jeudi 29 juin 2023

Aventure à la douane.

 Texte de Derrick.

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Mon épouse Marie a trente-neuf ans et moi Marc la petite quarantaine. Nous sommes très amoureux l'un de l'autre et notre vie sexuelle est globalement satisfaisante sans pour autant nous apporter plus de satisfaction que cela. 

Marie est complexée car elle se persuade qu’elle a une forte poitrine et elle trouve ses seins trop lourds, trop veineux, trop laiteux, et pas assez fermes. Moi j'adore ses nichons, en revanche, je ne me trouve pas assez endurant pour lui témoigner toute la libido que je voudrais et j’ai souvent la désagréable impression, certes de lui donner du plaisir, mais sans pour autant la faire jouir comme j'aimerais le faire. 

Marie est très timide et particulièrement réservée. D’éducation très stricte et religieuse, elle en a gardé quelques séquelles, particulièrement lorsqu’il s’agit des choses de l’amour. Elle rougit dès qu’une conversation dérape légèrement sur le sexe et moi, de ce fait, même si j'ai une 'imagination débordante et des quantités de fantasmes, je n'ose lui en parler de peur qu’elle ne s’offusque.

Elle et moi partons demain en vacances en République Dominicaine. Pour le voyage en avion, elle porte une jupe ample longue très confortable en coton indien très léger, un débardeur moulant très fin et par-dessus un pull, un manteau long destiné à être porté à la main une fois sur place, quand il fera trop chaud ! Dessous elle porte un string, comme à son habitude ainsi qu’un soutien gorge classique à armatures qui enferme sa forte poitrine légèrement tombante du fait de son imposant volume. J’oubliais l’essentiel, elle est brune, des yeux verts, pubis brun poilu mais entrecuisse entretenu, un petit mètre soixante pour cinquante-deux kilos de charme.

Le lendemain, les six heures de vol se déroulent sans encombre et lorsque nous arrivons enfin à l’aéroport, nous prenons notre temps pour nous acquitter des formalités douanières. Nous sommes en vacances, loin de la vie parisienne trépidante et particulièrement stressante, alors, tous ces touristes pressés qui se bousculent pour passer avant les autres nous amuse un peu ! De toute façon tout le monde arrivera à sortir de cet aéroport !

Nous sommes donc les derniers de la file et, étant presque au seuil de la zone de contrôle, je remarque un douanier à l'allure particulièrement douteuse qui semble regarder Marie d’une manière très insistante, voire inquiétante ! Mais bon, je dois me faire des idées ! Je constate enfin qu’il se reconcentre sur ses obligations professionnelles avec les autres passagers qui nous précèdent. Je me faisais effectivement des idées ! Deviendrais-je paranoïaque avec l’âge ? 

Notre tour arrive enfin. Le douanier en question nous dévisage en consultant nos passeports : avons-nous l'air si fatigué que les photos ne correspondent plus à nos passeports ? Pourtant ils ne datent que de l’année dernière ! Nous n’avons pas tant vieilli que cela en si peu de temps ! Et toujours mon esprit qui vagabonde et surfe sur les chemins de la luxure ! J’imagine rapidement que cet homme en uniforme aurait bien entrepris cette brune aux formes généreuses et à la bouche pulpeuse. 

Je passe le contrôle sans problème et brusquement, le Bip Bip tant redouté par tous ceux qui ont pris l’avion une fois dans leur vie me ramène à la réalité ! Marie est pétrifiée d’avoir déclenché l’alarme du portique. En une seconde, le douanier s’approche d’elle :

- Excusez-moi madame, vous allez devoir nous suivre ainsi que votre mari. Nous allons être obligés de procéder à quelques vérifications complémentaires. Ne craignez rien, ce n’est que la procédure. Suivez-moi dans le local de contrôle, s’il vous plaît (trop poli pour être honnête, celui là !).

Nous n'en menons pas large, mais nous n'avons rien à nous reprocher. Néanmoins on a toujours l’impression d’être coupable avant d’avoir été jugé innocent. Marie est particulièrement effrayée par ce qui nous arrive ! Déjà peu rassurée de débarquer dans un pays peuplé de "sauvages", comme elle se plaisait à me le répéter il y a encore quelques mois lorsque je lui ai fait part de mon intention de partir en vacances en République Dominicaine, le fait de suivre ce douanier bedonnant à la tenue plus que douteuse, aux mains sales et cheveux gras, dans un endroit inconnu pour des "vérifications" l’effrayait ! Mais quelles vérifications ? Les autres qui avaient bipé avaient tout juste ôté leurs chaussures, subit une palpation rapide, et puis c'était tout ! Ma tendre épouse se posait plein de questions et, je dois l'avouer, moi aussi. Ce pays était pourtant réputé pour être convivial avec les touristes, car c'était bien là une des rares ressources de cette pauvre République héritière d'un communisme dépassé. 

Nous pénétrons dans une salle glauque, meublée d'un bureau qui devait dater du siècle dernier, d'une table rectangulaire en bois exotique cernée de quatre chaises paillées ! Pas de fenêtres, le local est complètement borgne, il sent la sueur et le tabac froid. Une armoire trône au coin de la pièce et quelques boîtes archives souillées sont posées pêle-mêle sur les rayonnages. 

Le douanier s'assoit sur la chaise derrière le bureau, ôte sa casquette qui avait dû être blanche il y a quelques années, nous regarde droit dans les yeux (plutôt les yeux de ma femme du reste !) et annonce cette phrase que nous n'oublierons jamais :

- Madame, Monsieur, nous sommes ici très vigilants sur le risque terroriste ! Nous avons reçu des consignes très strictes et des portraits robots qui nous permettent de garantir la quiétude de notre peuple et de nos hôtes nous sont parvenus récemment. Vous correspondez à un de ces signalements, surtout madame, je cite "belle femme, brune un mètre soixante, environ cinquante kilos, 35 à 40 ans, très forte poitrine ! De plus, Madame, vous cachez quelque chose sur vous, car le détecteur a fonctionné lors de votre passage ! Je vais donc être contraint de vous fouiller afin de lever toute ambiguïté sur vos réelles raisons d’entrer sur notre territoire.

A ces mots, je ne peux m’empêcher de protester :

- Mais, Monsieur le Douanier, est-ce bien nécessaire, nous sommes d’honnêtes gens venant faire du
tourisme dans votre beau pays ! Nous ne sommes pas des terroristes, regardez-nous ! 

- Eh bien, Madame, je vois que votre mari semble être inquiet de ce que je vais trouver !! Pas très
honnête, tout cela !

Marie, remarquant son regard fixé sur sa poitrine croise ses bras pour tenter de cacher ses formes, tandis que, voulant continuer à protester, je poursuis maladroitement :

- Monsieur, nous sommes français, nous sommes honnêtes !

- La ferme, taisez-vous si vous ne voulez pas passer deux semaines au cachot ! Vous madame, levez vos bras, et vous, monsieur, déshabillez-vous !! Allez, en slip et plus vite que cela !

Le ton employé ne laissait aucune alternative. Ouvrant la porte du bureau, le douanier crie :

- Antonio, viens t'occuper de l'homme pendant que je m'occupe de la femme !

Puis, revenant vers Marie :

- Alors Madame, où cachez-vous ce qui a sonné tout à l'heure ? Je sais, grâce à ma grande expérience dans ce domaine, que beaucoup d'endroits peuvent servir de cachette, surtout dans un corps féminin ! Et un micro film, c'est tout petit ! Allez, dites-le ! Vous êtes des espions américains… Pas de réponse ? Et pourquoi tremblez-vous ? Avez-vous peur que je trouve ce que je cherche ? Allez, ôtez-moi ce pull maintenant que je vérifie s'il n'y a rien de caché dedans !

Marie, tremblante, telle un automate, obéit et retire son pull. Ainsi exposée on voit très nettement le soutien gorge au travers du fin débardeur mais également le relief du sous-vêtement qui se dessine ! Ce débardeur particulièrement moulant est prévu uniquement pour être porté sous un vêtement, et non pour servir de rempart aux yeux d'un pervers. Elle le pose sur sa chaise et replace de nouveau docilement ses mains sur sa tête. Mon épouse est toute tremblante de peur. Dans sa tête tout s'entrechoque et elle est comme tétanisée de stress et de peur. Moi je n'en mène pas large non plus, je reste assis essayant de ne pas faire de vague afin de nous sortir de cette situation le plus vite possible.

- Allez debout, les mains sur la tête !

Elle obéit bien évidemment, mais le douanier lui dit aussitôt :

- Non, enlevez aussi votre débardeur !

Et comme une automate mon épouse se plie à l'ordre et ôte son dernier vêtement qui faisait encore barrage à la vue lubrique du fonctionnaire. Durant ce mouvement le débardeur se soulève et accroche un bonnet du soutien gorge, dévoilant un instant un sein trop comprimé dans la frêle lingerie. Marie s’empresse de repositionner ce téton déserteur.

J’observe les yeux du douanier qui sortent de leurs orbites. La fixité de mon regard ne lui échappe pas et, à son tour, il me toise sévèrement. Je baisse les yeux, honteux de ne rien pouvoir dire alors qu'il a profité de cette situation pour se rincer l'œil. Marie, honteuse, reste immobile les yeux baissés et je la regarde. Elle est belle et je suis jaloux mais presque excité en même temps de voir que ce gros vicieux la reluque ainsi.

Elle, si pudique, ne pense même plus à cacher sa poitrine malgré le regard libidineux du fonctionnaire qui tourne autour d'elle. De dos, il pose une main, puis l'autre sur sa taille, et imprime un mouvement afin de remonter très lentement pour atteindre les aisselles en frôlant les attaches de côté du soutien gorge de mon épouse. Il palpe le tissu en caressant le dos puis, rejoignant les bretelles jusqu'aux épaules, lentement il glisse ses mains sales et grasses en direction de la poitrine de Marie. Maintenant, ses pouces s'infiltrent sous les bretelles et les autres doigts palpent le tissu. Le mouvement se précise jusqu'à ce que les pouces parviennent au niveau des mamelons.

- Mais dites donc, il ne fait pas si froid madame, pourquoi vous avez les tétons tout durs ? dit-
il.

Et ce faisant, il retire ses pouces pour pincer lentement mais de façon appuyée les tétons au travers du soutien gorge entre pouces et index repliés. Il rit aux éclats et Antonio également, tandis que Marie, honteuse et humiliée se laisse pincer les bouts en silence, les larmes aux yeux.

- Quant à vous, Monsieur, restez comme cela, voici Antonio qui va procéder à votre fouille ! Mais je vois que vous êtes excité ! Qu’y a-t-il de si bandant qui puisse vous mettre dans un pareil état !

Rabaissé et humilié de bander en regardant mon épouse se faire peloter et traiter comme un objet, je tente de bredouiller :

= Je... heu... en fait rien du tout messieurs les douaniers, mais c'est ma femme dans cette tenue, je... heu... si vous avez fini, elle pourrait se rhabiller ?

Après avoir dit cela je suis presque surpris de mon courage (relatif) mais je comprends en voyant leurs sourires et les bosses de leurs pantalons que ce calvaire n'est pas fini.

Rien n'y fait, Marie reste silencieuse, humiliée que je bande de la voir malmenée. Ce sentiment s'ajoute à la honte, la peur et le trouble des paroles sévères et des gestes rudes proférés à notre encontre.

- Taisez-vous, vous n'êtes pas blanchi, loin de là, c'est louche !

Et il empaume les seins de mon épouse, cette fois pour les malaxer, les pétrir lentement, mais fermement en les pressant fort au travers de son frêle sous vêtement.

- Hum c'est des vraies mamelles ça, pas du silicone, mais il faut les observer !

Et tout en parlant, il libère ses seins du soutien gorge, mais cela ne lui suffit visiblement pas.

- Enlève ce soutien gorge et pose-le sur la chaise !

Le passage du vouvoiement au tutoiement ne me laisse rien présager de bon. Mon épouse obéit docilement. Il en profite pour mater ses seins bouger librement.

- Penche-toi en avant que je vois tes gros nibards pendre un peu !

Marie obéit encore comme hypnotisée, le cerveau débranché. Elle, si prude, se retrouve en jupe indienne, seins nus dans une pièce borgne avec deux douaniers dégueulasses qui s'amusent à l'observer à moitié nue, à la rabaisser et à la peloter devant moi. C'en est trop pour elle, son cerveau a déclenché. De nature déjà docile, elle n'est plus en mesure d'opposer quelque résistance.

