mercredi 29 juin 2022

Le locataire

Traduction d’un texte de Tony King.

 *****

C’est juste après le départ de nos filles adolescentes que j’ai pu mettre mon plan à exécution.  Pendant des années j’ai nourri l’idée de regarder ma femme sexy se faire baiser par un jeune étalon. Et aujourd’hui il est temps que mon fantasme devienne réalité. Bien que cette idée soit venue comme ça alors que nous faisions l’amour, elle m’a toujours répondu que ce n’était qu’un fantasme et que ça resterait un fantasme, ça n’arriverait jamais.

Caroline a la quarantaine, mais conserve une silhouette jeune avec une belle paire de nichons fantastique, du 100DD, de longs cheveux blonds, et, à ma demande, une chatte rasée en permanence. Avec ses jambes galbées et sa grosse poitrine, elle fait tourner les têtes et a beaucoup d’admirateurs. 

C’est lorsque j’ai reçu un rappel d’impôts que j’ai eu la chance de mettre mon plan à exécution. 

- Tu sais chérie, maintenant que les filles ont quitté la maison, je crois que la façon la plus simple de payer ce rappel d’impôts est de louer une chambre. 

- Pas question, je ne veux pas d’étrangers dans ma maison. Répond-elle avec colère.

- D’accord, mais alors on oublie nos voyages pour les deux ans à venir.

Je sais qu’elle ne peut se passer d’une semaine par an au soleil tropical. Je crois que ça devrait la faire réfléchir.

- C’est vraiment si grave ? Demande-t-elle sur un ton plus adouci. 

Nous devons 1 000, mais je lui dis qu’il s’agit d’une dette de 4 000.

- Pour combien de temps ? Questionne-t-elle.

- Eh bien, je pense que l’on peut compter sur un loyer de 150 par semaine donc d’après mes calculs il suffit de 6 ou 7 mois de location. Ce n’est pas terrible non ?

A contrecœur elle accepte. 

Je passe alors des annonces sur divers sites échangistes en décrivant l’offre : « 6 mois de loyer réduit et la chance de séduire ma femme ». Comme nous vivons près d’une grande université, j’ai été inondé de réponses. Le problème était que la plupart d’entre elle étaient vulgaires, dans le genre « J’ai vu votre annonce et j’adorerai baiser cette salope ». ce n’est pas vraiment ce que je cherchais. Puis, après quelques semaines, une réponse attire mon attention.

Je voulais que ce soit un jeune qui la baise. Mais la réponse venait d’un professeur d’université à la recherche d’un logement pour une courte période dans notre région pendant qu’il faisait construire une maison. Il avait 50 ans, était marié avec des enfants, et n’avait apparemment rien fait de tel auparavant. Je me suis dit qu’il n’y aurait pas de soucis de MST. Dans son message il m’indiquait que ce serait un défi de séduire ma femme et que sinon il aurait un endroit où vivre en attendant sa maison. Nous avons alors prévu de nous rencontrer.

Ray a un an de plus que moi, il est un peu plus petit et plus mince. Il reste en forme en faisant du jogging et il a le corps et l’endurance d’un homme de la moitié de son âge. Il s’avère qu’il s’installe par ici après plusieurs années de boulot à l’étranger. Sa femme et ses enfants sont toujours à Hong-Kong et le rejoindront quand sa maison sera prête. Je lui montre quelques photos de Caroline dans diverses tenues et poses sexy. La vue de ma charmante épouse vêtue seulement de bas, porte-jarretelles et talons fait qu’il se tortille sur sa chaise. Je le vois plusieurs fois porter la main à son renflement dans son pantalon.

- Woaw, J’aimerais que ma femme s’exhibe comme ça. Tu veux vraiment que j’essaie de la séduire ? Dit-il en regardant une photo où elle est jambes écartées, sa chatte rasée bien visible.

- Bien sûr, je pense qu’elle va adorer.

- D’accord alors, si c’est ce que tu veux, je n’ai rien à perdre. 

J’emmène alors Ray à la maison pour lui présenter Caroline. Et après que celle-ci ait donné son accord, nous nous mettons d’accord pour qu’il emménage la semaine suivante.

Semaine 1 – Ray emménage.

Ray arrive à la maison avec un gros bouquet de fleurs et une bouteille de vin. Je l’avais déjà informé des points faibles de mon épouse et de la meilleure façon de la séduire. Caroline est flattée de l’attention que lui porte Ray, et au bout de trois jours, elle parle avec lui comme s’il s’agissait d’un ami de longue date. Il gagne sa confiance en lui montrant des photos de sa femme et de ses enfants.  Puis le samedi nous l’accompagnons pour voir l’avancement des travaux de sa maison. Le dimanche, on peut penser que Caroline et Ray forment un couple tellement ils s’entendent bien. 

Semaine 2 – Caroline se fait baiser.

Point de vue professionnel, j’ai de nombreux délais à respecter, donc je reste tard au bureau. Cela donne à Ray plus de temps pour être avec elle pour la séduire. De plus, j’ai délibérément privé ma femme de sexe depuis deux semaines en argumentant que je suis trop fatigué. D’ailleurs elle confie à Ray qu’elle pense que j’ai une liaison. Bien sûr Ray ne fait rien pour la rassurer. 

Une crise apparaît lorsque je lui dis que je dois me rendre à Milan pour une réunion le lundi suivant. Ce qui veut dire que je prends l’avion le dimanche après-midi. Et ce dimanche c’est notre anniversaire de mariage. Nous l’avons toujours célébré  en sortant au restaurant. C’est là qu’elle se fâche et s’énerve :

- Tu ne peux pas faire ça ! C’est notre foutu anniversaire de mariage et tu pars pour Milan. Et pourquoi je ne peux pas venir avec toi ? 

- Écoute, tu connais notre situation. Nous ne pouvons pas nous permettre que tu viennes avec moi. Pourquoi tu ne demandes pas à Ray de te sortir ? Tu sais à quel point j’ai travaillé dur sur ce projet, je ne peux pas me permettre de tout foutre en l’air maintenant.

Dimanche après-midi, je prépare mon sac de voyage et je pars à l’aéroport. Mon épouse ne me dit même pas au revoir. Ma réunion ne consiste simplement à signer le contrat officiel avant le retour à l’hôtel. Je passe une nuit blanche à me demander s’il se passe quelque chose chez moi. Avez-vous déjà essayé de vous endormir avec une érection qui fait rage ? Chaque fois que je ferme les yeux, je m’imagine ma femme Caroline sur notre lit, les jambes écartées, en train de se faire baiser par Ray. Ou alors, elle est à genoux, le chemisier ouvert pour exposer ses gros seins, la mini-jupe troussée à la taille, ses lèvres enroulées sur la bite de notre locataire. Je suis vraiment pressé de revenir chez moi.

Le lendemain, quand j’entre dans le salon, je vois Ray assis sur le canapé. Il me fait un clin d’œil et lève son pouce. Mon cœur bondit. Caroline est à l’étage, dans la chambre principale, en train de ranger des vêtements.

- Bonjour ! Contente de me revoir ? Demandé-je en jetant mon sac sur lit.

Elle me répond sur un ton sarcastique :

- Alors ? Tu as signé ton contrat ?

Je sais qu’elle se demande si c’était vrai. Il faut voir son expression quand j’ouvre mon sac et que je lui montre le dossier. 

- Oui bien sûr ! Dis-je en l’embrasant sur la joue.

Puis je demande innocemment :

- Et toi ? As-tu passé un bon moment avec Ray ?

Elle devient rouge pivoine.

- Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu veux dire ?

- le dîner… Tu sais… Dimanche soir.

- Ah oui le repas… Oui, c’était sympa. 

Elle se détourne de moi pour essayer de cacher ses rougeurs.

- Je vais juste faire un tour au pub, tu veux venir ? 

Je sais qu’elle ne peut me faire face.

- Non, non, merci, j’ai encore beaucoup de choses à ranger.

- Ok, je vais voir si Ray veut m’accompagner.

Avant qu’elle ne puisse répondre, je quitte rapidement la chambre. J’appelle Ray et nous nous dirigeons vers le pub.

Bien caché dans un coin, je lui demande :

- Alors ?

Il sourit d’un air satisfait et me répond :

- Mon Dieu, je ne sais pas trop par où commencer. Après ton départ dimanche, elle était de très mauvaise humeur et elle a passé des heures dans un bain. Puis elle est descendue dans le salon. Je ne pouvais en croire mes yeux. Elle avait noué ses cheveux, elle était joliment maquillée et elle portait une courte robe de soirée boutonnée sur le devant. Oh oui aussi, elle avait la plus grande paire de talons hauts que j’aie jamais vue. Quoi qu’il en soit, nous avons dîné et j’ai fait en sorte que le vin coule à flots. Lentement, mais sûrement elle devenait de plus en plus ivre. Elle a passé tout son temps à se plaindre de toi et de ton travail ainsi que du peu d’attention que tu lui accordais ces derniers temps. Elle était convaincue que tu avais une relation. Nous sommes rentrés à la maison vers 22h30 et elle s’est assise à côté de moi sur le canapé et elle s’est mise à pleurer.

A ce stade, je me sens un peu coupable et je me dis que je suis peut-être allé un peu loin. Ray continue :

- J’ai mis mon bras autour de ses épaules pour la réconforter et je lui ai dit à quel point elle était belle et quel idiot tu étais de la laisser avec un autre homme. Ensuite ses lèvres se sont verrouillées sur les miennes et sa langue explorait ma bouche. Je me suis dit que c’était le moment ou jamais et j’ai posé mes mains sur ses seins pour doucement les serrer. Elle continuait de m’embrasser. J’ai commencé alors à défaire les boutons de sa robe et j’ai caressé ses seins à travers son soutien-gorge. Elle m’embrassait encore, mais sa main s’est déplacé sur ma bite. Tu m’avais montré sa poitrine en photo, mais je n’arrivais pas à croire à quel point ses seins étaient gros et doux.

- Est-ce qu’elle t’a laissé déboutonner sa robe complètement ?

- Hein ? Bien sûr ! Elle était même si impatiente qu’elle a défait le dernier bouton pour moi avant d’ouvrir sa robe en grand.

- Qu’est-ce qu’elle portait en dessous ?

- Des bas noirs, une petite culotte transparente,un porte-jarretelles, et un soutien-gorge soyeux. 

Je souris intérieurement. C’est l’ensemble que je lui avais offert à Noël. En plaisantant nous l’avions appelé son uniforme de pute. 

- Continue !

- J’ai embrassé son cou et ses épaules, puis j’ai sorti ses seins du soutien-gorge et j’ai commencé à sucer ses mamelons. Elle tenait ma tête entre ses mains en poussant de petits gémissements. Quand j’ai mis ma main sur sa jambe et que j’ai commencé à remonter le long de sa cuisse, elle a juste ouvert les jambes en grand. Elle m’a demandé si j’aimais sa chatte lisse. Je n’arrêtais pas de la caresser à travers sa culotte et je me suis souvenu de ce que tu m’avais dit à propos de son clitoris sensible. Elle gémissait à mon oreille et je sentais qu’elle mouillait. Alors j’ai simplement glissé mon doigt sous sa culotte, dans sa petite fente et j’ai cherché et trouvé son clito.

Je ferme les yeux une seconde et j’imagine la scène. Ma charmante femme guindée, assise sur le canapé, jambes écartées, en sous-vêtements sexy, se faisant doigter la chatte par un autre homme en même temps qu’il lui suce les seins.

- Tu l’as faite jouir ?

- Jouir ? C’est comme si quelqu’un avait allumé une mèche. Elle a eu un orgasme à la seconde où j’ai touché son clitoris. J’ai dû la tenir tellement elle tremblait. Puis elle m’a dit : « maintenant c’est à ton tour : ». Elle m’a repoussé sur le canapé, jeté sa robe par terre et s’est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma braguette et a sorti ma bite. Tu sais quoi ? Elle m’a regardé droit dans les yeux en baissant sa bouche sur ma bite. C’était incroyable. Ma femme ne veut pas faire ça, elle dit que c’est dégoûtant. C’est la première pipe que j’ai eue depuis plus de vingt ans.

- Est-ce qu’elle t’a fait jouir ? Demandé-je.

Je bande et il m’est difficile de rester assis ;

- Tu crois quoi ? Je lui ai dit que j’allais jouir, mais elle a continué de me sucer. A un moment elle a fait quelque chose avec sa langue et je n’ai pu me retenir tellement la sensation était incroyable. J’ai éjaculé encore et encore. Et tu sais quoi ? Elle a tout avalé jusqu’à la dernière goutte. Et quand j’ai fini elle s’est même appliquée à bien lécher ma bite.

- Est-ce que tu l’as baisée ?

Ray me regarde :

- Je l’ai baisée toute la nuit et je pense qu’aujourd’hui je serai incapable de bander encore. Elle est insatiable.

Nous prenons une autre bière et Ray continue :

- Donc, après qu’elle m’a sucé, elle s’est assise sur le canapé et elle a ouvert ses jambes en grand en m’invitant à lui lécher la chatte. Au moment où je l’ai faite jouir une nouvelle fois, j’étais vraiment prêt à la baiser. Je l’ai tirée sur le bord du canapé et j’ai glissé ma bite dans sa chatte. Elle donnait l’impression d’être au paradis et elle n’arrêtait pas de pousser ses hanches sur moi.

Ray a l’air un peu embarrassé alors je l’incite à continuer. 

- Je ne suis pas sûr que tu vas aimer. Mais elle a dit que c’est la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais eu. 

Je réalise soudain que c’est la seule question que je n’aie jamais posée à Ray, la taille de sa bite.

- Dis-moi alors quelle taille elle fait ? Demandé-je.

- Eh bien, ma femme l’a mesuré une fois et elle m’a dit qu’elle faisait 27 centimètres.

- Putain de merde, pas étonnant qu’elle soit contente. 

Maintenant, mon imagination se met en route alors que je m’imagine cette grosse et longue bite entrant et sortant de la chatte humide de Caroline. Le maximum que je pouvais lui donner était de quinze centimètres alors qu’elle m’avait parlé d’un de ses anciens petits amis qui avait une queue de vingt centimètres.

- Alors, que s’est-il passé ensuite ?

- Je crois que je l’ai baisée dans cette position pendant environ vingt minutes avant de jouir. Pour sa part elle a eu plusieurs orgasmes en essayant de m’attirer plus profondément en elle. Finalement nous avons attrapé nos vêtements et nous sommes allés nous coucher.

- Mais tu m’as dit que tu l’avais baisée toute la nuit ? 

- Ouais, mais bon , pas toute la nuit. Au début nous nous sommes juste blottis l’un contre l’autre en nous embrassant. Elle a recommencé à jouer avec ma bite pendant que je lui doigtais la chatte. Puis elle m’a sucé une nouvelle fois avant de me chevaucher. Je crois que c’était le meilleur moment. La voir installée sur ma bite avec ses gros seins se balançant était génial. Elle a encore joui de nombreuses fois avant de descendre. Puis elle s’est mise à quatre pattes et elle m’a demandé de la prendre ainsi. Ce que j’ai fait. Après que j’ai éjaculé, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

- Quoi ? Elle a gardé ses bas toute la nuit ?

- Ouais. Elle m’a réveillé en me suçant et j’ai vu qu’elle les avait encore. Je l’ai tellement baisée le matin que j’en ai mal à la queue. Et ça nous a pris si longtemps que nous avons pris une journée de congé et nous sommes restés au lit. Je l’ai encore baisée au déjeuner et en fait, je viens encore de la faire juste avant que tu ne rentres. 

Je dis alors à Ray ce que je veux qu’il fasse. Nous finissons nos verres et nous rentrons à la maison.

Semaine 3 – Le film avec Caroline.

La caméra vidéo est discrètement cachée dans une étagère, les fils passant par la fenêtre vers un téléviseur situé dans le garage. Je peux zoomer et dézoomer à ma guise, faire des panoramiques de haut en bas ou de droite à gauche. J’ai dit à Caroline que je travaillais tard, donc ce n’est pas long avant que le spectacle commence.
Ray baise souvent ma femme, et selon lui, elle n’en a jamais assez. La scène débute avec Ray assis sur le canapé vêtu seulement d’une robe de chambre. Caroline apparaît dans l’embrasure de la porte vêtue seulement de ses sous-vêtements noirs sexy et de ses chaussures à talons de quinze centimètres. Elle défile dans la pièce pour Ray en lui demandant s’il aime ce qu’il voit. Pour toute réponse mon locataire ouvre sa robe de chambre pour révéler la plus grosse bite que je n’ai jamais vue. Elle est bien dressée comme un mât.

- Hummm, je vois quelque chose de prêt ! Dit Caroline en se léchant les lèvres et en s’agenouillant devant lui.

Je fais un zoom avec la caméra et je vois son rouge à lèvres se refermer sur le gland de Ray. Les lèvres glissent lentement vers le bas. Ray ferme les yeux et gémit. 

