jeudi 23 juin 2022

Esclave du Harceleur de Mon Fils Ch. 01

Traduction d'un texte de GTO_Racer.

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Le chantage se met en place. 

Alors voilà, je suis au « Club-house » en train de sucer profondément Jérôme. Celui-ci est le harceleur de mon fils Jacques. Derrière moi, j'entends ma meilleure amie Jessica se faire enculer brutalement par Eric. Jérôme parle au reste de ses copains avec leurs petites amies pendant que je le suce. Tout le monde est entièrement habillé alors que Jessica et moi ne portons que nos plugs anaux (Jessica a le sien dans sa bouche, car son cul est bien occupé), des porte-jarretelles, des bas, des talons aiguilles de 15 centimètres, des anneaux aux clitoris, des anneaux aux mamelons et une chaîne en or entre ces anneaux. Oh oui bien sûr, il ne faut pas que j'oublie les colliers et les laisses.

Jérôme et ses copains viennent de terminer leurs études secondaires ainsi que mon fils et la fille de Jessica, Avril. Cela signifie que notre esclavage sera bientôt terminé. Je ne suis pas vraiment sûre de ce que je ressens en ce moment. J'avais l'habitude de compter les jours jusqu'à ce que ce soit fini, mais là, je suis un peu désolé que ça se termine. En quelque sorte, j'ai commencé à vraiment apprécier.

J'entends alors la porte s'ouvrir.

- Hé Jérôme! Nous sommes là alors quelle est cette surprise dont tu m'as parlé? Dit une voix que je ne connais trop bien.

Mes yeux s'écarquillent et j'aurais eu le souffle coupé si je n'avais pas une bite dans ma bouche. Cependant j'entends Jessica grogner de surprise.

**** Environ 9 mois plus tôt. ****

- Jacques? Qu'est-il arrivé à ton œil? Demandé-je alors que mon fils entre à la maison après l'entraînement de football.

Il me répond :

- Jérôme comme d'habitude. Il m'a engueulé d'avoir heurté Tania alors qu'elle n'était pas censée être sur le terrain. Nous avions commencé à jouer et je regardais le gars qui avait le ballon quand BAM, je l'ai percutée. Elle n'avait rien à faire là, mais Jérôme s'est mis en colère et il m'a cogné sur le parking après l'entraînement.

Je suis alors à peine de contrôler ma colère et je dis à mon fils :

- Hé bien c'est ça!!! Je suis fatiguée qu'il te harcèle sans cesse sans raison valable. Cela a assez duré. Je vais m'en occuper une bonne fois pour toutes.

Jacques essaie de me dissuader, mais je ne l'écoute plus. Jérôme harcèle mon fils depuis trop longtemps. Jacques n'a jamais rien fait pour mériter ça, mais il subit quand même. Lui et ses amis sont la cible de Jérôme et de tous ses copains. Ce sont les principaux joueurs de l'équipe de football avec leurs copines. Bien sûr les enfants les plus populaires se moquent des enfants les moins populaires.

Il faut que je décrive le contexte. Jacques est mon seul enfant. Son père a été tué dans un accident du travail il y a plusieurs années. L'entreprise était en faute et nous a versé des indemnités qui nous permettent de ne pas nous inquiéter des questions d'argent pour le reste de notre vie. Jacques était jeune et je n'avais que 32 ans lorsque l'accident s'est produit. J'ai eu Jacques alors que j'avais 18 ans et que je venais juste de finir mes études. Son père était mon petit ami depuis toujours et nous nous étions mariés la semaine suivante l'obtention de nos diplômes. Mon mari avait eu une bourse d'études pour entrer à l'université et il avait obtenu un doctorat en Génie. Il avait ensuite trouvé facilement un emploi dans une entreprise locale. Tout allait bien jusqu'à l'accident. Maintenant nous ne sommes plus que nous deux, Jacques et moi.

Mon fils est un bon gosse. Il a un cœur en or et il est très intelligent, tout comme son père. De plus, tout comme son père, il n'est pas très doué pour le sport, mais il fait des efforts et il aime le football. Il a quelques amis, mais ils font assez ringards bien qu'ils soient tous très intelligents et qu'ils réussissent bien à l'école. Malheureusement ils ne sont pas populaires. Jacques mesure environ 1m80 pour 85 Kilos et il est musclé à force de s'entraîner et jouer au football. Mais il n'est pas dans les meilleurs de l'équipe.

Jérôme, lui, est la star de l'équipe. C'est le meilleur joueur de la région et plusieurs universités lui ont offert des bourses pour qu'il vienne chez elles. C'est presque lui qui dirige l'école. L'administration et les enseignants le laissent quasiment faire ce qu'il veut, car il donne une bonne réputation à l'établissement. Il est le meilleur joueur de la région depuis des années. C'est un noir qui mesure 1m90 pour 120 kilos de muscles. Sa petite amie Tania est la pom-pom girl en chef bien sûr.

Le lendemain matin, je m'habille avec l'un de mes meilleurs tailleurs, une jupe grise descendant jusqu'aux genoux avec la veste assortie. En dessous j'ai un chemisier blanc, des bas à coutures noirs et des talons de dix centimètres. Je porte un soutien-gorge en dentelle rouge et un string assorti. Je me sens toujours plus confiante lorsque je porte des sous-vêtements sexy sous mes vêtements.

