lundi 29 novembre 2021

Grosse Soumise à Vieux Messieurs - Ch. 03

 Traduction du texte "BBW Whore for Old Cock" publié en 2010 par NYCbbwSUB

 *****

Encore le voisin, puis Walter et une de ses amies.

Ce fut la première fois depuis longtemps que je dormis tard un samedi. Après avoir été utilisée et satisfaite, j'eus un sommeil de bébé.

Il est maintenant 10h00. Je mets de l'eau à bouillir pour prendre une tasse de thé et je saute dans la douche. Je dois faire quelques courses mais après j'aurais la journée pour ne rien faire, pour me reposer, j'en ai besoin.

Il est 14h00 et j'entre dans mon immeuble avec mes courses. Tandis que je déverrouille ma porte d'appartement, j'entends mon voisin obèse ouvrir la sienne. Je regarde et je vois sa tête hideuse qui aurait besoin d'un bon rasage.

- Viens ici salope. Dit-il d'un ton très autoritaire.

- Permettez-moi de mettre mes sacs dans mon appartement et je viens Monsieur.

- Dépêche-toi salope. J'attends ton gros cul depuis le début de la journée.

- Oui Monsieur, je suis désolée.

Je pose mes sacs sur le comptoir de la cuisine et je me dirige vers l'appartement du voisin. Je sonne à sa porte. Je l'entends crier de l'intérieur de venir et fermer la porte derrière moi. Je lui obéis et j'entre dans son salon. Comme je ne le vois pas, je continue jusqu'à sa chambre à coucher.

- A poil salope! Je veux voir la grosse pute que je vais utiliser.

- Oui Monsieur. Dis-je obéissante.

J'enlève mes habits et lorsque je suis nue, il commence à fouetter mon gros cul avec sa ceinture. Il exige aussi que je grogne comme un cochon. Ma chatte devient vite humide.

Quand mon cul est tout rouge, il arrête de le fouetter. Puis il glisse ses doigts dans mon anus et me pilonne. Quand il réalise que j'aime cette intrusion anale, il glisse deux autres doigts dans ma chatte humide. Il baise mes deux orifices avec ses doigts tout en m'insultant et me donnant des noms vulgaires. Il arrive même à me faire dire des choses dégoutantes sur moi-même. Il fait si chaud. J'ai besoin d'être baisée par une queue. Si bien que je le supplie pour qu'il me prenne.

- S'il vous plait, baisez-moi avec votre bite.

- Regardez cette grosse salope réclamer une queue.

- Oui s'il vous plaît, je suis une sale pute. S'il vous plaît, baisez-moi.

- Pas encore salope, j'ai une surprise pour toi.

- Que voulez-vous faire? J'ai besoin de votre bite.

- Ne t'inquiète pas salope, tu auras ma bite et beaucoup plus.

Je regarde ce vieil homme laid et obèse revenir vers moi avec un énorme gode dans sa main. Ma seule pensée est d'avoir ma chatte remplie avec cet objet. Pourtant, il force le gode dans ma bouche, m'allonge sur le lit, attrape mes jambes pour les relever et plante sa bite profondément dans mon cul. Puis il me baise violemment. Ma mouille fuit de ma chatte tandis qu'il me martèle. On peut voir dans son regard et ses grognements que je ne suis pas plus qu'un morceau de viande pour lui, un jouet dans lequel enfoncer sa bite lorsqu'il a envie. Mais je n'ai pas de problème avec ça. Il me faut être utilisée, dégradée.

- Et si maintenant, j'enfonçais ce gode dans ta chatte de grosse salope?

- Oh oui, oui.

- Tu aimes salope?

- Oh oui, je me sens vraiment pute.

- C'est ce que tu es : une chienne, une sale pute.

- Oui Monsieur. Baisez-moi.

- Voilà comment nous allons t'utiliser avec mon fils quand il viendra, par les deux trous.

- Oh oui, je vous veux tous les deux.

- Il aime bien mon fils baiser des putes grassouillettes.

- Oui je suis une grosse pute.

- Une vraie salope, Un sac à foutre disponible pour moi chaque fois que je veux.

Sur ce, il décharge son sperme chaud tout au fond de mon cul. En même temps je jouis et inonde le gode avec mon jus.

Après avoir fini, il se retire et me demande de dégager, ayant fini avec moi pour le moment. Je m'habille. Quand je remonte mon jean, je peux sentir son sperme s'évader de mon cul. Puis je retourne chez moi et je me dirige vers la douche.

Ma chatte et mon cul sont un peu douloureux du traitement de ces derniers jours. Mais la douche chaude me fait du bien. Je suis à peine séchée que ma sonnette retentit. Je suis tellement fatiguée que je pense l'ignorer. Mais un picotement au fond de mon sexe me pousse à aller ouvrir.

Derrière la porte, se trouve Walter avec une femme d'environ 55 ans. Elle n'est pas belle et a l'air agressive et sévère.

- Bonjour Walter. Entrez.

- Bonjour salope. Dit-il en passant devant moi.

- Bonjour salope. Dit la femme sévère.

Je l'ignore et ferme la porte. Puis je les suis dans mon salon. Walter va dans la salle de bain et me laisse seule avec la femme. Immédiatement elle me tire sur le canapé et commence à me tripoter les seins, en me disant qu'elle veut utiliser ma chatte.

- Je suis désolé mais je ne suis pas attirée par les femmes. Dis-je nerveusement.

- Tu n'as pas besoin d'être attirée par moi salope.

- Je ne peux pas faire ça, s'il vous plaît.

- Tu feras ce que nous ordonnerons. N'oublie pas que tu m'appartiens. Dit Walter en revenant.

- S'il vous plaît. Je n'ai jamais rien fait avec une femme auparavant.

- Tais-toi salope et obéis à Sandy.

Je regarde la femme. Elle saisit mes seins et elle les sert fort. Puis elle pince mes mamelons qui durcissent instantanément. Je ferme les yeux en essayant d'ignorer que cette femme vicieuse me fait mouiller. Elle glisse sa main vers ma chatte humide et elle commence à titiller mon clitoris. Walter s'approche, m'attrape par les cheveux et force sa bite dans ma bouche. Je prends cette queue comme la prostituée morte de faim que je suis en train de devenir. Sandy écarte mes jambes, se met à genoux et lèche mon clito gonflé. Cela n'a plus d'importance que ce soit une femme qui m'apporte du plaisir. Je leur laisse faire ce qu'ils veulent.

- Je dois baiser cette chienne Sandy. Mettons là dans la chambre.

- Est-ce que je pourrais la baiser aussi? Demanda Sandy en laissant tomber son pantalon pour montrer une grosse queue en plastique attachée par une sangle.

- Bien sûr, nous allons bien en profiter de cette grosse salope.

- Lève-toi et vas dans la chambre salope.

J'obéis, mouillée et prête à être utilisée durement. Je monte sur le lit. Sandy passe derrière moi et commence à claquer mon gros cul. Pendant ce temps, Walter glisse deux doigts dans mon anus. Je me sens de plus en plus comme une pute, surtout après avoir été baisée par le gros voisin. Maintenant je me soumets à une femme sévère. Le plaisir augmente en moi.

Sandy arrête sa fessée puis se place derrière moi avec son gode et elle le plante dans ma chatte humide. Je crie à cette intrusion brutale mais Sandy claque violemment mes fesses en me disant de la fermer comme une bonne pute.

- Est-ce que tu sais ce que tu veux sale chienne. Crie Sandy.

- Baise cette salope. Rajoute Walter.

Sandy considère qu'elle m'a assez utilisé dans cette position alors elle se retire. Elle et Walter grimpe sur le lit de chaque côté de moi. Je me tourne sur le côté en face de Sandy et je la regarde droit dans les yeux quand elle plonge son gode ceinture dans mon sexe. Walter, de son côté, enfourne sa vieille bite bien dure au fond de mon cul. Ils me ramonent violemment en rythme et je demande toujours plus. Puis vient l'orgasme le plus intense que je n'ai jamais eu.

Alors que je me remets, ils me tournent de l'autre côté, face à Walter. Je sens le gode ceinture pénétrer mon trou du cul. par pur désir, je pousse mon cul dessus en disant :

- Oh oui, sodomisez moi avec votre engin s'il vous plaît.

- Tu aimes salope? Demande Walter.

- Oh oui j'aime. Ne vous arrêtez pas s'il vous plaît.

Sur ce, Walter introduit sa bite au fond de ma chatte et ils recommencent à me marteler en rythme pour me donner ce que je désire. Ils me baisent sans douceur, m'insultant de tous les noms. Je jouis de nouveau, mon jus inondant la queue de Walter qui ne peut se retenir d'éjaculer dans mon ventre. Puis il se retire et, juste pour son plaisir, regarde Sandy m'enculer.

- Je pense qu'il est temps pour cette salope de te faire plaisir Sandy.

- Oui je crois que je vais aimer. Répond Sandy.

- Tu es prête à sucer une chatte salope? Demanda Walter.

Avant que je ne puisse répondre, la femme pose sa vielle chatte sur mon visage. Je commence donc à faite tout ce qu'une bonne salope ferait, je lèche sa chatte. Elle se penche en arrière et promène son sexe sur ma figure tandis que Walter recommence à doigter ma chatte.

- Elle aime ta chatte Sandy.

- Allez salope, suce mon clito.

- C'est réellement une salope qui ne demande qu'à être baisée.

Sandy est vraiment excitée maintenant et elle est sur le point de laisser son jus couler sur mon visage. Elle a son orgasme et j'avale chaque goutte de sa jouissance. J'aime ça. Walter sait exactement comment j'aime être utilisée, mon gros voisin laid aussi.

Lorsque Walter et Sandy en ont fini de moi, ils me roulent sur le côté comme une poupée de chiffons et ils se rhabillent. Ils ne me disent pas un mot, je ne suis rien d'autre qu'un jouet sexuel pour eux. Cette pensée me fait mouiller à nouveau.

Encore sous la douche, je me demande ce que me réserve l'avenir. En tout cas j'espère être encore souvent baisée. Je suis devenue accro à ces moments de sexe brutaux où on abuse de moi sans se soucier de mes états d'âme.

FIN.

samedi 27 novembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 02

  Texte de gkcdqho

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Le propriétaire revient voir Léa.

Mon Léo est parti travailler ce matin à huit heures. Je suis allongée dans mon lit, en me demandant quand est-ce que ce salaud de proprio va revenir et que va-t-il me faire faire ? Rien qu'à repenser à sa sale bite qui pue, j'ai un frisson qui me parcoure la colonne vertébrale. Je tire la couette plus haute en espérant que la chaleur contre mon corps nu me réconfortera. Mais ce n'est pas le cas.

Une heure passe et je n'arrive pas à calmer mon angoisse. Les deux heures passent et l'angoisse est toujours là. Je redoute le retour de ce salaud de Mr Alain. Un peu avant midi, à contrecœur, je sors de mon lit chaud et je me traîne lamentablement jusqu'à la salle de bain. J'ouvre l'eau, je commence à me laver, l'eau chaude coule sur mon corps, mes seins.

Dring ! Dring ! Dring ! Dring !

Je sursaute et me fige. C'est sûrement ce salaud et à entendre les coups de sonnette, monsieur est pressé que je lui ouvre. Je sens une boule se former dans mon estomac. Pourquoi maintenant ? En plein milieu de ma douche, au moment où je suis la plus vulnérable, où je suis nue. J'attrape une serviette et je commence à me sécher frénétiquement.

Dring ! Dring ! DRINNNNNG !

Cette fois monsieur devient impatient. Je ne veux pas le mettre en colère, j'ai peur des représailles sexuelles. J'attrape mon peignoir, je l'enfile et je vais à la porte. Je déglutis en attrapant la poignée et j'ouvre lentement. Je l'entrebâille simplement comme pour voir qui est derrière. Instantanément, je vois les yeux froids et brillants de Mr Alain fixés sur moi. J'ai l'impression que je vais fondre en larmes.

- Salut Léa ! Alors ! On n'est pas contente de me revoir ? Dit-il en souriant.

Je ne dis rien et j'ouvre la porte en grand puis je lui tourne le dos. Je marche jusqu'au centre du salon et j'attends les prochaines humiliations.

- Tu n'es pas d'humeur bavarde ma très chère Léa. Ce n'est pas gentil ? Après la générosité dont je fais preuve envers ton mari et toi.

Ces mots me mettent en colère. De la générosité ? Il peut se la mettre au cul une générosité comme celle-là.

Il vient derrière moi et passe ses mains sur mes épaules puis les descend le long de mes bras. Ses deux mains passent sur mon ventre et il tire sur la ceinture de mon peignoir. Lentement, il l'ouvre, je sens son menton sur mon épaule. Mon peignoir est complètement ouvert, il le fait glisser sur mes épaules pour le faire tomber par terre. J'ai des frissons alors que je suis nue et vulnérable.

- Ah ! AAAH ! Ça fait longtemps que je voulais voir tes nichons.  

Je déteste ce mot nichon, c'est si vulgaire. Mon mari sait que je déteste ça. 

Mr Alain fait courir ses doigts sur mes mamelons qui se sont dressés sous l'air froid. Puis il passe devant moi afin de me faire face. Il déboutonne son pantalon et baisse son slip sur ses chevilles. Je suis horrifiée quand je vois des marques de saleté dans son sous-vêtement. Il se laisse tomber dans notre canapé et il me fait signe de m'agenouiller devant lui. À contrecœur, je me place entre ses jambes. Il lève sa main et la passe dans mes cheveux humides. Puis il tire très fort ma tête vers le bas en direction de sa bite.

L'odeur est pire qu'hier. J'ai des haut-le-cœur et je ne suis pas loin de vomir. Mais je ne peux rien faire avec sa bite dans ma bouche. Comme hier, je suis complètement soumise et il baise ma bouche. Il bouge ma tête en tirant mes cheveux et la douleur me fait monter les larmes aux yeux.

