Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
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Le week-end commence.
Christy raccroche et se dirige vers son placard. Entendre Kévin l'a secouée. Tout a commencé innocemment il y a quelques années. C'était un bel homme et il était poursuivi par toutes les filles. Christy fut sur un nuage quand il décida de sortir avec elle. Toutefois les choses changèrent rapidement après qu'ils aient fait l'amour une première fois .
A chaque fois ensuite le garçon lui fit faire des choses de plus en plus humiliantes avant de la baiser. Au point qu'elle en arriva à se présenter chez lui plutôt qu'il vienne la chercher. Et elle n'était autorisée à porter qu'un manteau et des chaussures. Quand il est parti à l'université, elle baisait chaque personne qu'il lui ordonnait. Christy était devenue une salope soumise. Elle frissonne quand elle se rappelle de leur fête de remise des diplômes. Elle avait bien essayé de lui résister une fois, mais il lui avait dit qu'il avait des photos et des vidéos et que si elle refusait de faire ce qu'il disait, il montrerait tout.
Du coup, l'idée de refuser quelque chose à Kévin ne lui est plus jamais venu à l'idée. Elle ferait tout ce qui lui dirait et il le savait. Peu importe qu'il 'expose plus. Après la fête de remise des diplômes, tous ses camarades savaient qu'elle était sa salope soumise.
Christy regarde l'heure. Il lui reste plus d'une heure avant de partir pour la maison des parents de Kévin. Elle sort plusieurs jupes et hauts qu'elle jette sur son lit. Les trente minutes qui suivent elle essaie ses vêtements pour essayer de trouver la combinaison qui réponde aux exigences de son maître.
Christy se présente à la maison des parents de Kévin avec une bonne avance de quarante-cinq minutes. Elle frappe et c'est le père, Marcus qui ouvre la porte. Il est surpris quand il la voit. La jeune fille se retient de rire quand elle voit l'homme habillé avec un soutien-gorge, une petite culotte, des bas et des chaussures à talon.
- Heu... M. GRABAS, je dois voir Kévin ici. Bégaie-t-elle.
Marcus gémit et répond :
- Entre s'il te plaît. Il n'est pas encore là, mais il devrait bientôt arriver. Dit Marcus en lui désignant le salon et en lui demandant de s'asseoir pour attendre.
Christy essaie de ne pas le regarder et se contente de hocher la tête. Elle se dirige vers une chaise sur le côté et s'assoit. Marcus se met sur le canapé juste en face d'elle et est récompensé par une vue dégagée sur la chatte nue sous la jupe de la jeune fille.
Celle-ci rougit tout en s'assurant que ses jambes sont écartées. Elle sait qu'elle montre son intimité. Mais comme le père de Kévin porte de la lingerie elle sait qu'il ne lui dira pas qu'elle ne s'est pas assise correctement. Ils restent silencieux pendant quelques minutes avant que Marcus se lève et dise :
- Je suis désolé Christy, mais j'ai d'autres choses à faire. S'il vous plaît, installez-vous confortablement et si vous voulez quelque chose, demandez-le simplement.
Marcus sort de la pièce et se dirige vers le bureau. Rapidement il connecte l'ordinateur et s'agenouille en attendant l'arrivée de Maître X.
- Que veux-tu esclave? Beugle Maître X.
- S'il vous plaît Maître, puis-je changer de tenue? Mon fils Kévin a demandé à une de ses amis de venir ici et j'ai dû lui ouvrir la porte avec les sous-vêtements féminins. S'il vous plaît, puis-je mettre un pantalon et une chemise. Plaide Marcus.
- Pourquoi pas esclave! Jessie t'a mis des vêtements dans un sac dans votre armoire. Mais n'oublie pas de suivre les règles.
- Oui Maître! Merci Maître! Dit Marcus avant de sortir du bureau pour aller s'habiller.
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Kévin regarde sa montre et sourit. Il vient de quitter l'université avec le colis que lui a laissé Maître X. Il a passé la précédente demi-heure à regarder tout ce qui se trouvait dedans. Il a d'abord sorti le téléphone et l'a allumé. Ensuite ce fut l'oreillette et bientôt il entendit la voix de Maître X.
