Texte de Verovidecouilles
Début du chantage de la belle-mère.
Je m’appelle Véronique, et j’ai décidé de vous raconter ma plongée dans le vice avec mon beau-fils qui peu à peu m’a faite devenir la traînée consentante que je suis aujourd’hui, au sens strict du terme.
Pour me décrire brièvement, j’ai 38 ans, je mesure 1,69m pour 59kg, je suis élancée, j’ai des yeux bleus avec des cheveux châtains foncé et mes seins font du 90C. Ils sont un peu lourds et encore fermes pour mon âge, et j’en suis ravie. Pour mon look, il est très BCBG. Normal, je suis la femme d’un haut fonctionnaire à la préfecture de Paris de 55 ans, Guy. Je l’ai épousé sans véritable amour, mais plus pour sa situation sociale, et il m’a épousée sans véritable amour, juste parce que je présentais bien et que j’acceptais les rapports sexuels un peu débridés, c’est-à-dire que je suçais (mais sans avaler, et pas d’éjaculation à l’intérieur de ma bouche !) et que j’acceptais de me faire prendre en levrette pendant que mon mari me parlait en termes très crus. Ça m’excitait d’ailleurs toujours un peu. Par contre, pour ce qui était de la sodomie, mon refus était à l’époque catégorique (les choses ont bien changé depuis…).
Bref, rien d’époustouflant, une maîtresse correcte, sans plus. Et puis il faut dire que je n’avais guère l’occasion d’exercer mes talents, car mon mari travaillait près de 60 heures (parfois plus) par semaine, et à son âge en plus de la fatigue, l’appétit sexuel n’était que rarement au rendez-vous. Sans compter qu’il était souvent en déplacement. Il avait donc bien profité de moi au début de notre relation puis il m’avait délaissée. Mes besoins sexuels étant tout de même importants, j’avais toujours un amant de passage qui me sautait de temps en temps et avec lequel je n’entretenais que des relations sexuelles très ordinaires. C’est par l’un d’eux que tout commença.
Ayant un après-midi de RTT à prendre, j’étais rentrée à la maison avec un médecin que j’avais rencontré dans le cadre de mon travail (je suis assistante de direction auprès du directeur d’un hôpital) en sachant pertinemment que mon mari serait absent, tout comme le serait Rémy, son fils.
Rémy, 24 ans, était l’enfant unique issu du précédent mariage de Guy et de sa première femme. Sa mère étant allée habiter dans le sud de la France, suite à leur divorce survenu trois ans auparavant, Rémy était resté vivre chez son père, ce qui lui permettait de suivre des études de philosophie à la Sorbonne. C’était un élève honorable mais sans plus, dont les capacités étaient certainement gâchées par la vie très « étudiante » qu’il semblait mener. Il découchait souvent, sentait l’alcool alors qu’il était l’heure du petit-déjeuner et à vrai dire, je ne l’ai jamais vu avec un livre à la main. Mais il était charmant, il avait le regard un peu dur tout en gardant une douceur juvénile dans le visage. J’adorais la façon dont il me regardait, je me sentais très femme dans ses yeux, même si j’étais un peu choquée de ses regards un peu trop appuyés parfois. A plusieurs reprises, je le surpris en train de tenter de regarder sous mes jupes (je ne porte qu’exceptionnellement des pantalons).
Donc, je me croyais seule avec mon gentil médecin que j’avais obligeamment invité dans le lit conjugal et après l’avoir sucé un peu pour faire apparaître sa belle bite, dont la vue me faisait toujours instantanément mouiller, il m’avait enfilé en levrette, comme j’aime. Sa pine me limait bien à fond, je la sentais frotter contre mes parois abondamment lubrifiées et je commençais à gémir de plaisir. Au bout de quelques minutes, la porte de la chambre s’est ouverte brusquement, Rémy a dit :
- Souriez !
Puis un flash, et encore un second. Ni mon amant ni moi n’avions eu le temps de réagir, à peine réalisions-nous ce qui venait d’arriver. Rémy, mon beau-fils, venait de prendre deux clichés de nous, avec moi à quatre pattes, la jupe troussée, la culotte à mi-cuisse, les cheveux ébouriffés et la queue de mon amant dans le vagin.
