Récit d'Aznalune.
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Le début de sa soumission.
Quand j’ai connu celle qui allait devenir ma femme (Jo), elle avait 19 ans et était plutôt «oie blanche», pratiquement aucune connaissance du sexe. Je me suis pourtant rendu compte très vite qu’elle avait un goût certain pour les plaisirs qu’on disait défendus. Je lui ai fait connaître ses premières jouissances dans les salles obscures des cinémas que nous fréquentions, mais toujours dans la discrétion et en cachette des spectateurs alentours, mais que de sièges mouillés…
Plus tard, j’ai commencé à la pousser sur les sentiers de la perversité sage, plus de culotte dans les lieux publics, boules de geishas, etc… Elle était réticente au début mais finissait par avouer que tout ça lui plaisait ; puis je me suis mis à l’attacher, simplement au début, puis « à la japonaise », seins comprimés, jambes écartées, la chatte toujours serrée avec des liens grossiers, genre ficelle de jardin.
Elle jouissait très fort, en hurlant à s’en rompre les cordes vocales, un régal pour les voisins. Ce qui était le plus bandant pendant ces séances de soumissions, car elle avouait désormais sa soumission (soft, juste à moi), c’était de l’amener au bord de l’orgasme et de lui faire avouer tout ce qu’elle avait fait ou souhaiter faire avec son corps. Voici comment je l’ai conduite vers ce qu’on appelle la luxure, si savoureuse.
Juillet 1990.
Dimanche matin, lendemain d’une soirée bien arrosée chez des voisins, je l’ai attachée, avec en plus des liens sur les seins, quatre pinces sur les petites et grandes lèvres, reliées à ses cuisses par des petits liens, ce qui ouvre sa chatte en même temps que celles-ci…
Au bout d’une bonne heure de caresses, je commence à lui poser des questions sur la soirée de la veille, car je me suis rendu compte qu’un des voisins avec lequel elle dansait la pelotait et lui avait même passé la main dans la culotte et branlée debout. C’est sa façon de se crisper qui m’avait mis la puce à l’oreille, mais j’avais laissé faire, surtout qu’avec J. Eclésias sur la platine, ça chauffait sec les minettes.
Au début elle commence par nier en bloc, me disant que je me fais des idées, etc..., mais comme je continue à l’amener au bord de l’orgasme et que j’arrête dès qu’elle commence à feuler, elle finit par craquer et commence timidement par raconter que J. lui a juste peloté les seins. Je continue à la caresser en lui disant qu’en fait tout ça me plaît et qu’elle n’a pas à avoir peur. Peu à peu elle se relâche et bientôt elle a un premier orgasme comme récompense de son premier aveu, mais je continue mon interrogatoire. Je lui fais ouvrir les cuisses qui font ouvrir sa chatte, toute suintante de mouille et bientôt, dans un véritable délire de jouissance elle commence à avouer tout ce qu’elle a subit, avec plaisir. Elle confirme bien que son danseur, enhardi par son manque de rébellion (elle ne voulait pas gâcher la soirée par une dispute si j’avais été en colère) lui a peu à peu investi la culotte et la chatte, le pouce bien enfoncé dans le vagin et le majeur dans l’anus, et elle a pris un pied énorme mais silencieux.
Tout ça, son éducation chez les bonnes sœurs ne l’y avait pas préparée, mais elle m’avoue que ça lui plaît bien physiquement, mais que moralement elle se sent gênée.
Août 1990.
Je lui ai rasé intégralement le minou, ce qui lors de ses séances de bondage donne un spectacle splendide, mais elle est toujours un peu coincée ; elle se laisse par contre toujours bien branler en secret par son danseur et participe même en lui rendant la pareille, me sachant consentant et faisant en sorte que je ne manque rien du spectacle.
Je me décide bientôt à la faire avancer dans la découverte du sexe et de son corps, et surtout de la faire se libérer dans ses envies.