Il faut que je vous en dise plus sur moi. Je m'appelle Annie BROWN. Comme je l'ai dit plus tôt, j'ai donné naissance à mon fils lorsque j'avais 18 ans. Donc maintenant j'en ai 36. Je mesure 1m70, j'ai des cheveux épais et ondulés de couleur cuivre qui tombent dans mon dos. Ma poitrine fait du 100E, ma taille est fine et s'évase sur mes hanches. Mes jambes sont longues et musclées. Je passe quatre jours par semaine avec un coach de gym pour garder mon corps en forme. Bien que je n'ai pas le visage d'un mannequin, on m'a toujours dit que j'étais attirante. Et même si les seules personnes à le voir sont les autres femmes dans le vestiaire de la salle de gym, j'entretiens ma pilosité pubienne en ne laissant qu'une fine bande de poils de même couleur que mes cheveux. Oui je suis une rousse naturelle aux yeux vert clair?

Pendant notre vie de couple Mon mari et moi avons eu une vie sexuelle phénoménale. Nos libidos étaient importantes et nos activités sexuelles nombreuses (salon, cuisine, salle de bain, banquette arrière de la voiture). Nous avons expérimenté une grande variété de jouets et nous avons même essayé le bondage et la soumission. J'étais toujours la soumise dans nos jeux, et je dois admettre que j'appréciais. Il suffit de dire que j'aimais être sa salope, mais je n'étais qu'à lui. J'étais une femme élégante et parfaitement respectable en public et une totale nymphomane en privé avec mon mari.

Mais quand mon mari fut tué, ma libido s'est mise en hibernation. Je ne pouvais tout simplement pas supporter l'idée d'être avec quelqu'un d'autre. Un an après la mort de mon époux, j'ai décidé que mon seul objectif serait d'élever notre fils pour qu'il devienne l'homme que son père était. Je n'amènerai pas d'autres hommes à la maison. Bien sûr, on m'a demandé de nombreuse fois au fil des années de sortir (et j'ai même été contacté par des femmes quand la rumeur a circulé que j'étais lesbienne parce que je refusais les offres de tous les hommes). Mais honnêtement, je voulais juste me concentrer sur l'éducation de mon fils. Je ne voulais pas compliquer les choses en ayant une autre relation. Pour lutter contre le stress sexuel qui s'accumulait, j'ai acheté sur internet quelques jouets qui répondent à tous mes besoins. De bons godes sont tout ce dont j'ai besoin.

J'arrive à l'école juste après le début des premiers cours. Je demande à parler au directeur et à l'entraîneur de football. Environ une demi-heure plus tard, je suis conduit dans un bureau. Je raconte alors aux deux hommes les évènements où Jérôme a intimidé mon fils sans raison. J'exige alors que des mesures soient prise et que le harcèlement cesse sinon je serai obligée de porter plainte contre l'école et eux personnellement. Ils m'ont alors assurée qu'ils s'occuperaient du problème et ils m'ont présenté de nombreuses excuses pour ce qui s'était passé. Satisfaite, je suis partie et je suis rentrée à la maison. J'ai joué alors avec BOB, mon vibromasseur, pour évacuer la tension.

**** Jérôme ******

J'ai été appelé dans le bureau de l'entraîneur pendant la deuxième heure de cours. Il était vraiment énervé. Les ennuis apparaissent et s'amplifient avec le temps. Madame BROWN a parlé avec le directeur de l'école et mon entraîneur. Après son départ, le directeur a engueulé l'entraîneur et lui a dit de régler le problème en disant que ce serait une mauvaise image de l'école si ça devenait public. Bien sûr, l'entraîneur m'a crié dessus et m'a dit que je ferais mieux de résoudre ce problème sinon je risquais de perdre mes bourses, du moins celles des meilleures universités.

Mais il faut que je mentionne certaines choses. Tout d'abord je ne suis pas un idiot. Bien que je sois vraiment bon en sport et principalement au football, que je sois la star de l'équipe, je suis aussi plutôt intelligent. Je sais que très peu d'athlètes universitaires deviennent professionnels. Et très peu d'entre eux obtiennent des contrats qui rapportent des millions. De plus la carrière d'un professionnel est très courte. Donc je suis déterminé à obtenir une bonne éducation et des diplômes sur lesquels je pourrai me rabattre. J'ai une bonne moyenne pour le moment. Comme je l'ai dit, je suis intelligent et je travaille dur pour maintenir ma moyenne. Maintenant il faut que je me concentre pour résoudre ce petit problème.

La première résolution est facile à prendre. Au déjeuner, je dis à tous mes amis que désormais il faut laisser Jacques tranquille. Il ne faut plus l'embêter. Je ne me soucie pas de ses amis ringards, mais lui est intouchable. Pour être honnête, je ne me souviens vraiment pas pourquoi Jacques est devenu un de mes souffre-douleur. Bien sûr, il n'est pas un athlète doué et il ne représente pas une menace pour moi. De toute façon il ne joue pas au même poste. C'est un joueur secondaire de l'équipe . En fait je le respecte un peu. Car même s'il n' a pas de talent, il est probablement le plus acharné de l'équipe à vouloir s'améliorer. Il est toujours le premier sur le terrain pour l'entraînement et toujours le dernier à partir. Il n'a peur de rien, même des joueurs plus costauds. Et il a appris toutes les tactiques de jeu. Ce gars adore le football et se donne à 200 %.

- J'ai vu sa mère sortir de l'école ce matin. Putain, elle est sexy. Dit Eric.

- Ouais, mais c'est une garce. Elle est probablement frustrée de ne plus être baisée depuis que son mari a eu un accident. Ajoute Thomas.

- Il a travaillé avec mon oncle et je l'ai entendu dire à quel point elle était entreprenante dans une chambre. Il n'est pas vraiment entré dans les détails, mais il a dit qu'elle devenait une vraie nymphomane quand elle était excitée. Continue Jason.

