dimanche 25 novembre 2018

Tatouage Ch. 02

Tatouage - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Il a la preuve maintenant.  

Le vol de Chicago jusqu'à chez lui parut très long à David. Il avait été choqué par le passé et l'infidélité de sa femme tout au long de leur mariage. Ses émotions étaient partagées entre l'incrédulité, la haine, la colère, la pitié pour lui-même et la luxure. D'une certaine manière, l'image de Lori utilisée par ces hommes l'excitait.

Mais ne nous y trompons pas, David n'était pas sur le point de tout pardonner et de vivre une vie de cocu. Il avait réussi dans les affaires parce qu'il était intelligent et qu'il savait quand il convenait d'agir. Il savait se poser, évaluer et déchiffrer un problème. Il avait fait confiance à sa femme et l'aimait depuis près de 25 ans. Et s'il devait mettre un terme à son mariage, ça serait à ses conditions et quand il le voudrait.

Il organisa ses pensées et son plan d'action.

Premièrement, il faudrait faire des tests sur ses enfants pour prouver qu'ils sont bien de lui. Il les appellerait à l'université et trouverait une excuse d'assurance pour leur faire faire un test sanguin. Il avait quelques amis médecins qui étaient prêts à contourner les règles pour lui. Lori devrait être également testée pour savoir si elle n'avait pas de maladies sexuellement transmissibles. Son esprit formula une excuse qui semblerait plausible.

Deuxièmement, il devrait retrouver Sam PHILLIPS et vérifier l'histoire. Il sentait que Sam disait la vérité au sujet de cette histoire à l'université. Il l'avait vécu et n'avait aucune raison de mentir. Les rendez-vous annuels de Franck et lori devaient être vérifiés. Franck avait peut-être dit ça à Sam pour l'impressionner, pour faire le macho. Sam avait dit qu'il était mort sans amis. Alors peut-être qu'il avait raconté cela simplement pour garder le respect de son dernier ami. Et enfin, peut-être que Sam connait l'un des autres hommes étant au dixième anniversaire avec Franck.

Troisièmement, il contacterait un détective privé avec qui il avait déjà travaillé pour des vols de logiciels dans sa société. Il voulait que leur ordinateur personnel ainsi que leurs téléphones et leurs cartes de crédit soient soigneusement vérifiés pour détecter toute trace d'infidélité. Le détective leu devait beaucoup, de faveurs pour tout le travail qu'il lui avait donné au fil des ans.

Quatrièmement, il perdrait du poids et reviendrait en forme. Quand et s'il quittait Lori, personne, et surtout elle, ne pourrait dire qu'il s'était laissé aller.

Cinquièmement, et c'était la partie la plus difficile de son plan, il devait continuer sa vie et sa relation avec Lori comme si rien ne s'était passé. Il n'était pas sûr de pouvoir la regarder dans les yeux et lui dire qu'il l'aimait. Pourtant c'est ce qu'elle faisait depuis 23 ans.

Les tests sanguins revinrent rapidement et éloignèrent les craintes sur sa famille. Il poussa un soupir de soulagement en découvrant que ses enfants étaient bien les siens. Lori n'avait aucune MST, son test étant négatif.

L'ordinateur fut examiné tout comme les enregistrements sur le téléphone et les comptes bancaires. Si Lori avait rencontré cet homme au fil des ans, elle n'avait pas dépensé d'argent et elle n'avait conservé aucune trace. David espéra qu'elle était innocente plus que prudente.

En moins de huit mois, David perdit presque le poids qu'il avait pris en 20 ans. En fait, il devint un habitué de la salle de sport où il s'entraînait religieusement. Il fut encouragé par tous les compliments qu'il recevait de la part de ses amis et de ses collègues. Lori était particulièrement fière de lui et semblait sincèrement enthousiasmée par la promesse de sa nuit de servitude. David avait souvent l'envie de vomir quand il pensait aux anciens rendez-vous annuels de sa femme.

Depuis son retour de voyage, ils n'eurent pas de relations sexuelles. David dit à Lori qu'elle avait raison au sujet de son apparence et que jusqu'à ce qu'il redevienne le même qu'avant, ils n'auraient pas de relations. Ce fut difficile pour eux deux. Ils avaient tous les deux des besoins sexuels à assouvir. David proposa un dérivatif que Lori accepta après de multiples tentatives de séduction. Une fois par semaine, après un bon dîner, ils avaient une session où ils se masturbaient l'un en face de l'autre en parlant de leurs fantasmes.

David racontait à Lori comment il aimerait l'utiliser comme esclave sexuelle et tout lui faire faire. Il ne se déshabillait jamais complètement lors de ces sessions, se contentant de sortir sa queue de son pantalon pour la caresser. Lori, par contre, se déshabillait complètement et se baisait avec un gode en écoutant son mari. Ses fantasmes étaient assez banals. Et jusqu'au moment où David découvrit la vérité, il pensa qu'elle n'était peut-être pas la salope que Sam avait décrite.

Ces sessions se terminaient toujours quand David éjaculait sur le corps de Lori. Ensuite elle s'écartait et demandait à David de partir pour se nettoyer. Au début David pensa qu'elle voulait se doucher. Mais un soir, il partit sans fermer complètement la porte. Puis il se souvint qu'il avait laissé le livre qu'il lisait dans la chambre. Il décida alors d'aller le chercher.

Il se figea sur place quand il vit par la porte entrouverte sa femme encore allongée sur le lit. Avec son gode, elle ramassait le sperme sur son ventre et ses seins puis elle mettait l'objet au-dessus de sa bouche et laissait la semence couler dedans. Son autre main frottait vigoureusement son clitoris. Et alors qu'elle commença à jouir, elle enfonça le gode dans sa bouche. Elle avait l'air de savourer le sperme comme si c'était une bonne friandise.

David se demanda si elle n'était pas la « Vide-couilles » dont il avait entendu parler. Il en eu la confirmation trois mois plus tard.

Assez facilement, après avoir contacté son ancien lycée et trouvé une excuse de réunion d'anciens, il retrouva Sam PHILIPPS. Avant de le contacter il demanda à son détective de vérifier les antécédents de Sam. Rien de vraiment sérieux, à part quelques découverts anciens sur des comptes et des accusations d'ivresse sur la voie publique.

Sam était vendeur d'assurance, et bien que l'entreprise de David ne soit pas son territoire, il avait vendu à la société une assurance commerciale. David profita de son poste pour proposer un appel d'offre à la société de Sam. Il demanda et insista pour que ce soit celui-ci qui gère l'affaire. Ils se retrouvèrent trois mois après l'épisode à l'aéroport.

Quand Sam entra dans le bureau de David, il n'était pas certain que ce soit le même homme à qui il avait parlé pendant des heures dans un bar.

- Dis donc mec, tu as perdu du poids depuis la dernière fois que nous nous sommes vus. Dit Sam en tendant la main et en lui la serrant fermement.

- Environ 18 kilos, il m'en reste 7 à perdre. Répondit David en s'asseyant à son bureau.

- Écoute, cet appel d'offre m'intéresse. Ça va compléter mon chiffre de l'année. Je dois être honnête, mais au début je n'étais pas sûr de qui tu étais quand mon bureau m'a appelé.

Sam sourit, sachant que ce contrat pourrait être un des plus importants que son entreprise n'a jamais signé.

- Eh bien Sam, j'ai étudié vos offres et ta société fournit ce dont nous avons besoin à un prix avantageux.

David se pencha vers Sam et ajouta :

- Mais il y a un autre motif caché. Ne t'inquiète pas Sam! Peu importe ce que tu diras, tant que ce sera la vérité, le contrat se renouvellera avec toi aussi longtemps que je serai à ce poste.

- La vérité sur quoi?

- La « Vide-Couilles ».

David fixa Sam et vit sur son visage une expression de perplexité.

- Oui je me souviens que nous avons parlé de l'ancienne petite amie de Franck. Et il me semble que tu étais excitée par cette histoire. Mais je suis vraiment désolé, je ne sais pas vraiment ce que tu veux.

- je ne t'ai pas tout dit ce jour-là Sam. En fait, je n'étais sûr de rien jusqu'à ce que tu me décrives le tatouage sur la fesse de cette fille avant de monter dans l'avion.

- Oui. Et?

- La « Vide-Couilles » est ma femme. Tu n'étais pas loin de son prénom. Elle s'appelle Lori et pas Laurel ou Loni.

La bouche de Sam était ouverte et il ne disait plus rien. Il n'arrivait pas à y croire. Ce gars lui donnait le plus gros contrat de sa carrière car il connaissait sa femme. Que voulait-il? Une description de toutes les fellations qu'elle avait faites il y a 25 ans?

David poursuivit :

- La semaine précédant noter mariage, nous avons fait remplir le cœur par un tatoueur afin que l'on ne puisse plus voir les lettres. Ma femme m'avait dit que c'était les initiales d'un ancien ami.

Sam, toujours incertain sur la finalité de cette réunion, décida d'apaiser le jeu.

- C'était il y a plusieurs années et c'est peut-être une coïncidence. Nous ne parlons peut-être pas de la même fille.

Il fit une pause et ajouta :

- Ça date de tellement longtemps.

David tourna le cadre photo posé sur son bureau vers Sam et il lui demanda :

- Est-ce que cette femme lui ressemble? Souviens-toi que je ne veux que la vérité.

Sam regarda le portrait de Lori et sut tout de suite que c'était la même femme. « Il veut la vérité et moi je veux le contrat. » Pensa-t-il. Alors il répondit :

- Oui c'est elle. Plus vieille, mais les mêmes yeux. Je n'oublierai jamais ces yeux quand elle les levait pendant qu'elle su...

Sa voix s'estompa quand il réalisa ce qu'il allait dire.

