à ce qu’elles soient toujours vides, mais tu devras aussi les laver et les épiler, les embrasser et les lécher non seulement quand je te le dirais, mais aussi de ta propre initiative, pour me prouver ta dévotion. Je suis certain que tu vas te montrer très douée…
Pendant qu’il me parlait, il avait accru ses caresses sur ma vulve et je sentais la jouissance monter. Il faut dire que le rôle d’esclave un peu « spécialisée » qu’il me proposait m’excitait furieusement: j’étais intimement convaincue qu’il m’irait comme un gant. Au plus profond de moi-même, j’ai senti soudainement — maintenant qu’il me le suggérait — que j’étais faite pour ça. Avec un enthousiasme non dissimulé de la part de la salope que je voulais devenir rapidement, nous sommes passés aux exercices pratiques. Sur l’ordre de Rémy, je me suis mise entre ses jambes après m’être débarrassée de son pantalon et de son caleçon. Le visage à quelques centimètres de sa verge gonflée, Rémy m’a obligé à quémander son foutre comme je l’avais déjà fait deux jours auparavant lors de mon « p’tit déj’ ». Sous ses indications, j’ai dû également pour la première fois d’abord lui embrasser, puis lui lécher et enfin lui gober longuement et langoureusement ses couilles lourdes avant d’avoir le droit d’engloutir sa queue.
- Suce maintenant, salope ! M’a-t-il ordonné en guise de conclusion à cette séance initiatique d’adoration de ses couilles.
Je l’ai pris dans ma bouche en soupirant et il n’a pas été très long avant de vider son trop-plein de foutre au fond de ma gorge.
Que vous dire d’autre? Il m’a gâtée toute la soirée ! J’ai en effet pu déguster sa jute à trois autres reprises. Une fois peu de temps après la première pipe: il n’avait pas réellement débandé, ça m’a excité et ma nature enfouie de salope m’a poussé à le sucer de nouveau. Il a d’ailleurs semblé très satisfait de mon initiative puisqu’il m’a couvert d’une bordée d’insultes (j’adore quand il me traite de tous les noms: « bassine à sperme », « pompe à jus », « petite pute affamée », etc. Mais « vide-couilles » est encore aujourd’hui celui qui m’excite le plus!).
Après le repas, pour s’exciter, il a exigé que je me branle devant lui. Pendant ce temps, il astiquait lentement sa tige épaisse. Quand elle a été bien gonflée, il m’a fait venir à quatre pattes pour lui lécher les testicules. Il a continué de se branler. Au moment de jouir il a dirigé sa queue vers moi, juste à temps pour me cracher son foutre en plein visage. A l’aide d’une cuillère à café qui traînait sur la table, il a raclé le sperme répandu sur mes joues et l’a porté à ma bouche: j’ai tout avalé avec une mine gourmande.
Avant de se coucher, j’ai dû le sucer à quatre pattes sur le canapé, à côté de lui, pendant qu’il regardait un porno et qu’il jouait avec ma chatte velue, la fouillant de ses doigts et tripotant mon clitoris gorgé de sang. Ses doigts venaient parfois effleurer mon anus qui se contractait alors sans que je puisse rien y faire. Je l’ai pompé avec application, mais Rémy était un peu fatigué et j’ai mis du temps avant d’obtenir ma récompense. Je ne me suis pas découragée et au bout d’une demi-heure, j’ai fini par avoir ma giclée de foutre. Hummm ! Quelle friandise !
Le lendemain, je me fis honte en repensant à tout ce que j’avais pu dire et faire, en songeant à la servilité joyeuse et empressée dont j’avais fait preuve pour satisfaire ses caprices. N’empêche que sur le moment, je ne m’étais jamais sentie aussi heureuse et excitée. Je suis allée me coucher repue.