Un plan commence à se former dans ma tête, mais il me faut plus d'informations. Il est temps de se renseigner.

- Thomas, tu n'as jamais vraiment été avec nous quand nous harcelions Jacques et ses amis. Et même, à plusieurs reprises, tu as essayé de nous faire abandonner. J'ai un travail pour toi.

Je le vois s'inquiéter un peu.

- J'ai besoin que tu deviennes ami avec la petite copine de Jacques, Avril. Vois si elle peut te demander des informations sur Madame BROWN.

- Le plus dur va être de faire en sorte qu'Avril me fasse confiance. Mais je sais que sa mère est la meilleure amie de Mme BROWN. Elle est divorcée, et toutes les deux font les magasins ensemble, en célibataire.

Je réponds alors :

- Génial! Quant à toi Jason, parle à ton oncle et vois si tu peux obtenir plus d'informations. Vois si tu peux avoir des détails croustillants.

Je regarde Thomas.

- Thomas, tu vas devoir t'éloigner un peu de nous. Dis à Avril que tu t'es un peu brouillé avec nous. Ça devrait t'aider à la mettre en confiance. Défends-la s'il elle est embêtée. Ne t'inquiète pas. On te réintègre dans le groupe lorsque les choses seront réglées.

Le plan se réalise au cours de la semaine suivante. Nous avons laissé Jacques tranquille et Thomas a commencé à traîner avec Avril. Jason a interrogé son oncle et obtenu des informations un peu plus intéressantes au cours du week-end. Mais la chose la plus importante s'est déroulée le dimanche soir. Thomas était chez Avril pour l'aider. Elle a des difficultés en chimie donc Thomas s'est porté volontaire pour l'aider, car il est un des meilleurs dans cette matière.

- Donc Avril et moi étions sur la table de la cuisine pour étudier quand Mme BROWN est arrivée. Avec la mère d'Avril elles sont parties au salon avec un verre de vin. J'ai entendu Mme BROWN se plaindre d'être frustrée de n'avoir que BOB à la maison. Ensuite elle s'est mise à parler de comment elle était une vraie salope avec son mari au lit. Dit Thomas.

Nous étions dans un coin tranquille sans personne alentour. Nous ne voulions pas qu'Avril voit Thomas nous parler et se doute de quelque chose.

- Qui est BOB? Je ne savais pas qu'elle voyait quelqu'un! Dis-je.

Un petit ami mettrait sérieusement des problèmes à mon plan. Thomas rigole.

- BOB n'est pas un mec! Je n'aurais pas cru que tu ne sais pas ce que c'est. Toutes les filles connaissent BOB. C'est un acronyme. Bob est un vibromasseur.

- Ah!

C'est tout ce que je peux dire. Mais maintenant je suis prêt, je peux continuer mon plan.

Plus tard dans l'après-midi, je m'approche de Jacques et je l'aide à se relever en lui disant :

- Salut Jacques! Bien joué, mais la prochaine fois déplace-toi plus vers la gauche et tu seras mieux placé pour défendre contre ton vis-à-vis.

Bien sûr, il me regarde avec méfiance. Je ne lui ai jamais donné de conseils auparavant. Il doit se demander si je ne prépare pas quelque chose. Il hoche la tête pour me remercier et reprend sa place sur le terrain. Mais il a dû voit l'utilité de mon conseil, car il se place plus à gauche. Effectivement il est mieux positionné et lorsque Eric lance le ballon, il réussit à l'intercepter.

- Je te l'avais dit! Dis-je en revenant à côté de lui.

Je lui donne quelques conseils supplémentaires tout au long de l'entraînement. Il est toujours méfiant, mais il commence à voir que mes suggestions sont réellement bonnes.

- Alors, qu'est-ce que tu vas me jouer comme tour?

J'entends ces mots derrière moi alors que je me change devant mon casier. En me retournant, je vois Jacques avec un air sombre sur le visage.

- Je ne vois pas de quoi tu veux parler. Je ne vais pas te jouer de tour. Dis-je.

- Tu ne me donnes jamais de conseils d'habitude. Chaque fois que tu me fais faire quelque chose sur le terrain, je me ramasse une beigne d'habitude. Et aujourd'hui, soudainement, tu commences à m'aider. Que prépares-tu?

Il est intelligent ce bâtard, mais ce n'est pas une surprise. Il a une des meilleures moyennes et il suit en complément d'autres cours pour entrer à l'université. Mais je ne prépare rien pour lui. C'est sa mère qui m'intéresse. Donc je trouve des excuses :

- Écoute, je suis désolé pour l'autre jour. Tania n'avait rien à faire là et tu n'étais pas en faute. j'ai juste perdu mon sang-froid. Après que l'entraîneur m'ait parlé l'autre jour, je me suis assis et j'ai réfléchi. Je veux m'excuser pour le passé. Voici mon but. Tout tu es l'un des gars de l'équipe qui s'entraîne le plus. Bien sûr tu manques un peu de talent, mais tu t'accroches. Quoi qu'il se passe, tu ne renonces jamais, tu te relèves et tu joues. J'admire cette façon de faire. De plus, plus l'équipe est meilleure, plus les universités surveillent les joueurs? Cela signifie que nous pourrons obtenir de bonnes bourses. Si je t'aide à t'améliorer, cela profitera à l'équipe. Avec la blessure musculaire de Jerry, tu vas probablement jouer plus souvent. Donc tu dois être le meilleur possible. Donc tu aides l'équipe et c'est bénéfique pour tout le monde.

