Texte de Derrick.
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Mon épouse Marie a trente-neuf ans et moi Marc la petite quarantaine. Nous sommes très amoureux l'un de l'autre et notre vie sexuelle est globalement satisfaisante sans pour autant nous apporter plus de satisfaction que cela.
Marie est complexée car elle se persuade qu’elle a une forte poitrine et elle trouve ses seins trop lourds, trop veineux, trop laiteux, et pas assez fermes. Moi j'adore ses nichons, en revanche, je ne me trouve pas assez endurant pour lui témoigner toute la libido que je voudrais et j’ai souvent la désagréable impression, certes de lui donner du plaisir, mais sans pour autant la faire jouir comme j'aimerais le faire.
Marie est très timide et particulièrement réservée. D’éducation très stricte et religieuse, elle en a gardé quelques séquelles, particulièrement lorsqu’il s’agit des choses de l’amour. Elle rougit dès qu’une conversation dérape légèrement sur le sexe et moi, de ce fait, même si j'ai une 'imagination débordante et des quantités de fantasmes, je n'ose lui en parler de peur qu’elle ne s’offusque.
Elle et moi partons demain en vacances en République Dominicaine. Pour le voyage en avion, elle porte une jupe ample longue très confortable en coton indien très léger, un débardeur moulant très fin et par-dessus un pull, un manteau long destiné à être porté à la main une fois sur place, quand il fera trop chaud ! Dessous elle porte un string, comme à son habitude ainsi qu’un soutien gorge classique à armatures qui enferme sa forte poitrine légèrement tombante du fait de son imposant volume. J’oubliais l’essentiel, elle est brune, des yeux verts, pubis brun poilu mais entrecuisse entretenu, un petit mètre soixante pour cinquante-deux kilos de charme.
Le lendemain, les six heures de vol se déroulent sans encombre et lorsque nous arrivons enfin à l’aéroport, nous prenons notre temps pour nous acquitter des formalités douanières. Nous sommes en vacances, loin de la vie parisienne trépidante et particulièrement stressante, alors, tous ces touristes pressés qui se bousculent pour passer avant les autres nous amuse un peu ! De toute façon tout le monde arrivera à sortir de cet aéroport !
Nous sommes donc les derniers de la file et, étant presque au seuil de la zone de contrôle, je remarque un douanier à l'allure particulièrement douteuse qui semble regarder Marie d’une manière très insistante, voire inquiétante ! Mais bon, je dois me faire des idées ! Je constate enfin qu’il se reconcentre sur ses obligations professionnelles avec les autres passagers qui nous précèdent. Je me faisais effectivement des idées ! Deviendrais-je paranoïaque avec l’âge ?
Notre tour arrive enfin. Le douanier en question nous dévisage en consultant nos passeports : avons-nous l'air si fatigué que les photos ne correspondent plus à nos passeports ? Pourtant ils ne datent que de l’année dernière ! Nous n’avons pas tant vieilli que cela en si peu de temps ! Et toujours mon esprit qui vagabonde et surfe sur les chemins de la luxure ! J’imagine rapidement que cet homme en uniforme aurait bien entrepris cette brune aux formes généreuses et à la bouche pulpeuse.
Je passe le contrôle sans problème et brusquement, le Bip Bip tant redouté par tous ceux qui ont pris l’avion une fois dans leur vie me ramène à la réalité ! Marie est pétrifiée d’avoir déclenché l’alarme du portique. En une seconde, le douanier s’approche d’elle :
- Excusez-moi madame, vous allez devoir nous suivre ainsi que votre mari. Nous allons être obligés de procéder à quelques vérifications complémentaires. Ne craignez rien, ce n’est que la procédure. Suivez-moi dans le local de contrôle, s’il vous plaît (trop poli pour être honnête, celui là !).