Tandis qu'elle est penchée en avant, le douanier prend ses seins lourds et laiteux en main pour les soupeser, les malaxer, et même en pinçant les mamelons pour les étirer. Elle se laisse faire tandis qu'Antonio me mets des menottes, les mains dans le dos.

- Dis donc c'est beau ça, un mari qui bande pour sa femme, ça t'excite, avoue-le, de voir mon copain s'occuper d'elle ! C'est de plus en plus louche, une épouse fidèle qui se laisse faire comme une salope et un mari qui bande, ils ne doivent pas être mariés en vrai, peut être des trafiquants ?

Et, tirant l'élastique de mon slip, il exhibe mon sexe raide. Je le regarde honteux et entend :

- Antonio, laisse-lui la queue à l'air et bloque-lui les chevilles avec mes menottes sous la chaise, comme cela, il restera les cuisses écartées et la bite bien visible.

Après cette petite précision, il reprend son travail de recherche approfondi afin de découvrir le "micro film" imaginaire.

- Qu'ils sont beaux, ces seins !

Ce n'est certainement pas tous les jours qu’il peut impunément malaxer, pincer, soupeser, soulever des mamelles comme celles-là, et en plus en face du mari menotté et la bite bandante à l'air.

- Reste penchée en avant, salope, et écarte tes cuisses de femelle en chaleur… Et arrête de chialer, ça m'excite ! Dit-il, comme si l’insulte devenait nécessaire à sa jouissance perverse.

Doucement, ma femme obéit et écarte les jambes jusqu’à ce que le tissu de la jupe interdise tout mouvement. Voyant cela, le douanier glisse la jupe au niveau de la taille afin de relever ce petit rempart, ce qui a pour effet de dévoiler un cul magnifique où siège une ficelle de string entre les
lobes fessiers.

- Eh bien, mec, tu dois bien t'amuser avec ce cul ! Tu l'as déjà prêté à quelqu'un ? Non ? Alors, ça va être la première fois !! Dis-moi pas qu'elle est vierge du cul, ta putain ! Attends, je vais voir ça !

Puis, mêlant le geste à la parole, il tire sur la ficelle et découvre un trou du cul parfaitement lisse et avenant. Je frémis dès que je le vois poser son doigt dessus. En tirant un peu plus sur la ficelle, il découvre le début de la fente de ma tendre épouse tout à sa disposition.

- Penche-toi toi plus en avant ! Allez, que tes mains touchent par terre ! je dois voir ce que tu
caches là. 

Elle se plie docilement à ses ordres, ce qui permet à ce vicieux d'avoir une vue parfaite sur sa fente superbe. Il ne peut s'empêcher de glisser un doigt de l'anus jusqu'au clito, écartant de ce fait légèrement les chairs intimes de sa suppliciée.

Jaloux, humilié, je ne peux m'empêcher de bander comme jamais de voir Marie penchée ainsi, les nichons qui pendent sous elle, les jambes écartées suffisamment pour exposer son cul et sa chatte. Il commente à Antonio la réaction sous ses doigts :

- Elle est trempée la grosse pute, je suis obligé de retenir mes doigts, ils se feraient aspirer tellement elle est excitée, c'est de voir ton cocu attaché ou de savoir que tu vas goûter de ma matraque ?

- Je… non… pitié monsieur, j'aime mon mari, mais je… heu… s'il vous plaît, j'ai si honte ! Laissez-nous partir s’il vous plaît, je… heu…. je signerai tout ce que vous voudrez...

Moi, je suis toujours jambes écartées, assis sur une chaise, les mains dans le dos, je regarde ma femme en ayant presque envie que ça aille plus loin. Antonio a côté de moi commence à se caresser la bite au travers de son pantalon et son regard alterne entre la vue de ma femme se faisant fouiller par son collègue et ma bite en érection.

- Mais oui, ma salope, tu peux bien avouer ce que tu veux, moi, je veux trouver ce que je cherche ! Et je n'ai pas encore été assez profond.

Aussitôt, il écarte ses lèvres intimes de la main gauche, et son index, puis le majeur, puis sa main entière hormis le pouce pénètrent le vagin de ma petite femme.

- Tu aimes le fist-fucking, on dirait ! Tu dégoulines de mouille ! On voit que tu es faite pour ça ! Ton mari t'a déjà défoncé comme ça?

- Non, monsieur, mais arrêtez, je vous en supplie pour l'amour de Dieu, s'il vous plaît, arrêtez,
j'ai trop honte ! Pitié !

- Oui, tu as raison, je vais arrêter de te fister, d'ailleurs j'ai rien trouvé dans ta chatte, alors je vais chercher dans ton cul de salope !

- Oh non, non, s'il vous plaît !! Pas ça, j'aurais trop mal, pas ça je suis vierge de l'anus !

- Tu vas peut-être avoir un peu mal, mais avec la mouille de ta chatte que j'ai sur la main, tu vas voir, ça va passer tout seul, je vais commencer avec deux doigts puis quelque chose de plus gros !

Et tout en le disant, il commence à forcer ce magnifique anus qui s'ouvre à lui.

- Mmm mm, il se dilate si bien, on ne dirait pas que c'est la première fois qu'elle se fait enculer cette bourgeoise ! Regarde Antonio, son cul avale déjà deux de mes doigts !, viens voir de plus prêt !

Antonio se rapproche du cul de ma femme, regarde en souriant et ne résiste pas à toucher à son tour le magnifique postérieur. Il flatte les fesses puis glisse sa main entre les cuisses et remonte sur le sexe qu'il pénètre également.

- Ta femme est étanche, petit français ! Écoute comme elle gémit de plaisir ! Et attends, tu vas voir quand ce sera nos bites qui vont l'enfourner comme elle va crier cette chienne en chaleur.

J'en ai les larmes aux yeux de rage de voir ma femme gémir et remuer de la croupe en étant doigtée du cul, de la chatte et moi comme un con qui bande comme jamais et espère sans l'avouer qu'ils vont lui ramoner la chatte et la faire jouir comme jamais.

Les deux douaniers y vont de plus en plus fort, ils la branlent et malaxent ses outres chacun d'un côté puis le plus vieux, le chef, sort sa queue, énorme, au moins deux fois la mienne. Je suis bien à trois mètres de distance, mais ça me prend le nez tellement elle sent fort et il la frotte sur le visage de mon épouse humiliée, avilie, mais qui, je le sens maintenant, va jouir d'un moment à l'autre.

- Mais dis-moi ma salope, je viens de me rendre compte que je n'ai même pas vu ta chatte côté pile. Allez, relève-toi et fous-toi complètement à poil ! Allez, plus vite, vire ta putain de jupe, enlève ton string ! Voila, quelle belle chatte poilue comme je les aime. Allonge-toi sur le bureau, voilà comme ça, le cul au bord, c'est ça, les nichons à l'air et les cuisses écartées, plus écartées, je ne vois pas ta mouille couler !! Bien !! C’est ça.

- Regarde le cocu, elle va jouir, elle se retient encore, mais elle va bientôt exploser et réclamer qu'on la baise bien fort.

Et à ce moment, je vois mon épouse tendre sa tête vers cette grosse bite et en lécher le prépuce puis prendre le gland entre ses lèvres, la mâchoire écartelée et le sucer comme une possédée ! Je ne peux plus résister :

- Espèce de salope, allez, suce ces grosses queues, sac à foutre, Antonio, détachez-moi s’il vous
plaît que je me branle, j'ai trop envie.

Antonio rigole en continuant à malaxer ses seins et cherche comment profiter de ma situation. Le chef commence à enfourner le con de ma salope, le gland passe tout seul, puis la tige complète est engloutie ! Il bute sur le fond de la caverne. Antonio en profite pour lui malaxer les nichons et lui titiller le clito qui fait sailli.

- Regarde comme on baise les touristes ici ! Tu sais, on n'est pas des ingrats, tu en auras aussi quand on sera bien rassasié !

Ma queue me fait mal et je ne m'en rends pas compte mais à ce moment j'accepterais n'importe quoi. D'ailleurs le chef me demande :

- Dis-nous de bien la défoncer ta bourgeoise en chaleur, elle avait l'air bien coincée tout à l'heure mais là, elle se lâche ! Regarde comme elle aime se faire prendre par des vrais mecs !

Et moi de répondre :

- Oui allez-y, baisez-la tous les deux à fond ! Faites la jouir avec vos grosses queues !

Et Antonio se faisant sucer pendant que le chef la prend par la chatte en malaxant ses outres :

- Allez salope, prends ça, tu aimes faire le sac à foutre hein ? Avoue ! Regarde comme ton mari aime ça de te voir être notre objet sexuel !

Et il lui crache sur la rondelle et y enfonce le pouce en continuant à la limer pendant qu'elle jouit au bord de l'évanouissement.

- Le cocu va bien lui lécher la chatte quand on l'aura remplie et après il aura le droit de se branler sur son visage à moins qu'on ne lui demande de nous lécher la queue et l'entrée de la chatte de sa pute après qu'on l’ait ramonée ?

- Tiens, j'ai une meilleure idée ! Antonio, va te faire pomper par ce cocu, je suis sûr qu'il est PD sur les bords tellement il mate nos queues ! 

Alors que l'idée de lécher ma femme pleine du jus de ses tortionnaires me dégoûtait un peu tout en m'excitant, je me retrouve avec Antonio qui me présente sa grosse bite pleine du jus de ma femme devant la bouche. Je ne peux faire autrement, je commence à lécher puis ouvrant la bouche au maximum je gobe son gland pour le téter mais rapidement il s'enfonce en moi jusque dans la gorge et il me ramone le gosier. Jai honte, mais je ne débande pas. 

Marie, elle, n'en revient pas, elle qui se sentait humiliée de jouir devant moi par d'autres hommes, insultée, malmenée me voit en train de sucer une bite ou plutôt me faire ramoner la bouche et bander comme jamais. Et elle se retrouve comme moi avec une grosse queue dans la bouche et suce de son mieux en massant les couilles et en écoutant dire que d'autres collègues pourraient en profiter. Moi je ne me reconnais pas, je suce une queue, me fait limer le gosier et j'aime ça, je sens même que je risque d'éjaculer sans me toucher.

- Alors, pouffiasse, tu vois que tu es marié à un PD qui aime sucer les bites ! Et toi, tu aimes lécher les chattes ? Ben ce n’est pas le moment ! Je vais sortir de ton cul de salope et tu vas me laver la queue avec ta putain de bonne langue !

Il s'extrait du vagin dilaté et enfourne son chibre dans la bouche grande ouverte de ma chérie. Elle le pompe grave, la salope. Une vraie chienne !

- Tu pourrais bien faire plaisir à d'autres collègues, je ne suis pas égoïste et tu as encore un peu d'énergie ! Ce serait dommage de gâcher !

- Ta petite salope de mari cocu a l'air d'aimer sucer la bite, tu vois !! Tu crois qu'il aimera avaler et lécher ta chatte quand on l'aura détaché !! Tiens, va lui gober le gland, mais pas trop vite, je pourrais jouir avant et je préfère garder mon foutre pour gicler sur la figure de ton mec !

Marie se rapproche de ma queue et la gobe goulûment. Le chef profite de sa position accroupie pour la reprendre par le petit trou. Elle couine de douleur. La porte s'ouvre et deux autres douaniers entrent, stupéfaits de découvrir cette scène digne d'une orgie romaine

Marie gémit comme jamais elle ne l'avait fait avec moi et dès que le chef lui demande, elle se met à quatre pattes devant moi et prend ma queue entre ses lèvres. Il se glisse derrière elle, lui crache sur la rondelle et la queue bien lubrifiée par sa mouille se dépose sur son cul et il s’enfonce brutalement. Elle a mal, c'est sa première enculade aussi violente, mais elle ne peut protester, car je viens de jouir dans sa bouche et surprise, elle a tout pris et avalé pendant que le douanier la force. C'est cette scène que les deux collègues découvrent en entrant. Ils ferment vite la porte et direct l'un d'eux se met à genoux devant Marie pour qu'elle passe de ma queue à la sienne et l'autre attend son tour tandis qu'Antonio va jouir aussi dans ma gorge.

Nous nous retrouvons entourés maintenant de quatre douaniers, le Chef, Antonio qui sont plutôt gros et laids et les deux nouveaux plus jeunes mais tout aussi sales dans leur uniforme tout neuf.

Marie, après avoir protesté la bouche pleine de la douleur occasionnée est maintenant en train de jouir du cul pendant que le chef l'encule, Elle ne se reconnaît pas, elle si coincée se comporte comme une pute en chaleur la bouche pleine du goût de mon sperme qu'elle se refusait à avaler jusque-là, mais à peine elle a dégluti que l'autre lui fourre la sienne dans la bouche et elle le suce comme une affamée. 