Elle réussit à mettre douze à treize centimètres dans sa bouche avant de revenir sur son gland et de recommencer. Je peux voir ses joues se creuser pendant qu’elle le suce. De temps à autre elle sort complètement le membre pour lécher le gland et le manche de haut en bas. Lorsque Ray lui dit qu’il est sur le point de jouir, elle plonge sa bouche sur le membre et elle accélère sa fellation. Il en faut peu pour que j’éjacule moi-même dans mon pantalon quand Ray explose dans sa bouche. Comme il me l’a dit, cette garce avale chaque goutte avant de bien nettoyer sa bite avec sa langue.

Se léchant toujours les lèvres, elle se met debout devant lui. Il lui enlève sa culotte et elle ouvre les jambes en grand pour que sa langue trouve sa chatte. Ses gros seins sont magnifiquement enfermés dans son soutien-gorge et Ray pose ses mains sur les cuisses gainées de bas pendant qu’il la lèche.

Je m’aperçois du moment où elle est sur le point de jouir. Son corps se met à trembler et elle plis légèrement les genoux. Ray tient son cul serré en poussant sa chatte vers sa bouche.

- Oh Ray, ne t’arrête pas… Oooohhh OUIIIIIIII !

Elle s’effondre sur le canapé et ils s’embrassent passionnément, mélangeant dans leur bouche le sperme et le jus de chatte. Pour un homme de cinquante ans, Ray se rétablit rapidement et bande de nouveau. En peu de temps sa bite est de nouveau dure comme de la pierre et se dresse pour recommencer. Cette fois, pour mon bénéfice, Ray demande à Caroline de le chevaucher dos à lui, c’est-à-dire face à la caméra. 

Quand sa chatte plane au-dessus de lui, Ray frotte son membre le long de la fente avant de lui permettre de descendre. Je fais un zoom et je vois les lèvres de sa chatte s’ouvrir puis presque disparaître en elle, entraînées par sa grosse bite. La queue de Ray n’est pas seulement longue, elle est aussi très grosse. Une fois qu’elle est entièrement empalée sur le membre je fais un zoom arrière. Caroline à la tête appuyée sur son épaule, les yeux fermés avec un grand sourire sur le visage. Ray a les deux mains sur ses seins et titillent ses tétons alors qu’il fait pivoter ses hanches sous elle. Puis il descend une main vers son clitoris et commence à le pincer entre le pouce et l’index. Caroline entre en transes. Elle commence à chevaucher sa grosse bite, se levant jusqu’à ce que seul le gland reste à l’intérieur, puis se laissant tomber vers le bas, prenant le sexe jusqu’à la garde. Ray serre sa poitrine et pince son clitoris en l’accompagnant.

- Oui c’est ça salope, baise ma grosse bite.

Caroline avait toujours détesté les propos vulgaires et elle m’avait toujours dit que ça la bloquait. Je voulais voir comment elle réagirait si c’était Ray qui l’insultait.

- Mon Dieu, tu ferais une bonne pute. Allez salope, plus vite !

Caroline gémit bruyamment alors qu’un autre orgasme la traverse. Elle se repose, la bite totalement enfouie en elle en attendant que les tremblements de son corps cessent. Elle tourne la tête sur le côté et embrasse Ray.

- Alors, tu aimes être ma salope . Demande Ray.

Elle murmure d’un air endormi en s’appuyant fort sur sa queue :

- Hummm, j’aime la sensation de cette bite en moi.

- Donc je peux faire ce que je veux avec toi ?

- N’importe quoi, je suis tout à toi !

- Et tu seras ma salope, ma pute ?

- Hmmm, si c’est ce que tu veux.

A ce moment j’éjacule sur tout le mur du garage. Ma douce épouse innocente vient de dire à un autre homme qu’elle serait sa salope. Je continue à regarder et à me branler pendant que Ray l’achève en remplissant sa chatte de foutre. Puis il lui fait ouvrir grand les jambes afin que je puisse bien voir quand il sort de sa chatte.

Je décide alors de faire peur à ma femme. Alors qu’elle est toujours assise sur la bite de mon locataire, je sors du garage et je mets ma clé avec bruit dans la porte d’entrée. Plus tard, je vois sur la vidéo qu’un air de pure panique s’est affichée sur son visage et qu’elle a sauté du canapé pour se précipiter dans les escaliers juste au moment où j’ouvrais la porte. Ray bien sûr, reste assis sans bouger, un sourire sur le visage. 

Je me précipite aussi dans les escaliers en prétextant une envie urgente de pisser. Je sais qu’elle a dû s’enfermer dans la salle de bain, mais je ne veux pas lui laisser le temps de se changer ou de s’habiller.

- Caroline, vite ouvre la porte ou je vais me pisser dessus.

Elle me laisse entrer et reste là, son peignoir serré autour d’elle. Ses talons sont jetés sur le sol, mais elle n’a pas eu le temps d’enlever ses bas. Je la fais attendre jusqu’à ce que j’ai fini de me soulager, puis j’ouvre son peignoir.

- Mon Dieu, qu’est-ce que c’est que tout ça ?

- Je… Euhh… J’ai… J’ai pensé que ça pourrait te plaire. Je me préparais pour ton retour à la maison. Ment-elle.

- Hein ? Tu allais mettre ton costume de pute avec Ray assis dans le salon ?

- Je voulais t’attendre dans la chambre, je savais que tu allais bientôt rentrer.

Je fais glisser le peignoir sur ses épaules pour le laisser tomber par terre. Puis je commence à tripoter ses seins. Quand je descends une main sur sa chatte, elle recule et s’éloigne vers la chambre en disant :

- Viens me baiser, ça fait si longtemps. s’il te plaît !

Elle ne veut pas que mes doigts sentent le sperme de Ray qui coule presque le long de sa jambe. Alors je lui réponds :

- Pas avant d’avoir joué avec ma chatte préférée.

Je prends son monticule lisse et collant dans ma main. Elle s’allonge sur le lit, réticente à ouvrir les jambes. Alors je les écarte. Puis je fais courir mes doigts de haut en bas sur ses lèvres gonflées. Je ne touche pas son clitoris, mais pénètre sa chatte avec un doigt.

- Hummmm, chaude et mouillée ! Tu as des pensées cochonnes ou tu t’amuses seule quand je ne suis pas là ?

Elle rougit de nouveau :

- C’est à l’idée que tu rentres à la maison et que tu me fasses ça. Ment-elle une nouvelle fois.

Je me déshabille rapidement et je grimpe entre ses jambes. J’ai l’impression de mettre ma bite dans un pot de mélasse chaude. Je me relève sur les bars et je la regarde.

- Eh bien, soit tu es sacrément excitée, soit tu as passé les dernières heures à baiser avec Ray.

Honnêtement j’ai l’impression qu’elle va faire une crise cardiaque. Elle tousse et s’étouffe presque.

- Hé je plaisante ! Je sais que tu ne ferais pas ça !

Son regard effrayé devient un regard de soulagement alors qu’elle m’assure qu’elle est mouillée simplement parce que j’ai joué avec sa chatte et que je la baise. Elle ajoute que bien sûr elle n’aime pas Ray, qu’il est trop vieux et moche.

Semaine – Ray devient dominateur.

Comme nous l’avions prévu, Ray commence à prétendre qu’il s’ennuie pendant leurs séances de sexe.  Il parle de sa femme et de la façon dont elle aime que deux hommes la prennent en même temps. C’est un mensonge, mais Caroline ne le sait pas.

- Peut-être que l’on devrait essayer ça pour pimenter un peu les choses !  Dit-il un jour en lui doigtant paresseusement la chatte.

Bien sûr, Caroline lui dit non. Alors Ray sort de la maison en lui disant qu’il va au pub. Je quitte ma cachette et je le rejoins, laissant ma femme habillée comme une pute sur le canapé. Deux heures plus tard nous revenons, Ray dans le salon et moi au garage. Caroline a toujours sa tenue sexy, mais elle a enfilé un peignoir. Elle est très en colère :

- Où diable étais-tu ? Je suis restée ici habillée comme une pute bon marché pendant qu tu vas picoler dans un pub ?

Ray la saisit alors par les cheveux et lui crache :

- Écoute salope ! En ce qui me concerne, toute femme mariée qui se laisse baiser par un autre homme est une pute bon marché. Maintenant tu peux enlever ce putain de peignoir et me sucer la bite !

Ray défait sa braguette, sort sa bite et s’assoit sur le canapé. Au début, Caroline semble complètement choquée, mais elle laisse tomber son peignoir sur le sol. Je regarde son cul couvert de sa petite culotte sexy se dandiner alors qu’elle se dirige vers la queue offerte de Ray.

- Suce salope ! Montre-moi quelle petite pute tu peux être !

Ma femme lui obéit et s’agenouille devant lui. Ray la laisse le sucer pendant environ cinq bonnes minutes avant de la faire asseoir dans un fauteuil.

- Enlève ta culotte, écarte les jambes et prépare ta chatte pour moi !

C’est une chose qu’elle n’a jamais faite pour moi. Elle m’a toujours dit que ça la gênait et qu’elle ne pouvait se résoudre à le faire. Elle enlève sa culotte et s’assoit sur le fauteuil, les jambes fermées.

- Ok ! Si c’est comme ça, je m’en vais ! Dit Ray en se levant comme s’il allait partir.

- NON ! S’il te plaît Ray ! C’est juste que… eh bien, que j’ai du mal à le faire.

Ray se tient à côté d’elle, sa bite près de son visage.

- Si tu en veux plus, fais-le !

Vraiment à contrecœur, elle place ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil puis elle écarte les lèvres de sa chatte. En regardant la grosse bite de Ray, elle commence à caresser son clitoris puis à le frotter en petits cercles. 

- Mets tes doigts dans ta chatte ! Ordonne Ray.

- S’il te plaît Ray, je ne peux pas faire ça ! 

- Doigte ta chatte de salope ! Dit-il d’une voix autoritaire.

Il se masturbe en la regardant jouer avec elle-même. Manifestement il apprécie son nouveau rôle de Maître. Caroline met un doigt dans sa grotte humide et le déplace lentement dans et hors de sa chatte.

- Maintenant les autres doigts ! Dit Ray en se penchant sur elle pour sortir ses gros seins de son soutien-gorge.

Tandis qu’elle se met au travail avec trois doigts, Ray passe d’un mamelon à l’autre pour les tirer et les tordre, sa bite à quelques centimètres du visage de mon épouse.

Caroline ne quitte pas une seconde des yeux la grosse queue devant elle. Maintenant elle est occupée à jouer avec sa chatte à deux mains. l’une fourre trois doigts dans son trou humide alors que l’autre frotte énergiquement son clitoris. Des frissons révélateurs commencent à parcourir son corps à mesure que l’orgasme approche, Ray se branle de plus en plus vite. Alors qu’elle a des spasmes de plaisir, Ray lui attrape la tête en disant :

- Ouvre ta putain de bouche, salope !

Les premières giclées couvrent son visage et ses cheveux. Deux autres suivent et couvrent ses yeux et sa lèvre supérieur avant qu’elle ne prenne le gland dans sa bouche. Ses propres mains sont maintenant inactives, mais je peux la voir déglutir donc je comprends que Ray éjacule encore. Quand enfin il recule, je peux voir le visage rouge vif de ma femme à cause de son orgasme, du sperme blanc et collant contrastant joliment. Des gouttes tombent de sa lèvre supérieure et je ne suis pas loin de jouir moi aussi quand elle sort sa langue pour les laper. Je continue de les regarder pendant deux heures où Ray assure son emprise. Quand ils terminent enfin, il lâche une bombe :

- Caroline, tu m’as dit une fois que je pouvais te faire tout ce que tu voulais, tu le penses toujours ?

Elle est blottie contre lui, se sentant visiblement bien après cette baise marathon qu’il vient de lui offrir.

- Hmmmmm, n’importe quoi.

Elle joue doucement avec la bite molle, qui même ainsi, est plus longue que la mienne.

- Bien, alors je veux te voir te faire baiser !

Elle se redresse d’un coup :

- Quoi ?

- Tu as bien entendu, je veux regarder un autre homme te baiser !

- Qui ? Où ? Je veux dire non plutôt. Ray, je ne veux que toi. S’il te plaît ne me force pas à faire ça !

- Juste une fois ! Je veux voir à quoi tu ressembles avec la bite d’un autre homme.

Caroline réfléchit très vite. 

- Et si je laisse la porte de la chambre ouverte quand Tony me baise. Tu pourrais jeter un coup d’œil.

- Non, je veux regarder un vrai homme te baiser. Quelqu’un avec une grosse bite comme la mienne. Je veux t’entendre crier de plaisir comme tu le fais pour moi.

Ma femme est déboussolée. Elle ne veut pas perdre Ray. Ils se disputent pendant près d’une heure avant que Ray ne lui lance un ultimatum. Soit elle faisait ce qu’il veut, soit il déménageait. A contrecœur elle cède.

Semaine 5 – Caroline la pute.

Après avoir passé une autre annonce sur le web, Ray et moi examinons les réponses. Finalement nous choisissons un jeune de 23 ans s’appelant David. Ce gars chanceux avait une bite de 27 centimètres encore plus épaisse que celle de Ray. Il nous affirme qu’il peut baiser plusieurs fois par nuit et qu’il est un gros éjaculateur. Ce jeune homme est dans l’armée, il a donc passé récemment un examen médical complet avec des tests sanguins. Donc nous pouvions le laisser baiser sans capotes.

Au cours des deux-trois semaines qu’il faut pour mettre notre plan en place, Ray, à contrecœur, passe moins de temps à baiser ma femme, lui disant qu’il est fatigué et qu’il doit travailler tard. Caroline devient de plus en plus frustrée par ce désintérêt, alors elle se console en baisant avec moi plus souvent. Elle ne m’a jamais laissé entendre que Ray la baisait et elle réussissait même à mentir sans rougir. Mais j’ai commencé à réaliser que Ray avait fait éclore un côté d’elle que je ne connaissais pas. Elle est une vraie salope avide de grosses bites.

Je lui dis un jour que le mercredi soir je serai en voyage d’affaires. Ray lui dit alors qu’elle recevra ce soir -là deux hommes, lui et David. Elle lui répond qu’elle n’est pas très chaude à cette idée, mais lorsqu’il lui promet de passer plus de temps avec elle si elle le fait, elle accepte facilement. Ray m’a ensuite raconté comment elle a passé la journée à se pomponner et comment elle est devenue plus excitée quand il lui a dit à quel point la bite de David est grosse. En début de soirée, je suis à ma place habituelle dans le garage, juste à temps pour entendre Ray expliquer à Caroline comment il veut qu’elle se comporte.

Elle est vêtue de noir de la tête aux pieds, chaussures compensées noires à talons hauts menant à des bas à coutures et un porte-jarretelles assorti. Ray lui a acheté quelques culottes ouvertes à l’entrejambe. Je peux clairement voir sa chatte rasée dans l’ouverture du tissu. Il lui a également acheté un soutien-gorge sexy qui laisse ses mamelons exposés et fait paraître ses seins deux fois plus gros. Ses cheveux blonds sont attachés à l’aide d’un nœud rouge assorti à son rouge à lèvres et à son vernis à ongles. Elle ressemble à une prostituée grand luxe.

- S’il te plaît Ray, laisse-moi au moins mettre mon peignoir ? Je vais avoir l’impression d’être une vraie salope en l’accueillant à la porte comme ça !

Ray rigole :

- Chérie, tu es une salope. Et puis souviens-toi, ce soir tu dois avoir l’air et agir comme une vraie putain. Je veux te voir jouer avec tes seins et ta chatte en suppliant ce mec de te baiser. Je veux que tu utilises des mots vulgaires comme bite, chatte, nichons, pute… En fait je veux t’entendre utiliser tous les mots vicieux auxquels tu peux penser. J’ai dit à David que tu es une vraie pute qui adore 
les grosses bites et qui ferait tout pour se faire baiser, donc ne me déçois pas. 

Je vois qu’elle n’est pas très heureuse. Elle boit de grands verres de vin avant l’arrivée de David. Son langage corporel me montre qu’elle commence à s’énerver. Lorsque finalement la sonnette retentit, elle essaie de s’enfuir dans l’autre sens. Ray lui bloque le chemin et dit :

- Tu sais ce qui est en jeu. Tout dépend de toi.

Prenant une profonde inspiration, elle se dirige vers la porte d’entrée. Ray et moi retenons notre souffle alors qu’elle lui obéit finalement et ouvre la porte en grand. David se tient sous notre porche et admire la vue qui se présente à lui.

Notre maison n’est qu’à quelques mètres d’une rue principale très fréquentée. Avec la lumière allumée sous le porche, toute personne passant pas là peut voir ma femme. David reste immobile pendant cinq bonnes minutes. A un moment donné, une voiture ralentit et donne un coup de klaxon. Ma femme retourne à l’intérieur et David la suit, une main déjà sur son cul par-dessus la culotte.