- Ok, c'est pas idiot ce que tu dis! Marmonne-t-il en se retournant avant de s'éloigner.

Je ne pense pas qu'il me croit à 100 %, mais ce n'est que le début. Je mettrai mon plan en action demain. Je finis de m'habiller et je vais au bureau des entraîneurs.

- Hé Monsieur, j'ai besoin que vous me fassiez une faveur. Dis-je.

Être le meilleur joueur de l'équipe de toute la région et dans l'histoire de l'école me procure certains avantages de la part du corps enseignant et de l'entraîneur.

- J'ai besoin de m'absenter demain. j'ai des choses à faire et je dois sauter l'entraînement.

Il me répond :

- D'accord, je pense que tu peux manquer une session du moment que tu révises les tactiques pendant le déjeuner.

- Bien sûr! Et puis que diriez-vous de faire jouer un peu plus Jacques?

Il me regarde avec méfiance. Je dis donc :

- Sérieusement. Je l'ai bien regardé et je pense qu'il peut apporter de la nouveauté à l'équipe. De plus, avec la blessure de Jerry, nous aurons sûrement besoin de lui. Il faut qu'il s'entraîne bien pour être en coordination avec l'équipe. Et puis je pense que ça calmera sa mère si elle voit que son fils est pris plus au sérieux.

L'entraîneur n'a toujours pas l'air convaincu, mais, comme je l'ai dit, il me fait assez confiance. Donc il accepte un peu à contrecœur et je pars pour retrouver mes amis dans notre maison étudiante.

***** Annie, le lendemain après-midi *****

Jacques est rentré de l'entraînement hier soir assez content de lui. Il m'a raconté que Jérôme lui avait parlé et l'avait aidé. Il m'a répété ce que le garçon lui avait dit dans le vestiaire. Inutile de vous dire que j'étais très méfiante. Certes, mon fils n'a pas été ennuyé ces derniers jours, mais cela me semble étrange. Après tout, peut-être que mon entrevue avec le directeur et l'entraîneur a porté ses fruits. Donc j'ai haussé les épaules et je n'y ai plus repensé.

Vers 13h00, la sonnette retentit. Je suis étonnée de voir Jérôme se tenir là quand je regarde dans le judas. Il est bien habillé et il a même un bouquet de fleurs. C'est étrange. Il faut que je voie ce qu'il veut.

- Bonjour Mme BROWN. J'espère que je ne vous dérange pas. Je voulais venir personnellement vous présenter des excuses pour la façon dont votre fils a été traité. Dit-il après que j'ai ouvert la porte.

- Euhhh... Hé bien... Merci! Balbutié-je.

Bon sang, j'avais l'impression d'être dans une autre dimension.

- Puis-je entrer et vous parler, s'il vous plaît? Je veux vraiment m'excuser et voir s'il y a un moyen pour que je puisse me faire pardonner par votre fils et vous?

Ouvrir la porte et m'écarter pour le laisser entrer fut la pire erreur de ma vie.

Je l'escorte dans le salon et je lui amène un verre d'eau alors qu'il s'assoit dans le canapé. Il commence à parler alors que je m'assois dans une chaise en face de lui.

- Encore une fois, Mme BROWN, je m'excuse sincèrement pour la façon dont j'ai traité votre fils au cours de ces deux dernières années. C'est un bon garçon et je ne me souviens vraiment pas pourquoi j'ai commencé à le harceler. Probablement que je m'amusais parce qu'il n'est pas aussi populaire que moi. Peut-être que c'est juste pour renforcer ma réputation auprès de mes amis en montrant que je suis le mâle alpha. Quoi qu'il en soit, j'ai réfléchi maintenant et je veux faire amende honorable.

- Hé bien merci Jérôme. C'est très mature de ta part. Vraiment, tout ce que veut mon fils, c'est qu'on le laisse tranquille, qu'il ne soit plus harcelé. Dis-je.

- Ouais, j'en ai parlé à mes copains et ils l'ont laissé tranquille ces derniers jours. J'ai même commencé à l'aider pour l'entraînement.

- Oui, il me l'a dit hier soir quand il est revenu à la maison. Je dois admettre que ça m'a un peu surprise.

- Oui, et ça surprend mon groupe d'amis aussi. C'est là que j'ai un problème. Continue-t-il.

- Hein? Quel genre de problème? Où y a-t-il un problème? Balbutié-je.

- Je vous explique. J'ai construit ma position de mâle alpha à l'école en devenant un grand athlète et une figure dominante sur ceux qui m'entourent. Je resterai toujours un athlète, mais faire preuve de pitié et devenir gentil avec les autres risquent de me faire perdre mon autorité sur mes amis. En fait je m'en suis aperçu ces derniers jours. Et je ne veux pas perdre ma domination, ma position de leader. Explique-t-il.

- Tu peux sûrement gérer ce problème. Je veux dire, où est le problème de laisser un garçon tranquille? C'est pas comme s'il avait fait quelque chose pour mériter ça.

Je commence sérieusement à m'inquiéter de la tournure que prend cette conversation.

- Vous avez raison. Je pourrais gérer ça, mais je n'ai pas vraiment de raison de le faire. Je vais vous dire, il serait vraiment plus facile pour moi de laisser mes amis faire ce qu'ils veulent. Je ne perdrais pas mon autorité. Alors que si je les oblige tout le temps à être gentil avec Jacques risque de saper mon autorité. Qu'est-ce que j'en retirerais?

- Qu'est-ce que tu veux dire?

Je commence vraiment à être inquiète.