Dans les jours qui ont suivi, dès qu’il estimait que je ne mettais pas assez de cœur à l’ouvrage pour honorer convenablement ses burnes (ce qui est fort possible, puisque je dois reconnaître que j’étais toujours très impatiente de sucer sa bite), Rémy me faisait m’allonger sur le sol ou sur le lit et face à moi, il s’asseyait sur mon thorax, au-dessus de mes seins. De la sorte, j’avais ses couilles posées sur ma bouche. Je n’avais plus qu’à l’ouvrir en grand pour lécher et sucer pendant de longues minutes ses bourses toutes douces — il se les épilait — et pleines de sperme chaud. Elles me remplissaient bien la bouche et je me réjouissais de leur grosseur. La position faisait de moi un instrument au service de ses parties génitales. C’était très humiliant, et c’est sans doute pour ça que j’ai très vite raffolé de cette pratique, au point que trois jours après, c’est moi-même qui lui ai demandé, au moment où il se relevait :
- Non, je t’en prie, reste encore un peu, fais-moi encore lécher tes couilles.
Je me suis étonnée moi-même d’avoir formulé cette demande, mais je ne l’ai pas regretté: il s’est montré enchanté et, après m’avoir redonné ses bourses à cajoler, il n’a pas tardé à me remplir la bouche d’une quantité impressionnante de jus épais que j’ai dégluti à petites gorgées. J’ai tété les dernières gouttes puis Rémy m’a forcé à le remercier. Je me suis exécutée :
- Merci. Ai-je murmuré.
Amusé, il m’a demandé :
- C’était bon ?
Moi, toujours murmurant :
- Oh, oui, c’était si bon ! Tes couilles étaient bien pleines ! Mais ce n’était pas assez…
Ça l’a fait rire.
- Petite gourmande ! T’inquiète pas, je t’en donnerai encore du foutre. Voilà ce que j’ai d’ailleurs décidé : dorénavant, je ne juterai plus que dans ta petite gueule. Ça te va ?
- Oui, mon amour, fais-le autant que tu voudras…
Il a tenu parole. Moi aussi.
En dehors des pipes quotidiennes (que je lui faisais notamment pendant qu’il dînait: il me faisait passer sous la table afin que je lui tète le gland et j’avais interdiction de le faire éjaculer sans sa permission. Ça me rendait folle d’impatience, mais j’appris ainsi à connaître et à maîtriser les signes annonciateurs de son plaisir. « C’est ton devoir de pute » me disait-il, et cela me paraissait effectivement aller de soi…), il ne perdait pas une occasion pour me mettre la main aux fesses ou dans la culotte, au chaud contre ma chatte baveuse qu’il doigtait avec une négligence appuyée, pour bien me faire sentir mon nouveau statut d’objet sexuel. Le résultat, c’est que je mouillais encore plus et que j’avais l’impression que mon vagin s’ouvrait de lui-même comme pour faciliter le passage de ses doigts. Je jouissais rapidement, sa main était recouverte de ma cyprine et je devais la nettoyer consciencieusement avec ma langue.
Il ne se privait pas non plus pour soulever ma jupe — les pantalons me furent immédiatement interdits — et admirer les bas qu’il exigeait que je porte en permanence. Au demeurant, les matins où c’était possible, c’est lui qui les choisissait après ma douche, au gré de son humeur, et après m’avoir fait enfiler deux ou trois paires différentes. J’en avais de toutes sortes et de toutes les couleurs: des noirs bien sûr, mais aussi des blancs, des gris et toutes les nuances du beige au marron. Certains étaient à coutures, d’autres non. Par contre je ne possédais pas de bas auto-fixants; seuls les vrais bas nylons qui tiennent avec un porte-jarretelles m’étaient autorisés. Évidemment, ces essayages matinaux le faisaient bander. Une fois qu’il avait jeté son dévolu sur une paire, il me faisait venir à quatre pattes entre ses jambes, simplement vêtue des bas choisis pour la journée et d’un porte-jarretelles assorti, et je devais le téter jusqu’à ce qu’il me balance dans la bouche tout le jus qu’il avait accumulé au cours de la nuit. Ensuite seulement je pouvais m’habiller pour aller au travail.