- Oh putain, c’est vraiment ce que tu as dit Ray, une vraie salope !

Caroline se contente de fixer le jeune gars. Peut-être que Ray aurait dû lui dire que David était noir. Caroline reste debout au milieu de la pièce pendant que les deux hommes font des commentaires salaces, comme si elle n’était qu’un morceau de viande.

- Tu veux vois à quel point cette chatte mouille une fois qu’elle est bien excitée ? Dit Ray en ouvrant les lèvres de la chatte de mon épouse. 

David se penche pour regarder de plus près.

- Et ses mamelons ! Il suffit de les pincer légèrement pour qu’ils deviennent bien durs.

- Est-ce qu’elle sait sucer des bites ? Demande David en passant ses mains sur tout son corps.

- Bien sûr ! Dit Ray en forçant Caroline à s’agenouiller devant lui.

Comme hypnotisée et sans qu’on lui demande, ma femme ouvre la braguette de David et sort sa bite. Le jeune homme bande à moitié alors qu’elle déplace lentement ses deux mains le long de la tige épaisse. Il commence vraiment à bander dur quand elle le prend entre ses lèvres peintes en rouge.

- C’est bon ? Demande Ray.

- Ouais, cette garce semble savoir sucer. Mais arrive-t-elle à prendre une bite entière ? Dit David en lui tenant la tête serrée alors qu’il pousse en avant.

Ma femme n’a jamais fait de gorge profonde. David force sa bite plus loin dans sa bouche et elle commence à étouffer. Alors elle essaie de le repousser. Mais David la tient fermement et pousse encore plus sa queue en elle.

- Urmmphhhhh ! 

C’est le seul bruit qu’elle peut émettre alors qu’il continue à envahir sa gorge. Elle étouffe vraiment et a l’air de vouloir vomir, mais elle n’a pas le choix. Finalement, David se retire légèrement et elle lutte pour reprendre son souffle. Le jeune homme attend un peu avant de pousser sa bite en avant.

Caroline commence à prendre le rythme et prend une profonde inspiration avant chaque poussée. Sa gorge commence à s’habituer à la taille de la bite de David, et lentement, mais sûrement, il fait entrer son membre en entier. J’ai deux superbes photos tirées de la vidéo : l’une montrant ma femme avec juste le gland dans la bouche, la seconde avec le nez enfoncé dans le pubis de David, un gros renflement dans sa gorge et les yeux grands ouverts.

Tenant sa tête entre ses deux mains, David continue de baiser son visage.

- Oh oui, je vais jouir ! Continue salope, tu vas tout prendre ! OUIIII !

Sa première giclée de foutre descend directement dans la gorge, mais David se retire pour tenir sa bite à quelques centimètres de sa bouche. Une autre puissante giclée de sperme remplit sa bouche, éclaboussant ses lèvres et coulant le long de son menton. Plusieurs giclées suivent encore et couvrent ses yeux et ses joues, du foutre atterrissant même sur ses seins. David continue de branler sa grosse bite noire jusqu’à ce que chaque goutte soit expulsée.  Puis il lui fait lécher les derniers restes sur sa bite encore dure. Quand il s’éloigne je fais des gros plans superbes sur mon épouse, le visage couvert de foutre. On peut le voir couler le long de son menton et dégouliner sur ses seins.

Ray dit alors qu’il veut faire la même chose et essayer la gorge profonde. Tandis que David s’assoit sur le canapé, Ray baise le visage de mon épouse. Alors que lui aussi se vide dans sa bouche, je ne peux me retenir d’éjaculer contre le mur du garage.

- Tu veux voir cette salope se faire plaisir ? Demande Ray à David.

- Bien sûr, il n’y a rien de meilleur comme spectacle que de voir une belle salope blanche de la classe moyenne préparer sa chatte pour une grosse bite de nègre.

Le jeune homme fixe Caroline avec convoitise en parlant. Les deux hommes assoient ma femme dans le fauteuil avec les jambes écartées et posées sur les accoudoirs. Puis ils lui donnent un gros vibromasseur rose.

- Ok salope, c’est l’heure du show et n’oublie pas de commenter !

Caroline regarde les deux hommes avant d’allumer le vibromasseur et de commencer à le frotter lentement sur les lèvres de sa chatte rasée. 

- C’est ça que vous voulez ? Demande-t-elle en ouvrant ses lèvres visiblement humides et en glissant les premiers centimètres de l’objet rose à l’intérieur de sa chatte. 

- Ou peut-être ça ?

Elle sort le vibromasseur et commence à le lécher pour le nettoyer. Ensuite elle l’utilise pour récupérer le sperme qui couvre son visage et le lèche à nouveau pour le nettoyer. Ray et David sont assis sur le canapé , caressant lentement leurs bites déjà raides.

Caroline est entièrement dans le spectacle qu’elle donne. Tout en fixant les deux queues dressées à quelques mètres d’elle, elle s’applique à faire le show. Le vibromasseur réglé à pleine puissance, elle l’insère dans sa chatte jusqu’à ce que seul le bouton d’arrêt soit visible. Puis elle s’amuse avec son clitoris et ses mamelons jusqu’à ce qu’ils soient bien durs. 

- Je veux ces belles bites dans ma chatte et dans ma bouche en même temps. Oh oui, je veux qu’elles étirent ma chatte et me remplissent de foutre chaud et juteux.

Elle se tortille sur le fauteuil et son jus intime coule sur le coussin, formant une petite flaque. Quand elle a un orgasme elle les supplie de la baiser.

David est le premier. Il amène son cul au bord du fauteuil et il remplace le vibromasseur par sa bite. Il glisse profondément au fond de la chatte humide, ses couilles venant battre les fesses de Caroline. Il lui enfonce le gode dans la bouche pour lui faire lécher et nettoyer. Ray est agenouillé à côté pour jouer avec ses seins et faisant de son mieux pour ne pas cacher la vue à la caméra. 

David s’accroche aux hanches de mon épouse alors qu’il commence son assaut sur sa chatte. On peut entendre à chaque fois ses couilles frapper son cul. Puis Ray suggère :

- Mettons cette garce à quatre pattes pour que je puisse en profiter. 

Dans cette position au milieu de notre salon, caroline voit son souhait réalisé, deux bites en même temps, une grosse noire et brillante dans sa chatte et une longue et grosse blanche dans sa bouche. De temps en temps, les deux hommes changent de position et lui font lécher son jus sur leurs outils.

David est le premier à éjaculer dans sa chatte. La tenant fermement par les hanches, il cambre son dos et pousse en avant, enterrant sa bite au plus profond pour inonder son ventre. Ray dit qu’il veut faire pareil. Alors, à la seconde où David se retire, il saisit les hanches de ma femme et la baise violemment avant de tirer sa charge lui aussi dans son ventre pendant qu’elle nettoie avec sa langue la bite de David. 

Quand il se retire, Caroline s’affale sur le sol, épuisée. Mais la fête n’est pas finie. Quand ils ne la baisent pas ou ne la doigtent pas, ils lui font utiliser le vibromasseur. Les trois protagonistes passent les heures suivantes d’orgasme en orgasme. A la fin de la soirée, les deux hommes ne peuvent plus bander et Caroline se plaint d’avoir mal à la chatte. Pour ma part j’ai éjaculé trois fois et j’ai dû laver le garage le lendemain.

A mon tour.

Il ne reste que trois semaines avant que la famille de Ray ne le rejoigne dans sa nouvelle maison. Il est vraiment devenu le Maître de Caroline. Elle est au stade où elle fera tout ce que lui demandera l’homme. Sa seule réticence est la sodomie. Elle refuse toujours catégoriquement que Ray ou David l’enculent en prétextant que leurs bites sont trop grosses.

- Qu’en dirais-tu de la sodomiser ? Me demande Ray un jour.

- Mais elle ne sait pas que je sais qu’elle me trompe. Est-ce qu’elle ne va pas le découvrir ? Dis-je.

- Pas si elle a les yeux bandés. Mieux encore, je vais lui dire que je veux la voir se faire baiser par deux inconnus. Tu sais bien qu’elle fera tout ce que je veux. 

Apparemment Caroline n’est pas trop contente à cette idée, mais comme Ray insiste, elle accepte à contrecœur.

Le jour venu, elle est vêtue de son costume de pute et elle a les yeux bandés. Ray s’est assuré qu’elle soit excitée. Ses instructions sont d’attendre dans le salon jusqu’à ce que les hommes arrivent, puis de les laisser faire ce qu’ils veulent d’elle. Ray lui assure qu’il sera présent et que peut-être il participera. En tout cas, elle ne doit jamais retirer son bandeau. 

A 20 heures, John et moi entrons dans la pièce. John a 35 ans environ. Il est trapu et travaille comme magasinier au même endroit que Caroline. Elle s’était souvent plainte de lui en le traitant de vrai pervers qui essayait toujours de la toucher et qui lui faisait des remarques vicieuses. Elle n’aimait vraiment pas ce gars. Alors, imaginez sa surprise quand je lui ai fait la proposition :

- Quoi ? Tu veux dire que nous pourrons faire tout ce que nous voudrons et elle nous laissera faire ?

- Et oui !

Je lui montrais les photos de David et Ray en train de la baiser. Il était impatient.

- Il y a juste une règle à respecter. Elle ne doit pas savoir qui nous sommes, don nous ne devrons pas prononcer un seul mot.

John accepta volontiers.

Ce soir-là, elle est assise sur le canapé, ses longues jambes couvertes de bas tendues devant elle dans que sa culotte fendue à l’entrejambe laisse voir un petit bout de chair lisse. Ses seins s’efforcent d’échapper au soutien-gorge, et d’après sa respiration, je devine qu’elle dort. Ray la tire sur ses pieds, la faisant crier de surprise. Il l’amène au milieu de la pièce et la fait rester debout, jambes écartées. 

- Messieurs, c’est la salope dont je vous ai parlé. Elle fera tout ce que vous voudrez, alors amusez-vous !

John se jette sur ma femme. Tout en la tenant par les cheveux, il l’embrasse à pleine bouche tout en lui doigtant la chatte. Je passe derrière elle et je tends les mains pour sortir ses seins du soutien-gorge. John force sa bouche avec sa langue et explore sa bouche pendant qu’elle lutte pour tenir debout, l’alcool ayant visiblement fait des ravages. Je me tiens en retrait pendant que John suce ses tétons. Il est comme un gamin dans un magasin de bonbons, voulant tout goûter, mais ne sachant où donner de la tête.

Caroline gémit alors qu’il doigte sa chatte et suce ses mamelons. Elle a finalement son premier orgasme. Ses genoux cèdent et elle tombe au sol devant lui. John retire rapidement ses vêtements et présent sa bite à la bouche de mon épouse. Je suis content de voir que son membre fait la même taille que le mien. Cel rend la tâche facile à Caroline qui pose ses mains sur ses fesses et le tire en avant jusqu’à ce que sa bite disparaisse totalement dans sa bouche. John grogne encore et encore pendant que ma femme le suce. Après seulement une minute ou deux, il explose dans sa bouche. Comme d’habitude, elle avale tout et lèche la bite pour la nettoyer.

C’est mon tour maintenant. Ray s’allonge sur le sol et la fait grimper sur lui. Son monstre pointe vers le ciel alors qu’elle baisse lentement sa chatte humide dessus. John joue avec ses seins, sa bite redevenant dure. A mon signal, Ray la couche en avant jusqu’à ce que ses seins s’écrasent sur sa poitrine. Je prends alors du lubrifiant sur mes doigts et je commence à enduire son trou du cul serré. Je commence à lubrifier le conduit avec un doigt puis deux, faisant de mon mieux pour l’étirer légèrement sans la blesser. Quand elle réalise ce qui se passe, elle se débat comme une folle, mais avec Ray qui la tient solidement elle ne peut pas s’échapper.

- Ray, non ! S’il te plaît, tu m’as promis !

- Ne t’inquiète pas, tu vas apprécier. Maintenant, reste tranquille, salope !

Je retire mes doigts et je présente mon gland sur son petit trou. Je suis étonnée de voir à quel point j’ai du mal à pénétrer. Il faut que je pousse vraiment pour que ma bite passe son sphincter.

- Aie ! S’il te plaît non, ça fait mal !  S’il te plaît Ray, dis-lui d’arrêter !

Je pousse plus fort et quelques centimètres de plus entrent. Putain qu’elle est serrée ! Un coup de rein supplémentaire et je suis dedans. La chaleur et l’étroitesse sont incroyables. Je peux sentir la bite de Ray bouger dans sa chatte, un minuscule morceau de chair mince nous séparant.

- ARGGGHHHH Ummmphhh !

Alors qu’elle commence à crier, John fourre sa bite dans sa bouche et serre sa tête contre lui. Elle comprend vite le message et cesse de lutter. John la relâche pour lui permettre de reprendre son souffle pendant que Ray et moi commençons à la baiser.

Le lubrifiant fait son office et ma bite glisse plus facilement dans et hors de son petit trou vierge. Parfois je reste immobile à l’intérieur et je profite de la sensation de la bite de Ray qui lui baise la chatte. A d’autres moment c’est Ray qui reste immobile et moi je l’encule fort et vite. John continue de baiser sa bouche. Bien trop tôt à mon goût, je remplis son cul de mon foutre, c’est merveilleux. Elle serre très fort quand elle me sent venir et ça ne fait qu’intensifier la sensation. Après m’être retiré, John prend ma place. C’est génial de voir ma pute de femme prendre deux bites en même temps dans sa chatte et son cul. C’est encore mieux quand les deux hommes commencent à jouir.

Finalement, Ray emménage dans sa nouvelle maison. Mais à ce jour, ma femme continue de se faire baiser par lui ou David. A certaines occasions, le jeune noir amène des copains avec lui et lui montre à quoi sert vraiment une salope.

Est-ce qu’elle m’en a déjà parlé ? Foutaises !!!

FIN.

lundi 27 juin 2022

Train de nuit - Ch. 01

Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.

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Sophie prend le train.

C'est le début des vacances pour Sophie, une jolie fille du nord qui vient de fêter ses vingt ans. Elle n'est pas très grande avec son mètre soixante-cinq, mais elle est très bien faite. De plus, ses yeux verts allument la convoitise dans le regard des hommes et ça, elle s'en est aperçue déjà depuis pas mal de 
temps et on peut même dire qu'elle en joue assez souvent.

C'est la première fois qu'elle part ainsi en train toute seule. Depuis deux ans, elle part en vacances avec ses copines de fac, mais cette année, elle a choisi l'aventure, l'inconnu. Fille de famille, elle ne part tout de même pas en bohémienne. Sa place est déjà réservée dans un club en bord de Méditerranée où elle compte bien s'initier à la plongée sous-marine et qui sait, peut être trouver un beau garçon à l'accent chantant.

Elle est émoustillée par ce voyage solitaire qu'aucune contrainte ne vient ternir. Cette liberté est telle, qu'elle ne sait pas encore trop comment faire pour la dompter, aussi, le train à peine parti, elle se met nue au lit, espérant que le voyage sera plus rapide. Et puis, elle n'a pas envie de passer du temps avec la voisine de ses parents qu'elle a salué en montant dans le train. Cette femme est si bavarde, qu'elle imagine facilement les discussions interminables et stériles qu'elle risque à la rencontrer dans le couloir.

La nuit est chaude, elle n'a mis que le drap par-dessus elle et encore, elle a la jambe droite qui est dégagée presque entièrement. C'est plongée dans la lecture du fameux roman sulfureux "histoire d'O" qu'est la jeune fille, quand des coups sourds sont frappés sur la porte métallique. Ils la font sursauter. Elle questionne timidement :

- Oui, qui est-ce ?

- Contrôleur, Mademoiselle !

Sans se lever, elle pose son livre à l'envers sur le drap, tend le bras et déverrouille la porte. Elle attrape son sac à main qui est à ses cotés et fouille dedans pour en extraire finalement le billet. Un grand bonhomme d'une trentaine d'années entre à demi dans le compartiment. Il se baisse pour voir la fille et la salue :

- Bonsoir Mademoiselle, votre billet s'il vous plaît ? 

- Tenez !

Elle vient d'apercevoir les yeux d'un bleu lumineux qui la détaillait auparavant et elle sourit gentiment. C'est vrai qu'elle le trouve plutôt mignon ce contrôleur, rien à voir avec l'image d’Épinal du vieux contrôleur tout rond. Cet homme est grand et costaud, svelte, mais musclé très certainement, ses 
cheveux sont d'un blond qui fait penser aux surfeurs des feuilletons américains.

- Eh bien, mais vous n'êtes pas dans le bon compartiment Mademoiselle, c'est assez gênant, ce compartiment est réservé par des gens qui doivent monter à Troie.

- Aïe ! J'ai dû me tromper, veuillez m'excuser Monsieur, mais n'est-il pas possible d'inverser les compartiments maintenant que je suis installée ?

