Texte de Xmaster.
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la femme au foyer devient avide de sexe.
Après déjeuner, le lendemain, Maryline emmène Kevin à l'aéroport accompagnée de sa fille. Depuis le retour de son mari, elle n'a pas eu l'occasion d'être seule avec le jeune anglais et elle le regrette, même son anus se dit-elle, bien qu'il soit encore sensible et la brûle un peu.
Pendant le trajet, Maryline pense à tout ce qui s'est passé depuis l'avant veille, pendant que sa fille discute à l'arrière avec son correspondant anglais qui est assis côté passager. De là, il aperçoit une cuisse de Maryline, en grande partie dénudée, sa jupe étant remontée haut.
Ils arrivent enfin à l'aéroport, avec une bonne heure d'avance. Les bagages sont enregistrés et embarqués. Sa fille décide d'aller dans un kiosque à journaux, elle adore feuilleter les magazines et elle y passerait son temps. Maryline lui dit qu'elle viendra la chercher le moment venu, ajoutant que pour sa part, elle doit se rendre aux toilettes car elle a mal au ventre. Comme sa fille s'éloigne, Maryline se tourne vers son jeune amant et lui dit :
- Rejoins-moi vite ! J'ai envie de te bouffer la bite ! Je veux boire ton foutre.
Le jeune homme bande instantanément devant tant de promesses et de perversité. Kevin attend une petite minute et pénètre dans les toilettes. Il voit un WC fermé et il chuchote :
- Maryline ?
Il entend le verrou, la porte s'ouvre et il voit la mère de sa correspondante assise sur le trône, les jambes largement écartées, la jupe relevée sur son ventre. Elle n'a pas de culotte et elle se caresse doucement.
Il a l'impression que sa queue va exploser dans son slip tant il bande dur. Il entre et tire le verrou. Il ne peut résister plus longtemps à la tentation et il pose une main entre les cuisses de la mère de son amie.
Ses doigts glissent dans la fente qui les imbibe de mouille, en faisant un bruit très excitant de clapotis. De l'autre main, il défait les boutons du chemisier, l'écarte et dégage les seins du soutien-gorge. Il les malaxe à tour de rôle. Il enfonce soudain deux doigts dans sa fente, ensemble, profondément. La jolie femme mariée se mord les lèvres de plaisir.
- Oui ! C'est bon ! Branle-moi ! Gémit-elle, tandis qu'il accélère ses mouvements.
Les doigts vont et viennent rapidement. Maryline se sent ouverte, onctueuse, sur le point de jouir. Et, lorsqu'il se met à lui branler la chatte à toute allure, elle est secouée par un violent orgasme.
Maryline reprend ses esprits au bout de quelques secondes, puis dit au jeune anglais :
- Merci ! C'est un beau cadeau d'adieu que tu viens de me faire ! A toi maintenant ! Je veux que tu te rappelles comme je suis salope…
Elle baisse le pantalon de Kevin, son slip et la queue dure jaillit devant ses lèvres. Elle la prend d'une main et commence un mouvement de va-et-vient. Elle ouvre la bouche et enfonce la queue au plus profond de sa gorge. Elle se retire doucement jusqu'au gland, puis l'avale jusqu'à la racine, son nez butant sur le pubis de son jeune amant. Elle le suce ainsi un long moment, tout en lui malaxant les couilles d'une main. Puis, elle cesse de glisser ses lèvres autour du pieu ruisselant de salive et se met à lécher le gland brillant, l'entourant de sa langue, léchant toute la hampe et même les deux couilles. Kevin gémit, il se tend vers la bouche avide et la belle femme mariée avale d'un coup sa bite. Cela lui plaît beaucoup d'avoir la bouche pleine et de sentir ses lèvres contre le pubis de son amant. Elle le pompe comme si sa vie en dépendait. Le jeune homme avance et recule, comme s'il se branlait dans sa gorge. Elle a les joues déformées quand elle avale tout le pieu. Soudain, il gémit :
- Tu vas me faire jouir salope ! C'est bon, Maryline...
