mercredi 7 juin 2023

Maryline - Ch. 02

 Texte de Xmaster.

 ****

Le jeune anglais encule la femme au foyer.

Au matin, Maryline est réveillée par une sensation bizarre. Le jeune correspondant anglais de sa fille la tient serré contre lui et elle sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses. Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé la veille, avalant du sperme pour la première fois, comment ce jeune homme de 18 ans l'a baisée, puis l'a enculée pour finir. Sodomisée pour la première fois également à 41 ans. Ces souvenirs lui font chaud au ventre et, mine de rien, elle pousse ses fesses vers lui pour que sa bite s'incruste.

Il gémit, elle tourne la tête, sourie et lui dit :

- Bonjour.

Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Maryline se retourne alors et monte sur son jeune amant. Tout en s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis il lui tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt dans l'anus. Elle se raidit à peine et lui dit :

- Il te plaît mon petit trou ?

Il enfonce le doigt jusqu'à la dernière phalange en répondant :

- Oh oui Maryline ! J'en ai envie…

Elle gémit :

- Baise-moi d'abord… 

Elle se soulève à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un coup en poussant une longue plainte de plaisir. Lui ordonnant de ne pas bouger, Maryline se met à s'agiter sur la queue. Kevin se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent et elle pousse des gémissements de plaisir.

- Ah, c'est si bon ! S'exclame t-elle.

Elle se baisse alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'anglais et, joue contre joue, elle fait bouger son cul à petits coups très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans cette position, elle offre son cul et elle murmure :

- mets-moi un doigt derrière.

Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans l'anus. Elle accélère la cadence en gémissant :

- Par devant ! Par derrière ! En même temps…

Elle se met alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et elle jouit en émettant des sons rauques.
Kevin a eu le plus grand mal à se retenir d'éjaculer. Ils restent ainsi quelques instant. Toujours allongé, Kevin dit à la mère de son amie :

- J'ai envie de t'enculer.

Maryline s'attendait à cette envie. Elle s'agenouille, se baisse et commence à sucer la bite de son jeune amant. Elle l'imbibe de salive et la lèche sous toutes les coutures. En même temps, elle glisse un doigt dans sa chatte et s'assouplit, ensuite, l'anus avec.

Maryline se met à quatre pattes, la tête sur les draps et elle s'écarte les fesses. Son anus s'ouvre et se ferme au rythme de sa respiration, car elle appréhende un peu le moment de l'introduction. Kevin ajuste le gland sur la petite rondelle et pousse. En petits coups, mais inexorablement, il s'enfonce dans ses reins. Pendant toute la pénétration, il la voit grimacer et gémir doucement.

Elle s'efforce de mieux s'ouvrir pour l'accueillir, ses deux mains décrochant ses fesses le plus possible.
Le jeune anglais a l'impression de pénétrer dans une fournaise sans fond, sa queue est comprimée, le sphincter serre spasmodiquement sa hampe avec force. Cela le stimule comme jamais il ne l'a été avec une autre femme. Il se loge vite tout au fond de son cul et ses couilles butent sur la chatte. Maryline se détend peu à peu, elle sent son conduit presser voluptueusement la queue, elle la sent plantée loin dans son corps, lui retourner l'estomac presque.

Son jeune amant lui tient les hanches et il commence à la sodomiser doucement, en se sentant divinement à l'étroit. Il aurait aimé demeurer toujours dans son cul, mais il ne peut plus retenir son excitation. Après avoir baisé, avoir été sucé et à enculer cette si belle femme , et bien qu 'elle ait l'âge d'être sa mère, il se déchaîne. Ses va-et-vient s'accélèrent, sa bite coulisse avec facilité au fur et à mesure que le petit trou s'assouplit.

Maryline remue de la croupe, la douleur n'a pas été trop forte, elle s'attendait à souffrir davantage et elle se dit qu'elle s'habitue finalement plutôt bien à cette pratique qu'elle avait toujours refusé auparavant.
Le garçon accélère la cadence et dit à une Maryline qui gémit de plus belle :

- J'aime t'enculer ! C'est bon, j'aime ça !