Nous n'en menons pas large, mais nous n'avons rien à nous reprocher. Néanmoins on a toujours l’impression d’être coupable avant d’avoir été jugé innocent. Marie est particulièrement effrayée par ce qui nous arrive ! Déjà peu rassurée de débarquer dans un pays peuplé de "sauvages", comme elle se plaisait à me le répéter il y a encore quelques mois lorsque je lui ai fait part de mon intention de partir en vacances en République Dominicaine, le fait de suivre ce douanier bedonnant à la tenue plus que douteuse, aux mains sales et cheveux gras, dans un endroit inconnu pour des "vérifications" l’effrayait ! Mais quelles vérifications ? Les autres qui avaient bipé avaient tout juste ôté leurs chaussures, subit une palpation rapide, et puis c'était tout ! Ma tendre épouse se posait plein de questions et, je dois l'avouer, moi aussi. Ce pays était pourtant réputé pour être convivial avec les touristes, car c'était bien là une des rares ressources de cette pauvre République héritière d'un communisme dépassé.
Nous pénétrons dans une salle glauque, meublée d'un bureau qui devait dater du siècle dernier, d'une table rectangulaire en bois exotique cernée de quatre chaises paillées ! Pas de fenêtres, le local est complètement borgne, il sent la sueur et le tabac froid. Une armoire trône au coin de la pièce et quelques boîtes archives souillées sont posées pêle-mêle sur les rayonnages.
Le douanier s'assoit sur la chaise derrière le bureau, ôte sa casquette qui avait dû être blanche il y a quelques années, nous regarde droit dans les yeux (plutôt les yeux de ma femme du reste !) et annonce cette phrase que nous n'oublierons jamais :
- Madame, Monsieur, nous sommes ici très vigilants sur le risque terroriste ! Nous avons reçu des consignes très strictes et des portraits robots qui nous permettent de garantir la quiétude de notre peuple et de nos hôtes nous sont parvenus récemment. Vous correspondez à un de ces signalements, surtout madame, je cite "belle femme, brune un mètre soixante, environ cinquante kilos, 35 à 40 ans, très forte poitrine ! De plus, Madame, vous cachez quelque chose sur vous, car le détecteur a fonctionné lors de votre passage ! Je vais donc être contraint de vous fouiller afin de lever toute ambiguïté sur vos réelles raisons d’entrer sur notre territoire.
A ces mots, je ne peux m’empêcher de protester :
- Mais, Monsieur le Douanier, est-ce bien nécessaire, nous sommes d’honnêtes gens venant faire du
tourisme dans votre beau pays ! Nous ne sommes pas des terroristes, regardez-nous !
- Eh bien, Madame, je vois que votre mari semble être inquiet de ce que je vais trouver !! Pas très
honnête, tout cela !
Marie, remarquant son regard fixé sur sa poitrine croise ses bras pour tenter de cacher ses formes, tandis que, voulant continuer à protester, je poursuis maladroitement :
- Monsieur, nous sommes français, nous sommes honnêtes !
- La ferme, taisez-vous si vous ne voulez pas passer deux semaines au cachot ! Vous madame, levez vos bras, et vous, monsieur, déshabillez-vous !! Allez, en slip et plus vite que cela !
Le ton employé ne laissait aucune alternative. Ouvrant la porte du bureau, le douanier crie :
- Antonio, viens t'occuper de l'homme pendant que je m'occupe de la femme !
Puis, revenant vers Marie :
- Alors Madame, où cachez-vous ce qui a sonné tout à l'heure ? Je sais, grâce à ma grande expérience dans ce domaine, que beaucoup d'endroits peuvent servir de cachette, surtout dans un corps féminin ! Et un micro film, c'est tout petit ! Allez, dites-le ! Vous êtes des espions américains… Pas de réponse ? Et pourquoi tremblez-vous ? Avez-vous peur que je trouve ce que je cherche ? Allez, ôtez-moi ce pull maintenant que je vérifie s'il n'y a rien de caché dedans !
Marie, tremblante, telle un automate, obéit et retire son pull. Ainsi exposée on voit très nettement le soutien gorge au travers du fin débardeur mais également le relief du sous-vêtement qui se dessine ! Ce débardeur particulièrement moulant est prévu uniquement pour être porté sous un vêtement, et non pour servir de rempart aux yeux d'un pervers. Elle le pose sur sa chaise et replace de nouveau docilement ses mains sur sa tête. Mon épouse est toute tremblante de peur. Dans sa tête tout s'entrechoque et elle est comme tétanisée de stress et de peur. Moi je n'en mène pas large non plus, je reste assis essayant de ne pas faire de vague afin de nous sortir de cette situation le plus vite possible.