J’avoue que ces matins-là je me passais de café: j’adorais cette sensation en allant travailler de n’avoir que de la jute dans le ventre, et puis j’adorais aussi le goût de son sperme dans ma gorge; le café aurait tout gâché ! Je me sentais chienne, truie, indécente au possible et cela enflammait mon imagination comme jamais. J’étais mouillée toute la matinée et mon esprit excité en permanence me provoquait des rêves éveillés. Lorsque je portais un document à mon directeur, je me voyais passer à sa demande sous le bureau pour lui faire une bonne pipe bien humide comme je savais maintenant les faire. Quand je traversais le service informatique majoritairement composé d’hommes, et qui était le passage obligé pour entrer et sortir de mon bureau, je me voyais me jeter à genoux au milieu de la pièce et leur hurler que je n’étais qu’une pute qui n’avait en ce moment que du foutre dans l’estomac et qui en voulait encore plus. Quand des hommes se présentaient à mon bureau afin d’être reçus par mon directeur, je me voyais les implorer de me donner leur bite à sucer. Par ailleurs, les mots obscènes de Rémy me trottaient continuellement dans la tête et participaient à mon état d’excitation permanente. (Quelque temps plus tard, j’ai avoué toutes ces pensées à Rémy pendant que, allongée sur le lit et mes jambes sur ses épaules, il m’enculait avec tendresse: je n’avais pas encore fini de raconter toute mon histoire que j’ai senti sa grosse queue se contracter contre les parois distendues de mon anus et j’ai aussitôt reçu dans l’intestin une copieuse giclée de foutre qui m’a faite me pâmer de bonheur).
J’étais autorisée à porter une culotte, non par convenance, mais parce que cette pièce de lingerie l’excitait. Par contre, lorsque je passais une journée seule avec lui (c’était trop rare à mon goût), le soutien-gorge m’était interdit. Il aimait pouvoir sentir mes seins lourds, pouvoir les soupeser, les caresser et titiller les tétons qui pointaient au travers du tissu de mon chemisier. Il aimait aussi pouvoir les admirer à tout instant simplement en enlevant deux boutons, et pas en s’embêtant avec un soutien-gorge, aussi joli soit-il. En réalité, petit à petit ma tenue lorsque nous étions seuls se résumait à un porte-jarretelles, des bas, des talons hauts (très hauts !) et parfois un string en dentelles. Mes seins étaient certes fréquemment sollicités, mais en fait il passait la plupart de son temps à tripoter ma chatte et mon cul et à fourrer plusieurs doigts dans chacun de mes orifices, qui à force étaient à vif. Il trouvait cependant mon vagin en permanence mielleux de ma mouille, contrairement à ce que le chantage dont je faisais l’objet aurait pu laisser croire. J’essayais de ne pas trop montrer le plaisir que j’avais à être son jouet docile, mais je ne pouvais pas m’empêcher quand même dans ces moments-là de tenir mes cuisses bien ouvertes.
Au début de mon apprentissage au métier de pute consentante, toutes ces tenues et ces caresses, toutes ces poses obscènes qu’il me faisait adopter ne visait qu’à une seule chose: l’exciter pour que je puisse le sucer encore et encore. Jamais au cours de cette période il ne pénétra mes deux autres trous autrement qu’avec les doigts. Plus je m’habillais et me comportais en salope et plus il me jutait dans la bouche. Ce « contrat » n’était pas pour me déplaire et je redoublais d’ardeur, notamment dans la lascivité de mes poses.
Parce que c’est moi qui le faisais bander, le plaisir que je pris à traire ses couilles dès que l’occasion se présentait devint vite immense, et le fait qu’il ne tente jamais de me prendre par la chatte (par son chantage, il aurait pu !) ne me choquait pas. Au contraire j’étais très heureuse de la situation. D’une part, j’avoue que l’épaisseur de sa bite me faisait frémir d’avance pour mon vagin (quant à envisager une pénétration anale, l’idée ne m’avait même pas effleurée). D’autre part, j’aimais la manière dont il me traitait dans ces moments là: il me répétait sans cesse que je n’étais là que pour lui vider les couilles avec ma bouche de pute, qu’il allait me nourrir exclusivement de foutre tellement j’aimais ça, et quantité d’autres paroles qui se voulaient avilissantes mais qui faisait baver à ma moule en chaleur, des flots de mouille qui s’écoulaient le long de mes cuisses.