J’ai organisé une séance de soumission, qu’elle pense comme d’habitude, jouissante mais soft, nous deux, tranquilles à la maison ; mais voilà, j’ai ourdi une vraie séance de soumission avec un ami proche, très porté sur le sexe. Jo se retrouve donc attachée, pour la première fois, sur notre petite table du salon, entièrement nue, minou bien ouvert et les yeux bandés… Avant même que je ne la touche, un petit filet de liqueur coule déjà de sa chatte. Je commence donc à la caresser et à l’amener sur le chemin de l’orgasme quand la sonnette de la porte d’entrée se met à tinter, je fais comme si j’étais paniqué, la couvre avec un rideau fin, ferme la porte du salon et vais ouvrir.
Bien sûr c’est mon ami C qui entre doucement sans faire de bruit. Je retourne au salon où Jo attend, que je reprenne mes caresses, tendue après ce coup de sonnette que j’attribue aux gamins du quartier qui souvent s’amusent à nos dépens.
Mon ami C entre dans le salon, sans rien dire, mais visiblement ravi du spectacle. Je fais doucement glisser le rideau de tulle qui lui caresse le bout des seins et la fait gémir puis je recommence à caresser seins et clitoris jusqu’à ce que les soupirs deviennent gémissements, puis je me recule en faisant signe à C de prendre ma place, ce qu’il fait avec empressement et application. Ses doigts et sa langue font merveille, les orgasmes se succèdent en un délire mouillé ; Jo ne sait plus où elle en est tellement elle jouit. C lui a enfilé quatre doigts dans la chatte et lime doucement tout en lui titillant le clitoris avec la langue, c’est à ce moment-là que je m’approche et l’embrasse sur la bouche, ma langue s’enroulant à la sienne…
Trente secondes plus tard, elle explose en hurlant, venant de se rendre compte que je ne suis pas seul à la caresser. Nous continuons à la faire jouir pendant encore une bonne heure, sans qu’elle sache qui est là ; C s’esquive sans se faire connaître, comme prévu.
Jo m’avoue qu’au moment où elle s’est rendu compte que quelqu’un d’autre que moi la suçait, elle avait eu un orgasme comme jamais, et était heureuse de mon initiative, avouant même que je pouvais recommencer.
Décembre 1990
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Je propose à Jo une séance de soumission, consentie ou elle sera l’objet de nos envies, ce qu’elle accepte avec joie, et écoute avec attention tout ce qu’elle devait faire pour cette soirée. Je l’amène dans la discussion à avouer que mon copain C serait bien son genre d’homme, grand et surtout l’air filou, voir peut-être vicieux et propose éventuellement une soirée « improvisée » de soumission.
Le samedi soir, Jo se maquille avec soin, mets ses plus beaux sous-vêtements noirs (soutien gorge ouvert et string mis à l’envers, ficelle dans la chatte, sa boule de geisha télécommandée sans fil et une jupe en cuir noir, à gros boutons ouvrant sur le devant.
Quand C arrive, je lui remets la télécommande de la boule. Jo, assise sur le canapé en est à son troisième porto, bien servi, quand C sortit la télécommande, lui fait voir et commence à jouer avec ; ce qui devait arriver arrive, Jo se met à transpirer en se trémoussant sur les coussins du canapé. Au quatrième porto, C la fait lever, et, passant derrière elle, lui met un bandeau de soie noire, qu’il a apporté, sur les yeux.
Le fait de lui bander les yeux la rend soudain comme détendue, « souple ».
-Moi : « comment te sens-tu ? »
-Jo, dans un murmure : « très bien »
-C : « tu seras notre soumise ce soir ? »
-Jo : »oui »
-moi : « dis le »
-Jo : « je veux être votre soumise ce soir, faites de moi ce que vous voulez ».
Je fais signe à C de lui donner des ordres.
-C : « caresse-toi par-dessus tes vêtements, debout en cambrant bien ton petit cul »
Jo se cambre, fait courir ses mains sur ses seins, son ventre, sa chatte et ses fesses pendant plusieurs minutes, haletant un peu sous la tension.