- je dis que protéger et même aider votre vils va me coûter. Je veux une compensation pour ça. Dit-il d'une voix froide.

- Un compensation? Tu veux de l'argent pour faire quelque chose qui est bien? Crié-je.

- Oh non. Je ne veux pas d'argent. Vous voyez, j'ai plusieurs universités qui me surveillent actuellement. Et ils regardent tout, même mes finances. Dont je ne peux me permettre de gagner de l'argent ainsi. Ça risque de causer des problèmes, je ne veux pas prendre le risque. M'explique-t-il.

- Alors quel genre de compensation veux-tu?

Je suis nerveuse. Il me fait chanter pour protéger mon fils. J'ai besoin de savoir ce qu'il veut.

- J'ai pensé que vous pourriez être ma compensation. Dit-il en souriant.

- PARDON? Qu'est-ce que c'est que cette connerie. Crié-je.

Puis, en colère, je continue :

- Écoute petit salaud, je vais aller voir le directeur, puis je vais aller porter plainte à la police. Je vais même en parler aux journaux. Tu t'inquiètes pour ton avenir à l'université? Que va-t-il se passer si tu es arrêté pour chantage ou agression? Que vont en penser toutes les universités qui te surveillent?

C'est alors qu'un sourire mauvais s'affiche sur son visage.

- Personne ne fera rien. Car, si vous faisiez cela, je renverserais les rôles et dirais que votre fils me harcèle. Je peux montrer des vidéos où il est agressif sur le terrain. Et je peux demander à tous mes amis de témoigner pour moi. Soyons réaliste, je suis presque un héros pour toute l'école. L'administration, les professeurs, l'entraîneur font tout pour me choyer à cause de l'attention qu'il leur est porté. Et puis même la police sait qui je suis et m'a fait sauter plusieurs contraventions. C'est votre parole contre la mienne et celles de mes amis. Qui pensez-vous qu'ils croiront? Vous aurez la réputation de la mère trop protectrice qui refuse de voir que son fils est un vrai connard.

Merde, je suis piégée. Je n'ai que deux choix : laisser mon fils se faire harceler le reste de l'année, ou payer. Je ne sais pas exactement ce qu'il veut, mais je devine que ça a quelque chose à voir avec le sexe.

- Oh, et je dois vous dire que l'on va le harceler encore plus à l'avenir. Certains de mes mais ne l'aiment pas beaucoup. Il ne faudrait pas que malencontreusement il se blesse à l'entraînement. Une blessure « accidentelle » pourrait mettre Jacques à l'écart le reste de l'année. Ajoute Jérôme.

Je m'assois et baisse la tête en réfléchissant aux options que je peux avoir.

- Vingt-cinq mille dollars! Chuchoté-je.

- Non je vous ai dit que je ne voulais pas d'argent.

- Cinquante mille et je les mettrai sur un compte off-shore où il ne pourra être trouvé?

- C'est tentant, mais je ne peux pas. Je ne peux pas prendre ce risque. De plus, je n'ai pas vraiment besoin d'argent, je vais obtenir des bourses.

Merde! Je soupire. Je suis à court d'options pour protéger mon fils. Je lève la tête et regarde ce garçon dans les yeux.

- Que veux-tu? Demandé-je.

Autant savoir dans quoi je mets les pieds. Il sourit en savourant sa victoire. Je devine que ça n'augure rien de bon pour moi.

- Voici les termes d'un arrangement : Tout d'abord, vous serez mon esclave sexuelle pour le reste de l'année scolaire. Vous serez libre le lendemain de l'obtention de nos diplômes. Tu me laisseras t'utiliser comme je veux quand je veux, même ton cul sera disponible. Ce sera notre secret et je ne ferai rien quand Jacques sera dans les parages. Je ne veux pas qu'il soit en colère contre moi et je ne veux pas lui causer des soucis. Et les universités n'aimeraient pas un garçon avec une esclave sexuelle. c'est donc dans mon intérêt. Mais c'est aussi dans le vôtre de garder cela secret. Que pensez-vous que les médias feraient s'ils découvraient que vous offrez votre corps pour protéger votre fils? Pour parler de Jacques, je vais devenir son plus proche ami. Je l'aiderai à bien s'intégrer avec mes amis, je l'aiderai à s'améliorer en sport. Votre boulot à vous est d'être complètement disponible pour moi et de m'obéir. En fait vous allez peut-être apprécier. Je vous assure que vous allez avoir beaucoup plus de relations sexuelles que vous n'en avez eu au cours de ces quatre dernières années.

Ces derniers mots ne vont pas être difficiles à démontrer étant donné que je n'ai couché avec personne depuis la mort du père de Jacques. Je n'ai pas vraiment le choix.

- Tu me promets que personne d'autre ne le saura et que tu me laisseras tranquille lorsque tu seras diplômé?

- Je promets que je ne le dirai jamais à personne d'autre et que tu seras libre après mon diplôme. Je vais partir à l'université. Le problème avec ton fils disparaîtra et je ne peux pas vraiment t'emmener avec moi de toute façon. Rigole-t-il.

- Bien : Que veux-tu que je fasse? Dis-je, soumise.

- Tout d'abord je veux voir ce que je possède maintenant. Mets de la musique et fais-moi un strip-tease. Je vais voir si tu sais danser.

Je me lève et j'allume la chaîne stéréo. Dedans il y a un CD de rock classique de Bon Jovi. C'est tout à fait approprié comme musique. Quand j'étais petite, j'ai pris beaucoup de cours de danse : ballet, claquettes, jazz, danse moderne et même danse de salon. J'ai gardé la forme car je fais du sport pour entretenir mon corps, si bien que je peux danser sans problème. Je ferme les yeux et je laisse la musique me traverser alors que je commence à bouger.