Aussitôt, Maryline avale la grosse bite le plus possible, jusqu'aux couilles, la suce avec avidité, accélère encore la cadence et se livre toute entière. Le jeune anglais décharge avec violence dans la bouche offerte une première giclée de sperme. La femme adultère l'avale avec délice. Il retire sa queue aussitôt et finit de décharger sur le visage de Maryline, en se branlant vigoureusement. Par réflexe, elle tend la langue pour attraper le plus possible de liquide. La giclée suivante fuse dans sa bouche ouverte et les autres sur ses cheveux et sur ses joues. Le foutre coule sur sa gorge et sur ses seins. Elle recueille de ses doigts un maximum de sperme et les lèche. Il guide sa queue qui commence à débander vers sa bouche et attire la tête de la belle femelle. Il l'enfonce entièrement dans sa gorge. Maryline se met à téter la queue de plus en plus mollissant. Elle aspire le reste de foutre qui en sort, mâchouille la bite qui devient une petite chose élastique, qu'elle arrive à étirer comme un morceau de caoutchouc en la suçant fortement.
Enfin, Kevin se recule et la jolie femme mariée porte une main à son visage, puis sur ses cheveux où elle trouve quelques mèches engluées de foutre. Elle les porte à ses lèvres et les lèche. Elle rajuste son soutien-gorge, puis son chemisier et dit :
- Tu m'en as mis partout ! C'était délicieux ! Je me suis régalée !
Elle se lève, baisse sa jupe, sort des WC et va se refaire une beauté devant le lavabo. Elle est légèrement penchée de manière à bien se voir dans la glace et Kevin admire ainsi sa croupe cambrée. Le jeune anglais ne peut résister. Il caresse les fesses par-dessus la jupe, puis glisse une main par-dessous et remonte entre ses cuisses. Il glisse un doigt vers sa chatte et l'enfonce dedans sans difficulté, Maryline étant encore bien mouillée. Elle pousse un petit gémissement et lui dit :
- Hhhmmm ! Tu es un cochon ! Je vois qu'elle te plaît ma chatte !
Et pour rester dans le rôle qu'elle joue et lui laisser un dernier souvenir, elle ajoute :
- Et mon cul ? Il te plaît aussi ?
Il sort le doigt de sa chatte et le pointe sur l'anus qui frémit.
- Oui, il me plaît ton cul, Maryline !
Il tâte le petit trou qui s'assouplit.
- Vas-y ! Plante-moi ton doigt dans le cul ! Encule-moi avec !
Il voit la mère de son amie se cambrer un peu plus, en se tenant des deux mains au lavabo et il enfonce le doigt à fond dans son anus. Il le ramone quelques secondes à toute vitesse, jusqu'au moment où ils entendent des pas approcher. Kevin retire vite le doigt et Maryline n'a que le temps de se rajuster, avant qu'un homme entre. Il fait ses besoins, puis s'en va. Maryline donne alors un baiser langoureux à son jeune amant et lui dit ensuite :
- Je crois qu'il faut y aller. C'est dommage que l'on n'ait pas le temps… J'avais envie que tu m'encules ! J'avais envie de ta grosse bite dans mon cul ! J'aurai aimé que tu me défonce mon petit trou ! Tant pis, peut-être une autre fois. J'espère que tu as passé un agréable séjour en ma compagnie.
Elle voit qu'il bande et que, très certainement, il se serait fait une joie de la sodomiser. Un peu dépité, il répond :
- Oui, c'est dommage... J'aurai bien aimé t'enculer encore, Maryline ! Grâce à toi, je vais avoir des souvenirs formidables.
En sortant des toilettes, elle lui dit :
- Tu aimes les françaises alors ? Tu penses qu'on est des salopes ?
Et en repartant vers le hall, Kevin lui répond :
- Vous êtes formidables ! Vous êtes vraiment des salopes, je n'aurai jamais cru possible que vous aimiez autant vous faire enculer !
Arrivés à la salle d'attente, ils s'assoient. Maryline ouvre son sac à main, prend quelque chose à l'intérieur qu'elle donne à son jeune amant.
- Tiens, garde ceci en souvenir…
Il tend la main et prend une jolie culotte noire. Il regarde aux alentours, personne ne les regarde et il la déplie.
- Magnifique ! Je penserai tout le temps à ton joli cul Maryline…
Et il la range dans ses affaires. Une annonce par haut-parleur indique alors que le vol pour Londres est retardé d'une heure. La fille de Maryline arrive aussitôt.