CRIC CRAC ? VLAN ?

C'est la porte d'entrée qui vient de claquer. J'essaie de me dégager, mais Mr. Alain tient fermement ma tête en place. Je ne peux que voir ce qui est en face de moi, c'est-à-dire le ventre de mon propriétaire. Je réalise que je n'ai pas fermé la porte à clé et que ma position me laisse vulnérable pas derrière.

- Bon sang, elle a un sacré cul !

C'est une voie masculine qui dit ces mots. Ce n'est pas celle de mon mari, elle est plus grave et elle paraît appartenir à un homme plus vieux. Mr. Alain lui répond :

- Pourquoi n'en profites-tu pas alors ?

Aucun autre homme que mon Léo ne m'a pénétrée. Ma tête est soulevée. Je me retrouve face à la figure de mon propriétaire. Je sens une brûlure sur ma joue. Il vient de me gifler violemment.

- Maintenant tu m'écoutes pouffiasse ! Je ferai de toi ce que je veux. Je dis qui peut te baiser ou pas. Si tu essaies de me désobéir, tu seras puni plus durement et plus douloureusement. Si tu veux que j'arrête, tu seras jetée à la rue avec ton mari. Et je ne crois pas que ton ménage ira mieux quand il verra sur les photos quelle salope est sa femme.

Je pense à mon Léo que j'aime d'amour. Je ne serai rien sans lui. Alors, je regarde Mr. Alain dans les yeux. Sa main a lâché mes cheveux et repose sur sa cuisse. Je me penche en avant et je reprends sa bite dans ma bouche et je commence à le sucer.

- AAH ! Voilà ! C'est une bonne soumise ma Léa.

Je suce sa bite de mon plein gré. Cette fois, c'est moi qui contrôle la fellation et non lui. Je garde les yeux fermés et j'essaie de penser que c'est à mon Léo que taille une pipe.

CLAC !

Une main vient de tomber sur mes fesses. L'écho de la claque résonne dans la pièce. La douleur est inimaginable et je me mets à pleurer. Trois autres claques sont déposées violemment sur mon cul sensible, chacune plus douloureuse que la précédente. C'est l'homme derrière moi qui pose ses mains brûlantes sur ma croupe. 

Moi, je m'applique à sucer la bite de Mr Alain quand j'entends le son d'une fermeture éclair de braguette. Je sens quelque chose frotter contre les lèvres de ma moule. Je pense savoir quoi. Il passe et repasse le gland de sa bite entre mes lèvres intime. Il presse maintenant son gland sur mon clito.

Il redescend son engin à l'entrée de ma grotte, l'enfonce légèrement, puis le ressort et le remonte entre les lèvres de ma moule jusqu'à mon clito. Ce salaud sait y faire, il me fait mouiller de plus en plus. L'envie d'être prise se fait de plus en plus pressante.

Je sens maintenant l'homme derrière moi me pénétrer. Il est le deuxième homme de ma vie à s'enfoncer dans ma grotte. Il s'enfonce puis il recule lentement. Je n'ai pas l'impression que sa bite soit bien grosse.

- C'est ça Dan, donne-lui une leçon à cette petite.

Dan, ça doit être son nom. Je l'entends répondre :

- Oh ! Putain Phil, sa chatte est mouillée et bien serrée, c'est comme baiser une vierge.

Ils éclatent tous les deux de rire. Je veux que cette épreuve se termine vite.

Le dénommé Dan commence à me pilonner de plus en plus fort et je commence à aimer ça chaque minute. Je fais de mon mieux pour que mon propriétaire jouisse et j'essaie de serrer les muscles de mon vagin dans l'espoir que Dan en finisse vite lui aussi.

- MMMM ! Elle mouille de plus en plus. Dit Dan.

C'est vrai que je sens que je commence à apprécier. Il est vrai que ça fait un moment que je n'ai pas eu  la bite de mon Léo dans mon puits d'amour. Mais qu'est-ce que je dis ? Ma moule me trahit. Je devrais détester chaque enfoncement, mais ma grotte profite de cette bite. La voix familière de Mr Alain dit alors :

- C'est vrai Léa que tu commences à apprécier la queue de Dan ? Tu es vraiment une petite salope.

Ils éclatent encore tous les deux de rire.

Après ce qui me semble une éternité, Mr Alain commence à gémir plus fort. Je place ma main sur ses couilles et je les caresse en espérant que cela va l'accélérer. Et c'est le cas.

- Oh ! Oui ! Comme ça, putain oui, je vais gicler !

Il éjacule son sperme dans ma bouche. Je ne veux pas l'avaler, mais dans sa jouissance, il me tient la tête enfoncée sur sa bite. Comme je ne veux pas que le goût dure dans ma bouche, je me dépêche alors d'avaler son jus d'homme.

Dan ne tient pas plus longtemps. Ma grotte faite pour l'amour me cause vraiment des problèmes. Elle profite du moment. J'utilise la bite de mon propriétaire pour essayer de réprimer mes gémissements de plaisir. Mais ma grotte sait que j'ai une bite dans la bouche et une autre qui la lime. C'est un fantasme féminin courant alors que peut-elle faire d'autre que de mouiller ?

Une minute ou deux plus tard, dans un grand gémissement, Dan s'éclate dans mon ventre. Il inonde ma grotte avec environ ce qui me semble un bon litre de sperme. Je sens sa bite se raidir en moi alors qu'il gicle plusieurs fois. Ensuite son érection diminue et je sens son sperme chaud sortir de ma chatte et couler sur mes cuisses.

Je reste là, agenouillée, tandis que Mr Alain se lève et remonte son pantalon. Je regarde le canapé devant moi alors que Dan se place devant moi. Je veux lever les yeux pour voir son visage, mais sa bite demi-molle est poussée dans ma bouche.

- Nettoie ma bite petite salope ! Commande-t-il. 

Sans me révolter, je suce sa bite, goûtant son sperme et mon jus de moule mélangés, un goût que je n'ai jamais savouré. Je pense que Dan veut simplement nettoyer rapidement sa bite dans ma bouche. Mais je suce sa queue, qui se raidit pendant un bon moment, jusqu'à ce qu'il éjacule une deuxième fois dans ma bouche déjà utilisée, qui avale une petite quantité de sperme.

Je l'aperçois seulement quand il part précipitamment. Il a les cheveux gris et il est assez grand. C'est tout ce que je peux voir. Mr Alain s'approche de moi. Il place un bout de papier sur le canapé avec 200 euros en espèces.

- Je veux que tu prennes cet argent et que tu achètes tout ce qu'il y a sur ce papier. Tu trouveras tout au même endroit et ça te coûtera deux cents euros. Tu ne dois pas le montrer à ton mari et tu dois l'acheter avant que je revienne demain matin vers onze heures. C'est clair ?

Je hoche légèrement la tête en signe d'approbation.

- Bien ! À demain Léa !

Je suis là, agenouillée dans mon salon avec du sperme qui coule de mon puits d'amour, et encore le goût de leur sperme dans ma bouche. Je ressemble à une pute bien utilisée. Mais je l'ai fait pour mon couple.
Je me relève et je vais prendre une douche. Puis je m'habille et je sors avec le morceau de papier et les deux cents euros.

A suivre...

jeudi 25 novembre 2021

Le Pasteur se fait maquereau - 7ème partie

Texte de Black Demon (Pimped by Her Own Pastor) traduit par Coulybaca.

Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation) et "Le pasteur se fait maquereau" (Pastor's a Pimp I et II)

Suite des aventures du professeur Thompson.

Depuis que son fiancé lui avait glissé sa bague de fiançailles au doigt à Noël, Kelly Garrison, attendait fiévreusement l'instant cet instant ou elle deviendrait madame Bill Hendricks. Et depuis ce moment jusqu'à son retour aux vacances de printemps elle bâtissait des châteaux en Espagne au sujet de sa noce en juin.

Mais les choses avaient dramatiquement basculé après son retour à la fac de psychologie à la fin des vacances, et maintenant Kelly n'était plus qu'une boule de nerfs, elle se sentait indigne de Bill car elle n'était plus l'innocente jeune fille qu'il croyait épouser.

- Comment ? Pourquoi ? Se demandait-elle au fond d'elle-même sans trouver de raisons objectives.

Elle se rappelait s'être rendue dans le bureau du professeur Thompson, son professeur de psychologie pour discuter de son dernier devoir... Mais elle ignorait totalement ce qui s'était passé dans la période de six heures une fois ses cours terminés.

Elle se rappelait seulement s'être brusquement retrouvée nue dans les bras du professeur Thompson qui la chevauchait âprement.

- Violée... Il l'avait violée... Cet horrible bâtard l'avait violentée... Tremblait-elle les yeux pleins de larmes.

Elle ne comprenait toujours pas ce qui avait pu la conduire à lui rendre visite à son domicile pour terminer nue dans ce lit où cet ignoble pervers avait cueilli son précieux pucelage. Elle abandonna bientôt ses menaces de tout rapporter à la police lorsqu'il lui fit visionner une cassette où on la voyait clairement lui proposer de se donner à lui en échange d'une bonne note de fin d'année un "A", une chose qu'elle ne se rappelait avoir dite à aucun moment.

Comme elle avait toujours été en tête de sa classe et qu'elle savait que son travail valait un "A" il n'y avait aucune raison de lui proposer un tel marché, alors que cette saloperie de cassette prouverait à tout le monde que c'était bien le cas ! 

Kelly avait paniqué en se réveillant bien plus tard couverte de sueur et la chatte engorgée de foutre et de cyprine. Son cauchemar lui revint à l'esprit lui rappelant qu'elle se trouvait allongée entièrement nue contre le corps du professeur Thompson qui frottait son épaisse mentule dans sa fentine. Lorsqu'il avait insinué qu'elle avait proposé de coucher avec lui en échange d'une bonne note elle l'avait désespérément supplié :

- S'il vous plait... Non... Non... Ce n'est pas vrai... Jamais je ne suis venue pour vous proposer un marché aussi ignominieux... Je vous en prie... Non, c'est un viol ! Arrêtez !

- Aaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! hurla-t-elle alors qu'il saccageait son précieux hymen.

Son cri de douleur avait empli la pièce mais elle ne réalisait que ses pleurs et ses ris semblaient une douce musique aux oreilles du professeur Thompson alors qu'il s'engouffrait en elle. Alors qu'il fourrait brutalement sa monstruosité dans sa caverne inviolée, Kelly criait de plus belle :

- Owwwwwwwwwwwwwwwwwwwww... Arrrêtez ! Arrêtez ! J'ai mall-llllllllllllll ! Oh mon Dieuuuuuuuuuu... Aidez-mooooooooooi !

Les pensées de Kelly s'orientaient maintenant trois semaines en arrière, le jour de la remise des diplômes alors que sa famille et son fiancé la félicitaient chaleureusement, le professeur Thompson s'approchait d'eux.

Alors que son vil professeur s'approchait d'eux leur souhaitant le bonjour et la congratulant en public, ce sale bâtard lui avait susurré à l'oreille :

- Réserve la suite nuptiale la veille de votre nuit de noce! Prétexte que ce sera plus facile pour toi d'y enfiler ta robe pour te prendre à l'église... On baisera une fois encore... La nuit précédent ta nuit de noce ! Tu porteras ta robe de mariée ave le voile et tout le tralala !

Et ce soir dans la suite nuptiale, Kelly vêtue de sa tenue de mariage, se regardait dans le miroir en pied, retenant difficilement ses larmes, elle frémissait à l'idée que ce sale pervers allait de nouveau profiter de ses charmes. Depuis l'âge de 5 ans elle rêvait de se voir toute vêtue de blanc avant d'épouser son prince charmant et voilà que son rêve s'était écroulé, elle se comportait en pute... Une sale pute de bas étage ! A une journée de ses noces, ce jour dont elle avait rêvé depuis sa plus petite enfance, Kelly se préparait à l'impensable, un autre homme que son futur mari allait abuser de son corps dans la suite nuptiale alors qu'elle serait vêtue de sa robe de mariée.

Elle savait pertinemment qu'elle trompait honteusement son futur époux de la façon la plus méprisable, mais elle l'aimait tant qu'elle ne pouvait supporter l'idée même de le perdre, même si cela impliquait que pour le garder, elle devait se soumettre aux actes dégradants que son maître-chanteur lui imposait. Kelly priait pour que ce soit la dernière fois, espérant que la distance entre son lieu de vie à venir et la ville universitaire où évoluait son maître chanteur le dissuaderait de poursuivre ses assiduités, bien qu'elle suspecta que son chantage s'aggraverait encore dans le futur.

Le professeur Amos Thompson venait de pénétrer dans le complexe hôtelier de "Pinewood" où son ex-étudiante et son futur marié devaient célébrer leur mariage le lendemain. Une fois installé dans l'ascenseur, il pressa le bouton pour accéder au dernier étage où se situait la suite nuptiale. Il jeta alors un œil sur sa montre, il arrivait juste à l'heure prévue, 17 heures 30, la future épouse devait l'attendre vêtue de sa tenue de mariée. Il sourit alors que l'ascenseur montait se demandant à quoi elle ressemblait vêtue de sa robe blanche.

Tremblante comme une feuille alors qu'elle regardait le cadran de sa montre, Kelly sentit un long frisson froid lui courir le long de la colonne vertébrale.

- Mon Dieu je vais encore devoir subir cet infâme dépravé ! J'en suis malade ! Pensait Kelly en ouvrant nerveusement la porte de la suite nuptiale pour y admettre son ignoble prof de fac.

Il se tenait face à elle, souriant ironiquement de toutes ses dents. Il referma la porte dans son dos et planta son épaisse langue dans sa bouche pour lui rouler un patin baveux, elle en frissonna de répulsion.

Le professeur Thompson ne tarda pas à frissonner de plaisir en sentant son ex-étudiante lui embrasser le gland de la façon qu'il lui avait apprise alors qu'il avait glissé les mains sous son voile blanc pour lui tenir la tête. C'était exactement le genre de cajolerie qui faisait si bien vibrer sa bite, les lèvres refermées sur sa hampe turgescente, elle titillait de la pointe de la langue son sensible méat.