- Ouvre les yeux et regarde-moi! Toutes les bonnes strip-teaseuses te regardent dans les yeux et te font croire qu'elles ne dansent que pour toi. Alors regarde-moi : Ordonne Jérôme.

J'ouvre les yeux et je les verrouille sur lui. C'est totalement dégradant. Être une femme adulte et mature et être obligée de se déshabiller devant un adolescent est dégradant. J'avais fait des courses dans la matinée si bien que je porte une jolie robe blanche qui se boutonne par-devant et qui se termine juste au-dessus de mes genoux. En dessous je porte un soutien-gorge bleu en dentelle avec une culotte assortie, un porte-jarretelles noir, des bas beiges et des chaussures à talons de huit centimètres. Il veut du spectacle alors je crois que je ferais mieux de lui donner du spectacle.

Je me penche et je commence à balancer mes cheveux. Il avait déplacé la table basse pendant que je mettais la musique. Je me déhanche à quelques reprises en m'avançant vers lui. Je me penche de nouveau et frotte ma joue contre la sienne, puis je me relève brusquement, me tourne et m'éloigne. Rapidement je déboutonne ma robe alors que j'ai le dos tourné. Puis en me retournant de nouveau, je hausse les épaules pour laisser tomber la robe à mes pieds.

- Super! Mais garde les bas, le porte-jarretelles et tes talons. Enlève le reste! Ordonne-t-il.

Tout en bougeant en rythme sur la musique, je prends mon temps pour dégrafer mon soutien-gorge. Puis je joue avec mes seins avant de l'enlever complètement et le faire tournoyer au-dessus de ma tête. Après l'avoir jeté sur le côté, je commence à me balancer d'avant en arrière tout en tirant les côtés de ma culotte de haut en bas. Je me tourne et je remonte ma culotte dans la fente de mon cul. Puis, essayant de m'appliquer dans mon strip-tease, je me tourne vers lui, je monte sur le canapé pour le chevaucher. Je m'accroupis et prends ses mains pour les poser sur les côtés de ma culotte. Quand ses doigts tiennent le tissu, je me lève ce qui a pour effet de retirer ma culotte. Enfin je descends du canapé et je danse un peu jusqu'à la fin de la musique. Il me dit alors :

- Très bien, je sens que je vais apprécier la situation. Je pense que nous avons à peu près deux heures avant que Jacques ne rentre à la maison. Commençons par une pipe. Mets-toi à genoux et rampe jusqu'à moi. A toi de faire tout le boulot. Enlève mon pantalon et occupe-toi de moi. Je m'attends à ce que tu avales tout sans laisser une goutte s'échapper. C'est un cadeau que je te fais, alors ne gaspille rien!

J'étais tellement concentrée sur ma danse que je ne me suis pas rendu compte des réactions de mon corps avant de me mettre à genoux. Mes tétons ont durci, mais pas à cause du froid , car il fait chaud à la maison, et ma chatte est humide. Apparemment je suis excitée par cette humiliation. Ce qui n'est pas vraiment une bonne chose pour moi étant donné la situation dans laquelle je me trouve.

Je rampe vers lui et je défais son pantalon. Il soulève un peu ses fesses pour que je puisse le baisser.

- Mon Dieu! Crié-je alors que sa grosse bite de vingt-trois centimètres de long apparaît.

- Allez, au boulot! Nous avons peu de temps et il y a encore quelques choses que je veux faire avant mon départ. Je ne partirai pas avant d'avoir fini. Tu ferais mieux de te dépêcher à moins que tu ne veuilles que ton fils nous surprenne.

Cela me sort de la contemplation de sa bite. Je ne veux même pas imaginer les conséquences si mon fils me voyait baiser son harceleur. Je finis d'enlever le pantalon et le caleçon de Jérôme, puis je prends son énorme outil dans une main. Merde, je mouille de plu en plus à l'idée de cet engin dans ma chatte. A près l'avoir caressé pendant une minute, je me penche en avant et je lèche le gland. Je ressens des picotements lorsque ma langue passe dessus. Je continue en léchant toute la hampe, la caressant doucement . La bite de mon mari avait une taille correcte, un peu plus grande que la moyenne, mais loin de ce que me présente ce jeune noir. J'aimais sucer mon époux et de ce fait je suis devenue assez bonne dans ce domaine. Finalement j'ouvre la bouche et j'engloutis son gland. Tout en faisant tourbillonner ma langue j'aspire cette grosse queue. Je pousse de plus en plus ma tête vers le bas pour prendre le plus de sa bite dans ma bouche. Puis je commence à me balancer de haut en bas. J'essaie de produire beaucoup de salive pour garder son membre dans une chaleur moite. Mais je me dis que je ne vais jamais pouvoir avaler tout son sexe. Toutefois, je suis déterminée à en prendre autant que je le peux.

Je pousse jusqu'à ce que je sente sa bite toucher le fond de ma gorge. Je prends une profonde respiration ainsi que mon courage et je pousse encore plus pour qu'il s'enfonce dans ma gorge. Je reste ainsi alors que ma gorge a des réflexes de contraction. Puis je me relève pour respirer et je descends à nouveau. Je réussis à en faire rentrer un peu plus. Je le garde un moment, mais je sais qu'il ne pourra aller plus loin. Finalement je relève la tête et je commence à lécher et sucer ses couilles en le caressant avec ma main. De retour dans ma bouche je m'applique à sucer sérieusement sa queue. Je l'entends alors qu'il commence à gémir et je sens son sexe palpiter. Il rugit alors que des jets de sperme commencent à remplir ma bouche. Je réussis à tout avaler sans en perdre une seule goutte. Quand il a fini d'éjaculer, je continue à le sucer en m'assurant de bien nettoyer son membre.