- Alors qu'elle suçait ta queue? C'est ce que tu voulais dire Sam?

- Oui, Mais Dave...

Il fut coupé. David était dans son élément et il menait le jeu.

- Je préfère David!

- David, désolé. Oui c'est elle. Tu as fait beaucoup d'effort et dépensé beaucoup d'argent pour que je te le confirme. Comme je te l'ai dit à l'aéroport, elle était l'une des femmes les plus soumises que j'aie jamais rencontrée. Elle était... Les choses changent... Les gens changent...

- Nous sommes d'accord mon ami. Je me moque vraiment de ce que Franck, toi et la moitié du campus ont pu lui faire faire à l'époque. En fait, je dois admettre qu'il y a quelque chose d'excitant dans cette histoire. Mais ce dont j'ai besoin de savoir, ce qui compte pour moi, c'est ce qui s'est passé au cours des 25 années qui suivirent notre mariage. Je prends cette union très au sérieux. Nous nous sommes jurés vérité et honnêteté. Alors je veux savoir où je vais.

- David, peut-être que la vérité est mieux quand elle est cachée. Ou peut-être devrais-tu avoir cette conversation avec elle.

- Désolé, je veux tout savoir. Et je ne suis pas prêt à lui faire part de mes soupçons. Je crois tout ce que tu m'as dit sur la période à l'université. Mais Sam, y a-t-il une possibilité que Franck ait inventé le reste? Il a peut-être essayé de t'impressionner avec ses histoires. J'ai besoin de ton aide pour vérifier tout ça. J'ai vérifié le téléphone de ma femme, ses comptes, son ordinateur. Mais je n'ai rien trouvé sur Franck ou ses amis. S'il est vraiment venu avec trois amis pour baiser ma femme à notre dixième anniversaire de mariage, je dois le savoir.

- Pourquoi? Tu ne pourras rien faire à part la blesser.

Il fit une pause et leva les yeux.

- Tu ne pourras rien faire aux personnes impliquées. Ni à Franck, il est mort.

- Peut-être que tu ne peux pas comprendre. Mais tout ça se résume à une confiance et une honnêteté de base. Tout comme dans les affaires, le mariage a certaines règles fondamentales qu'il faut suivre pour que ça marche. Pourquoi ne m'a-t-elle rien dit?

- Tu ne la comprends pas. Elle t'aime. Elle adore sûrement le sol sur lequel tu marches. Si tu lui demandais de te faire une pipe à l'arrière de la voiture, elle le ferait par amour. Ce ne serait pas pour elle une humiliation ou une dégradation. Elle apprécie cela seulement avec les hommes qu'elle n'aime pas. L'humiliation qu'elle ressent est alimentée par l'amour pour toi et la culpabilité qu'elle ressent probablement de t'avoir trompé.

David comprend ce que Sam lui dit. Pourtant il sait qu'il ne risquerait jamais une chose qu'il aime pour une sensation perverse.

- Mais je crois que tu peux m'aider Sam. Franck aurait pu inventer son histoire, ou faire chanter ma femme, ou alors elle le faisait juste pour les sensations dont tu as parlé : l'envie d'être utilisée et le risque de tout perdre.

David ajouta d'une voix ferme :

- Crois-moi Sam, j'apprendrai la vérité. J'ai l'argent et l'envie d'aller au bout. Si tu sais encore des choses, autant me les dire maintenant.

David se leva et s'approcha de Sam.

- Ou alors j'utiliserai cette envie et cet argent pour ruiner quiconque me ment.

Sam leva les yeux vers cet homme qu'il pourrait facilement battre physiquement. Mais il réalisa que le pouvoir n'était pas toujours dans le muscle. Il savait que David pouvait le ruiner.

- Que veux-tu?

- La vérité c'est tout.

- Eh bien, je ne suis pas vraiment sûr que tu puisses faire face à la vérité.

Sam baissa la tête et ajouta :

- Franck ne mentait pas David. Il ne mentait pas à propos de ses rencontres avec la « Vide-Couilles », je veux dire ta femme.

- Comment le sais-tu? Tu as des preuves, un nom, n'importe quoi?

- Moi... Je n'ai rien dit parce que je me sens toujours un peu coupable. C'était le jour de votre dixième anniversaire. J'étais un des gars qui était avec Franck. J'étais chez toi pour baiser ta femme pendant que tu l'attendais au restaurant. Cette semaine-là il y avait une convention d'assurance pas loin et Franck m'a récupéré avec deux autres gars. Que veux-tu savoir de plus?

David fixa Sam, mais son regard le traversa. A ce moment, ce qu'il craignait depuis trois mois était devenu réalité.

- Y a-t-il eu chantage ou viol?

- Je peux te dire qu'elle n'était pas très heureuse, mais elle ne nous a rien refusé. Franck avait beaucoup de défauts, mais il ne l'a jamais forcée à faire quoi que ce soit. Il avait un certain ascendant sur elle, elle ne pouvait rien lui refuser. Je pense qu'elle le détestait probablement mais ça alimentait son excitation sexuelle. Je n'ai jamais baisé une femme aussi humide et volontaire que ce jour-là dans votre chambre.

- Comment l'a-t-il contacté, je n'ai trouvé aucune trace?

- Il m'a raconté qu'il venait en ville à une date autour de votre anniversaire et qu'il surveillait votre maison. Quand elle sortait, il la suivait et l'abordait au centre commercial et à l'épicerie. Il lui parlait de ses projets, et même si sur le moment elle refusait, elle finissait toujours par se montrer. Franck était excité de l'utiliser à chaque anniversaire comme le jour de ton mariage. Comme je te l'ai dit David, elle ne pouvait pas lui dire non.

- Ne pouvait pas ou ne voulait pas? Demanda David.

Sam haussa les épaules.

- Au cours de ces 23 années, jusqu'à ce que Franck meurt, est-ce que tu l'as baisé un autre jour que celui-là?

- Franck me l'avait proposé, mais... je ne me cherche pas d'excuses... mais le jour d'après, je m'étais senti coupable. Franck m'a dit qu'il avait amené d'autres personnes. Mais je ne connais pas leur nom. Juré!

- Dis-moi tout ce que tu sais Sam!

- C'est assez simple, il m'a dit qu'il considérait la « Vide-Couilles » comme un plaisir une fois par an. Il adorait la revoir.

L'expression du visage de Sam changea alors qu'il se souvenait de quelque chose. Il dit :

- je suis venu pour ses funérailles, et sa mère qui avait près de 80 ans était contente que je sois là. Aucune personne qu'elle avait avertie ne lui a envoyé de cartes de condoléances. D'une manière étrange, je fus le seul à être vraiment son ami. Je ne dis pas que ce qu'il a fait est bien, je ne vais pas le défendre. Mais nous étions proches.

- Je t'ai dit qu'il n'y aurait pas de représailles. Qu'as-tu oublié de me dire?

- Sa mère m'a demandé de l'accompagner à son appartement pour l'aider à faire le tri dans ses affaires. Elle ne voulait pas y aller seule et elle ne faisait confiance à personne d'autre. Mais il n'y avait rien à voler.

- Qu'est-ce que tu as trouvé Sam?

- Une boite dans un placard, avec des photos de la... je veux dire de Lori, prises au fil des ans. Il semble qu'il aimait garder un souvenir de son passage. Et sur toutes les photos, il s'efforçait de mettre en avant l'alliance de ta femme, sa main enroulée autour d'une queue, ou recouverte de sperme.

- Que sont devenus ces photos Sam? Peut-être les utilisait-il pour la faire chanter?

David voulait trouver une raison pour sortir de son cauchemar.

- Elle était au courant des photos. Elle regardait fixement l'objectif de la caméra. Je ne crois pas qu'il les ait utilisés de cette façon. Je pense que s'il la faisait chanter, il me l'aurait dit un jour ou l'autre. Je me trompe peut-être. J'ai les photos, je les ai sortis de l'appartement pour que sa mère ne les voit pas. Depuis ce jour, je les cache dans mon garage.

- Tu as peut-être tort Sam. Peut-être qu'elle a fait ça parce qu'elle n'avait pas le choix.

La voix de David était pleine d'espoir. Il continua :

- Je les veux Sam. Je te paierai.

- Je crois que je devrais les brûler et que tu devrais tout oublier. Si tu continues tu vas devenir fou.

- Donne-moi ton prix bon sang! Je les veux et je n'ai pas besoin de tes conseils.

Sam se leva et s'approcha de David.

- Ecoute, je ne veux plus rien avoir à faire avec ça. Le contrat d'assurance était très intéressant pour moi et si tu veux le conclure ou non, je ferai comme tu voudras. Pour les photos, si tu les veux tu les auras. Je ne veux pas d'argent pour ça. Je veux simplement que tu essaies de ne plus me harceler davantage.

Après des années passées à négocier avec des personnes, David comprit qu'il ne devait pas exagérer plus. Il s'excusa :

- Je suis désolé Sam. Je deviens un peu fou, je suis désolé. Considère que la police d'assurance est signée. Je ne voulais pas te crier dessus.

- Je vais t'envoyer les photos, tu en feras ce que tu voudras.

Il se détourna et commence à partir, mais la voix de David l'arrêta.

- Merci Sam. C'est tellement difficile de croire qu'une personne aimée et de confiance pendant de nombreuses années ait eu deux vies. La mère de mes enfants est la « Vide-Couilles ». Quand je la regarde dans les yeux, je vois ses lèvres enroulées autour d'une bite. Et ce n'est pas la mienne.

Les deux hommes se séparèrent et ne se revirent jamais plus. Chaque année qui suivit, Sam reçut un gros chèque de commission pour l'assurance contractée par la société de David.