Moi je ne fais pas mieux ! Antonio me tient la tête le gland enfoncé dans ma gorge et éjacule longuement en me traitant de PD de suceur de bites, de cocu et tandis qu'il s'essuie le gland sur mon nez et mon front, le quatrième prend sa place et j'ai à peine tout avalé que je recommence à sucer, encore plus honteux maintenant que j'ai giclé.

A ma grande surprise je bande encore et je suce avec honte mais plaisir en regardant le chef jouir dans le cul de ma femme, tandis que celui à qui elle faisait une pipe se retire pour l'enfourner à la suite...

- Allez, maintenant que tout le monde a bien joui, lève-toi, salope ! Allez, debout, écarte les jambes que je vois l'intérieur de tes cuisses, voilà, encore plus écartées ! bien ! Écarte également les bras, voilà, tu vois quand tu veux !

Le sperme dégouline sur les cuisses de ma femme en fines rigoles. Son anus suinte également du foutre qu'il a ingurgité. Son visage est plein de sperme, les yeux rougis par les larmes, le nez coule, les fesses et les seins sont rougis également par le martyre qu'ils ont subi. Le chef palpe de nouveau ses cuisses, en remontant ses mains jusqu’à la raie, puis présente sa main. Son vagin est tellement ouvert et lubrifié que son poing pénètre comme dans du beurre. Elle n'a plus aucune réaction, le cerveau a lâché !!

- Allez, les autres, venez chercher le micro film ! je vous rappelle que nous sommes là pour ça ! Et toi, va doigter le cul du mari, des fois qu'il se soit mis quelque chose dans l'anus.

Ma femme est entourée de six mains qui la fouillent, la palpent, écartent ses fesses, soupèsent ses seins, écartent son sexe impudiquement. Elle est soumise. Et Antonio qui s'est déjà vidé dans ma bouche me fait mettre debout toujours à poil, un pied sur une chaise, penché en avant, les mains sur le bureau et il m'enfonce un doigt dans l'anus, il rentre facilement du fait qu'il est plein de sperme et des secrétions de ma femme. Il l'enfonce, je grimace passivement et lorsqu’il enfonce un deuxième doigt, il me dit :

- Dis donc, ça te plaît petit cocu PD, tu bandes à nouveau, je vais te ramoner le cul de mes doigts et te branler en même temps pendant que ta femme nous regarde avec son air hagard de pute de chantier, ça lui change de ses airs hautains de bourgeoise coincée de tout à l'heure et toi aussi tu fais moins le fier, tu aimes te faire prendre le cul tu vas en jouir même !

Pour mon épouse en effet elle se fait fouiller le cul et la chatte sans retenue, pétrissage mammaire en prime.A un moment le chef dit :

- Elle est tellement couverte de sperme, il faut la laver, on va l'amener dans les toilettes dans le hall ! y a du monde, mais, c'est pas grave, elle a vu pire !

Il l'attrape par les cheveux, une couverture sur le dos et la traîne à l'extérieur. Une bonne cinquantaine de personnes sont dans le hall de l'aéroport et il y a environ 100 mètres à parcourir. S’adressant à moi :

- Tu vois, je vais exposer ta pute à moitié à poil avec sa belle chatte poilue au public ! y en a qui vont bien se rincer l'œil et se branler ce soir en pensant au cul de ta salope, et si on me pose une question, je dirai que c'est une pute qu'on a surprise au sous-sol, qu'on fait œuvre de charité que de l'aider à se laver ! et ensuite vous pourrez partir c'est toujours mieux que de vous transférer à Guantanamo !

- Antonio, amènes aussi le PD cocu avec nous, on va les frotter et on va aussi se laver les bites !

Nous sortons de la salle "des supplices" et traversons le hall sous les regards ahuris des voyageurs en transit. Nous arrivons dans les locaux sanitaires du personnel de l'aéroport : deux douches douteuses trônent au fond de la pièce.

- Allez, mettez-moi ça sous la douche, et frottez leur leurs petits corps endoloris, et n'oubliez rien ! Lavez bien au fond des orifices surtout.

Marie passe la première et le plus gros douanier la suit en la poussant par les fesses, son majeur directement dans le rectum. Arrivé sous le pommeau, il dit :

- Attends, ma petite pute, je vais prendre ma douche avec toi !

Il se dessape complètement. Ventru et gras à souhait, son ventre ballotte au-dessus d'un pubis broussailleux et d'une bite raide. Une fois à poil, il se frotte sur Marie de tout son corps. Je vois sa grosse bite se loger entre ses fesses. Il écarte bien les lobes pour positionner son membre bien au chaud dans les fesses de ma femme. Il en profite encore pour prendre à pleines mains les seins rougis par les malaxages multiples et violents. Le jet de la douche sort et l'eau est froide. Les tétons de Marie se raidissent.

"Ben ça alors, elle est sensible la petite pute ! Regardez comme ses tétons se rétractent ! Vas-y Pablo, frotte-la bien, et insiste sur sa chatte, je voudrais bien encore la bouffer quand elle sera propre. Et pense au trou du cul, je ferai une dernière inspection après la douche !

- Antonio, amène le PD cocu sous la douche et laisse-le se laver tout seul. Et toi, tu te laves bien la bite !! je veux voir le savon mousser sur ta queue ! Mais tu bandes encore mon salaud ! Ce sera plus facile pour te laver, tu vas te branler devant nous ! Attends, je vais chercher une collègue, hein les gars, c'est pas une bonne idée ça ? la nouvelle qui vient d'arriver ! elle s'appelle comment déjà ? Ah oui, Maria Rosé.

Il part et reviens cinq minutes après avec la nouvelle. Pendant ce temps-là Marie a pris au moins cinq coups de bites dans la fente et autant dans le cul. Le savon c'est un super lubrifiant et Pablo en a profité pour utiliser sa queue en guise d'écouvillon. Le chef va être content, c'est propre jusqu'au fond.

Lorsque Maria José arrive, une bonne grosse noire, elle nous regarde en rigolant et sans pudeur remonte sa jupe sous laquelle elle est nue et se pose face à Marie, pose un pied sur une chaise et prend la tête de ma femme pour qu'elle lui lèche la chatte . Celle-ci toujours pilonnée par Antonio, les mamelles pincées et distendues entre ses mains se met à lui bouffer le minou pendant que je suis autorisé à m'approcher et à me branler sur le visage de mon épouse. La grosse m'encourage :

-«Allez, gicle-lui sur sa gueule de bourgeoise blanche en chaleur qui me bouffe la chatte !

Et moi, incapable de résister, j'éjacule sur le visage de ma femme tandis qu'elle jouit bruyamment le nez dans cette grosse chatte poilue. 

Enfin, on se retrouve en moins de cinq minutes avec nos valises et nos vêtements (Marie nue sous sa jupe ample et légère et sous son débardeur) sur le trottoir près de la file de taxi, on n’ose pas se parler, honteux chacun d'avoir pris tant de plaisir dans cette soumission adultérine.

Une fois sur la banquette derrière le chauffeur à qui je tends le papier de l'adresse de notre bungalow, je regarde Marie et l'embrasse fougueusement à pleine langue en me retenant de prendre ses seins en mains sachant maintenant qu’elle aimait l’amour violent et posant sagement mes mains sur sa taille, je lui dis "je t'aime".

FIN

mardi 27 juin 2023

Maryline - Ch. 04

 Texte de Xmaster.

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la femme au foyer retrouve son mari.

Une fois arrivé à la maison, sa fille part rejoindre une amie. Maryline entre chez elle. Didier son mari est en train de faire la vaisselle. Elle lui demande si leur autre fille est là. Elle aussi est sortie. La jolie femme a toujours le ventre en ébullition et il se trouve qu'elle a un homme sous la main. Son époux. Elle s'approche de lui, se colle contre son dos, le serre et, la tête sur une épaule, lui demande :

- Alors, mon chéri, je t'ai beaucoup manqué pendant ces trois jours ? 

Didier est un peu étonné de l'attitude de sa femme, mais il répond :

- Oui. Tu m'as beaucoup manqué !

- Beaucoup, beaucoup ?

- Oui, vraiment beaucoup.

 Elle glisse alors une main vers la braguette et se met à masser la queue à travers le pantalon.

- Et à elle ? Je lui ai manqué aussi ? 

Didier n'en croit pas ses yeux. Jamais sa femme n'a pris d'initiative en matière de sexe. Il a peur de l'effaroucher et il répond prudemment :

- Oh oui ! Tu lui a beaucoup manqué aussi. 

Maryline masse un peu plus encore la queue, puis les couilles. Elle sent l'engin grossir.

- Tu as raison mon chéri ! Je crois que je lui ai vraiment manquée… 

Elle ouvre la braguette, glisse sa main dans le slip et caresse la queue qui grossit de plus en plus vite. Maryline s'agenouille alors et dit à son mari :

- Tourne-toi… 

Il s'exécute aussitôt et déjà, elle s'affaire, baisse le pantalon et le slip. Elle prend la bite d'une main, la branle doucement et, regardant Didier dans les yeux, elle lui dit :

- Elle est belle ! J'ai envie de te la sucer… 

Et, sans le laisser répondre, elle embouche l'engin brûlant. Maryline en a tellement envie qu'elle le suce avidement, voracement. Elle tète le gland, sa langue l'enrobant de salive. Didier n'en revient pas. Il ne reconnaît pas sa femme et ne l'a jamais vu aussi active. Il ne s'en plaint pas, bien au contraire. Elle commence alors à avaler la hampe, à chaque fois un peu plus et, très vite, elle parvient à toute l'avaler, son nez touchant le pubis de son mari, au grand étonnement de ce dernier. Il en gémit de plaisir et prend la tête de Maryline dans ses mains pour rythmer la pipe sublime qu'elle lui fait. Ses lèvres reviennent jusqu'au gland et elle l'avale ensuite jusqu'aux couilles. 

Maryline fait endurer ce délicieux supplice à son mari une bonne minute. Elle sent qu'il a du mal à se retenir de jouir. Aussi, elle arrête de le pomper, le branle doucement et se met à lui lécher les couilles l'une après l'autre. Puis elle les gobe chacune leur tour. Enfin, de la langue, elle longe la hampe et gobe le gland qu'elle suçote. Il est gonflé à éclater, jamais elle n'a senti la bite de son mari aussi dure. Elle la lèche à petits coups de langue rapides. Elle sent qu'il est à bout, sa queue frémit. Didier prévient sa femme qu'il va jouir, comme il le fait chaque fois qu'elle le suce. 

Mais, au lieu de se retirer, Maryline le pompe de plus belle. Il ne résiste plus, d'autant qu'elle l'avale à moitié et l'aspire jusqu'au gland à toute allure. Il gicle soudain, il lui donne son foutre à longs jets. Elle le boit au fur et à mesure. Elle est surprise par le goût du sperme, bien différent de celui de son jeune amant, mais pas désagréable pour autant. Elle l'aspire, le tète. Le gland est gros, il lui distend les lèvres. Elle le suce avec une telle frénésie qu'il lui échappe une seconde de la bouche. Le temps qu'elle le rattrape, du foutre fuse sur une joue et coule dans son cou. Jusqu'à la dernière goutte, elle le pompe. Il a pourtant fini de gicler, mais elle le suce encore. Elle ne laisse la queue qu'une fois qu'elle a repris sa taille normale. 

Maryline se relève alors, enlace son mari et l'embrasse goulûment. Il a d'abord un mouvement de recul lorsqu'il goûte à son sperme dans la bouche de sa femme, mais il se donne ensuite totalement à se baiser. Au bout de longues secondes, ils en ressortent essoufflés. Elle lui demande alors :

- C'était bon mon chéri ? Tu as aimé ? 

Il l'embrasse langoureusement un long moment et répond :

- Je t'aime à la folie ! Je n'aurai jamais cru que tu puisses être aussi géniale ! J'ai cru que tu me faisais mourir de plaisir… 

Elle n'a pas le temps de répliquer. Ils entendent la voiture de leur fille arriver. En souriant à son mari, Maryline rajuste la queue et ferme la braguette. 

Toute la famille dîne. Puis les filles s'installent devant la télé pour voir un match de foot. Didier fait de nouveau la vaisselle. Il s'essuie les mains quand il entend Maryline descendre l'escalier. Elle s'est changée, il la trouve très belle, avec un chemisier blanc, une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, les jambes gainées de noir. Alors qu'il s'approche de la cheminée dans le couloir, il lui dit :

- Tu es très belle ma chérie. 

