dimanche 19 juin 2022

Dans un bar.

 Traduction d’un texte de eluckenbach.

 *****

Il est tôt quand elle entre dans le bar. Une demi-douzaine d’hommes, de retour du travail, sont assis à une table près du jeu de fléchettes. Un habitué est assis au comptoir et joue sur une machine de vidéo-poker. Son chapeau de paille est repoussé sur sa tête et montre son front blanc. Il a le nez et les joues rouges d’un homme qui travaille à l’extérieur dans les parcs à bestiaux. Ses jambes sont enroulées autour du tabouret, montrant les semelles usées de ses bottes de cow-boy poussiéreuses.

On lui a demandé de s’asseoir au comptoir, mais elle hésite. Tous les hommes se tournent pour la regarder. Le groupe arrête à peine de discuter, mais leur attention se tourne brièvement vers elle. Le gars au bout du bar ne jette qu’un coup d’œil par-dessus son épaule, mais le gros barman ne la quitte pas des yeux.

Elle voudrait faire demi-tour, mais elle se dirige lentement vers l’extrémité du comptoir. Elle voudrait s’asseoir dans l’alcôve la plus éloignée, mais elle se force à se poser sur le dernier tabouret. Comme ça elle est loin des hommes et elle obéit à ce qu’on lui a demandé.

Elle allume une cigarette. Gardant ses lunettes de soleil sur son nez, elle regarde les cadres sur le mur derrière le comptoir. Elle voit le barman s’approcher. Il la dévisage, mais pas plus qu’il le ferait pour un nouveau client. 

Elle fait tâche dans ce bar d’angle situé dans un quartier de la classe ouvrière. Elle est mieux habillée que la plupart des femmes qui y entrent. Toute femme arrivant seule est assez inhabituelle, mais cela signifie seulement qu’elle est venue retrouver quelqu’un.

Le barman se demande qui peut vouloir la rencontrer. Il connaît sa clientèle et peut deviner les préférences de la plupart. Comme il n’a jamais vu la femme auparavant, il pense qu’elle attend un de ses habitués et il est curieux de savoir qui fréquente ce genre de bourgeoise.

Quand il s’approche il voit son alliance ainsi qu’un gros diamant sur sa main gauche. Il pense qu’elle doit avoir près de quarante-cinq ans. Il a remarqué sa belle silhouette se découpant dans le soleil couchant. A ce moment il avait pensé qu’elle était plus jeune. La vérité est que de dépenser suffisamment d’argent et de temps pour rester en forme la faisait paraître plus jeune que son âge.

Avant qu’il ne dise quelque chose, elle commande un verre de Chardonnay. Mais elle doit se contenter du vin blanc maison versé d’une boite en carton par un robinet en plastique. Elle s’en fout. Elle allume une deuxième cigarette avant d’avoir fini la première et elle boit de grosses gorgées de vin. Elle prend une profonde inspiration et regarde la salle. Elle s’imaginait que tous les regards étaient braqués sur elle, mais elle voit que personne ne regarde dans sa direction. Elle peut se détendre légèrement tout en étant également un petit peu déçue.

Elle regarde attentivement le groupe des six gars. Ce sont des hommes de classe moyenne qui peu à peu rentrent chez eux. L’homme au bar sirote une bière tout en jouant sur la machine. Il semble être dans son propre monde. Le barman est occupé à essuyer des verres.

Un autre verre de vin. La porte s’ouvre et deux jeunes gars entrent. Ils ressemblent à des ouvriers du bâtiment avec des cheveux et une barbe très longs. Un homme célibataire d’une quarantaine d’année avec un gros bide est suivi par deux jeunes hommes en cravate. Puis deux femmes entrent, suivies de leur copain. Personne ne s’assoit au bar. Personne ne la regarde. Elle commande un autre verre de vin et sort sa dernière cigarette.

Elle a fait ce qu’on lui a dit, mais personne ne lui a prêté attention. Quand le verre est de nouveau rempli, elle pose son sac sur le comptoir et elle cherche de l’argent. Le barman lui demande alors si ça va suffire pour ce soir. Elle répond :

- Oui !

Il demande alors :

- Étiez-vous censée rencontrer quelqu’un ici ?

Elle regarde l’homme dans les yeux et lui dit que c’est ça, mais que l’homme ne s’est pas montré. 

- Je ne peux pas imaginer que l’on vous pose un lapin. Qui est-il ?

Elle manque s’étouffer en répondant :

- Je ne sais pas.