*****

Une semaine plus tard, la secrétaire de David lui apporta un petit paquet reçu au courrier. Il l'attendait avec impatience. Il déballa le colis de la taille d'une boite à chaussures et vida le contenu sur son bureau. En face de lui, se trouvaient une centaine de Polaroid dont certains commençaient déjà à jaunir. Sur chaque photo il y avait sa femme. De par sa coiffure et ses vêtements, il conclut que les photos avaient été prises tout au long de deux décennies.

Certaines avaient été prises chez eux, d'autre dans leur voiture et dans des chambres d'hôtel louche. Comme l'avait dit Sam, l'alliance de sa femme était toujours visible. Elle ne semblait ni heureuse ni malheureuse sur les photos, mais elle semblait sexy. La colère envahit David.

Il grimaça quand il la vit nue, visiblement enceinte, une bite dans la bouche et l'expression « Vide-Couilles » écrite sur son ventre distendue. David comprit que la photo fut prise à peu près au premier anniversaire de leur mariage. Leur fils était né quelques semaines après et David s'en rappela comme l'un des jours les plus heureux de sa vie.

La photo suivante montra ses nichons avec des épingles à linge et son ventre de femme enceinte recouvert de sperme. Un gode était fourré dans sa chatte et elle avait les cuisses bien écartées.

David passa des heures à regarder chaque photo, essayant de les dater et de se rappeler où il était à ces moments-là. Sur la plupart d'entre elles, sa femme était seule. Sur d'autres, il y avait Franck et elle, ce qui voulait dire que quelqu'un d'autre prenait la photo ou qu'il utilisait le retardateur. Il trouva un groupe de six personnes à partir du dixième anniversaire. Il n'y avait pas d'autres visages que celui de Franck et Lori, mais David savait que l'une des bites dans la bouche ou le cul de sa femme était celle de Sam. Il reconnut la cuisine, le hall d'entrée et la chambre à coucher de sa maison.

Il ne ressentait ni colère ni désir. Peut-être était-ce seulement de la déception. Il réfléchit et décida que son mariage était terminé. Dans sa tête c'était fini, mais il continuerait à vivre avec sa femme pendant des années jusqu'à ce qu'il se décide à se venger.

A suivre...

Sévices militaires Ch. 04

Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Soumission de la femme du capitaine.

Je me regarde une dernière fois dans la glace de ma chambre cherchant un défaut dans ma tenue. Je suis habillée d'un tailleur parme avec des bas clairs et des hauts talons : Très «bon chic-bon genre».Il faut dire qu'il y a une cérémonie importante aujourd'hui au Monument aux Morts de la commune. Un hommage va être rendu à des soldats de notre régiment morts pour la France dans les différents conflits où la France fut impliquée.

Je vais y retrouver la femme du capitaine, Elisabeth, que David m'a demandé, ordonné serait plus juste, de piéger afin qu'elle devienne la nouvelle proie de son harem qu'il a réussi à se constituer en nous réduisant moi et d'autres femmes d'officier au rang de «vide-couilles». C'est son expression, bien entendu, pas la mienne.

Je sors de mon appartement après avoir donné les dernières instructions à la baby-sitter que j'ai engagé pour garder mes enfants. C'est la fille d'un officier, étudiante, plutôt jolie, un peu rebelle comme tous les jeunes.

Je tombe sur Béatrice, l'épouse du commandant et son mari dans la cour de la caserne. Elle est très élégante dans un tailleur beige avec des bas d'un luxe évident. Elle baisse les yeux en me croisant, gênée. Son mari me propose de profiter de sa voiture pour nous rendre à la cérémonie. Nous nous dirigeons vers sa voiture et mon cœur s'emballe quand j'aperçois David qui tient la portière ouverte.

Nous montons dedans, nos jupes courtes laissant apercevoir les trois-quarts de nos cuisses. J'aperçois même le haut de la jarretière du bas de Béatrice. David aussi sans doute qui me lançe un coup d'œil égrillard. Le commandant monte à l'avant, David ayant prétexté que ces dames seraient plus à l'aise.

La voiture sort lentement de la caserne et s'engage sur la route. David n'arrête pas de lancer des coups d'œil dans le rétroviseur, matant nos jambes. Le mari de Béatrice ne se rend compte de rien, occupé à lire le Monde. Innocemment, David lance :

- Madame le Commandant n'a pas trop chaud ?

Son mari ne relève même pas, mais Béatrice rougit jusqu'à la racine des cheveux. Je me demande pourquoi quand je comprends. Lentement, Béatrice vient, le plus discrètement possible, d'ouvrir ses jambes afin de montrer sa chatte à David, qui n'en perd pas une miette. La jupe de son tailleur est tendue tellement elle écarte ses cuisses. Et son mari qui ne voit rien, toujours plongé dans la lecture de son journal. Puis, elle croise ses jambes dans un crissement de nylons. Sa jupe remonte dévoilant largement le haut de ses cuisses, on voit nettement le haut des bas maintenant.

Je reste stupéfaite devant ce manège. J'en conclus que cela doit se passer ainsi chaque fois que Béatrice se fait conduire quelque part par David. Il me regarda soudain avec insistance et je sens mon visage s'empourprer. Il me fait comprendre qu'il veut que je fasse pareil. Morte de honte, je croise également les jambes, dévoilant mes cuisses. David sourit et il fait un geste du menton vers Béatrice qui comprend un message qui pour moi est bien obscur.

Elle tend sa main vers mes jambes et commence à me caresser doucement les cuisses. Sa main monte et descend sur mes jambes et je sens un trouble m'envahir. Ses ongles longs font crisser les bas et je frémis. Elle insiste et remonte ma jupe. Affolée, je jette un œil vers son mari qui est toujours plongé dans la lecture de son journal. Ne voit-il donc pas ce qui se passe sous ses yeux ? Sa femme et l'épouse d'un officier de son régiment sont contraintes de s'exhiber devant un pervers. J'ai maintenant la jupe entièrement retroussée, quasiment tire bouchonnée autour de la taille.  Béatrice me plonge deux doigts dans ma chatte dégoulinante. Cette séance d'exhibition m'a mise dans un état pas possible.

- Nous arrivons Mon Commandant. Lance David.

Béatrice retire ses doigts à la vitesse de l'éclair et je me dépêche de rabaisser ma jupe, le souffle court, les joues en feu. Le commandant se retourne et nous sourit :

- Ça n'a pas été trop long.

Plusieurs personnalités nous accueillent. Notamment le Maire et son épouse, qui est la sœur d'Elisabeth. Elle a la quarantaine, elle porte un tailleur cintré mettant en valeur ses courbes et ses longues jambes sont gainées de bas blancs. Elle me tend une main ferme et je la lui sers. On me présente ensuite le Député et sa femme, qui est, je vous l'ai déjà expliqué, la mère du mari d'Elisabeth. Elle a 56 ans mais elle est encore bien conservée pour son âge. Son tailleur noir et ses bas de même couleur affine sa silhouette.

Justement, à côté d'elle, se trouve Elisabeth, elle aussi vêtue d'un tailleur mais de couleur rose. Elisabeth doit avoir la quarantaine également, elle a les yeux bleus, un air austère accentué par son chignon qu'elle s'obstine à porter en toutes circonstances. On attend le Préfet qui doit arriver d'une minute à l'autre. Le Monument aux Morts se trouve dans le parc immense d'un château qui fait la fierté de la municipalité, un roi de France y étant né.

J'en profite pour prendre Elisabeth par le bras et l’entraîner vers un petit sous-bois qui se trouve pas très loin du monument. Nous serons à l'abri des regards. J'ai le cœur qui bat la chamade, me demandant comment je vais m'y prendre. Elisabeth me regarde, étonnée :

- Mais qu'y a-t-il Madame, la cérémonie va commencer, nous devrions...

Elle est interrompue par David qui débarque un sourire pervers sur le visage. Il s'approche de moi et, sans vergogne, me donne une claque sur les fesses. Elisabeth ouvre la bouche pour protester mais sous le regard de David elle se tait.

- Ton mari va bien ? Il est où déjà ? lui demande David.

Elisabeth, visiblement outrée d'être tutoyée par le chauffeur du commandant, rougit violemment mais elle bafouille une réponse malgré tout :

En Guyane, pour une mission de deux mois. Mais de quel droit me parlez-vous sur ce ton. Et vous, dit-elle en s'adressant à moi, comment pouvez-vous vous laisser tripoter par ce…ce…

Les mots lui manquent. David s'approche d'elle et lui dit :

- Et il serait content d'apprendre, ton mari, que tu te tapes des petits jeunes quand il est en mission ?

Elisabeth devient blême sous son maquillage. Elle bafouille :

- Mais...Mais…Comment cela…Que voulez-vous dire.je n'ai jamais…

- Tu ne te souviens pas ? Quand ton mari était au Liban l'année dernière…

Je crus qu'Elisabeth allait s'évanouir.

- Mais comment pouvez-vous…Avez-vous pu…

Elle baisse les yeux, effondrée. David lui assène le coup de grâce :

- Si tu ne veux pas que les photos circulent dans toute la caserne, il va falloir que tu sois très gentille avec moi.

Je regarde David avec effarement. Il y aurait des photos d'Elisabeth avec ce jeune homme ? Était-ce possible où tout cela n'était-il qu'un bluff ? Cela semble marcher en tous les cas, Elisabeth relève la tête et dévisage David :

- Que voulez-vous exactement ? De l'argent ?

David s'approche et pose ses mains sur la veste du tailleur empoignant ses seins. Elisabeth sursaute mais se laisse faire. Au loin, on entend jouer la Marseillaise, le Préfet a dû arriver.

- C'est toi que je veux, ton cul et ta chatte. Dit-il utilisant sciemment des mots vulgaires.

Il se tourne vers moi :

- Soulève ta jupe !