-C : « maintenant, assise, ouvre ton chemisier et ta jupe, caresse ta poitrine et tes cuisses »
Ce qu’elle fait avec application. On sent l’excitation monter dans la pièce.
-C (toujours jouant avec la télécommande) : « maintenant, ôte ton soutien-gorge et ton string et mets-toi a genoux par terre, tu vas être corrigée, ça te plaît ? »
-Jo (un peu titubante) : « oui »
-Moi : « dis –le »
-Jo : « oui, je veux être corrigée!»
-moi : « comment et pourquoi ? »
-Jo : « bien fort, sur les fesses et la chatte, parce que je le mérite et que j’en ai beaucoup envie et que j’aime ça ».
Ses réponses m’enchantent, sa soumission n’était plus simulée, mais réelle.
C prend alors la petite cravache qu’il a apportée, lui frotte d’abord tout le corps avec puis commence à lui donner des petits coups sur les fesses qui rougissent bientôt sous ce régime cuisant. Les petits cris de surprise autant que de douleurs font bientôt place aux gémissements de plaisir de la belle, d’autant que je viens de lui poser des petites pinces avec des poids sur les petites lèvres et lui masse le clitoris avec un onguent chauffant.
C arrête son traitement, mais Jo le supplie de reprendre sa correction, en plein délire. Je lui demande pourquoi elle veut encore de la cravache, « parce que je suis une soumise maso et que je veux être corrigée comme il faut », me répond-elle.
C reprend donc sa correction, en visant cette fois tout le corps, surtout la chatte qui dégouline maintenant de mouille, et pendant une bonne demi-heure, ce n’est que coups et gémissements.
Après un petit repos et un verre de champ, nous reprenons notre soumise en main, les
yeux toujours bandés.
C : « maintenant, tu vas te branler devant nous, avec tous les accessoires qu’on te mettra dans la main »
Jo se cale dans le canapé, devant nous, et écarte bien ses grandes lèvres. Elle ne tarde pas à avoir un premier orgasme. C lui met des petites ventouses sur les seins qui lui aspirent les tétons qu’elle a bien développés, prend les ficelles des pinces de la chatte et se met à tirer, tantôt doucement et longtemps, tantôt avec des petites secousses. Sous ces régimes combinés et ses doigts sur son clitoris Jo part de nouveau dans les nuages du plaisir.
Comme elle est plutôt pantelante, nous l’installons sur la table de la salle à manger, sur le dos, cuisses et chatte largement ouvertes et lui caressons doucement l’intérieur des cuisses et les seins, longtemps, le temps qu’elle récupère un peu ; bientôt Jo commence à redonner quelques signes d’envie, sa chatte coule sans discontinuer, mais surtout ses mains tremblent. C lui caresse alors la chatte qu’il pénètre avec un, puis deux, puis trois doigts et Jo se met à gémir de plus en plus fort et réclamer plus.
-C : « qu’est-ce que tu veux, Jo ? »
-Jo : « avoir la chatte bien remplie, distendue, avoir mal »
-C : « répète »
Jo se met à se tortiller sur la table, visiblement honteuse, inquiète de ses propos, puis avec un hoquet de pleurs au fond de la gorge :
-C : « je suis votre soumise, je veux être remplie, ouverte, sentir ma chatte bien pleine, jusqu’au fond, avec ce que vous voulez»
Nous nous regardons avec C et je lui mets dans les mains un beau concombre, épluché et tiédi au micro-ondes, enduit de baume chauffant, le top pour faire « flamber » un vagin. C approche le légume détourné de sa vocation et lui fait prendre doucement le chemin du plaisir de Jo ; doucement, lentement, les lèvres de la chatte de ma femme s’ouvrent sous la poussée, ses gémissements et ses soupirs accompagnent la dilatation extrême qu’elle a réclamée. Quand notre complice a atteint le fond du gouffre aux délices, il s’arrête, comme pour reprendre son souffle. Jo ne bouge plus, savourant son plaisir, laissant ses chairs dilatées lui transmettre leur bonheur ; puis le bras de C commence un va-et-vient de plus en plus rapide qui déclenche un orgasme dévastateur chez Jo, qui se met à hurler son bonheur en donnant de violents coups de reins et se pinçant
les seins.