Il met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adosser contre la rambarde de l'escalier et qui le regarde d'un air étrange, qu'il ne lui connaît pas. Elle lui demande :

- Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ? 

Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin

- Est-ce que tu veux voir de plus près ? 

Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour ses 40 ans. Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eu aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins. 

Maryline fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers. Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé dès que Didier est passé devant elle. Elle saute aussitôt à son cou et l'embrasse avec passion. Il serre ses fesses et les malaxe. Maryline s'agenouille alors devant son mari, baisse pantalon et slip. La queue jaillit devant ses yeux. Elle l'effleure de ses lèvres. Tout le corps de Didier se tend et vibre quelques secondes, comme secoué par une décharge électrique. Elle s'empare de sa queue qui est déjà lourde et dure. Sans plus attendre, elle la gobe doucement, entièrement, dans la chaleur de sa bouche, pour la sentir gonfler lentement, lui remplir la bouche, grandir et durcir, commencer à l'étouffer, déborder de ses lèvres. Elle le tête doucement, sa main est descendue le long de la bite jusqu'aux couilles qu'elle malaxe. Ses hanches ont commencé à onduler par vagues, manifestant l'impatience de son corps, la bite s'est enfoncée jusqu'au fonds de la gorge accueillante, réclamant d'être sucé de manière plus rapide. 

Maryline reprend à pleine main le membre devenu dur comme un cep de vigne et elle entreprend une lente masturbation, en en faisant glisser la fine peau d'une poigne ferme dans un mouvement de va et vient régulier, rythmé par l'ondulation des hanches de son mari et du crescendo de ses soupirs, tandis que sa bouche humide, dont les lèvres sont de plus en plus actives, embrasse goulûment le gland mauve.

Didier gémit soudain plus fort, crispe ses doigts dans la chevelure de sa femme. Elle comprend qu'il va jouir. Elle sent la hampe grossir et se durcir comme une pierre, la pression monter, les palpitations de la queue s'accélérer. Elle a beau s'y attendre, elle est surprise quand il explose, quand le sperme emplit sa bouche en une violente giclée chaude. Elle la garde bien au fond de sa gorge, attendant la suite du séisme, quatre autres giclées qui par ondes de moins en moins violentes se font l'écho de la jouissance de son mari. 

Alors seulement elle reprend très doucement sa tétée et boit avec gourmandise la semence, traquant du bout de sa langue la dernière petite goutte qui aurait pu lui échapper. Elle n'aime pas trop le goût du sperme, mais elle a trop envie d'être salope. 

Son repas terminé, Maryline garde la bite au fond de sa bouche pour la sentir se recroqueviller, devenir douce et vulnérable, vaincue. Après un dernier regard à la queue recroquevillée, elle se lève et, dans un long baiser, mêle leurs bouches, leurs langues, leurs salives et elle partage le goût du foutre avec Didier.

Elle l'aide alors à se déshabiller et lui demande de rester là, nu, debout contre le mur. Encore haletante, elle s'écarte enfin et, en fixant son mari dans les yeux, elle finit d'ouvrir son chemisier. Elle l'enlève et elle apparaît dans sa guêpière noire, impudique, terriblement provocante. Ses seins sont bien mis en évidence. Jamais il n'a vu sa femme parée d'une tenue aussi érotique. Il a encore du mal à croire en sa bonne fortune. Maryline dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre. Didier l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement. Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi. Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second. 

Didier a du mal à reconnaître son épouse dans cette femme qui se branle sans pudeur devant lui, accomplissant ses phantasmes les plus fous et dont il n'osait même pas lui parler. Maryline lui dévoile ainsi ses seins et sa vulve. Elle se relève soudain, retire sa culotte, s'agenouille sur le lit, fait face à son mari et elle commence à se caresser d'une main. Elle remonte ses mains sur ses hanches, passe le long de ses seins , monte sur son cou et relève ses cheveux châtains. Elle ondule le corps et se caresse ainsi un petit moment. Les mamelons de ses seins pointent de manière très visible. De ses deux mains, elle se les caresse en en pinçant légèrement les bouts. Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve. À cette simple caresse, elle soupire fort et remonte sur ses seins qu'elle massent avec plus de force pendant que sa respiration s'accélère. 

De voir sa femme se donner du plaisir, Didier bande de nouveau aussi dur, bien qu'il ait joui déjà deux fois dans la soirée. Machinalement, il se branle doucement. Maryline glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose ses doigts de chaque coté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres vaginales et dévoile son clitoris. 

Il l'entend respirer très fort. Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé, elle pousse un râle de plaisir. Au début elle le caresse lentement, mais après quelque coup de son majeur, elle augmente son rythme. Elle se masturbe maintenant en frottant son clitoris vivement. Les yeux fermés, elle semble y trouver un grand plaisir. D'une main elle masturbe son clitoris et de l'autre elle malaxe tour à tour ses deux seins. Maryline s'étend alors sur le dos au milieu de son lit, écarte largement les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains. D'une main elle tient ses lèvres ouvertes et de l'autre, elle glisse son majeur sur son clitoris et descend jusqu'à sa chatte qu'elle pénètre, puis en ressort et remonte jusqu'à son clitoris. Elle s'applique ce mouvement de va et vient pendant que son mari l'entend respirer de plus en plus fort. Le corps de Maryline ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus vite. 

Puis, d'un coup il la voit qui sursaute, tout son corps se tend et pendant qu'elle pousse un long râle, elle referme les jambes emprisonnant sa main sur son sexe, pendant que de son autre elle se pince les seins. Elle jouit devant son mari, se branlant devant lui pour la première fois, sans aucune honte. Didier ne bouge toujours pas. Il attend que sa femme reprenne ses esprits, ne voulant pas rompre la magie de ces instants, attendant son bon vouloir. 

Maryline ouvre les yeux, sourit à son mari et se retourne sur le ventre, la tête dans les oreillers, le cul en l'air, les jambes écartées, sa main glisse le long de son ventre, doucement. Ses doigts rejoignent sa fente, en ont écartés les lèvres, ont plongé dans son con trempé de désir, l'ont fouillé profondément pour se couvrir de son jus gluant, sont remontés vers son petit bouton. 

Didier se branle avec ferveur, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais en prenant garde de ne pas jouir. Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec une impudeur qu'il ne lui connaissait pas. Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve, en enduit l'anneau de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret puis s'est enfoncé le plus loin possible dans ses reins pour y jouer aussitôt une sarabande infernale. Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit. 

Didier a l'impression de rêver, il n'a pas l'impression de reconnaître son épouse dans cette femme qui s'exhibe devant lui, elle si sage jusqu'alors, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. IL la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller. Elle reste pantelante quelques longues secondes... Toujours dans la même position offerte, Maryline tourne la tête vers son mari, lui sourit et dit doucement :

- Viens. 

Elle voit la queue tendue et ajoute :

- Je te plais comme ça ? Tu ne me trouves pas trop salope ? 

Elle tend sa main en arrière, prend celle de Didier et lui montre ce qu'elle veut, tandis qu'il répond :

- Tu es superbe ! Tu es vraiment la Maryline que je préfère. Même si tu étais encore plus salope, je t'aimerai ! 

Elle lui prend un doigt et l'approche de son anus tendu.

- Mouille le dans ma chatte et mets le dans mon petit trou… 

Son rêve se réalise et Didier plonge son majeur dans la fente qu'il trouve marécageuse. Il est vite trempé et il tourne alors le doigt autour du petit trou, en y mettant un peu de pression. Il le plonge soudain à fond, observant avec satisfaction la réaction surprise de sa femme, qui ne s'attendait pas à une entrée en matière aussi rapide. Son anneau se contracte fort et elle gémit. Il la voit grimacer brièvement. En une seule poussée lente, il l'a pénétrée de son majeur jusqu'à la garde, au plus profond de son fondement. Maryline n'a pas eu vraiment mal, elle avait préalablement préparé le terrain, elle a à peine frémi, elle se laisse faire, elle apprécie même cette intromission brutale. 

Didier la voit offrir mieux sa croupe, des deux mains, elle lui écarte ses fesses, signe pour lui d'acceptation de ce qu'il vient de lui faire. Son doigt s'active maintenant dans son cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères invisibles de ce conduit obscur, il en caresse doucement les parois fragiles et gluantes, il le fait tournoyer en elle, tout en entrant et sortant d'à peine une demi phalange, arrachant encore et encore soupirs et gémissements à sa femme qui se met à onduler, pour venir au devant de ce doigt qui l'encule. En même temps, il s'aperçoit qu'elle se branle de plusieurs doigts dans la chatte, il les sent coulisser à travers la mince paroi qui sépare ses deux trous et sa belle épouse se crispe, jouit une nouvelle fois, les doigts enfouit à fond dans sa fente et dans son petit trou. 

C'est la première fois que Didier voit sa femme avoir une multitude d'orgasmes et en redemander. Il laisse son majeur complètement enfoncé dans son anus, en attendant qu'elle émerge. Il a l'impression que sa queue grossit encore plus lorsque Maryline lui dit : 

- J'ai envie que tu me sodomises ! Mon petit trou n'est pas assez gros. Il faut que tu me le prépares pour ta queue … Dans la table de nuit... J'ai mis ce qu'il faut... 

Didier ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité. Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Maryline attend. Didier met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume. Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement mais inexorablement... 

Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise. 

Maryline geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher. Didier n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus. Maryline apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre nature. 

Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Et il la voit jouir, alors qu'elle est seulement prise par le cul, lui confirmant qu'il est possible d'avoir du plaisir en cet endroit. 

Le temps que Maryline s'en remette, il prend du lubrifiant et en enduit sa queue. Il observe alors la croupe de son épouse, son anus distendu par la carotte toujours fichée à fond. Il retire le légume et admire quelques secondes, le trou béant qui se referme peu à peu. Tranquillement, il pose son gland entre les fesses offertes et le pointe sur le petit trou. 

Maryline comprend tout de suite où il veut en venir. Didier s'enfonce très doucement en faisant pénétrer son membre un centimètre à la fois. Le cul de sa femme s'ouvre sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donne. Quand elle sent le ventre de son mari sur ses fesses, elle comprend qu'il l'a entièrement enculée. Ils restent soudés comme ça pendant un bon moment, puis il commence ses mouvements d'enculage, en savourant l'instant présent, la bite bien serrée dans ce trou étroit, heureux d'enfiler le cul de sa femme qu'elle lui avait toujours refusé. Didier la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. 

Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Elle le sent au plus profond de ses reins. Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle. 

Maryline a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir. 

Didier lui malaxe encore les seins. Maryline s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins. Mais Didier la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme. Elle se met à gémir plus fort de plaisir. 

Elle ne sait pas combien de temps cela a duré, sa jouissance ne cesse pas. Didier s'est finalement crispé et elle sent son sperme gicler à l'intérieur de son cul torturé. Cet arrosage copieux de foutre lui procure une ultime jouissance. Elle pousse un cri et elle sent ses dernières forces la quitter. 

Ils mettent un long moment pour reprendre leur souffle. Elle sent la bite perdre sa dureté et s'échapper de son anus. Ils s'allongent côte à côte. Maryline va dans les bras de son mari, pose sa tête sur sa poitrine et caresse doucement la queue molle. D'une petite voix, elle lui demande :

- C'était bon ? Tu as aimé ? 

Didier lui caresse avec amour les cheveux et lui répond :

- Tu es si belle... Je t'aime ! Tu m'as fait le plus merveilleux des cadeaux… 

Il se demande à quoi il doit cette métamorphose, mais il n'ose pas le lui demander.

- Je te plais, habillée comme ça ? On dirait une pute...

- Au contraire ! Tu es très excitante.

- Tu as aimé me sodomiser ? Tu n'as trouvé ça sale ?

- C'était génial ! C'est bien meilleur que de faire l'amour normalement ! Et puis... Et puis...

- Quoi ? Vas-y, dis-moi tout...

- J'ai adoré comme tu m'as sucé !

- Alors tu seras d'accord pour recommencer de temps en temps ? Ajoute t-elle, sûre de la réponse de son mari.

- Quand tu voudras mon amour et où tu voudras ! 

Tout en parlant, Maryline a continué à caresser la queue et, elle est surprise de la voir grossir de nouveau. Sans doute, est-ce l'effet de leur petite conversation.