Je m'exécute, humiliée comme jamais. Je prends l'ourlet de ma jupe et la remonte lentement. Elisabeth, les yeux exorbités, assiste à mon strip-tease tout en se faisant triturer les seins par David qui a carrément ouvert la veste du tailleur maintenant. Il baisse le haut qu'elle portait découvrant le soutien-gorge bien rempli. Elle a de gros seins Elisabeth. Elle reste sans voix en découvrant que je ne porte pas de sous-vêtements sous mon élégant tailleur. David sort ses seins des balconnets et commence à les sucer. Elisabeth gémit :

- Non.Non. Je vous en prie. Ne faites pas ça. Je vous donnerai de l'argent. Mon mari va…

- Ton mari ? Tu veux que je lui montre les photos ?

Elisabeth, mortifiée, ne répond pas et se résigne à se laisser peloter par ce pervers. David retrousse la jupe rose du tailleur de la femme du capitaine. Il siffle en découvrant un porte-jarretelles rose également. Il baisse, d'un coup sec, le string blanc le laissant à mi-cuisses. Je reste, les bras ballants, jupe retroussée, regardant la scène. Je sens que je mouille. Ma fente commence à s'humidifier et j'ai une envie folle de me masturber. Comme si David l’avait senti, il me lance :

- Caresse-toi, fais toi jouir salope, je suis sûr que t'en meurt d'envie !

Timidement, j'avance ma main vers mon ventre, je trouve mon clitoris et commence à l'agacer avec mes doigts, le griffant avec mes ongles.

David pousse Elisabeth contre un arbre et lui relève la jambe. Il se défait, exhibant son sexe dressé. Il l'embroche comme un soudard à la hussarde. Elle se pince les lèvres en sentant le membre de David envahir son ventre. Il lui donne de violents coups de reins, la poussant contre le tronc. Son chignon se défait sous les coups de boutoir de David. Elisabeth ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Ses yeux sont fermés. Un de ses escarpins tombe à terre sous la violence des coups de reins de David. Il me regarde par moment. Je me tords, donne des coups de bassin. J'ai enfoncé deux doigts dans ma chatte, je me branle sans aucune pudeur et sans aucune retenue devant David et l'épouse du capitaine qui, les joues rouges, subie les assauts de David, totalement inerte mais gémissante.

David se retire soudain et retournant brutalement Elisabeth la positionne de nouveau devant l'arbre. Elisabeth, les mains sur le tronc, attend. David se met à genoux et lui lèche la chatte, aspirant le clitoris. Puis il remonte et tenant sa bite à pleine mains, il s'enfonce de nouveau dans sa chatte. Elisabeth a poussé un long gémissement. Les coups de reins reprennent de plus belle. Je me branle frénétiquement, je vais jouir, je le sens. Je me mords les lèvres en ayant un orgasme qui me laisse exténuée.

David, les mains agrippées aux hanches d'Elisabeth se déchaîne soudain, la pilonnant comme un fou. Elisabeth pousse un cri en sentant la queue de David qui s'enfonce de plus en plus loin. Elle hurle quand il se déverse en elle.

Nous avons rejoint discrètement la cérémonie. La belle-mère d'Elisabeth lui a lancé un regard noir. Elle s'est rendu compte de notre absence. Elisabeth la regarde tandis que les paroles de David résonnent encore dans sa tête :

- Dorénavant, tu vas m'obéir au doigt et à l'œil. Tu réponds à toutes mes exigences. Je viendrais bientôt te voir avec des potes chez toi. Et puis, j'aime bien la femme du Député, ta belle-mère. Avec ton aide, on devrait pouvoir en faire une vrai chienne comme toi.

Il se tourne vers moi :

- Tu demanderas aux autres leurs numéros de téléphone portable que je puisse les contacter n'importe quand ou leurs envoyer des instructions par SMS.

Elisabeth et moi rejoignons Béatrice que nous mettons au courant des dernières perversions que nous venons de subir et des ordres de David. Nous assistons au déroulement de la cérémonie comme dans un brouillard. Notre calvaire est loin d'être terminé.

A suivre…

mardi 20 novembre 2018

Juge Kimmy Ch. 04

Juge Kimmy- récit érotique  domination soumission viol chantage Interracial

Traduction d'un récit de Doctor_devon.

**************

Visite au glory-hole.

Quelle heure est-il? 3 h 00? Putain, je me masturbe depuis minuit. Ma chatte est douloureuse des abus que je lui inflige. J'ai l'impression que ma soumission à Devon a débuté il y a des années. Pourtant, ça ne fait que quelques mois. Je déteste le fait que ses visites ainsi que celles de ses amis se fassent plus rares, comme si je n'étais plus appétissante. Et je déteste encore plus de devoir détester que des étrangers n'abusent plus de moi.

3 h 30! Je remarque que le voisin d'en face a finalement cessé de me regarder me masturber. Il est courant maintenant que je laisse mes rideaux ouverts pour que n'importe qui me voit m'abuser moi-même. Mon voisin est le meilleur spectateur. Cela m'humilie et, bien sûr, ajoute à mon excitation. Je m'endormirai mais le dopant que je renifle à chaque fois que je somnole me tient éveillée et je peux continuer à frotter mon clitoris.

Je décide de renoncer à dormir. Je sors une publicité que quelqu'un a laissé sur ma table de nuit un soir. C'est une petite carte de visite qui fait la publicité d'un « glory-hole » dans la pire partie de la ville. Mon Dieu, Pourquoi ne puis-je m'arrêter? Pourquoi je continue mon humiliation alors que mes maîtres chanteurs ont presque arrêté? Ces questions me traversent l'esprit pendant que j'enfile des chaussures et un manteau sans rien d'autre. Une minute plus tard, je suis dans ma voiture et je roule vers l'adresse.

Le lieu est pire que tout ce que j'ai imaginé. Il s'agit d'un vieux bâtiment dans la partie industrielle du quartier le plus mal famé de la ville. Mon esprit me crie de partir aussi vite que possible mais je me vois sortir de la voiture et marcher vers l'entrée de l'immeuble. Une fois de plus, je suis l'esclave de mes désirs que Devon a éveillés en moi. Encore une fois, je vais permettre que l'on abuse de moi.

Derrière la porte, il y a un homme. Je remarque que l'endroit sent le vieux bois, le moisi et quelque chose d'autre que je ne reconnais pas.

- Vous êtes déjà venue? Me demande l'homme.

- Non! Est tout ce que je réponds.

Je vois s'afficher un sourire méchant sur son visage. Il m'explique les règles et que si je suis volontaire, je dois rester au minimum une heure? je serai enfermée dans une pièce sans possibilité de fuir. L'heure passée, la porte sera déverrouillée et je pourrai partir dès que je le voudrai. La pensée d'être enfermée m'effraie et tout de suite je sens l'excitation issue de cette peur. Sans rien dire, j'entre dans la pièce.

L'odeur dans cette pièce est très forte. Je me rends compte que ce que je ne pouvais identifier tout à l'heure est l'odeur d'une grande quantité de sperme séché. Le sol est tâché de foutre. La pièce n'est pas plus grande qu'un placard et il y a juste une petite ampoule allumée au plafond. Un petit tabouret se trouve au centre. Chacun des trois autres murs sont à portée du tabouret et il y a trois trous dans chaque mur.

J'entends la serrure de la porte et mon cœur commence à battre plus rapidement. Je suis prise au piège maintenant. Je retire mon petit flacon de dopant de la poche de mon manteau et j'en renifle une grande quantité. Je ressens l'effet immédiatement. Mon humiliation descend sur ma chatte et je me sens mouiller. J'enlève mon manteau et je l'accroche à un cintre derrière la porte. Au même moment, je remarque un œil qui regarde à travers l'un des trous, puis plusieurs autres. Il y a au moins deux personnes sur chacun des trois côtés de la pièce. Une peur supplémentaire me saisit quand je réalise que, même si je n'ai aucune idée de qui me regarde, ils peuvent clairement voir qui je suis. Cette peur a l'effet habituel sur moi. Je m'assois sur le tabouret et je commence à me masturber. Comme d'habitude, je ne suis pas gentille avec moi-même et je le fais brutalement, allant même jusqu'à gifler mon clitoris.

Le spectacle a l'effet désiré sur les voyeurs et des bites à moitié raides apparaissent dans les trous. Deux d'entre elles sont blanches et de taille normale alors qu'une autre est noire et beaucoup plus grosse que les deux autres. Mes mains attrapent les deux queues blanches et je ne perds pas de temps pour mettre ma bouche sur la queue noire. Je travaille les deux bites avec mes mains, les caressant pour qu'elles deviennent bien dures, tout en approchant ma tête le plus près du mur pour que la bite noire baise mon visage.

Je libère une de mes mains asses longtemps pour tirer un vibromasseur de mon manteau et me l'enfiler dans la chatte. Je l'allume et un bourdonnement fait vibrer mon clitoris. C'est à ce moment que je remarque que si je m'agenouille sur le tabouret, ma chatte sera en face du trou que je choisirai. Alors que je réfléchis, j'entends l'un des hommes blancs gémir bruyamment. Je mets mon visage à côté de sa queue quand il éclate. Les jets de sperme frappent ma figure et dégoulinent sur mes seins. Je prends rapidement la bite dans ma bouche pour obtenir la dernière goutte. En reculant, je vois un autre œil me regarder par un autre trou. L'humiliation de me rendre compte que quelqu'un me regarde prendre une éjaculation sur le visage, combinée au vibromasseur dans ma chatte me fait jouir.

L'autre bite blanche explose avant que je ne le remarque et le sperme éclabousse mon ventre. Comme pour la première, je la prends rapidement en bouche et je la suce. Un autre orgasme me traverse. Mon Dieu, pourquoi suis-je ici en train de faire ça? Je dois sortir. J'attrape la poignée de la porte mais je me rappelle que je suis enfermée. J'essaie sans succès d'ouvrir la porte. Je me retourne et je vois encore plus de yeux et de bites à travers les trous. Je me sens faible et je jouis à nouveau.