-Jo : « je jouis, je jouis, ouIIIIIIII, je suis une salope, j’aime ça, j’aime ça, je veux encore jouir, je vous aime, je suis votre esclave, faites de moi ce que vous voulez, encore encoooooooooore »
Puis elle se laisse retomber sur la table et s’assoupit, pendant au moins une heure.
Quand elle refait surface, après une douche, nous nous mettons a table, le plaisir donne faim ; mais nous faisons remarquer à Jo qu’il n’y a qu’elle qui a joui, et que la soirée n’est pas finie, ce qui la fait sourire de satisfaction.
Après le dessert, on passe aux choses sérieuses ; C et moi nous nous déshabillons et nous nous mettons dans le canapé. Jo s’approche et commence à nous caresser des deux mains, doucement, en nous léchant partout, un délice. Quand elle juge que son travail a donné ses fruits et nous a surtout fait bien bander, elle nous suce longuement, faisant tourner sa langue autour de nos hampes, les avalant jusqu’au fond de sa gorge en nous branlant avec ses mains, et bientôt nous nous vidons dans sa bouche, et elle avale toute notre semence. Pendant qu’elle s’affaire sur nos membres, nous nous
occupons de ses orifices, de façon à la garder « sous tension ».
Quand C et moi sommes de nouveau dressés, il lui demande ce qu’elle veut maintenant, ce à quoi elle répond :
-Jo : « jouir, comme vous voulez »
C s’installe alors par terre sur le tapis et lui ordonne de venir sur lui. Jo me regarde avec inquiétude.
Moi : « tu es toujours notre esclave, n’oublies pas »
Les yeux rayonnants de bonheur, je vois Jo s’approcher du membre tendu de C, s’accroupir doucement, prendre ce sexe pour le guider dans sa chatte et s’empaler en gémissant de plaisir. De mon côté, je prends mon appareil photo et immortalise cet instant de béatitude. Jo se met à monter descendre en cadence, se caressant les seins et le clitoris, puis elle recommence à jouir, cramponnée aux épaules de C. N’y tenant plus, je m’approche de ses fesses, les caresse, enfile un doigt, puis deux dans son anus et enfin, je l’encule lentement, sentant le sexe de C au travers de la mince
cloison de son vagin. Jo gémit « c’est bon, j’aime qu’on m’encule, j’aime me faire enculer, je jouis, je jouiiiiiiiiis »
Puis ce fût l’orgasme collectif, le délire total, nous jouissons tous les trois ensemble, Jo d’une telle puissance qu’elle perd connaissance, ce qui nous fait débander séance tenante, on en rigole encore.
Cette première séance de soumission de Jo est certainement celle qui nous a le plus marqué, elle en a subi d’autres, mais jamais nous n’avons atteint le niveau d’excitation et de plaisir de cette première fois dans plusieurs domaines, mais une chose est certaine, nous avons révélé à Jo qu’elle est bien une vraie soumise maso en plus, pour notre bonheur.
Jo en parle encore souvent et jouit toujours en hurlant les mots qu’elle nous a distillés lors de sa première vraie soumission. C est revenu souvent et Jo s’est soumise autant de fois, mais toujours sous mes ordres.
A suivre...
Emmener petit à petit une épouse vers la soumission pour devenir une salope maso. Beau récit. Vivement la suite pour l'offrir peut être à des inconnus dans un club ou sur un point de rencontre
RépondreSupprimerj'aime beaucoup... c'est conçu pour de belles et excitantes suites...
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