J’ai aussitôt fondu en larmes en pensant aux conséquences (nous avions avec Guy un contrat de mariage très serré, un divorce serait fatal à mon train de vie). Je me suis rhabillée, j’ai mis mon amant dehors, puis je me suis mise en devoir d’aller parler à Rémy. J’ai frappé à la porte de sa chambre et il m’a dit d’entrer. Il était affalé sur le lit et il tripotait en souriant un appareil photo numérique. Je me suis assise sur le bord du lit. Nonchalant, il m’a demandé ce que je voulais. J’ai commencé à lui expliquer que les relations avec son père n’étaient pas toujours facile, mais que cela ne changeait rien aux sentiments que j’éprouvais, qu’il ne fallait pas tout confondre, etc… Mais mon baratin pathétique fut brutalement interrompu par un violent « ferme-la !! » que me lança Rémy. Il reprit :
- Les raisons pour lesquelles tu fais mon père cocu, je m’en tape ! La seule chose qui m’intéresse, c’est que j’ai maintenant toutes les cartes en main pour pouvoir te baiser à ma guise. Ça fait trois ans que tu me fais bander comme un âne et que je me branle en pensant à toi, alors maintenant tu vas passer à la casserole! Allez, fais-moi voir ta chatte !
Je suis restée interdite non seulement par sa vulgarité, mais aussi par l’aveu soudain (et flatteur, il faut l’admettre) qu’il venait de me faire. Quoique émoustillée, il n’était pas question que je cède à son chantage. Mais son regard était déterminé.
- Dépêche-toi ! A-t-il insisté.
Naïve, je pensais sur le moment pouvoir m’en tirer à moindres frais et j’ai ouvert légèrement le compas de mes jambes. D’une main autoritaire il m’a fait accélérer le mouvement, puis il a remonté ma jupe très haut sur mes cuisses. Il a eu rapidement une vue imprenable sur ma culotte blanche transparente qui ne cachait rien de ma toison pubienne que je n’épilais pas et que j’avais assez abondante.
- Oh! Quelle belle chatte de pute ! S’est-il exclamé, ravi.
Au lieu de m’offusquer, son commentaire salace et insultant m’a flatté et j’ai souri. Puis il a posé sa main sur mon entrejambe et a fait glisser mon petit slip sur le côté pour touiller délicatement ma vulve avec deux doigts. J’ai été prise de panique, car ma chatte s’est mise aussitôt à dégouliner : il allait s’en apercevoir, c’était sûr… Effectivement, il m’a regardé de manière narquoise :
- Tu as la chatte toute gluante, ma chère Véro… Elle réagit bien, ce doit être un bonheur de gicler dans ce petit nid douillet…
Pendant qu’il me disait ça, il faisait des allers-retours dans mon vagin, agaçait mon clito de ses ongles, puis replongeait dans mon trou béant et trempé. Je me mordais la langue pour ne pas crier.
- Ahh! Véronique, tu m’excites! Tiens, salope ! T’as gagné le droit de me sucer! Me dit-il en sortant son sexe.
Décidément, je n’en croyais pas mes oreilles. Ce jeune homme que je croyais charmant, même s’il était un peu chien fou, se révélait être un garçon autoritaire qui en m’insultant (ce qui me fait toujours mouiller) me demandait de le sucer.
Hésitante, j’ai tout de même écarté les cuisses un peu plus et, timidement, j’ai tenté :
- Si je fais ce que tu demandes… Tu me rendras les photos, dis ? Si… je te… suce…
J’étais morte de honte de me prêter à ce jeu et d’employer un tel vocabulaire, mais encore une fois, j’espérais m’en tirer à bon compte, et une petite pipe n’a jamais tué personne.
- Bien sûr que je te les rendrais, si tu es gentille. M’a-t-il répondu perfidement.
Cela m’a un peu rassuré et j’ai donc posé mes yeux sur sa verge qu’il exhibait fièrement. Et il y avait de quoi ! Son père était déjà pas mal monté, mais là ça n’avait rien à voir. Depuis cette époque j’en ai vu des dizaines et des dizaines de bites, mais jamais une qui ressemblait à celle de Rémy. Une bite presque étrange, pas très longue mais épaisse, très épaisse (en bonne salope, je l’avais mesurée quelque temps après pendant une pause dans nos ébats : 16 cm de long sur 21 cm de circonférence ce qui fait presque 7cm de diamètre !). Du coup, elle ressemblait à ces saucissons d’Auvergne que l’on trouve en supermarché.