- Ah non ! ça c'est impossible, le règlement l'interdit, et vous savez, souvent les gens réservent telle ou telle cabine par nostalgie, ou parce qu'elle le rappelle une lune de miel, ou une rencontre...

- Oh Monsieur, s'il vous plaît, ne pourriez-vous pas expliquez à ces gens que je dors par exemple ?

- Vous en avez de drôles, vous ! Si vous croyez que c'est si simple. Et en cas de réclamations, je serai alors mis à pied pour faute, merci bien, je n'ai pas envie de perdre mon boulot !

- Allez... Dit encore Sophie en prenant un air de chien battu.

- Non, c'est impossible. je peux vous aider à déménager, mais je ne peux pas vous laisser ici, j'en suis vraiment navré, Mademoiselle !

- S'il vous plaît...

- Non, tonne cette fois François qui commence à être exaspéré par cette petite grue qui joue les saintes-nitouches alors qu'elle est visiblement nue sous le drap léger, car il s'aperçoit bien des volumes à travers le fin tissu.

Durant ce dialogue, le type est entré complètement dans le compartiment et a repoussé la porte. La jeune fille lui tend toujours son billet, il s'en empare et le poinçonne avant de lui rendre. En rangeant son billet dans son sac, Sophie ne s'occupant plus trop du drap qui lui masque sa poitrine, fait un tel mouvement, autant énervée de devoir changer de compartiment que par la présence de ce bel homme, que le tissu glisse laissant apparaître deux magnifiques seins, ronds et bien faits, dont les pointes sont érigées.

- Et vous dormez nue, en plus !

- Et alors, ce n'est pas interdit que je sache ?

- Non, mais cela dénote fort bien votre nature...

- Comment ça, ma nature, je vous prie ?

- Vous devez être une sacrée garce !

François, d'un coup d'épaule discret vient de refermer complètement la porte sans trop de bruit, maintenant, il approche une main de cette poitrine si tentante.

- Comment ça je suis une garce ?

Et, s'emparant du premier sein qui lui tombe sous la main, tout en le pressant, il poursuit :

- J'en ai vu des cochonnes dans les trains de nuit, mais des comme vous, qui me mettent leurs seins sous le nez, ça c'est un peu fort, je trouve !

- Mais je ne vous mets rien sous le nez, le drap a glissé, c'est tout !

- Ben voyons ! Et je suis sûr encore que vous ne portez même pas de culotte !

À ces mots, le contrôleur qui commence à être excité par la douce peau qu'il vient de tâter, s'enhardit à relever entièrement le drap. Puis il poursuit sur un ton devenant dur :

- Et voilà, qu'est ce que je disais, encore une folle de bites qui voyage à la recherche d'un bon coup !

- Je ne vous permets...

- C'est bon ! j'en ai vu d'autres… ! Et que dirait vos parents s'ils apprenaient votre attitude ? Hum ?

- Mais...

- Pas de mais… ! Vous êtes une grosse salope en chaleur, et c'est tout, je connais. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour vous empêcher de vous envoyer en l'air !

Durant tout le dialogue le contrôleur n'a pas cessé de regarder cette jolie jeune fille sous tous les angles qui lui étaient permis. Il a, par exemple, très bien remarqué qu'elle s'entretient régulièrement les poils du pubis qui ne forment qu'une petite touffe raz juste au dessus de la commissure des lèvres. Il a le sang qui commence à bouillir, aussi finit-il par dire avec une voix cassée qui trahit l'état d'excitation dans lequel il se trouve :

- Mais t'as de la chance, j'aime ça, moi les salopes en rut... !

Est-ce les mots, est-ce le ton, est-ce la chaleur, est-ce le début des vacances ? Certainement un mélange subtil de tout ça, toujours est-il que Sophie éclate en sanglots.

- Voilà les larmes maintenant, tssss...

Et François rejette complètement le drap au pied de la couchette dans un geste violent. Puis il fixe, d'un regard noir, la pauvre jeune fille qui est devenue subitement blême.

- Fais moi voir comment tu es faite, chienne !

Et à ces mots, il empoigne fermement la jolie brunette et, sans ménagement, il la plaque sur son lit. De sa main libre il écarte les jeunes cuisses bien faites, un rien rondes et commente :

- Putain ! il y a eu du passage par ici, tu as la chatte toute dilatée...

- Mais...

A suivre...

samedi 25 juin 2022

Nathalie Ch. 07

 Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****

Le mari assiste à la débauche de Nathalie.

Ma vie devint un rêve, un double rêve… Après cette soirée incroyable chez Gérard, avec la sotte complaisance de mon mari, où lui et ses quatre complices me firent devenir leur jouet sexuel, je prévoyais que cette fois mon mari ne serait plus une entrave. J'allais devenir dominatrice à la maison et hyper soumise à mon amant.
 
Bien entendu Pascal voulut savoir ce qui c'était passé lors de mon… initiation. Il fut servi !

- Mon pauvre chéri ! Si tu savais tout ce qu'ils m'ont fait… Ils m'ont pris individuellement, en sandwich, à trois, tous les cinq en même temps… Comme j'ai joui ! je n'ai jamais autant joui… Moi aussi je les aie fait jouir… je les ai caressés, j'ai léché leur couilles, je leur ai fait toutes les pipes qu'ils désiraient… Il faisait exprès de me faire sucer leurs queues quand elles sortaient de mon cul… Ils ont joui dans ma bouche, je les ai branlés entre mes gros nichons, ils ont aimé… Ma chatte aussi… si tu savais… je ne sais même plus combien de fois j'ai été baisée… Je te parle même pas de l'autre côté… ça été la fête… ils m'ont tous enculé au moins une fois… certain, peut-être plus d'une fois…

Pascal faisait grise mine… mais bandait. Je décidai d'enfoncer le clou.

- Et leurs sexes… si tu savais comme ils étaient montés… ton patron, il a une queue énorme, au moins deux fois la tienne mon pauvre ! il me faisait jouir à en crier dès qu'il me sodomisait… Le type de la sécurité est aussi bien pourvu … sans compter celui que tu ne peux pas voir, ce Philippe que tu as l'air de détester… tu fais pâle figure à côté, sans compter que c'était certainement lui le plus vicieux… il en a bien profité…

Et maintenant le coup de grâce…

- Gérard veut que je devienne sa maîtresse, j'ai déjà accepté. Je compte le voir autant que je le souhaiterais et autant qu'il en aura envie. Tu n'as pas le choix, c'est ainsi ou je te quitte… et là… je ne donne pas cher de ton poste de directeur, même chose si tu me fais des histoires…

Il était livide, je poursuivis :

- Alors, que décides-tu ?

Je le vis s'affaisser et bredouiller :

- C'est, c'est… enfin ! Co… comme tu voudras… j'ai compris… tout est de ma faute… je ne te ferais aucun reproche, promis… je filerais doux… Mais je t'en prie ne me quitte pas…

Gagné ! j'avais gagné et je lui concédai ironiquement :

- J'ai vu que tu bandais quand je t'ai raconté ma soirée, tu aimerais que je te raconte les autres ?

- Oh oui, oui je ne demande que cela !

- Eh bien ! Quand tu auras été sage et que je serais de bonne humeur, je te raconterais tout ce que ton patron me fait ! Tu n'as pas fini d'en entendre, surtout… surtout qu'il a dit que j'allais être sa chose, sa chienne, qu'il me donnerait à baiser à tous ses amis, que j'allais devenir sa pute, qu'il me ferait tout faire… Et j'ai dit oui, oui à tout…Tu te rends compte de ce que tu as raté ? En attendant pour ce soir tu dors dans le canapé.

Être dominatrice n'était pas si désagréable… Un par contre qui était bien dominateur c'était Gérard qui me conviait à chaque déplacement de Pascal pour des parties de baise mémorables où il invitait parfois un, deux ou trois de ses amis. Petit à petit il me fit connaître le trouble de l'exhibition, m'interdisant le port de sous-vêtements (sauf évidemment le porte-jarretelles), m'obligeant à des décolletés outranciers et même au port de mini-jupe (à mon âge !). Sur ses recommandations je fis même des essais avec seulement des bas sous un imperméable (il promit qu'un jour il me le ferait enlever…). Un soir, il vint me chercher à la sortie du lycée, il me reprocha ma tenue un peu stricte, me somma d'être plus affriolante pour aller en cours, et comme punition, je dus le sucer dans la voiture dans une rue adjacente au lycée (un collègue ou un élève aurait pu me voir faire, heureusement il n'en fut rien). Dès lors, pour les cours, l'assiduité masculine fut en nette augmentation. Je fermais les yeux lorsque je les voyais tenter de plonger dans mon décolleté ou que je sentais qu'ils se baissaient derrière moi dans les allées. Lors des déplacements de mon mari, ces séances avaient lieu chez lui, mais aussi chez moi où nue, je devais attendre sa venue et celle de son ou ses invités.
 
En plus de ces soirées, et bien que Pascal ne soit pas en voyage d'affaires, j'allais chez lui au moins une fois par semaine. Suivant mon humeur, en rentrant au domicile conjugal, je racontais ou non mes ébats à mon mari le laissant ou non me faire l'amour. Lorsque j'étais de très bonne humeur je lui faisais une fellation et dans les cas exceptionnels je le laissais me sodomiser (enfin ! lorsque l'endroit n'avait pas trop souffert de multiples pénétrations). 

Facétieuse, un soir je décidai de me pas me laver et de rentrer le vagin et le rectum plein du foutre dont les trois hommes m'avaient fait don. Je l'obligeai à me faire l'amour en baignant dans le suc des autres, je crois que cela l'excita comme jamais. Aussi la fois d'après, je le forçai cette fois à me nettoyer avec la langue avant de lui accorder mes faveurs. Non contente j'en voulais encore plus. Un soir ou mon mari était très, très chaud, je lui demandai :

- Que je te raconte c'est bien ! Mais tu n'aimerais pas voir plutôt ?

Je vis que j'avais touché juste, ses yeux me l'assurèrent. Je le laissai mariner une quinzaine et le samedi suivant, je lui annonçai :

- C'est pour ce soir !

- C'est pour ce soir, quoi ?

- C'est ce soir que tu vas voir Gérard me baiser, je l'ai invité ici.

- Ici ! mais, mais… enfin…

- C'est cela ou tu n'auras pas d'autre occasion de me voir en action.

Il fit contre mauvaise fortune bon cœur. J'en profitai pour l'envoyer chez le traiteur acheter de quoi organiser un repas… pour trois… mon temps allait être consacré à me faire belle… pour Gérard. J'allais mettre le paquet.

Porte-jarretelles, bas noir à couture, ça c'était la tenue de base dans laquelle me sauterai mon amant. J'y ajoutais un redresse-sein qui projeta mon buste vers le haut, un chemisier noir transparent, et une mini… non micro-jupe acquise dans un magasin pour minettes qui couvrait tout juste la partie renforcée de mes bas. Brushing et j'achevais en me maquillant d'une façon que je jugeais outrageuse. Bref pute, je faisais très pute… Pascal en me voyant en bégaya presque :

- Tu… tu vas… rester dans cette tenue ?

- Bien sûr mon chéri… il va aimer… Il adore que je fasse pute. Tu n'aimes pas toi ? Interrogeai-je faussement candide.

A l'heure prévue Gérard sonna. J'envoyai Pascal ouvrir. J'entendis un « bonjour, mon petit Pascal » qui me ravit. Gérard me complimenta en en rajoutant un peu :

- Bonjour ma belle salope, tu es très en beauté ce soir… tout ce que j'aime, très très très salope. Tu es parfaite, il faudra que je t'emmène dans un petit club que je connais. De jolies femmes y vont s'encanailler ou arrondir leurs fins de mois. Tu ne déparerais pas la collection… j'aimerais te voir essayer…

Carrément, il me proposait de faire la prostituée pour un soir. Je savais que j'accepterais cette expérience le moment venu, je commençais moi aussi vraiment à me dévergonder. Je répondis que j'allais étudier cette intéressante proposition… Pascal manqua de s'étrangler.

Apéritif, un second, Gérard, à chaque fois que je passais près de lui pour le servir, glissait la main sous ma jupe pour me palper l'entrejambe. Pour le repas, il me demanda d'ôter ma jupe et mon chemisier. Je le fis avec plaisir. Il ne fut question que de sexe pendant tout le repas, Gérard prenant un malin plaisir à humilier Pascal :
 
- Tu sais, mon cher Pascal, que ta femme est un coup somptueux et active en plus… Elle ne rechigne pas à l'ouvrage… elle suce divinement et comme elle bien roulée, mes amis en sont friand. Elle les aime bien aussi, surtout ceux qui sont bien montés, n'est ce pas Nathalie ?

J'acquiesçai évidemment… entrant dans son jeu. Il prit son assiette, ses couverts, et  vint se mettre à coté de moi, indiquant à mon époux :

- J'aime la peloter en mangeant.

Il tint parole… Tout le repas se poursuivit ainsi, Gérard vantant toujours les attraits de mon corps, de mes seins, de ma chatte toujours (selon lui) affamée, de mon cul (toujours selon lui) particulièrement disponible.

- Car c'est vraiment une folle du cul, je ne sais pas si tu la pratiques souvent, mais moi c'est à chaque fois. Et quand nous sommes en groupe tout le monde y passe ou y repasse. Il y a une fois nous l'avons enculée pas loin de dix fois… Tu te rappelles Nathalie ?

Pour cela oui, je me rappelais j'avais eu du mal à m'asseoir pendant deux jours.

- Elle affectionne particulièrement quand nous sommes plusieurs, si bien que, j'ai un ami qui organise de temps à autre des parties fines où la ou les femmes invitées sont très minoritaires. Je compte y envoyer Nathalie un de ces jours, la connaissant, elle sera partante…

Et il ajouta perfidement :

- Si tu n'y vois pas d'inconvénient, bien entendu…

Pascal fut bien obligé d'y consentir… Et ce fut ainsi tout le repas. Si bien qu'au dessert la conversation s'ajoutant aux attouchements, je me trouvai dans un état de fébrilité terrible. Je dus pourtant patienter, car, au café, Gérard réclama une pipe :

- Comme tu sais si bien les faire.

Donc en femelle soumise, je m'agenouillai entre ses jambes et le suçai sous le regard exorbité de Pascal. Je lui donnai le plus de plaisir possible et lorsque je le sentis se contracter, je le retirai de ma bouche, tirai la langue pour que mon mari puisse bien voir les jets de foutre se déverser. J'engloutis à nouveau l'ensemble et ne restituai sa queue à Gérard que lorsqu’elle fut propre. Nous bûmes le café et Gérard m'envoya me remaquiller annonçant qui il allait me baiser dans la chambre conjugale mais qu'il fallait que je fasse très pute. Il décréta ensuite que Pascal n'assisterait pas au spectacle, en guise de punition pour son manque de discernement de n'avoir pas décelé chez moi la vicieuse qui s'y cachait (là il exagérait un peu). Il dut rester devant la porte à m'entendre gémir puis râler de plaisir quand la grosse pine me perfora et m'amena à l'orgasme. Dès qu'il eut éjaculé, je me remis vite en devoir de le faire bander à nouveau. Gérard devina mes intentions :

- Tu veux que je t'encule devant lui hein !

- Oh oui, je veux qu'il voie ta grosse pine me défoncer mon petit trou…

- Tu as raison je vais l'appeler ! Pascal, viens voir veux-tu ! Ta petite femme à envie de se faire prendre le fion… Sois gentil, prépare-la pour qu'elle se fasse reluire en beauté…

Je le vis au supplice et pourtant il obéit. Une fois que je me fus disposée à quatre pattes, il écarta mes globes et me lécha délicatement l'œillet. Puis un doigt vint doucement en presser le centre et s'introduire avec subtilité. Il prit même la peine de me lubrifier à l'aide du sperme qui ruisselait de ma chatte. Quand Gérard me jugea suffisamment ouverte, il repoussa Pascal, pointa son gourdin contre ma rondelle qui céda volontiers. Le gros gland passa l'anneau distendu et le corps suivit la tête… jusqu'au fond. Gérard ne put s'empêcher de faire remarquer à mon mari que j'aimais beaucoup être enfilée bien à fond et que c'était comme cela que je jouissais le plus et que pour me rendre heureuse pleinement il ne fallait pas avoir une petite bite. Je souriai sous cape. En temps normal Gérard était déjà un as en matière de sodomie, mais là il fit merveille alternant ses rythmes et les profondeurs de pénétration tout en m'encourageant de la voix et du geste, en l'occurrence quelques claques sur les fesses.

- Regarde Pascal, je la lime comme une pute. Ohh que t’es bonne aujourd'hui… Allez bouge-moi ton cul, oui vas-y comme ça c’est bien.

J’obéis en bougeant mes fesses pour l’exciter encore plus.

- Ouiii c’est bon, plus fort, ohh caresse-moi… Claque-moi les fesses… Prends-moi c'est bon ! Baise-moi bien le cul ! Regarde mon chéri, regarde ce qu’il me fait, regarde comme il m'encule avec sa grosse pine… Oooooh comme il me fait du bien ! Défonce-moi ! Baise-moi, je suis à toi. Ouiiiiii… Ahhhhh Ah, oui… c'est trop bon… je vais… je vais… ahhhh !!!