- Et bien ! Je ne t'ai jamais vu dans une telle forme ! Quatre fois dans la même journée ! Tu rajeunis mon chéri… 

Maryline embrasse son mari, leur baiser devient passionné, il lui pelote les seins, glisse une main sur sa fente, la pénétrant de deux doigts. Au bout de quelques secondes, elle se met à gémir et à onduler. Elle a de nouveau envie de faire l'amour. Après tout ce qu'elle a fait avec son jeune amant, puis avec son mari. Elle décide soudain de se comporter comme une véritable cochonne. Elle se redresse et se met à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle, ses fesses rebondies posées sur ses talons. Elle ressent un intense échauffement dans ses reins. Il est vrai que son anus a reçu un grand nombre de visite en 2 jours. Mais elle relève malgré tout sa croupe cambrée et se tourne vers son mari.

- Viens m'enculer ! Je veux que tu me prennes comme ça encore, je veux te sentir très fort dans mes fesses, que tu m'encules fort ! 

Didier se glisse derrière sa femme, son sexe dans la main, et le présente à l'anus légèrement ouvert. Selon son désir, il pousse de tout son poids. Il l'embroche jusqu'à la garde comme s'il allait enfoncer un pieu, il ne s'arrête que lorsque son ventre est collé aux fesses de Maryline. Elle pousse un long gémissement de douleur pendant qu'il s'enfonce dans ses reins et, quand il s'arrête pour qu'elle s'habitue, elle a un soupir ravi.

- C'est meilleur comme ça! murmure t-elle. Vas-y, défonces moi ! Déchires moi ! 

Didier se laisse aller sans retenue, son bas-ventre claque contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu'il le peut. Rarement elle n'a ressentie une telle sensation de plénitude, la queue inhabituellement dure de son mari y étant pour quelque chose. Maryline répond à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Elle gémit sans discontinuer et se contente de jouir sous les rudes coups de bite. Elle se découvre, avec étonnement quand même, friande de sodomie et adore avoir le fond de ses reins rempli. Didier continue ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa femme.

- Continue! Ah, tu me déchires, tu... Tu me fais mal, c'est booonn… Aaah... 

Son mari se met à se démener dans le petit trou qu'il trouve bien élargi à présent, comme s'il voulait l'exploser, le démolir, le défonçant sans relâche. Il a l'impression de devenir dément. 

Maryline a pris ses fesses à pleines mains et les écarte encore plus pour qu'il la sodomise mieux. Didier rebondit sur les fesses accueillantes avec des claquements, il est presque devenu un homme primitif, seulement dominé par ses pulsions, par ses instincts. Il se tient fermement aux épaules de sa femme, la maintenant au sol. Il sent la jouissance monter dans ses couilles. Il donne encore quelques furieux coups de reins et se répand dans le cul gracieusement offert en poussant un profond gémissement. Il a l'impression que c'est sa moelle qui se déverse. Qu'elle l'aspire. Il se retire de cette croupe accueillante et contemple fasciné l’œil brun, ouvert et distendu de sa femme qui vient de jouir une dernière fois... 

FIN

dimanche 25 juin 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 17

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

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Début de traitement pour Julie et Jour de classe pour Jessie.

Quand le professeur Charles BUTLER entre dans la nouvelle chambre de Julie, celle-ci est à peine consciente. Sa tête pend en dehors de la cage par le trou dans l’ouverture. Au début l’homme se demande si elle n’est pas morte. Elle n’a pas bougé quand il est entré. Il s’agenouille à côté d’elle et écarte ses cheveux de son visage. Julie gémit et lève lentement les yeux vers son Maître.

- S’il vous plaît Maître, je serai obéissante. S’il vous plaît Maître, laissez-moi le prouver ! Supplie-t-elle dans un murmure.

Charles sourit et ouvre la cage. Il sort doucement l’esclave engourdie et l’aide à ramper au milieu de la pièce.

- Voilà ma petite salope, ça sera plus facile. Dans quelques jours tu seras ravie de ton nouveau lit. Dit Charles en gloussant.

Il sait qu’au moment où elle devra retourner dans la cage, il aura brisé son esprit et elle fera tout ce qu’il veut.

Julie lève les yeux vers son Maître et dit :

- Merci Maître, cette esclave sera obéissante.

- Bien ! J’ai déposé ton nouvel uniforme sur le lavabo de la salle de bain. Va te laver et habille-toi. Tu as quinze minutes pour le faire et descendre à la cuisine. Dit le professeur en libérant ses poignets et ses chevilles.

Charles baisse les yeux sur son esclave nue allongée à ses pieds. Elle ne bouge pas et regarde la pièce autour d’elle presque hébétée. Il lui donne un coup de pied dans le coude et crie :

- ALLEZ ESCLAVE ! BOUGE TOI !

Il regarde Julie se mettre à genoux et ramper hors de la chambre jusque dans le couloir. Il pense que ses jambes sont encore engourdies, mais il aime la façon dont son cul se balance quand elle avance à quatre pattes.

Julie parvient enfin à se lever dans la salle de bain et elle se regarde dans le miroir. « Mon Dieu, comment suis-je arrivée là ? » pense-t-elle alors que des larmes coulent sur sa joue. Elle regarde tout autour et voir le seau posé à côté des toilettes. Pendant une seconde elle pense à désobéir et utiliser les toilettes, mais elle s’approche et prend le seau.

- Je n’arrive pas à croire que je dois utiliser un seau. Dit-elle doucement en priant que son Maître ne l’ait pas entendue. Lentement elle baisse ses fesses sur le seau et libère sa vessie, suivie rapidement par ses intestins. Julie déteste ça, mais c’est toujours mieux que de s’asseoir sur un tonneau dehors. Elle jette un coup d’œil à l’horloge et remarque qu’il ne lui reste que dix minutes avant de devoir être dans la cuisine. Elle saute dans la douche et lave rapidement son corps épuisé.

Alors qu’il ne reste qu’une minute, Julie enfile la mini-robe en vinyle noir qui la laisse seins nus et descend les escaliers avec son seau. Elle se dépêche d’aller le vider dans le tonneau et de se précipiter dans la cuisine.

Son Maître est déjà assis à la table en train de lire son journal.

- Juste à temps esclave ! Prépare mon petit déjeuner : Œufs, bacons et pain grillé ! Et surtout ne les fais pas brûler ! Commande-t-il en claquant son cul.

Julie saute sur place et crie de douleur, mais elle se met rapidement au travail. Son esprit est encore embrumé, mais il fonctionne. Il lui faut un certain temps pour tout préparer, elle a du mal à trouver tout ce dont elle a besoin. Mais vingt minutes plus tard, elle apporte à son Maître une assiette remplie. Elle n’a rien prévu pour elle, elle a trop peur qu’il la punisse.

Charles termine son petit déjeuner et se dirige vers le placard sous l’évier. Il sort un sac de croquettes pour chien et en verse dans un bol qu’il pose sur le sol. Julie le regarde choquée.

- S’il vous plaît maître, non, je ne peux pas manger ça. Maître, s’il vous plaît… Supplie-t-elle.

- Pas de problème esclave, ne le fais pas ! Tu les mangeras bien quand tu auras faim. Maintenant nettoie la cuisine et retrouve-moi dans mon bureau. Dit-il avant de quitter la cuisine.

Julie baisse les yeux sur l’écuelle pour chien. Elle a très faim, mais elle refuse de tomber très bas si elle mange des croquettes pour chien. Elle préfère mourir de faim. Elle se met rapidement au travail, fait la vaisselle et nettoie la cuisine avant d’aller au bureau. Son Maître est assis sur une chaise avec un morceau de ferraille sur la table à côté de lui.

- A genoux esclave ! Aboie-t-il.

Charles aime commander la jeune fille. Celle-ci obéit et s’agenouille presque entre ses jambes. Il attrape l’objet sur la table qui se compose d’une barre en fer avec quatre menottes. Il attache les chevilles et les poignets de Julie derrière son dos, la laissant à genoux et sans défense.

Julie reste là, son Maître l’ignorant et lisant un livre. Tous les dix ou quinze minutes environ, il attrape son cou et pousse son visage sur son sexe. Jamais assez longtemps pour qu’elle le fasse jouir, mais assez pour lui faire savoir qui est aux commandes. Ils restent comme ça pendant environ une heure avant que quelqu’un ne frappe à la porte.

Julie ne peut pas bouger alors elle attend que son Maître revienne dans la pièce. Il est suivi par un autre homme qui porte une boite. Cet homme s’approche de la jeune fille et lui attrape le menton. Il lève son visage pour regarder ses traits.

- Waouh, c’est le portrait craché de sa mère ! Dit l’homme en posant ses mains vers ses seins pour les tripoter.

- Bien, très bien, ils seront beaucoup mieux une fois que nous en aurons fini avec eux. Ajoute-t-il.

Julie a le souffle coupé. Elle essaie de s’éloigner des mains de l’homme, mais liée comme elle est, c’est un effort futile. L’homme se tourne vers Charles et lui dit :

- Tu lui as déjà dit ?

Le professeur secoue la tête et sourit.

- Oh ! Je peux alors ?

- Non, je lui dirai en temps voulu. Tu as apporté ce que j’ai demandé ? Demande Charles.

- Oui, et je tiens à te remercier pour tes dernières formules. Elles fonctionnent très bien et les effets secondaires sont un plus. Sinon, tout dont tu as besoin se trouve dans la boite. N’oublie pas que le chimiste a dit qu’il lui faudrait un certain temps pour terminer un autre lot. J’en ai assez pour mes besoins, mais si tu as besoin de plus, ça va prendre un certain temps avant que nous recevions une autre livraison.

Charles se tourne vers Julie et lui fait un sourire diabolique.

- Où sont mes manières ? Salope, voici le Docteur WILLIAMS. C’est le nouveau médecin de ta mère. Je voulais qu’il participe à ton traitement. Dis bonjour au Docteur WILLIAMS !

Julie lève les yeux vers le médecin et murmure doucement :

- Bonjour Docteur WILLIAMS. Qu’est-il arrivé à notre médecin habituel ?

- Je suis un spécialiste et ce dont a besoin ta mère en ce moment. Mais ne t’inquiète pas, nous allons très bien prendre soin de vous deux. Répond le Docteur WILLIAMS.

La bite de l’homme commence à gonfler en se rappelant à quel point sa mère est bonne pour sucer des bites.

Les deux hommes parlent pendant près d’une heure. Julie reste agenouillée entre eux. Enfin, Charles demande au médecin :

- merci d’avoir fait le voyage jusqu’ici ! Mon esclave peut-elle faire quelque chose pour te remercier ?

- Absolument ! Je verrai bien ces douces lèvres autour de ma bite. Répond rapidement le Docteur WILLIAMS en ouvrant son pantalon et en sortant sa queue dure comme du roc.

- Très bien ! Salope, va faire plaisir à notre invité ! Ordonne Charles en la traînant entre les jambes du médecin.

Julie n’est pas en mesure de résister. Elle se penche en avant et lèche lentement le gros gland violet. « Au moins c’est propre » pense-t-elle. Elle ouvre la bouche en grand et la queue s’enfonce lentement dedans. Julie n’a pas l’expérience de sa mère, mais son manque de compétence est compensé par l’enthousiasme. Bientôt le médecin gémit et pousse sa bite plus profondément dans la gorge de l’étudiante soumise.

Julie suce la queue de l’homme pendant plus de quinze minutes. A chaque fois qu’elle pensait qu’il allait jouir, il retenait sa tête jusqu’à ce qu’il parvienne à se retenir. Puis il recommençait à l’enfouir dans sa gorge. La bave de Julie coule sur ses seins.

Finalement, le médecin tire sur la tête de la jeune fille et enfoui son nez dans ses poils pubiens. Il éjacule dans sa gorge. Julie sent le sexe palpiter encore et encore, la semence se vidant dans son ventre. Presque immédiatement, la queue débande, mais Julie, ne voulant pas être punie, garde le sexe flasque dans sa bouche. 

Bientôt, le Docteur WILLIAMS la repousse et se rassoit pour profiter du moment alors que les dernières sensations de plaisir traversent son corps.

- Tu as une gagnante ici Charles ! J’ai hâte qu’elle soit formée. Dit-il avant de se lever pour partir.

Avant de se tourner vers la porte, il se penche et tapote la tête de Julie. Ce simple geste est beaucoup plus humiliant que de lui sucer la bite. Il la traite comme un animal de compagnie.

Julie essaie de garder l’esprit clair, mais sa vie est un cauchemar. En seulement quelques semaines, elle est passée de l’heureuse et insouciante étudiante avec une famille aimante en une esclave d’un professeur pervers avec une famille d’esclaves. Elle n’a plus rien, ni vêtements, ni argent. Et elle ne peut plus compter sur sa famille. A elle de se débrouiller pour survivre. 

