Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
****
Toute la famille de Jessie va se soumettre.
Julie est assise à la bibliothèque et elle tente d'étudier. La séance photo reste dans son esprit. Elle a gagné beaucoup d'argent, mais les photos réalisées ne sont pas celles qu'elle avait désirées. Julie décide donc de ne pas recommencer. Peu importe l'argent, elle ne veut pas tomber plus bas.
Julie ouvre son cahier et une photo en tombe. C'est une photographie faite lors de la séance et c'est sûrement la pire. Elle est agenouillée et attachée avec un grand noir derrière elle qui pose sa bite sur son épaule. Elle attrape rapidement le cliché et elle le fourre dans son sac tout en regardant autour d'elle si quelqu'un l'a vu. Son université est très conservatrice et elle serait mise dehors si on voyait la photo.
Comme personne ne semble l'avoir remarqué, elle ouvre de nouveau son cahier et cette fois elle y trouve un morceau de papier plié. Ne sachant pas d'où il vient, elle l'ouvre lentement, les mains tremblantes.
« Julie,
J'ai les photos pour ton book. Je pense que tu devrais venir vers 16 heures cet après-midi pour les examiner. Si tu ne viens pas, je les déposerai au bureau du doyen. Ne sois pas en retard ou tu risques de me manquer.
Jason. »
Julie regarde autour d'elle dans la bibliothèque pour chercher qui a glissé la photo et le papier dans son cahier. Elle a l'impression que tout le monde connaît son secret et elle rougit de haut en bas. Elle essaie de se calmer, mais à chaque fois qu'elle se remémore la photo, la peur revient.
Julie ne peut plus étudier maintenant. Il faut qu'elle sorte pour prendre l'air. Elle rassemble ses affaires et se précipite vers la porte. Il lui faut environ dix minutes pour se rendre à son dortoir. Elle se laisse tomber sur son lit et se met à pleurer de manière incontrôlable. Il ne faut pas longtemps pour qu'elle tombe dans un profond sommeil.
Julie se réveille en sursaut. Elle regarde l'heure et voit qu'il est 15 heures 45. Prise de panique, elle se lève et court à la porte. Elle a peur de manquer Jason et qu'il les dépose chez le doyen de l'université. Elle arrive au studio avec une minute de retard. Elle essaie d'ouvrir la porte, mais celle-ci est verrouillée. Elle essaie d'appeler et elle regarde la rue de chaque côté. Au début, elle ne remarque pas la voiture sur une place de parking. Mais bientôt, en regardant plus précisément, elle voit Jason sur le siège conducteur.
Elle court aussi vite qu'elle le peut jusqu'à la voiture et elle supplie Jason de ne pas partir. Julie ne sait pas que Maître X. regarde et entend tout. Les caméras situées à l'extérieur du studio captent tout. Et grâce à une oreillette Bluetooth, il peut indiquer à son ami Jason comment faire avec la jeune fille effrayée.
Le photographe baisse la vitre de la portière et dit :
- Tu es en retard, je dois partir. Tu pourras prendre les photos demain au bureau du doyen.
Julie, qui sent le monde s'effondrer autour d'elle, se laisse tomber à genoux et supplie :
- S'il vous plaît Jason, ne faites pas ça. Je suis ici, puis-je les avoir?
Jason répond en souriant :
- Si tu ne peux pas suivre de simples instructions, pourquoi devrais-je faire une exception pour toi? Si tu veux que je reste, alors je pense que tu dois faire quelque chose pour me convaincre que tu es désolé d'être en retard.
Confuse, Julie regarde l'homme et demande :
- Que voulez-vous dire par faire quelque chose? Que dois-je faire pour vous convaincre?
Jason l'écoute à moitié, car Maître X. parle dans son oreillette.
- Je pense que si tu veux vraiment les photos, tu dois enlever ta robe.
Le visage de Julie exprime toutes ses pensées. Elle est d'abord choquée par la demande de Jason, puis elle est en colère et ensuite gênée à penser ce qu'il veut. Enfin elle se soumet en réalisant qu'elle n'a pas vraiment le choix.