Je jouis en criant et Gérard également lorsqu'il m'inonda les reins. Il se retira et non sans m'avoir fait bien sucer le membre qui m'avait tant donné de plaisir il prit congé en disant à Pascal :

- Si le spectacle t'a plu, dis-le à Nathalie, je me ferais un plaisir de revenir la baiser devant toi, cela m'a énormément excité. Oui vraiment ! Enculer une femme devant son mari c'est toujours très émoustillant.

Dès qu'il fut parti, je me dirigeai vers Pascal, il avait droit à une belle récompense. J'ouvris son pantalon, pris son sexe entre mes mains et alors que j'allais me pencher pour le sucer, il émit un couinement pathétique et se vida entre mes doigts. Je le trouvai pitoyable… et l'informai que pour une fois, je lui aurais permis, s'il avait tenu le coup, de jouir dans mon petit trou.
 
Je laissai passer quelques jours où je fus plus gentille avec lui et nous reparlâmes de cette soirée. Bien qu'humilié, il se dit d'accord pour une semblable aventure. Je lui proposai perfidement de me faire prendre par deux hommes devant lui, Gérard et un autre partenaire. Il accepta… J'avais fait cette proposition car dès le lendemain Gérard m'avais dit qu'il voulait recommencer et cette fois avec son ami Philippe qui était également l'adversaire professionnel de Pascal. Faire baiser sa femme par l'ennemi du mari, c'était du machiavel tout craché. Le plus difficile pour moi allait être de neutraliser Pascal pour qu'il ne jette pas Philippe dehors…

La promesse de me prendre ensuite de la façon qui lui plairait le plus l'emporta… Il consentit à être le témoin immobilisé de ma luxure. Je me procurai avec l'aide de Gérard ce dont j'avais besoin et attendis avec impatience le samedi suivant. Plus les jours passaient plus mon excitation montait. J'avais conscience de glisser lentement vers la perversité la plus équivoque. Mais à cause de cette prise de conscience j'avoue que je me complaisais à me laisser entraîner dans cet engrenage infernal.

Le vendredi arrivé j'étais tellement échauffée que pour la première fois, j'allais donner mes cours sans culotte. Etant particulièrement attentive je crois (et j'en suis même certaine) que quelques-uns des plus observateurs parmi mes cancres remarquèrent cette absence. La prof étant par définition intouchable, je m'en divertis derechef et… me promis de recommencer. 

Le samedi attendu arriva et je m'enfermai dans la salle de bain. Même look que la fois précédente. Toutefois je décidai de me passer de vêtements. Mes invités n'étaient pas conviés pour des mondanités… Donc je les recevrais en porte-jarretelles. En ondulant, je vins rejoindre mon mari, lui demandant de se mettre en jogging sans rien en dessous, il serait plus à l'aise… Quand il revint, je lui rappelai sa promesse de se laisser immobiliser. Je lui demandai de mettre les mains derrière le dos et prestement je lui passai les menottes. Il tenta de regimber… peine perdue ! Tout en me frottant à lui et en lui massant les bas morceaux, je lui susurrai :

- Comme cela, je suis sûre que tu vas être sage pendant que ta petite pute de femme va se faire enfiler… Tu dois être content que je me conduise ainsi, c'est ce que tu voulais… au début… J'ai vite appris non ? il est vrai qu'avec un maître comme Gérard… il m'a promis que les choses iraient encore plus loin. Et puis, de toute façon, si tu n'es pas d'accord, je te bande les yeux mon petit cocu chéri et tu n'auras que le son. Ce serait dommage, je me sens très chaude… et je vais me surpasser…

Que vouliez-vous qu'il fasse ? Au coup de sonnette je le poussai dans un fauteuil ou il tomba lourdement. Toujours en ondoyant j'allai ouvrir. Gérard et Philippe furent ravis de ma tenue. Galamment Gérard m'annonça que j'allais en prendre plein le cul, je lui répondis que c'est ce que j'espérais. Et tous deux me tenant par la taille nous fîmes notre entrée dans le salon. Mon mari voyant son pire adversaire passa par toutes les couleurs avant de se tasser livide et prostré. Il avait bien sûr deviné que mon corps allait lui appartenir sans retenue.
 
Goguenards, ils saluèrent Pascal. Philippe prit un malin plaisir à le remercier de son invitation à venir baiser sa femme, et comme cela venait du cœur, il n'allait pas se faire prier. Gérard donna le signal du début des festivités en m'interpellant :

- Allez la salope viens nous sucer !

Je débraguettai ces messieurs et m'agenouillai entre eux face à mon mari. Je pris une verge dans chaque main et commençai par les lécher sensuellement pour parfaire leur érection. Lorsque leur rigidité me parut conforme à mes souhaits j'embouchai Gérard, masturbant Philippe puis j'inversai les rôles et ainsi de suite. Qu'est-ce que je pouvais aimer cela ! Au risque de me répéter j'aime sucer, quelle sensation de sentir un ou deux membres palpiter dans sa bouche et entendre leur propriétaire grogner de plaisir. Sans compter le moment à la fois, fantastique, fatidique et redouté ou, gonflé à bloc, le membre expulse son foutre tiède et visqueux…Hummm !

Bien entendu, je dus me distendre les lèvres pour les prendre tous les deux ensemble dans ma bouche et les sucer longuement. Ils firent remarquer à Pascal avec des expressions grossières combien j'excellais dans l'art de la pipe. Puis ils décidèrent de passer à autre chose. Philippe alla retirer deux coussins d'un de nos divans et les posa à même le sol. Gérard me fit mettre en levrette et son majestueux pénis me pourfendit. J'avais beau y être un peu habituée, l'effet était toujours bouleversant et la sensation de plénitude lorsque la trique n'en finissait pas de glisser dans ma chatte ruisselante était fabuleuse. J'en gémis d'aise… enfin pas longtemps car Philippe, évidemment, proposa se pine à mes lèvres qui s'arrondirent pour mieux l'aspirer. Là encore ils firent constater à haute voix combien j'aimais me faire fourrer. 

Fatalement, ils intervertirent les places et ce fut Philippe qui me fit jouir le premier. Il me baisait bien, excitant de temps à autre mon clitoris gonflé ou titillant parfois mon anus, prélude à la suite. Autant que je le pouvais, je continuai à pomper Gérard qui lui s'occupaient activement de mes seins. Au bout de quelques changements de postes, ce fut Gérard qui me fit prendre mon pied et là ils se relâchèrent et me firent don de leur foutre.
 
Nous fîmes une pose, enfin si l'on peut dire, car assise entre eux sur un canapé, je subissais leurs attouchements. Ils me bouffaient littéralement la langue, me faisant rouler la pointe des seins, ou les pétrissant à pleines mains, par moment j'avais des doigts dans tous les orifices, jusqu'à quatre dans la chatte et trois dans l'anus qu'ils voulaient absolument distendre en guise de préparation pour ce qu'ils avaient en tête. Quand l'autre prenait le relais, il me faisait lécher leurs doigts. Je faisais tout, docile… 

ils m'emmenèrent devant Pascal et lui annoncèrent qu'ils allaient me prendre en sandwich. Puis, ils firent semblant d'hésiter sur le rôle de chacun en se faisant force de politesses. Finalement ils décidèrent qu'ils me prendraient deux fois ainsi dans la soirée en inversant les trous. Donc le moins membré (si l'on peut dire !) aurait les honneurs de mes reins. Je vis Pascal se raidir quand Philippe lui annonça le plaisir qu'il allait avoir à me sodomiser sous ses yeux… Pour la bonne règle, Gérard me demanda si j'étais d'accord sur la suite du programme. Je répondis (de la façon qu'il attendait) :

- Oh oui je suis d'accord, j'aime tellement quand vous prenez tous les deux ensemble. Je ne suis qu'une cochonne, une grosse salope, une sale pute qui aime se faire enfiler par les deux trous en même temps.

Gérard s'allongea sur les coussins et m'invita à prendre place. Je l'enjambai, m'agenouillai au-dessus de son vit dressé et avec lenteur, je m'assis jusqu'à ce que le sexe disparaisse entièrement dans mon vagin. Une fois bien installée, je me cambrai offrant mon postérieur à Philippe que je devinais impatient. Gérard me demanda d'être plus coopérative. Comprenant fort bien, je me penchai, mes seins s'écrasèrent sur son thorax, et toujours très cambrée, je me pris une fesse dans chaque main et les séparai en grand pour en révéler leur centre palpitant.

Philippe prit place derrière moi. Du pouce et de l'index d'une main, il écarta les bords de mon anus et de l'autre main un guida son pénis entre mes reins. Toujours dans la même position et continuant à me maintenir les miches ouvertes, je j'encourageai :

- Oh ! oui… ouiii… encore… oui… oui… plus loin… oui… pousse… pousse fort… oh ! Oui… ça y est…

Oui ça y était, j'étais parfaitement enculée à fond, le ventre de Philippe collé à moi. Je pus lâcher mes globes et reprendre appui sur mes mains permettant ainsi à mes amants de me tripoter les nichons.

Ils se mirent en mouvement… Que dire ! Celles qui ont déjà pratiqué ce genre de double assaut me comprendront. Le bassin rempli de ces tiges de chair, le double glissement à travers les orifices dilatés, les mains qui vous saisissent, les bouches qui se posent sur vous, appartenir à deux hommes (ou plus) en même temps quelle extase ! Aussi bien physique que cérébrale car sous les yeux de mon mari rendu immobile, ils me limaient énergiquement en me traitant de tous les noms et leur vocabulaire était copieux. Le pire, c'est que cela me transportait et je les encourageai :

Ah ! Aaah ! oui… continuez comme ça… vous me faites du bien… aaah ! Fouillez-moi… fouillez-moi bien les trous à fond… aaah ! écartez-moi… écartez-moi bien enfoirés… Ah ! Ça y’est, c’est bon ! ouiiii encore bande de salauds ! Et toi mon chéri, regarde ta femme faire la traînée… Regarde comme il m'encule… Oh que j'aime ça ! Ils vont me faire jouir ! Donnez-moi vos queues… je suis une pute ! Donnez-moi votre jus… Ouiiiiiii… Aaaargh…

Là, ils venaient de me procurer un orgasme fabuleux. Ils profitèrent de m'avoir réduite à l'état de pantin pour me besogner férocement. Ils s'attendirent mutuellement pour, comble de félicité, me remplir concurremment, la moule et le cul de leur semence. Avec des bruits humides incongrus ils évacuèrent leurs nids douillets. Reconnaissante, je les suçai voluptueusement pour supprimer toutes traces.

Après cette débauche d'énergie, nous avions besoin d'un temps de récupération (enfin, les hommes surtout, car moi…). Je leur servis donc un verre. Ce faisant, je remarquai une grosse tache sur le devant du jogging de Pascal. Il n'avait pu se retenir et le petit cochon avait joui dans sa culotte (menotté comment aurait-il pu faire autrement ?). Je pris un mouchoir de papier pour essuyer les dégâts. Au moment où je glissai la main dans le pantalon, Gérard bondit et avec une vitesse surprenante tira sur le jogging et dénuda ainsi le bas-ventre de mon époux. Gérard fut pris d'hilarité… En forme, Pascal n'était déjà pas doté, le pauvre, d'un membre fabuleux, mais là, après avoir déchargé, c'est vrai qu'il était un peu riquiqui… Philippe s'approcha également et rejoint Gérard dans le fou-rire. Ils ne se privèrent pas de quelques remarques acerbes du genre :

- Avec ça tu ne dois pas lui faire de mal… Ni de bien d'ailleurs !

- Ce n'est pas étonnant que ta femme cherche ailleurs !

- Tu l'as entendu bramer tout à l'heure, Nathalie ce qu'elle aime c'est les grosses bites…

Au manque de réaction de mon mari je me demandai si cette humiliation ne le comblait pas quelque part… à élucider !

Depuis un moment je remarquai que Gérard consultait régulièrement sa montre. Je me préparai à l'interroger quand la sonnette retentit nous faisant (Pascal et moi) sursauter. Je fus à peine étonnée quand Gérard dit :

- Laisse c'est pour moi !

Et se levant il se dirigea vers la porte malgré sa nudité. Philippe me précisa :

- C'est une surprise !

Pour une surprise, c’en était une ! Et de taille (si l'on peut dire…). Gérard revint accompagné de deux hommes de couleur taillés en athlètes. En un éclair je pensai (connaissant la réputation de ces hommes sur la taille de leur virilité) que si la proportion était respectée, ils devaient être montés comme des étalons. Gérard lança :

- Eh bien ma petite Nathalie tu avais prévu de t'amuser aujourd'hui. Ils sont là pour te faire resplendir, commence par les sucer bien à fond !

Puis s'adressant à mon mari :

- Tu vas voir que j'ai raison en qui concerne les grosses bites, ta salope d'épouse va leur assécher les burnes.

Gérard me précisa à l'oreille : 

- Ne soit pas inquiète, ils sont sains, donc capote exclue…

Les deux noirs s'approchèrent et ouvrirent leur pantalon. Ouuuuh ! Record battu ! Mis à part dans des films ou en photo, je n'avais jamais vu si gros… Enormes ! Dire qu'il allait me falloir les laisser me prendre par derrière… car je supposais que Gérard voudrait me voir sodomisée par ces deux hommes. Ils allaient me déchirer… Soumise aux ordres de Gérard je me mis à nouveau à genoux et pris les deux queues noires entre mes mains. Du coup, je pus juger de leur taille maximum…impressionnant ! J'enfournai la première, la pompai un instant, puis passai à la seconde. Cela me faisait un peu drôle de caresser ces couilles noires et de lécher des glands d'une couleur inaccoutumée. Je dus les sucer longtemps, ils étaient résistants, parfois Gérard ou Philippe me demandaient de me presser le clitoris ou les seins. Dans ces moments je devais continuer à les piper sans les mains… Plusieurs fois l'éclair d'un flash m'éblouit. Philippe et Gérard prenaient des photos… La quantité de sperme qu'ils envoyèrent fut à l'échelle de la grosseur de leurs testicules. Je ne pus tout ingurgiter, le jus âcre me coula sur le menton et les seins. Ils conclurent avec un accent inimitable que les putains blanches faisaient ça très bien.

A aucun moment leur érection n'avait faibli, l'heure de vérité était proche. Gérard me demanda de me mettre en levrette. L'un des deux noirs se mit derrière moi pris sa bite en main et appuya son gland contre l'ouverture de ma chatte qui s'ouvrit sous la pression. Oooh le monstre ! Et pourtant il me l'introduisit sans violence mais d'une seule poussée, inexorablement et sans marquer d'arrêt. Il me prit par les hanches et commença d'aller et venir. Me sentir posséder par un tel engin me faisait mouiller comme une folle. L'autre vint se placer devant moi et me tendit sa pine à sucer de nouveau. Gérard les fit changer de place à plusieurs reprises, je jouis deux fois… sans pouvoir crier à demi asphyxiée par la trique qui s'enfonçait dans mon gosier à chaque coup de bassin de mon divin baiseur. Gérard leur dit que s'ils le souhaitaient, ils pouvaient m'enculer… Vous pensez ! Celui de derrière, avec un grognement de satisfaction quitta prestement mon sexe et dirige son gland vers mon anus et commença à pousser. Un peu affolée je le suppliai :

- Doucement, doucement tu es trop gros…

Il insista, l'autre me maintint, complice. Il continua à me forcer doucement. Soudain il s'enfonça d'un coup, jusqu'à la garde :

- Je t'ai embrochée ! Je t'encule sale chienne de blanche…

Ahhhhh oui sa grosse bite me défonça. Je tendis ma croupe vers lui et ses couilles qui battent contre ma vulve. Je le sentais au plus profond de moi. Philippe prenait toujours des photos parfois en gros plan de ce monstrueux braquemart d'ébène m'ouvrant le cul. Encore une fois Gérard leur proposa de changer d'orifice. Je pris donc entre mes lèvres celui qui sortait de mon cul et entre mes reins celui que je suçais l'instant d'avant. Je fus singulièrement bien ramonée. Philippe leur demanda aussi de me claquer les fesses, elles rougirent… Ils me refirent ce changement de poste quatre ou cinq fois avant que sur l'invitation de mon amant, jamais à court d'idée salace, ils ne me prennent en sandwich. Comme je l'avais fait précédemment, et toujours devant Pascal qui bandait maintenant, je m'empalai à fond sur le premier pendant que le second se rapprocha de mes reins toujours amènes.
Offerte à ces deux mâles en rut, je me laissai aller et oubliant tout amour propre je m'abandonnai à mon plaisir et à mon excitation. Je me laissai bourrer longuement par ces deux bites raides, multipliant les ondes de plaisir. 

