Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.
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Sophie prend le train.
C'est le début des vacances pour Sophie, une jolie fille du nord qui vient de fêter ses vingt ans. Elle n'est pas très grande avec son mètre soixante-cinq, mais elle est très bien faite. De plus, ses yeux verts allument la convoitise dans le regard des hommes et ça, elle s'en est aperçue déjà depuis pas mal de
temps et on peut même dire qu'elle en joue assez souvent.
C'est la première fois qu'elle part ainsi en train toute seule. Depuis deux ans, elle part en vacances avec ses copines de fac, mais cette année, elle a choisi l'aventure, l'inconnu. Fille de famille, elle ne part tout de même pas en bohémienne. Sa place est déjà réservée dans un club en bord de Méditerranée où elle compte bien s'initier à la plongée sous-marine et qui sait, peut être trouver un beau garçon à l'accent chantant.
Elle est émoustillée par ce voyage solitaire qu'aucune contrainte ne vient ternir. Cette liberté est telle, qu'elle ne sait pas encore trop comment faire pour la dompter, aussi, le train à peine parti, elle se met nue au lit, espérant que le voyage sera plus rapide. Et puis, elle n'a pas envie de passer du temps avec la voisine de ses parents qu'elle a salué en montant dans le train. Cette femme est si bavarde, qu'elle imagine facilement les discussions interminables et stériles qu'elle risque à la rencontrer dans le couloir.
La nuit est chaude, elle n'a mis que le drap par-dessus elle et encore, elle a la jambe droite qui est dégagée presque entièrement. C'est plongée dans la lecture du fameux roman sulfureux "histoire d'O" qu'est la jeune fille, quand des coups sourds sont frappés sur la porte métallique. Ils la font sursauter. Elle questionne timidement :
- Oui, qui est-ce ?
- Contrôleur, Mademoiselle !
Sans se lever, elle pose son livre à l'envers sur le drap, tend le bras et déverrouille la porte. Elle attrape son sac à main qui est à ses cotés et fouille dedans pour en extraire finalement le billet. Un grand bonhomme d'une trentaine d'années entre à demi dans le compartiment. Il se baisse pour voir la fille et la salue :
- Bonsoir Mademoiselle, votre billet s'il vous plaît ?
- Tenez !
Elle vient d'apercevoir les yeux d'un bleu lumineux qui la détaillait auparavant et elle sourit gentiment. C'est vrai qu'elle le trouve plutôt mignon ce contrôleur, rien à voir avec l'image d’Épinal du vieux contrôleur tout rond. Cet homme est grand et costaud, svelte, mais musclé très certainement, ses
cheveux sont d'un blond qui fait penser aux surfeurs des feuilletons américains.
- Eh bien, mais vous n'êtes pas dans le bon compartiment Mademoiselle, c'est assez gênant, ce compartiment est réservé par des gens qui doivent monter à Troie.
- Aïe ! J'ai dû me tromper, veuillez m'excuser Monsieur, mais n'est-il pas possible d'inverser les compartiments maintenant que je suis installée ?
- Ah non ! ça c'est impossible, le règlement l'interdit, et vous savez, souvent les gens réservent telle ou telle cabine par nostalgie, ou parce qu'elle le rappelle une lune de miel, ou une rencontre...
- Oh Monsieur, s'il vous plaît, ne pourriez-vous pas expliquez à ces gens que je dors par exemple ?
- Vous en avez de drôles, vous ! Si vous croyez que c'est si simple. Et en cas de réclamations, je serai alors mis à pied pour faute, merci bien, je n'ai pas envie de perdre mon boulot !
- Allez... Dit encore Sophie en prenant un air de chien battu.
- Non, c'est impossible. je peux vous aider à déménager, mais je ne peux pas vous laisser ici, j'en suis vraiment navré, Mademoiselle !
- S'il vous plaît...
- Non, tonne cette fois François qui commence à être exaspéré par cette petite grue qui joue les saintes-nitouches alors qu'elle est visiblement nue sous le drap léger, car il s'aperçoit bien des volumes à travers le fin tissu.
Durant ce dialogue, le type est entré complètement dans le compartiment et a repoussé la porte. La jeune fille lui tend toujours son billet, il s'en empare et le poinçonne avant de lui rendre. En rangeant son billet dans son sac, Sophie ne s'occupant plus trop du drap qui lui masque sa poitrine, fait un tel mouvement, autant énervée de devoir changer de compartiment que par la présence de ce bel homme, que le tissu glisse laissant apparaître deux magnifiques seins, ronds et bien faits, dont les pointes sont érigées.
- Et vous dormez nue, en plus !
- Et alors, ce n'est pas interdit que je sache ?
- Non, mais cela dénote fort bien votre nature...
- Comment ça, ma nature, je vous prie ?
- Vous devez être une sacrée garce !
François, d'un coup d'épaule discret vient de refermer complètement la porte sans trop de bruit, maintenant, il approche une main de cette poitrine si tentante.
- Comment ça je suis une garce ?
Et, s'emparant du premier sein qui lui tombe sous la main, tout en le pressant, il poursuit :
- J'en ai vu des cochonnes dans les trains de nuit, mais des comme vous, qui me mettent leurs seins sous le nez, ça c'est un peu fort, je trouve !
- Mais je ne vous mets rien sous le nez, le drap a glissé, c'est tout !
- Ben voyons ! Et je suis sûr encore que vous ne portez même pas de culotte !
À ces mots, le contrôleur qui commence à être excité par la douce peau qu'il vient de tâter, s'enhardit à relever entièrement le drap. Puis il poursuit sur un ton devenant dur :
- Et voilà, qu'est ce que je disais, encore une folle de bites qui voyage à la recherche d'un bon coup !
- Je ne vous permets...
- C'est bon ! j'en ai vu d'autres… ! Et que dirait vos parents s'ils apprenaient votre attitude ? Hum ?
- Mais...
- Pas de mais… ! Vous êtes une grosse salope en chaleur, et c'est tout, je connais. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour vous empêcher de vous envoyer en l'air !
Durant tout le dialogue le contrôleur n'a pas cessé de regarder cette jolie jeune fille sous tous les angles qui lui étaient permis. Il a, par exemple, très bien remarqué qu'elle s'entretient régulièrement les poils du pubis qui ne forment qu'une petite touffe raz juste au dessus de la commissure des lèvres. Il a le sang qui commence à bouillir, aussi finit-il par dire avec une voix cassée qui trahit l'état d'excitation dans lequel il se trouve :
- Mais t'as de la chance, j'aime ça, moi les salopes en rut... !
Est-ce les mots, est-ce le ton, est-ce la chaleur, est-ce le début des vacances ? Certainement un mélange subtil de tout ça, toujours est-il que Sophie éclate en sanglots.
- Voilà les larmes maintenant, tssss...
Et François rejette complètement le drap au pied de la couchette dans un geste violent. Puis il fixe, d'un regard noir, la pauvre jeune fille qui est devenue subitement blême.
- Fais moi voir comment tu es faite, chienne !
Et à ces mots, il empoigne fermement la jolie brunette et, sans ménagement, il la plaque sur son lit. De sa main libre il écarte les jeunes cuisses bien faites, un rien rondes et commente :
- Putain ! il y a eu du passage par ici, tu as la chatte toute dilatée...
- Mais...
A suivre...
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