Julie tend la main derrière elle et baisse lentement la fermeture à glissière de sa robe. Elle jette des coups d'œil autour d'elle pour voir si quelqu'un la voit, à genoux dans la rue en train d'enlever sa robe. Heureusement, il n'y a pas beaucoup de circulation et personne sur le trottoir. Elle enlève rapidement le vêtement et le jette à Jason.
- S'il vous plaît Jason! J'ai fait ce que vous avez demandé. Pouvons-nous aller à l'intérieur maintenant?
L'homme sourit alors que Maître X augmente la pression par l'intermédiaire de l'oreillette :
- Enlève le reste!
Sachant bien qu'elle est prise au piège, Julie enlève rapidement ses sous-vêtements et se retrouve complètement nue dans la rue.
- D'accord Julie. Va à la porte d'entrée je vais t'ouvrir. Dit Jason en reculant sa voiture à l'arrière du studio et en laissant la jeune fille seule.
Julie se précipite vers la porte d'entrée et essaie de se cacher dans le vestibule alors que sa peur augmente de seconde en seconde.
Maître X. demande à Jason d'attendre un peu avant de laisser la fille effrayée entrer. Il veut la rendre plus souple. Avec les caméras il remarque qu'un groupe de quatre personnes est sur le trottoir à environ 150 mètres de là et qu'il se rapproche à chaque seconde. Julie, les ayant aperçus, commence à frapper à la porte tout en essayant de ne pas attirer l'attention sur elle. Mais à mesure que le groupe approche, ses coups deviennent de plus en plus paniqués.
Juste au moment où l'un des hommes du groupe la voit nue frappant à une porte et l'apostrophe, la porte s'ouvre et Julie entre et tombe dans le studio.
On peut penser que Julie est fâchée et qu'elle va hurler contre Jason, mais tout ce qu'il lui passe par la tête, c'est qu'il vient de la sauver.
- Merci, merci Jason! Ces hommes étaient sur le point de m'attraper. Dit Julie sur ses genoux.
- De rien Julie! Maintenant, mettons-nous au travail.
- S'il vous plaît Jason, pouvez-vous me rendre mes vêtements? Supplie Julie.
- Non, je t'aime nue. Et ça facilite les négociations. Maintenant suis-moi à mon bureau.
Julie commence à se relever, mais Jason l'arrête d'un geste de la main. Alors Julie reste à genoux et rampe dans le couloir derrière le photographe.
Ce ne sont pas vraiment des négociations. Jason donne plutôt à Julie un ensemble de règles et d'avertissements. La jeune fille est assise et choquée alors que l'homme lui explique les règles à suivre. Après cinq minutes il a fini. Julie reste assise, le regard vide.
- Ne t'inquiète pas salope, je t'enverrai les règles par émail. Assure-toi de les respecter, car si je découvre que ce n'est pas le cas, tu auras des punitions. Maintenant voici une chose que tu dois porter dans ta chambre. Je veux que tu reviennes ici demain après-midi après ton dernier cours. Dit Jason.
Il jette à la fille un tee-shirt et montre une enveloppe sur le bureau.
Julie enfile le tee-shirt, attrape l'enveloppe et se dirige lentement vers la porte. A la dernière seconde, elle se retourne et demande :
- Pourquoi Jason? J'ai fait ce que vous m'avez demandé. Pourquoi me faites-vous ça?
-Eh bien Julie, je ne fais rien. Tu voulais des photos et je les ai prises. Tu as pris la décision de faire la séance et tu as cédé les droits sur les images. Tu as également signé un contrat pour faire de futures prises de vue. Tu as enlevé tes vêtements dans la rue et tu me les as donnés. Tu aurais pu les garder et avoir les photos demain. Tu vois bien que tu as tout fait toi-même. Maintenant, sois ici demain après ton dernier cours et assure-toi de te souvenir de toutes les règles. Sors d'ici! Crache Jason.