- Ah oui... Ohhh, tu te rappelles à quel point j'aime ces caresses ! Ouiiiii, lèche-moi ! Promène ta langue sur toute la longueur de ma mentule ! Ahhhhhhhhhhhhh... Et maintenant prends la en bouche ! Oh oui comme ça... Ouiiii... Oh ouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !

Cette épreuve était terrible pour Kelly, elle avait refermé sa petite main gantée de blanc sur l'épaisse hampe de son ex-professeur alors que l'autre main plongeait dans son caleçon pour lui mignoter ses grosses burnes noires.

Il lui tenait la nuque au-dessus de son voile blanc tout en s'arquant sur les talons pour approfondir la pénétration de sa bite dans sa bouche asservie.

- Oh oui ma petite salope... Où se trouve ton futur époux ? Il enterre sa vie de garçon ? Ce stupide petit blanc ne se doute sûrement pas de ce que fait sa petite chérie cette nuit ! S'il pouvait seulement voir ce qui se passe dans la suite nuptiale à cet instant même ? Allez suce ma grosse bite noire ! Oh oui... Ouiiiiiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Psalmodiait le pervers bâtard tout en se vidant les couilles dans sa bouche soumise.

Quelques instants plus tard, elle se sentait si dégoûtée d'avoir été utilisée comme un simple réceptacle à foutre par le pervers prof de fac... Son estomac se contractait alors que son foutre s'épandait dans son ventre, allongée sur le dos sur son futur lit de noce, c'est alors qu'elle enfonça ses talons dans le matelas pour s'arc-bouter

- Aggggggggggg... Ahhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh... Couinait Kelly alors que le professeur Thompson s'écroulait sur elle.

Il lui avait enlevé sa petite culotte et parcourait de la pointe de la langue sa fentine embrasée la rendant folle.

Pendant les trois mois qui avaient suivi la fin mars, Kelly avait baisé tous les soirs à plusieurs reprises avec son infâme maître chanteur pour, depuis trois semaines, ne plus avoir aucun rapport sexuel. Le corps de Kelly répondait maintenant à toutes les sollicitations de son ignoble suborneur, elle était toute secouée par un orgasme qui la ravagea longuement sous les caresses expertes de la langue de son ex-professeur de fac.

Forcée d'être son esclave sexuelle lors de ces derniers mois, dévastée par de nombreux et incontrôlables orgasmes toutes les nuits de cette longue période, ce bâtard l'avait transformée en une salope lubrique nécessitant de nombreux rapports sexuels.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... Je... Je Jouisssssssssss ! Cria Kelly alors qu'il emplissait sa chatte de son épaisse semence crèmeuse. 

Bras en croix sur le lit, ses mains gantées empoignant fermement le couvre-lit, son jus intime coulait à flot sur la langue qui la mignotait si délicieusement.

Se débarrassant de sa veste, Amos déboutonna fébrilement sa chemise et s'en dépouilla lestement avant de déboucler sa ceinture. Quelques secondes plus tard, pantalon, chaussures et chaussettes enlevées, il empoignait la robe de mariée de sa proie pour la tirebouchonner autour de sa taille. Laissant courir ses mains sur ses jambes gainées de nylon, il la positionna selon ses vœux, et planta son épaisse bite dans sa chatte frémissante. A sa grande surprise le premier coup de boutoir ne fut pas décisif, il éclata de rire :

- Bordel je ne pensais qu'elle se resserrerait tant en trois semaines !

S'enfonçant de plus belle en elle, sa bite la pénétrant à cœur, il ajouta :

- On va s'arranger pour faciliter les choses pour ton cornard de petit mari !

Les yeux baissés sur la jolie future mariée portant la tenue qu'elle arborerait le lendemain pour la cérémonie de mariage, Amos se réjouissait de voir ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle sanglotait, désespérée.

La bite bourrée au fin fond de sa caverne brûlante, à sentir ses sphincters vaginaux se crisper sur son épaisse mentule, Amos savait qu'il comblait de félicité les sens de cette petite salope. Il s'esclaffa :

- Ah oui ma petite chérie... Comme ça... Bien à fond... Je t'ai manqué ! Je vais bien te ré-élargir la chatte ! Que va penser ton futur quand il engloutira sa bite dans ton trou à bite ? Il ne voudra jamais croire qu'il dépucelle une jeune chatte vierge, c'est sûr ! Tu feras bien de le faire mariner quand il ira au lit avec toi !

Chevauchant fougueusement la jolie future, Amos lui dispensa une mémorable séance de baise alors qu'elle verrouillait ses jambes autour de son torse.

- Mon Dieu ce que j'aimerai que son fiancé voie sa précieuse à cet instant même, qu'il se rende compte quelle petite pute était sa future épouse ! Penses-tu qu'il saura te satisfaire ? Qu'il te baisera à point ? Que cela te suffira, hein salope ? Ironisait Amos se moquant de sa malheureuse proie.

Il la martelait maintenant au rythme d'un marteau piqueur, elle se mit à trembler de tous ses membres alors qu'elle s'arc-boutait en couinant :

- Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Un orgasme incongru la terrassait brutalement alors qu'il projetait un long jet de foutre au fin fond de sa caverne engorgée, puis il se retira projetant les dernières giclées de foutre sur la face interne de sa robe de mariée.

Une demi-heure plus tard, Amos traversa en rampant le lit puis tendit les mains pour empoigner les chevilles de la future mariée, la tirant au pied du lit, il la fit ensuite se retourner pour la disposer à quatre pattes. Il retroussa le dos de sa robe de mariée sur ses reins dénudant sa croupe charnue, il caressa la douce chair blanche alors qu'il se disposait à sa convenance. D'un coup de rein brutal il engouffra sa bite dans son tendre anus, savourant le cri aigu qu'elle poussa :

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

L'attirant en arrière, il l'empala jusqu'à la racine sur sa mentule bandée, ses couilles velues frappant ses fesses alors qu'il gloussait :

- Tu cries à chaque fois que je t'encule ma douce chérie !

Une fois rhabillé, Amos jeta un œil sur la jeune femme sanglotante alors qu'elle demeurait à quatre pattes, sa robe de mariée tirebouchonnée autour de sa taille son beau cul blanc dressé en l'air. Amos gloussa à la vue du flot de foutre épais qui s'écoulait de sa chatoune et de son trou du cul. Tendant la main pour caresser la douce chair soyeuse de sa croupe il l'informa :

- Très bien, je suppose que je ferai mieux de te laisser te reposer pour que tu te prépares à l'épuisante journée qui t'attend demain ! Garde-moi une danse demain soir... Ce sera la première fois... Que je danserai avec une ravissante épouse que j'aurai sauté la veille de sa nuit de noce ! Et si ton cornard de petit blanc ne parvient pas à satisfaire tes appétits sexuels, passe un coup de fil à ton vieux professeur, il résoudra tous tes problèmes !

 ****

Le soleil brillait le lendemain après-midi. La cérémonie de mariage, animée par le pasteur Knowlton, devait se tenir dans l'arrière cour du complexe hôtelier. Le pasteur Richard Knowlton ne pouvait s'empêcher de rire à l'idée de présider à cette cérémonie d'autant plus qu'il avait ruiné l'innocence de la jeune future. En fait, alors qu'elle se trouvait sous l'emprise hypnotique du pasteur Mollway courant mars, il avait eu l'occasion de jouer avec ses miches, de sucer ses mamelons dardés. Et pour couronner le tout il avait eu l'honneur d'être le premier homme à sentir ses pulpeuses lèvres se refermer sur son chibre tendu, tout comme il avait été le premier à lui faire goûter son foutre épais.

Plus tard, lors de la lecture des cartes indiquant les places de chacun autour des grandes tables, Amos s'était retrouvé entre deux délicieuses jeunes femmes, à sa gauche l'adorable femme du pasteur Knowlton qu'il commença immédiatement à peloter sous la table, et à sa droite la ravissante madame Kristin Goodman, l'ex mademoiselle Kristin Corbett, qui s'était mariée un an plus tôt, il savait qu'il se taperait cette succulente jeune femme deux jours plus tard.

Déjà la charmante Kristin avait reçu l'infâme coup de fil lui enjoignant de disposer de ce jour précis où elle devrait dispenser les plus savoureux plaisirs sexuels qu'elle pouvait offrir à un client qui louait ses services, sinon son aventure précédant son mariage deviendrait de notoriété publique.

Les présentations faites, Kristin Goodman se trouvait assise entre le prof de fac de la mariée et son délicieux amoureux. Cherchant à profiter au mieux de cette joyeuse liesse Kristin faisait son possible pour calmer sa nervosité à l'idée du rendez-vous qui l'attendait avec un inconnu qui selon son interlocuteur avait loué ses services sexuels.

Son interlocuteur l'avait prévenue que si elle ne donnait pas toute satisfaction à son client, il montrerait à son mari si confiant des photos et une vidéo d'elle baisant avec ce colosse noir qui lui avait ravi sa virginité. Kristin repensait à cette journée passée avec son suborneur noir dans une chambre d'hôtel de l'aéroport, c'était ce même homme qui l'avait rejointe dans la suite nuptiale le jour de ses noces alors que son jeune mari était parti faire une partie de golf avec ses témoins et qui l'avait baisée à couilles rabattues dans son grand lit nuptial lui dispensant les seules jouissances qu'elle ait éprouvées pendant sa lune de miel.

Cela s'était passé pendant un voyage programmé de son calendrier professionnel, un rendez-vous qu'elle ne se rappelait pas avoir consigné sur son agenda. Elle était arrivée dans sa tenue de travail bleue marine, guindée et élégante, elle avait regardé un homme noir qui lui semblait familier s'approcher d'elle l'avisant :

- Je m'appelle Julius Simpson... L'homme qui doit te faire femme aujourd'hui même ! Suis-moi !

Son voisin, le professeur Thompson lui semblait être un parfait gentleman, affable et sympathique. Comme tous les invités parlaient entre eux, Kristin se tourna vers lui pour lui demander :

- Avez-vous prévu de séjourner quelques jours dans notre petite ville professeur ?

- Oh oui, je pense rester à Presswood quelques jours, cette petite ville me semble bien plaisante ! Pourriez-vous me suggérer quelques loisirs agréables ? Je n'ai qu'une seule de programmé en vérité ! Lui répondit l'aimable professeur tout sourire.

- Quel genre de loisir vous intéresse vraiment professeur ? Et qu'avez vous noté pour l'instant sur votre agenda ? Poursuivit Kristin.

Portant la main à son menton, se ménageant une pause comme s'il réfléchissait, alors que le bruit de la salle les environnait, Amos se pencha sur l'adorable brunette et lui susurra :

- J'ai un rendez-vous fort excitant de programmé lundi ! Laissez moi vous conter ce que j'ai en tête... Vous ne me croirez pas mais... Une adorable brunette doit me rejoindre dans ma chambre d'hôtel à 8 heures et je vais disposer de ses charmes toute la journée ! Son mari pense qu'elle sera à son travail alors qu'elle se livrera à moi, parce que je détiens certaines photos extrêmement compromettantes d'elle baisant avec un autre que son mari... Baisant dans une chambre d'hôtel avant qu'ils se marient !

Kristin écarquilla les yeux d'horreur en réalisant que le professeur Thompson décrivait sa situation exacte et les arguments déployés par son maître chanteur pour la contraindre à se prostituer. Discrètement il lui montra une photo renfermée dans la paume de sa main, une photo d'elle entièrement nue, tirée le jour où elle avait perdu sa virginité. Et voilà que maintenant ce pervers posait sa grosse main calleuse sur son genou dénudé. Elle comprit alors que le professeur Thompson savait depuis un bon moment qu'elle était sa proie désignée.

Sa main grimpait lentement sous le revers de sa jupe lui caressant sans pitié la face interne des cuisses, elle ne pouvait que se figer alors qu'il lui murmurait à l'oreille :

- Je sens que ça va être un vrai plaisir de te baiser ma petite salope chérie ! J'espère pour toi que tu prends la pilule parce que moi je ne mets pas de capote et je ne saute pas du train en marche ! Oh oui, je sens que je vais prendre mon pied !

Plus tard dans la soirée, alors que les invités dansaient au son d'une musique lascive, l'estomac de Kristin se souleva lorsque le professeur Thompson demanda à son mari la permission de la faire danser. Naturellement son mari, inconscient de ce qui se tramait approuva convivialement.

- Bien sûr mon ami !

Elle chancelait sur ses jambes en plaçant sa petite main dans la large main noire de son suborneur.  Kristin savait très bien que ce salaud de bâtard qui lui souriait de toutes ses dents voudrait plus que lui tenir la main lorsqu'ils seraient sur la piste de danse. Tremblante de peur elle se mit à transpirer d'angoisse en suivant le professeur Thompson qui la guidait sur la piste de danse l'entraînant dans un coin obscur à l'autre bout de la salle. 

A la fin du slow Amos lui sourit railleusement en commentant :

- Nom d'un chien, ma chère madame Goodman, vous dégoulinez de sueur, prenez donc mon mouchoir...

En fait la malheureuse jeune femme avait besoin d'un mouchoir pour essuyer, non pas sa transpiration mais le foutre poissant ses doigts. 

Lorsqu'il s'était préparé pour venir à la réception, Amos n'avait pas enfilé de caleçon et avait déboutonné discrètement sa braguette sous la table avant de gagner la piste de danse. Une fois en place sur la piste il avait positionné l'adorable jeune femme de façon à ce que son coté gauche se trouve face au mur, personne ne pouvait donc se rende compte que sa main allait et venait dans son pantalon ouvert. Amos avait retiré alors sa pochette noire de sa poche de poitrine et l'avait tendue à la jeune femme alors qu'elle susurrait aigrement, en s'emparant du mouchoir de la main droite :

- Vous n'êtes qu'un bâtard ! 