Plus il m’insultait et plus je m’appliquais à le sucer avec douceur, avalant sa queue au plus profond, la tétant avec gloutonnerie. Pendant que je savourais sa bite, je branlais paresseusement ma chatte trempée et mon clito gonflé de désir, et lorsqu’il giclait sur ma langue bien tirée ou au fond de ma gorge (en fonction de ses envies), j’avais presque systématiquement un orgasme. Bref, son foutre devint vite ma boisson favorite et je n’en avais jamais assez. Donc, au lieu de perdre inutilement sa semence dans mon vagin, je préférais largement qu’il en fasse profiter mon estomac affamé!
La présence de son père ne changeait guère les choses. Bien sûr, il n’avait plus le contrôle sur mes sous-vêtements, mais cela avait peu d’importance, car mon mari aimait également la lingerie fine, les porte-jarretelles et les bas. C’est pour ça d’ailleurs que j’en avais maintenant une si grande collection. Dès que Rémy m’a fait part de son souhait de me voir ne porter que des bas, le soir même je me suis habillée de manière très provocante (guêpière et bas noirs) et j’ai été extrêmement câline avec Guy. Après l’avoir laissé me baiser je l’ai dit que son érection avait été très dure ce soir-là (je mentais) et que cela était peut-être dû à ma tenue. Je lui ai donc suggéré que peut-être je devrais en porter plus souvent. Il m’approuva, ravi et flatté que je veuille lui faire plaisir, et m’ouvrit un crédit illimité pour l’achat de dessous et de bas.
Cependant, même quand mon mari était là, c’est surtout Rémy qui profitait de ces coûteuses parures! En bonne salope, je mouille encore lorsque je repense à la manière dont j’ai abusé de la naïveté de mon pauvre mari ! Par exemple, Rémy ne cessait, au risque de se faire surprendre par son père, de relever ma jupe pour mater mon porte-jarretelles et mes bas ou de me toucher la chatte et les seins. Il ne manquait jamais non plus une occasion pour m’ordonner d’écarter les cuisses (en fait, c’était chaque fois que Guy avait le dos tourné). Je m’exécutais au dixième de seconde, soucieuse qu’il soit fier de moi, et il se rinçait l’œil, lorgnant sur mon petit slip et mes jambes ornées de bas jusqu’à ce que Guy revienne dans la pièce. Cela pouvait se prolonger, et pendant tout ce temps j’offrais mon intimité à ses regards vicieux tout en contemplant, fascinée, la bosse qui déformait son pantalon.
Un week-end toutefois, je n’ai pas pu trouver durant toute la journée du samedi un seul moment de tranquillité pour sucer mon amant. Il pleuvait des trombes d’eau et Guy en a profité pour bricoler. Du coup, il n’a pas arrêté de faire des allées et venues dans toute la maison. D’habitude, il sortait toujours à un moment ou à un autre. J’en profitais toujours ! Généralement, Guy n’avait pas encore franchi le portail avec sa voiture que j’avais déjà la queue de son fils à l’entrée de mon appareil digestif, prête à me régaler de son jus. Mais ce jour-là, pas moyen ! J’ai songé un instant à emmener Rémy avec moi dans les WC, mais j’ai vite réalisé que ce n’était pas une très bonne idée: en effet, si Rémy savait se montrer discret, pour ma part je savais que, comme à chaque fois, je ne pourrai pas m’empêcher de gémir comme une pute en avalant son sperme…
J’ai également songé à sortir en voiture avec Rémy pour aller le pomper dans un lieu discret, mais sous quel prétexte sortir, avec Rémy de surcroît ? Le soir est arrivé sans que je trouve de solution. Je ne sais pas qui des deux était le plus déçu, mais en tout cas, je suis allée me coucher abattue par la frustration. Cela faisait bientôt un mois que j’avais droit à ma ration quotidienne de foutre, et aujourd’hui, je ressentais comme un grand vide, ma journée me semblait gâchée. Je ne pouvais quand même pas me rabattre sur la liqueur de mon mari: il se serait posé des questions après toutes les fois où je lui avais refusé ce plaisir ! Pourtant j’avais envie de sentir du foutre chaud couler le long de ma gorge, de sentir cette saveur un peu âcre et salée sur ma langue. J’ai donc décidé d’attendre que mon mari ronfle profondément, puis je me suis rendue fébrilement avec une courte nuisette transparente pour seul vêtement dans la chambre de Rémy. Il ne dormait pas, il était en train de regarder la télé, couché sur son lit. Surpris, il m’a demandé ce que je faisais ici.