Julie attrape ses affaires et quitte le studio. Alors qu'elle court dans la rue, son esprit et son corps ont du mal à comprendre la situation. Elle ne parle à personne et se précipite dans sa chambre pour se laisser tomber sur son lit. Elle pleure presque une heure avant de s'asseoir et d'essayer de se souvenir des règles. Elle commence à paniquer quand elle se rappelle d'une seule règle, celle de ne pas mettre de sous-vêtements. Puis elle se souvient que Jason lui a dit qu'il enverrait les règles par messagerie. Elle se lève du lit et allume son ordinateur. Ouvrant son courrier électronique, elle remarque que le premier message est du photographe. Elle fait glisser la souris dessus et elle clique :
« Julie,
Voici les règles du contrat que tu as signé. Il y a une copie dans l'enveloppe. Tu dois respecter ce contrat ou la pénalité sera de 150 000 dollars payable au moment de la violation du contrat.
* Tu ne dois porter que ce qui a été approuvé.
* Tu n'es pas autorisé à porter de pantalons.
* Pas de sous-vêtements sauf indication contraire.
* Les jupes et les robes sont acceptables seulement si elles arrivent au moins à 20 centimètres au-dessus de genou.
* Je décide si tu portes des bijoux ou autres accessoires.
* Tu te présentes au studio à l'heure. Tout retard sera considéré comme une rupture de contrat.
* Tu dois répondre à ton téléphone avant trois sonneries et tu dois être disponible 24h/24 et 7j/7.
* Toutes les séances photo se font sous ma direction sans exception.
* Tu ne parleras que lorsque l'autorisation te sera donnée.
Le non-respect d'une règle est considéré comme une rupture de contrat. Il y aura d'autres règles ajoutées. Mais tu dois connaître chaque règle et obéir. Demain tu dois arriver avant 14H37. Tu porteras une jupe qui arrive à 25 centimètres au-dessus du genou, un chemisier dont les trois boutons du haut seront enlevés et des talons aiguilles de 10 centimètres.
Jason. »
Julie fixe la liste de règles. Il n'y a qu'une voire deux robes ou trois qui conviennent. De plus, son dernier cours se termine à 14h30. Il ne lui restera que 7 minutes pour se rendre au studio. Elle ne va pas avoir le temps de revenir dans sa chambre pour se changer et elle devra courir tout au long du chemin pour arriver à l'heure.
Julie saisit l'enveloppe et la déchire pour l'ouvrir. A l'intérieur se trouvent un DVD, environ cinquante photos en couleur de la séance photo et un paquet de papier. Comme elle sait qu'elle a besoin de raccourcir ses vêtements, elle sort sa trousse de couture et commence à ajuster ses jupes et ses robes.
****
Maître X. se tourne maintenant vers le frère de Julie, Kévin. Il l'a observé de temps en temps et il a été ravi de voir qu'il y avait déjà au moins deux étudiantes qui se présentait régulièrement dans sa chambre pour être fessée, ligotée et baisée. Maître X. décide donc de tirer son épingle du jeu, alors il se connecte à l'ordinateur de Kévin.
Ce qu'il voit le surprend. Kévin se tient au milieu de la chambre, sa grosse queue à la main. Son compagnon de chambrée est nu et à genoux, sa bite dans une cage de chasteté et un plug dans le cul. Il implore Kévin de lui sucer la queue que celui-ci caresse lentement devant son visage.
Maître X. s'assure qu'il enregistre bien la scène et sourit. Il sent que ça va être plus facile que prévu. Il s'est renseigné et sait que Kévin a eu quelques plaintes pour harcèlement sexuel. Les enregistrements dernièrement faits peuvent le faire envoyer en prison si l'université porte plainte.
Mais Il sent quelque chose à propos du jeune garçon. Il lui rappelle un peu lui-même lorsqu'il était à l'université. Et Kévin est même un peu plus avancé que lui à cette époque. Maître X. sourit et réfléchit à la façon dont il va utiliser le jeune dominant. Ça peut être amusant de voir son père lui sucer la bite et le supplier de défoncer son cul, pendant que sa mère et sa sœur lui lèchent les couilles et le cul, une vraie orgie familiale.