Il la regardait fixement souriant de toutes ses dents lorsqu'elle le transféra dans son autre main pour nettoyer les doigts poisseux de foutre de sa main gauche. La main posée sur sa taille, il la ramena à leur table il la vit avec ironie froisser le noir mouchoir pour le dissimuler à la vue de tous. Elle l'avait divinement branlé sur la piste de danse sous la promesse de la ramener à leur table une fois qu'elle l'aurait fait juter entre ses doigts. Juste avant d'arriver à leur table, il lui murmura à l'oreille :

- Ne cours pas aux toilettes, une fois que nous serons assis à notre table, je veux te voir remonter tes doigts jusqu'à ton visage pour mieux humer l'odeur de ta menotte.

Une fois assis à table, elle empoigna son sac à main qu'elle avait laissé sur sa chaise, elle l'ouvrit lestement et y fourra discrètement le mouchoir souillé de foutre. Se pliant à l'humiliante demande de son suborneur elle frissonna de dégoût tant l'odeur de ses doigts la rendait nauséeuse. Elle sentit son estomac se soulever lorsque penché sur elle il lui susurra :

- Lundi matin je te ferai avaler une bonne dose de mon foutre.

Et, comme son mari était tourné vers son autre voisin de table, elle sentit la main du vil professeur se poser sur ses cuisses pour en palper lascivement la chair tendre, elle frissonna dévastée de honte en le sentant tendre le doigt pour suivre les contours de ses babines au travers de son fond de petite culotte. Elle serra les dents en le sentant glisser ses doigts sous la bordure élastique de sa petite culotte pour lui palper la chatoune en toute liberté.

A suivre...

mardi 23 novembre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 10

  Auteur inconnu.

Fin de la soirée au boulot de Sarah.

Arrivé dans le hall, je découvris Sarah qui descendait les escaliers, sûre d'elle comme à son habitude, la démarche féline. Les derniers invités présents découvraient alors le dos de son chemisier souillé de foutre qu'elle n'avait pas remarqué. Ses collègues féminins la dévisageaient, se moquaient alors que les hommes louchaient, bavaient à l'idée de se faire leur collègue qui apparaissait clairement comme une proie facile, ils fantasmaient déjà auparavant, qu'en serait-il maintenant ? 

Elle m'embrassa délicatement et fut tout de suite interpellée par trois de ses collègues masculins qui lui parlaient de choses et d'autres. J'en profitai ainsi pour me mettre derrière elle et ainsi regarder de plus près le sperme qui dégoulinait le long de son dos. Je me plaçai alors contre ses fesses pour qu'elle, j'espère, sente ma queue qui commençait à durcir, se décollant petit à petit de mon boxer rempli de jus séché. 

Durant le reste de la soirée, plusieurs hommes sont venus discuter avec nous, souvent seul, les hommes accompagnés de leurs femmes regardaient du coin de l'œil ma belle analysant faits et gestes. Sarah avait l'air totalement à l'aise avec cette attention particulière de tous ces hommes. J'avais toujours ma queue en érection contre ses fesses rebondies qui bougeaient au moindre de ses mouvements pour le plus grand plaisir de mon sexe. Ne tenant plus, je ne pouvais m'empêcher de lui faire des bisous dans le coup, des légers baisers, de lui renifler ses cheveux, de lui prendre les hanches, malheureusement cela freinait bon nombre d'idée de ses collègues jusqu'à ce que JC vînt leur griller la politesse avec une bouteille. Sarah était maintenant vraiment ivre et elle bougeait comme une danseuse de pole dance.

 - Je vous l'emprunte pour finir un dossier.

 - Encore ? 

- Et oui, on ne chôme pas ici. Il faut savoir remplir les trous de l’emploi du temps. 

Ils partirent dans le même bureau que celui où le boss l’avait emmenée. J'avais repéré les lieux tout à l'heure et n'eut aucun mal à me faufiler dans le dressing pour la découvrir déjà à la sucette. Elle s'appliquait à embrasser le gland, à le léchouiller, à le prendre en bouche, laissant traîner ses lèvres pulpeuses le long de la verge, lui malaxant délicatement les couilles quand soudain il s'énerva. Je le vis la relever violemment la tenant par le col de son chemisier, il la regarda fixement quand il lui déchira son chemisier laissant libre ses nichons qui pointaient d'excitation, ses magnifiques tétons le remerciaient.
 
- Tu la veux ma queue salope ? Je vais te faire crier.

Il la posa sur le canapé la tête en bas et lui baisa la gorge. Il lui limait la gorge au son des « salopes » et autres « bouffeuse de chibres ». Son visage était maculé de bave, il sortait parfois son sexe tendu pour l’essuyer sur son visage et lui poser ses couilles dans la bouche.

Il finit par la relever, il l'embrassa goulument. Il lui enleva sa jupe, passa sa culotte autour du coup pour l’utiliser comme des reines. JC la prit violemment sur le canapé dans différentes positions, missionnaires, levrette qui me faisait face, je pouvais donc voir Sarah grimacer, gémir, suffoquer d'excitation. Enchaînant les coups de bite violents, faisant jouir Sarah, JC s'épuisait, elle le remarqua et l'allongea histoire de s'empaler sur lui, elle le sautait. La queue monstrueuse entrait et sortait de la chatte de ma petite femme. Les couilles claquaient contre son cul. Le fils commence à mettre un doigt dans l’anus de ma belle.

Durant ce rapport elle eut autant d'orgasme que moi c'est-à-dire trois. Je pensais que c’était fini mais à ma grande surprise quelqu’un tapa à la porte. Ma femme fut surprise mais Jean Claude lui dit :

- Vas-y c’est une surprise.

Et quelle surprise !!!!

Une fois que ma femme déverrouilla la porte une voie familière se fit entendre :

- Ah, ma plus belle des putes.

Le gros Michel, Michel le routier, venait d’entrer en tenant ma femme par les cheveux. Il la plaqua alors contre le mur et passa une main entre ses jambes. Il commença à la branler avec vigueur, lui arrachant des gémissements sonores. Sa tête collée contre le mur et les reins cambrés, je voyais parfaitement les 3 doigts du gros salaud élargir l’entrée de la matrice de ma petite femme.

- Mais tu es trempée. C’est pas possible d’être aussi chienne que ça. Tu vas bouffer mes doigts pour gouter à ta mouille hein ? 

Pas de réponse de ma femme. Serait-elle revenue à la raison ? Enfin le calvaire va prendre fin. Tout ça n’était surement dû qu’à l’alcool.

 Paf ! 

La traditionnelle claque de Michel vient de tomber. Une grosse marque apparait sur la fesse gauche, tous les doigts sont bien visibles et Sarah ouvre la bouche et gémit un « oui ». Il plonge ses gros doigts dans sa gorge sous les rires des deux hommes. Il venait de sortir sa queue déjà bandée qu’il frottait contre les lèvres de ma chérie. Cette queue comme celle de Maurice et Jean-Charles me parait disproportionnée.

- Tu veux ma queue ?

 - Hummm ouiiii...

- Où ça ? Dis moi dans quel trou.

- Ma… Ma chatte. Murmura t-elle

- Tu es vraiment une gourmande, j’ai bien fait de vous trouver dans ce relais. Hein JC ? Elle était pas comme ça avant la petite ?

 - Houla non. Mais elle se rattrape bien maintenant cette truie.

Il se recule pointe sa queue vers la chatte, rentre le gland, bouge doucement en entrant quelques centimètres. Et d’un coup il ressort ce qui pousse la petite salope qu’il a entre les mains à se cambrer. C’est alors qu’il se positionne sur son œillet et l’encule d’un trait. Mon dieu, elle hurle, il est rentré d’un coup l’enfoiré. Sarah essaie de se soustraire à la sodomie mais elle est fermement maintenue. Il commence à la limer vigoureusement et elle commence à prendre du plaisir vu comme elle bouge. Et dire qu’elle me refuse toujours cette pratique. JC lui se branlotte doucement en filmant la scène. Sarah a maintenant une jambe relevée, on peut voir le manche coulisser dans son conduit anal à une cadence impressionnante. La scène est d’un érotisme fou, Sarah sur ses hauts talons en porte-jarretelles noirs et roses se fait ramoner. Elle a les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte et un filet de bave qui coule du menton et les seins qui dansent au rythme effréné de la sodomie imposé par le routier.

Ce dernier accélère encore en claquant son cul qui est maintenant cramoisi :

- Ma pute on va te faire la spéciale, tu es prête ?

- Hummmm argghhh ouiiiiii, Essaya d’articuler Sarah alors qu’elle est prise d’un énième orgasme plus fort encore que les précédents.

Elle flagelle sur sa jambe. Heureusement qu’il la tient fermement.

- Et voilà, elle jouit encore. Ricane JC.

Pendant ce temps Michel la soulève pour l’empaler. Il la porte dans ses bras, le torse contre son dos. Je peux voir sa minette intégralement épilée toute ouverte et couverte de mouille. Elle ne peut rien faire et si son amant la lâche elle s’empale sur son sexe veineux. Sarah parait toute chétive dans ses bras et l’effet de l’orgasme la rend comme une poupée de chiffons. Son acolyte pose la caméra sur le bureau et vient se positionner devant elle. Il la regarde, lui serre la gorge, lui ordonne de sortir sa langue et crache dans sa bouche. Elle lui répond par un sourire et passe sa langue sur ses lèvres. Il positionne alors son barreau de chaise entre les jambes, Michel la soulève au maximum pour ensuite la lâcher d’un coup laissant un râle roque sortir des trois gorges en simultané. Ils la prennent en sandwich pendant de longues minutes. Elle embrasse à tour de rôle les deux hommes.

 - Tu sais que tu as 50cm dans tes trous ma chienne ?

 - Hummmm oui trop bon.

- Tu as vraiment trouvé la reine des salopes Michou.

- Ouais trop. Tu veux changer de trou cousin ?

Comment ça ils sont cousins ? Quelle probabilité que cela se fasse comme ça ? En même temps je comprends mieux pourquoi l’entreprise est venue la débaucher.

Je suis tiré de mes pensées en voyant JC placer Sarah à genoux la tête au sol. Il positionne un pied sur son visage où le maquillage a abondamment coulé. Ses yeux sont embués par l’alcool et les orgasmes successifs.

- Houla, mais quel gouffre on a là, je parie qu’on peut y rentrer mon poing.

- Non pas ça ! Se lamente Sarah.

- Rohhhh on va essayer !

Après quelques essais et vu les réticences de la belle, JC arrête son expérience. Il plonge alors dans le gouffre pour reprendre son rythme d’enfer. Ils échangent les positions avec Michel régulièrement, bouche, chatte et anus, tout y passe.

Quand ils sentent la jouissance monter, ils la placent la tête dans le vide sur le canapé. Ils se branlent énergiquement pour exploser sur son visage. Un grand nombre de jets de sperme viennent strier sa figure. La quantité est impressionnante, elle est complètement maculée. Elle prend alors les deux sexes qui n’ont pas ou peu diminués et les nettoie les regardant fixement et leur souriant comme pour signifier qu'elle fut satisfaite de ce rapport. Je suis abasourdi !

- Bon je vais faire dire à ton cocu de rentrer chez lui et toi on va s’occuper de toi avec les copains. Dit JC.

Un grand black vient me trouver dans la soirée pour me dire que ma femme allait devoir rester pour travailler. Le boss pris le micro pour annoncer qu’un important contrat devait être préparé et demanda à certaines personnes de rester pour travailler, les autres étaient conviées à rentrer chez eux. Les personnes qui restaient pour la suite étaient plus que ravies. J’en ai compté 5 hommes et 2 femmes aussi. J’essaie de trainer un peu mais les vigiles me conduisirent dehors. En partant j’ai aperçu les prémices de ce qui allait être selon moi une partouze sans nom. J’imaginais déjà le clou du spectacle, Sarah descendant les escaliers en lingerie fine une couronne sur la tête et une écharpe « miss salope ». 

Je me dépêchai de rentrer suite à cela, l'attendant dans notre salon, impatient de la voir arriver.

Quand elle rentra au petit matin, je la vis se diriger directement vers la chambre prétextant être fatiguée. Je montai dans la chambre et la vis au lit, elle avait retiré son chemisier. Par curiosité je récupérai celui-ci dans la bassine de linge sale pour y découvrir les tâches de sperme maintenant séchées que je ne manquai pas de raviver en me masturbant avec le tissu satiné du chemisier, me remémorant cette magnifique soirée.

Je fouillai alors dans son sac, son portable sonna pour recevoir des photos. C’était des photos de la suite de la soirée. En effet cela avait été plus que chaud. Il y avait aussi une enveloppe avec une clef usb « le film de la nuit pour le sac à foutre » que je m’empressai de copier sur mon ordi. La maison était pleine de caméras de surveillance et toute la soirée de Sarah était retranscrite. Un film qui était à la fois un bonheur et une torture à regarder.

Il fallait que je fasse sauter le pas à ma femme de se faire prendre devant moi et qu’elle le sache. Plus j’y pensais, plus je me disais que je devais organiser ça. Une idée m’est venue à l’esprit un soir lorsque nous avons invité mes collègues de travail à la maison et qu’un d’eux a sympathisé avec Sarah.

A suivre...

dimanche 21 novembre 2021

La souillon - 4ème partie

  Bande dessinée de Lubrix.

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FIN.

vendredi 19 novembre 2021

Grosse Soumise à Vieux Messieurs - Ch. 02

 Traduction du texte "BBW Whore for Old Cock" publié en 2010 par NYCbbwSUB

 *****

Soumise à mon voisin laid puis aux amis de Walter.

Cela fait déjà deux semaines que Walter et son ami m'ont utilisé. Je commence à être frustrée sexuellement donc je joue avec ma chatte chaque fois que je rentre chez moi.