Après le départ du médecin, Maître Charles demande à Julie de nettoyer la maison. Il la laisse faire quelques pauses pour lui sucer la bite. Finalement il regarde l’heure et ordonne en souriant :

- C’est le moment de s’amuser. Suis-moi !

Julie a renoncé depuis longtemps à s’échapper. Elle suit son Maître les yeux fixés sur le sol.

Charles conduit l’étudiante au sous-sol. Au bas de l’escalier il y a deux portes. Il ouvre celle de droite et tire Julie dans une pièce sombre. La jeune fille est à l’intérieur quand son Maître allume la lumière, ferme la porte et la verrouille. Julie regarde autour d’elle. La pièce est pratiquement vide. Les murs de briques ne sont pas jointés et des anneaux sont fixés dessus.

 Au fond se trouve une grande armoire avec un cadenas. Charles s’en approche et sort un jeu de clés. Il ouvre les portes et en sort quatre manchons en cuir avec des chaînes. L’homme ferme le placard et se dirige vers Julie tremblante.

- Ne t’inquiète pas ma jolie esclave, ça ne te fera pas mal du tout, et tu pourrais même en profiter.

Julie sait qu’elle n’est pas censée parler, mais elle a besoin de savoir.

- s’il vous plaît Maître, qu’est-ce que vous allez me faire ?

Son Maître ignore son commentaire et attache les manchons en cuir aux poignets et aux chevilles de Julie. Bientôt la jeune fille se retrouve attachée en croix aux anneaux sur le mur de brique. Elle pleure ouvertement maintenant, elle a peur de ce que l’homme va lui faire. Elle le regarde se diriger vers la boite que le médecin a livré et l’ouvrir.

Charles ne veut pas qu’elle ait l’idée de ce qui va se passer, alors il garde son corps entre elle et la boite. Rapidement il prépare quatre seringues, chacune avec un produit chimique différent. Chaque drogue est conçu pour agir différemment sur le corps de la jeune fille. Normalement le traitement s’étale sur plusieurs mois, mais Charles sait qu’il n’a que deux mois pour terminer les changements du corps de la jeune fille. Donc il va lui donner le traitement chaque jour. Au bout de quatre semaines, son corps devrait se rapprocher de ce qu’il envisage.

Lorsque son maître se tourne vers elle, Julie a le souffle coupé. Il a une grande seringue en main et son visage affiche un sourire diabolique. Alors qu’il se dirige vers elle, elle crie :

- S’il vous plaît, ne faites pas ça. Je ne veux pas. S’il vous plaît, je ne veux pas de drogues dans mon corps.

Charles rigole devant les supplications de son esclave :

- Pourquoi dis-tu que tu ne veux pas ? Tu pourrais aimer. Répond-il.

Julie, paniquée, lui demande de nouveau :

- Qu’est-ce que vous allez me faire ? S’il vous plaît, dites-le-moi !

Charles s’immobilise quelques secondes. Il se demande s’il veut qu’elle sache ce qu’il va faire. Mas après réflexions il décide que non et attrape son sein gauche pour planter l’aiguille sur son mamelon et pousser le piston.

Au début, Julie ne sent rien, mais après quelques secondes son sein commence à chauffer. Les produits chimiques commencent à se répandre dans tout son sein. Avant qu’elle ne dise quelque chose, son maître sort une autre seringue et fait de même avec son sein droit. 

La respiration de Julie s’accélère alors que la drogue se propage dans toute sa poitrine et son ventre. Elle a l’impression que ses seins grossissent et que ses tétons pointent en avant. Lorsque son Maître saisit ses seins, son corps éclate presque dans un orgasme qui vient de nulle part.

Les yeux de Julie s’écarquillent quand elle le voit aller à la boite et sortir deux autres seringues. Son esprit est confus, car elle ne s’est jamais sentie aussi excitée auparavant. Un simple contact léger sur sa poitrine allume un feu en elle qui consume maintenant tout son corps.

Julie ferme les yeux, des vagues d’excitation sexuelle traversent chacun de ses nerfs. Bientôt elle sent une piqûre dans une lèvre de sa chatte. Cette fois, le produit remonte jusqu’à son cœur et explose. Julie est absorbée par toutes ces sensations et elle ne remarque même pas la piqûre dans son autre petite lèvre de chatte. Par contre, elle ressent le résultat. Maintenant son corps tremble. Mais pas de froid, son corps tout entier éprouve des choses différentes de tout ce qu’elle a pu connaître auparavant. Elle a besoin de soulagement sexuel et tout de suite. Elle ouvre la bouche et dit des paroles qu’elle n’aurait jamais imaginé dire au professeur pervers et aujourd’hui son Maître.

- Oh mon Dieu, baisez-moi ! Veuillez me baiser Maître ! Veuillez enfouir votre bite tout au fond de mon corps ! Faites ce que vous voulez, mais baisez-moi !

Charles BUTLER sourit. Il savait qu’il y aurait des effets secondaires, mais pas si puissants. A chaque injection, la drogue fera grossir ses seins. L’injection dans sa chatte va lui élargir les hanches et lui donnera un cul bien baisable et des lèvres de chatte gonflées. Le professeur s’attendait à une sensibilité plus aiguë, mais pas une telle et complète excitation. Il regarde Julie qui a les yeux et la bouche grand ouverts. Sa respiration est rapide et courte et du jus de sa chatte coule le long de ses jambes. Charles veut voir comment elle réagit et il fait glisser sa main sur sa cuisse. Il sourit alors qu’un long gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille. Plus sa main se rapproche de sa chatte, plus les gémissements deviennent forts. Juste au moment où ses doigts arrivent près des petites lèvres il les retire et regarde Julie crier de déception et pousser ses hanches en avant pour retrouver la main.

Charles apprécie chaque seconde de cette torture. Dès que l’étudiante se calme un peu, il la touche à nouveau, l’excitant jusqu’à ce qu’elle recommence à le supplier de la baiser. A chaque fois elle est plus proche de la folie. Finalement il s’éloigne et sort de la pièce.

Julie le regarde partir. Son corps est hors de son contrôle. Sa vessie s’est libérée deux fois et la satisfaction de pisser lui a donné un mini orgasme. Elle le supplie de rester et de la baiser, mais la porte se referme. Elle pousse alors un cri de rage alors que son corps a besoin d’une libération sexuelle.

Charles ouvre l’autre porte au sous-sol. Il entre. Il s’agit d’une grande salle avec beaucoup d’activité à l’intérieur. Charles BUTLER avait fait construire un grand studio vidéo dans son sous-sol. Il y a un grand écran, des caméras, des accessoires et toutes sortes d’instruments d’esclavage. Il se dirige vers le réalisateur et lui demande quand il aura fini le tournage actuel.

- Nous venons juste de commencer. Donc je pense qu’il nous faudra environ deux heures avant que nous soyons prêts pour votre nouvelle star. Répond le réalisateur.

- Génial ! De toute façon, elle n’est pas en forme en ce moment pour être filmée. Avec un peu de chance elle le sera dans deux heures. Dit Charles avant de quitter le studio.

Il monte les escaliers et attend environ une heure dans son salon avant de revenir pour libérer Julie. Quand il entre, il voit qu’elle est suspendue par les poignets, une flaque de liquide entre ses jambes sur le sol. Il s’approche d’elle et lui caresse la joue. Un léger gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille et elle pousse sa joue contre sa main. L’homme sourit alors qu’elle roucoule à son toucher. Voyant qu’elle a repris un peu le contrôle de son corps, il la détache et la conduit à l’étage jusqu’à son bureau.

Julie est à moitié consciente quand son Maître lui touche la joue. Son toucher est magique, mais pas comme avant. Elle veut qu’il la touche davantage, mais quand il enlève s main, elle est moins en manque qu’auparavant. Quand il a fini de libérer ses bras et ses jambes, elle le suit comme un chiot perdu. Elle ne peut plus lui résister et elle fera tout ce qu’il veut. Son monde est centré sur son Maître.

Lorsqu’ils arrivent dans le bureau, Maître Charles lui ordonne de rester debout devant son bureau :

- Mains derrière la tête et écarte les jambes, esclave !

Julie obéit en espérant que si elle est bien obéissante il la baisera. Elle ne bouge pas et attend qu’il parle.

- Je suppose que tu te demandes ce qui se passe et ce que je te fais. Voilà, même si tu es jolie, tu n’es pas parfaite. Et je vais te rendre parfaite. Les injections que tu viens de recevoir ne sont que les premières. Tu vas en recevoir d’autres au cours des prochaines semaines. Tu remarqueras que ton corps change à chaque injection. Tes seins vont devenir beaucoup plus gros. Quand j’aurai fini tu auras une poitrine qui fera saliver les hommes. Tes hanches sont trop minces à mon goût et ne sont plus à la mode. Tout le monde veut que leurs femmes aient de plus gros culs. On peut remercier Kim KARDASHIAN. J’ajouterai des injections supplémentaires qui réduiront la graisse à ta taille. Tu vas avoir un beau cul avec des lèvres de chatte bien gonflées que chaque star du porno t’enviera.

Julie lève les yeux et le regarde choquée en entendant ce qui lui est réservée. Elle essaie de comprendre tout ce qu’il dit, mais à chaque fois les sensations dans son corps trouble son esprit. Elle a tellement besoin de jouir que les mots lui traversent la tête  rapidement.

Charles rigole en voyant l’air désespéré de son esclave. Il peut voir son corps trembler et l’envie sur son visage.

- Maintenant, je suis sûr que ta prochaine question est pourquoi ? Eh bien, dans les prochains mois , tu vas être la vedette d’une série porno, qui va raconter ton changement d’une naïve étudiante en une star du porno et esclave de son propre corps. Dit Charles en attendant une réaction.

La bouche de Julie s’ouvre alors que les mots atteignent son cerveau. La panique envahit son visage et elle s’effondre presque. Charles se lève et se dirige vers son esclave. Il sait qu’elle est sur le point de disjoncter quand il lui caresse les seins. Les yeux de Julie se ferment alors que son corps réagit à la caresse. En quelques secondes toutes les pensées sur ce qu’elle va devenir s’évanouissent tandis que tous les nerfs de son corps sont excités.

Charles profite de ce moment pour lui lancer une robe  sexy noir ainsi que des talons aiguilles.

- Mets ça et suis-moi !

Julie fait glisser la robe par-dessus sa tête. Le simple toucher du tissu moulant sur ses mamelons la fait presque jouir. Elle enfile les talons et suit son Maître le souffle court. Elle prie pour qu’il l’emmène se faire baiser.

Charles conduit son esclave excitée dans les escaliers, mais cette fois il ouvre l’autre porte. Dès qu’ils sont entrés, Julie manque de s’évanouir face aux hommes qui attendent. Elle vient de réaliser qu’il ne s’agit pas d’un tournage de film porno normal, mais un tournage BDSM. Son esprit essaie de reprendre le contrôle de son corps. Elle a peur de l’appareillage devant elle alors elle commence à reculer.

Charles s’attendait à une certaine résistance, donc il était prêt. Il se glisse derrière elle et passe ses mains sur ses fesses et sa poitrine. En quelques secondes, Julie succombe à ces sensations et permet aux hommes de l’attacher sur l’appareil.

Julie regarde autour d’elle, son esprit envahi par l’humiliation. Mais son corps est en feu. Elle regarde les hommes debout à proximité, les yeux rivés sur leur bite. La bouche de Julie salive à l’idée de les sucer. Son cœur bat plus rapidement, sa chatte ruisselle. Liée comme elle l’est, elle ne peut rien cacher.

Julie gémit en priant que quelqu’un la touche quand un homme costaud comme une montagne se place au-dessus d’elle, son corps massif cachant les lumières. Les yeux de Julie dérivent plus bas et examinent les épaules, les bras et finalement vers le gourdin entre ses jambes.

Julie perd son souffle en voyant l’engin se redresser. Sa circonférence doit être plus grande que son bras et paraît presque plus long. L’esprit de Julie panique à l’idée que ce sexe la pénètre, alors que son corps s’excite à cette pensée. L’homme tend la main et caresse doucement ses seins. Puis il fait remonter ses doigts vers les tétons sensibles qui pointent.

Julie gémit alors que son corps savoure ces caresses. Maintenant son esprit se perd dans les sensations améliorées par la drogue qui circule toujours dans son corps. Les yeux de la jeune fille sont fixés sur le gland qui frôle sa chatte de haut en bas. Elle miaule à chaque contact. L’homme massif se penche vers la jeune étudiante, attachée et exposée, et il l’embrasse légèrement sur les lèvres. A ce contact, Julie n’en peux plus et lui chuchote :

- s’il te plaît prends-moi ! J’ai besoin que tu me prennes ! Baise-moi s’il te plaît !