Maître X. Commence à taper sur son clavier pour lancer le processus d'asservissement du dernier membre de la famille. Tout est déjà en place. Kévin va recevoir dans un moment un email d'un serveur anonyme avec un lien vers un site Web contenant tous les enregistrements que Maître X. avait collectés ces derniers jours, y compris la domination de son camarade de chambre.
****
Kévin force son colocataire à s'humilier en lui faisant sucer sa bite et lécher son cul. Kévin n'est pas homosexuel, mais il aime avoir le pouvoir sur les autres, peu importe qu'il s'agisse d'un homme ou d'une femme.
Ça a commencé il y a quelques années avec une fille qui s'appelle Christy WILSON, fille de la vice-présidente d'université Janice WILSON. Christy l'adorait et il utilisa le pouvoir qu'il avait sur elle pour la pousser dans des situations de plus en plus humiliantes. Christy était une pom-pom girl très jolie, mais Kévin ne voulait pas s'attacher à elle. Il détestait cette clique de snobs et parvenus. Habituellement ce groupe restait en meute et utilisait leur apparence et leur richesse pour s'ouvrir le chemin.
Il a adoré quand finalement il a eu la primeur de son petit trou du cul, quand il a éjaculé profondément dans ses entrailles et qu'elle a crié avec un orgasme géant. Il l'a ensuite retournée et obligée à nettoyer sa bite. Au moment où ils ont obtenu leur diplôme, elle lui était totalement soumise et elle se déshabillait, le suçait ou le baisait sur ordre. Le jour de la remise de leur diplôme, il l'obligea à être nue sous sa robe de cérémonie avec un vibromasseur enfoui dans sa chatte. Kévin adora la tête qu'elle fit lorsque il mit en marche le vibro alors qu'elle traversait la scène pour aller chercher son diplôme.
Et depuis le début de ses études supérieurs, il passe une salope après l'autre. Et ça devient de plus en plus facile. Actuellement il a trois soumises à son service ainsi que son compagnon de chambre. Il profite largement de celui-ci en lui faisant faire ses devoirs ainsi qu'en lui demandant de sucer sa bite ou de nettoyer les chattes des salopes après avoir fini de les baiser.
Après avoir éjaculé sur le visage de la lopette, Kevin entend sa messagerie électronique émettre une sonnerie. Il écarte son soumis et ouvre l'application. Au début, il est près de supprimer le dernier message en supposant qu'il s'agit de spam, mais quelque chose dans le sujet retient son attention.
« De Maître X,
Sujet : Nouvelle vidéo d'esclave. »
Kévin clique sur le message pour l'ouvrir. Il est surpris de voir qu'il est très court :
« Kévin,
Je sais tout de toi. Je sais tout de ta famille. Si tu veux que ton secret soit gardé, clique sur le lien suivant.
Maître X. »
Le jeune garçon hésite un instant. Il ne sait pas si c'est vraiment du spam, mais l'idée que quelqu'un sache ce qu'il fait et le dise à ses parents, ou pire, à l'école le fait cliquer sur le lien. En même temps il dit à son colocataire de s'habiller, d'aller à la bibliothèque et de ne pas revenir avant plusieurs heures.
Le site internet s'affiche avec sa photo en haut. Juste en dessous se trouvent des photos de ses parents et de sa sœur. Et encore en dessous il voit des vidéos de lui dominant des étudiantes et son compagnon de chambrée. Dans chacune, il est bien clair qu'il est l'instigateur et qu'il oblige ses proies à faire des choses perverses et humiliantes. La bande son confirme que Kévin les fait chanter pour qu'ils fassent ce qu'il veut.
Kévin devient maintenant très nerveux. Il marche de long en large dans la pièce en se demandant comment les vidéos ont été faites. Il fait défiler la page jusqu'en bas et peut lire un message :
« Kévin,
Tu as été piraté, et si tu ne fais pas exactement ce qu'on te dit, j'enverrai ces vidéos aux journaux, à la police, à l'université et à tes parents. Tu as cinq minutes pour répondre à mon message et me dire que tu acceptes mes conditions. Si tu ne le fais pas, j'envoie tout. Si tu essaies de négocier, j'envoie tout, si tu fais autre chose qu'accepter j'envoie tout. A toi de décider.