C'est vendredi soir. Je me douche et je me prépare à me détendre en jouant un peu avec mon sexe. Mais la sonnette de la porte retentit. Je me lève et cours à la porte, pensant que c'est Walter venant me baiser.

J'ouvre la porte, et, à ma grande déception, je vois mon gros et vieux voisin d'à côté. Ce type est laid et en surpoids. De plus, il n'essaie pas de cacher son côté de vieux sadique.

Il n'est même pas agréable quand il me demande si je connais les ordinateurs. Honnête, je réponds oui. Alors il me demande de venir voir le sien pour le réparer. Il est si grossier que je devrais fermer la porte sur sa figure. Mais je le suis à côté, ayant pour seul vêtement mon peignoir.

Nous allons dans son appartement puis dans sa chambre où se trouve son ordinateur. Je m'assois sur la chaise et essaie d'allumer le PC mais rien. Je vérifie la prise et je me rends qu'il n'est pas branché.

Je commence à être nerveuse, me doutant qu'il l'avait fait exprès. Puis il mentionne le site « récits érotiques ». Je me fige et je lui demande ce qu'il sait sur ce site.

- Eh bien, j'aime lire des histoires de petites grosses.

- Faites-moi voir de quoi vous parlez.

Il sortit une histoire intitulée « Boulotte soumise pour vieux messieurs ». J'avais écrit cette histoire et j'espérais qu'il ne le sache pas. Au même moment, il clique sur le profil de l'auteur et une photo de moi apparait.

Bien sûr qu'il sait qui a écrit l'histoire. Voilà pourquoi il me fait venir chez lui. Je lui dis que je suis déjà à quelqu'un. Mais il me répond qu'il s'en fout et qu'il me veut quand je suis seule.

Il me fait asseoir et clique sur le récit. Il le lit à haute voix, tout en se tenant derrière moi. En même temps il glisse ses mains vers le bas et commence à jouer avec mes seins.

- Veux-tu que j'utilise ta chatte? Chuchote-t-il dans mon oreille.

- Non, s'il vous plaît, ne me faites rien. Supplié-je.

- Tu ne sais pas ce que tu veux salope! Crie-t-il en pinçant si fort mon mamelon que je pousse un cri de douleur.

- Non, je ne veux rien faire avec vous.

- Il est trop tard sale pute.

- S'il vous plait, laissez-moi rentrer chez moi.

- Tu feras ce que je dirais salope. Ou alors je montrerai tes petites histoires à tout l'immeuble.

Je sais que je n'ai pas le choix. Je vais devenir la pute de ce laid et gras vieux bonhomme. Cela me dérange et m'excite en même temps. Suis-je vraiment une pute qui a besoin de bites? Je réponds à ma question quand le vieux me saisit pas les cheveux et force ma bouche avec sa queue. Je l'avale complétement comme une putain.

- C'est ça salope, prend tout.

Il continue à lire l'histoire à haute voix tout en baisant ma bouche. Quand il arrive au passage parlant des deux vieux m'utilisant en même temps, il me nargue à ce sujet :

- Donc tu aimes être baisée par deux bites en même temps salope?

- Non s'il vous plait, juste vous. Dis-je en retirant la bite de ma bouche.

- Eh bien je dirai à mon fils de venir le prochain week-end, il ressemble à son père. Dit-il en riant.

- Non non. Murmuré-je la queue dans ma bouche.

- Tais-toi et vas t'allonger à poil sur le lit.

J'obéis en laissant tomber mon peignoir et en m'allongeant sur le lit tout en essayant de cacher mon corps avec mes mains. Mon voisin laisse tomber son bas de survêtement sale, révélant sa petite bite sous son ventre énorme. Puis il enlève sa chemise et je peux voir sa poitrine velue.

Quand il s'approche, je veux fuir. Mais j'ai tellement peur que je veux seulement faire ce qu'il désire puis sortir de chez lui.

Il se met à côté de moi et saisit mes seins pour les malaxer, les serrer et pincer durement les tétons. Je commence à mouiller.

Il mordille mes mamelons en glissant sa main vers ma chatte. Il me dit que je suis vraiment une pute pour mouiller ainsi. J'écarte les jambes. Il m'explique comment il va me baiser comme une cochonne tant qu'il le veut.

Je suis si excitée que je lui dis que j'accepte d'être sa cochonne. Si bien que lorsqu'il m'ordonne de grogner comme un cochon, je le fais sans hésitation.

Cela l'excite totalement si bien qu'il me retourne brutalement sur le ventre et relève mon derrière. Puis il pénètre ma chatte humide et me pilonne durement et rapidement, me faisant crier.

Il y a peu de temps, je demandais à cet homme de me laisser tranquille et maintenant je le supplie de me baiser comme la pute que je suis.

Quand il commence à fesser mon cul, je jouis immédiatement, couvrant sa bite de mon jus chaud.

- Oh quelle cochonne!

- Oh mon dieu oui. Oui Oui je suis votre cochonne.

- Et maintenant je crois qu'il est temps de baiser le cul de la cochonne.

- Oui oui baisez moi.

- Hein salope, tu aimes les bites dans ton cul?

- Oui oui j'aime les bites dans tous mes trous.

Il m'encule et me traite de sale cochonne jusqu'au moment où je sens qu'il décharge dans mon gros cul. Après s'être vidé complétement, il donne une grande claque sur mon cul et me dit de rentrer à la maison.

Je me sens bien et j'ai aimé. Revenue à mon appartement, je prends une nouvelle douche. Je ne peux m'empêcher de penser à ce que je suis devenue. Le vieux pervers d'à côté peut m'utiliser quand Walter n'est pas là. Je peux avoir toutes les bites dont j'ai besoin. Ces relations sans attaches me conviennent. Me faire baiser et rentrer à la maison, je voudrais avoir commencé depuis longtemps.

Il est 23h00 et je suis en train de regarder la télé lorsque la sonnette de la porte retentit encore. Fatiguée, je me lève et j'ouvre la porte en espérant que peut-être je pourrais être baisée à nouveau. Walter est là avec deux autres vieux que je ne connais pas. Il me pousse et entre. Ses amis le suivent. Ils vont s'asseoir dans le salon. Je ferme la porte sachant que je vais être baisée par les trois.

J'entre dans le salon et leur propose une boisson. Ils veulent des bières. Après leur les avoir amené, Walter me demande de venir s'assoir entre lui et un de ses amis sur le canapé.

Je lui obéis. Il enlève mon peignoir et écarte mes jambes. Il commence à jouer avec mon clitoris pendant que ses amis regardent et font des commentaires vulgaires. Walter m'explique comment la nuit va se passer et comment je devrais les servir avec tous mes trous.

Je sais ce que qu'il veut et ce que je veux. Je me mets à genoux et je prends la grosse bite de Walter dans ma bouche. Son deuxième ami s'assoit à ma place. Et pendant la prochaine heure je suce leurs trois bites à tour de rôle. Ils regardent le film porno que je possède. Il dit à ses amis que j'aime le sexe brutal et violent comme dans le film.

Alors ils me jettent par terre comme une vulgaire poupée gonflable et ils se relaient dans ma bouche et dans ma chatte. Puis quand ils ont marre de ces deux trous, ils sodomisent mon gros cul. J'apprécie chaque minute de ce traitement dégradant, les suppliant de continuer.

Mais il est temps pour eux de remplir mes trous en même temps. Je suis très excitée car ça ne m'est jamais arrivée. Mais je suis volontaire. Je ne connais toujours pas les noms des deux autres hommes mais ils sont vieux et méchants c'est ce qui compte.

Je me mets à cheval sur l'un des hommes tandis que Walter glisse sa grosse queue raide profondément dans mon cul. Puis ils me pilonnent violemment en rythme. Le troisième homme commence à me baiser la bouche. Je suis un morceau de viande à l'intérieur d'un sandwich d'hommes. Le ressenti est incroyable. Rien que l'idée de savoir que je ne suis qu'un jouet de baise pour ces vieillards fait mouiller ma chatte abondamment. Avec les insultes, les noms vulgaires qu'ils me donnent, et la baise violente, j'ai le plus gros orgasme que je n'ai jamais eu.

Ils se relaient dans tous mes trous. Puis quand ils sont prêts à jouir, ils me mettent à genoux et giclent leurs spermes sur mon visage.

Puis, en m'ignorant complétement, alors que je suis à genoux sur le sol, mon visage dégoulinant de leur semence, ils s'habillent et quittent mon appartement.

Je suis tellement épuisée que j'ai à peine de l'énergie pour prendre une douche. Mais je réussis et je vais me coucher satisfaite.

A suivre...

mercredi 17 novembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 01

 Texte de gkcdqho

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Léa doit payer le loyer, d'une façon ou d'une autre.

Mon mari Léo essaie de trouver des petits boulots. Nous sommes mariés depuis trois ans. Léo est le seul homme avec qui j'ai couché, mais en raison du stress dû à notre manque d'argent, notre vie sexuelle est presque inexistante.

Nous avons accumulé six mois de retard pour le loyer et nous ne trouvons plus d'excuses pour expliquer notre manque d'argent. Le loyer est de six cent euros par mois, charges comprises. Mon mari et moi habitons au quatrième et dernier étage d'un immeuble ou il y a trois appartements par étage.

Le propriétaire de cet immeuble s'appelle Mr. Alain et il habite dans un autre quartier. Tous les locataires de l'immeuble ne l'aime pas. Il se sent supérieur à nous autres, il a environ une quarantaine d'année, il sent toujours la sueur. Je déteste quand il vient lui-même pour encaisser le loyer, car il me regarde comme si je n'étais qu'un morceau de viande. Il me rend malade, il est repoussant. Il vient toujours le dernier vendredi du mois et j'essaie toujours ce jour-là de me couvrir le mieux possible. J'ai une poitrine avec deux seins volumineux qui se tiennent fièrement et ce n'est pas facile de les cacher.

DRING ! DRING !

Je regarde Léo. Nous savons que c'est le propriétaire et que nous n'avons pas l'argent pour le payer. Léo ouvre la porte pour laisser entrer Mr Alain. Il lève les yeux vers moi et me sourit. Il me demande une tasse de thé. Je me précipite dans la cuisine et d'une oreille, j'écoute mon mari dire à Mr Alain que nous n'avons toujours pas l'argent.

- Monsieur Léo ? Vous me devez près de trois mille six cents euros et jusqu'ici j'ai été indulgent.

J'entends mon mari lui répondre, mais notre propriétaire l'interrompt :

- Je ne veux plus entendre vos excuses, je les ai toutes entendues. Je devrais vous jeter à la rue avec les SDF !

- Mr Alain, s'il vous plaît ? Vous aurez votre argent, mais il nous faut encore juste un peu de temps ?

Sur un ton sévère, Mr Alain interrompt de nouveau mon Léo.

- Léo ! Je ne vous crois plus, nous allons nous revoir bientôt.

Sur ces mots, il se lève et quitte notre appartement.

Le lendemain, alors que Léo est au travail, une petite mission d’intérim qu'il vient de trouver, je nettoie l'appartement quand j'entends retentir la sonnette de la porte d'entrée. Je pense savoir qui est là et mon intuition est confirmée quand j'ouvre la porte et je vois Mr Alain me fixer avec un sourire sadique.

- Bonjour Léa, est-ce que votre mari est à la maison ? 

- Non, il est au travail jusqu'à ce soir. Que puis-je faire pour vous ? Dis-je en bégayant.

- Eh bien, si vous me permettez d'entrer, nous pourrons discuter de la question.

Nerveusement, j'ouvre la porte en grand et Mr Alain passe devant moi. Je referme et je me retourne. Je le vois qui me déshabille du regard. J'ai complètement oublié que je ne porte qu'un grand tee-shirt qui cache à peine mes fesses. Je ne porte pas de soutien-gorge alors mes seins pointent contre le fin tissu du tee-shirt.

- Qu'elle est le but de votre visite ? Je pense que mon mari vous à tout dit hier ? Que je lui dis.

Il me regarde dans les yeux et là il me dit froidement.

- Ce soir, vous êtes tous les deux à la rue.

Je commence à sangloter, car je sais que nous n'avons nulle part où aller. Je le regarde et je commence à le supplier de nous laisser rester. Comme il ne veut pas, j'ajoute ces mots que je vais regretter pour le reste de ma vie :

- S'il vous plaît, Mr Alain ne faites pas ça ? Vous aurez votre argent ! Je ferais n'importe quoi pour avoir votre argent, mais nous ne jetez pas à la rue SVP !

Un sourire apparaît sur le visage de Mr Alain. Puis, il me dit :

- Vous feriez n'importe quoi ?

Je me contente de hocher la tête en signe d'affirmation.

- Bon ? Alors je crois que nous pouvons peut-être arrivé à un accord.

J'ai soudain un mauvais pressentiment. Il continue.

- Viens ici et agenouille-toi devant moi !

Mr Alain me tutoie ? Je lui obéis et je m'agenouille devant lui. Il descend la fermeture de sa braguette et sort sa bite. J'ai un recule lorsque je sens l'odeur nauséabonde de son sexe. Il me dit :

- Tu fais ce que je te dis, quand je te le dis ! Sinon au premier refus, toi et ton mari, vous vous retrouvez à la rue. Est-ce que tu comprends Léa ?

Je ne suis pas en position de refuser, je suis dans une très mauvaise posture, disons que je n'ai aucune échappatoire possible. Je ne peux que hocher la tête une fois de plus.

- Maintenant, je veux que tu me suces la bite. Je ne veux entendre aucune plainte, tu fais ce que je te dis sinon oust dehors !

Jusqu’ici, le plus cochon que j'ai fait a été de prendre la bite de mon Léo dans ma bouche. Sage, vertueuse, pudique, je n’ai jamais eu le feu aux fesses. Disons seulement que le feu est endormi par une sexualité anesthésiée par mon mari qui s’endort avant même d’envisager de baiser sa femme.

