samedi 3 juin 2023

Soumise dans les bois

 Texte de Ariane_Luc

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Il ne fait plus vraiment chaud mais les beaux jours s'éternisent. C'est pendant cet été indien que Luc décide de m'emmener en forêt pour des jeux que j'imagine bucoliques Il a précisé "pas de culotte", mais je me suis déjà promenée avec un pantalon au trou mal placé qui avait fait ricaner pas mal d'hommes dans le métro et je ne voudrais pas recommencer. J'opte pour la solution hybride de mettre une culotte et de l'enlever une fois arrivée, à l'orée de la forêt, avant de rejoindre Luc.

L'automne ne me rend pas chanceuse : Luc vient me cueillir à la sortie du métro. En nous dirigeant vers les bois, je pense à toute éventualité, depuis lui avouer ma désobéissance jusqu'à prétexter une envie soudaine. Sachant trop bien comment il pourrait jouer des deux, j'opte pour le silence...

j'étais silencieuse et perdue dans mes pensées lorsque sa main s'est posée sur mes fesses et a commencé à descendre le long de mes cuisses pour relever la jupe et... trouver la fautive ! J'en suis bonne pour quelques fessées, me dis-je, mais il semble se raviser. Bien. Il s'éloigne un peu et va ramasser... des marrons... Il ne va quand même pas me pénétrer avec des marrons ? Quand il revient, ce que je vois me fait horreur : ce ne sont pas les marrons qui l'intéressent mais des cosses de châtaignes. Il m'en glisse deux dans la culotte, et je contiens avec beaucoup de mal un cri de douleur. Je pense que la punition est de rester quelques instants avec, avant de repartir, mais Luc a décidé d'être un vrai sadique aujourd'hui et m'entraîne plus loin sur le chemin. La douleur est intolérable en marchant et la torture me fait monter les larmes aux yeux...

En silence, je cherche un appui et d'instinct je prends sa main. Je pense trouver un peu de réconfort entre les piques et les brûlures mais Luc n'en a que faire et serre ma main fermement pour m'obliger à accélérer. Parfois, même, il tire sur la culotte. J'hésite à dire que je n'en peux plus mais Luc le sait : il ne peut qu'entendre mes gémissements de douleur à chaque pas. Et ce qu'il veut pour moi, je fais. Je pense que la punition touche à sa fin quand je vois clairement qu'on prend la direction d'un bosquet. Je vais pouvoir le sucer, peut-être me faire prendre...

Lorsqu'on arrive au buisson, je suis prête à le remercier, le supplier, mais à la place, je me rends compte au bruit des feuilles que nous sommes suivis. Et l'allure de Luc me laisse penser qu'il s'en est rendu compte avant moi. La partie va être encore plus tendue que prévu. L'homme n'a visiblement pas l'intention de passer son chemin et les ordres de Luc ne sont pas de nature à le faire fuir. En écartant mes cuisses et remontant ma jupe, il me demande de pisser, debout, avec ma culotte, en regardant cet homme. Je n'ai aucune envie de pisser et les cosses me font tellement mal qu'il n'est pas question que je me relâche. Mais Luc insiste, il vient tout près, dans mon dos, et lâche la nuque qu'il tenait fermement pour m'empoigner le cou avec son bras. Je sens sa respiration calme et profonde sur ma nuque. Je sens son excitation, sa présence, mais surtout son contrôle. Il tire une fois sur ma culotte pour me rappeler au réel : je dois pisser et vite ! J'essaie de me concentrer quelques secondes puis je lâche peu à peu. Le jet part n'importe comment, il coule dans ma culotte, sur les cosses, un long filet s'étale sur ma cuisse et mouille un peu ma chaussette.

L'homme est obnubilé : il n'a jamais dû voir une fille se faire soumettre, il s'est agenouillé et il me fixe, parfois dans les yeux, mais surtout la chatte. Lorsque le jet s'est tari, Luc a la bonté de descendre ma culotte. J'ai l'impression que les cosses hésitent un instant à me lâcher avant de rouler au sol. Luc me maintient les cuisses écartées, il n'a pas encore fini de jouer et vient récolter avec deux doigts ma mouille mélangée à ma pisse pour me les faire lécher. Je pense laper soigneusement mais il décide de brusquer ma bouche et de me les enfoncer profondément, en une longue fois qui m'étouffe et me laisse pantelante.

Je n'ai pas me temps de reprendre mes esprits, déjà Luc me pousse vers un arbre, sans jupe et la culotte sur les cuisses, auquel je dois m'adosser, droite. Lorsqu'il a fini de me passer mes menottes, je sens qu'il éloigne un peu mes fesses de l'arbre pour les replacer... sur une ronce !

C'est un grand "ah !" de surprise et de douleur qui accueille ce nouveau venu. Cette ronce s'accroche à ma peau et la maltraite au moindre mouvement. Je tente l'immobilité totale mais je suis vite contredite par Luc : il ouvre mon chemisier dans un grand geste pour offrir mes seins à l'inconnu qui a pris le temps de se rapprocher. Entre ce dernier qui prend mes seins doucement mais à pleine main et Luc qui me fouille avec ses doigts, je sens mes fesses se lacérer à tel point que j'en pleurerai à nouveau. Ce sont ses paroles qui me font tenir, elles sont douces à mes oreilles... Il me rappelle ce que je suis pour lui, une jolie salope, sa salope, qui lui appartient, qui lui est obéissante et qui aime ça...

- hein tu aimes ça, être à moi ? dis le... dis le encore... pour qui tu as mal ? Pour qui tu es une salope ? Répète que tu m'appartiens, répète que tu aimes ça...

Pour un peu, ses mains, ses mots, l'exhibition... pourrait m'amener au plaisir total mais la ronce me déchire littéralement les fesses et à chaque fois que je cherche à m'en détacher en m'appuyant sur son bras il me remet gentiment à ma place.