- Vous avez entendu ? L'avion aura du retard. Si cela ne vous gêne pas, je retourne au kiosque à journaux ! Il y a plusieurs livres qui m'intéressent.
Sa mère lui répond de prendre tout son temps et qu'elle viendra la chercher. Une fois qu'elle s'est éloignée, Maryline se tourne vers le jeune anglais et lui dit :
- Tu bandes toujours ? Ça te dirait de m'enculer ? J'ai envie que tu me défonces le cul une dernière fois. Comme toutes les françaises, j'en ai tout le temps envie...
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, elle se lève, va aux toilettes et se dirige dans le même WC. Kevin entre juste derrière elle et il ferme le verrou. Il la prend dans ses bras et la plaque contre lui. Ils échangent un long baiser pendant qu'il lui malaxe les fesses. Elle sent contre son ventre la queue qui bande dur. Il relève la jupe sur ses hanches, fait se retourner la belle femme mariée, qui se penche
alors sur la cuvette, les jambes écartées. Kevin mouille ses doigts sur la chatte qu'il trouve marécageuse. Il plante alors doucement un doigt dans l'anus de Maryline et l'enfonce rapidement tout au fond. Il le fait aller et venir quelques secondes. Elle lui dit alors :
- Mets-moi un autre doigt dans le cul… Tu vas bien me l'ouvrir comme ça…
Il pointe un deuxième doigt et il les enfoncent sur une phalange. Il entend la femme mariée gémir. Il pousse fort, il progresse, la faisant geindre un peu plus fort encore. Enfin, il les enfonce entièrement et, sur le moment, elle grimace de douleur. Il va et vient, le petit trou s'assouplit et, bientôt, il les coulisse dans le rectum avec la plus grande aisance. En même temps, il baisse son pantalon et frotte sa bite sur la fente. Il pénètre la chatte d'un coup jusqu'aux couilles, tellement Maryline mouille. La belle quadragénaire pousse un profond soupir, tant cette pénétration brutale augmente son excitation. Pénétrée par une grosse bite dans la chatte, deux doigts enfoncés à fond dans son cul, la font jouir en trois coups de queue seulement. Elle gémit alors :
- Je veux que tu m'encules ! Que tu m'encules tellement fort que j'en devienne folle…
Kevin retire sa bite de sa chatte. Il bouge encore ses doigts dans l'anus bien ouvert, puis les enlève. Il écarte les fesses, admire le petit trou béant. Maryline s'impatiente.
- Dis le que tu as envie de m'enculer, salaud ! Viens, plante-moi ta bite dans mon cul de salope !
Il présente le gland sur l'anneau et commence à pousser. Le rond s'élargit et avale soudain la grosse prune. Maryline gémit de douleur. C'est toujours une effraction brutale. Elle serre les dents le temps qu'il met pour s'enfoncer dans son cul jusqu'aux couilles. Il marque une pause. C'est la jolie quadragénaire qui se met à bouger sa croupe à petits coups au bout de quelques secondes. La douleur est déjà moins forte, la brûlure dans ses reins moins intense. Elle tourne alors la tête vers Kevin :
- Tu as envie de me défoncer ? Vas-y, encule-moi fort ! Défonce-moi le cul comme un sauvage...
Kevin la saisit par les hanches et, sortant sa queue jusqu'au gland, il emmanche Maryline brutalement jusqu'aux couilles. Elle pousse un cri de douleur sous la méchante introduction et il la sodomise aussitôt avec fougue, ne lui laissant aucun répit. Il est grisé par la vision de sa bite qui écartèle et défonce l'anus de la belle femme châtain, donnant l'impression qu'il va se rompre. Sa queue navigue dans les reins offerts à une vitesse folle.
Elle garde la bouche ouverte et secoue la tête en tous sens. Son cul, son fondement est déchiré, il la brûle, elle a mal et éprouve un énorme plaisir à la fois, elle ne sait plus. La posture qu'elle offre, dans des toilettes publiques, enculée par un jeune homme, amie de sa fille et qui a l'âge d'être son fils, alors qu'elle est mariée, la jupe retroussée, la croupe offerte, sodomisée alors qu'elle l'a toujours refusé à son mari, tout cela fait qu'elle se sent gagnée par la folie.