Elle se fige. Elle voudrait partir tranquillement, mais elle s’entend dire :

- Peut-être pouvez-vous m’aider ?

Il hausse ses sourcils épais sans rien dire, mais en la regardant attentivement.

Elle commence à parler, s’embrouille, bégaie et recommence :

- Écoutez, j’étais censée venir ici et un gars devait venir me chercher. 

- Venir te chercher ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Vous êtes mariée non ?

- Oh merde ! Je crois que je devrais partir.

- Attendez ! Je veux entendre votre histoire, mais je dois d’abord m’occuper de ces gars.

Il se précipite vers sa caisse enregistreuse, encaisse l’argent de clients, puis il revient avant qu’elle puisse ranger son sac. Les deux coudes sur le comptoir, il se penche vers elle et lui murmure :

- Qu’est-ce qui se passe exactement et comment puis-je vous aider ?

Elle déclare alors :

- C’est comme un défi. Je suis censée venir ici et établir un contact visuel avec un gars, flirter avec lui et l’amener à me raccompagner à la maison. Mais personne ne me prête attention. Je suis à la fois soulagée et gênée.

- Laissez-moi comprendre ! Votre mari voulait que vous veniez chercher un étranger et que vous le rameniez à la maison ?

- Oui… En quelque sorte. Mais ce n’est pas mon mari qui le veut, mais… Mon petit ami.

Le barman se redresse et la regarde. Il demande lentement :

- Alors, que voulez-vous que je fasse ?

- demandez à un de ces gars de venir me parler.

Le barman regarde par-dessus son épaule, puis revient l’observer de nouveau.

- Eh bien, comme ça ne peut pas être moi, je connais quelqu’un que vous pourriez apprécier.

Elle prend une profonde inspiration. Elle est si loin de sa vie confortable. Elle se retrouve ici, loin de sa maison, dans un bar pour la classe ouvrière, sur le point d’être présentée à un étranger par un autre étranger.

Le barman va à l’autre bout du bar et franchit une porte avec une petite fenêtre miroir en forme de diamant. Après quelques minutes, il revient et il lui fait signe de faire le tour du comptoir. Elle se lève. Ses jambes sont un peu faibles. Trop de vin mêlé à l’appréhension.

Elle fait le tour du comptoir et franchit la porte ouverte par le barman. A l’intérieur se trouve un petit bureau très lumineux. Ce n’est pas sale, mais c’est très mal rangé avec des piles de papier empilé sur le bureau et des petites tables. Il y a un petit canapé en vinyle et quelques chaises de bar. Elle entend la porte se fermer. Derrière le bureau se trouve un homme d’une trentaine d’années.

Il se lève. Il porte une veste de sport grise sur un tee-shirt noir et un pantalon plissé. Elle peut voir qu’il est en forme. Il a de gros muscles, comme un haltérophile, mais ce n’est pas extrême comme un culturiste de haut niveau.

- Je ne veux pas vous offenser, mais je dois vous dire clairement que nous n’autorisons pas les prostituées dans notre établissement, et ni les flics à la recherche de truands non plus. C’est ce que vous êtes ?

- Non… Ce n’est pas ça… Balbutie-t-elle.

- Alors c’est quoi ?

- C’est juste un petit jeu. Mon ami veut que j’aille dans un bar et que je flirte avec un inconnu. Puis je dois partir avec lui pendant un moment.

- Pourquoi veut-il que vous fassiez ça ?

- je dois l’appeler plus tard et lui en parler.

- L’appeler ?

- Oui pendant que j’ai des relations sexuelles avec l’homme je dois l’appeler au téléphone.

- Hein ? l’appeler au téléphone ? Est-ce que votre mari est loin ?

- Non, ce n’est pas mon mari… je le fais pour mon petit ami.

- Oh je vois ! Donc vous voulez juste vous faire baiser par un inconnu et appeler votre petit ami pour lui en parler ?

Elle regarde le sol et dit doucement :

- Oui c’est ça !

Il y a un long silence. Elle entend l’homme se lever et contourner le bureau. Elle lève les yeux et le voit debout devant elle.

- D’accord ! Laisse-moi te regarder !

Elle le détaille. Il a une mâchoire carrée et des yeux sombres sous un front épais. Ses cheveux sont noirs et denses derrière un front dégarni. Elle regarde ses bars croisés sur sa poitrine. Ses mains sont grandes avec une grosse bague en or sur chaque main. Ses ongles sont bien manucurés.