Gérard et Philippe s'approchèrent et tendirent leurs queues à sucer, ce que je fis avec plaisir. Ils me laissèrent me déchaîner, les chevaucher à ma guise, m'empaler sur leurs membres raides et tendus puis jugèrent qu'il était temps d'en profiter eux aussi. Un des blacks m'entoura de ses bras et emprisonna mes lolos dans ses mains. L'autre me soutenait sous les fesses... Je râlai et gémissai quand la bite me pistonnait l'anus, je haletai et j'ahanai lorsque l'énorme engin me ramonait le con... Je bavai sur les pines dans ma bouche, j'agitai les membres de façon désordonnée, parfois je me crispai et me tendis, regard révulsé... Un autre orgasme ! J'étais en sueur, honteuse de m'abandonner ainsi à ces deux brutes vicieuses qui me propulsaient au septième ciel. L'objectif était d'ailleurs parfaitement rempli puisque je geignais de bonheur constamment, comblée soit par la bite dans ma chatte qui venait buter tout au fond de mon vagin, soit par la celle qui me ramonait le cul. Je sentis qu'il allait éjaculer entre mes fesses, mais à ma grande surprise, il se retira de mon fondement, se dirigea vers Pascal et lui pinça le nez. Force lui fut d'ouvrir la bouche pour respirer. Erreur fatale puisque l'autre en profita pour lui enfourner sa queue souillée dans la bouche en lui disant :

- Si tu me mords, je te casse la gueule…

Afin d'observer la scène nous nous interrompîmes un moment que Philippe mis à profit pour photographier la scène sous les commentaires scabreux de Gérard. Cela me plut assez de voir mon petit mari obligé de sucer mon enculeur. Du coup je m'agitai sur le membre qui m'obstruait le vagin. Là-bas le noir poussa un grondement et poussa sa verge en avant pour obliger Pascal à avaler ce qu'il allait lui expulser. Quand il se fut vidé, il lui dit :

- Pas mal, petite salope…

Et il prit place sur un canapé. Gérard me demanda à voix haute pour être bien entendu de tous :

- Ma petite Nathalie, veux-tu que l'autre encule ton mari ?

En soi l'idée était drôle, mais trop, c'était trop… je jugeai la mortification de ce soir suffisante… et puis, ils étaient trop montés pour quelqu'un qui manquait de pratique… Gérard en convint et décréta :

- Bon ,c'est comme tu veux, c'est toi qui sera à la place de ton cher et tendre !

Et il ajouta pour l'autre :

- Vas-y, encule-la, casse-lui le pot, je veux l'entendre gueuler !

Il ne se le fit répéter deux fois. Sortant de dessous moi avec souplesse le membre épais prit le chemin de mes entrailles. Il n'y alla pas de main morte, accroché à mes hanches ses va-et-vient furent amples et féroces. Philippe immortalisait toujours mon exhibition. Gérard, lui était près de moi et de temps à autre il me fourrait son sexe dans la bouche, me palpait les roberts, me trifouillait les clitoris ou me pinçait les tétons le tout accompagné de ses gentillesses habituelles :

- Tiens chienne! C’est ton calibre ça, hein ? Ça te l’ouvre bien ton trou de balle... Tu aimes ça hein ? Ça c’est une bite comme tu les aimes hein... T’aimes ça, hein, dis-le !
 
Je me sentis chavirer... Ce membre qui me défonçait et qui allait de plus en plus loin, ces propos humiliants mais qui m’excitaient malgré moi, la honte que j’en éprouvais, tout cela me fit jouir très vite. Sous leurs yeux satisfaits, je me mis à trembler, tout mon corps se tendit puis fut secoué de spasmes en même temps que je poussais une longue plainte…

- C’est bon... Hein c’est bon salope ! Dis-le! m’ordonna t-il.

Emporté par l’intense plaisir que j’éprouvais, je m’entendis lui répondre comme à l'accoutumée :

- Oh oui... C’est bon... Oui, Ouuiiiii !

Gérard me souleva la tête et me dit :

- Dis que tu aimes, dis à ton mari que tu aimes te faire enculer par des noirs ! Allez dis-le ! Dis-lui que tu seras ma pute ! Allez !

- Oh oui... ce n'est pas vrai ! Ce n'est pas possible ! Ah ! Aaahh ! Aaaaaaaaahh... Oui j'aiiiiime… J'aime le cul ! Chéri, je vais être la pute de Gérard ! Oh... Oooooh... Ooooh la la !

Sans pouvoir me contrôler je me tendis, ouvris la bouche comme si j'allais suffoquer. Cette fois tout mon corps trembla des pieds à la tête en sentant le noir jouir en moi... Une, deux, trois... quatre, cinq giclées successives éclatèrent dans mes intestins... Ah le salaud! Il m'avait mis la dose... Je basculai sur le côté, exténuée, et restai un moment, le corps pesant, complètement molle et l'esprit troublé de ce que je venais de proférer. 

Apparemment les deux hommes avaient terminé l'opération Nathalie puisqu'ils se rhabillèrent. Gérard les raccompagna, je le vis, effarée, leur tendre quelques billets. Il les avait payés pour me baiser… Il revint goguenard en disant :

- Je retiendrai cela sur la paye de ton mari.

Comme mon exhibition avec les deux hommes leur avait fait de l'effet, ils tinrent à accomplir ce qu'ils avaient décidé et j'eus droit à mon troisième sandwich de la soirée. Passablement fatiguée, je mis plus longtemps à jouir, mais ce fut quand même très, mais très agréable…

Une fois bien…rassasiés, mes deux amants me laissèrent, sur la promesse de nouvelles soirées de débauches et je me retrouvai seule avec mon petit mari menotté.
 
Je décidai d'être attentionnée, je me dirigeai vers lui, m'agenouillai et me mit en devoir de m'occuper de ses couilles que je caressai, léchai et gobai un moment. Puis, je me redressai, lui tournai le dos et m'abaissant, je fis pénétrer son membre dans ce qui était d'habitude mon petit trou et qui en cet instant se trouvait fort ouvert. Trop dilatée et plutôt exténuée, je savais que cette fois je n'éprouverais pas d'orgasme, mais j'avais décidé d'en offrir un à Pascal pour le récompenser. Il cria… et je ne cessai de m'empaler que lorsque, ayant diminué de taille, il décula de lui-même. Avant de le détacher, je l'embrassai longuement, histoire de lui faire partager les saveurs de tout ce qui m'était passé dans la bouche. La sienne sentait aussi le foutre…

Je le libérai et au moment o* nous allions sombrer dans le sommeil, il m'avoua qu'il avait beaucoup aimé cette soirée et qu'il me remerciait de n'avoir pas cédé à la tentation de le voir sodomisé. Reconnaissant, il m'autorisa toutes mes frasques futures. Nous fîmes donc une sorte de deal, il m'autorisait toutes mes incartades (ajoutant qu'il serait volontiers voyeur) et je m'engageais à tout lui raconter en détail. Je lui annonçais donc que j'allais profiter pleinement de cet accord et que j'allais m'offrir aux perversions de Gérard. Je lui appris que ce dernier avait des projets pour moi comme me forcer à assurer mes cours nue sous une robe légère ou me présenter à organisateur de partouze pour y être livrée à des groupes d'hommes ou encore m'emmener dans un club libertin pour y jouer le rôle de pute. Je lui appris également que j'allais accepter avec joie toutes ces turpitudes…

A suivre...

jeudi 23 juin 2022

Esclave du Harceleur de Mon Fils Ch. 01

Traduction d'un texte de GTO_Racer.

****

Le chantage se met en place. 

Alors voilà, je suis au « Club-house » en train de sucer profondément Jérôme. Celui-ci est le harceleur de mon fils Jacques. Derrière moi, j'entends ma meilleure amie Jessica se faire enculer brutalement par Eric. Jérôme parle au reste de ses copains avec leurs petites amies pendant que je le suce. Tout le monde est entièrement habillé alors que Jessica et moi ne portons que nos plugs anaux (Jessica a le sien dans sa bouche, car son cul est bien occupé), des porte-jarretelles, des bas, des talons aiguilles de 15 centimètres, des anneaux aux clitoris, des anneaux aux mamelons et une chaîne en or entre ces anneaux. Oh oui bien sûr, il ne faut pas que j'oublie les colliers et les laisses.

Jérôme et ses copains viennent de terminer leurs études secondaires ainsi que mon fils et la fille de Jessica, Avril. Cela signifie que notre esclavage sera bientôt terminé. Je ne suis pas vraiment sûre de ce que je ressens en ce moment. J'avais l'habitude de compter les jours jusqu'à ce que ce soit fini, mais là, je suis un peu désolé que ça se termine. En quelque sorte, j'ai commencé à vraiment apprécier.

J'entends alors la porte s'ouvrir.

- Hé Jérôme! Nous sommes là alors quelle est cette surprise dont tu m'as parlé? Dit une voix que je ne connais trop bien.

Mes yeux s'écarquillent et j'aurais eu le souffle coupé si je n'avais pas une bite dans ma bouche. Cependant j'entends Jessica grogner de surprise.

**** Environ 9 mois plus tôt. ****

- Jacques? Qu'est-il arrivé à ton œil? Demandé-je alors que mon fils entre à la maison après l'entraînement de football.

Il me répond :

- Jérôme comme d'habitude. Il m'a engueulé d'avoir heurté Tania alors qu'elle n'était pas censée être sur le terrain. Nous avions commencé à jouer et je regardais le gars qui avait le ballon quand BAM, je l'ai percutée. Elle n'avait rien à faire là, mais Jérôme s'est mis en colère et il m'a cogné sur le parking après l'entraînement.

Je suis alors à peine de contrôler ma colère et je dis à mon fils :

- Hé bien c'est ça!!! Je suis fatiguée qu'il te harcèle sans cesse sans raison valable. Cela a assez duré. Je vais m'en occuper une bonne fois pour toutes.

Jacques essaie de me dissuader, mais je ne l'écoute plus. Jérôme harcèle mon fils depuis trop longtemps. Jacques n'a jamais rien fait pour mériter ça, mais il subit quand même. Lui et ses amis sont la cible de Jérôme et de tous ses copains. Ce sont les principaux joueurs de l'équipe de football avec leurs copines. Bien sûr les enfants les plus populaires se moquent des enfants les moins populaires.

Il faut que je décrive le contexte. Jacques est mon seul enfant. Son père a été tué dans un accident du travail il y a plusieurs années. L'entreprise était en faute et nous a versé des indemnités qui nous permettent de ne pas nous inquiéter des questions d'argent pour le reste de notre vie. Jacques était jeune et je n'avais que 32 ans lorsque l'accident s'est produit. J'ai eu Jacques alors que j'avais 18 ans et que je venais juste de finir mes études. Son père était mon petit ami depuis toujours et nous nous étions mariés la semaine suivante l'obtention de nos diplômes. Mon mari avait eu une bourse d'études pour entrer à l'université et il avait obtenu un doctorat en Génie. Il avait ensuite trouvé facilement un emploi dans une entreprise locale. Tout allait bien jusqu'à l'accident. Maintenant nous ne sommes plus que nous deux, Jacques et moi.

Mon fils est un bon gosse. Il a un cœur en or et il est très intelligent, tout comme son père. De plus, tout comme son père, il n'est pas très doué pour le sport, mais il fait des efforts et il aime le football. Il a quelques amis, mais ils font assez ringards bien qu'ils soient tous très intelligents et qu'ils réussissent bien à l'école. Malheureusement ils ne sont pas populaires. Jacques mesure environ 1m80 pour 85 Kilos et il est musclé à force de s'entraîner et jouer au football. Mais il n'est pas dans les meilleurs de l'équipe.

Jérôme, lui, est la star de l'équipe. C'est le meilleur joueur de la région et plusieurs universités lui ont offert des bourses pour qu'il vienne chez elles. C'est presque lui qui dirige l'école. L'administration et les enseignants le laissent quasiment faire ce qu'il veut, car il donne une bonne réputation à l'établissement. Il est le meilleur joueur de la région depuis des années. C'est un noir qui mesure 1m90 pour 120 kilos de muscles. Sa petite amie Tania est la pom-pom girl en chef bien sûr.

Le lendemain matin, je m'habille avec l'un de mes meilleurs tailleurs, une jupe grise descendant jusqu'aux genoux avec la veste assortie. En dessous j'ai un chemisier blanc, des bas à coutures noirs et des talons de dix centimètres. Je porte un soutien-gorge en dentelle rouge et un string assorti. Je me sens toujours plus confiante lorsque je porte des sous-vêtements sexy sous mes vêtements.

Il faut que je vous en dise plus sur moi. Je m'appelle Annie BROWN. Comme je l'ai dit plus tôt, j'ai donné naissance à mon fils lorsque j'avais 18 ans. Donc maintenant j'en ai 36. Je mesure 1m70, j'ai des cheveux épais et ondulés de couleur cuivre qui tombent dans mon dos. Ma poitrine fait du 100E, ma taille est fine et s'évase sur mes hanches. Mes jambes sont longues et musclées. Je passe quatre jours par semaine avec un coach de gym pour garder mon corps en forme. Bien que je n'ai pas le visage d'un mannequin, on m'a toujours dit que j'étais attirante. Et même si les seules personnes à le voir sont les autres femmes dans le vestiaire de la salle de gym, j'entretiens ma pilosité pubienne en ne laissant qu'une fine bande de poils de même couleur que mes cheveux. Oui je suis une rousse naturelle aux yeux vert clair?

Pendant notre vie de couple Mon mari et moi avons eu une vie sexuelle phénoménale. Nos libidos étaient importantes et nos activités sexuelles nombreuses (salon, cuisine, salle de bain, banquette arrière de la voiture). Nous avons expérimenté une grande variété de jouets et nous avons même essayé le bondage et la soumission. J'étais toujours la soumise dans nos jeux, et je dois admettre que j'appréciais. Il suffit de dire que j'aimais être sa salope, mais je n'étais qu'à lui. J'étais une femme élégante et parfaitement respectable en public et une totale nymphomane en privé avec mon mari.

Mais quand mon mari fut tué, ma libido s'est mise en hibernation. Je ne pouvais tout simplement pas supporter l'idée d'être avec quelqu'un d'autre. Un an après la mort de mon époux, j'ai décidé que mon seul objectif serait d'élever notre fils pour qu'il devienne l'homme que son père était. Je n'amènerai pas d'autres hommes à la maison. Bien sûr, on m'a demandé de nombreuse fois au fil des années de sortir (et j'ai même été contacté par des femmes quand la rumeur a circulé que j'étais lesbienne parce que je refusais les offres de tous les hommes). Mais honnêtement, je voulais juste me concentrer sur l'éducation de mon fils. Je ne voulais pas compliquer les choses en ayant une autre relation. Pour lutter contre le stress sexuel qui s'accumulait, j'ai acheté sur internet quelques jouets qui répondent à tous mes besoins. De bons godes sont tout ce dont j'ai besoin.

J'arrive à l'école juste après le début des premiers cours. Je demande à parler au directeur et à l'entraîneur de football. Environ une demi-heure plus tard, je suis conduit dans un bureau. Je raconte alors aux deux hommes les évènements où Jérôme a intimidé mon fils sans raison. J'exige alors que des mesures soient prise et que le harcèlement cesse sinon je serai obligée de porter plainte contre l'école et eux personnellement. Ils m'ont alors assurée qu'ils s'occuperaient du problème et ils m'ont présenté de nombreuses excuses pour ce qui s'était passé. Satisfaite, je suis partie et je suis rentrée à la maison. J'ai joué alors avec BOB, mon vibromasseur, pour évacuer la tension.

**** Jérôme ******

J'ai été appelé dans le bureau de l'entraîneur pendant la deuxième heure de cours. Il était vraiment énervé. Les ennuis apparaissent et s'amplifient avec le temps. Madame BROWN a parlé avec le directeur de l'école et mon entraîneur. Après son départ, le directeur a engueulé l'entraîneur et lui a dit de régler le problème en disant que ce serait une mauvaise image de l'école si ça devenait public. Bien sûr, l'entraîneur m'a crié dessus et m'a dit que je ferais mieux de résoudre ce problème sinon je risquais de perdre mes bourses, du moins celles des meilleures universités.

Mais il faut que je mentionne certaines choses. Tout d'abord je ne suis pas un idiot. Bien que je sois vraiment bon en sport et principalement au football, que je sois la star de l'équipe, je suis aussi plutôt intelligent. Je sais que très peu d'athlètes universitaires deviennent professionnels. Et très peu d'entre eux obtiennent des contrats qui rapportent des millions. De plus la carrière d'un professionnel est très courte. Donc je suis déterminé à obtenir une bonne éducation et des diplômes sur lesquels je pourrai me rabattre. J'ai une bonne moyenne pour le moment. Comme je l'ai dit, je suis intelligent et je travaille dur pour maintenir ma moyenne. Maintenant il faut que je me concentre pour résoudre ce petit problème.