- Mais mon chéri, tu as exigé de moi au moins une fellation par jour, et aujourd’hui, tu ne l’as pas eue ! Répondis-je hypocritement (car en fait, ce qui m’avait poussé à venir, c’était surtout mon ventre qui gargouillait d’envie !).
- Tant pis pour ce soir… Tu verras petite traînée, demain, tu auras droit à une grosse giclée…
- Ooooh! Non! Je t’en prie! Si tu savais comme ta pute est en manque de foutre! » Avouai-je enfin.
- Laisse-moi t’essorer les couilles, s’il te plaît… Je suis là pour ça, non? Et puis j’en ai tellement envie… Je peux ? Allez, dis oui…
Sur les derniers mots, je m’étais faite douce et câline, je geignais presque. Je délirais complètement et ce délire m’avait fait perdre tout amour-propre, toute retenue. Je m’abandonnais avec délices à la fonction de vide-couilles que Rémy m’avait assignée. Il a rit gaiement :
- La vilaine petite quémandeuse de jute ! Allez, viens téter ton biberon… Je vais te remplir l’estomac de foutre, comme tu aimes…
De peur qu’il ne change d’avis, je me suis aussitôt précipitée sur le lit pour avaler sa queue. Mais il m’a tout de suite stoppé dans mon élan :
- Eh bien, traînée, on en oublie les bonnes manières ? Tu voudrais quand même pas que j’en arrive à te priver de mon sperme pour t’apprendre à te conduire correctement, j’imagine ?
L’idée de cette punition m’a fait tressaillir. Avec un empressement servile, j’ai donc cajolé tendrement ses couilles avec mes lèvres et ma langue, aussi patiemment que mon excitation me le permettait. Rémy a fait durer mon supplice un bon quart d’heure, peut-être plus. J’avais l’impression qu’on avait fait fondre une motte de beurre dans ma chatte, c’était grandiose !
Quand il m’a enfin permis de le prendre dans ma bouche, j’étais si heureuse que mes lèvres faisaient ventouse autour de son membre déjà raide d’excitation au moment où je l’embouchais. Je soupirais d’aise en sentant enfin son gland tressauter contre mon palais. La bouche dilatée par le membre volumineux que je suçais bien à fond, j’ai répandu des litres de salive qui coulaient jusqu’aux couilles et les rendaient luisantes. Cela faisait des bruits de succion humide qui ajoutaient à mon excitation. J’ai sucé sa queue avidement et je ne l’ai pas faite ressortir du fourreau de ma bouche avant qu’il ne se soit complètement vidé les couilles dans ma gorge assoiffée. Par la suite, je ne parvenais pas à me résigner à lâcher sa belle bite, j’espérais qu’elle rebande rapidement pour m’inonder à nouveau la bouche. C’est pour ça que je la gardais au chaud dans la moiteur de mon « récipient à sperme » tout en caressant ma chatte détrempée. C’est lui qui a fini par me faire déglutir sa queue en me tirant par les cheveux. Comme il me l’avait appris, je n’ai pas manqué de le remercier: à genoux devant lui, j’ai embrassé amoureusement sa bite et ses couilles, je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit, tout en souriant, un timide :
- Merci mon amour pour tout ce foutre.