Je suis prise au piège de ma propre volonté. Ne pouvant plus rester debout, je tombe à genoux sur le tabouret. Sans m'en rendre compte, ça rapproche ma chatte de la grosse queue noire que je viens de sucer. Elle entre en moi avec facilité, cette invasion soudaine me coupe le souffle. J'essaie de m'éloigner mais un autre orgasme me traverse. Celui-ci est si intense que je deviens une poupée de chiffon. Je reste agenouillée et me laisse baiser comme une salope. Je regarde à droite et je vois une bite dans un trou et un œil qui me regarde dans les deux autres. Juste devant moi il y a une autre bite et un œil dans un autre trou. Je prends le sexe de droite dans ma main et je commence à le branler. J'ouvre la bouche et j'avale le sexe devant moi. Une autre bite sort par un trou à ma gauche. Je la prends dans mon autre main.

Je suis là, enfermée dans une pièce où je suis entrée volontairement, en train de faire plaisir à quatre bites pendant que d'autres hommes me regardent. L'homme qui baise ma chatte jouit et déverse sa semence. Il y en a tellement que ça coule le long de mes cuisses. C'est suffisant, et lorsque l'une des queues que je branle gicle sur mon dos et mes cheveux, je jouis une cinquième fois. Cet orgasme me fait tomber sur le sol pendant qu'une autre bite gicle sur mon dos et mes fesses. Je suis presque évanouie. Alors je ne veux pas continuer et j'attends que l'heure passe.

J'entends des gens qui me crient dessus à travers les murs. Ils me traitent de salope et me demandent de me relever. J'essaie d'ignorer ces humiliations. Puis j'entends la porte être déverrouillée. L'heure était-elle passée? J'aperçois l'homme du début.

- Je t'avais prévenue que tu devais rester une heure.

- Que voulez-vous dire? Demandé-je faiblement.

Sur ce, une demi-douzaine d'hommes entre par la porte. Ils m'agrippent. J'essaie bien de protester mais ils n'écoutent pas, l'un d'entre eux, un black, me pousse à genoux et enfile sa bite dans ma bouche. Un autre homme passe derrière moi et fourre sa queue dans ma chatte. Mon Dieu, ils n'arrêteront pas avant d'être satisfait. Ils étaient de l'autre côté des murs pour se vider et je n'ai pas fait ce qu'ils attendaient. Ils ont donc décidé de me violer.

Mais c'est de ma faute. Je me suis moi-même mise dans cette position d'être abusée et violée. Les larmes remplissent mes yeux quand je comprends ça et mon humiliation est multipliée par dix.

L'homme dans ma bouche jouit assez vite. Il remplit ma bouche de sperme et ça déborde. La plus grande partie coule sur mon menton. Je lève les yeux et je vois un autre homme jouer avec sa bite bien raide. Je suis déjà allée trop loin dans ma dégradation, je lui crie de me baiser le visage. Il ne perd pas de temps et met sa bite dans ma bouche pour me baiser durement. La queue dans ma chatte se vide soudainement, la remplissant avec la deuxième décharge de foutre de la soirée. Je sens quelqu'un cracher sur mon anus et une autre bite entre dans mon cul d'un seul coup. Je gémis autour de la queue dans ma bouche car la douleur est intense. Je me rends compte que ma main est encore sur mon clitoris pour le frotter durement.

Pendant l'heure suivante, ou peut-être plus, plusieurs hommes m'ont baisée. La dernière bite que je suce est celle du portier.

Enfin, je chancelle jusqu'à ma voiture, le manteau ouvert, mon corps exposé dans la nuit. Alors que je retourne chez moi, je pense à ce qui vient de se passer. Je suis dégoûtée par mon comportement. Pourtant je sais, oui je sais que j'y retournerai probablement même si je ne le veux pas. Hébétée, je fais glisser le vibromasseur sur ma chatte et je l'allume. Le bourdonnement blesse mon clitoris déjà douloureux et je suis de nouveau excitée. Je conduis comme ça et je m'arrête parfois lorsqu'un orgasme me frappe. C'est presque l'aube. Je me demande ce que je vais faire à la maison, de quelle façon je vais encore abuser de mon corps?

A suivre...

lundi 19 novembre 2018

Tatouage Ch. 01

Tatouage - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Est-ce sa femme dans l'histoire ?

La plus grande partie de cette histoire se déroule au cours des huit derniers mois. Cependant pour bien tout comprendre, il faut expliquer le contexte. David, maintenant âgé de 50 ans et Lori, 47 ans, se sont mariés il y a 25 ans. Ils se sont rencontrés en été. David venait d'être diplômé d'un Master en affaire et Lori venait de terminer sa troisième année d'université.

Leur rencontre fut un vrai coup de foudre et leur romance fut sans nuages. David eut une offre d'emploi d'une compagnie sur la côte Ouest et il devait déménager pour la Silicone Valley. Il était follement amoureux de Lori et il lui proposa le mariage, en lui disant qu'ils pouvaient bien attendre un an pour qu'elle finisse sa dernière année à l'université.

Lori lui répondit qu'elle ne voulait pas finir ses études, qu'elle ne pourrait supporter d'être séparée de lui et qu'elle voulait le suivre. Après de longues discussions ils se marièrent en invitant seulement leur famille proche. David trouva étonnant que sa future femme n'ait pas de copains étudiants à l'université à inviter lors du mariage. Ce fut sa sœur et ses cousines qui firent les demoiselles d'honneur. Quand il la questionna, elle lui dit qu'elle n'avait pas d'amis à l'université et elle changea rapidement de sujet.

Lori était une petite brune. Elle fut toute timide lors de sa rencontre avec la famille de David. Sa propre famille vivait aussi dans la banlieue de Chicago, mais tous les deux avaient été dans différentes écoles. Ils se sont rencontrés lors d'une soirée barbecue où leurs parents étaient invités.

On ne pouvait pas dire de Lori qu'elle était sexy ou très belle. Mais elle n'était pas moche non plus. Elle était dans la moyenne des étudiantes.

David, comme Lori, était un étudiant ni beau ni moche. Les femmes au barbecue disaient de lui qu'il avait un avenir prometteur dans l'industrie informatique. Lori tomba éperdument amoureux et pour lui, elle était la plus belle.

Depuis leur premier rendez-vous, ils furent toujours passionnés dans leur relation, mais ils n'allèrent jamais au-delà de simples caresses. Lori lui avait dit que leur couple était spécial et qu'elle voulait attendre le bon moment avant d'avoir des relations sexuelles. Bien sûr, tous les deux avaient déjà eu des expériences, mais Lori insistait sur le fait que ses liaisons à elle avaient été sans amour et insignifiantes. Elle ne voulait pas gâcher leur relation.

Une semaine avant leur mariage, elle lui dit qu'elle devait lui parler de quelque chose qui la déranger. Elle lui dit que c'était mieux de lui en parler avant le mariage. Dans un état émotionnel évident, elle lui parla de sa vie universitaire.

- Tu sais que je t'aime.

Elle s'arrêta un instant avant de continuer.

- Bon, je n'ai pas été complètement honnête à propos de l'université.

- Que veux-tu dire Lori? Rien de ce que tu me diras ne changera mon amour pour toi. Murmura David.

- Tu sais que j'ai eu quelques copains. Et bien c'est stupide, mais un soir que j'étais saoules je me suis faite tatouer les fesses avec les initiales VC, pour Valentin CARTER. Je suis tellement gênée.

David rigola :

- Ecoute, si c'est la chose la plus stupide que tu aies faite alors ne t'inquiète pas. Nous avons tous les deux des petites aventures à l'université. Mais aujourd'hui, tu es la seule personne que j'aime vraiment. Nous nous sommes promis d'être honnête et fidèle l'un à l'autre.

Il la tira vers lui et embrassa doucement son front. Puis il lui demanda de montrer le tatouage. Elle baissa son short et sa culotte juste assez pour montrer la partie haute de sa fesse droite. Il vit un petit cœur rouge de la taille d'une pièce de monnaie avec une flèche le traversant et les lettres VC au centre.

Comme l'utilisation de lasers pour le détatouage n'était pas encore inventé, ils décidèrent d'aller dans un salon de tatouage pour voir si le tatoueur pouvait changer les initiales CS en celle de David. L'homme dit qu'il ne pourrait pas. Par contre il suggéra de colorier l'intérieur du cœur en rouge pour effacer les initiales. Après que le travail fut fait, il fallait vraiment s'approcher de très près pour voir encore les contours des initiales. Cela ne dérangeait pas David, personne et même un médecin ne serait jamais aussi proche que lui. En fait il trouvait ça excitant. Il pensait à elle et son petit ami quand il voyait le cœur.

Un ami de lycée de David avait fréquenté l'université de Lori. Une soirée, David rencontra cet ami et ils parlèrent de leur vie depuis le lycée. David mentionna sa future femme Lori et demanda à son ami s'il la connaissait. Celui-ci lui répondit qu'il la connaissait sans la connaître. David lui demanda alors ce qu'il voulait dire. Son ami lui dit qu'elle sortait avec un des joueurs de basket-ball et que des rumeurs disaient que ces joueurs étaient assez sauvages. David lui demanda ce que ça signifiait. Son ami lui répondit qu'il ne savait pas vraiment car il n'avait jamais été invité aux soirées. Il semblait vague et nerveux dans ses réponses.