- Allez debout, les mains sur la tête !
Elle obéit bien évidemment, mais le douanier lui dit aussitôt :
- Non, enlevez aussi votre débardeur !
Et comme une automate mon épouse se plie à l'ordre et ôte son dernier vêtement qui faisait encore barrage à la vue lubrique du fonctionnaire. Durant ce mouvement le débardeur se soulève et accroche un bonnet du soutien gorge, dévoilant un instant un sein trop comprimé dans la frêle lingerie. Marie s’empresse de repositionner ce téton déserteur.
J’observe les yeux du douanier qui sortent de leurs orbites. La fixité de mon regard ne lui échappe pas et, à son tour, il me toise sévèrement. Je baisse les yeux, honteux de ne rien pouvoir dire alors qu'il a profité de cette situation pour se rincer l'œil. Marie, honteuse, reste immobile les yeux baissés et je la regarde. Elle est belle et je suis jaloux mais presque excité en même temps de voir que ce gros vicieux la reluque ainsi.
Elle, si pudique, ne pense même plus à cacher sa poitrine malgré le regard libidineux du fonctionnaire qui tourne autour d'elle. De dos, il pose une main, puis l'autre sur sa taille, et imprime un mouvement afin de remonter très lentement pour atteindre les aisselles en frôlant les attaches de côté du soutien gorge de mon épouse. Il palpe le tissu en caressant le dos puis, rejoignant les bretelles jusqu'aux épaules, lentement il glisse ses mains sales et grasses en direction de la poitrine de Marie. Maintenant, ses pouces s'infiltrent sous les bretelles et les autres doigts palpent le tissu. Le mouvement se précise jusqu'à ce que les pouces parviennent au niveau des mamelons.
- Mais dites donc, il ne fait pas si froid madame, pourquoi vous avez les tétons tout durs ? dit-
il.
Et ce faisant, il retire ses pouces pour pincer lentement mais de façon appuyée les tétons au travers du soutien gorge entre pouces et index repliés. Il rit aux éclats et Antonio également, tandis que Marie, honteuse et humiliée se laisse pincer les bouts en silence, les larmes aux yeux.
- Quant à vous, Monsieur, restez comme cela, voici Antonio qui va procéder à votre fouille ! Mais je vois que vous êtes excité ! Qu’y a-t-il de si bandant qui puisse vous mettre dans un pareil état !
Rabaissé et humilié de bander en regardant mon épouse se faire peloter et traiter comme un objet, je tente de bredouiller :
= Je... heu... en fait rien du tout messieurs les douaniers, mais c'est ma femme dans cette tenue, je... heu... si vous avez fini, elle pourrait se rhabiller ?
Après avoir dit cela je suis presque surpris de mon courage (relatif) mais je comprends en voyant leurs sourires et les bosses de leurs pantalons que ce calvaire n'est pas fini.
Rien n'y fait, Marie reste silencieuse, humiliée que je bande de la voir malmenée. Ce sentiment s'ajoute à la honte, la peur et le trouble des paroles sévères et des gestes rudes proférés à notre encontre.
- Taisez-vous, vous n'êtes pas blanchi, loin de là, c'est louche !
Et il empaume les seins de mon épouse, cette fois pour les malaxer, les pétrir lentement, mais fermement en les pressant fort au travers de son frêle sous vêtement.
- Hum c'est des vraies mamelles ça, pas du silicone, mais il faut les observer !
Et tout en parlant, il libère ses seins du soutien gorge, mais cela ne lui suffit visiblement pas.
- Enlève ce soutien gorge et pose-le sur la chaise !
Le passage du vouvoiement au tutoiement ne me laisse rien présager de bon. Mon épouse obéit docilement. Il en profite pour mater ses seins bouger librement.
- Penche-toi en avant que je vois tes gros nibards pendre un peu !