J’étais fascinée par la grosseur et l’aspect de cette bite, gonflée à bloc et les veines saillantes. Je l’ai prise dans ma main, mais j’étais bien loin de pouvoir l’entourer. Elle était impressionnante et j’ai frissonné en pensant que j’allais devoir l’engloutir dans un instant. Cependant une douce chaleur a parcouru mon ventre. Je me suis penchée, les jambes toujours écartées sur le bord du lit, et après avoir léchouillé le gland, je l’ai gobé en entier. Il était gros, il me remplissait complètement, mais je l’avais en entier dans la bouche et j’étais très fière de mon exploit. Sa bite était chaude et palpitante dans ma bouche et j’ai commencé à me caresser l’entrejambe en mettait le majeur dans mon vagin.
De mon autre main, j’ai commencé à soupeser ses couilles. Elles étaient lourdes également et leur poids m’a excité. Puis Rémy m’a appuyé sur la nuque et son gland est venu buter doucement contre le fond de ma gorge. Je n’ai pas pu réprimer un haut le cœur et je me suis dégagée vivement. Rémy m’a regardé d’un air sévère et, les larmes aux yeux, je me suis empressée de reprendre sa belle queue dans ma bouche.
Je fais ici une parenthèse pour vous dire qu’en réalité (j’eus de nombreuses occasions d’expérimenter par la suite, croyez-moi) on ne peut pas vraiment sucer une queue comme celle-là, je veux dire pas dans le sens classique du terme, c’est-à-dire avec des va-et-vient ascendants le long de la tige. Une queue comme celle de Rémy, ça se tète plus qu’autre chose, comme une grosse sucette. On se cale le gland aussi loin que possible en essayant de bouffer le plus possible du reste de la queue, et on tète (au besoin avec les muscles de la gorge) jusqu'à ce que la bite crache sa bonne purée tiède.
Après quelque temps avec Rémy et depuis, je ne sais plus sucer les hommes que comme ça: je ne m’active pas vraiment sur la bite qu’on me présente, je la tète comme la pute avide de foutre que je suis. Sucer - téter devrais-je donc dire – la bite des hommes et avaler leur jus est en matière de sexe la chose que je préfère, et ce fut grâce à mon beau-fils que je découvris mon amour du sperme.
Mais pour l’heure je n’en étais pas encore là. N’ayant pas encore pris la mesure des dimensions de l’objet je m’échinais à vouloir le sucer comme on le fait avec une queue plus normalement proportionnée. Du coup, mes dents frottaient le gland à presque chaque passage de mes lèvres.
- Tu vas t’appliquer, oui ou merde ? T’appelles ça une pipe ? T’as vachement intérêt à faire des progrès, c’est moi qui te le dis !
Je m’appliquais au mieux et je finis par vaincre mes hauts le cœur. Déjà des progrès ! Ce ne devait d’ailleurs pas être si mal puisque Rémy a grogné « tiens, bouffe salope » tandis que j’avais sa queue bien au fond de la gorge. Un jet chaud est venu s’écraser contre ma luette. Effrayée (je détestais qu’on jouisse dans ma bouche!) je me suis retirée et j’ai vu son éjaculation venir s’écraser sur les draps. Pour ma part, je recrachais ce que j’avais pris dans la bouche puis, radieuse en pensant m’en être correctement sortie, je levais les yeux vers Rémy. Je reçus au même moment une gifle violente.
- Incroyable! La putain ose recracher mon foutre…
Le regard de Rémy était bouillant de colère, je me suis mise à pleurer. Lorsqu’il m’a attrapée par les cheveux, j’ai hurlé de peur mais Rémy m’a ordonné :
- Ta gueule! Pour qui te prends-tu ? Tu crois que je ne t’ai pas vue te doigter la chatte pendant que tu me pompais ? Tu crois pas que je n’ai pas vu quelle salope tu es ? Et maintenant madame fait la dégoûtée ? Je vais t’apprendre, moi ! Je te rendrais ces photos si tu es gentille, j’avais dit. Eh bien pour ça, va d’abord falloir que tu t’habitues à avaler mon sperme ! Et on va commencer pas plus tard que maintenant.
Rémy m’a tirée par les cheveux pour amener mon visage au-dessus de la flaque de sperme répandue sur les draps.