Puis il demanda à David s'il se souvenait de Sam PHILIPS. Sam avait obtenu son diplôme un an auparavant et avait reçu une bourse. L'ami dit à David que Sam était peut-être au courant de ce qui se passait dans les soirées étant donné qu'il faisait partie de l'équipe même s'il était le plus souvent remplaçant. David se souvint de Sam qui était bien connu au lycée, même si David ne le connaissait pas personnellement. En fin de compte, David laissa tomber le sujet, n'ayant aucune intention ni raison de revenir sur le passé de Lori. Le passé était le passé.

*******

Faisons maintenant une avance rapide de 23 ans. Le mariage de David et lori fut, dans tous les sens, un succès. Ils ont deux enfants et David a bien réussi dans l'industrie informatique. Il est vice-président d'une grosse entreprise, et même s'il n'est pas milliardaire, il est très riche.

Les premières années de mariage furent pour eux deux un pays de merveilles sexuelles. Ils s'aimaient profondément et étaient aventureux dans leurs rapports sexuels. Lori aimait s'habiller sexy pour David et ils expérimentaient toutes sortes d'expériences sexuelles. Chaque pièce de leur appartement devint un lieu où ils assouvirent leur passion. David découvrit qu'elle était expérimentée, surtout avec sa bouche. Mais à chaque fois qu'il lui demandait de lui parler de ses expériences, elle changeait de sujet ou ignorait son mari. Au début du mariage il essaya bien d'insister mais ils se disputèrent. Davis la laissa seule et décida de ne plus aborder le sujet.

Au fur et à mesure que le temps passe dans la vie d'un couple, les changements interviennent lentement au fil des ans. Les enfants apparurent dans leur couple et leurs temps de liberté furent réduits. David gravit les échelons dans son entreprise. Cela demanda plus d'heures de travail, moins de temps à la maison et moins d'heures à faire du sport pour se maintenir en forme, fini le gymnase et le tennis.

A 48 ans, David pesait 25 kilos de plus qu'à son mariage. Il dut porter des lunettes, et bien qu'il soit toujours un mari aimant, le feu de leur mariage s'était estompé. Lori, par contre, même après deux enfants, avait gardé la forme. Bien sûr, elle n'avait pas les mêmes obligations de son mari donc elle se faisait un devoir d'aller souvent au gymnase.

Après avoir fini d'allaiter leur deuxième enfant, elle n'était pas contente de sa poitrine. Ses seins avaient perdu de la fermeté et pendaient légèrement. Bien que David lui eût assuré qu'il l'aimait comme elle était, elle se fit poser des implants mammaires. C'était moins pour plaire à son mari que pour sa propre estime de soi. Elle pouvait maintenant porter les vêtements qu'elle voulait et elle était fière d'être l'une des seules mères du club de gym à se sentir à l'aise dans un maillot de bain deux pièces. Elle faisait maintenant un bon 95 C de poitrine.

Le couple faisait toujours l'amour, mais ce n'était plus spontané et ça se passait toujours dans leur chambre. Si David se sentait excité et qu'il s'approchait de sa femme, celle-ci repoussait ses avances jusqu'à ce qu'ils soient dans la chambre à coucher. Elle ne refusait jamais car elle l'aimait vraiment, mais l'étincelle n'était plus là.

Une nuit, David, se sentant excité, essaya de persuader Lori de lui faire une fellation dans la cuisine. Les enfants n'étaient pas là et personne ne pourrait les voir. Lori refusa gentiment ses avances. Mais quand il continua à la harceler, elle perdit son sang-froid.

- Ecoute, j'adorais me mettre à genoux et te tailler une pipe n'importe où. Mais c'est différent maintenant. Les gens de notre âge ne font pas les mêmes choses qu'ils faisaient quand ils étaient jeunes. Quand je levais mes yeux avec ta queue dans ma bouche, je voyais tes jolis yeux. Maintenant je vois ton ventre.

Dès que les mots quittèrent sa bouche, elle se sentit désolée. Le regard de son mari montrait la douleur qu'il ressentait. Ça lui faisait mal parce que c'était vrai. Il savait qu'il n'était plus sexy. Il savait aussi que si sa femme Lori avait pris 25 kilos, il ne serait peut-être plus autant excité.

Vraiment désolée, elle lui fit un sourire enjôleur et lui dit :

- Si tu perds ces 25 kilos en trop, je ferai n'importe quoi. Et je veux dire tout ce que tu voudras une fois par mois. Et tous les mois, tant que tu garderas la ligne.

David s'éloigna en colère et ne mentionna plus de baiser dans la cuisine. Il ne suivit pas non plus de régime. Il sentait qu'il était trop vieux pour changer.

Sans circonstance particulière, peut-être que leur vie se serait prolongée comme avant. Pourtant, parfois, un petit évènement peut déclencher une réaction en chaîne qui peut avoir un impact important sur la vie. Ce fut le cas, il y a 16 mois, avec un orage d'été dans le centre du pays.

David dut aller à New York pour ses affaires et son vol de correspondance ainsi que tous les autres, à l'aéroport de Chicago, furent annulés en raison de la tempête. Il appela son bureau et sa femme pour leur dire que ça prendrait des heures avant que les vols ne soient autorisés. Etant un voyageur de première classe, il alla dans la section VIP et s'assit au bar.

Assis à sa gauche, se trouvait un autre voyageur échoué qui buvait une bière. Cet homme semblait vaguement familier à David, mais il ne pouvait se rappeler. Après quinze minutes, le barman regarda la carte de crédit de l'homme et dit :

- Voulez-vous une autre bière M. PHILIPS?

Le barman reconnut le léger signe de tête et alla tirer une autre pression.

David se rapprocha légèrement et remarqua que l'homme était grand, environ 1m85. Il semblait avoir l'âge de David mais il était en meilleur forme. Sur le bar, à côté de l'homme, il y avait une brochure d'anciens élèves de l'université où Lori était allée.

- Excusez-moi de vous déranger!

David fit un signe à l'homme qui leva le regard de sa bière. Il continua :

- Il semble que je vous connais. Etes-vous Sam PHILIPS?

- Oui. Je vous connais?

Il ne sembla pas fâché mais juste lassé de devoir attendre dans l'aéroport.

- Nous nous connaissons un peu. J'étais à Roosevelt High en même temps que toi mais dans la classe un an en dessous. Je t'ai souvent regardé jouer au Basket-Ball jusqu'à ce que tu sois diplômé et que tu ailles à State. Pour moi ti as toujours été le meilleur joueur de Roosevelt.

L'homme sourit lentement, appréciant de revivre ses jours de gloire. Il se redressa sur son tabouret.

- Nous avons remporté les championnats d'Etat deux ans de suite. Comment vous appelez-vous? Dit-il en tendant la main vers David.

Celui-ci serra la main et se présenta. Ils parlèrent du passé et du basket. Sam aimait bien entendre parler de lui comme joueur. Il avait établi de nombreux records scolaires qui sont toujours existants aujourd'hui. Au bout d'un moment, David lui offrit une bière et lui parla du basket à l'université. Sam lui expliqua que son équipe n'avait jamais vraiment joué à leur réel potentiel et qu'ils perdaient souvent.

David se souvint de son ami qui lui avait parlé des fêtes de l'équipes et de Lori qui aurait rencontré un des joueurs. Il se dit qu'il pourrait peut-être obtenir plus d'informations de Sam. La meilleure façon était de flatter l'égo de l'homme.

- J'ai un ancien ami de classe qui a été lui aussi à State. Il a vu tous vos matchs et il se demandait si l'entraineur avait quelque chose contre vous. Il m'a dit qu'il ne vous avait pas assez fait jouer.

David put voir la poitrine de Sam se gonfler pendant qu'il se mettait à expliquer ses relations avec l'entraineur. Au bout de trente minutes, David décida de pousser plus loin ses questions.

- Sam, mon ami m'a dit que l'équipe de basket faisait beaucoup de fêtes à l'époque. Il y avait des filles pas farouches. Est-ce vrai?

- Eh bien Dave, ton ami a raison. Il y avait une fille dont je ne me souviens pas du nom, c'était une vraie salope. Elle sortait avec Franck MACKENZIE, la star de l'équipe. Je ne sais pas si vous vous souvenez de lui, il a été acheté par Détroit, mais s'est blessé au genou avant de passer pro.

- Voilà, Franck et moi étions les seuls blancs de l'équipe et nous sommes devenus des amis proches. Je m'entendais bien avec les autres mais avec Franck nous étions comme des frères. Nous vivions tous dans la même fraternité Alpha Oméga.

- Voilà, Franck avait cette petite amie qui avait un an de moins que nous. On l'appelait « Vide-Couilles ».

Sa voix baissa d'un ton et il regarda autour de lui pour s'assurer qu'il n'offensait personne.

- C'était une fille mignonne, pas belle, mais gentille. On ne se serait pas attendu que quelqu'un comme elle agisse comme elle le faisait. Pendant ces vingt dernières années, j'ai eu quelques relations Domination/Soumission. Mais à l'époque je ne connaissais pas. Maintenant je peux dire qu'elle était l'une des femmes la plus soumise que j'ai connu.

- Désolé Sam, j'ai entendu parler de D/S et de SM, mais pour être honnête, je ne suis pas sûr de faire la différence.

- Les deux consistent en pouvoir sur quelqu'un. Contrôler et être contrôler avec de la douleur c'est du SM. La domination et la soumission peuvent être sans douleur. Une fille peut être excitée sexuellement si on lui ordonne certaines choses. Dans le cas de cette fille, on l'humiliait et on la dégradait.

- Hé, ce n'est probablement pas bien pour un vieux comme moi, mais parlez-moi d'elle. Quelle était sa particularité?

Sam rigola et continua :

- Vous continuez à payer les bières et je continuerai à te parler d'elle maintenant que certains souvenirs reviennent. Elle s'appelait Laurelle ou Lorna, quelque chose dans ce genre.