Elle est comme fouettée par ces paroles teintées d'un délicieux accent anglais. Elle se met à s'empaler vers la bite qui lui fait à présent plus de bien que de mal. Il la sodomise de toute la longueur de son pieu, il se déchaîne, il lui pilonne les reins à toute vitesse et de toutes ses forces. Maryline sent soudain des jets puissants de sperme fuser dans ses reins.

Elle accélère le rythme et donne de violents coups de croupe en arrière. Elle jouit soudain, son orgasme est beaucoup plus fort que lorsqu'il l'a baisée auparavant. En mollissant, la bite est rejetée par son anus. La belle femme mariée a l'impression que son petit trou reste béant et elle ressent une petite brûlure chaque fois qu'elle bouge. En se relevant, elle se tâte le fin anneau d'un doigt et dit à son jeune amant :

- Tu m'as défoncé ! Il ne veut plus se refermer…

Maryline prépare le petit déjeuner. Elle porte juste un peignoir. Après avoir déjeuner, ils parlent inévitablement de ce qu'ils viennent de vivre ensemble. La belle quadragénaire est très intéressée par ce qu'a ressenti son jeune amant et ce qu'il pense d'elle. Il lui avoue qu'il trouve bien meilleur de sodomiser une femme que de la baiser, et qu'il a adoré aussi qu'elle le suce à fond et qu'elle avale son sperme.
Maryline se sent de nouveau toute excitée. Jamais il ne lui était arrivé d'avoir autant envie de faire l'amour en un temps aussi rapproché. Maryline l'interrompt soudain et lui dit :

- Demain soir, quant tu prendras l'avion, suis-moi aux toilettes de l'aéroport… Je te sucerai la queue à fond … Comme cadeau d'adieu, je boirai ton foutre.

Elle s'approche langoureusement, pose un baiser sur ses lèvres, lui prend la queue dans une main, la trouvant bien raide et elle ajoute :

- J'ai envie de toi encore ! J'ai envie de ta bite ! Viens me la mettre dans le cul ! Viens m'enculer !

Elle sait que son jeune amant préfère ce trou là et elle a envie de venir au devant de ses désirs pour lui laisser un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme. Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se tourne, pose une jambe
sur une chaise et s'écarte les fesses. 

Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit palpiter. Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant :

- Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie…

Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut et fort ses envies, de façon plutôt cru. Kevin est venu se coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite, de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes. Quand il colle son gland contre l'anus de Maryline, elle lui dit :

- Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu aimes mon cul ?

Le jeune anglais taquine quelques secondes le petit trou de la pointe de son pieu, en répondant :

- J'adore ton cul Maryline ! Il est tout petit et pourtant il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans... 

Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles, facilement, tant le conduit est bien graissé.

Maryline pousse un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle ne sait pas. Il l'a enculé d'un coup et c'est atrocement bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours bien ancré au fond de ses reins.

Mais, sans attendre, Maryline pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce, ses fesses forçant sur le pubis de son amant. Kevin prend cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou et Maryline pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit.

Cela est à peine croyable comment cela a été facile de la sodomiser, il n'en revient pas. Il ne bouge toujours pas et, fasciné, il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir sur son manche. Elle pousse de drôle de râles chaque fois que la bite s'enlise dans son rectum. Kevin n'en revient pas, un pur délice... Maryline se met à rouler lascivement des hanches en lui lançant des regards excitants par-dessus son épaule où il peut lire son plaisir et sa douleur quand elle grimace.