J'avance ma tête en avant et je place mes lèvres autour de sa bite. Quand ma langue touche son sexe le goût est abominable et j'en ai un frisson qui me parcoure la colonne vertébrale. Je crois que je vais vomir. Mais je me retiens et je commence à le sucer. Sa queue grossit dans ma bouche. Mr Alain place une de ses mains sur le haut de ma tête et me force à le sucer plus fort et plus profondément.

- C'est ça ma belle, suce, suce-moi bien.

Il tire ma tête en avant et en arrière sur sa bite et de temps en temps, il la sort pour me gifler les joues avec, avant de me la remettre dans la bouche. Je veux juste que ça se termine, car je dois le faire pour Léo et moi.

Après ce qu'il me semble une éternité, Mr Alain qui baise ma bouche avec sa bite, se met à gémir. Je comprends qu'il est proche de jouir. Il sort sa bite de ma bouche et commence à gicler son sperme épais sur tout mon visage, ses jets de sperme fouettent mon visage et j'ai un bref moment de soulagement en sachant qu'il n'a pas éjaculé dans ma bouche.

- C'est bien Léa, toi et ton mari vous ne serez pas expulsés aujourd'hui ! Enfin ? Pour l'instant. Et si tu ne veux pas que ton mari découvre ce que tu viens de faire, je te conseille de faire ce que je dis, quand je le dis. Dit Mr Alain en agitant son portable allumé devant mes yeux.

Ce salaud a dû filmé ma fellation ? Clic ? Il vient de prendre mon visage couvert de son sperme en photo. Je deviens son esclave sexuel maintenant qu'il a des photos de ma soumission. Et je ne peux rien y  faire. Si je continue à lui obéir, mon mari et moi aurons un toit au-dessus de notre tête. Sinon, nous serons à la rue.

- A bientôt ma chère Léa !

Sur ces mots, il sort de l'appartement. Je me précipite sous la douche pour me laver. J'en pleure. Je pleure encore jusqu'à ce que Léo rentre à la maison ce soir-là. Je passe toute la nuit blottie dans ses bras, Léo ignore que je suis devenue l'esclave sexuelle de Mr Alain. Que va-t-il me faire faire ce salaud de propriétaire ?

J'angoisse à cette idée.

A suivre...

lundi 15 novembre 2021

Le Pasteur se fait maquereau - 6ème partie

  Texte de Black Demon (Pimped by Her Own Pastor) traduit par Coulybaca.

Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation) et "Le pasteur se fait maquereau" (Pastor's a Pimp I et II)

Le professeur Thompson profite de ses achats.

L'été était arrivé, il était temps de préparer sa visite à Presswood, Amos Thompson était extasié à l'idée de coucher avec ces ravissantes beautés. Il était certain que cela lui avait coûté une somme rondelette, mais il avait conscience "qu'il en aurait pour son argent".

Il ne s'agissait pas de se rendre dans un bordel pour se faire une pute qui lui ouvrirait obligeamment ses cuisses en service commandé, tout comme pour n'importe quel client qui paierait le prix requis. Cette excursion à Presswood allait lui permettre de s'envoyer de savoureuses jeunes femmes, sophistiquées, élégantes... Et surtout blanches.

Le professeur principal de psychologie de l'université Méridienne, membre de la PPBN avait été éberlué de voir en vente sur le site du PPBN la succulente Kelly Garrison. Cette somptueuse jeune femme fréquentait les cours de psychologie qu'il dispensait à l'université Méridienne, elle avait suivi plusieurs de ses classes et, depuis un bon moment, il avait secrètement envie de se faire cette ravissante jeune fille.

Il s'avérait par ailleurs que la somptueuse jeune fille habitait la ville de Presswood où le PPBN venait tout juste d'implanter un bureau où l'on pouvait sélectionner et acheter des jeunes femmes sur catalogue. Désirant se faire les charmes de la belle Kelly Garrison depuis plusieurs années, Amos ne pouvait pas laisser passer cette occasion de la posséder. 

Il savait grâce au diamant qu'elle portait au doigt qu'elle était fiancée, elle devait sûrement se marier l'été qui suivrait l'obtention de son diplôme. Et, ayant visionné sa performance sous hypnose avant que la vente aux enchères ne commence, il avait décidé de gagner les enchères la concernant d'autant que lors de son interview sous emprise hypnotique elle confirmait qu'elle réservait sa virginité pour sa nuit de noce cet été.

Il avait gagné le droit d'user et d'abuser des charmes de la ravissante Kelly lors des vacances de printemps ce qu'il avait bien l'intention de faire dès son retour de vacances, il avait d'ailleurs mis en œuvre son plan dès qu'elle avait pénétré de nouveau dans sa classe de psychologie.

Son pasteur avait implanté dans son esprit de le visiter pendant ses heures de soutien en fin de journée. Depuis le début de la journée Amos attendait pour cette fin d'après-midi un premier retour sur investissement, il comptait bien se servir de la clef implantée dans son esprit par son vendeur, qui la placerait sous sa totale emprise.

Bien que la ravissante jeune femme ait les yeux grands ouverts, son esprit ne fonctionnait plus, il n'enregistrait plus rien, il lui semblait évoluer dans un rêve et tout ce qui se passait dans son bureau faisait partie intégrante de son rêve. Le sachant le professeur Thompson inséra sa main calleuse dans le V de son décolleté posant ses doigts épais sur son soutien-gorge en dentelle.

Il titillait d'un doigt expert son mamelon bourgeonnant puis il empauma totalement son nichon repoussant son soutien-gorge pour mieux caresser son nibard.

- Tu as drôlement bien sucé ton pasteur mademoiselle Garrisson ! Je me suis branlé ces deux derniers jours sur la copie du DVD que m'a envoyé ton maître ! Et maintenant montre-moi ce que le pasteur Mollway t'as enjoint de faire au pasteur Knowlton ! Lui intima-t-il en sortant sa main de son décolleté pour se poster face à elle.

Et la ravissante étudiante en Psychologie Avancée, cette jeune fille pure et guindée, tendit la main pour dégrafer sa braguette.

- Ahhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii... Gémit-il alors que sa petite main manucurée plongeait dans l'ouverture de sa braguette à la recherche de sa mentule bandée.

Il avait pris la précaution de verrouiller la porte de son bureau dès qu'il l'avait activé sa dépendance, il savait qu'aucun étudiant ne viendrait perturber cette heure de réunion.

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... grognait-il alors qu'elle promenait la pointe de sa langue sur son méat turgescent.

- Ohhhhhh... Encore ! Pantelait-il alors qu'elle le branlait habilement de sa main gauche ornée de sa bague de fiançailles alors que sa main droite enfoncée dans son caleçon triturait lascivement ses grosses burnes velues.

Il posa alors sa main sur la nuque de la blonde beauté, aux yeux bleus grands ouverts, la regardant dans les yeux il souffla :

- Je vais jouir ma chérie... Avale ma semence... Avale tout... Oh oui comme ça mademoiselle Garrissonnnnnnnnnnnnnn !

Et plus tard cette nuit même, guidée par les suggestions hypnotiques implantées dans son esprit, elle lui rendait visite à son domicile afin de discuter de sa note moyenne du dernier trimestre. Une fois la somptueuse jeune fille totalement sous emprise, attirée dans son antre, il avait décidé de s'emparer de sa plus grande fierté, sa virginité !

Comme elle était sous dépendance il lui était facile de s'emparer de sa précieuse virginité qu'elle tenait à conserver intacte pour l'offrir à son futur mari lors de leur nuit de noce. Dès qu'il se mit à la caresser intimement il l'allongea sur son lit alors que toute la scène était capturée par une caméra en service.

La sortant brutalement de son état de stupeur, Amos prit un énorme plaisir à replonger la ravissante jeune fille dans la réalité. Il l'observait attentivement alors qu'elle clignait des yeux, hébétée, puis elle pantela en le reconnaissant.

- Professeur Thompson... Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Balbutia-t-elle,.

Ce à quoi il répondit sans vergogne :

- Tu es dans mon lit ma petite Kelly chérie... Tu me pries de te mettre un A... En échange de rapports sexuels !

L'horreur envahissait Kelly Garrison, en réalisant qu'elle se trouvait entièrement nue contre son prof qui frottait son musculeux corps noir contre le sien. Les yeux écarquillés d'épouvante, elle sentait sa bite bandée se presser dans sa fentine. Terrifiée elle le supplia :

- S'il vous plait... Non... Nonnn... Ce n'est pas vrai... Je ne suis pas venue chez vous pour coucher avec vous ! Nonnnnnn... C'est un viol ! Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzzzz !

Il ne prêtait aucune attention à ses lamentations, et se prépara à fracturer son hymen, elle hurla alors qu'il donnait un violent coup de boutoir.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Son cri d'horreur emplit la chambre, ce hurlement lui semblait une douce musique, cela valait bien le prix payé. Projetant une nouvelle fois son bas ventre en avant, il planta son épaisse mentule dans sa fente virginale, elle cria de plus belle :

- Owwwwwwwwwwwwwww... Arrêtez.. Arrêtez... J'ai malllllllllllllllllll... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Aide-moi...

Amos riait à pleines dents, et gloussa :

- Dieu ne peut rien pour toi, ma chérie ! En fait, d'une certaine façon il est à mon coté heh, heh !

Son corps lourd clouait la frêle jeune femme sur son lit alors qu'elle tentait vainement de lui décocher des coups de pied. Son investissement s'avérait productif, il lui avait permis de ruiner la vie de cette naïve jeune blonde, de saccager son pucelage avant d'éjaculer sa fertile semence au fin fond de son utérus alors qu'elle sanglotait :

- Non... Non... S'il vous plait professeur... Arrêtez... Je vous en prie... Vous risquez de m'engrosser !

Toute la scène avait été capturée par la caméra et n'importe quel spectateur qui la visionnerait en conclurait que Kelly Garrison l'avait visité pour obtenir un "A" en couchant avec son prof. Dès cet instant la naïve jeune femme avait du se plier à un chantage qui faisait d'elle l'esclave sexuelle de son prof.

Le jour de la remise des diplômes, Amos s'était débrouillé pour se rendre à la salle de réception ou étaient réunis les parents et amis des impétrants. Il frissonnait de joie à l'idée de rencontrer le connard de petit blanc qu'il empêchait de cueillir la précieuse fleur de sa fiancée. Il voulait féliciter l'adorable jeune fille, il l'embrassa sur les joues et lui susurra à l'oreille :

- Réserve-nous la suite nuptiale la veille de tes noces ! Raconte à tes parents que cela sera plus facile de t'y habiller pour te rendre à l'église ! Je veux te baiser une fois encore... La nuit précédant ta nuit de noce ! Tu revêtiras ta robe blanche et ton voile de mariée !

Il frémit aussi en rencontrant l'élégante et sophistiquée madame Patricia Garrison, la mère de Kelly. Bien qu'il n'ait pas reçu d'invitation à la noce, il s'esclaffa :

- Il me reste à te remercier pour ton aimable invitation ma chère Kelly... Cela tombe très bien, je dois justement effectuer du recrutement dans une ville voisine de Presswood, je serai donc sur place et parfaitement disponible pour répondre à ton invitation !

Il avait à peine formulé ses remerciements que la mère de la future mariée insistait pour qu'il vienne partager leur repas après la noce, avant qu'il ne quitte Presswood. Cela engageait Amos à prendre contact avec le pasteur Mollway, le pervers ex-pasteur qui avait manigancé la mise en vente des charmes de la délicieuse Kelly.

Deux semaines après la remise des diplômes et une bonne semaine avant la cérémonie de mariage, Amos put voir au travers de son écran, le professeur Mollway placer l'élégante et sophistiquée mère de la mariée sous son emprise hypnotique. Dans son bureau, l'insouciante beauté s'engageait à apporter son soutien aux bonnes causes de l'église et plus particulièrement à guider les futurs époux pour que leur futur couple soit aussi réussi et harmonieux que le leur. Une fois la mère de la mariée sous suggestion hypnotique, le pasteur Knowlton responsable de la congrégation de Presswood se glissa dans le bureau. Il observait le professeur Mollway amplifier son emprise sur sa délicieuse proie à venir, lui posant des questions qui devenaient de plus en plus intimes.

- Comment t'appelles-tu ?

- Patricia Garrison !

- Quel âge as-tu ?

- 43 ans !

- Travailles-tu ?

- Oui !

- Que fais-tu ?

- Je suis la principale du lycée de Presswood !

- Depuis combien de temps es-tu mariée ?

- 22 ans !

- As-tu déjà trompé ton mari ?

- Non, jamais !

- Avais-tu déjà eu des rapports sexuels avant ton mariage ?

- Non !

- As-tu déjà pensé à faire l'amour avec un autre que ton mari ?

- Non !

- As-tu déjà fait une fellation ?

- Non !

- As-tu déjà été sodomisée ?

- Non !

- As-tu déjà entendu parler de la légende concernant les bites des noirs ?

- Oui !

- Penses-tu que c'est vrai ?

- Je ne sais pas !

- T'es-tu déjà demandée si c'était vrai ?

- Oui !

Ce jeu de question réponse était destiné à implanter dans son esprit afin de créer un puissant désir de résoudre les dernières questions. Puis le pasteur Mollway empoigna son téléphone, la seconde suivant la ligne directe du pasteur Thompson sonnait, il décrocha pour prendre le coup de fil du pervers pasteur.

Un coup d'œil sur son moniteur affichant le numéro de l'appelant lui avait suffi pour constater que ce coup de fil provenait de son "complice" qui avait placé madame Garrison sous suggestion hypnotique. Comme la somptueuse épouse n'avait jamais eu de relations sexuelles en dehors de son couple, Amos était assuré d'être le premier étranger à tremper son biscuit dans la chatte de cette femme fidèle au corps si affriolant. Son investissement lui permettrait par ailleurs d'être le premier à l'enculer, il allait lui fracasser son pucelage anal.