Marie obéit encore comme hypnotisée, le cerveau débranché. Elle, si prude, se retrouve en jupe indienne, seins nus dans une pièce borgne avec deux douaniers dégueulasses qui s'amusent à l'observer à moitié nue, à la rabaisser et à la peloter devant moi. C'en est trop pour elle, son cerveau a déclenché. De nature déjà docile, elle n'est plus en mesure d'opposer quelque résistance.
Tandis qu'elle est penchée en avant, le douanier prend ses seins lourds et laiteux en main pour les soupeser, les malaxer, et même en pinçant les mamelons pour les étirer. Elle se laisse faire tandis qu'Antonio me mets des menottes, les mains dans le dos.
- Dis donc c'est beau ça, un mari qui bande pour sa femme, ça t'excite, avoue-le, de voir mon copain s'occuper d'elle ! C'est de plus en plus louche, une épouse fidèle qui se laisse faire comme une salope et un mari qui bande, ils ne doivent pas être mariés en vrai, peut être des trafiquants ?
Et, tirant l'élastique de mon slip, il exhibe mon sexe raide. Je le regarde honteux et entend :
- Antonio, laisse-lui la queue à l'air et bloque-lui les chevilles avec mes menottes sous la chaise, comme cela, il restera les cuisses écartées et la bite bien visible.
Après cette petite précision, il reprend son travail de recherche approfondi afin de découvrir le "micro film" imaginaire.
- Qu'ils sont beaux, ces seins !
Ce n'est certainement pas tous les jours qu’il peut impunément malaxer, pincer, soupeser, soulever des mamelles comme celles-là, et en plus en face du mari menotté et la bite bandante à l'air.
- Reste penchée en avant, salope, et écarte tes cuisses de femelle en chaleur… Et arrête de chialer, ça m'excite ! Dit-il, comme si l’insulte devenait nécessaire à sa jouissance perverse.
Doucement, ma femme obéit et écarte les jambes jusqu’à ce que le tissu de la jupe interdise tout mouvement. Voyant cela, le douanier glisse la jupe au niveau de la taille afin de relever ce petit rempart, ce qui a pour effet de dévoiler un cul magnifique où siège une ficelle de string entre les
lobes fessiers.
- Eh bien, mec, tu dois bien t'amuser avec ce cul ! Tu l'as déjà prêté à quelqu'un ? Non ? Alors, ça va être la première fois !! Dis-moi pas qu'elle est vierge du cul, ta putain ! Attends, je vais voir ça !
Puis, mêlant le geste à la parole, il tire sur la ficelle et découvre un trou du cul parfaitement lisse et avenant. Je frémis dès que je le vois poser son doigt dessus. En tirant un peu plus sur la ficelle, il découvre le début de la fente de ma tendre épouse tout à sa disposition.
- Penche-toi toi plus en avant ! Allez, que tes mains touchent par terre ! je dois voir ce que tu
caches là.
Elle se plie docilement à ses ordres, ce qui permet à ce vicieux d'avoir une vue parfaite sur sa fente superbe. Il ne peut s'empêcher de glisser un doigt de l'anus jusqu'au clito, écartant de ce fait légèrement les chairs intimes de sa suppliciée.
Jaloux, humilié, je ne peux m'empêcher de bander comme jamais de voir Marie penchée ainsi, les nichons qui pendent sous elle, les jambes écartées suffisamment pour exposer son cul et sa chatte. Il commente à Antonio la réaction sous ses doigts :
- Elle est trempée la grosse pute, je suis obligé de retenir mes doigts, ils se feraient aspirer tellement elle est excitée, c'est de voir ton cocu attaché ou de savoir que tu vas goûter de ma matraque ?
- Je… non… pitié monsieur, j'aime mon mari, mais je… heu… s'il vous plaît, j'ai si honte ! Laissez-nous partir s’il vous plaît, je… heu…. je signerai tout ce que vous voudrez...
Moi, je suis toujours jambes écartées, assis sur une chaise, les mains dans le dos, je regarde ma femme en ayant presque envie que ça aille plus loin. Antonio a côté de moi commence à se caresser la bite au travers de son pantalon et son regard alterne entre la vue de ma femme se faisant fouiller par son collègue et ma bite en érection.