Il commence alors à accompagner la danse obscène de la croupe sur sa bite, avec de lents va-et-vient. Il pourrait ne pas bouger, tant Maryline se défonce avec force, en faisant presque ressortir la queue de son cul. Elle halète en poussant de petits cris, son dos se creuse de plus en plus au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Elle a la tête rejetée en arrière et se cambre de plus en plus. Tout d'un coup, elle le regarde, la bouche crispée, les yeux écarquillés. Cela dure une fraction de seconde puis c'est du délire. Elle est prise de spasmes qui la font se tordre dans tous les sens en poussant un feulement continu. Son anus se contracte autour de la queue. Ses mouvements ont fait que le jeune homme s'est retrouvé expulsé de son cul. Qu'elle est belle, la bouche entrouverte, toute gémissante tandis qu'il va et vient dans le doux fourreau de son cul. Il est incapable d'en supporter davantage et il jouit à longs traits, se répandant en elle en gémissant de bonheur.

Maryline s'affale par terre, les jambes coupées par le plaisir, soutenue par son amant pour qu'elle ne se fasse pas mal. Il sent le sphincter serrer convulsivement sa queue mollissant jusqu'à ce qu'il l'expulse doucement. Ils mettent quelques minutes à reprendre leurs esprits sur le carrelage pourtant froid de la cuisine. Ils s'embrassent tendrement, puis se lèvent.

- Mon dieu ! Que m 'as- tu fait ? J'ai cru mourir de plaisir, dit Maryline à son jeune amant. Viens, allons prendre une douche.

Elle le prend par la main et l'emmène dans la salle de bain. Cela les revigore. Ils se savonnent lentement une bonne demi-heure avec beaucoup de tendresse. Leurs langues se cherchent. Ils s'essuient mutuellement et elle constate avec surprise que Kevin bande de nouveau.

- Mais tu es incroyable ! Tu as encore envie ? Et par où veux-tu me prendre cette fois-ci ? Lui demande t-elle innocemment, prévoyant la réponse.

Et elle ne se trompe pas quand il répond :

- Si tu veux bien, j'ai encore envie de ton cul ! Il me fait bander rien qu'en le regardant !

Elle regarde l'heure :

- D'accord ! On a encore le temps pour tout ranger ! Mon mari et mes enfants doivent arriver en début d'après-midi.

Kevin l'entraîne vers le lit conjugal sur lequel il s'allonge. Maryline attrape sa queue et la branle doucement. Elle commence à la sucer, sa bouche est pleine et le pieu est déjà bien dur. Elle lèche consciencieusement, en salivant d'abondance sur le gland et toute la hampe. Déjà, elle se caresse et, pour bien se préparer, elle enfile un, puis deux doigts préalablement enduits de sa mouille dans son anus qui est resté bien souple. Maryline vient sur son jeune amant, s'assied sur la queue qu'elle maintient bien droite. Elle s'écarte une fesse et pointe le gland sur son petit trou. Elle force un peu, pousse et le jeune homme la voit grimacer lorsque la grosse prune entre brusquement. Elle marque un temps d'arrêt. Elle s'empale ensuite lentement par l'anus, jusqu'à ce que toute la bite l'ait pénétré. Elle voit le jeune anglais gémir de plaisir. Encouragée, la belle femme mariée commence à monter et à descendre. Peu à peu, ses mouvements prennent de l'ampleur et elle se sodomise bientôt sur toute la longueur de cette queue. Fasciné, Kevin voit sa bite coulisser et la chatte humide et écartelée à cause de la grosse présence dans ses reins.

Maryline n'a pas trop mal, elle apprécie déjà l'intense échauffement et elle se met à aller et venir plus vite. Empalée par l'anus, elle sent un embrasement général envahir ses reins. C'est incroyablement fort et cela la fait gémir autant de plaisir que de douleur. Son petit trou s'est à nouveau bien élargi, et il s'est adapté aux dimensions de la bite qui le perfore. La jolie femme mariée monte et descend sur le pieu en gémissant sans discontinuer. Son jeune amant lui caresse les cuisses et, d'une main, elle se branle la chatte.

La jolie femme châtain se rend compte qu'elle se comporte comme une salope vicieuse et cela lui plaît incroyablement. Elle s'empale de plus en plus fort. La queue lui ramone l'arrière-train avec facilité, elle se soulève haut et se laisse retomber de tout son poids.