- Bonjour Kévin. Dit calmement Maître X.
- Bonjour Maître, je viens de récupérer le colis et je suis sur le chemin de la maison de mes parents. Répond Kévin.
- Bien, j'espère que tu as fait tout ce que je t'ai dit? Demande l'homme tout en sachant que c'était fait.
- Oui Maître X, j'ai fait tout ce que vous avez commandé. En fait, Christy doit déjà être chez mes parents maintenant.
- Excellent! Maintenant rentre chez toi et prends la en main. Dit Maître X avant de raccrocher.
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Marcus ouvre la sac pour en sortir ses vêtements pour la soirée. A l'intérieur se trouve un pantalon en caoutchouc extensible, un débardeur en lycra et une paire de chaussures plates de sa femme. Il gémit et une larme coule sur sa joue.
- Mon Dieu, je pleure encore, qu'est-ce qui se passe? C'est embarrassant, mais je ne peux pas m'arrêter de pleurer. J'aimerais que Maître John soit ici pour me dire quoi faire. Je n'ai pas eu de ses nouvelles aujourd'hui. Sa queue me manque. Peut-être que je peux le chercher pour le sucer? Je dois sucer une bite! Dit Marcus en se parlant à lui-même et en s'habillant.
Quand Marcus se lève et se regarde dans le miroir, il est ravi par ce qu'il voit. Le pantalon moule ses jambes et son cul. Le haut moulant aussi indique clairement qu'il porte quelque chose en dessous et on voit bien que c'est un soutien-gorge. Les vêtements ne crient pas que se sont des affaires féminines, mais les chaussures si. Marcus sait qu'il va être ridicule devant ses enfants et il ne peut rien y faire.
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Quand Kévin passe la porte d'entrée il est récompensé par la belle vue sur la chatte sans poil de Christy. Elle est toujours assise dans le fauteuil, les jambes écartées. Sa jupe est remontée au point de n'être plus qu'une ceinture autour de sa taille. Elle rougit mais Kévin sait que c'est plus d'excitation que de gêne. Il arrive à lire en elle comme un livre. Une fois qu'elle lui avait cédé et commencé à obéir à ses ordres, il n'en fallut de rien pour qu'elle devienne son esclave.
- Hello! Il y a quelqu'un ici? Crie Kévin.
Il entend son père lui répondre depuis le couloir :
- J'arrive mon fils, je change de vêtements. Dit Marcus en enfilant ses chaussures et en prenant son courage à deux mains.
Kévin se dirige vers son esclave tremblante d'excitation assise sur la chaise. Il fait glisser ses doigts sur son visage et prend son menton dans sa main.
- C'est bon de te voir esclave. As-tu été sage pendant mon absence? Ou as-tu pensé que c'était fini? Souviens-toi que je sais tout, donc tu ferais mieux de me dire la vérité. Dit Kévin doucement à son oreille.
- Je suis désolé Maître, je pensais que vous m'aviez oublié. Je suis sorti avec Jamal un de nos anciens amis. Vous vous souvenez de Jamal? Dit Christy d'une voix tremblante, en priant mentalement de ne pas être punie.
Kévin sourit.
- S'il vous plaît Maître, vous ne m'avez pas appelé depuis des semaines et des mois. Je pensais que notre relation était terminée. Je ne savais pas que vous vouliez continuer. S'il vous plaît Maître, ne me punissez pas. Supplie-t-elle.
Kévin se moque bien de ce qu'elle a pu faire. Il veut juste voir si son emprise sur elle est encore bien installée. Mais il va la punir quand même, il veut qu'elle souffre. Le garçon tend la main, pince et tord les mamelons de la jeune fille jusqu'à ce qu'elle halète de douleur.
Marcus entre dans le salon et voit son fils maltraiter Christy. Immédiatement sa queue se redresse. Il voit une très jolie femme, la jupe autour des hanches, la chatte bien en vue. Son fils lui pince les tétons si fort que son visage grimace de douleur. Marcus observe la scène attentivement, mais ce n'est pas Christy qui retient son attention. C'est le comportement dominateur de son fils et le contrôle qu'il a sur la jeune fille. Marcus voudrait être Christy et être humilié par son fils.
- Tu profites du spectacle papa?
