Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Chez la femme du commandant.Assise au volant de ma voiture, j'attends que la sentinelle ouvre la barrière pour me permettre d'entrer dans la cour de la caserne. Il est jeune et il me regarde avec insistance. Un frisson me parcoure l'échine. Aurait-il vu les photos compromettantes que David possède sur moi et certaines des autres femmes de la caserne ? Ou pire ! M'aurait-il déjà « possédée » au cours des « soirées » que David organise ? Depuis que je suis devenue bien malgré moi l'esclave du chauffeur du Commandant suite au chantage qu'il exerce sur moi et d'autres femmes d'officiers, je suis sollicitée à de multiples occasions par certains des soldats de ce régiment où mon mari a été muté.
Il est en ce moment en mission en Côte d'Ivoire. Il est parti avec le mari de Valérie et Marie-Dominique, les deux autres femmes victimes de ce chantage odieux. Le Commandant, lui, est resté mais il s'absente souvent la journée ce qui fait que sa femme, Béatrice, se retrouve vite contrainte d'obéir aux ordres pervers de David.
Il nous menace de rendre publique des photos qui ont été prisent lors d'orgies où nous avons participé. Au départ, il nous a coincé en nous prenant en flagrant délit d'adultère.
Il nous a demandé de piéger la femme d'un jeune capitaine qui vient d'arriver, Elisabeth. Je vous ai déjà parlé d'elle dans l'épisode précédent. Depuis, je me demande comment m'y prendre.
La barrière se soulève enfin et je remercie le soldat d'un sourire. Quel âge peut-il avoir ? 25/30 ans ? Je roule tout doucement et commence à entrer dans la cour. Il sort de la guérite et d'où il est je comprends très vite qu'il a une vue plongeante sur mes cuisses généreusement dévoilées par la mini-jupe que je porte, laissant même apparaître l'attache du porte-jarretelles que je suis plus ou moins contrainte de mettre maintenant puisque David nous oblige les autres filles et moi à nous habiller sexy. En « pute BCBG » comme il dit lui-même. Moi qui est toujours été contre ce genre d'accessoires que je considère comme futiles.
Je suis quand même surprise quand la sentinelle me fait signe de stopper la voiture et de venir le rejoindre. Je m'exécute un peu inquiète et sort du véhicule, lui dévoilant une nouvelle fois mes cuisses gainées de bas noirs. Mes talons claquent sur le bitume quand je vais le rejoindre. Il me pousse dans la guérite et je reste sans voix. Valérie, l'épouse du lieutenant, est à genoux en train de pomper avec ardeur le sexe énorme d'un soldat qui se trouve dans la petite guérite.
Quand on passe à côté, on ne la voit pas. Tout juste peut-on apercevoir le haut de sa tête qui monte et qui descend sur la bite dressée. Sa jupe relevée jusqu'en haut des cuisses permet de voir qu'elle n'a pas de sous-vêtements et ses bas autos-fixant sont filés à force d'avoir été triturés par ces deux soldats sans doute.
- Elle est là depuis ce matin. Me lance la sentinelle.
Abasourdie, je regarde l'heure à ma montre. Depuis ce matin ! Il est plus de 11h00 !
Sa veste de tailleur est ouverte et ses seins lourds pendent. Ils sont rouges d'avoir été malaxés. Sa bouche est déformée par le membre qu'elle suce. Elle me jette un regard où je lis un mélange de peur et de soumission mais aussi une certaine forme d'excitation.
- C'est devenu une vraie pipeuse. Ricane le soldat. Depuis ce matin, elle a dû en sucer une quarantaine.
Prise d'une nausée, je manque de m'évanouir. J'aperçois alors les traînées de sperme séché qui macule ses seins. Le soldat sort sa queue et la positionne entre ses deux seins ordonnant à Valérie de les prendre elle-même à pleines mains et de le masturber avec. La jeune et jolie épouse du lieutenant s'exécute et le branle avec ses seins en tétant le gland avec le bout de sa langue par moment. Le soldat ne tarde pas à jouir aspergeant les seins de Valérie de sa semence visqueuse.
Je suis repoussée dehors par la sentinelle dont je ne connais toujours pas le nom et il me lance :
- Tu peux y aller. On la garde encore un peu. La prochaine fois, ce sera ton tour. Exerce-toi ! Me lance-t-il en éclatant de rire.
Je remonte dans ma voiture et m'empresse de partir abandonnant Valérie à son triste sort.