David sentit une démangeaison dans sa queue. Il se demanda s'il parlait de sa femme. Sam lui dit qu'après les premiers mois où ils se fréquentèrent, Franck commença à exiger certaines choses de sa petite amie. Il la caressait sans gêne et lui parlait cru devant ses amis. Il lui disait qu'il allait l'entrainer à devenir une grosse salope. Et elle se tenait là, sans rien dire, et rougissait. Mais, si on regardait de près ses mamelons, on pouvait voir qu'ils durcissaient.

- Vers la fin de la première année, Franck avait bien exploité sa nature soumise. Elle lui permettait de l'utiliser en privé comme publiquement quand il le souhaitait. Expliqua Sam.

Les bières continuèrent d'arriver et l'histoire se poursuivit. Maintenant, David avait peur de savoir si la fille dont parlait l'homme était sa femme. Il s'agissait de beaucoup plus que des petites aventures sexuelles. C'était les exploits d'une femme qui n'avait plus d'estime de soi et qui était une salope complète.

Sam décrivit comment elle suçait les amis de Franck et se dégradait devant eux. Souvent nue lors des soirées, elle se masturbait pour divertir les garçons de la fraternité. Et bien que sa chatte soit réservée à Franck, sa bouche pouvait être utilisée par tout garçon qui le demandait, quand il le voulait.

- Un jour, Franck organisa pour elle une initiation pour l'entrée dans une des meilleures sororités du campus, réservée aux filles riches et de bonne famille. C'était un ami des filles les plus garces de cette sororité. Sa petite amie pensait que seuls les membres de la fraternité de Franck étaient au courant de ses exploits. Mais en réalité, la plupart des étudiants du campus la connaissait sous le nom de « Vide-Couilles ».

- Un soir, elle rejoignit la sororité dont elle voulait faire partie. On lui expliqua que toutes les filles avaient dû subir ce rite de passage. Après quelques verres d'alcool elle accepta. Des tables furent installées et chacune des filles de la sororité donna un verre de liqueur à chacun des garçons de la fraternité. Ceux-ci allèrent dans une autre pièce et éjaculèrent dans le verre. Les filles de la sororité n'étaient pas du genre à s'exhiber sexuellement et ne voulaient pas ternir leur réputation en accompagnant les garçons pour les aider.

- Bientôt il y eut douze verres remplis de sperme. Les filles les alignèrent par trois et dirent à l'amie de Franck qu'elle devait boire trois verres suivis d'un verre de vodka. Et qu'elle devrait le répéter quatre fois jusqu'à ce que tous les verres soient vidés.

- L'alcool, les cris des filles, le désir de devenir membre de la sororité et enfin l'insistance de Franck décidèrent la jeune fille de 20 ans. Elle accomplit la tâche sous le regard stupéfait des autres filles qui n'avaient jamais avalé une goutte de sperme.

- Une fois fait, la pièce devint silencieuse, mis à part des ricanement et rires de certaines filles.

Sam secoua la tête et continua :

- Ensuite, Franck dit à tout le monde que la dernière phase de l'initiation était de boire à la source. Jamais timide ou gêné par sa virilité, il ouvrit son pantalon et sortit sa grosse queue.

- Il regarda dans ses yeux effrayés sa copine ivre et confuse, et il lui ordonna de se mettre à genoux. Après une légère réticence, la fille soumise et naïve tomba devant son petit ami. En sachant ce qu'il attendait, elle lui fit une de ses meilleures fellations, dans un brouillard pervers, souhaitant impressionner les jeunes filles riches. Quand Franck jouit, il lui ordonna de garder le sperme dans sa bouche, afin que tout le monde puisse voir la grosse quantité déposée. Ensuite elle avala puis se dressa fièrement et demanda si elle avait réussi le test. Elle fut horrifiée, quand tout le monde, y compris son amour, éclatèrent de rire. Ils lui dirent sans prendre de gants, qu'elle ne serait jamais membre de leur sororité car les filles ne voulaient pas être associées à une « Vide-Couilles ». Elle fuit la pièce en larmes.

David posa son verre de bière et commanda une nouvelle tournée. Les haut-parleurs venaient d'informer les voyageurs que le temps se dégageait et que les nouvelles heures de vol allaient être affichées. David et Sam virent qu'ils avaient encore une heure avant de monter dans leur vol respectif.

David leva les yeux de sa bière et dit :

- Alors dis-moi, que lui est-il arrivée? Tu sais, à la « Vide-Couilles »? A-t-elle revu Franck après cette mauvaise farce?

- Tu sais mon ami, j'aurai pensé qu'elle ne le reverrait jamais. Comme toi, je pensais que Franck avait dépassé les limites. Il était le dominateur et avait rompu la confiance entre un dominateur et sa soumise. Il y a des choses à ne pas faire dans ce type d'arrangement et tu ne trahis pas ta partenaire.

La bouche de David resta ouverte alors qu'il aurait souhaité être dans son avion et ne pas savoir si cette femme, très probablement sa femme, avait continué d'être soumise à Franck. Il bredouilla :

- Sérieusement, elle continua à voir ce...

Il sentit la colère monter.

- ...connard?

- Hé, ne prends pas ça au sérieux! C'était il y a déjà de nombreuses années. Et honnêtement je crois qu'elle avait oublié cette histoire. Ecoute, on ne dit plus rien, je ne pensais pas que tu prennes cela de la sorte.

Sam prit sa bière et commença à descendre de son tabouret.

- Attends Sam. Je suis désolé. Comme je te l'ai dit, j'ai eu une vie universitaire assez paisible.

David sourit et continua :

- J'ai étudié et travaillé pour aider à payer mes études. Allez, nous avons encore un peu de temps et je crois que je vais devenir fou si je n'entends pas comment ça se finit.

Sam sourit et dit qu'il comprenait. Toute histoire de sexe et de salope vaut mieux que de lire des journaux dans un terminal d'aéroport.

- Cette fille voulut quitter Franck. Elle refusa de répondre à ses appels et elle l'évita sur le campus. D'ailleurs, elle évitait presque tout le monde car la nouvelle de ses exploits se répandait partout. A chaque fois qu'elle allait en cours, elle devait supporter les ricanements et les pointages de doigts de personnes qu'elle ne connaissait même pas.

- Franck ne s'était jamais trouvé à cours de femme dans sa vie donc elle ne lui manquait pas vraiment. Une nuit, alors que j'étais avec Franck et d'autres gars, assis à regarder un match à la télé, un étudiant de première année vint nous voir et dit à Franck qu'il avait un visiteur.

- Quand elle entra dans la pièce, le silence se fit. Elle était vêtue d'une jupe et d'un pull avec des chaussettes et chaussures d'écolière. Elle ressemblait à un agneau jeté dans la fosse aux lions. Franck lui demanda ce qu'elle voulait sans vraiment détourner son attention du match. Elle lui demanda à lui parler en privé.

Sam dit à David qu'il se souviendrait toujours de cette nuit. Ça lui donne toujours la chair de poule. Il raconta au mot près ce qui se passa.

*****

- S'il te plaît Franck, je dois te parler. Tu me manques. Implora-t-elle.

- Si tu avais besoin de me parler, tu n'avais qu'à répondre à mes appels téléphoniques. Je t'aurais alors donné l'occasion de t'excuser.

Les yeux de Franck se fixèrent sur les siens et elle frissonna.

- M'excuser? Franck, ce que tu m'as fait... Je ne devrais pas être celle qui s'excuse... je suis la risée de... Oh tant pis, s'il te plaît, pouvons-nous parler en tête à tête?

Franck se leva et se dirigea vers la télévision et l'éteignit. Il se retourna et tout le monde vit un sourire diabolique sur son visage. La tension dans la pièce était palpable.

- « Vide-Couilles ». C'est ton nom sur le campus. Très bien « Vide-couilles », si tu veux revenir avec moi, ça se fera à mes conditions et seulement aux miennes. Sinon tu peux partir. Il y a plein de filles, plus belle que toi...

Il s'arrêta et attrapa son entrejambe tout en continuant :

- ... qui veulent ça.

Sami dit que lui et les autres garçons se regardèrent en se demandant si quelqu'un serait assez courageux pour dire à Franck que les choses allaient trop loin. Mais, dit Sam avec une certaine culpabilité dans la voix, ils voulaient tous voir comment ça allait se terminer.

- Alors? demanda Franck en croisant les bras et en fixant la jeune fille qui se recroquevilla sur elle-même.

- Je vais, oui je vais... mais allons dans ta chambre... n'importe quoi, mais pas ici s'il te plaît.

- Dis à mes amis ce que tu es. Dis-leur à qui tu appartiens. Dis-leur quelle salope stupide tu es et comment tu es désolé de m'avoir embarrassé devant les filles de la sororité.

Il avait un regard froid. Il ajouta :

- Ou alors va-t'en!

- Je suis une « Vide-Couilles », je suis la propriété de Franck, sa stupide...

Elle bafouilla sur le mot « salope » et continua :

- Je suis désolé de t'avoir embarrassé.

- Et tu écriras une lettre à la sororité. Tu t'excuseras d'avoir quitté la fête si brusquement. OK?

Sans montrer aucune résistance, elle secoua la tête pour donner son accord. Franck sourit et lui demanda de se déshabiller. Comme elle avait déjà été nue devant la fraternité, elle n'hésita pas à enlever ses vêtements.

- Règle numéro 1 : Pas de soutien-gorge ni de culotte sur le campus. Sauf, bien sûr pendant tes règles où tu es autorisée à porter une culotte rouge. Si l'un de mes camarades de fraternité ou moi-même voyons sur le campus que tu ne te conformes pas aux règles, nous déciderons, PAS TOI, de l'endroit discret où tu subiras une inspection. Compris?