La voix de Kévin sort Marcus de ses pensées :
- Hé fils! Peut-être devrais-tu faire ça en privé.
Kévin regarde son père et remarque la bite dure qui ressort dans le pantalon moulant. Il rit intérieurement de la façon dont son père est habillé. Il laisse Christy et se tourne vers Marcus.
- Papa, qu'est-ce qui se passe? Et que portes-tu? Mais ce sont les chaussures de maman? Mon Dieu papa, y a-t-il quelque chose que je dois savoir? Demande Kévin en commençant à rire.
Marcus lève les yeux vers son fils et commence à dire quelque chose quand Kévin attrape le bras de Christy et la tire avec lui dans les escaliers. Il regarde son fils emmener la femme presque nue dans sa chambre à coucher, une main sur le bras, l'autre tripotant son cul. L'esprit de Marcus revient à l'idée de se soumettre à son fils dominant.
Kévin tire Christy dans les escaliers et la stoppe dans le couloir de l'étage, quand il est hors de vue de son père.
- Arrête esclave! Je veux que tu te déshabilles ici et maintenant. A moins que je te dise autre chose, tu vas rester nue. Si tu veux te rhabiller, assure-toi alors que je sois content de toi. Commande Kévin avec des yeux sévères.
Maître X voit tout par l'intermédiaire des caméras de la maison. Mais il sait qu'il ne peut pas commenter la scène sinon Kévin va se demander comment il sait. Alors il parle au garçon en passant par l'oreillette.
- Kévin, pourquoi ton téléphone n'est pas dans ta poche avec la caméra allumée pour que je puisse regarder?
Le garçon s'arrête net. Il a oublié une des règles. Il met alors le téléphone dans sa poche, l'objectif tourné vers l'extérieur. A ce moment, Christy est nue, ses vêtements étalés sur le sol.
Quelques secondes plus tard, l'image transmise par le téléphone arrive à Maître X qui dit :
- C'est bon esclave. Je ne retiendrai pas cette infraction. Mais à moins que tu ne veuilles sucer la bite de ton père, tu ferais mieux de ne pas enfreindre une autre règle. Aboie Maître X.
Kévin marmonne un « désolé » et tire Christy dans son ancienne chambre. La peur et l'excitation se reflète sur le visage de la jeune fille et tout son corps rougit. Dès que Kévin a fermé la porte, Christy se met à genoux et dit :
- S'il vous plaît Maître, que doit faire votre esclave pour vous plaire?
Christy aime et déteste à la fois les mots qui s'échappent de sa bouche.
Maître X veut pousser la jeune fille plus profondément dans la soumission alors il parle à Kévin dans l'oreillette :
- Fais-la se mettre à quatre pattes et demande-lui de te demander de l'enculer. Et ne sois pas doux pour le faire.
Kévin répète les mots entendus et Christy se précipite pour se mettre en position.
- S'il vous plaît Maître, prenez mon cul. S'il vous plaît, enfoncez votre merveilleuse bite dans mon cul profondément. J'ai besoin de votre sexe et j'en ferai ce que vous voudrez. Demande Christy.
Kévin et Maître X sourient aux supplications tandis que le jeune garçon s'évertue à libérer sa queue. Il sait par expérience que ça va être douloureux pour tous les deux de la sodomiser sans lubrification. Il décide alors de s'enfoncer dans sa chatte dégoulinante pendant que ses doigts travaillent pour préparer le petit trou.
Christy gémit quand Kévin utilise sa chatte au lieu de son cul. Son corps accueille avec joie sa queue. Elle pousse en arrière pour avaler profondément le membre.
Kévin adore la façon dont elle essaie de prendre sa queue profondément dans son vagin. Alors il la baise sauvagement avec quelques coups de rein. C'est à ce moment qu'il arrive à enfoncer deux doigts dans son cul. Maître X désirant humilier encore plus la jeune fille, il demande au garçon de les retirer de son cul et de les enfoncer dans sa bouche.
Christy ne sait pas que les doigts sortent de son cul. Ce n'est qu'après les avoir goûtés qu'elle réalise où ils étaient. Elle lutte pour ne pas vomir alors que Kévin frotte ses phalanges sales sur la langue de son esclave. Christy vient juste de finir de nettoyer les doigts que Kévin se dégage de sa chatte et enfonce brutalement sa queue dans son cul.
- Oh mon Dieu Kévin, s'il te plaît soit gentil, s'il te plaît, s'il te plaît, vas-y doucement... Gémit Christy alors que le douleur est intense.
Maître X sourit et dit à Kévin :
- Maintenant Kévin, titille son clitoris tout en lui martelant le cul. Juste avant de jouir, retire-toi et gicle sur son visage. Puis mets ta bite dans sa bouche pour qu'elle la nettoie.
Kévin se regarde dans le miroir de l'autre côté de la pièce. Il se voit tous les deux, y compris sa chemise avec le téléphone dans la poche. Il sourit et hoche la tête pour signifier qu'il a compris.
Kévin continue à enculer son esclave. Il martèle son cul de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément, encore et encore, jusqu'au moment où ses couilles sont sur le point d'exploser. Il saisit les cheveux de la jeune fille et relève sa tête jusqu'à ce que son corps soit presque plié en arrière. Il lui murmure à l'oreille :
- Je vais marquer mon esclave avec ma semence. Je veux que tout le monde sache que tu es mon esclave. Tu laisseras mon foutre sur ta figure et tu nettoieras ma bite, salope.
Christy crie quand elle perd la bataille où elle essayait de ne pas jouir sans permission. Son corps en a décidé autrement. Chaque nerf est à vif alors qu'un orgasme la traverse. Kévin regarde sa soumise succomber à ses coups de bite. Alors il l'encule encore et encore, lui envoyant des vagues de douleur qui se combinent avec la jouissance et qui submergent l'esclave qui tremble.
Kévin sait qu'il ne va pas résister longtemps, car le cul de Christy enserre sa queue comme un étau.
Il se retire et fait se retourner la jeune fille. Puis il pointe son engin vers le visage de l'esclave presque comateuse. Après une semaine de chantage et d'humiliation constante, les couilles de Kévin débordent de semence. Jets après jets il recouvre la figure de Christy. Quand il s'est enfin vidé, il pousse sa bite en train de débander dans la bouche féminine.
Christy ne résiste pas. En fait, elle souhaite nettoyer l'organe étonnant qui vient de satisfaire son corps. Elle l'avale et passe sa langue autour de la hampe. Elle s'assure be bien nettoyer la bite.
Il faut environ une dizaine de minutes avant que l'un ou l'autre puisse bouger ou parler. Puis Kévin se dirige vers son sac et en sort un collier de chien rose. Il est assez large avec des boutons en argent et un anneau sur le devant. Christy ne dit rien et ressent même un peu de fierté d'être maintenant l'esclave officielle de l'homme. Kévin sourit depuis la première fois qu'elle le voit. Elle l'aime quand il montre son côté humain. C'est son côté dominateur maléfique qu'elle déteste, mais dont elle ne peut se passer.
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Jessie est chez M. ASH. Elle est arrivée deux heures plus tôt et elle regarde l'horloge en priant pour que le temps chez son voisin dégoûtant se termine. Son corps est couvert de sperme, car non seulement il a utilisé tous ses orifices disponibles, mais il a également veillé à ce que ses deux neveux soient également présents pour profiter de la mère de famille nue d'à côté. Jessie n'avait aucune idée de qui ils étaient, mais elle a seulement fait tout ce qu'on lui ordonnait et elle a satisfait les trois comme bon leur semblait. Les deux garçons viennent de partir en la laissant seule avec le gros voisin sale,
Robert ASH n'en a pas cru sa chance quand il est allé à l'autre bout de la ville la semaine dernière. Il avait vu Jessie et son mari se soumettre à John le voisin de l'autre côté de la rue, ainsi qu'à d'autres ces dernières semaines. Il avait pris des dizaines de photos et était sur le point de faire chanter la famille quand il l'avait vu au coin de la rue en train de vendre son corps. Robert avait presque joui quand il l'avait vu. Elle était presque nue,
Les deux jours suivants, il s'était rendu au même coin de rue pour prendre des photos de sa voisine en train de se prostituer. Il se caressait la queue en imaginant comment la mettre à genoux devant lui. Le troisième jour, Robert était le premier à attendre que Jessie quitte l'université et arrive au coin de rue. Il a adoré quand elle l'a reconnu, son visage affichant la honte qu'elle ressentait. Il a pensé que ça valait bien la peine de dépenser 150 dollars pour abuser d'elle. Il a même réussi à prendre des photos avec sa bite enfouie dans sa bouche, sa chatte et son cul. Il sait que quand elle retournera chez elle, elle n'aura pas d'autres choix que d'être son esclave.
Maintenant, il lui reste encore une heure avec elle et il compte bien en profiter. Il avait invité ses neveux et tous les trois avaient profité de la professeure salope encore et encore. Ce que Jessie ignore, c'est que les neveux viennent de s'inscrire à l'université et qu'à partir de maintenant elle les verra tous les jours.
Robert sait qu'il n'arrivera plus à bander, mais il veut enseigner à la mère de famille une leçon de bonnes manières. Elle l'a giflé dans la rue devant les autres voisins et il veut qu'elle sache que c'est impoli et qu'elle ne doit jamais plus lever la main sur un homme.
- Bien salope, il est temps que je t'apprenne la discipline. Tu te souviens quand tu m'as giflé l'autre jour? Eh bien il est temps de payer pour ça. Maintenant lève-toi et penche-toi. Je vais te donner la fessée et je veux que tu comptes chaque coup. Et remercie-moi de t'apprendre les bonnes manières. Aboie Robert.
- Oui Monsieur.
Jessie grimace à l'idée de la fessée. Elle se demande combien de coups il va lui donner. Son corps est déjà bien douloureux après deux heures de baise intensive et de soumission. Elle ne sait pas si elle va pouvoir endurer plus. Elle tourne le dos au gros homme dégoûtant et elle se penche.
Elle se retrouve debout, pliée en deux, les mains sur les genoux, son cul nu couvert de sperme présenté à son voisin haï.
- Supplie-moi de t'apprendre les bonnes manières salope de prof! Exige Robert pour l'humilier autant que possible.
Jessie pleure ouvertement maintenant. Son esprit a du mal à digérer l'humiliation de devoir supplier d'être punie par son gros maître. « Oh mon Dieu, est-ce que je le considère comme mon maître? » pense-t-elle en se mettant à pleurer encore plus fort. A chaque fois qu'elle croie qu'elle ne peut pas descendre plus bas, il se passe une chose qui l'avilie encore plus.
- S'il vous plaît Maître ASH, punissez-moi d'avoir été impolie. Je suis désolé de vous avoir frappé et je mérite d'être fessée par mon Maître. S'il vous plaît Maître ASH, donnez-moi une fessée.
Robert ne peut plus attendre et il fait tomber sa ceinture sur le cul nu juste devant lui.
CLAC
Le bruit sec résonne dans la pièce alors que Jessie plie les genoux.
- AIEEEEEE! Crie-t-elle alors que la douleur est la plus intense qu'elle n'ait jamais ressentie.
- Un! Merci Maître de m'apprendre les bonnes manières. Coasse-t-elle.
CLAC, CLAC, CLAC, CLAC
Quatre autres coups tombent sur le cul qui rougit rapidement.
Jessie est pratiquement à quatre pattes alors que la douleur s'intensifie à chaque coup. Il lui faut presque une minute avant de pouvoir murmurer :
- Cinq! Merci Maître de m'apprendre les bonnes manières.
Robert continue d'abattre sa ceinture sur le cul presque à vif. Jessie crie en remerciant son voisin brutal qui la torture.
CLAC, CLAC, CLAC.
Jessie n'en peut plus et se laisse tomber à terre. Elle pleure de manière hystérique et supplie l'homme d'avoir pitié d'elle.
- Bien esclave! Seras-tu de nouveau impolie avec moi?
- Oh non Maître! Je ne vous refuserai plus rien. Je vous prie, arrêtez la fessée. Pleure la professeure.
- Il n'y aura pas de cadeau. Tu feras ce que je te commande et si je veux te fouetter le cul, tu accepteras et tu aimeras. Reviens demain à onze heures. Crie Robert en jetant la ceinture sur le côté avant de s'asseoir dans un fauteuil.
Jessie met plusieurs minutes avant de se relever. Quand finalement elle y arrive et commence à se diriger vers la porte, ASH l'appelle :
- Arrête salope, je veux admirer ton cul rouge. Lève-toi sur tes orteils et mets les mains derrière la tête.
Jessie obéit et attend qu'il la laisse enfin partir. Dès qu'il l'autorise, elle se précipite dehors par la porte de derrière et elle rentre lentement chez elle. « J'espère que les enfants ne sont pas arrivés, je ne sais pas comment je pourrais expliquer mon état » Pense Jessie.
Dès que Jessie est partie, Maître X appelle Robert pour s'assurer qu'il n'oublie pas ses instructions.
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Julie a réussi à rester debout après avoir inséré les boules de geisha dans sa chatte dégoulinante. Elle n'a jamais eu quelque chose comme ça enterré dans son sexe et elle n'a jamais marché la chatte remplie. Quand elle a fermé les jambes, elle a perdu son souffle lorsque les boules ont été poussées plus profondément en elle. Elle paniqua et pensa : « Oh putain, et si je peux pas les faire sortir? Que vais-je faire? Je ne peux pas aller aux urgences pour qu'on m'aide! »
Elle marche en gardant les jambes les plus écartées possible tout en portant le sac avec ses nouveaux jouets. Sa jupe est relevée au-dessus de sa chatte et comme elle garde les cuisses écartées elle ne peut la baisser. Heureusement il n'y a personne et elle arrive à sa voiture sans que personne ne la voit.
Elle s'assoit sur le siège conducteur, les jambes écartées. Elle glisse les doigts dans sa chatte et tire sur le cordon pour retirer les boules. Juste au moment où la première est sur le point de sortir, son nouveau téléphone vibre. Paniquée, elle tâtonne pour le trouver avant la troisième sonnerie.
- Oui Monsieur. Marmonne-t-elle.
C'est alors qu'elle remarque que ce n'est pas un appel normal , mais un appel vidéo. Le visage de Jason remplit l'écran.
- Tu ferais mieux de ne pas sortir ton nouveau jouet. Avertit-il avant d'ajouter :
- En fait, je veux que tu conduises et que tu te masturbes en même temps jusqu'à chez toi esclave.
- Oh, s'il vous plaît Maître, je ne peux pas conduire et me toucher en même temps. S'il vous plaît Maître laissez-moi sortir les boules jusqu'à ce que j'arrive. Demande Julie.
- Attends salope, j'en ai marre que tu te plaignes toujours. Quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans rechigner et sans poser de questions. Maintenant active-toi et mets le téléphone à un endroit où je peux te voir. N'oublie pas que tu ne peux pas jouir sans ma permission.
Julie est vaincue. Elle démarre la voiture. Elle met un certain temps pour se rendre sur l'autoroute et faire le chemin.Elle reste les jambes écartées et se masturbe. Ne voulant pas être vue, elle reste sur la voie la plus à droite et le plus loin possible des autres voitures.
Trente minutes plus tard, elle lutte pour ne pas jouir. Elle s'arrête alors sur une aire de repos et supplie Jason de la laisser repartir normalement.
L'homme regarde la jeune fille se débattre pour obéir à ses ordres. Il sait très bien qu'elle be pourra pas rentrer chez elle sans s'arrêter. Et comme il le prévoyait, Julie s'arrête et commence de nouveau à le supplier, même si ses doigts n'arrêtent pas de titiller son clitoris.
- S'il vous plaît Maître, ayez pitié de moi. Je vais avoir un accident si je ne jouis pas bientôt. Plaide Julie.
- Il n'en est pas question! Pour t'aider, tu vas ouvrir le sac et sortir les petites pinces à ressort noires avec les élastiques. Il y en quatre dans le sac. Je veux que tu en fixes une paire sur tes mamelons et l'autre sur les lèvres de ta chatte. Assure-toi que les élastiques sont bien reliés les uns aux autres. Tu pourras arrêter de te masturber, mais alors tu devras tirer sur les élastiques jusqu'à ce que tu n'aies plus envie de jouir. Puis tu recommenceras à te masturber.
Julie se remet à pleurer, mais sa main est déjà dans le sac pour prendre les pinces. Quand elle les sort elle a un sursaut. Ces pinces ne sont que de grandes pinces à papier utilisées pour tenir des feuilles sur un support. Elle fixe la première sur son mamelon droit et elle miaule de douleur. Quand elle pose l'autre sur son mamelon gauche, l'élastique reliant les deux pinces tirent sur ses tétons pour les rapprocher. La paire de pinces maintient une tension constante sur ses mamelons et décuple la douleur.
Quand elle répète le processus sur ses petites lèvres, elle se demande comment tout relier. Alors elle met une pince sur sa lèvre gauche et passe l'autre entre celles de ses seins sous l'élastique avant de la fixer sur l'autre lèvre. Plus elle tire, plus ses mamelons et ses petites lèvres sont tendus. A présent, elle doit rester penchée un peu en avant pour réduire une partie de la tension. Julie n'a plus envie de jouir, la douleur a effectivement fait disparaître toute excitation.
- Bien esclave, ça devrait t'empêcher d'avoir un orgasme pendant un moment. Maintenant reprends ta route et recommence à jouer avec ta chatte. Si tu sens que tu vas jouir, tu peux t'arrêter et tirer sur les pinces jusqu'à ce que tu puisses recommencer.
Jason regarde le visage de Julie qui montre un profond désarroi. Il la voit acquiescer et redémarrer. Il ne faut pas longtemps avant que le corps de Julie soit sur le fil du rasoir. Et maintenant la douleur rejoint le plaisir de l'excitation. Sachant qu'elle ne va pas pouvoir tenir plus longtemps, elle quitte la route et entre dans un relais routier.
Jason regarde attentivement alors que la jeune fille excitée tremble et que son corps est couvert de sueur. Il attend de voir ce qu'elle va faire, ne voulant pas l'interrompre. Sa patience est récompensée quand elle arrête la voiture, ouvre son chemisier et attrape les élastiques qui relient ses seins et sa chatte.
Les yeux de Julie sont vitreux et ses mains tirent fortement sur les élastiques. Ses petites lèvres et ses mamelons sont tirés de manière obscène sur son corps et le visage de la jeune fille est contracté par la douleur. Elle continue d'infliger des sévices à ses mamelons et à sa chatte pendant près de cinq minutes. Et enfin, elle se penche et s'allonge sur le volant en haletant.
- Esclave? Pourquoi n'es-tu pas en train de te masturber? Je ne t'ai pas donné la permission d'arrêter. Dit Jason.
- Je suis désolé Monsieur, j'essaie de me calmer. J'étais si proche de l'orgasme que je devais faire quelque chose pour l'arrêter. Répond Julie alors que sa main retombe sur sa chatte et qu'elle recommence à se masturber.
- Eh bien, je ne suis pas impressionné par ta performance. Alors pour le reste du voyage tu laisses ton chemisier ouvert. Ordonne Jason.
- Oui Monsieur! Dit Julie en essayant de rassembler ses esprits et de retourner sur l'autoroute.
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Kévin et Christy sont assis sur le canapé du salon quand Marcus entre.
- Je dois faire des courses avant que ta mère revienne. Je ne devrais être absent qu'une heure ou deux. Dit-il
Kévin lui fait un simple geste de la main. Il s'amuse avec Christy nue, du sperme plein le visage.
Marcus essaie d'ignorer la scène, mais sa queue le trahit encore. Il y a deux semaines, ça aurait été à cause de la belle jeune femme nue dan son salon. Cependant, à présent, c'est à cause de son fils dominateur qui contrôle complètement Christy. « J'aimerais que mon visage soit couvert de foutre » pense Marcus.
Il sort de la maison. Ses instructions sont de pas être là quand sa femme reviendra de la maison du voisin. Il ne doit pas se montrer avant que Maître X ne l'appelle. Ne sachant pas où aller, il gare sa voiture au coin de la rue et rejoins la maison de Maître John. Il a besoin d'une bite.
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Jessie ne voit pas la voiture de Kévin dans l'allée. Elle pousse un soupir de soulagement. Elle va pouvoir entrer chez elle, prendre une douche et contacter Maître X pour savoir ce qu'elle sera autorisée à porter. D'une main tremblante, elle tourne la poignée et ouvre la porte. En entrant et en se dirigeant vers la cuisine, elle est soulagée de s'éloigner de ASH son voisin. Mais dès qu'elle franchit la porte, elle sursaute en voyant Kévin devant elle.
- Qu'est-ce que tu fous maman? Pourquoi es-tu nue? Et pas seulement ça, pourquoi rentres-tu nue de la maison de M. ASH. Demande Kévin.
Maître X commence à rire en voyant l'expression de peur et d'humiliation de Jessie.
La mère de famille bégaie :
- K... Ké... Kévin... Je ne savais pas que tu étais déjà arrivé. Donne-moi une minute pour enfiler quelque chose et je t'expliquerai.
Maître X dit à Kévin par l'intermédiaire de l'oreillette de maintenir la gêne.
- Ne me mens pas maman! Tu reviens de chez le voisin complètement nue, le cul tout rouge. Et n'est-ce pas du sperme partout sur toi?
- Kévin, je t'en prie, ce n'est pas ce que tu penses... Commence à expliquer Jessie quand on frappe à la porte de derrière.
Kévin étant le plus près, tourne la poignée et ouvre la porte. Debout, à l'entrée se trouve M. ASH qui ne porte qu'un short. Il sourit à Kévin et dit :
Il tend un billet de cent dollar. Kévin le regarde alors qu'il se tourne pour partir. Mais avant, avec un sourire sournois il ajoute :
- Dis-lui demain à la même heure. Et qu'elle ne se donne pas la peine de s'habiller.
Kévin est sous le choc alors que le gros voisin rentre chez lui. Jessie aurait voulu se faufiler dans un trou de souris en entendant cette conversation. Lorsque Kévin se tourne pour lui faire face, son visage est rempli de dégoût.
- Qu'est-ce que tu fous maman? Tu te prostitues chez les voisins maintenant? C'est une bonne chose que papa soit sorti. Peut-être que je devrais l'appeler pour qu'il rentre et voit ce que sa femme fait.
- S'il te plaît Kévin, tu ne comprends pas... Tente de s'expliquer Jessie.
- Qu'est-ce que je ne comprends pas? Tu es rentrée toute nue de chez M. ASH non?
- Oui, mais...
- C'est du sperme sur ton corps non?
- Oui, mais...
- Il t'a fessé n'est-ce pas?
- Oui, mais...
Et il est venu ici et viens de te donner cent dollars. Et il a confirmé un rendez-vous pour demain, pas vrai?
- Oui. Répond la mère de famille alors que ses épaules s'affaissent.
Elle ne trouve pas le moyen de s'en sortir. Son fils vient de la surprendre en train de faire la pute.
- Alors dis-moi ce que je ne comprends pas!
- Je ne peux pas Kévin. Je suis tellement désolé. S'il te plaît, pardonne-moi.
- Que dois-je faire? Dire à papa que sa femme est une pute, ou me taire? Dit le garçon en observant sa mère.
Maître X observe la version plus jeune de lui qui maintient la pression. Il sait que Jessie va bientôt être à genoux, suppliant son fils de ne rien dire à Marcus, parce que c'est ce qu'il lui a ordonné.
- Kévin, s'il te plaît, ne le dis pas à papa, je ferais ce que tu veux.
Le garçon baisse les yeux sur sa mère, nue, couverte de sperme et suppliante.
- Tu n'es rien de plus qu'une salope, et papa mérite mieux. A partir de maintenant je te possède. Tu feras tout ce que je te dirais, peu importe où nous sommes. Maintenant vas-y et nettoie-toi avant que papa ne rentre à la maison.
Jessie hoche la tête et va pour sortir de la cuisine. Mais juste avant qu'elle ne le fasse, Christy fait son apparition. Les deux femmes ont le souffle coupé quand elles se voient.Le haut de Christy est descendu sous ses seins et sa jupe est remontée autour de sa taille. Le sperme de Kévin est sec sur son visage et sa poitrine.
Jessie, nue et à genoux, également recouverte de sperme, rampe vers sa chambre. Les deux femmes échangent un regard qui veut tout dire. Toutes les deux savent qu'elles ont des problèmes et un frisson de peut remonte leur dos.
A suivre...
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