Pour la première fois, j’ai réalisé que j’étais sincère ! Je me fis honte mais je savais que je ferai tout mon possible dès le lendemain pour l’exciter au maximum : je voulais qu’il me gave encore de sa semence ! Je voulais sombrer avec lui dans le vice, je désirais ardemment « gagner mes galons de pute », et je sentais que j’étais prête à tout pour ça. En attendant, je suis repartie rejoindre silencieusement mon mari dans la chambre conjugale, la langue encore engluée de sperme.
Lorsque nous nous sommes revus la fois d’après, Rémy m’a fait me placer debout à côté du siège où il était assis. J’étais nue, à l’exception bien sûr d’un serre-taille blanc en dentelles (il avait coûté une fortune à Guy !) et de bas de couleur chair (qui n’étaient pas donnés non plus). Rémy m’a ordonnée de lui lécher les doigts pour les humecter, puis il les a plongés dans mes deux orifices.
L’humidification était superflue ! Ma chatte était déjà abondamment lubrifiée, quant à mon cul, il finissait par devenir très souple à force d’être toujours pénétré par les doigts de mon amant. Tout en jouant délicatement avec la fine paroi qui séparait mon vagin de mon rectum, Rémy m’a dit :
- Tu deviens une bonne pute soumise à ma queue… Une fois que je serai certain que tu es une bonne serpillière à foutre, que tu es la bonniche qui ne pense qu’à vider les couilles des hommes, je m’occuperai de tes deux autres trous… Lorsque je te baiserai, je veux que tu sois devenue la pire des salopes, une suceuse tellement insatiable qu’elle ferait rougir la dernière des traînées de bas étage… Si tu le mérites, je te prendrais par les deux trous.
- Pourquoi tu dis les deux ?
- La bonne blague !! Et ton trou du cul, tu crois qu’il sert à quoi ?
- Tu veux dire que…
- Absolument ! Je mettrai aussi ma bite dans ton cul. Tu ne t’es jamais faite enculer ? Tu vas adorer, j’en suis sûr…
L’avenir montrerait qu’il avait raison mais à ce moment, j’ai été prise de panique. Parlait-il sérieusement ? Je n’étais déjà pas très rassurée pour ma chatte, alors mon cul, j’en avais mal rien que d’y penser ! Mais je me suis vite rendue compte que cette panique était inutile, parce que j’avais déjà la certitude que mon pucelage anal, c’est à lui et à personne d’autre que je voulais l’offrir. J’étais sûre de lui présenter mon cul à l’instant même où il me le demanderait. Du coup, l’esprit vide, j’ai admis :
- Oh oui, Rémy ! Je suis à toi ! Tu peux faire de moi tout ce que tu veux, tu sais… J’ai vraiment hâte que tu m’enfiles par tous les trous…
- Chaque chose en son temps ! Il te reste quelques épreuves à passer avant que je puisse être certain de ta parfaite docilité buccale… Il va falloir que tu me promettes d’être bien obéissante…
J’ai promis puis je me suis agenouillée pour sucer le sexe vénéré de celui qui était définitivement mon maître pervers (et je n’avais encore rien vu !). Pendant quelques jours, nous avons continué nos jeux. Je le suçais tous les soirs, avant que son père ne rentre du travail, ainsi que toutes les autres fois où cela était possible. La veille du fameux soir qui m’a entraîné dans la débauche la plus complète, Rémy m’a lâché, pendant que je nettoyais avec ma langue les traces de sa troisième éjaculation de la soirée :
- Aaah ! Putain de salope ! Tu m’assèches tellement bien les burnes que je ne vais pas pouvoir tenir ce rythme encore très longtemps. Mes noix doivent sûrement ressembler à des raisins secs, à force ! Il va falloir que je trouve un collaborateur pour me relayer…
A cette évocation, j’ai senti ma chatte se liquéfier ! Mais j’étais loin de m’imaginer ce qui m’attendait.
A suivre...
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