L'après-midi, je reçois un coup de fil de Béatrice, la femme du Commandant, qui me demande de venir la rejoindre dans son appartement. Elle insiste sur le fait que je dois mettre une tenue très sexy.
Je me dirige vers son logement en traversant la cour. De nouveau, je constate que les regards des militaires sont posés sur moi et mêmes certaines épouses de militaires me dévisagent avec dédain et stupeur pour d'autres. Il faut dire que je suis habillée de façon vraiment osée. Il fait très beau et un soleil magnifique nous annonce l'arrivée de l'été. J'ai mis un Tee-shirt au décolleté échancré sans soutien-gorge ce qui fait que mes seins jouent librement dessous. Ma jupe blanche ultra courte m'arrive au tiers de mes cuisses qui sont recouvertes d'un collant noir malgré la chaleur. Le contraste entre le noir et le blanc est terriblement excitant. Des talons aiguilles rouges complètent ma tenue. Une vraie pute pensais-je mais c'est comme cela que me veut David. J'arrive devant le logement de Béatrice et c'est elle qui m'ouvre me soufflant :
- Vite, vite, rentrez ! Me lance-t-elle apeurée.
Je la comprends. La pauvre Béatrice, la si distinguée épouse du Commandant de la caserne est habillée comme la dernière des traînées. Elle est vêtue d'une guêpière avec un porte-jarretelles qui retient des bas noirs. Les cuissardes en vinyle qu'elle porte, aux talons immenses, la grandisse encore plus et elle a du mal à marcher. Elle porte autour du cou un collier de chien.
Je m'avance dans le salon et je découvre Marie-Dominique assise sur une chaise les chevilles attachées aux pieds et les mains liées également. Elle est vêtue d'une jupe courte sur des bas blancs et des talons hauts. Son soutien-gorge est baissé dévoilant sa poitrine. Ses seins sont malaxés par deux hommes qui sont masqués.
La porte de la cuisine s'ouvre et Valérie accompagné d'Audrey sortent. Valérie est habillée comme une veuve, mais en plus sexy. Elle ne porte qu'une veste de tailleur sans jupe, des bas avec un chapeau à voilette et des gants en dentelles. Ses escarpins vernis affinent ses jambes.
David s'approche de moi me dévisageant un instant. Je frémis en sentant son regard sur moi. Il s'attarde sur mes seins. Puis il me demande de soulever ma jupe. Je m'exécute la retroussant dévoilant mon collant. Je ne porte rien dessous bien évidemment et je me suis rasé la chatte comme il me l'a demandé.
Je sursaute en entendant sonner à la porte. La femme du Commandant va ouvrir et plusieurs hommes entrent. Ils sont tous masqués mais ce qui me surprend c'est que certains ne sont pas en treillis. Ne seraient-ils pas militaires ? David a-t-il fait venir des gens de l'extérieur ?
David les salue et va discuter à voix basse avec eux. J'entends un gémissement et me retourne. Un des hommes masqués a sorti son membre épais de son pantalon et vient de l'engouffrer dans la bouche de Marie-Dominique. Il pose sa main sur sa tête, la guidant, et la pauvre Marie-Dominique le pompe, baissant la tête avec régularité, allant tellement loin que par moment son nez vient toucher le pubis de l'homme. Elle doit changer de partenaire et sucer l'autre en alternant entre les deux hommes.
David s'approche de moi et me penche sur la table me retroussant totalement la jupe qui se retrouve tire bouchonnée autour de ma taille. Il me déchire mon collant, exposant mon cul à la vue de tous. Très vite, je sens qu'on vient me palper les fesses. Des doigts s'insinuent dans ma chatte.
Audrey emmène Valérie devant les nouveaux arrivants et leur propose de se « taper » une veuve perverse. Trois hommes se précipitent comme un chien sur un os et entreprennent de lui ouvrir sa veste de tailleur, dévoilant ses seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle noir. On lui malaxe les seins. Elle a ouvert les jambes et des doigts inquisiteurs lui triture le clitoris et la branle. Elle pousse un gémissement.
Audrey se dirige vers un canapé et s'allonge dessus après avoir enlevé son pantalon de treillis, elle ôte rapidement son string, et écartant les cuisses, elle lance à Béatrice :
- La vieille ! Viens me sucer !
Béatrice, docile, s'exécute. Elle se met à genoux devant la chatte d'Audrey et commence à lui lécher le clitoris.