Maître X. »
Kévin est sous le choc. C'est toujours lui qui faisait chanter les autres. Mais là, il est pris au piège et incapable de comprendre comment il a pu être pris. Son seul choix est d'accepter.
Maître X Observe le jeune homme de près. Il sait qu'il ne laisse pas le choix au jeune garçon, mais il veut qu'il se soumette avant de lui faire savoir qu'une vie d'esclavage n'est pas son avenir. Une minute plus tard, la réponse de Kévin arrive par messagerie. Il contient juste quelques mots : « Je suis d'accord ».
Maître X connaissait déjà la réponse et il envoie rapidement le message suivant :
Kévin,
Tu as été un très mauvais garçon, et à partir de maintenant tu obéiras à tous les ordres que je te donnerais. Si tu refuses, tu es perdu. Si tu hésites, tu seras puni. Cependant, si tu es obéissant et tu fais tout ce qu'on te dit, tu en récolteras des bénéfices que tu ne peux pas imaginer. Maintenant, pour vérifier ton accord, je veux que tu enlèves tes vêtements et que tu m'envoies une photo de toi nu avec un panneau indiquant : « Je suis l'esclave de Maître X ». Tu as cinq minutes pour le faire.
Maître X. »
Kévin essaie de réfléchir, mais la limite de temps ne lui laisse pas le temps de penser à autre chose. Il se déshabille, prend une grande feuille, écrit la phrase et prend la photo. Il l'envoie trente secondes avant la limite du temps.
Ce que Kévin ignore, c'est que Maître X a déjà copié son disque dur et connaît tout sur son histoire avec sa première conquête Christy WILSON. Il avait souri quand il avait appris qu'elle était soumise, son projet étant de faire dominer sa mère par Kévin. La fille est juste la cerise sur le gâteau.
Maître X envoie le message suivant après avoir reçu la photo de Kévin. Maintenant, ce n'est qu'une question de temps avant que toute la famille GRABAS soit sous son contrôle total.
Kévin est assis nu dans sa chambre. Il ne sait pas s'il doit s'habiller ou rester nu en attendant le prochain message. Mais il n'attend pas longtemps avant que sa messagerie l'avertisse de l'arrivée d'un courrier. Il fait glisser sa souris dessus et clique :
« Kévin,
Tu as fait le bon choix. Comme tu l'as probablement compris, je sais beaucoup de choses sur toi et ta famille. Je sais que tu rentres chez toi avec ta sœur le week-end prochain. Je peux te promettre que lorsque tu retourneras à l'université ta vie ne sera plus jamais la même.
D'ici à ton retour chez tes parents, va dans un magasin pour animaux et achète quatre colliers de chien qui iront bien à des personnes. Ensuite, je veux que tu contactes Christy WILSON. Tu la feras venir samedi matin. Elle doit porter une mini-jupe très très courte ; un haut léger, des talons hauts et aucun sous-vêtement. Quand elle arrivera, emmène-la dans ta chambre et fais lui sucer ta bite. Assure-toi d'éjaculer sur son visage et ne lui permet pas de le nettoyer. Puis tu prends un des colliers et tu lui attaches autour du cou. Elle t'accompagnera ainsi pour rejoindre ta famille. Ne fais pas cas de son visage ou de son collier, agis comme si c'est parfaitement normal qu'elle ait ton sperme sur sa figure. Crois-moi, personne dans la maison ne dira rien. Rappelle-toi le prix à payer si tu ne remplis pas ces tâches.
Maître X ».
Kévin retient son souffle à la lecture du message. Dominer Christy est bien, mais la ramener avec le reste de la famille va être très bizarre. Curieusement cette pensée est excitante. Sa queue est dur comme du roc et il a besoin de se soulager. Il s'allonge dans son lit et commence à caresser son sexe. Il ne faut que quelques minutes pour que sa semence gicle jusqu'au-dessous de son menton.
Maître X le regarde se masturber. Il sourit et comprend qu'il a pris la bonne décision.