Dans son cul à présent béant, la bite coulisse avec une grande facilité. Kevin glisse les mains sous ses fesses. Elle se cambre en arrière, en se tenant des deux mains sur le lit et elle se soulève à peine comme il le lui demande. Il se met alors à l'enculer, en donnant de violents et rapides coups de queue, avec une allure incroyablement rapide.

La femme mariée pousse alors des râles ininterrompus, laissant même échapper de petits cris lorsque la bite s'enfonce dans son cul jusqu'aux couilles. Kevin est fou de plaisir, subjugué par cette si belle femme mariée, qui a le double de son âge et à qui il défonce l'anus, avec le sentiment qu'il a une chance formidable.

- Oh, j'aime t'enculer, gémit il.

Maryline répond entre deux cris :

- Aahh ! Tu me fais jouir ! C'est bon ! Ouuiiii ! Encule-moi fort ! Défonce-moi le cul ! Défonce mon cul de salope…

Le jeune anglais accélère encore le mouvement en disant :

- Je vais gicler dans ton cul de salope…

Et il décharge avec de violentes giclées. Le sperme fuse et brûle les entrailles de Maryline qui est foudroyée par un orgasme interminable. Tout le temps qu'il se vide, Kevin donne des coups de bite dans les reins qu'il dévaste, avec un plaisir immense, coups de bite qui s'espacent peu à peu. Lorsqu'il sent
sa queue faiblir, il encule la mère de son amie à fond et reste ainsi de longues minutes, la tenant serré contre lui. Le pieu mollit de plus en plus et s'échappe enfin de l'anus bien ouvert. Maryline se sent bien dans les bras de son jeune amant. Elle n'a aucun remord d'avoir trompé son mari, ni aucune honte de ce qu'elle a fait. Elle est très surprise par l'intensité du plaisir qu'elle a éprouvé en se faisant sodomiser. C'est pour elle une véritable révélation. Elle n'imaginait pas qu'une grosse bite, en un endroit aussi étroit, puisse causer autre chose que de la douleur. Elle qui n'était pas attirée par le sexe, a l'impression de voir la vie d'une façon différente. Elle embrasse le jeune homme tendrement, leur baiser dure de longues secondes. Et, en se redressant, elle lui dit gentiment :

- Et bien, petit cochon ! Tu m'as défoncé ! J'ai le petit trou tout ouvert ! Dis-moi, tu aimes m'enculer ?

Il sourit et répond :

- J'adore ça ! Ton cul est tellement serré ! J'aime te défoncer le cul, j'aime t'enculer ! Montre le moi Maryline, montre-moi si je t'ai bien défoncer ton cul...

Sans la moindre hésitation, Maryline se retourne et, à genoux, la tête dans les draps, elle ouvre ses fesses de ses deux mains. Kevin voit la fente luisante, entrouverte, mais ce qui le fascine le plus, c'est son anus qui palpite et qui est encore ouvert d'un bon centimètre. Elle lui demande :

- Alors, comment tu le trouves mon cul ? Tu me l'as bien défoncé, il ne veut plus se refermer !

Le jeune homme s'approche et touche l'anus d'un doigt qu'il enfonce vite jusqu'à la dernière phalange. Il le fait coulisser quelques secondes et répond :

- Ton cul est chaud ! Mon doigt rentre bien dedans ! Tu es vraiment cochonne Maryline ! Quand je t'ai vu, je n'aurai jamais cru que tu sois aussi salope !

Pour toute réponse, elle lui dit :

- Mets-moi un deuxième doigt dans mon cul de salope ! Branle-moi le cul…

La belle quadragénaire est émoustillée par sa supposée réputation et, pendant qu'il lui enfile deux doigts dans l'anus, elle se branle en même temps. Elle fait aller et venir sa croupe et, très vite, elle jouit en poussant des gémissements de plaisir.

Maryline se redresse doucement, embrasse le jeune homme une dernière fois et lui dit qu'il faut qu'ils s'habillent, car son mari et ses filles ne vont sans doute pas tarder à arriver. Et, en effet, une heure plus tard, les voilà.

A suivre...

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