La première résolution est facile à prendre. Au déjeuner, je dis à tous mes amis que désormais il faut laisser Jacques tranquille. Il ne faut plus l'embêter. Je ne me soucie pas de ses amis ringards, mais lui est intouchable. Pour être honnête, je ne me souviens vraiment pas pourquoi Jacques est devenu un de mes souffre-douleur. Bien sûr, il n'est pas un athlète doué et il ne représente pas une menace pour moi. De toute façon il ne joue pas au même poste. C'est un joueur secondaire de l'équipe . En fait je le respecte un peu. Car même s'il n' a pas de talent, il est probablement le plus acharné de l'équipe à vouloir s'améliorer. Il est toujours le premier sur le terrain pour l'entraînement et toujours le dernier à partir. Il n'a peur de rien, même des joueurs plus costauds. Et il a appris toutes les tactiques de jeu. Ce gars adore le football et se donne à 200 %.

- J'ai vu sa mère sortir de l'école ce matin. Putain, elle est sexy. Dit Eric.

- Ouais, mais c'est une garce. Elle est probablement frustrée de ne plus être baisée depuis que son mari a eu un accident. Ajoute Thomas.

- Il a travaillé avec mon oncle et je l'ai entendu dire à quel point elle était entreprenante dans une chambre. Il n'est pas vraiment entré dans les détails, mais il a dit qu'elle devenait une vraie nymphomane quand elle était excitée. Continue Jason.

Un plan commence à se former dans ma tête, mais il me faut plus d'informations. Il est temps de se renseigner.

- Thomas, tu n'as jamais vraiment été avec nous quand nous harcelions Jacques et ses amis. Et même, à plusieurs reprises, tu as essayé de nous faire abandonner. J'ai un travail pour toi.

Je le vois s'inquiéter un peu.

- J'ai besoin que tu deviennes ami avec la petite copine de Jacques, Avril. Vois si elle peut te demander des informations sur Madame BROWN.

- Le plus dur va être de faire en sorte qu'Avril me fasse confiance. Mais je sais que sa mère est la meilleure amie de Mme BROWN. Elle est divorcée, et toutes les deux font les magasins ensemble, en célibataire.

Je réponds alors :

- Génial! Quant à toi Jason, parle à ton oncle et vois si tu peux obtenir plus d'informations. Vois si tu peux avoir des détails croustillants.

Je regarde Thomas.

- Thomas, tu vas devoir t'éloigner un peu de nous. Dis à Avril que tu t'es un peu brouillé avec nous. Ça devrait t'aider à la mettre en confiance. Défends-la s'il elle est embêtée. Ne t'inquiète pas. On te réintègre dans le groupe lorsque les choses seront réglées.

Le plan se réalise au cours de la semaine suivante. Nous avons laissé Jacques tranquille et Thomas a commencé à traîner avec Avril. Jason a interrogé son oncle et obtenu des informations un peu plus intéressantes au cours du week-end. Mais la chose la plus importante s'est déroulée le dimanche soir. Thomas était chez Avril pour l'aider. Elle a des difficultés en chimie donc Thomas s'est porté volontaire pour l'aider, car il est un des meilleurs dans cette matière.

- Donc Avril et moi étions sur la table de la cuisine pour étudier quand Mme BROWN est arrivée. Avec la mère d'Avril elles sont parties au salon avec un verre de vin. J'ai entendu Mme BROWN se plaindre d'être frustrée de n'avoir que BOB à la maison. Ensuite elle s'est mise à parler de comment elle était une vraie salope avec son mari au lit. Dit Thomas.

Nous étions dans un coin tranquille sans personne alentour. Nous ne voulions pas qu'Avril voit Thomas nous parler et se doute de quelque chose.

- Qui est BOB? Je ne savais pas qu'elle voyait quelqu'un! Dis-je.

Un petit ami mettrait sérieusement des problèmes à mon plan. Thomas rigole.

- BOB n'est pas un mec! Je n'aurais pas cru que tu ne sais pas ce que c'est. Toutes les filles connaissent BOB. C'est un acronyme. Bob est un vibromasseur.

- Ah!

C'est tout ce que je peux dire. Mais maintenant je suis prêt, je peux continuer mon plan.

Plus tard dans l'après-midi, je m'approche de Jacques et je l'aide à se relever en lui disant :

- Salut Jacques! Bien joué, mais la prochaine fois déplace-toi plus vers la gauche et tu seras mieux placé pour défendre contre ton vis-à-vis.

Bien sûr, il me regarde avec méfiance. Je ne lui ai jamais donné de conseils auparavant. Il doit se demander si je ne prépare pas quelque chose. Il hoche la tête pour me remercier et reprend sa place sur le terrain. Mais il a dû voit l'utilité de mon conseil, car il se place plus à gauche. Effectivement il est mieux positionné et lorsque Eric lance le ballon, il réussit à l'intercepter.

- Je te l'avais dit! Dis-je en revenant à côté de lui.

Je lui donne quelques conseils supplémentaires tout au long de l'entraînement. Il est toujours méfiant, mais il commence à voir que mes suggestions sont réellement bonnes.

- Alors, qu'est-ce que tu vas me jouer comme tour?

J'entends ces mots derrière moi alors que je me change devant mon casier. En me retournant, je vois Jacques avec un air sombre sur le visage.

- Je ne vois pas de quoi tu veux parler. Je ne vais pas te jouer de tour. Dis-je.

- Tu ne me donnes jamais de conseils d'habitude. Chaque fois que tu me fais faire quelque chose sur le terrain, je me ramasse une beigne d'habitude. Et aujourd'hui, soudainement, tu commences à m'aider. Que prépares-tu?

Il est intelligent ce bâtard, mais ce n'est pas une surprise. Il a une des meilleures moyennes et il suit en complément d'autres cours pour entrer à l'université. Mais je ne prépare rien pour lui. C'est sa mère qui m'intéresse. Donc je trouve des excuses :

- Écoute, je suis désolé pour l'autre jour. Tania n'avait rien à faire là et tu n'étais pas en faute. j'ai juste perdu mon sang-froid. Après que l'entraîneur m'ait parlé l'autre jour, je me suis assis et j'ai réfléchi. Je veux m'excuser pour le passé. Voici mon but. Tout tu es l'un des gars de l'équipe qui s'entraîne le plus. Bien sûr tu manques un peu de talent, mais tu t'accroches. Quoi qu'il se passe, tu ne renonces jamais, tu te relèves et tu joues. J'admire cette façon de faire. De plus, plus l'équipe est meilleure, plus les universités surveillent les joueurs? Cela signifie que nous pourrons obtenir de bonnes bourses. Si je t'aide à t'améliorer, cela profitera à l'équipe. Avec la blessure musculaire de Jerry, tu vas probablement jouer plus souvent. Donc tu dois être le meilleur possible. Donc tu aides l'équipe et c'est bénéfique pour tout le monde.

- Ok, c'est pas idiot ce que tu dis! Marmonne-t-il en se retournant avant de s'éloigner.

Je ne pense pas qu'il me croit à 100 %, mais ce n'est que le début. Je mettrai mon plan en action demain. Je finis de m'habiller et je vais au bureau des entraîneurs.

- Hé Monsieur, j'ai besoin que vous me fassiez une faveur. Dis-je.

Être le meilleur joueur de l'équipe de toute la région et dans l'histoire de l'école me procure certains avantages de la part du corps enseignant et de l'entraîneur.

- J'ai besoin de m'absenter demain. j'ai des choses à faire et je dois sauter l'entraînement.

Il me répond :

- D'accord, je pense que tu peux manquer une session du moment que tu révises les tactiques pendant le déjeuner.

- Bien sûr! Et puis que diriez-vous de faire jouer un peu plus Jacques?

Il me regarde avec méfiance. Je dis donc :

- Sérieusement. Je l'ai bien regardé et je pense qu'il peut apporter de la nouveauté à l'équipe. De plus, avec la blessure de Jerry, nous aurons sûrement besoin de lui. Il faut qu'il s'entraîne bien pour être en coordination avec l'équipe. Et puis je pense que ça calmera sa mère si elle voit que son fils est pris plus au sérieux.

L'entraîneur n'a toujours pas l'air convaincu, mais, comme je l'ai dit, il me fait assez confiance. Donc il accepte un peu à contrecœur et je pars pour retrouver mes amis dans notre maison étudiante.

***** Annie, le lendemain après-midi *****

Jacques est rentré de l'entraînement hier soir assez content de lui. Il m'a raconté que Jérôme lui avait parlé et l'avait aidé. Il m'a répété ce que le garçon lui avait dit dans le vestiaire. Inutile de vous dire que j'étais très méfiante. Certes, mon fils n'a pas été ennuyé ces derniers jours, mais cela me semble étrange. Après tout, peut-être que mon entrevue avec le directeur et l'entraîneur a porté ses fruits. Donc j'ai haussé les épaules et je n'y ai plus repensé.

Vers 13h00, la sonnette retentit. Je suis étonnée de voir Jérôme se tenir là quand je regarde dans le judas. Il est bien habillé et il a même un bouquet de fleurs. C'est étrange. Il faut que je voie ce qu'il veut.

- Bonjour Mme BROWN. J'espère que je ne vous dérange pas. Je voulais venir personnellement vous présenter des excuses pour la façon dont votre fils a été traité. Dit-il après que j'ai ouvert la porte.

- Euhhh... Hé bien... Merci! Balbutié-je.

Bon sang, j'avais l'impression d'être dans une autre dimension.

- Puis-je entrer et vous parler, s'il vous plaît? Je veux vraiment m'excuser et voir s'il y a un moyen pour que je puisse me faire pardonner par votre fils et vous?

Ouvrir la porte et m'écarter pour le laisser entrer fut la pire erreur de ma vie.

Je l'escorte dans le salon et je lui amène un verre d'eau alors qu'il s'assoit dans le canapé. Il commence à parler alors que je m'assois dans une chaise en face de lui.

- Encore une fois, Mme BROWN, je m'excuse sincèrement pour la façon dont j'ai traité votre fils au cours de ces deux dernières années. C'est un bon garçon et je ne me souviens vraiment pas pourquoi j'ai commencé à le harceler. Probablement que je m'amusais parce qu'il n'est pas aussi populaire que moi. Peut-être que c'est juste pour renforcer ma réputation auprès de mes amis en montrant que je suis le mâle alpha. Quoi qu'il en soit, j'ai réfléchi maintenant et je veux faire amende honorable.

- Hé bien merci Jérôme. C'est très mature de ta part. Vraiment, tout ce que veut mon fils, c'est qu'on le laisse tranquille, qu'il ne soit plus harcelé. Dis-je.

- Ouais, j'en ai parlé à mes copains et ils l'ont laissé tranquille ces derniers jours. J'ai même commencé à l'aider pour l'entraînement.

- Oui, il me l'a dit hier soir quand il est revenu à la maison. Je dois admettre que ça m'a un peu surprise.

- Oui, et ça surprend mon groupe d'amis aussi. C'est là que j'ai un problème. Continue-t-il.

- Hein? Quel genre de problème? Où y a-t-il un problème? Balbutié-je.

- Je vous explique. J'ai construit ma position de mâle alpha à l'école en devenant un grand athlète et une figure dominante sur ceux qui m'entourent. Je resterai toujours un athlète, mais faire preuve de pitié et devenir gentil avec les autres risquent de me faire perdre mon autorité sur mes amis. En fait je m'en suis aperçu ces derniers jours. Et je ne veux pas perdre ma domination, ma position de leader. Explique-t-il.

- Tu peux sûrement gérer ce problème. Je veux dire, où est le problème de laisser un garçon tranquille? C'est pas comme s'il avait fait quelque chose pour mériter ça.

Je commence sérieusement à m'inquiéter de la tournure que prend cette conversation.

- Vous avez raison. Je pourrais gérer ça, mais je n'ai pas vraiment de raison de le faire. Je vais vous dire, il serait vraiment plus facile pour moi de laisser mes amis faire ce qu'ils veulent. Je ne perdrais pas mon autorité. Alors que si je les oblige tout le temps à être gentil avec Jacques risque de saper mon autorité. Qu'est-ce que j'en retirerais?

- Qu'est-ce que tu veux dire?

Je commence vraiment à être inquiète.

- je dis que protéger et même aider votre vils va me coûter. Je veux une compensation pour ça. Dit-il d'une voix froide.

- Un compensation? Tu veux de l'argent pour faire quelque chose qui est bien? Crié-je.

- Oh non. Je ne veux pas d'argent. Vous voyez, j'ai plusieurs universités qui me surveillent actuellement. Et ils regardent tout, même mes finances. Dont je ne peux me permettre de gagner de l'argent ainsi. Ça risque de causer des problèmes, je ne veux pas prendre le risque. M'explique-t-il.

- Alors quel genre de compensation veux-tu?

Je suis nerveuse. Il me fait chanter pour protéger mon fils. J'ai besoin de savoir ce qu'il veut.

- J'ai pensé que vous pourriez être ma compensation. Dit-il en souriant.

- PARDON? Qu'est-ce que c'est que cette connerie. Crié-je.

Puis, en colère, je continue :

- Écoute petit salaud, je vais aller voir le directeur, puis je vais aller porter plainte à la police. Je vais même en parler aux journaux. Tu t'inquiètes pour ton avenir à l'université? Que va-t-il se passer si tu es arrêté pour chantage ou agression? Que vont en penser toutes les universités qui te surveillent?

C'est alors qu'un sourire mauvais s'affiche sur son visage.

- Personne ne fera rien. Car, si vous faisiez cela, je renverserais les rôles et dirais que votre fils me harcèle. Je peux montrer des vidéos où il est agressif sur le terrain. Et je peux demander à tous mes amis de témoigner pour moi. Soyons réaliste, je suis presque un héros pour toute l'école. L'administration, les professeurs, l'entraîneur font tout pour me choyer à cause de l'attention qu'il leur est porté. Et puis même la police sait qui je suis et m'a fait sauter plusieurs contraventions. C'est votre parole contre la mienne et celles de mes amis. Qui pensez-vous qu'ils croiront? Vous aurez la réputation de la mère trop protectrice qui refuse de voir que son fils est un vrai connard.

Merde, je suis piégée. Je n'ai que deux choix : laisser mon fils se faire harceler le reste de l'année, ou payer. Je ne sais pas exactement ce qu'il veut, mais je devine que ça a quelque chose à voir avec le sexe.

- Oh, et je dois vous dire que l'on va le harceler encore plus à l'avenir. Certains de mes mais ne l'aiment pas beaucoup. Il ne faudrait pas que malencontreusement il se blesse à l'entraînement. Une blessure « accidentelle » pourrait mettre Jacques à l'écart le reste de l'année. Ajoute Jérôme.

Je m'assois et baisse la tête en réfléchissant aux options que je peux avoir.

- Vingt-cinq mille dollars! Chuchoté-je.

- Non je vous ai dit que je ne voulais pas d'argent.

- Cinquante mille et je les mettrai sur un compte off-shore où il ne pourra être trouvé?

- C'est tentant, mais je ne peux pas. Je ne peux pas prendre ce risque. De plus, je n'ai pas vraiment besoin d'argent, je vais obtenir des bourses.

Merde! Je soupire. Je suis à court d'options pour protéger mon fils. Je lève la tête et regarde ce garçon dans les yeux.

- Que veux-tu? Demandé-je.

Autant savoir dans quoi je mets les pieds. Il sourit en savourant sa victoire. Je devine que ça n'augure rien de bon pour moi.

- Voici les termes d'un arrangement : Tout d'abord, vous serez mon esclave sexuelle pour le reste de l'année scolaire. Vous serez libre le lendemain de l'obtention de nos diplômes. Tu me laisseras t'utiliser comme je veux quand je veux, même ton cul sera disponible. Ce sera notre secret et je ne ferai rien quand Jacques sera dans les parages. Je ne veux pas qu'il soit en colère contre moi et je ne veux pas lui causer des soucis. Et les universités n'aimeraient pas un garçon avec une esclave sexuelle. c'est donc dans mon intérêt. Mais c'est aussi dans le vôtre de garder cela secret. Que pensez-vous que les médias feraient s'ils découvraient que vous offrez votre corps pour protéger votre fils? Pour parler de Jacques, je vais devenir son plus proche ami. Je l'aiderai à bien s'intégrer avec mes amis, je l'aiderai à s'améliorer en sport. Votre boulot à vous est d'être complètement disponible pour moi et de m'obéir. En fait vous allez peut-être apprécier. Je vous assure que vous allez avoir beaucoup plus de relations sexuelles que vous n'en avez eu au cours de ces quatre dernières années.

Ces derniers mots ne vont pas être difficiles à démontrer étant donné que je n'ai couché avec personne depuis la mort du père de Jacques. Je n'ai pas vraiment le choix.

- Tu me promets que personne d'autre ne le saura et que tu me laisseras tranquille lorsque tu seras diplômé?

- Je promets que je ne le dirai jamais à personne d'autre et que tu seras libre après mon diplôme. Je vais partir à l'université. Le problème avec ton fils disparaîtra et je ne peux pas vraiment t'emmener avec moi de toute façon. Rigole-t-il.