Elle peut sentir son eau de Cologne et une légère odeur de tabac, mais elle est prise par l’odeur de son corps. Il décroise les bras et tend la main vers son visage. Il la touche. Elle regarde sa poitrine et ses épaules. C’est un homme costaud. Elle se sent paralysée par la peur et l’anticipation.

Il lui lève le menton. Elle le regarde dans les yeux. Il recule et croise de nouveau les bras.

- Soulève ta jupe, je veux voir tes jambes.

Elle hésite.

- Allez ! Fais ce qu’on te dit !

Elle baisse les yeux pour regarder ses mains qui retroussent sa jupe sur ses jambes. Mais elle s’arrête juste avant de dévoiler sa culotte. Elle dit :

- La lumière est si violente.

Pendant un instant, l’homme ne bouge pas. Puis il tend lentement la main sur son bureau pour allumer une petite lampe avant d’éteindre les néons au plafond. C’est bien mieux ainsi.

Elle sait que la lumière trahit son âge. Maintenant qu’elle est moins forte, elle continue de remonter sa jupe jusqu’à sa taille, exposant son ventre plat et ses jambes fermes. L’homme regarde ses jambes. Les bras toujours croisés sur la poitrine il dit :

- Bien ! Enlève ta jupe !

Elle laisse tomber l’ourlet et elle déboutonne la jupe à la taille avant de la laisser tomber au sol. 

- Ton chemisier maintenant !

Elle baisse les yeux pour voir ses mains déboutonner mécaniquement son chemisier. Elle le laisse tomber de ses épaules. Son soutien-gorge et sa culotte sont assortis avec un motif légèrement zébré. Ses seins sont petits, mais fermes. En tout cas, ils ne s’affaissent pas trop. Ses fesses sont fermes aussi, mais elles ont perdu une partie de la rondeur de la jeunesse.

Elle n’a pas honte de son corps. Presque tous les matins, elle nage nue dans sa piscine. Secrètement elle espère que les hommes de son quartier regardent. Toutefois, elle s’est rarement déshabillée complètement sous une lumière vive devant son mari ou l’un de ses amants. Et maintenant, elle se tient devant un inconnu et elle est sur le point de tout montrer.

- Continue ! Ordonne-t-il.

Elle dégrafe son soutien-gorge et le fait glisser de ses épaules en tenant un bras sur ses seins. Elle réalise que c’est un geste de pudeur vraiment inutile. Ensuite elle baisse sa culotte jusqu’aux genoux puis elle la laisse tomber par terre. Enfin elle enlève ses chaussures et reste debout, nue devant lui, totalement exposée à son regard.

- A genoux !

Immédiatement elle s’agenouille devant lui et fixe ses chaussures en cuir noir avec des semelles très épaisses. Elle voit les pieds se rapprocher et s’arrêter.

- Défais mon pantalon.

Elle lève les yeux vers son entrejambe, mais ne voit pas de renflement. Elle attrape la braguette et baisse la fermeture éclair. L’odeur est plus forte, pas dégoûtante, mais intense. Elle fouille à l’intérieur du pantalon et tire sur une bande élastique pour trouver un sexe toujours flasque. Elle le fait sortir du pantalon et le tient devant son visage. Elle peut le sentir palpiter et se remplir de sang avant de le mettre à sa bouche.

L’homme tire sa tête vers lui et elle peut sucer la totalité du sexe dans sa bouche. Elle y arrive pendant un moment, mais bientôt la bite devient trop grosse, alors elle la caresse en la faisant sortir et entrer de sa bouche. Elle le suce et le masturbe de plus en plus vite et elle peut commencer à le sentir trembler. Le sexe gonfle encore, la respiration de l’homme devient plus rapide. Puis il émet un gémissement et elle sent le sperme chaud dans sa bouche.

Le premier jet coule sur sa langue, mais le deuxième gicle au fond de sa gorge et la fait presque vomir. Et l’homme continue d’éjaculer. Elle n’a pas l’intention d’avaler, mais il y en a tellement et elle ne peut pas retirer sa tête. Alors elle avale ce qu’elle peut et le reste coule de sa bouche le long de son menton avant de tomber sur ses seins.

Elle veut s’écarter, mais l’homme tient toujours sa tête sur son sexe. Elle le sent débander, mais il tient toujours. Elle déglutit encore et encore par réflexe. Bientôt elle arrive à mettre la totalité de la queue dans sa bouche une fois de plus.