****
Jessie arrive à la maison complètement épuisée par son excitation. Sa journée avait été plus difficile qu'elle s'y attendait. Les nouvelles exigences de Janice rendaient plus difficile de garder son secret. Il suffirait que quelqu'un arrive à l'université plus tôt que d'habitude et elle serait découverte. D'autre part, les jouets enfouis dans son corps la maintiennent constamment au bord de l'orgasme et la masturbation obligatoire sur le chemin de retour ne fait qu'empirer les choses.
Elle doit maintenant rendre compte à Maître John et connaître son nouveau poste. Elle a peur de ce que ça peut être, mais tant que ça inclut de se faire baiser, ça lui va.
Jessie court jusqu'à la porte de sa maison en priant que son voisin ne la voit pas. Comme d'habitude sa jupe est restée dans la voiture et elle ne porte que culotte et chemisier. Après avoir fermé la porte et alors qu'elle se dirige vers l'escalier pour aller mettre sa tenue de footing, Maître John l'arrête :
- Salope, tu ne vas pas courir aujourd'hui. Tu as un entretien pour ton deuxième travail. Va mettre la tenue que j'ai préparée sur ton lit. Tu as cinq minutes pour te changer et te préparer.
Jessie grimpe les escaliers et entre dans sa chambre. Elle enlève son chemisier, ses chaussures, son soutien-gorge et sa culotte. Elle attrape la culotte sur le lit et l'enfile. Elle est blanche et si petite qu'elle couvre à peine son sexe. La robe, quant à elle, est une robe en dentelle blanche avec de fines bretelles et des motifs de fleurs. Elle ressemble plus à une nuisette qu'à une robe pour sortir. Elle tombe juste en dessous de son entrejambe et laisse peu à l'imagination. Elle n'est pas transparente et couvre ses seins et sa chatte, mais chaque mouvement expose sa culotte. Les chaussures assorties ont des talons de 15 centimètres et sont lacées au-dessus des chevilles.
Jessie s'arrête dans la salle de bain et se soulage aux toilettes. Puis elle se lève, se regarde dans le miroir, se maquille et se coiffe. Elle sait que le temps est compté alors elle se précipite dans les escaliers et appelle son Maître. Elle ne le trouve pas , mais elle entend du bruit sous son porche d'entrée. Elle ouvre la porte et voit Maître John qui semble fâché. Elle se fige en priant pour ne pas être en retard.
Maître John regarde son esclave. Il voudrait la plier en deux et la baiser sauvagement sous le porche. Mais il faut qu'ils aillent de l'autre côté de la ville pour le nouveau boulot de Jessie.
- Allez salope, nous allons être en retard! Ordonne-t-il.
Jessie suit l'homme jusqu'à la voiture et monte sur le siège passager. John démarre et ils partent pour leur rendez-vous. Jessie reste assise tranquillement, ne voulant pas énerver son Maître avec des questions. Elle imagine qu'ils vont dans un club de strip-tease où elle devra servir ou danser.
John jette un coup d'œil à l'enseignante soumise. Il veut augmenter la tension alors il commande :
- Occupe-toi avec tes doigts. Chaque fois que tu es dans une voiture, tu dois jouer avec ton clitoris. Je veux que tu sois prête à jouir à n'importe quel moment.
Jessie gémit, mais suit les instructions. Environ quarante minutes plus tard, Maître John se gare sur un parking devant un motel miteux. Jessie grince des dents quand elle se rend compte qu'il n'y a pas de club de strip-tease à proximité. « Oh j'espère que nous n'allons pas rester ici » pense-t-elle en ayant peur de ce qu'elle allait devoir faire.
Maître John sort de la voiture et se dirige vers le bâtiment. Jessie voit un homme en sortir. Il se dirige vers John et les deux hommes se sert la main. John est tout sourire en se dirigeant vers la portière passager et l'ouvrant.
- Sors salope, il est temps pour toi de rencontrer ton nouveau patron.
Jessie glisse hors du véhicule, le corps tremblant de peur et d'excitation. Elle a peur de ce qu'elle va devoir faire, mais en même temps elle est totalement excitée. Elle prie pour être baisée.
Elle s'arrête devant l'autre homme en fixant le sol des yeux. Maître John est fier de montrer son esclave.