- Ok salope! Montre-moi maintenant où est ta chambre? Il est temps de s'amuser. M'ordonne-t-il en sortant sa queue de ma bouche.

Je suis surprise de voir qu'il bande encore. Rien de tel que d'être jeune pour récupérer plus vite.

Je me lève et je le conduis à l'étage jusqu'à ma chambre. Il tend la main et la pose sur mon cul pour me pétrir les fesses.

- Tu as déjà été enculée? Demande-t-il.

- Non. Mon mari n'était pas intéressé par ça. Et j'ai toujours considéré mon cul comme une porte de sortie uniquement. Dis-je fermement.

- Eh bien ça va changer. Mais ne t'inquiète pas, je ne vais pas faire ça aujourd'hui.

Après être entrés dans la chambre, il m'arrête et se place derrière moi. Il tend les mains et prend mes seins. Je suis surprise qu'il ne soit pas brutal. Il les prend en coupe et les serre doucement. Ses pouces frottent légèrement mes tétons qui sont durs comme de la pierre. Je le sens me donner de doux baisers au creux de mon cou. Je frissonne de plaisir. Une main descend alors vers ma chatte. Oh mon Dieu, mes genoux manquent de céder alors qu'il caresse mon clitoris. Un fort gémissement s'échappe de mes lèvres alors que son index et son annulaire écartent mes petites lèvres et que son majeur plonge dans ma chatte bien humide.

Je me retrouve sur le dos dans mon lit, jambes écartées. Sa tête est entre mes jambes. Je voudrais retrouver la femme qui lui a appris à brouter une chatte et me prosterner devant elle en signe de gratitude. Sa langue est vicieuse, elle est partout, me donnant du plaisir à chaque fois qu'elle me touche. Il me lèche, il plonge sa langue, il taquine mon clito, il explore tous les coins et recoins. J'atteins des niveaux de plaisir que je n'ai jamais connu. Quand finalement j'explose de plaisir, l'orgasme me submerge complètement. J'entends des sons bizarres qui sortent de ma gorge et je convulse sur le lit. Les vagues d'extase me remuent comme un taureau dans un rodéo.

Alors que je me remets doucement, il se place sur moi. Je le sens alors pousser sa queue lentement en moi. Encore une fois, je suis surpris par sa douceur. Je m'attendais un peu qu'il me prenne à la hussarde. Mais au lieu de ça, il va assez lentement pour ma chatte s'adapte. Après avoir été à mi-chemin, il recule puis il s'enfonce à nouveau. Il va un peu plus loin cette fois. Mon Dieu! Son engin est énorme. Heureusement que ma chatte s'est étirée. Finalement il se retrouve au fond de mon ventre. Il reste comme ça quelques instants pendant que je m'habitue à sa taille. Je peux sentir les battements de son cœur à travers sa bite. Cela fait grandir mon excitation. Lentement il se retire, puis il s'enfonce. Puis il commence à me baiser en rythme. Il ne faut pas longtemps avant qu'un nouvel orgasme me traverse. Une fois que j'ai joui, Jérôme se laisse aller et me baise vigoureusement. Les orgasmes se succèdent. Soudainement, il se retire complètement et me retourne pour me mettre sur les mains et genoux. Sa force me choque. Je suis comme une poupée de chiffon entre ses mains. Puis il enfouit de nouveau sa bite totalement en moi. Il me prend par les hanches et m'attire sur lui tout en poussant en avant. Comme cela, il va encore plus loin dans mon antre bien humide. Je suis dévastée par un orgasme massif quand il donne un dernier coup de rein puissant et me tiens fort alors que je sens le premier jet de sperme qui inonde ma chatte.

Nous restons allongés sur le lit pendant cinq minutes afin de retrouver notre souffle.

- Ok salope. Une de tes tâches importante est de me nettoyer la bite. Pour cela tu utilises d'abord ta bouche et ensuite tu vas chercher un gant humide et chaud dans la salle de bain pour finir de me laver.

Cela ne me gêne pas vraiment. Ce n'est pas comme si je n'avais jamais goûté mon jus. J'avais pris l'habitude de lécher mes jouets avant de les emmener au lavabo pour les laver. Je me penche et je passe quelques minutes à lécher et sucer sa queue. Ensuite je vais dans la salle de bain et je prends un gant de toilette propre que je passe sous l'eau tiède avant de revenir et laver doucement son visage avant de descendre jusqu'à son entrejambe.

- Voilà tes devoirs! Dit-il après s'être habillé.

Comme ordonné je suis restée nue.

- Ce soir tu vas te rendre dans l'un des sex-shops de la ville et tu vas te procurer plusieurs articles : du lubrifiant, un trio de plug anal, un gode de la même taille que ma bite, des pinces à tétons, un collier et une laisse. Ce soir, avant d'aller te coucher, tu mettras le plug anal et tu le garderas toute la nuit. Demain matin, tu le remplaceras par celui de la taille suivante. Enfin demain soir, juste avant de te mettre au lit, tu mettras le plus gros. Chaque jour, trois fois par jour, je veux que tu t'entraînes pendant vingt minutes à sucer le gode. Je veux que tu puisses le prendre entièrement dans ta gorge. A partir de maintenant jusqu'à nouvel ordre, tu dois garder un plug dans ton cul, sauf bien sûr lorsque tu dois le retirer pour aller aux toilettes. De plus, tu ne dois plus porter de culotte, sauf autorisation spécifique. Tu jetteras tous tes collants. Seuls les bas et porte-jarretelles sont autorisés. Pour ta garde-robe, à partir de maintenant, tu ne porteras que des jupes ou des robes avec des talons de plus de dix centimètres. As-tu compris?