Kevin la défonce avec une telle fougue, l'enculant comme une brute jusqu'aux couilles, en ressortant quasiment toute sa bite, qu'elle a l'impression d'avoir le cul en charpie. Les mains cramponnées au réservoir du WC, elle commence à se projeter vers le jeune anglais aussi vite et aussi fort qu'elle le peut.
Il ne prend plus la peine d'aller et venir et il regarde la belle salope se sodomiser seule. Elle s'empale d'elle même sur la bite deux bonnes minutes, puis Kevin la reprend par les hanches pour qu'elle ne bouge plus. Le jeune homme retire sa queue et admire le trou qui reste bien ouvert.
- Ouvre tes fesses Maryline ! Ton trou est tout ouvert !
Il plonge soudain sa queue dans l'anus jusqu'aux couilles, faisant gémir la belle femelle, puis la ressort de nouveau.
- Je t'encule facilement, ton cul est tout ouvert…
Et il recommence à l'empaler, recommençant ce petit jeu une bonne vingtaine de fois. Puis, l'enculant à fond, il la saisit par les seins à travers le chemisier et lui dit :
- Je vais t'enculer et te faire jouir salope !
Kevin recommence à lui bombarder le cul de coups de bite. Maryline reste de nouveau la bouche ouverte, secoue la tête de plus belle et jouit brutalement avec un profond gémissement. Elle reprend ses esprits en s'empalant doucement sur la bite, le jeune anglais la laissant faire. Elle gémit :
- C'était délicieux ! Je n'ai jamais joui comme ça…
Il la sodomise quelques secondes encore, refaisant vite chavirer la belle quadragénaire. Il sent qu'il est à bout, il retire sa bite et demande :
- Assis-toi sur la cuvette Maryline.
Sans réfléchir, elle s'exécute. Il presse sa queue vers sa bouche. Elle l'avale et se met à le sucer avec fougue. Elle l'embouche jusqu'aux couilles, sans réaliser encore qu'elle dévore un engin qui lui a ramoné le cul. Elle trouve le goût bizarre, mais ce n'est pas déplaisant.
Kevin lui tient la tête des deux mains et va et vient dans sa bouche, s'enfonçant à fond dedans.
Elle le lèche, joue de la langue, elle accélère soudain la cadence. Elle l'aspire avec force et il lui asperge la gorge de nombreuses giclées de foutre qu'elle boit au fur et à mesure de leurs arrivées. Le flot se tarit bientôt et la queue devient moins dure. Elle continue à le pomper jusqu'à ce qu'il ne bande plus. Maryline se redresse alors et, à ce moment seulement, elle réalise qu'elle a sucé une queue venant de son cul. Elle a un mouvement de répulsion mais, après analyse de ce qu'elle a fait et vécu, elle s'avoue que ce n'était pas désagréable. Elle se rajuste et revient à la salle d'attente avec Kevin.
Avant de la quitter, il lui murmure à l'oreille pour que sa fille n'entende pas, qu'elle est une incroyable salope, qu'il aimerait encore l'enculer quand il voit ses fesses rebondies à travers la jupe, qu'il aime son cul et qu'il ne l'oubliera jamais.
Rien qu'avec ces paroles, l'envie de Maryline revient brutalement. Sur le trajet de retour de l'aéroport, Maryline reste toute chamboulée par tous les événements de ces trois derniers jours. Assise dans le siège du conducteur, elle change souvent de position. En effet, ses fesses et son anus en particulier, lui chauffent. A 41 ans, se faire sodomiser autant de fois, pour la première fois de sa vie en plus, en un laps de temps aussi court, c'est un exploit et il est difficile d'en sortir indemne. Et pourtant, cela a été une révélation. Elle se rend compte que la sodomie la réconcilie avec le sexe et, malgré la douleur que cela occasionne, surtout au début, elle a formidablement joui. Bien que ses reins et son petit trou soient en feu, elle se ferait volontiers enculer, sans une hésitation si le jeune anglais était là.
A suivre...
Que va-t-il arriver maintenant que son jeune amant est parti? Comment va-t-elle assouvir son besoin de sexe? J’attends la suite de ce récit avec impatience…
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