- Jessie, je te présente Buck, ton nouveau patron. Chaque après-midi après l'université, tu viendras ici et tu feras ce qu'il te dit jusqu'à minuit. Ensuite tu pourras rentrer et te préparer pour le lendemain. Indique Maître John.
Jessie jette un coup d'œil à l'homme massif vêtu de cuir. Elle n'a aucune idée de ce qu'elle allait devoir faire mais Buck l'effraie et elle sait qu'elle ne lui résistera pas.
L'homme du motel regarde l'enseignante presque nue et fait tourner son doigt. Jessie devine ce qu'il veut, alors elle tourne lentement sur elle-même. Quand elle se retrouve de nouveau en face de lui, elle se sent encore plus sale que d'habitude. Elle prend conscience qu'elle n'est plus propriétaire d'elle-même. Elle n'est plus la mère de famille ou l'enseignante respectée, elle est juste un réceptacle à foutre.
Buck sourit et lui fait signe de le suivre. Il se dirige vers une chambre du motel. Une fois à l'intérieur, Maître John la regarde et lui dit :
- A poil!
Jessie enlève sa culotte et sa robe. Puis elle attend de nouvelles instructions. Chaque fois qu'elle accompagne Maître John sa soumission augmente. Elle le regarde prendre ses vêtements et les mettre dans un sac.
Buck lui désigne une table ronde près de la fenêtre et lui dit :
- Sur la table esclave! En position de soumission!
Jessie grimpe sur la table, écarte les jambes, passe les bras derrière le dos et saisit ses coudes avec ses mains. Son corps est en feu et son esprit vacille entre peur et envie. Elle s'agenouille sur le meuble, tout en se disant qu'elle n'est rien d'autre qu'un objet. C'est à ce moment qu'elle est frappée par la situation. Elle n'est plus qu'une esclave. Maître X et Maître John la possèdent totalement et peuvent faire d'elle ce qu'ils veulent. Elle n'a plus le contrôle de rien. Cette pensée l'effraie d'abord, mais lentement la peur s'atténue et une vague de sérénité la parcoure. Maintenant elle accepte son statut et se soumettra complètement à la tâche qui lui sera confiée.
Les deux hommes s'assoient sur des chaises en face de la femme nue. Ils se mettent à discuter du travail et de la répartition de l'argent. Jessie écoute et réalise soudain que Buck est un proxénète. Les deux hommes négocient du travail de la femme. Plus ils parlent, plus Jessie est humiliée. Quand ils ont fini et qu'ils ont décidé, tout l'argent que Jessie gagnera ira à Buck pour 40 %, à Maître John pour 40 % et elle sera autorisée à garder le reste. Les deux hommes se serrent la main et maître John se dirige vers la porte avec le sac contenant les vêtements de Jessie.
Celle-ci commence à paniquer et gémit. Elle se prépare à demander ce qu'elle va porter pour rentrer chez elle quand Buck sort des vêtements et les lui jette :
- Tiens salope, c'est ton uniforme. Je veux que tu le portes tout le temps.
Jessie enfile rapidement le haut blanc qui couvre à peine son corps. La jupe est assortie, mais elle fait quand même huit centimètres de long. Elle attrape le string et l'enfile en étant heureuse que sa chatte soit couverte. Elle se regarde dans le miroir et manque défaillir. Elle n'est rien d'autre qu'une pute qui travaille dans la rue. Buck la tire pour la sortir de la chambre pendant que Maître John s'éloigne en voiture.
Jessie essaie de se couvrir mais c'est inutile. Elle ne peut pas complètement se cacher. Buck la dirige dans la rue.
- Allez salope, je vais te montrer le lieu. Pendant les 8 prochaines heures, tu dois être à ton poste à moins que tu ne sois en train de baiser.
Tu es un joli morceau et je suis sûr que tu vas gagner beaucoup ces prochaines semaines. Maintenant voici les tarifs : 30 pour une pipe, 50 pour ta chatte, 75 pour ton cul. S'ils veulent les trois c'est 125. Et comme le temps c'est de l'argent, tu les fais jouir et tu reviens vite ici. Tu ne dois jamais rester dans la chambre plus de vingt minutes. Si tu prends trop de temps tu devras le rattraper plus tard.