- Oui je comprends.

Eh bien, il va falloir que je fasse du shopping, j'ai besoin de renouveler ma garde-robe.

- Et tu dois m'appeler Monsieur. Tout le temps.

En voyant mon air effrayé il rigole et ajoute :

- Ne t'inquiète pas, nous ne sommes pas en public et de toute façon nous ne le serons jamais.

Il part. Il me reste une demi-heure pour nettoyer et m'habiller avant que Jacques ne rentre à la maison. j'ouvre la fenêtre de la chambre pour aérer, je n'ai pas envie que l'odeur de sexe se diffuse dans la maison.

Il est 20 heures. Je me suis douchée et habillée. Le dîner a été préparé, mangé et rangé. Jacques est dans sa chambre en train de travailler et écouter de la musique. Je lui ai dit qu'il fallait que je sorte pour faire quelques courses. Évidemment je ne lui dit pas où je vais.

Je vais dans un sex-shop au bout de la ville, à l'opposé d'où nous habitons. Je me dis que c'est l'endroit le plus sûr où je risque le moins de rencontrer une connaissance. Je n'ai jamais été dans un tel endroit. J'ai acheté tous mes jouets sur internet. Je suis surprise de voir à quel point c'est propre et rangé. A première vue, ça ressemble à n'importe quel autre magasin. C'est bien éclairé et les rayons sont bien rangés et organisés. Ce n'est qu'en regardant plus près que l'on se rend compte que tous les articles tournent autour du sexe et que ce magasin est différent d'un magasin normal. En fin de compte c'est un grand magasin où on peut tout trouver. Il y a une section pour les vêtements, très sexy bien sûr. Il y a un rayon pour les chaussures, mais pas des chaussures ordinaires, il n'y a rien en dessous de talons de 15 centimètres. Bien sûr il y a le rayon DVD, mais pas question de trouver des films Disney ici. Et bien sûr il y a tous les jouets et accessoires. Ce n'est vraiment pas l'endroit miteux auquel je m'attendais. Il y a quelques clients qui semblent faire leur course comme dans un magasin ordinaire. Il n'y a pas de vieux vicieux qui me déshabillent du regard comme je m'y attendais.

Je suis au milieu, en train de regarder autour de moi pour savoir par où commencer, quand une jeune fille très polie, d'une vingtaine d'années environ, s'approche et me demande si j'ai besoin d'aide. Je lui remets la liste que j'avais rédigée et je marmonne quelque chose à propos de mon petit ami et que je veux essayer de pimenter notre vie sexuelle. Elle se contente de me sourire avant de me dire de ne pas être nerveuse, qu'elle voyait ça tout le temps.

Elle est très professionnelle, car elle m'aide rassembler les objets de ma liste. Elle me pose quelques questions personnelles afin de s'assurer que ce que j'achète est le meilleur pour ce que je veux en faire. Mais elle me met à l'aise. Elle me fait des suggestions sur certains produits, me décrit leurs caractéristiques ainsi que les avantages et les inconvénients des différents modèles. Et elle me recommande certains. Après une demi-heure, j'ai payé mes achats et je suis sortie. En revenant à la maison, je m'arrête dans une épicerie de nuit et j'achète des choses pour couvrir envers mon fils ce que je suis vraiment allée acheter.

Le plus petit plug fait environ deux centimètres et demi de diamètres et sept centimètres et demi de long. Il me faut un peu de lubrifiant, un peu de mouvement dans les deux sens et un peu de douleur, mais j'arrive à l'introduire. Cela me fait vraiment bizarre de l'avoir en moi quand je me lève et que je bouge. Jacques est déjà couché alors je décide de m'entraîner à marcher avec le plug. Vous avez déjà entendu l'expression : « on dirait qu'elle a un balai dans le cul »? Eh ben oui, quand je me regarde dans le miroir en marchant c'est exactement ça. C'est vraiment inconfortable pendant un moment, mais en me regardant toujours dans le miroir, je me force à adopter une posture normale pendant que je marche. Finalement ça devient de plus en plus facile. Après une demi-heure, je vois que je suis capable de marcher normalement sans effort. Je remarque également que je réagis aux sensations que le plug fait dans mon cul quand je me déplace. Maintenant, au lieu de faire des efforts pour marcher normalement, je dois faire attention à ne pas montrer que je suis excité. Et m'asseoir est une autre expérience intéressante alors que l'objet s'enfonce plus profondément dans mon cul.

Une après avoir inséré le plug dans mon cul, je me mets en chemise de nuit et je m'assois sur mon lit pour tester la gorge profonde sur le gros gode. Je m'étouffe un peu en essayant de le forcer au fond de ma gorge, mais au bout de vingt minutes, je réussis à presque l'enfoncer entièrement. Manifestement, mon cerveau a oublié d'avertir ma chatte que je faisais cela contre ma volonté et que ce n'était pas censé être agréable. Finalement j'utilise le gode pour me procurer trois orgasmes de suite avant de m'endormir d'épuisement. La sensation d'être totalement remplie par cet énorme gode ainsi que le plug dans mon cul ont intensifié mes jouissances.

A suivre...

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