- Lèche ! A-t-il ordonné.
La situation m’excitait, je me sentais proche de l’orgasme sans pouvoir y parvenir, ma chatte me chauffait. Encore en larmes, guidée par Rémy qui me tenait toujours par les cheveux, j’ai obéi et j’ai léché avec application chaque trace de son sperme qui avait déjà refroidi (à ma grande déception je l’avoue, car le peu de son sperme chaud que j’avais eu dans la bouche m’avait beaucoup plu). Pourtant, après quelques instants, Rémy n’avait même plus besoin de me tenir la tête, j’allais de moi-même chercher toutes les traces de sperme pour les nettoyer soigneusement avec ma langue. Rémy s’en est aperçu et a sauté sur l’occasion pour m’humilier un peu plus :
- ça suffit comme ça, salope, tu t’es assez bâfrée pour aujourd’hui…
Il m’a fait lécher le bout de sa queue où une goutte perlait et m’a jetée dehors en me disant :
- T’inquiète pas, du foutre, t’auras l’occasion d’en avaler, jusqu’à l’indigestion… Sois patiente !
Sur ce, il m’a claqué la porte au nez.
Dans le couloir, je ruisselais, ses dernières paroles avaient provoqué dans ma chatte un torrent de mouille. Je filai vers ma chambre et je me branlai à même le sol, adossée contre la porte, ma chatte bien écartée. J’eus un orgasme fulgurant bientôt suivi par un deuxième, moins violent mais plus long. Un peu calmée, j’ai eu tout de suite peur de m’être trahie en gémissant de plaisir. Puis je me suis dit que peu importait, dans la mesure ou j’allais mettre fin à ce petit chantage dans les plus brefs délais.
Le lendemain, un dimanche, alors que mon mari était sorti, Rémy s’est présenté vers 9 heures pour le petit-déjeuner, une heure bien inhabituelle pour lui… J’étais dans la cuisine en train de tout préparer, vêtue d’un peignoir rose très échancré et un peu transparent. A mon passage, Rémy a glissé sa main sous mon peignoir pour se rendre compte que j’étais nue dessous.
- Pas de culotte ? Bonne initiative… M’a-t-il lancé, railleur.
Je me suis esquivée, ne sachant pas quoi répondre.
- C’était pas mal, hier, mais ce n’était même pas le début du commencement. Il y en aura des étapes pour gagner tes galons de pute et récupérer tes photos. Pour commencer, aujourd’hui, tu vas goûter à mon foutre, mais directement à la source cette fois. Ce sera ton petit-déj’ de chienne. Je vais finir de déjeuner, puis tu auras l’autorisation de me sucer. Tu vas attendre à quatre pattes sur le carrelage de la cuisine en attendant que je vienne te donner à manger. Allez !
Rémy entamait un croissant pendant que je le regardais, abasourdie. J’ai tenté de protester mais Rémy m’a jeté un regard dur en disant que je n’avais aucune clémence à attendre de sa part, qu’il allait faire de moi son objet, sa pute soumise et qu’à la fin je finirais par le remercier.
- Tu vas adorer, j’en suis sûr.
J’insistais :
- Je t’en prie, Rémy, pas ça, ne m’oblige pas à faire ça.
- Pourquoi, tu ne le fais jamais, tu n’as pas aimé y goûter, hier ?
Dire « non » aurait été mentir et en ce moment même je me sentais mouiller à nouveau. Je n’ai pas répondu, mais j’ai encore supplié d’être épargnée de ce qui m’apparaissait comme étant quelque chose d’écœurant (mais dont je raffole maintenant!).
- Tu supplies? Ça ne sert à rien, mais ce n’est pas une mauvaise idée. Puisque tu mets si peu d’empressement à m’obéir, non seulement tu vas faire ce que je t’ai demandé, mais en plus tu vas me supplier bien servilement pour pouvoir me vider les couilles.
Ses paroles crues ont fait chavirer mon esprit et abandonnant la lutte (victoire par K.O. du corps sur la raison) je me suis mise en levrette, les jambes bien écartées et mon peignoir sur les reins. Ma pose était parfaitement obscène. J’étais humiliée mais cette soumission commençait à me plaire. Et puis les images de sa belle queue me revenaient à l’esprit et me faisait mouiller encore un peu plus. En fait, je me rendis compte que je brûlais d’impatience d’avoir la bouche remplie.