Jessie est abattue. Elle n'a plus d'estime pour elle. Elle est brisée et ne se sent plus comme une mère ou une femme. Elle est juste une esclave à abuser. Son poste de travail se trouve à 50 mètres du parking du motel, devant un long mur couvert de graffitis. Ils sont à peine arrivés qu'un homme noir s'approche et demande à Buck :
- Salut Buck! Tu as une nouvelle salope? Elle a un beau cul. Combien?
- Hé Boomer! Pour toi, je fais une offre spéciale. Tu peux la baiser pour le prix d'une pipe! 30! Répond Buck.
Le noir attrape la main de Jessie et la traîne pratiquement jusqu'au motel. Dès qu'ils entrent dans la chambre, il la pousse sur le lit et se déshabille rapidement. Puis il grimpe entre ses jambes et enfonce sa queue dans la chatte de l'enseignante.
Ce premier client est le pire pour Jessie. Maintenant elle est officiellement une pute, une salope d'esclave utilisée par les hommes.
Une larme coule sur sa joue alors que le grand noir la pilonne. Il ne faut pas longtemps avant qu'il explose dans son ventre. Jessie ne jouit pas et ne s'en approche même pas. Le traumatisme d'être une prostituée est trop présent pour qu'elle ait un orgasme. Quand l'homme se retire il désigne son sexe dégonflé et ordonne :
- Nettoie ça putain! Je ne veux pas de ton jus de chatte sur ma bite alors que je rentre chez moi retrouver ma femme.
Jessie n'hésite pas et glisse sur le lit pour lécher sa queue et nettoyer ses couilles.
Dix minutes plus tard, elle est de retour dans la rue. Buck est assis à l'extérieur du motel sur une chaise de jardin. Il regarde sa nouvelle gagneuse prendre sa place le long du mur. Il sourit. Presque aussitôt, une voiture s'arrête sur le parking et deux hommes en sortent. Ils avancent jusqu'à Jessie et parlent quelques minutes. Puis ils vont tous les trois au motel.
C'est ainsi que se passe la soirée de Jessie. A onze heures, Buck l'attrape alors qu'elle quitte la chambre.
- Bravo salope, tu as gagné 750 dollars, c'est pas mal pour une première soirée. Demain ça sera mieux , car la nouvelle se sera répandue. Voici ta part et voici celle de John.
L'homme lui tend deux enveloppes. Elle jette un coup d'œil dans la sienne et ne voit que 150 dollars. Elle a baisé avec quinze hommes pour seulement 150 dollars. Il lui faudra de semaines voire des mois pour gagner assez d'argent pour l'éducation des enfants. Jessie hoche la tête et demande :
- S'il vous plaît Monsieur, puis-je avoir autre chose à porter pour rentrer à la maison?
Buck éclate de rire et lui lance un vieux débardeur sale et troué.
- Tu peux porter ça. Peut-être que la prochaine fois, John te laissera tes vêtements.
Jessie enfile le débardeur et se sent encore plus vulgaire que dans sa tenue de pute.
- S'il vous plaît Monsieur, comment puis-je rentrer à la maison? Je ne sais pas où je suis. Demande Jessie en priant pour qu'il la raccompagne en voiture.
- Je me fous de savoir comment tu vas rentrer. Appelle un taxi ou marche jusqu'à l'arrêt de bus. Le 49 t'emmènera peut-être près de chez toi.
Jessie grimace à l'idée de prendre un bus, alors elle entre dans le motel et appelle un taxi.
Il est juste minuit quand enfin elle passe la porte d'entrée de chez elle. Marcus est déjà attaché sur le sol de la chambre et il ronfle légèrement. Elle le regarde et se met à pleurer. Il n'a rien demandé et à cause de son désir d'être dominée, ils sont tous les deux des esclaves sans espoir de retrouver leur vie normale. Elle enjambe le corps de son mari et se dirige à la salle de bain pour prendre une douche.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours