Texte de Claire de ma lune
Un troisième amant.
Au fil des jours, malgré le fait que je prenais toujours beaucoup de plaisir, mes deux amants commençaient à me traiter avec beaucoup plus de gentillesse et de respect, voir à en devenir possessif.
J’ai donc décidé de rester deux semaines sans venir les voir, pour tenter de leur faire comprendre que je ne voulais pas tomber dans une routine comme avec mon mari. Ce qui me décida à y retourner partit d’un évènement décevant à la maison.
Un soir pour faire plaisir à mon mari, je lui avais préparé le grand jeu, repas de chez le traiteur, belle table avec les bougies et pour le dessert, moi dans une tenue plus que sexy. Pour le repas, on a adoré tous les deux, pour le reste, si je fais impasse sur les dix minutes de préliminaire, c’est trente secondes et puis plus rien. Décidément, malgré tout l’amour que j’ai pour lui, il est frustrant pour moi au lit.
Je suis donc retourné voir mes deux amants turcs, qui eux, n’ont aucune idée de ce qu’est un préliminaire, mais qui pour le reste, assurent autrement. Ce n’est pas ce que j’appellerai faire l’amour, c’est juste une bonne partie de baise où chacun est là pour simplement prendre son pied. Et eux me baisent comme des morts de faim, m’investissant les orifices selon leur bon vouloir et sans chercher à savoir si je suis d’accord. Il faut admettre qu’avec les cris qu’ils obtiennent de moi, il est évident que j’aime ça.
Ils sont par contre partagés entre deux sentiments, leur volonté de me garder pour eux seul, et la frustration de ne plus arriver à m’épuiser comme ils le faisaient au début. Expérience et endurance, ont commencé à donner des résultats.
Hussein et Khaled se sont enfin décidés à faire intervenir un troisième convive à nos sauteries. Plusieurs fois de suite, pendant que l’on baisait, on venait frapper à la porte. J’entendais parler, mais personne n’entrait sauf une fois.
Il s’appelle Serge, c’est un camerounais immense, laid comme un pou, mais monté comme un âne. D’ailleurs, la première fois qu’il est venu, je n’ai pu que le sucer, car les capotes étaient trop petites. Il ne doit pas baiser souvent, car lui quand il éjacule, c’est du yogourt, et il t’en met partout.
A trois ils ont enfin repris le dessus, et même si je dois prendre quelques précautions avant de m’embrocher sur Serge, quand ils s’agitent tous ensemble, c’est ravageur pendant une bonne heure avant de devenir ensuite seulement agréable.
Comme Serge habite dans un foyer, en plus de me traiter de tous les noms comme ils le faisaient depuis le début, à chaque fois ils m’excitent maintenant en me faisant rêver de me faire baiser par tous ces mecs en manque de femme. Et ça marche, je couine comme une truie comme ils disent, quand ils me parlent ainsi et c’est le moment que je préfère pour me faire enculer par la grosse queue noire de mon géant. C’est pourtant douloureux, mais j’adore quand il me casse le cul, et ce n’est pas qu’une image car après des séances comme celles-là, impossible de marcher droit.
Et les deux autres se plaignent, car quand on passe derrière lui, le passage est tellement agrandi, qu’ils ne sentent plus grand-chose.
J’ai regardé sur internet et j’ai trouvé une espèce de gode creux, qui les remettrai à égalité, mais ça n’était pas donné alors je leur en ai parlé. L’idée les a surpris, mais leur a plu, et pour l’argent, ils m’ont simplement annoncé que je n’aurais que quelques pipes à faire un soir. La réponse m’a tout d’abord choqué, je n’étais pas une putain quand même. Ils se sont moqués de moi en me disant que je pourrais sucer 15 mecs gratuitement, et que je jouerais les pucelles s’ils donnaient un petit billet pour me remercier. Présenté comme ça, je me suis senti idiote et finalement, et pourquoi ne pas accepter un petit remerciement après tout.
La semaine d’après, Hussein et Khaled m’ont emmené dans leur voiture sur un chantier où ils travaillaient. Dans une espèce de mobil-home, il y avait 6 ou 7 ouvriers à qui ils proposèrent que je leur fasse une pipe pour 10 euros. Seul cinq d’entre eux ont accepté et à par pour un d’entre eux, l’affaire fut entendue très vite car une demi-heure après on était reparti et j’en étais presque déçu.
J’avais recueilli suffisamment d’argent pour ce que je voulais acheter, mais Hussein me demanda si je voulais continuer, car il connaissait un autre chantier à moins de 10 kilomètres, mais que là, ils étaient plus nombreux. J’ai fait celle qui hésitait en leur disant que moi pendant ce temps-là je ne prenais pas mon pied.
- S’il n’y a que ça, on peut te baiser pendant que tu les suces !
La réponse était idiote, mais j’ai accepté.
Un quart d’heure plus tard, on est entré sur un autre chantier où là, ils étaient 14 et tous volontaires. Cela s’est bien passé, mais à un moment j’ai eu un peu peur, car certains d’entre eux en auraient bien voulu plus, mais mes deux amants ont su faire preuve d’autorité pour éviter que ça ne dégénère. Ils ont gardé 50 euros pour aller acheter le gode, et m’ont donné le reste pour que je puisse m’offrir ce que je voulais. L’attention m’a vraiment plu, et je ne regrettais plus du tout de l’avoir fait.
On n’a pas couché ensemble après car il était déjà tard et même si mon mari ne faisait pas preuve de grande jalousie, je ne voulais pas non plus qu’il commence à se poser trop de question, déjà que une à deux fois par semaine je rentrais autour des 22 heures, il ne fallait pas en rajouter.
La séance d’après, le nouveau jouet était présent et il était bien plus impressionnant qu’en photo. Il n’était pas vraiment plus gros que celui de Serge, mais il était plus long d’au moins 5 centimètres. Il a d’ailleurs fallu que je m’y habitue doucement dans le ventre, car il venait taper au fond de ma chatte et ça n’avait rien d’agréable, mais les deux l’ont vite compris.
Par contre pour le cul, au début avec préparation, puis ensuite sans concession, c’était super.
Il nous a fallu quelques séances pour en tirer réellement tous les profits, mais après j’avais du mal à m’en passer, et l’équilibre macho entre mes amants était rétabli. J’ai pris mon pied pendant plusieurs mois comme ça, au rythme d’une fois par semaine quand ils étaient trois, et de deux fois quand ils n’étaient que deux.
Une fois ils m’ont emmené en voiture dans une espèce de petit bois, où ils m’ont baisé à l’intérieur avec le plafonnier allumé pendant que plusieurs hommes se masturbaient à l’extérieur et j’étais dans un tel état d’excitation que ce sont eux qui m’ont empêché d’ouvrir la portière et ainsi évité le pire. Ils m’ont bien dit qu’ils étaient d’accord pour que j’essaie avec plus d’hommes, mais ils veulent d’une part pouvoir maîtriser la situation et d’autre part, que je sois saine d’esprit, ce n’est pas forcément un fantasme que je souhaite réaliser, mais qui sait ?
A suivre...
toujours excellent bravo continuez
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