Rémy m’a ordonné d’ouvrir la bouche et de tirer la langue en m’interdisant formellement de la rentrer, sans quoi il allait porter directement les photos a son père. J’avais ainsi tout de la posture d’une chienne. Mon nouveau maître prit tout son temps et sirota longuement son café en fumant deux cigarettes d’affilée. Ses yeux restaient fixés sur moi afin de juger de mon obéissance. Moi, à force d’avoir la langue tirée et de ne pouvoir la rentrer pour avaler ma salive, je me mis à baver sur le carrelage de la cuisine. Ce jeu dura de longues minutes au cours desquelles il arborait un sourire vicieux. Je compris qu’en effet je ne devais attendre aucune pitié de sa part, et de me sentir ainsi livrée à son esprit que je devinais très pervers m’enchanta.
Il a écrasé sa cigarette et a sorti sa queue bandée de son caleçon. J’en ai frémi de désir.
- Je t’écoute. M’a-t-il dit.
- Quoi ?
- Tu veux ton petit-déjeuner ?
- Ou… Ou… Oui…
- Eh ben alors, faut demander, petite chienne !
Mon envie était trop forte. J’ai demandé :
- Est-ce que je peux te sucer ?
- Juste me sucer ?
- No… non, avaler ton sperme aussi…
- Je préfère que tu dises « me vider les couilles », comme la bonne chienne que tu es, allez demande correctement !
- Est-ce que ta chienne peut te vider les couilles et tout avaler, s’il te plaît…
- T’as faim, hein, sale chienne ?
- Oui, je t’en prie, donne-moi à manger.
- Ok !
Je n’en revenais pas d’avoir prononcé des mots aussi orduriers, mais le fait est que j’avais vraiment envie de le sucer jusqu’au bout. J’adorais la manière dont il me traitait. Instinctivement, j’ai marché à quatre pattes jusqu’à sa verge et au moment où j’ai embouché sa large queue, j’ai gémi de bonheur, sans pouvoir me retenir. J’ai commencé à le pomper en creusant bien mes lèvres, en me l’enfonçant le plus loin possible dans la gorge, à téter son gland. Il a semblé apprécier cette caresse qu’il a commentée par les propos les plus crus :
- Oh! Tu me fais du bien, petite chienne ! Vas-y continue comme ça… tu suces comme seule une pompe à jus de ton espèce sait le faire… Bonne salope, tête moi bien la queue… Oui… Encore… Ouhh ! Ça y est, je vais te juter dans la gueule… Je sens que ça vient… Haannn! Tiens, régale-toi.
Avide, je n’avais pas lâché son gland une seule seconde, l’aspirant au maximum quand d’un coup, le jus promis est arrivé, épais et crémeux. J’ai adoré le goût et la consistance et j’ai fermé les yeux pour mieux savourer, avalant au fur et à mesure tout ce que Rémy déversait dans ma bouche. Et il y en avait ! Un instant, j’ai même cru qu’il me pissait dans la gorge, mais non, c’était toujours aussi épais et salé, et je m’en délectais. Quand il a cessé de se répandre, il me semblait avoir bu l’équivalent d’un bol de foutre, et j’étais très fière de moi. Rémy m’a fait lécher les dernières traces de sperme sur son gros gland.
Toujours à quatre pattes, l’esprit vide (mais l’estomac plein !) je me suis tournée et oubliant toute pudeur, je lui ai présenté mes orifices. Il a eu un rire moqueur et m’a renvoyé dans ma chambre en me donnant (pas trop fort) un coup de pied dans les fesses et en me disant qu’il ne fallait pas que je compte sur lui pour branler ma chatte de chienne mal éduquée, et que la prochaine fois, je tâcherai d’être polie et de le remercier de m’avoir permis d’avaler son sperme, au lieu de vouloir me faire saillir comme la chienne en rut que j’étais. Oui j’étais en chaleur et ses paroles salaces ne faisaient que m’exciter davantage. En moi-même, je me jurais de lui obéir, sachant d’ores et déjà que je ne pourrais plus jamais me passer de boire son foutre si onctueux. Pour l’heure, je me branlais en me réjouissant du goût de son sperme qui m’envahissait la bouche.
A suivre…
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