Nous sommes, toutes les quatre, prisent de toutes les façons possibles et inimaginables par ces pervers. Ils nous humilient sans avoir une once de remord. Audrey prend un malin plaisir à humilier la femme du Commandant. A quatre pattes, elle doit se rendre devant chaque « invités masqués » et les sucer. Son visage et ses seins sont vite recouverts de sperme. Valérie, à genoux sur le canapé, est baisée violemment par plusieurs hommes. Une bite dans la chatte, une autre dans son cul, elle est défoncée par ces brutes. La bouche ouverte, elle crie plusieurs fois, gémissant sous les assauts de ces inconnus. Je crois qu'elle a eu plusieurs fois des orgasmes.
Marie-Dominique, toujours ligotée sur sa chaise, a sucé tellement de queues qu'elle a la commissure des lèvres toute rouge et on a l'impression qu'elles ont doublé de volume. Elle n'a pas le temps de reprendre sa respiration. Chaque fois qu'un des hommes éjaculent son sperme dans sa bouche ou sur son visage, un autre le remplace aussitôt malgré les suppliques de l'épouse du lieutenant. Ses seins sont malmenés par des centaines de mains et ils sont également tout rouges. Je la regarde en train de pomper un membre pendant qu'un autre lui suce le bout de ses seins et qu'un troisième, à genoux devant la chaise, s'amuse à essayer de lui enfoncer sa main dans sa chatte dégoulinante.
David s'occupe de moi. Il me pousse contre le mur du salon et me prend debout. Je pousse un petit cri quand je sens sa bite qui s'introduit dans mon vagin. Il commence un mouvement de va et vient, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Son ventre claque contre mes fesses, ses mains sont crispées sur mes hanches. Il me besogne avec force. C'est plus fort que moi, j'halète sous ses coups de boutoirs, je gémis. Mon Dieu ! J'ai honte. Je sens l'orgasme arriver. Je vais jouir. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. David accélère ses coups de reins et se retire éjaculant sur mon dos. Je sens le sperme qui coule et tentant de reprendre ma respiration après l'orgasme qui vient de me terrasser, je m'écroule à ses pieds.
Valérie, les yeux révulsés de plaisir, pousse un hurlement quand les deux hommes jouissent en même temps dans sa chatte et son cul. Ils se retirent et elle doit nettoyer leurs queues avec sa langue. Marie-Dominique est prise en photo par les hommes qu'elle a sucé pendant des heures. Le regard fou, les seins recouverts de sperme, elle hésite à regarder l'objectif, honteuse. Un de ces ignobles pervers lui introduit le goulot d'une bouteille dans la chatte. Elle jouit et la chaise est souillée par ses sécrétions vaginales. Béatrice, allongée sur la moquette, les jambes relevées à la verticale, se fait défoncer à grands coups de reins par un de ces mystérieux hommes masqués. Son ventre claque contre son pubis. Elle pousse des feulements rauques en ondulant du bassin. Audrey prend des photos en la traitant de salope.
- Tu prends ton pied petite vicieuse, sale bourge, si ton mari te voyait ! Tu n'as pas honte ?
Et si mon mari me voyait moi ? Pensais-je. Et s’ils nous voyaient toutes ? Comment réagiraient-ils s’ils savaient, nos petits maris, que leurs femmes, leurs épouses si respectables dont ils sont si fiers, ces bonnes mères de famille bourgeoises, s’ils savaient que nous nous comportons en véritables chiennes dès qu'ils sont partis à l'étranger pour servir leur pays.
Les invités de David sont tous partis. David et Audrey s'adressent à nous pendant que nous tentons tant bien que mal de nous nettoyer et de reprendre figure humaine.
- J'ai eu des infos sur la respectable épouse du capitaine. Avant d'être muté ici, son mari était en poste au Liban. Elle était restée dans le sud à Perpignan. Elle a entretenu une liaison avec un jeune appelé. Manque de chance pour elle, un des soldats qui était dans la même caserne est dans la notre aujourd'hui. Patricia, tu vas donc lui mettre le marché en main dès demain !
Pourquoi moi ? Cela ne m’enthousiasme guère d'être la « rabatteuse » de David. Mais ai-je un autre choix que celui de lui obéir ? Il jubile à l'idée de savoir qu'il va pouvoir soumettre l'épouse du capitaine.
A suivre...
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