De plus le pasteur Mollway allait implanter une gerbe de suggestions l'amenant à rêver de lui toutes les nuits à venir se demandant comment se passerait une séance de baise avec le prof noir de sa fille chérie. Il avait par ailleurs implanté dans son esprit qu'elle devrait appeler son mari dans la cuisine de façon à donner à Amos le temps de glisser de la drogue dans leurs verres, un puissant assommoir pour son époux et un puissant aphrodisiaque dans le sien.

Cette conversation terminée, Amos regardait l'écran de son ordinateur sur lequel les deux complices abusaient de la malheureuse Patricia Garrison. il ne pouvait vraiment pas les blâmer de profiter des charmes que la délicieuse madame Garrison ne pouvait leur refuser. Il paraissait évident que le vieux Mollway était un fétichiste du pied, il avait tout de suite pris position face à ses jambes tendues. Il avait alors entrepris de les lui caresser lentement, sa main partant du genoux pour se glisser sous la jupe. Puis cette main réapparaissait, descendant jusqu'à ses chevilles pour les délester de ses hauts talons. Il mignotait maintenant ses plantes de pied et ses orteils soigneusement manucurés tout en se débraguettant pour extraire sa grosse mentule raidie de son caleçon. Il la fourra ensuite entre ses plantes de pieds dont il se fit un soyeux fourreau, visiblement il prenait grand plaisir à cette pratique.

Pendant ce temps, le jeune Pasteur Knowlton n'était pas resté inactif, il se branlait énergiquement au coté de la somptueuse paroissienne qu'il convoitait. Il tendit la main pour agripper son poignet gauche la refermant sur sa hampe raidie. Son alliance et sa bague de fiançailles étincelaient alors qu'elle manipulait sa mentule bandée, c'était vraiment très excitant.

Quelques instants plus tard, lorsque les deux hommes eurent satisfaits leurs appétits lubriques, la charmante femme gisait sur le lit la jambe repliée, le pied reposant sur le rebord d'une chaise. Il était visible qu'ils avaient tous deux éjaculés sur elle, des larmes de sperme gouttaient de ses orteils et de sa plante des pieds de l'éjaculas du pervers Mollway, alors que sa main était engluée du foutre du jeune pasteur Knowlton.

Dix jours plus tard, un mercredi soir, le pasteur Knowlton se trouvait dans son église pour conduire la répétition du mariage de Kelly Garrison et de son fiancé. A l'insu du pasteur Knowlton, son acolyte avait gagné son domicile peu après son départ pour l'église. Mollway avait appelé l'adorable Neil Knowlton un peu plus tôt, le fait de prononcer la phrase magique "Pouf Pour Bites Noires" lui avait permis de l'inviter à recevoir un visiteur peu après le départ de son mari. 

Une fois que le pasteur Mollway eut fait les présentations il lui annonça :

- Le professeur Thompson n'a jamais baisé avec une femme de pasteur auparavant... Aussi m'a-t-il demandé de lui arranger ce rendez-vous avec toi ! Tu vas t'occuper de lui tandis que ton mari est à l'église ma chérie ! Mais d'abord sers-nous un verre de vin ma chère madame Knowlton !

Amos prit son verre des mains de la somptueuse jeune femme et s'approcha d'elle. il la sentit trembler de tout son corps alors qu'il lui caressait le dos. Il se pourlécha alors les babines en contemplant la ravissante épouse du jeune pasteur vêtue d'une élégante robe bleue marine et de hauts talons blancs. Avec impatience il descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe puis glissa sa main dans sa robe. Il l'entendit retenir sa respiration alors qu'il titillait un mignon petit téton au travers de son soutien-gorge de dentelle.

De sa main libre, il dégrafa le clip dorsal de son retrousse-téton, une seconde plus tard il baillait lamentablement. Il put alors empaumer la totalité de son nibard dénudé en glissant sa main sous le bonnet du soutien gorge détendu, puis il flatta son jumeau, ses tétons s'érigèrent avec force.

Quelques instants plus tard, dans la chambre qu'elle partageait habituellement avec son mari, la robe de l'adorable Neil chuta sur ses chevilles autour de ses hauts talons blancs. Une seconde plus tard, son soutien gorge l'y rejoignait. Puis ce fut le tour d'une affriolante petite culotte blanche.

Si Richard Knowlton avait pu jeter un œil dans sa chambre à cet instant, il aurait vu la fine main manucurée de sa jeune femme se poser sur des épaules noires musculeuses, la tête rejetée en arrière alors qu'elle miaulait de plaisir sous les caresses de l'athlétique noir qui lui butinait avidement le minou. C'était un délice de voir la belle femme du pasteur lui agripper la tête et ses doigts crocher ses cheveux crépus.

- Ooooooooooooooooh... Oh, professeur... Ooooooooooooohhh... Ahhh, ahhhhhhhhhhhhhh... ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Couinait-elle alors que son doux nectar coulait à flot dans sa bouche ensorcelante.

Il recula sa tête, ne titillant plus les babines de sa partenaire de la pointe de la langue, Amos butinait la chatoune de la jeune femme du pasteur avec expertise alors qu'elle coulait toujours à flot dans sa bouche. La scène était savoureuse alors que cette douce femme de pasteur à l'air si ingénue lui agrippait la chevelure en hurlant et criant :

- Bouffez-moi... Bouffez-moi la chatte, professeuuuuuuuuuurrrrrrrrr !

Depuis qu'il avait demandé si la jeune femme du pasteur Knowlton faisait partie du cheptel de l'association et qu'il avait décidé d'user ses charmes une nuit entière, le vieux pervers était sûre qu'elle aussi avait un profond besoin de satisfaire ses appétits sexuels, certain que seul un type particulier de relation pouvait maintenant satisfaire ses appétits de stupre... Celles fournies par une bonne grosse bite noire.

Il connaissait ses besoins secrets, ces besoins qu'elle avait développé depuis son viol initial pendant les vacances de l'année dernière. Il était important pour la belle Nell Knowlton de protéger son image de respectabilité, celle de la digne femme du pasteur de cette communauté. Elle avait tu son viol, ainsi que ses débordements avec de nombreux hommes noirs, c'était quelque chose qu'elle ne pouvait s'expliquer que cette attirance irrésistible pour ces expériences sexuelles illicites. Puis l'infâme ex-pasteur qu'elle pensait un ami s'était mis à la faire chanter l'obligeant à coucher avec lui puis la prostituant à de nombreux noirs musculeux qui s'acquittaient d'une somme conséquente pour user et abuser de des charmes en toute liberté d'une jeune femme qui semblait si innocente. De plus le fait qu'elle soit la femme d'un pasteur la rendait d'autant plus excitante aux yeux de ses clients.

Bien qu'elle soit toujours bourrée de remords après avoir écarté les cuisses pour un autre que son mari, Nell n'avait pas eu d'orgasmes satisfaisant depuis des semaines alors que ce professeur Thompson lui procurait un orgasme d'une intensité diabolique. Elle comprit alors en le voyant serrer les cuisses autour de sa tête qu'il entendait bien qu'elle lui procura les mêmes délices. Désireuse de le satisfaire pleinement, elle déboucla rapidement sa braguette et extirpa sa grosse mentule noire de son caleçon, et entreprit de la sucer avec avidité. Elle enveloppait sa hampe de la langue, flattait son méat de la pointe de la langue puis redescendait lascivement jusqu'à ses burnes. Son obscène performance lui parut surtout si incongrue lorsqu'elle entendit ce pervers bâtard exploser de rire en ironisant :

- C'est la meilleure fellation qu'on m'ait faite depuis longtemps, jamais je n'aurai soupçonné que tu sois aussi experte et enthousiaste !

La ravissante femme du jeune pasteur était disposée à quatre pattes, elle sentait qu'il ne tarderait pas à agir. Elle priait pour qu'une chose lui arrive, elle ne voulait pas qu'il explose dans sa bouche alors qu'elle avait désespérément besoin de le sentir enfouir son gros chibre noir dans sa chatoune affamée. Elle jeta un œil vers le professeur tout en continuant à lui tailler une savoureuse pipe, elle le supplia alors :

- Je vous ferai jouir dans ma bouche plus tard... J'ai trop envie... De vous sentir en moi ! Je vous veux... Je veux que me vous me baisiez à couilles rabattues !

Amos ne parvenait pas à croire que cette chienne, cette licencieuse petite salope, puisse être l'innocente femme d'un pasteur. Elle était menue et minuscule, bien plus petite que lui, c'était un délice de se faire une telle salope dans le lit qu'elle partageait ordinairement avec son mari. 

Prenant la femme entre ses bras, il la posa sur le lit avant de la dépouiller prestement de ses vêtements. Il était évident que cette adorable salope était en manque, elle se masturbait énergiquement d'un doigt habile alors qu'elle gémissait à pleine gorge. Au pied du lit, Amos était tout surpris de la facilité avec laquelle sa petite chatte avait avalé son épaisse bite, démontrant par ailleurs qu'elle était loin de l'image de la douce et innocente femme du pasteur qu'elle se donnait en public.

Pendant ce temps le pasteur Knowlton qui devait animer la répétition de la cérémonie de mariage avait appris qu'elle avait du être annulée au dernier moment. Bien qu'il aurait pris grand plaisir à assister à la répétition de la cérémonie de la charmante future, sachant pertinemment que son vil professeur de fac avait l'intention de la baiser la veille de sa nuit de noce dans sa suite nuptiale le lendemain soir, il dit au revoir aux fiancés leur donnant rendez-vous le samedi.

De ce fait il rentrait chez lui plutôt que prévu, sa mâchoire se décrocha à la vue de la voiture de l'ex-pasteur Mollway garée devant sa porte. La dernière fois que Mollway s'était rendu chez lui, Richard avait été obligé de l'inviter à souper, puis il était parti sous le prétexte d'assister à l'agonie d'un de ses paroissiens laissant le champ libre au pervers pasteur Mollway qui pouvait ainsi faire ignominieusement chanter sa femme l'obligeant à coucher avec lui.

Nell pensant que son mari ignorait tout de ses escapades extra conjugales, elle s'était soumise à ses volontés toute la nuit, se faisant baiser à couilles rabattues sur le lit qu'elle partageait ordinairement avec son mari.

Richard savait que Mollway avait été chercher un excellent client à son arrivée à l'aéroport cet après-midi se chargeant de le divertir pour cette soirée, mais il avait pensé qu'il s'agissait de boire quelques verres avant de dîner dans un bon restaurant. Il n'avait jamais suspecté que Mollway avait un autre type de divertissement en tête pour son client, que sa ravissante jeune femme serait chargée de le distraire pendant cette soirée.

- Le foutu bâtard ! Maudit Mollway; déçu à l'idée que ce pervers avait combiné d'offrir sa délicieuse femme à son client sans même le prévenir.

Ayant précédemment assisté à la retransmission du viol de la ravissante Kelly Garrisson, l'étudiante de psychologie par son pervers prof de fac, il avait vu à quel point il était bien monté. Et voilà que ce dernier se déshabillait dans sa maison pour procéder à la même séance de baise qu'il avait imposée la jeune Kelly. 

Tandis que ce sale bâtard se désapait, Nell allongée nue sur le lit entendit Mollway glousser :

- J'ai chauffé cette ravissante femme de pasteur à votre intention mon cher ! Elle a été privée de grosses bites noires depuis plusieurs semaines ! N'est ce pas ma chère madame Knowlton ?

Il observa attentivement sa femme en chaleur alors qu'elle se tortillait sur le grand lit conjugal, Richard saliva d'impatience en la voyant écarter en grand ses cuisses invitant par ce geste son invité à la chevaucher rapidement. Puis elle pantela :

- Oh s'il vous plait monsieur le professeur... Pressez-vous... Cette attente est trop longue !

Pour Richard qui avait fait l'amour avec son adorable petite femme le matin même, il était évident qu'elle avait simulé sa jouissance et ses cris d'extase pour lui faire plaisir, afin de lui faire croire qu'il était extrêmement viril. Ce n'était sûrement pas le cas ce que semblait démontrer ses actuelles supplications :

- S'il vous plait... Je vous en prie... Baisez moiiiiiiiiiiii... Mon Dieu, ce que j'ai besoin de bons coups de bite ! Cette attente est bien trop longue ! Ca fait si longtemps...

Au début il crut bien que son étroite petite chatte ne parviendrait pas à avaler une si énorme bite, obligeant Amos à agripper fermement ses hanches pour forer son trou dans sa minuscule chagatte. 

Il sourit soudain en la sentant s'ouvrir à son épais envahisseur. Il l'emboutit tout d'abord lentement, plongeant juste son énorme gland dans sa fentine, puis la ravissante salope ouvrit en grand ses cuisses aspirant avidement la grosse colonne bandée dans sa grotte enfiévrée.

- Oooooooooooohhhh oui... Oui... Oh ouuuuuuuuuuuuuuui! Couinait-elle alors qu'il plongeait dans ses profondeurs intimes, levant ses jambes pour verrouiller ses chevilles dans son dos.

Amos Thompson savait que ce n'était que le début d'un été enthousiasmant alors que la chatte de la ravissante jeune femme qu'il baisait jusqu'à l'os enserrait sa grosse bite comme un gant étroit. Elle faisait la moitié de son poids et semblait si menue que rien ne lui semblait meilleur que de se la faire sur son lit conjugal.

- Ugh... Ugh... Ugh... Ugh... Ohhhhhhhhhhh... Gémissait-elle chaque fois qu'il s'enfonçait en elle comme un marteau piqueur la clouant à son matelas.

De son poste d'observation en dehors de la maison, Richard observait attentivement l'impressionnante séance de baise qui se déroulait ses yeux égarés.

Il pensait entendre son cœur battre dans ses oreilles, mais il réalisa sou-dain que c'était le bruit produit par la tête de lit battant contre le mur chaque fois que le professeur Thompson embrochait puissamment sa gentille femme.