- Mais oui, ma salope, tu peux bien avouer ce que tu veux, moi, je veux trouver ce que je cherche ! Et je n'ai pas encore été assez profond.
Aussitôt, il écarte ses lèvres intimes de la main gauche, et son index, puis le majeur, puis sa main entière hormis le pouce pénètrent le vagin de ma petite femme.
- Tu aimes le fist-fucking, on dirait ! Tu dégoulines de mouille ! On voit que tu es faite pour ça ! Ton mari t'a déjà défoncé comme ça?
- Non, monsieur, mais arrêtez, je vous en supplie pour l'amour de Dieu, s'il vous plaît, arrêtez,
j'ai trop honte ! Pitié !
- Oui, tu as raison, je vais arrêter de te fister, d'ailleurs j'ai rien trouvé dans ta chatte, alors je vais chercher dans ton cul de salope !
- Oh non, non, s'il vous plaît !! Pas ça, j'aurais trop mal, pas ça je suis vierge de l'anus !
- Tu vas peut-être avoir un peu mal, mais avec la mouille de ta chatte que j'ai sur la main, tu vas voir, ça va passer tout seul, je vais commencer avec deux doigts puis quelque chose de plus gros !
Et tout en le disant, il commence à forcer ce magnifique anus qui s'ouvre à lui.
- Mmm mm, il se dilate si bien, on ne dirait pas que c'est la première fois qu'elle se fait enculer cette bourgeoise ! Regarde Antonio, son cul avale déjà deux de mes doigts !, viens voir de plus prêt !
Antonio se rapproche du cul de ma femme, regarde en souriant et ne résiste pas à toucher à son tour le magnifique postérieur. Il flatte les fesses puis glisse sa main entre les cuisses et remonte sur le sexe qu'il pénètre également.
- Ta femme est étanche, petit français ! Écoute comme elle gémit de plaisir ! Et attends, tu vas voir quand ce sera nos bites qui vont l'enfourner comme elle va crier cette chienne en chaleur.
J'en ai les larmes aux yeux de rage de voir ma femme gémir et remuer de la croupe en étant doigtée du cul, de la chatte et moi comme un con qui bande comme jamais et espère sans l'avouer qu'ils vont lui ramoner la chatte et la faire jouir comme jamais.
Les deux douaniers y vont de plus en plus fort, ils la branlent et malaxent ses outres chacun d'un côté puis le plus vieux, le chef, sort sa queue, énorme, au moins deux fois la mienne. Je suis bien à trois mètres de distance, mais ça me prend le nez tellement elle sent fort et il la frotte sur le visage de mon épouse humiliée, avilie, mais qui, je le sens maintenant, va jouir d'un moment à l'autre.
- Mais dis-moi ma salope, je viens de me rendre compte que je n'ai même pas vu ta chatte côté pile. Allez, relève-toi et fous-toi complètement à poil ! Allez, plus vite, vire ta putain de jupe, enlève ton string ! Voila, quelle belle chatte poilue comme je les aime. Allonge-toi sur le bureau, voilà comme ça, le cul au bord, c'est ça, les nichons à l'air et les cuisses écartées, plus écartées, je ne vois pas ta mouille couler !! Bien !! C’est ça.
- Regarde le cocu, elle va jouir, elle se retient encore, mais elle va bientôt exploser et réclamer qu'on la baise bien fort.
Et à ce moment, je vois mon épouse tendre sa tête vers cette grosse bite et en lécher le prépuce puis prendre le gland entre ses lèvres, la mâchoire écartelée et le sucer comme une possédée ! Je ne peux plus résister :
- Espèce de salope, allez, suce ces grosses queues, sac à foutre, Antonio, détachez-moi s’il vous
plaît que je me branle, j'ai trop envie.
Antonio rigole en continuant à malaxer ses seins et cherche comment profiter de ma situation. Le chef commence à enfourner le con de ma salope, le gland passe tout seul, puis la tige complète est engloutie ! Il bute sur le fond de la caverne. Antonio en profite pour lui malaxer les nichons et lui titiller le clito qui fait sailli.
- Regarde comme on baise les touristes ici ! Tu sais, on n'est pas des ingrats, tu en auras aussi quand on sera bien rassasié !
Ma queue me fait mal et je ne m'en rends pas compte mais à ce moment j'accepterais n'importe quoi. D'ailleurs le chef me demande :
- Dis-nous de bien la défoncer ta bourgeoise en chaleur, elle avait l'air bien coincée tout à l'heure mais là, elle se lâche ! Regarde comme elle aime se faire prendre par des vrais mecs !
Et moi de répondre :
- Oui allez-y, baisez-la tous les deux à fond ! Faites la jouir avec vos grosses queues !
Et Antonio se faisant sucer pendant que le chef la prend par la chatte en malaxant ses outres :
- Allez salope, prends ça, tu aimes faire le sac à foutre hein ? Avoue ! Regarde comme ton mari aime ça de te voir être notre objet sexuel !
Et il lui crache sur la rondelle et y enfonce le pouce en continuant à la limer pendant qu'elle jouit au bord de l'évanouissement.
- Le cocu va bien lui lécher la chatte quand on l'aura remplie et après il aura le droit de se branler sur son visage à moins qu'on ne lui demande de nous lécher la queue et l'entrée de la chatte de sa pute après qu'on l’ait ramonée ?
- Tiens, j'ai une meilleure idée ! Antonio, va te faire pomper par ce cocu, je suis sûr qu'il est PD sur les bords tellement il mate nos queues !
Alors que l'idée de lécher ma femme pleine du jus de ses tortionnaires me dégoûtait un peu tout en m'excitant, je me retrouve avec Antonio qui me présente sa grosse bite pleine du jus de ma femme devant la bouche. Je ne peux faire autrement, je commence à lécher puis ouvrant la bouche au maximum je gobe son gland pour le téter mais rapidement il s'enfonce en moi jusque dans la gorge et il me ramone le gosier. Jai honte, mais je ne débande pas.
Marie, elle, n'en revient pas, elle qui se sentait humiliée de jouir devant moi par d'autres hommes, insultée, malmenée me voit en train de sucer une bite ou plutôt me faire ramoner la bouche et bander comme jamais. Et elle se retrouve comme moi avec une grosse queue dans la bouche et suce de son mieux en massant les couilles et en écoutant dire que d'autres collègues pourraient en profiter. Moi je ne me reconnais pas, je suce une queue, me fait limer le gosier et j'aime ça, je sens même que je risque d'éjaculer sans me toucher.
- Alors, pouffiasse, tu vois que tu es marié à un PD qui aime sucer les bites ! Et toi, tu aimes lécher les chattes ? Ben ce n’est pas le moment ! Je vais sortir de ton cul de salope et tu vas me laver la queue avec ta putain de bonne langue !
Il s'extrait du vagin dilaté et enfourne son chibre dans la bouche grande ouverte de ma chérie. Elle le pompe grave, la salope. Une vraie chienne !
- Tu pourrais bien faire plaisir à d'autres collègues, je ne suis pas égoïste et tu as encore un peu d'énergie ! Ce serait dommage de gâcher !
- Ta petite salope de mari cocu a l'air d'aimer sucer la bite, tu vois !! Tu crois qu'il aimera avaler et lécher ta chatte quand on l'aura détaché !! Tiens, va lui gober le gland, mais pas trop vite, je pourrais jouir avant et je préfère garder mon foutre pour gicler sur la figure de ton mec !
Marie se rapproche de ma queue et la gobe goulûment. Le chef profite de sa position accroupie pour la reprendre par le petit trou. Elle couine de douleur. La porte s'ouvre et deux autres douaniers entrent, stupéfaits de découvrir cette scène digne d'une orgie romaine
Marie gémit comme jamais elle ne l'avait fait avec moi et dès que le chef lui demande, elle se met à quatre pattes devant moi et prend ma queue entre ses lèvres. Il se glisse derrière elle, lui crache sur la rondelle et la queue bien lubrifiée par sa mouille se dépose sur son cul et il s’enfonce brutalement. Elle a mal, c'est sa première enculade aussi violente, mais elle ne peut protester, car je viens de jouir dans sa bouche et surprise, elle a tout pris et avalé pendant que le douanier la force. C'est cette scène que les deux collègues découvrent en entrant. Ils ferment vite la porte et direct l'un d'eux se met à genoux devant Marie pour qu'elle passe de ma queue à la sienne et l'autre attend son tour tandis qu'Antonio va jouir aussi dans ma gorge.