Pendant une minute il ne bouge pas. Ses genoux commencent à lui faire mal. c’est alors que l’homme sort sa bite humide et flasque de sa bouche. Il dit doucement.

- C’était très bien ! Va sur le canapé. !

Elle se lève lentement et fait quelques pas vers le canapé qu’elle trouve vraiment petit., juste assez de place pour deux. Elle s’assoit sur le vinyle et elle replie ses jambes sous elle. 

- Puis-je avoir quelque chose à boire ? Demande-t-elle.

- Oui bien sûr, que veux-tu boire ?

- j’ai bu du vin, mais je voudrais quelque chose de plus fort ainsi que de l’eau.

Alors qu’il referme son pantalon et se dirige vers la porte, elle pense attraper un mouchoir dans son sac pour essuyer le sperme sur son visage. Mais à la place elle frotte son menton et sa poitrine pour l’étaler afin qu’il sèche plus rapidement. Elle sent ses mains et emplit ses sens avec l’odeur du foutre légèrement ammoniaqué.

L’homme revient et franchit la porte avec deux verres. Derrière lui, il y a un autre homme. Il lui tend les boissons. Elle boit l’eau rapidement et bois une gorgée de l’autre verre, une sorte de vodka.

- Il va te baiser maintenant pendant que je regarde. Et si j’aime ça je te baiserai aussi.

Son cœur bat fort. Elle a peur, elle est embarrassée et excitée. Elle regarde l’autre homme et elle est déçue de voir le cow-boy du bar. Elle se penche en arrière dans le canapé en souhaitant ne plus être là.

L’homme qui est sûrement le gérant du bar, s’assoit derrière son bureau tandis que l’autre homme se dirige vers le canapé et la regarde. Avec un large sourire sur des dents tordues et tâchées par des décennies de cigarettes fumées à la chaîne il dit :

- Quand tu es entrée j’ai su tout de suite que tu étais là pour te faire baiser. 

Elle veut commencer à dire quelque chose, mais avant que ne sortent les mots, l’homme s’est penché pour sentir ses seins. Puis il est bientôt à genoux pour embrasser et sucer ses tétons. Le chapeau de paille est toujours sur sa tête, alors elle lui enlève. Elle veut le mettre sur sa tête mais il sent la cigarette et la bière, alors elle le jette vers le bureau.

L’homme rend ses mamelons humides et froids, mais involontairement bien dressés. Des mains écartent ses jambes et elle s’ouvre pour lui. Il écarte au maximum ses cuisses. Elle résiste faiblement, mais l’homme s’installe entre ses jambes et veut commencer à l’embrasser. Elle ne veut pas ouvrir la bouche bien que l’homme essaie de la forcer avec sa langue. Elle se retrouve dans une position si inconfortable qu’elle doit mettre une jambe sur l’accoudoir du canapé pour pouvoir l’accueillir. D’une manière ou d’une autre, le cow-boy a réussi à sortir sa boite pour la fourrer dans sa chatte.

Il respire fort dans son oreille, mais elle peut entendre le gérant du bar parler à quelqu’un par la porte. Le cow-boy est en elle, mais elle ne sent pas grand-chose à part sa fermeture éclair. Il est trop tard pour faire quoi que ce soit, à part le laisser la baiser.

- Enlevez votre pantalon, votre fermeture éclair me fait mal.

Ralentissant ses mouvements, il fait glisser son pantalon juste assez pour dégager la fermeture éclair. Il ne fait aucun effort pour lui plaire. Il se contente de la baiser pendant un moment jusqu’à ce qu’il gémisse et s’arrête. Elle suppose qu’il a joui, mais elle n’a rien senti.

Le cow-boy se relève alors et remonte son pantalon. Il ne lui dit rien, mais il remercie le patron du bar et il s’en va.

Elle se sent assez mal. Elle ramène ses jambes sous elle alors que le gérant s’assoit à côté d’elle.

- Ça ne m’a pas excité, mais j’ai aimé la façon dont tu m’as sucé tout à l’heure, alors je veux que tu le refasses.

Elle est pourtant disposée à le laisser monter sur elle pour s’enfoncer dans sa chatte, car sucer sa bite n’est pas très amusant. Cependant, elle se remet à genoux entre ses jambes. L’homme a déjà sorti son sexe de son pantalon et il bande presque. Elle se dit que peut-être qu’une fois que sa bite sera bien dure, il voudra la mettre dans sa chatte.