- Bien : Que veux-tu que je fasse? Dis-je, soumise.

- Tout d'abord je veux voir ce que je possède maintenant. Mets de la musique et fais-moi un strip-tease. Je vais voir si tu sais danser.

Je me lève et j'allume la chaîne stéréo. Dedans il y a un CD de rock classique de Bon Jovi. C'est tout à fait approprié comme musique. Quand j'étais petite, j'ai pris beaucoup de cours de danse : ballet, claquettes, jazz, danse moderne et même danse de salon. J'ai gardé la forme car je fais du sport pour entretenir mon corps, si bien que je peux danser sans problème. Je ferme les yeux et je laisse la musique me traverser alors que je commence à bouger.

- Ouvre les yeux et regarde-moi! Toutes les bonnes strip-teaseuses te regardent dans les yeux et te font croire qu'elles ne dansent que pour toi. Alors regarde-moi : Ordonne Jérôme.

J'ouvre les yeux et je les verrouille sur lui. C'est totalement dégradant. Être une femme adulte et mature et être obligée de se déshabiller devant un adolescent est dégradant. J'avais fait des courses dans la matinée si bien que je porte une jolie robe blanche qui se boutonne par-devant et qui se termine juste au-dessus de mes genoux. En dessous je porte un soutien-gorge bleu en dentelle avec une culotte assortie, un porte-jarretelles noir, des bas beiges et des chaussures à talons de huit centimètres. Il veut du spectacle alors je crois que je ferais mieux de lui donner du spectacle.

Je me penche et je commence à balancer mes cheveux. Il avait déplacé la table basse pendant que je mettais la musique. Je me déhanche à quelques reprises en m'avançant vers lui. Je me penche de nouveau et frotte ma joue contre la sienne, puis je me relève brusquement, me tourne et m'éloigne. Rapidement je déboutonne ma robe alors que j'ai le dos tourné. Puis en me retournant de nouveau, je hausse les épaules pour laisser tomber la robe à mes pieds.

- Super! Mais garde les bas, le porte-jarretelles et tes talons. Enlève le reste! Ordonne-t-il.

Tout en bougeant en rythme sur la musique, je prends mon temps pour dégrafer mon soutien-gorge. Puis je joue avec mes seins avant de l'enlever complètement et le faire tournoyer au-dessus de ma tête. Après l'avoir jeté sur le côté, je commence à me balancer d'avant en arrière tout en tirant les côtés de ma culotte de haut en bas. Je me tourne et je remonte ma culotte dans la fente de mon cul. Puis, essayant de m'appliquer dans mon strip-tease, je me tourne vers lui, je monte sur le canapé pour le chevaucher. Je m'accroupis et prends ses mains pour les poser sur les côtés de ma culotte. Quand ses doigts tiennent le tissu, je me lève ce qui a pour effet de retirer ma culotte. Enfin je descends du canapé et je danse un peu jusqu'à la fin de la musique. Il me dit alors :

- Très bien, je sens que je vais apprécier la situation. Je pense que nous avons à peu près deux heures avant que Jacques ne rentre à la maison. Commençons par une pipe. Mets-toi à genoux et rampe jusqu'à moi. A toi de faire tout le boulot. Enlève mon pantalon et occupe-toi de moi. Je m'attends à ce que tu avales tout sans laisser une goutte s'échapper. C'est un cadeau que je te fais, alors ne gaspille rien!

J'étais tellement concentrée sur ma danse que je ne me suis pas rendu compte des réactions de mon corps avant de me mettre à genoux. Mes tétons ont durci, mais pas à cause du froid , car il fait chaud à la maison, et ma chatte est humide. Apparemment je suis excitée par cette humiliation. Ce qui n'est pas vraiment une bonne chose pour moi étant donné la situation dans laquelle je me trouve.

Je rampe vers lui et je défais son pantalon. Il soulève un peu ses fesses pour que je puisse le baisser.

- Mon Dieu! Crié-je alors que sa grosse bite de vingt-trois centimètres de long apparaît.

- Allez, au boulot! Nous avons peu de temps et il y a encore quelques choses que je veux faire avant mon départ. Je ne partirai pas avant d'avoir fini. Tu ferais mieux de te dépêcher à moins que tu ne veuilles que ton fils nous surprenne.

Cela me sort de la contemplation de sa bite. Je ne veux même pas imaginer les conséquences si mon fils me voyait baiser son harceleur. Je finis d'enlever le pantalon et le caleçon de Jérôme, puis je prends son énorme outil dans une main. Merde, je mouille de plu en plus à l'idée de cet engin dans ma chatte. A près l'avoir caressé pendant une minute, je me penche en avant et je lèche le gland. Je ressens des picotements lorsque ma langue passe dessus. Je continue en léchant toute la hampe, la caressant doucement . La bite de mon mari avait une taille correcte, un peu plus grande que la moyenne, mais loin de ce que me présente ce jeune noir. J'aimais sucer mon époux et de ce fait je suis devenue assez bonne dans ce domaine. Finalement j'ouvre la bouche et j'engloutis son gland. Tout en faisant tourbillonner ma langue j'aspire cette grosse queue. Je pousse de plus en plus ma tête vers le bas pour prendre le plus de sa bite dans ma bouche. Puis je commence à me balancer de haut en bas. J'essaie de produire beaucoup de salive pour garder son membre dans une chaleur moite. Mais je me dis que je ne vais jamais pouvoir avaler tout son sexe. Toutefois, je suis déterminée à en prendre autant que je le peux.

Je pousse jusqu'à ce que je sente sa bite toucher le fond de ma gorge. Je prends une profonde respiration ainsi que mon courage et je pousse encore plus pour qu'il s'enfonce dans ma gorge. Je reste ainsi alors que ma gorge a des réflexes de contraction. Puis je me relève pour respirer et je descends à nouveau. Je réussis à en faire rentrer un peu plus. Je le garde un moment, mais je sais qu'il ne pourra aller plus loin. Finalement je relève la tête et je commence à lécher et sucer ses couilles en le caressant avec ma main. De retour dans ma bouche je m'applique à sucer sérieusement sa queue. Je l'entends alors qu'il commence à gémir et je sens son sexe palpiter. Il rugit alors que des jets de sperme commencent à remplir ma bouche. Je réussis à tout avaler sans en perdre une seule goutte. Quand il a fini d'éjaculer, je continue à le sucer en m'assurant de bien nettoyer son membre.

- Ok salope! Montre-moi maintenant où est ta chambre? Il est temps de s'amuser. M'ordonne-t-il en sortant sa queue de ma bouche.

Je suis surprise de voir qu'il bande encore. Rien de tel que d'être jeune pour récupérer plus vite.

Je me lève et je le conduis à l'étage jusqu'à ma chambre. Il tend la main et la pose sur mon cul pour me pétrir les fesses.

- Tu as déjà été enculée? Demande-t-il.

- Non. Mon mari n'était pas intéressé par ça. Et j'ai toujours considéré mon cul comme une porte de sortie uniquement. Dis-je fermement.

- Eh bien ça va changer. Mais ne t'inquiète pas, je ne vais pas faire ça aujourd'hui.

Après être entrés dans la chambre, il m'arrête et se place derrière moi. Il tend les mains et prend mes seins. Je suis surprise qu'il ne soit pas brutal. Il les prend en coupe et les serre doucement. Ses pouces frottent légèrement mes tétons qui sont durs comme de la pierre. Je le sens me donner de doux baisers au creux de mon cou. Je frissonne de plaisir. Une main descend alors vers ma chatte. Oh mon Dieu, mes genoux manquent de céder alors qu'il caresse mon clitoris. Un fort gémissement s'échappe de mes lèvres alors que son index et son annulaire écartent mes petites lèvres et que son majeur plonge dans ma chatte bien humide.

Je me retrouve sur le dos dans mon lit, jambes écartées. Sa tête est entre mes jambes. Je voudrais retrouver la femme qui lui a appris à brouter une chatte et me prosterner devant elle en signe de gratitude. Sa langue est vicieuse, elle est partout, me donnant du plaisir à chaque fois qu'elle me touche. Il me lèche, il plonge sa langue, il taquine mon clito, il explore tous les coins et recoins. J'atteins des niveaux de plaisir que je n'ai jamais connu. Quand finalement j'explose de plaisir, l'orgasme me submerge complètement. J'entends des sons bizarres qui sortent de ma gorge et je convulse sur le lit. Les vagues d'extase me remuent comme un taureau dans un rodéo.

Alors que je me remets doucement, il se place sur moi. Je le sens alors pousser sa queue lentement en moi. Encore une fois, je suis surpris par sa douceur. Je m'attendais un peu qu'il me prenne à la hussarde. Mais au lieu de ça, il va assez lentement pour ma chatte s'adapte. Après avoir été à mi-chemin, il recule puis il s'enfonce à nouveau. Il va un peu plus loin cette fois. Mon Dieu! Son engin est énorme. Heureusement que ma chatte s'est étirée. Finalement il se retrouve au fond de mon ventre. Il reste comme ça quelques instants pendant que je m'habitue à sa taille. Je peux sentir les battements de son cœur à travers sa bite. Cela fait grandir mon excitation. Lentement il se retire, puis il s'enfonce. Puis il commence à me baiser en rythme. Il ne faut pas longtemps avant qu'un nouvel orgasme me traverse. Une fois que j'ai joui, Jérôme se laisse aller et me baise vigoureusement. Les orgasmes se succèdent. Soudainement, il se retire complètement et me retourne pour me mettre sur les mains et genoux. Sa force me choque. Je suis comme une poupée de chiffon entre ses mains. Puis il enfouit de nouveau sa bite totalement en moi. Il me prend par les hanches et m'attire sur lui tout en poussant en avant. Comme cela, il va encore plus loin dans mon antre bien humide. Je suis dévastée par un orgasme massif quand il donne un dernier coup de rein puissant et me tiens fort alors que je sens le premier jet de sperme qui inonde ma chatte.

Nous restons allongés sur le lit pendant cinq minutes afin de retrouver notre souffle.

- Ok salope. Une de tes tâches importante est de me nettoyer la bite. Pour cela tu utilises d'abord ta bouche et ensuite tu vas chercher un gant humide et chaud dans la salle de bain pour finir de me laver.

Cela ne me gêne pas vraiment. Ce n'est pas comme si je n'avais jamais goûté mon jus. J'avais pris l'habitude de lécher mes jouets avant de les emmener au lavabo pour les laver. Je me penche et je passe quelques minutes à lécher et sucer sa queue. Ensuite je vais dans la salle de bain et je prends un gant de toilette propre que je passe sous l'eau tiède avant de revenir et laver doucement son visage avant de descendre jusqu'à son entrejambe.

- Voilà tes devoirs! Dit-il après s'être habillé.

Comme ordonné je suis restée nue.

- Ce soir tu vas te rendre dans l'un des sex-shops de la ville et tu vas te procurer plusieurs articles : du lubrifiant, un trio de plug anal, un gode de la même taille que ma bite, des pinces à tétons, un collier et une laisse. Ce soir, avant d'aller te coucher, tu mettras le plug anal et tu le garderas toute la nuit. Demain matin, tu le remplaceras par celui de la taille suivante. Enfin demain soir, juste avant de te mettre au lit, tu mettras le plus gros. Chaque jour, trois fois par jour, je veux que tu t'entraînes pendant vingt minutes à sucer le gode. Je veux que tu puisses le prendre entièrement dans ta gorge. A partir de maintenant jusqu'à nouvel ordre, tu dois garder un plug dans ton cul, sauf bien sûr lorsque tu dois le retirer pour aller aux toilettes. De plus, tu ne dois plus porter de culotte, sauf autorisation spécifique. Tu jetteras tous tes collants. Seuls les bas et porte-jarretelles sont autorisés. Pour ta garde-robe, à partir de maintenant, tu ne porteras que des jupes ou des robes avec des talons de plus de dix centimètres. As-tu compris?

- Oui je comprends.

Eh bien, il va falloir que je fasse du shopping, j'ai besoin de renouveler ma garde-robe.

- Et tu dois m'appeler Monsieur. Tout le temps.

En voyant mon air effrayé il rigole et ajoute :

- Ne t'inquiète pas, nous ne sommes pas en public et de toute façon nous ne le serons jamais.

Il part. Il me reste une demi-heure pour nettoyer et m'habiller avant que Jacques ne rentre à la maison. j'ouvre la fenêtre de la chambre pour aérer, je n'ai pas envie que l'odeur de sexe se diffuse dans la maison.

Il est 20 heures. Je me suis douchée et habillée. Le dîner a été préparé, mangé et rangé. Jacques est dans sa chambre en train de travailler et écouter de la musique. Je lui ai dit qu'il fallait que je sorte pour faire quelques courses. Évidemment je ne lui dit pas où je vais.

Je vais dans un sex-shop au bout de la ville, à l'opposé d'où nous habitons. Je me dis que c'est l'endroit le plus sûr où je risque le moins de rencontrer une connaissance. Je n'ai jamais été dans un tel endroit. J'ai acheté tous mes jouets sur internet. Je suis surprise de voir à quel point c'est propre et rangé. A première vue, ça ressemble à n'importe quel autre magasin. C'est bien éclairé et les rayons sont bien rangés et organisés. Ce n'est qu'en regardant plus près que l'on se rend compte que tous les articles tournent autour du sexe et que ce magasin est différent d'un magasin normal. En fin de compte c'est un grand magasin où on peut tout trouver. Il y a une section pour les vêtements, très sexy bien sûr. Il y a un rayon pour les chaussures, mais pas des chaussures ordinaires, il n'y a rien en dessous de talons de 15 centimètres. Bien sûr il y a le rayon DVD, mais pas question de trouver des films Disney ici. Et bien sûr il y a tous les jouets et accessoires. Ce n'est vraiment pas l'endroit miteux auquel je m'attendais. Il y a quelques clients qui semblent faire leur course comme dans un magasin ordinaire. Il n'y a pas de vieux vicieux qui me déshabillent du regard comme je m'y attendais.

Je suis au milieu, en train de regarder autour de moi pour savoir par où commencer, quand une jeune fille très polie, d'une vingtaine d'années environ, s'approche et me demande si j'ai besoin d'aide. Je lui remets la liste que j'avais rédigée et je marmonne quelque chose à propos de mon petit ami et que je veux essayer de pimenter notre vie sexuelle. Elle se contente de me sourire avant de me dire de ne pas être nerveuse, qu'elle voyait ça tout le temps.

Elle est très professionnelle, car elle m'aide rassembler les objets de ma liste. Elle me pose quelques questions personnelles afin de s'assurer que ce que j'achète est le meilleur pour ce que je veux en faire. Mais elle me met à l'aise. Elle me fait des suggestions sur certains produits, me décrit leurs caractéristiques ainsi que les avantages et les inconvénients des différents modèles. Et elle me recommande certains. Après une demi-heure, j'ai payé mes achats et je suis sortie. En revenant à la maison, je m'arrête dans une épicerie de nuit et j'achète des choses pour couvrir envers mon fils ce que je suis vraiment allée acheter.

Le plus petit plug fait environ deux centimètres et demi de diamètres et sept centimètres et demi de long. Il me faut un peu de lubrifiant, un peu de mouvement dans les deux sens et un peu de douleur, mais j'arrive à l'introduire. Cela me fait vraiment bizarre de l'avoir en moi quand je me lève et que je bouge. Jacques est déjà couché alors je décide de m'entraîner à marcher avec le plug. Vous avez déjà entendu l'expression : « on dirait qu'elle a un balai dans le cul »? Eh ben oui, quand je me regarde dans le miroir en marchant c'est exactement ça. C'est vraiment inconfortable pendant un moment, mais en me regardant toujours dans le miroir, je me force à adopter une posture normale pendant que je marche. Finalement ça devient de plus en plus facile. Après une demi-heure, je vois que je suis capable de marcher normalement sans effort. Je remarque également que je réagis aux sensations que le plug fait dans mon cul quand je me déplace. Maintenant, au lieu de faire des efforts pour marcher normalement, je dois faire attention à ne pas montrer que je suis excité. Et m'asseoir est une autre expérience intéressante alors que l'objet s'enfonce plus profondément dans mon cul.

Une après avoir inséré le plug dans mon cul, je me mets en chemise de nuit et je m'assois sur mon lit pour tester la gorge profonde sur le gros gode. Je m'étouffe un peu en essayant de le forcer au fond de ma gorge, mais au bout de vingt minutes, je réussis à presque l'enfoncer entièrement. Manifestement, mon cerveau a oublié d'avertir ma chatte que je faisais cela contre ma volonté et que ce n'était pas censé être agréable. Finalement j'utilise le gode pour me procurer trois orgasmes de suite avant de m'endormir d'épuisement. La sensation d'être totalement remplie par cet énorme gode ainsi que le plug dans mon cul ont intensifié mes jouissances.

A suivre...