Nous nous retrouvons entourés maintenant de quatre douaniers, le Chef, Antonio qui sont plutôt gros et laids et les deux nouveaux plus jeunes mais tout aussi sales dans leur uniforme tout neuf.
Marie, après avoir protesté la bouche pleine de la douleur occasionnée est maintenant en train de jouir du cul pendant que le chef l'encule, Elle ne se reconnaît pas, elle si coincée se comporte comme une pute en chaleur la bouche pleine du goût de mon sperme qu'elle se refusait à avaler jusque-là, mais à peine elle a dégluti que l'autre lui fourre la sienne dans la bouche et elle le suce comme une affamée.
Moi je ne fais pas mieux ! Antonio me tient la tête le gland enfoncé dans ma gorge et éjacule longuement en me traitant de PD de suceur de bites, de cocu et tandis qu'il s'essuie le gland sur mon nez et mon front, le quatrième prend sa place et j'ai à peine tout avalé que je recommence à sucer, encore plus honteux maintenant que j'ai giclé.
A ma grande surprise je bande encore et je suce avec honte mais plaisir en regardant le chef jouir dans le cul de ma femme, tandis que celui à qui elle faisait une pipe se retire pour l'enfourner à la suite...
- Allez, maintenant que tout le monde a bien joui, lève-toi, salope ! Allez, debout, écarte les jambes que je vois l'intérieur de tes cuisses, voilà, encore plus écartées ! bien ! Écarte également les bras, voilà, tu vois quand tu veux !
Le sperme dégouline sur les cuisses de ma femme en fines rigoles. Son anus suinte également du foutre qu'il a ingurgité. Son visage est plein de sperme, les yeux rougis par les larmes, le nez coule, les fesses et les seins sont rougis également par le martyre qu'ils ont subi. Le chef palpe de nouveau ses cuisses, en remontant ses mains jusqu’à la raie, puis présente sa main. Son vagin est tellement ouvert et lubrifié que son poing pénètre comme dans du beurre. Elle n'a plus aucune réaction, le cerveau a lâché !!
- Allez, les autres, venez chercher le micro film ! je vous rappelle que nous sommes là pour ça ! Et toi, va doigter le cul du mari, des fois qu'il se soit mis quelque chose dans l'anus.
Ma femme est entourée de six mains qui la fouillent, la palpent, écartent ses fesses, soupèsent ses seins, écartent son sexe impudiquement. Elle est soumise. Et Antonio qui s'est déjà vidé dans ma bouche me fait mettre debout toujours à poil, un pied sur une chaise, penché en avant, les mains sur le bureau et il m'enfonce un doigt dans l'anus, il rentre facilement du fait qu'il est plein de sperme et des secrétions de ma femme. Il l'enfonce, je grimace passivement et lorsqu’il enfonce un deuxième doigt, il me dit :
- Dis donc, ça te plaît petit cocu PD, tu bandes à nouveau, je vais te ramoner le cul de mes doigts et te branler en même temps pendant que ta femme nous regarde avec son air hagard de pute de chantier, ça lui change de ses airs hautains de bourgeoise coincée de tout à l'heure et toi aussi tu fais moins le fier, tu aimes te faire prendre le cul tu vas en jouir même !
Pour mon épouse en effet elle se fait fouiller le cul et la chatte sans retenue, pétrissage mammaire en prime.A un moment le chef dit :
- Elle est tellement couverte de sperme, il faut la laver, on va l'amener dans les toilettes dans le hall ! y a du monde, mais, c'est pas grave, elle a vu pire !
Il l'attrape par les cheveux, une couverture sur le dos et la traîne à l'extérieur. Une bonne cinquantaine de personnes sont dans le hall de l'aéroport et il y a environ 100 mètres à parcourir. S’adressant à moi :
- Tu vois, je vais exposer ta pute à moitié à poil avec sa belle chatte poilue au public ! y en a qui vont bien se rincer l'œil et se branler ce soir en pensant au cul de ta salope, et si on me pose une question, je dirai que c'est une pute qu'on a surprise au sous-sol, qu'on fait œuvre de charité que de l'aider à se laver ! et ensuite vous pourrez partir c'est toujours mieux que de vous transférer à Guantanamo !