- J'aime bien son corps ! dit l'homme.

- Elle n'a pas mal ?

- Si ! Si, elle a mal pour moi, c'est beau !  répond Luc.

- Moi ça m'excite ! répond l'inconnu.

- Tu as entendu ? Tu l'excites ! On va l'aider.

A ces mots, Luc me détache de l'arbre et de la ronce qui me labourait, pour m'agenouiller devant l'homme qui me donne sa queue à caresser. Il prend ma main, la dirige pendant que Luc regarde la scène jusqu'à être assez excité pour sortir son sexe et appuyer son gland sur les lèvres avant de m'enfiler la bouche en long va et vient. Luc a l'air de s'amuser seul avec ma bouche qu'il manipule selon ses désirs, je peux me concentrer sur la queue que j'ai entre les mains, l'étreindre plus ou moins fort, plus où moins rapidement, jouer avec les couilles et le gland... pendant que l'inconnu continue de me caresser les seins, pincer les tétons... Son souffle s'accélère... Toujours le sexe de Luc en bouche, il me tire les cheveux.

- Regarde le dans les yeux, allez, montre lui... fais le jouir maintenant, vas y.

L'homme plonge son regard dans le mien sans rien rater de la fellation que je suis en train de prodiguer. Je sens sa queue se tendre à plusieurs reprises puis son visage se crispe et en plusieurs halètements il jouit en longues giclées qui m'épargnent relativement. Mon cou et mon épaule sont touchés par le liquide qui coule doucement le long de mon bras et au creux de mes seins. Le temps que l'inconnu se remette de son orgasme, Luc s'est relativement rhabillé.

L'homme se penche sur moi et me glisse un baiser sur le haut d'un sourcil en me remerciant. D'un signe
de tête à Luc, il repart sans se retourner. Mes genoux me font souffrir le martyre, Luc m'aide à me relever et à avoir une apparence... plus normale.

Des yeux je cherche ma culotte que je vais ramasser. Lorsque je me relève, Luc est derrière moi, tout près, il me prend dans ses bras, m'embrasse. Nos langues s’emmêlent un long moment, pendant que ses
mains viennent chercher mes fesses, s’immiscent.

- Prends ma queue... C'est bien, ma belle, tu as vu ce que tu me fais ? tu m'as bien excité, ma salope !

Je caresse son sexe pendant qu'il tend sa langue dans ma bouche, je l'aspire, je la caresse. Il m'appuie sur l'arbre qui me martyrisait peu de temps auparavant et remonte une cuisse sur ses hanches. Je me laisse aller à ses longs baisers et ses mouvements amples sur mes fesses. Lentement ses gestes se font plus précis, ses mains écartent de plus en plus mes fesses, ses doigts me caressent se plus en plus précisément, faisant plisser mon trou, l'étirant, passant une phalange, pendant que sa langue continue de tourner dans ma bouche. Ses assauts sont clairs maintenant : pendant ses longs baisers, ses doigts alternent, entrent, ressortent, me reprennent et ma main s'active sur son sexe, elle le presse, le serre, lentement.

Il finit par me relâcher. Nos souffles courts s'emmêlent. Les mains encore posées sur mes fesses, il me dit qu'il veut m'enculer. Il sait que je vais avoir mal et me propose de trouver un endroit qui me conviendrait.

- Dépêche toi, salope, sinon c'est ici contre l'arbre et avec la ronce !

Paniquée, je cherche des yeux n'importe quoi qui semblerait confortable...mais le confort du sous bois est tout relatif. Je commence à marcher, je m'éloigne, je crois apercevoir un tronc d'arbre couché plus loin et je m'y dirige. Je me retourne, Luc me suit à pas rapides, il a dans les mains une branche fine assez souple... J'accélère le pas mais il me rattrape et vient claquer mes cuisses. Je me presse, mais ne peux éviter les coups qui finissent immanquablement de fouetter mes cuisses en dépit de mes efforts pour arriver le plus vite possible. Nous arrivons en courant presque à travers les fougères sur le tronc qui nous barre la route. Luc écrase mon corps, me faisant ressentir son excitation.

- C'est ici que tu veux te faire enculer ? Relève ta jupe maintenant !

Il sort sa queue bien bandée et frotte la fine branche qu'il n'a pas lâchée sur l'intérieur de mes cuisses, l'intérieur de mes fesses. Il vient chercher un peu de ma mouille pour humidifier sa queue puis me plaque contre le tronc.

Son gland vient s'immiscer entre mes fesses et je sens que Luc presse pour m'ouvrir. Je suis tendue et je fais des efforts pour le laisser passer mais j'ai l'impression d'être déchirée. Par à coup, il entre doucement et lorsque le gland est passé entier, il me pénètre lentement de toute sa longueur. Parfois il marque des arrêts, me laisse me décontracter, puis reprend inexorablement, les allers-retours. Luc me répète qu'il aime ça, qu'il en veut plus. Timidement, je l'encourage et sens que peu à peu la pénétration est plus forte, il mouille parfois son sexe en m'enfilant ses doigts, dans la chatte ou dans la bouche. La sodomie qu'il m'administre est musclée, m'arrachant des gémissements au rythme de ses va et vient, parfois un cri, lorsqu'il accélère la cadence ou cherche à venir plus profondément. Ses mains prennent mes hanches pour venir cogner contre mon corps, elles écartent mes globes pour le laisser voir comme il m'enfile.

Brutalement, son corps te tend et il se retire.

- Putain je vais jouir, donne ta main !

Il prend ma main pour se caresser et éjacule au bord de mon trou, jouant avec son gland et son sperme entre mes fesses pendant encore quelques instants...

FIN

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