L’homme sourit, saisit sa bite et la dirige lentement vers la chatte humide de Julie. Pus il pousse lentement. Lorsque le gros gland écarte ses petites lèvres, Julie rejette sa tête en arrière et prend une grande inspiration. L’homme pousse encore et s’enfonce dans le corps accueillant. Les yeux de Julie s’écarquillent alors qu’il la remplit lentement, centimètre par centimètre. Bientôt, la jeune fille a un orgasme foudroyant et ses fluides enrobent la grosse bite.

L’homme sourit et reste immobile quelques instants pour la laisser profiter de son plaisir. Puis il pousse encore en avant et enfonce plus loin sa queue. L’air est expulsé des poumons de Julie alors qu’elle semble s’effondrer et que sa chatte s’ouvre complètement et avale la bite. L’homme recule lentement puis pousse de nouveau en avant, allant encore plus profondément. La tête de Julie se balance d’un côté à l’autre, son esprit et son corps se délectant des vagues de plaisir. L’homme recule de nouveau et commence à marteler la jeune chatte en augmentant la vitesse et l’intensité à chaque coup.

Julie ne se soucie plus d’où elle est ni de ce qu’elle fait. Son corps ne s’est jamais senti aussi vivant auparavant. Les orgasmes se succèdent. Elle ne peut plus parler et seuls des bruits de gorge et des gémissements sortent de sa bouche.

La jeune fille n’est qu’à demi-consciente quand l’homme jouit avec un rugissement et crache son sperme au plus profond de son corps avant de s’effondrer sur elle. Au lieu d’avoir peur, elle se sent satisfaite et en sécurité sous cette masse.

Pendant les quatre-vingt-dix minutes suivantes, Julie est baisée sans arrêt. Aucun de ses orifices n’est épargné. Quand ils la libèrent finalement, elle est presque comateuse. Elle lève ses yeux à moitié fermés par ses paupières vers son Maître et elle murmure :

- Merci Maître !

Puis elle ferme les yeux et s’éloigne dans son propre monde.

 ***********

Brenda attend jusqu’à presque six heures du matin avant d’aller réveiller ses nouveaux esclaves. Elle a attendu près de vingt ans pour avoir sa vengeance et maintenant elle a ce lâche de Marcus et sa pute de femme sous la main. Donc elle ne veut pas perdre un instant. Jessie doit être à l’université dans quelques heures et Brenda veut bien commencer la journée.

Elle entre dans la petite chambre et réveille les deux esclaves qui dorment par terre.

- Levez-vous esclaves, il est temps de commencer la journée. Vous avez cinq minutes pour descendre dans le salon. Ordonne Brenda avant de quitter la pièce.

Jessie est la première à se lever. Elle se précipite à la salle de bain. Marcus la suit de près. Ils se brossent les dents et soulagent leur vessie.

 
Cinq minutes plus tard, ils se précipitent en bas. Ils sont étonnés tous les deux en voyant Brenda. Elle porte des cuissardes en cuir noir et un gode ceinture recouvre sa chatte. Un haut en cuir noir accentue ses seins. Elle pointe le sol et pousse Jessie vers le bas.

- Rends-toi utile esclave et tiens-moi ça ! Commande-t-elle en remettant à Jessie une cravache.

La professeure la prend et garde la tête baissée. Le visage de Marcus montre ses sentiments. Son expression indique qu’il est presque en panique. Il reste là à regarder sa Maîtresse et il tremble dans ses bas. Son sexe est toujours enfermé dans la cage de chasteté.

Brenda veut commencer rapidement. Elle indique le mur et dit à Marcus !

- Lève-toi et va t’appuyer contre le mur ! Montre-moi ton cul d’esclave.

Le ton de la voix de Brenda est vicieux. Marcus ne veut pas la contrarier alors il s’exécute rapidement. Son ex-femme se place derrière lui et se penche pour lui murmurer à l’oreille :

- J’en rêve depuis des années. Tu as voulu me baiser et aujourd’hui ton cul est à moi.

Elle aligne le gode sur l’anus de Marcus et elle pousse. L’homme pousse un gémissement alors que la fausse bite est poussée au fond de ses entrailles. Brenda n’a pas utilisé de lubrifiant, ni préparé le cul de son esclave. Elle veut le torturer et lui causer le plus de douleur possible. Elle tient le gode dans son cul alors qu’il crie de douleur. Quand celle-ci semble s’apaiser, la femme recule et pousse encore plus fort en avant. Elle enfonce la fausse queue plus profondément que jamais à l’intérieur du corps de Marcus. Les cris de l’homme font trembler les vitres, mais cela n’empêche pas Brenda de continuer à l’enculer. Les plaintes de son ex-mari l’excite et un orgasme commence à se former en elle.

Brenda tourne la tête vers Jessie et remarque qu’elle tient toujours la cravache devant elle.

- Esclave, passe derrière moi et enfonce ta langue dans mon cul. J’adore me faire lécher le cul.

Jessie rampe rapidement jusqu’à Brenda et enfonce son visage entre ses fesses.

Brenda continue à sodomiser violemment Marcus alors que Jessie lui lèche le cul. Bientôt elle jouit. Ce n’est pas un orgasme sexuel, mais un orgasme mental. Toutes ses années de misère ont explosé et son âme est purifié. C’est l’orgasme le plus satisfaisant de sa vie. Elle se retire du cul de Marcus et repousse Jessie. L’homme s’effondre sur le sol en pleurant presque hystériquement. Jessie, le visage couvert de sa propre salive, lève les yeux vers sa Maîtresse en priant que ce soit fini pour la matinée.

Brenda s’appuie contre le mur pendant quelques minutes. Elle réfléchit sur la façon dont elle veut procéder. Finalement, elle se dirige vers la cravache et elle demande à Jessie de se tenir contre le mur.

- Mains sur le tête esclave ! Si elles bougent, nous recommencerons.

Jessie se lève lentement et obéit. Quand elle est en position, Brenda commence à caresser la poitrine exposée.

- Tu as de beaux seins pour une vieille salope. Mais je crois qu’il manque quelque chose. Chuchote Brenda à l’oreille de Jessie.

Elle recule et fait tomber la cravache sur les deux mamelons. Jessie crie alors que la douleur irradie de ses tétons à sa poitrine. En réflexe ses mains commencent brièvement à bouger, mais Jessie réussit à les garder en hauteur. Brenda rit de la voir ainsi. Elle aime chaque seconde où elle fouette les seins de la femme qui lui a volé son mari. Elle les frappe encore et encore jusqu’à ce que Jessie s’effondre en tas sur le sol.

 
Brenda ne laisse pas passer l’occasion, elle cravache le cul de la professeure qui essaie de protéger ses seins martyrisés.

Lorsque Jessie essaie de protéger son cul, Brenda lui donne des coups de pied dans les côtes.

- Montre-moi ton cul d’esclave ou je te fouette jusqu’à ce que tu ne puisses plus tenir debout.

Le corps de Jessie est en feu, mais elle sait que Brenda est capable de la battre à mort. Alors elle se force à se mettre en position. Jessie s’agenouille, face contre terre et son cul en l’air.

Brenda fait glisser la cravache sur les marques qui ornent déjà le cul de Jessie.

- Celles-ci ont l’air douloureuses. Je ne pense pas que tu puisses t’asseoir de sitôt. Glousse Brenda.

Jessie gémit alors que sa Maîtresse frappe coup après coup son cul nul exposé et non protégé.

Lorsque Brenda s’arrête pour reprendre son souffle, elle baisse les yeux sur l’esclave brisé qui pleure hystériquement en la suppliant d’avoir pitié. Brenda donne à Jessie une douzaine de coups supplémentaires avant de lui ordonner de se retourner. L’esprit de la professeure a du mal à comprendre les ordres, mais elle finit par rouler sur son dos. Son cul est rouge vif et ses seins sont brûlants. Brenda voulait établir sa domination dès le début. En la battant maintenant, Jessie est moins susceptible de se révolter plus tard. Elle enjambe l’esclave recroquevillée et descend sa chatte sur sa bouche.

- Allez esclave, j’ai besoin de jouir. Et je veux avoir le plaisir supplémentaire de t’envoyer au travail avec mon jus sur ton visage.

Brenda chevauche le visage de Jessie et aime chaque seconde cette sensation de puissance. Peu importe si Jessie lèche sa chatte convenablement, Brenda s’enivre de ce sentiment de pouvoir qui pulse dans son corps. Lorsqu’elle se remet de son troisième orgasme, elle abandonne son esclave. Il est maintenant presque sept heures et Jessie doit être à l’université au plus tard à sept heures trente. Brenda sourit en sachant que son esclave n’aura pas le temps de se nettoyer avant de commencer la journée à enseigner aux étudiants.

- Esclave, il est sept heures. Lève-toi et prépare-toi pour le boulot. Oh, ne nettoie pas ton visage avant l’heure du déjeuner. Ton look est super. Rit Brenda en poussant Jessie du pied.

La professeure se retourne et se lève lentement. Son corps est toujours entièrement douloureux des coups de Brenda. Elle veut se dépêcher, mais son corps ne veut pas coopérer. Elle monte les escaliers et se dirige vers sa chambre. Elle n’est debout que depuis une heure et la journée a mal commencé. Elle entre dans la chambre et voit Maître Kévin. Elle tombe à genoux et attend qu’il voie sa présence. Le jeune homme baisse les yeux sur sa belle-mère esclave et sourit. Des rayures rouges couvrent son dos et son cul. Il sait qu’elle ne va pas beaucoup s’asseoir. Il lui tend la robe qu’elle doit porter et il voit qu’elle perd son souffle.

- Maître, si je porte ça, je vais être virée ! Maître, s’il vous plaît, ne me faites pas renvoyer ! Supplie Jessie.

Kévin sourit et ses lèvres se retroussent jusqu’à ce que son sourire se transforme en ricanement.

- Tu portes ce que je te dis. Tu baises qui je te dis. Tu manges quand je te dis de manger. Et tu pisses quand je te donne la permission. Maintenant tu vas enfiler cette robe et aller à l’université. Tu vas être en retard, mais tu récupéreras du temps si tu vas directement dans ta classe. Aujourd’hui, Janice n’y sera pas et je sais que le directeur a une réunion à l’extérieur. Donc, tout ce que tu as à faire est d’aller dans ta classe de cours et d’y rester autant que possible. N’en bouge pas et tout ira bien.

- Mais Maître, mes élèves…

- Tais-toi et habille-toi ! Je t’ai donné des ordres, et à moins que tu ne veuilles une autre fessée, tu feras ce que je commande. Aboie Kévin.

Jessie hoche la tête et glisse la robe par-dessus sa tête. Elle baisse les yeux et se demande comment elle va rester couverte. La robe est décolletée avec de fines bretelles. Juste en dessous de chaque sein, la robe continue en panneau de résille jusqu’à l’ourlet. Il n’y a qu’un morceau de tissu de vingt centimètres pour couvrir son entrejambe. Mais à chaque pas, elle va dévoiler sa chatte. Elle enfile les talons hauts noirs qui vont faire ressortir sa chaîne en argent. Jessie sait qu’on va lui poser des questions à ce sujet dans sa classe. Une fois habillée, elle descend les escaliers et sort. Elle veut arriver à l’école le plus rapidement possible.

Elle y arrive bien après l’heure habituelle. Quand elle entre, elle commence à se déshabiller. C’était sa routine depuis plusieurs semaines. Mais avec l’absence de Janice, elle se reprend et se dirige vers sa classe. A chaque pas, son corps palpite d’excitation, car les couloirs sont remplis d’étudiants. Tous la regardent et chuchotent. Jessie devine ce qu’ils se disent. Elle se précipite dans les escaliers et marche dans le couloir jusqu’à sa classe. Mais elle est heureuse que la plupart de ses étudiants ne soient pas encore arrivés.

Elle entre dans sa salle de cours et allume les lumières. Elle se tourne vers son bureau et réalise qu’elle n’est pas seule. Les neveux jumeaux de M. ASH  sont à la porte. Ce sont ces mêmes neveux qui l’ont baisée la semaine dernière quand elle devait se présenter chez son voisin dégoûtant. Jessie sursaute et dit :

- Que faites-vous ici ? Vous devez partir tout de suite !

Sa voix est pleine de panique.

- Qu’est-ce qu’on fait ici ? C’est la meilleure, et toi, qu’est-ce que tu fais ici ? Est-ce que cette université a des putes comme enseignante ? Est-ce que le directeur sait que tu donnes ton corps en dehors ? Dit Martin ASH d’une voix dure.