Elle hocha la tête. Ses tétons se tenaient debout dans la chaleur de la pièce.

- Règle numéro 2 : Pas de poils sur ta chatte.

- Règle numéro 3 : Quand tu arriveras à la fraternité, tu enlèveras tous tes vêtements à l'entrée et tu enfileras mon maillot de basket ainsi que le collier et la laisse que tu iras acheter demain à l'animalerie.

Il augmenta sa domination :

- Peu importe qui sera ici, tu te déshabilleras dans l'entrée.

- Règle numéro 4 : Tous les hommes dans cette pièce...

Sa main balaya l'air devant lui et montra les six autres garçons.

- S'il te disent « A genoux », tu arrêteras ce que tu es en train de faire, te mettras à genoux et les suceras. En dehors de cette maison, tu les suivras partout où ils se sentirons bien pour se faire sucer.

Il sourit et continua :

- Assure toi d'avaler tout ce qu'ils t'offriront et n'oublie pas de les remercier. Par contre, ils ne sont pas autorisés à te baiser. Ta chatte est à moi. OK?

Les larmes coulaient sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de sangloter. Mais tout le monde dans la pièce pouvait sentir l'odeur musquée de sa chatte. Il était évident qu'elle mouillait. Elle hocha la tête pour acquiescer.

- Une dernière chose avant que je te pardonne Vide-Couilles! Dans la camionnette les gars!

Franck se dirigea vers le garage et, en passant dans la buanderie, il attrapa un tee-shirt puant et sale qu'un des gars avait porté pour s'entrainer. Il lui lança et lui demanda de suivre ses amis dans le véhicule.

Quand elle entra dans le garage, le tee-shirt lui arrivait au raz des cuisses. Les manches découpés laissaient apparaitre les côtés de ses seins. Quand elle pénétra dans la camionnette, l'odeur de sueur et de sa chatte remplit l'endroit.

Ils se rendirent dans la partie la plus mal fréquentée de la ville et ils s'arrêtèrent devant un salon de tatouage. Franck y pénétra pendant quelques minutes, puis il revint et ouvrit la camionnette pour leur demander à elle et ses amis d'entre dans le salon.

Etant donné l'heure tardive, ils trouvèrent l'endroit vide. La seule personne présente était un homme barbu et tatoué. Des images étaient gravées en couleur sur ses bras et sa poitrine. Il portait un gilet en cuir et un jean délavé. Il était la photo même du « biker ».

- Alors c'est la « Vide-couilles »? Demanda-t-il sans regarder personne en particulier.

Franck demanda à la jeune fille d'enlever le tee-shirt, ce qu'elle fit, heureuse de pouvoir échapper à la puanteur. Le tatoueur regarda la fille nue et lui demanda de s'allonger sur la table. Mais plutôt que se coucher dessus comme elle aurait pu s'y attendre, il la fit seulement se plier à 90 degrés. Ses pieds, toujours sur le sol, furent attachés aux pieds de la table, écartant ainsi ses jambes. Une ceinture fut placée autour des jambes. Une ceinture fut placée autour d'elle pour tenir son ventre et sa poitrine appuyés sur le plateau de la table. Ses bras furent attachés de chaque côté.

Elle se sentit exposée et vulnérable. Elle savait pourquoi elle était là. Franck allait la marquer. Il la marquerait comme étant sa propriété, mais elle s'en fichait. Elle était dans un tel esprit qu'elle n'aurait rien refusé. Elle entend Franck et le tatoueur murmurer sur ce que voulait son maître.

Après quelques minutes, elle entendit une chaise tirée derrière elle. L'homme du salon s'assit derrière son cul et sa chatte. Des mains touchèrent son cul et elle sentit une lingette imbibée d'alcool frotter le haut de sa fesse droite pour la désinfecter.

Franck parla assez fort pour que tout le monde entende :

- Pendant que « Vide-couilles » reçoit son petit cadeau, nous allons la tenir occupée. Alignez-vous les gars et utilisez sa bouche. Je veux que vous la baisiez comme si c'était une chatte. Et même si elle aime avaler le sperme, je veux que vous gicliez sur son visage de salope. Dis à mes amis qu'ils peuvent!

Attachée à la table avec la douleur de l'aiguille du tatoueur qui travaillait sur son cul, son jus dégoulinait de sa chatte le long de ses jambes. Elle voulait ça autant que Franck. D'une certaine manière elle sentait qu'elle méritait ce traitement et cette humiliation augmentait son excitation.

- S'il vous plaît, baisez ma bouche! Utilisez ma bouche! Non ce n'est pas une bouche mais une chatte qui parle. Utilisez là et jouissez sur ma figure s'il vous plaît.

Bientôt les bites furent sorties. Les six camarades de la fraternité ne ressentaient plus aucun remord, ni embarras envers elle. Ils ne voulaient que se libérer. Sam déclara que lorsque ce fut son tout, le visage et les cheveux de la jeune fille étaient trempés de sueur et de sperme. Lui comme les autres se vida sur elle. Il fallut encore vingt minutes pour que le tatouage soit fini, la fille resta allongée, le foutre coulant de son visage vers le sol.

Un fois le travail terminé, le tatoueur appela Franck Il sourit quand le jeune garçon le remercia pour un si bon boulot. Il lui dit qu'il pouvait être payé avec de l'argent ou avec la bouche de sa copine. Le « Biker » se dirigea sur le côté et enfonça sa bite dans la bouche ouverte. Alors qu'elle suçait, l'étudiante sentit la queue de Franck pénétrer sa chatte humide. Elle jouit une première fois, puis une deuxième et encore.

David regarda Sam et ils ressentirent tous les deux un certain lien. Comme des enfants regardant des magazines pornos, ils étaient entrés dans une connivence érotique à l'aéroport.

Alors qu'ils commandaient leur dernière bière, Sam ajouta :

- je dois vous dire qu'elle était autre chose. Depuis ce jour jusqu'à notre sortie de l'université, elle était le fantasme de tout étudiant. Elle faisait tout ce que demandait Franck. Je n'ai jamais eu autant de fellations que pendant cette partie de ma vie. Aujourd'hui, j'en ai une à chaque anniversaire.

- Qu'est-il arrivé à cette fille? Demanda David.

- Eh bien, elle était supposée être là la dernière année, mais on raconte qu'elle a rencontré quelqu'un et s'est mariée. Chanceux, Franck a découvert où elle était et il s'est rendu à son mariage. Il donna un petit papier à une demoiselle d'honneur pour qu'elle lui donne. La jeune fille devait dire qu'elle avait besoin de parler à Franck, que c'était un vieil ami à qui elle devait dire au revoir, qu'il l'attendait dans le hall où les invités arrivaient.

- Et?

- Ils se sont cachés dans un coin et Franck lui a ordonné de quitter sa petite culotte et de lui la donner. Il m'a dit qu'il l'avait fait mettre à genoux pour qu'elle le suce. Il lui dit qu'il voulait que son premier baiser en tant que femme mariée ait le goût de son sperme.

David sentit sa queue durcir encore plus. Lori lui avait dit qu'elle avait enlevé sa culotte pour le surprendre quand il enlèverait sa jarretière au diner. Est-ce que ça pourrait être elle? Est-ce que cette fille était vraiment Lori? Pas étonnant qu'elle n'ait jamais parlé de ces années-là. Il sentit la colère monter car ils avaient toujours été fiers de leur honnêteté l'un envers l'autre. Techniquement, tout ça s'était passé avant qu'ils n'échangent leurs vœux. Et puis, même si c'était elle, ce dont il doutait un peu quand même, comment aurait-elle pu cacher ses désirs pendant toutes ces années. Il sourit intérieurement, c'était une histoire dont il se souviendrait toujours.

- Eh bien Sam, c'était sympa de parler avec toi. Tu m'as donné une histoire sur laquelle fantasmer. Dit David à son ami en lui faisant un clin d'œil.

- C 'est sûr. Ça fait des années que je pense à elle. Et puis tu sais... Non tu ne le sais probablement pas... Mais Franck est mort. Un accident de voiture. Un pauvre gars qui est mort seul et endetté. Nous étions quatre personnes avec moi à assister à son enterrement.

Sam soupira :

- Il n'y avait même pas ses camarades de la fraternité. La vie est comme ça, ça vient et ça s'en va.

Les haut-parleurs annoncèrent l'embarquement pour l'avion de Sam. Alors qu'il ramassait son sac, il ajouta :

- Je l'ai vu l'année avant sa mort. Et ce bâtard m'a dit qu'il faisait l'effort de la voir à chaque anniversaire de son mariage pour la baiser. Il lui a même dit de faire refaire ses seins qui s'affaissaient après ses deux enfants. T'imagine l'arrogance de ce type? Pour son dixième anniversaire de mariage il l'a rejointe dans sa maison avec trois amis pendant que son mari l'attendait au restaurant.

Ils se serrèrent la main et David resta planté pendant que Sam se dirigeait vers la porte. Ça ne pouvait pas être Lori. Ils s'étaient promis de ne jamais se mentir. Bon Dieu! David essaya de se souvenir de leur dixième anniversaire de mariage mais rien d'inhabituel lui vint à l'esprit. Il savait que ce n'était pas elle mais quelque chose le dérangeait et il voulait savoir.

Il courut après Sam et l'attrapa avant l'embarquement.

- Sam, le tatouage?

L'homme, agacé et prêt à partir continua son chemin.

- Le tatouage, à quoi il ressemblait? Tu te souviens?

- je ne sais plus. Et ça n'a pas d'importance.

Il secoua la main, puis s'arrêta et se retourna :

- Oh maintenant je me souviens. Il s'agissait d'un petit cœur rouge avec, au centre, les initiales VC, pour « Vide-couilles ». Au revoir!

A suivre...