- Antonio, amènes aussi le PD cocu avec nous, on va les frotter et on va aussi se laver les bites !
Nous sortons de la salle "des supplices" et traversons le hall sous les regards ahuris des voyageurs en transit. Nous arrivons dans les locaux sanitaires du personnel de l'aéroport : deux douches douteuses trônent au fond de la pièce.
- Allez, mettez-moi ça sous la douche, et frottez leur leurs petits corps endoloris, et n'oubliez rien ! Lavez bien au fond des orifices surtout.
Marie passe la première et le plus gros douanier la suit en la poussant par les fesses, son majeur directement dans le rectum. Arrivé sous le pommeau, il dit :
- Attends, ma petite pute, je vais prendre ma douche avec toi !
Il se dessape complètement. Ventru et gras à souhait, son ventre ballotte au-dessus d'un pubis broussailleux et d'une bite raide. Une fois à poil, il se frotte sur Marie de tout son corps. Je vois sa grosse bite se loger entre ses fesses. Il écarte bien les lobes pour positionner son membre bien au chaud dans les fesses de ma femme. Il en profite encore pour prendre à pleines mains les seins rougis par les malaxages multiples et violents. Le jet de la douche sort et l'eau est froide. Les tétons de Marie se raidissent.
"Ben ça alors, elle est sensible la petite pute ! Regardez comme ses tétons se rétractent ! Vas-y Pablo, frotte-la bien, et insiste sur sa chatte, je voudrais bien encore la bouffer quand elle sera propre. Et pense au trou du cul, je ferai une dernière inspection après la douche !
- Antonio, amène le PD cocu sous la douche et laisse-le se laver tout seul. Et toi, tu te laves bien la bite !! je veux voir le savon mousser sur ta queue ! Mais tu bandes encore mon salaud ! Ce sera plus facile pour te laver, tu vas te branler devant nous ! Attends, je vais chercher une collègue, hein les gars, c'est pas une bonne idée ça ? la nouvelle qui vient d'arriver ! elle s'appelle comment déjà ? Ah oui, Maria Rosé.
Il part et reviens cinq minutes après avec la nouvelle. Pendant ce temps-là Marie a pris au moins cinq coups de bites dans la fente et autant dans le cul. Le savon c'est un super lubrifiant et Pablo en a profité pour utiliser sa queue en guise d'écouvillon. Le chef va être content, c'est propre jusqu'au fond.
Lorsque Maria José arrive, une bonne grosse noire, elle nous regarde en rigolant et sans pudeur remonte sa jupe sous laquelle elle est nue et se pose face à Marie, pose un pied sur une chaise et prend la tête de ma femme pour qu'elle lui lèche la chatte . Celle-ci toujours pilonnée par Antonio, les mamelles pincées et distendues entre ses mains se met à lui bouffer le minou pendant que je suis autorisé à m'approcher et à me branler sur le visage de mon épouse. La grosse m'encourage :
-«Allez, gicle-lui sur sa gueule de bourgeoise blanche en chaleur qui me bouffe la chatte !
Et moi, incapable de résister, j'éjacule sur le visage de ma femme tandis qu'elle jouit bruyamment le nez dans cette grosse chatte poilue.
Enfin, on se retrouve en moins de cinq minutes avec nos valises et nos vêtements (Marie nue sous sa jupe ample et légère et sous son débardeur) sur le trottoir près de la file de taxi, on n’ose pas se parler, honteux chacun d'avoir pris tant de plaisir dans cette soumission adultérine.
Une fois sur la banquette derrière le chauffeur à qui je tends le papier de l'adresse de notre bungalow, je regarde Marie et l'embrasse fougueusement à pleine langue en me retenant de prendre ses seins en mains sachant maintenant qu’elle aimait l’amour violent et posant sagement mes mains sur sa taille, je lui dis "je t'aime".
FIN
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