Puis il ajoute :

- Nous venons de nous inscrire. Mais après t’avoir vu ici, je devrais peut-être aller au service de l’administration et leur faire savoir qui tu es.

Jessie, stupéfaite, reste silencieuse. Elle ne sait pas quoi faire, mais elle sait qu’elle doit sortir de cette pièce le plus rapidement possible. La dernière chose qu’elle doit faire c’est d’être seule dans une pièce avec ces deux jeunes hommes.

Martin se tourne vers Michael, son frère jumeau, et lui demande :

- Qu’en penses-tu Michael ? Faut-il descendre et leur faire savoir qu’ils ont une pute comme enseignante ?

Michael sourit et commence à parler, mais Jessie se dirige vers la porte.

- Où penses-tu aller salope . Nous n’avons pas fini. Dit Martin en attrapant son poignet.

Jessie comprend qu’elle a des ennuis.

- J’ai oublié quelque chose en salle des professeurs. Je dois le récupérer avant le début des cours. Dit-elle avec moins de conviction dans la voix qu’elle ne l’espérait.

- Ne nous mens pas salope, tu ne vas pas y aller habillée comme ça. Nous avons parlé à Kévin et nous savons exactement ce que tu es et ce que tu vas faire.

Jessie ressemble à une biche prise dans les phares d’une voiture. Elle baisse les yeux, elle sait qu’elle est piégée et elle ne sait pas quoi faire. Elle a peur des deux adolescents et de ce qu’ils veulent lui faire. Elle lève les yeux et murmure :

- Que voulez-vous que je fasse ?

- D’abord, ce matin tu donneras tes cours. Au déjeuner nous reviendrons et tu prendras soin de nous. Et parce que tu n’as pas d’autre choix nous t’emmènerons après l’école. Donc quand les cours sont terminés, rejoins-nous à notre voiture. Kévin veut que nous nous documentions au salon de tatouage, mais avant ça nous nous arrêterons chez votre médecin pour vos injections.

Jessie hoche la tête tandis que Michael attrape ses seins. Il les tripote durement pendant quelques minutes avant que le cloche sonne pour annoncer le début des cours. Jessie n’a jamais été aussi heureuse de commencer sa journée d’enseignement. Les jumeaux quittent sa classe. Jessie regarde la porte pendant une minute et les premiers étudiants commencent à arriver.

Jessie se dirige vers son bureau et commence à s’asseoir. Mais dès que son cul touche la chaise, elle saute en avant. Les zébrures de sa fessée de ce matin la brûlent à tout contact. Elle sait qu’elle va devoir rester debout toute la journée. Jessie regarde sa salle de cours se remplir lentement. Les conversations cessent quand chaque élève voit Mme GRABAS. Jessie rougit alors que les chuchotements et les rires commencent à enfler. Quand la cloche sonne pour annoncer le début du cours, Jessie ouvre son livre pour essayer de commencer.

- Bon, ouvrez vos livres à la page 87. Dit-elle.

- Mme GRABAS, qu’est-ce que c’est que cette robe ? Demande une voix du fond de la pièce.

- Je… Je sors après le travail. Bégaie-t-elle.

Puis elle essaie de continuer :

- S’il vous plaît, commençons !

Les élèves entendent sa réponse, mais au lieu se mettre au travail, une autre question retentit :

- Sortir ? Où ? Et c’est quoi à votre cheville ? C’est assez bizarre.

La classe éclate de rire. Jessie rougit encore plus. Les instructions de son maître sont claires. Si quelqu’un de majeur pose la question, elle doit y répondre honnêtement. Il l’avait même prévenu qu’il la testerait. C’est la première fois pour Jessie qu’elle doit admettre à haute voix que quelqu’un la possède. Pour empirer les choses, elle doit le faire devant ses étudiants. Une larme coule sur sa joue alors qu’elle s’éclaircit la gorge.

- C’est un bracelet pour l’esclave d’un Maître. Je suis possédée. Dit doucement Jessie.

- C’est quoi ? On ne vous a pas entendu § Dit la voix à nouveau.

- C’est un bracelet pour l’esclave d’un Maître. Je suis possédée. Dit Jessie plus fort cette fois.

La classe entière est hébétée en entendant la réponse.

- Vous êtes une esclave ? Que voulez-vous dire ? Et qui vous possède ? Demande Susan, la plus jolie fille de la classe, assise au milieu de la pièce.

La poitrine de Jessie commence à se resserrer alors que les questions continuent. Elle sait que si elle ment et si Maître Kévin le sait, elle sera dans la rue ce soir. Si elle répond honnêtement, ses élèves pourront prendre le relais et son autorité sera érodée.

- Je suis l’esclave de mon fils Kévin. S’il vous plaît, commençons à travailler. Supplie Jessie dont la voix s’estompe pendant qu’elle parle.

- OHHHHH, tu es la propriété de ton fils ! Et qu’est-ce que tu as à faire ? Demande Susan.

- Je dois faire ce qu’il dit… S’il vous plaît…

- Il t’a dit de dire la vérité ? L’interrompt Susan.

- Oui, si on me pose des questions sur le bracelet à ma cheville, je dois répondre honnêtement.

- Et alors ? Que font les esclaves ? Continue la jeune fille.

- Je dois répondre à toutes les questions. Un esclave doit obéir et faire ce qu’on lui dit.

Jessie a maintenant peur. S’ils continuent sur cette voie, elle risque de se retrouver nue, ou pire encore.

- Et si je te dis d’aboyer comme un chien !

Susan prend clairement le contrôle. Jessie gémit, mais répond :

- J’aboierai Mlle Susan.

- Eh bien aboie esclave ! Dit Susan d’une voix qui devient rauque avec l’excitation.

Jessie a du mal à respirer et son corps tremble. Elle ne sait pas si c’est de peur ou d’excitation.

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Fait-elle.

La classe entière éclate de rire tandis que Jessie se sent totalement humiliée. Son corps rougit et sa chatte est tellement humide que du jus coule le long de ses cuisses.

- Les chiens ne se tiennent pas sur deux jambes. Mets-toi à quatre pattes esclave !

Susan se lève et s’approche de sa professeure visiblement nerveuse. Jessie reste immobile tandis que les mots s’enfoncent dans son esprit effrayé. Quand elle sent la main de Susan sur son épaule la pousser, elle ne résiste pas et se retrouve bientôt sur ses mains et genoux.

- Bon chiot ! Dit Susan en lui tapotant la tête.

Puis elle continue :

- Maintenant parle !

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Répond Jessie en baissant la tête pour fixer le sol.

- Bon, je vois que tu es bien formée après tout. Dit Susan en souriant.

Elle se dirige vers l’un des garçons assis au premier rang et demande :

- Donne-moi ta ceinture John.

L’étudiant ne pense pas à refuser, car il apprécie le spectacle . Il enlève rapidement sa longue ceinture et la tend à Susan.

- Merci John ! Dit celle-ci.

Elle fait une boucle et la passe autour du cou de Jessie. La professeure se retrouve maintenant à quatre pattes avec une laisse autour du cou et une étudiante la guidant dans la salle de cours. Mais avant que la jeune fille ne puisse faire autre chose, l’alarme incendie retentit. Susan s’arrête et tire sur la ceinture pour que Jessie se redresse.

La professeure saisit l’opportunité et essaie de reprendre le contrôle.

- Tout le monde sort par la porte dans le calme ! Commande-t-elle.

Elle reste près de la porte pendant que les étudiants sortent. Elle les compte pour s’assurer que personne ne reste derrière. Soudain un des garçons tripote son sein pendant qu’il passe. Jessie n’a pas le temps de réagir et de tourner la tête pour voir de qui il s’agit, qu’une autre main fait pareil. Puis tous les étudiants la tripotent en passant. Au moment où la dernière étudiante passe, c’est son cul et sa chatte qui étaient aussi tripotés. Jessie ne peut rien faire alors qu’elle est touchée par ses propres élèves.

L’alarme incendie a sauvé Jessie d’autres humiliations avec sa classe pendant la première période. Avant qu’ils ne reviennent en cours, la cloche sonne la deuxième période. Jessie se tient derrière son bureau et rassemble ses pensées. Pour la première période, elle était au milieu de la pièce et tous les élèves ont pu voir son habillement. Cette fois, elle veut s’y préparer. Alors elle décide de rester derrière son bureau, hors de vue autant que possible.

Les étudiants de la deuxième période parlent doucement en entrant dans la classe. Jessie est nerveuse, car c’est inhabituel pour eux. Habituellement ils sont assez bruyants en arrivant. Mais aujourd’hui, ils se contentent de sourire et de chuchoter entre eux. Lorsque la cloche sonne pour annoncer le début du cours, Jessie veut prendre les commandes dès le début.

- Bonjour, taisez-vous s’il vous plaît, nous allons commencer. Tournez-vous vers…

C’est tout ce qu’elle arrive à dire avant qu’une voix au fond de la pièce dise clairement :

- Hé esclave !

- Je vous en prie, commençons le cours ! Dit Julie en essayant de se montrer autoritaire, mais les mots sortent comme si elle suppliait.

- J’ai entendu de la classe précédente que vous devez nous obéir. Continue la voix.

- S’il vous plaît, ne faites pas ça. Plaide Jessie.

Son esprit se glisse déjà dans son personnage d’esclave soumise.

- Aboie prof ! Dit la voix.

- Wouaf !

- Vous pouvez faire mieux. Mettez-vous à quatre pattes et essayez à nouveau.

Jessie se rend et tombe lentement à genoux.

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Aboie-t-elle en espérant que ça n’aille pas plus loin.

Les prières de Jessie ont dû être entendues car pendant ce cours et les deux suivants, les choses n’ont pas été poussées beaucoup plus loin. Soit il n’y avait pas de vrais dominants dans les classes, soit ils avaient peur de se faire attraper s’ils allaient trop loin.

Jessie est contente de ne pas avoir trop subi pendant les cours, mais elle sait qu’avec le temps, elle va sûrement se faire baiser par ses étudiants.

Quand l’heure du déjeuner arrive, Jessie est à la fois soulagée, mais aussi effrayée par ce que les jumeaux vont lui faire. Les deux dernières heures l’ont excitée. Son corps est tendu et sa chatte dégouline. Être dominée en classe l’amène pas loin de l’orgasme. Donc les jumeaux qui vont lui rendre visite vont peut-être la soulager.

Martin et Michael entrent dans la salle de cours comme s’ils en étaient les propriétaires. Jessie se tient à son bureau et se moque silencieusement des jeunes gens qui marchent vers elle. « Ils ressemblent à des paons qui se pavanent.» pense-t-elle. Son corps tremble en pensant à ce qu’ils peuvent lui faire.

Jessie accepte maintenant que sa carrière est terminée. Les premiers cours d’aujourd’hui ont été catastrophiques et il ne va pas falloir longtemps avant que ça se sache et qu’elle soit renvoyée ou arrêtée et mise en prison. Elle est esclave et son avenir est désormais dans les mains de son maître. Elle se met à genoux et demande :

- Que peut faire cette esclave pour vous Maîtres ?

Michael et martin se tapent dans la main et se précipitent vers la professeure agenouillée. Dans la seconde suivante, elle se retrouve nue en train de sucer une bite et remuant son cul pour inciter l’autre garçon à la baiser.

Jessie a abandonné toute résistance et se sent complètement libre. Elle ne contrôle plus rien et aime chaque seconde. Elle n’est plus rien que la propriété de quelqu’un, une chose à utiliser et abuser. Elle ne s’est jamais sentie aussi bien. Après les dernières semaines de formation, elle utilise ses talents pour plaire aux jumeaux dominateurs qui remplissent son corps avec leurs merveilleuses bites.

Les jumeaux baisent l’enseignante pendant tout la pause du déjeuner. Quand ils ont finalement fini avec elle, il reste une masse tremblante de chair féminine, recouverte de sperme et totalement rassasiée.

Jessie lève la tête du sol et regarde les deux garçons. Ils finissent de s’habiller et se dirige vers la porte. Michael se retourne vers la professeure et dit :

- Après les cours, retrouve-nous à ta voiture. Ton Maître veut que nous nous documentions sur tes prochaines modifications. Ne perds pas de temps, je veux que tu sortes dès les cours terminés.

Jessie hoche la tête et pense au chemin jusqu’à sa voiture. Jusqu’à présent, seuls ses élèves l’ont vue. Partir en même temps que tout le monde va l’exposer à toute l’université. Mais au lieu d’être humiliée, Jessie ne ressent que de l’excitation.

A suivre…