Elle peut sentir la queue durcir dans sa main douce. La bite a toujours le goût du sperme. Elle salive et bientôt le membre devient humide dans sa bouche. Elle commence à sentir des démangeaisons dans le bassin alors qu’elle entend la porte s’ouvrir. Elle veut essayer de s’éloigner mais les mains fortes de l’homme lui tiennent la tête et la force à rester agenouillée.

- Prépare-toi ! Dit-il à quelqu’un.

Elle sent sa bite se ramollir un peu puis reprendre de la vigueur alors qu’il baise son visage.

L’homme retire une main de sa tête et fait signe à l’autre personne qui commence aussitôt à lui caresser le cul et les jambes. Elle est sûre que c’est un autre homme, car elle sent que les mains sont grosses et rugueuses comme celles d’un ouvrier. Il caresse son dos et tend la main sur son ventre, puis il touche ses seins qui pendent entre les genoux du gérant. L’homme qu’elle ne connaît pas glisse bientôt un doigt dans sa fente et trouve sa chatte humide  d’excitation et du sperme du cow-boy. Il caresse doucement son clitoris. C’est le premier qui essaie de lui donner du plaisir. Il enfonce un gros doigt en elle, puis un autre. Et il s’arrête.

Elle se concentre sur le sexe dans sa bouche. Elle veut que le jeune patron la baise, mais elle est certaine que ça va être d’abord l’inconnu dans son dos. Elle se résigne à rester immobile jusqu’à ce que le gérant éjacule dans sa bouche. 

Elle peut entendre l’homme derrière elle se déshabiller. Puis elle le sent se positionner entre ses chevilles. Elle lève le cul pour le recevoir. Elle sent sa bite qui sonde sa fente. Elle arrête presque de sucer le gérant. La queue qui se fraie un chemin dans sa chatte est grosse et dure comme un gourdin. Pas grosse au point de faire mal, mais grosse au point de bien la remplir.

Elle renonce à réfléchir. Elle est devenue un simple objet sexuel pour être utilisé par ces hommes. C’est sa raison d’être là. Ils la baisent pendant un moment qui lui semble être une longue période. A un moment donné, elle pense que le patron est sur le point de jouir, mais il retire alors sa bite de sa bouche. L’autre homme se retire en même temps.

Les deux hommes la poussent sur le canapé et elle peut voir qui est l’autre gars. Il s’agit du barman. C’est un homme imposant avec un gros ventre, des gros bras, des grosses cuisses et une grosse bite. Il est costaud et velu, son apparence est un peu effrayante. Mais il la traite avec douceur. Il la tire sur la longueur du canapé en l’embrassant entre les cuisses. Il lèche légèrement son clitoris et la fait frissonner. Puis il embrasse son ventre et ses seins. Il embrasse son cou et sa bouche tandis que son sexe glisse en elle. Elle ouvre la bouche pour permettre à sa langue d’explorer la sienne. Elle se demande s’il sent le goût de la bite de son patron.

Elle lève une jambe pour l’accrocher sur le dossier du canapé et elle entour l’autre sur son dos. Mais cette position sur le petit canapé est inconfortable avec un homme aussi gros au-dessus d’elle. Alors elle demande s’ils peuvent en descendre. L’homme la soulève, son sexe toujours en elle et il la couche sur le tapis. Il lui tire les genoux en l’air afin de pouvoir la baiser sans que son poids soit sur elle. Il reste à genoux tandis que sa bite s’enfonce profondément en elle. Son ventre velu broie sa chatte et elle sent un orgasme s’accumuler à l’intérieur de son corps. Et alors qu’elle commence à jouir, ses gémissements se transforment en cris aigus. 

Quand son orgasme commence à se calmer elle sent le barman augmenter la cadence de ses coups de rein.

- Gicle sur son visage ! Dit le patron.

Le barman obéit. Elle ouvre la bouche pour accueillir son foutre, mais la plupart de son jus épais éclabousse son visage et ses cheveux. Ce qui entre dans sa bouche est très épais et a le goût de fleurs de palmier amères.

Enfin l’homme se lève et la laisse sur le sol, épuisée, les jambes écartées, du foutre frais coulant sur ses joues. Sans rien dire il s’habille rapidement et quitte la pièce.

Elle reprend son souffle et voit que le patron vient de se déshabiller. Il tient toujours la boucle argentée de sa ceinture en cuir. Son corps est vraiment musclé. Il n’a plus aucun poil. Ses muscles ondulent sous la faible lumière. Son sexe est bien dressé.

- Maintenant, tu vas te faire baiser comme ton petit ami le veut !

FIN.

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