Entendant couiner et gémir son adorable petite femme alors qu'elle se faisait divinement baiser, l'entendant supplier son suborneur de la baiser plus profondément il réalisa à quel point il était inefficace au lit, jamais elle ne l'avait supplié ainsi de la baiser jusqu'à l'os lorsqu'ils faisaient l'amour ensemble. Puis, en observant les deux corps qui convulsaient de conserve en se frottant âprement l'un contre l'autre, il lui parut évident qu'il éjaculait au fin fond de sa grotte fertile.

 ***

Le deuxième soir de son excitant séjour à Presswood, le professeur Amos Thompson avait été pris en charge par les fiancés pour aller souper avec les parents de la future. Amos savait pertinemment pourquoi Kelly s'était faite accompagner de son fiancé pour venir le prendre à l'hôtel et l'emmener chez ses parents. La petite salope savait que si elle était venue chercher son hôte il en aurait profité pour s'ouvrir l'appétit en goûtant à ses charmes avant de l'amener chez ses parents.

- Je l'aurai allongée jambes grandes ouvertes sur mon lit pour goûter sa savoureuse petite huître juteuse, mais cela attendra bien demain soir, la nuit précédant ses noces ! Gloussait-il en son fort intérieur.

Kelly Garrison savait très bien ce qu'avait en tête cet homme qui la faisait ignoblement chanter. Elle avait été violée, mais elle ne pourrait jamais le prouver, déjà qu'elle ne comprenait pas au fond d'elle-même pourquoi elle s'était rendue au domicile de son pervers professeur pour évoquer sa note finale, d'autant plus qu'elle était en tête de sa classe. Mais la cassette qu'elle avait visionnée semblait prouver qu'elle s'était rendue chez lui pour négocier l'obtention d'un "A", et depuis sous la menace de voir cette vidéo envoyer à ses parents, son fiancé, et ses proches, elle livrait ses charmes à son abject prof qui en avait abusé chaque nuit lors de ce dernier trimestre.

Kelly représenta son vil bâtard de maître-chanteur à ses parents. Jetant un œil sur sa montre Kelly se mit à espérer que la demi-heure à venir passerait rapidement et qu'elle partirait sans problème, son fiancé l'ayant momentanément laissée tomber pour rencontrer ses vieux copains qui préparaient l'enterrement de sa vie de vieux garçon.

Elle n'avait pas pris conscience que son pervers professeur avait des intentions lubriques concernant sa mère qu'elle considérait comme une femme élégante et sophistiquée à qui elle voudrait ressembler plus tard. Depuis qu'il l'avait rencontrée le jour de la remise des diplômes, Amos avait envie de la plier sous son joug.

A l'insu de Kelly, l'organisation criminelle à laquelle appartenait le professeur Thompson, connectée avec la paroisse qu'elle fréquentait avec ses parents, lui avait vendu sa mère tout comme elle l'avait vendue à son pervers maître chanteur trois mois plus tôt.

De même que pour elle le professeur Mollway avait implanté les graines de sa dépravation dans l'esprit de sa mère le jour où elle avait pris rendez-vous avec lui pour régler les détails de leur cérémonie de mariage. Et, tout comme elle avait subi des suggestions hypnotiques, la corrompant profondément, sous emprise elle avait sucé la bite du pasteur Knowlton alors que le professeur Mollway implantait divers ordres dans son esprit.

Une fois sa fille et son futur gendre partis, Patricia Garrison sentit son cœur cogner comme jamais dans sa poitrine alors qu'elle s'asseyait au coté de l'athlétique professeur Thompson. Depuis une semaine, sachant que le prof de fac de sa fille dînerait avec elle et son époux, elle n'était pas parvenue à s'enlever l'image de cet homme de la tête. Chaque nuit dans son lit, elle avait pensé à cet homme comme jamais elle n'avait pensé à un homme auparavant, elle en était bourrée de remords : " Pourquoi cet homme lui faisait-il un tel effet ? Qu'allait-il arriver ? Rien que la pensée de sentir ses larges mains glisser sur mes jambes nues... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu ! Sa grosse... Bite noire... Me martelant profondément... M'embrochant jusqu'à la racine !"

Elle en rêvait toutes les nuits. La culpabilisation associée aux pensées les plus viles là déprimait profondément elle se demandait pourquoi cela lui arrivait maintenant après tant d'années de mariages heureuses pendant lesquelles elles n'avaient jamais eus de pensées aussi malsaines. 

En fait ces pensées avaient été implantées dans son esprit lorsqu'elle se trouvait sous emprise hypnotique du pervers Mollway, dans son bureau alors qu'elle avait les yeux rivés sur une photo d'Amos Thompson. Il en profitait pour la caresser lubriquement, malaxant ses nibards au travers de ses vêtements avant de glisser une main sous sa jupe pour lui palper sa chagatte au travers de la fine texture du fond de sa petite culotte.

Et depuis ce jour, chaque nuit les mêmes pensées lubriques la torturaient, elle se demandait ce qui était vrai dans ces légendes concernant la taille de la bite des noires.

Tout en sirotant les margaritas servis par monsieur Garrison, Amos sentait la nervosité de l'adorable femme du foyer; d'autant plus qu'il connaissait les idées le concernant implantées dans son cerveau par Mollway. Tom Garrison lui tendait les clefs d'une voiture garée à l'extérieur l'invitant à s'en servir pour la durée de son séjour à Presswood, puis il s'excusa devant sortir pour mettre les steaks à griller au barbecue, d'après Mollway son hôtesse serait incapable de lui résister s'il posait sa main sur la sienne pour jouer avec sa bague de fiançailles et son alliance.

Et de fait son geste opéra comme par magie, il l'entendait panteler, sans retirer sa main, alors qu'il jouait avec ses anneaux. Il l'observa attentivement, s'assura que le mari était toujours dans l'arrière cour et se pencha sur la frissonnante beauté et pressa ses lèvres sur les siennes. Amos était conscient de son émoi, il l'entendait haleter, il inséra sa langue dans sa bouche puis il posa main sur ses cuisses dénudées remontant sous sa jupe. Une langue fouineuse inspectait sa bouche, des doigts se glissaient sous les élastiques de coté de sa petite culotte pour frétiller dans sa fente engluée de cyprine, et tout cela cessa brusquement au bruit d'ouverture la porte du patio.

Alors qu'elle le regardait fixement, Amos porta sa main à son visage et lécha la cyprine couvrant son index. Se rasseyant à table après avoir servi le repas, Patricia ne parvenait pas à croire à ce qui s'était passé dans le salon un peu plus tôt.

- Qu'ai-je fait ? Comment ai-je pu l'autoriser à... Frissonnait-elle nerveusement.

Ils n'étaient que trois, la soirée était douce, Patricia avait drapé une nappe sur la table extérieure, ils dînaient ainsi de façon fort informelle et détendue dans le patio. Après être restée assise un bon moment, Patricia se figea en sentant le professeur Thompson lui faire du pied, elle ne savait pas quoi faire, et ne trouvait pas la force de le repousser. Elle sentit alors son pied frotter le talon des ses chaussures. Quelques instants il avait réussi ce qu'il avait entrepris, il lui avait enlevé son haut-talon. Et maintenant il appuyait sa jambe contre son pied nu la forçant à réali-ser :

- Mon Dieu il veut me faire du pied avec mon mari assis à nos cotés !

Son esprit lui disait bien que c'était absurde, mais elle se sentait incapable de repousser sa jambe, loin de cela elle agrippait son pantalon de ses orteils et entreprit de lui caresser lascivement les jambes.

Après dîner, alors que Tom Garrison gagnait le bar pour préparer des boissons fraîches, Amos tendit la main pour la caresser à nouveau et jouer avec son alliance en lui susurrant :

- Tu iras chercher le dessert que tu as préparé dans la cuisine, lorsque Tom reviendra appelle-le pour qu'il vienne t'aider... Tu pourrais te passer de dessert, j'ai prévu de t'offrir un gros éclair au chocolat un peu plus tard !

A ces mots, il la vit avaler sa salive silencieusement, il empoigna alors sa jambe sous la table et posa son pied sur la grosse bosse déformant sa braguette.

Alors que son époux revenait du bar, Patricia retira son pied et réenfila sa chaussure, et attendit que son mari soit pour annoncer qu'elle s'occupait du dessert. Un instant plus tard, elle apparut à la porte du patio et appela son mari :

- Tom; peux-tu venir m'aider à transporter le plateau.

Comme le mari se levait lui tournant le dos, Amos sourit à la sémillante épouse qui le regardait par-dessus l'épaule de son conjoint verser une drogue dans la boisson de Tom.

Lorsqu'ils revinrent à table, Amos se réjouit de voir sa proie trembler à chaque gorgée que son mari sirotait.

Les hommes ayant terminé leurs desserts, madame s'étant abstenu de prendre des douceurs, ils s'assirent confortablement dans le patio, Amos et Patricia dans le sofa, Tom à leur gauche dans un fauteuil. A peine le café servit, Tom se retrouva hors jeu, la ravissante madame Garrison haletait nerveusement alors que leur invité promenait ses mains brûlantes sous sa jupe lui caressant les cuisses à même la peau. C'est alors qu'il lui laissa un choix ignominieux :

- On baise ici sur le sofa, avec ton mari à nos cotés, ou on monte à l'étage baiser dans la chambre que tu partages habituellement avec ton mari.

Patricia était figée bouche grande ouverte, elle ne parvenait pas à dire un mot alors qu'une des mains de son invité inspectait ses charmes sous sa robe et que l'autre lui massait gentiment le cou dégrafant avec habileté le crochet qui fermait le dos de sa robe. Il descendit alors la fermeture éclair dorsale de sa robe Patricia arriva alors à bafouiller :

- N... Non... pas ici, pas ici... J'ai trop peur que Tom ne se réveille et nous voit faire !

Une fois ces mots dits, il la fit se relever et ils prirent le chemin de la maison. Posant la main sur l'épaule du malheureux mari drogué, Amos gloussa :

- Dors bien mon coco dans le patio, j'ai à faire avec ta femme à l'étage, dans le lit que tu partages habituellement avec elle !

A l'étage, dans la chambre principale, Patricia se tenait figée, les yeux rivés au grand lit qu'elle partageait habituellement avec son époux, alors que les mains calleuse d'Amos passaient sa robe par-dessus ses épaules. Puis le zip d'une fermeture éclair que l'on baisse retentit brisant le silence de plomb juste troublé par les halètements de Patricia, il lui murmura alors à l'oreille :

- Je sais que tu meurs d'envie de connaître un vrai mâle ma chère madame Garrison... Alors n'hésite pas plus longtemps, tend la main et introduit là dans mon pantalon ! T'as aujourd'hui la chance de vérifier que ce que l'on colporte au sujet de la taille des bites noires est tout à fait vrai ! N'hésite plus et fourre ta main là où elle doit être !

Alors que sa robe jonchait maintenant le sol, elle avança la main vers sa braguette. Comme il ne portait aucun sous-vêtement, sa bite se mit immédiatement à vibrer entre ses doigts manucurés de frais.

- Ooooooooooh... Ooooooooooh... Ohhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il empaumait ses nibards dodus.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Haleta-t-elle alors qu'il faisait rouler ses tétons entre pouce et index les amenant à darder immédiatement.

En réaction elle referma fermement sa main sur sa mentule, elle se sentait toute ébranlée de constater sa taille invraisemblable. L'habile langue qui mignotait son cou se dirigea lentement vers le lobe de son oreille elle se sentait totalement à la merci des mains du séduisant professeur alors qu'il lui susurrait :

- As-tu déjà vu une bite aussi grosse que celle que tu as en main ma chère madame Garrison !

Elle secoua négativement la tête tout en serrant fermement l'objet de son ébahissement entre ses doigts.

Il laissa la ravissante ménagère lui caresser avidement la bite de ses doigts manucurés alors que son autre main plongeait dans sa braguette s'emparant de ses grosses couilles velues, Amos savait pertinemment qu'elle mémorisait la taille de ses couilles et bien d'autres choses encore. Glissant la main dans la poche de sa veste il en sortit un portable faisant office de caméra, qu'il avait activé dès leur sortie du patio. Il tendit la main pour le poser sur une commode toute proche du lit, il s'assura alors qu'il était disposé de façon à filmer la totalité du lit et des scènes qui se déroulaient sur ce dernier.

Il sortit ensuite un deuxième portable caméra et plaça celui ci sur la table de nuit afin de filmer sous un autre angle, les deux portables étaient reliés à un ordinateur dans le bureau du pasteur Mollway où Mollway et son complice le pasteur Knowlton épiaient cet instant ou la fidèle et distinguée madame Garrison expérimenterait sa première bite noire.

Un des écrans s'alluma, révélant sous les yeux enthousiastes des deux complices ce qui se passait dans le la chambre des Garrison. La somptueuse madame Garrison robe et soutien-gorge enlevés se faisait malaxer les nibards par Amos Thompson. Bras collés au corps, ils devinaient ce qu'elle faisait aux mouvements de ses avant-bras et de ses coudes. Bien que le professeur Thompson resta impavide elle lui mignotait les burnes d'une main tout en le branlant de l'autre. 

Amos retourna l'obéissante Patricia de façon à ce qu'elle lui fit face puis il lui roula un patin baveux alors qu'elle continuait à le branler. Puis Amos appuya sur ses épaules la poussant à se mettre à genoux et lui suggéra ;

- Il est temps de déguster l'esquimau au chocolat que je t'ai promis ! Allez ma chère madame Garrison viens profiter de cette succulente crème que je te réserve !

Et, tandis qu'elle enroulait sa langue autour de son chibre Amos posa ses mains sur sa nuque en grognant :

- Ahhhhhhhhh... Bordel ce que tu suces bien !

Alors que son adorable hôtesse avalait maintenant la totalité de sa bite il se remit à gémir :

- Ahhhhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Bouffe ma bite ! Avale toute la crème que je vais te cracher au fond de la gorge !

Quelques instants plus tard, les deux mateurs, les yeux rivé à l'écran, observaient ravis l'athlétique prof de psychologie se soulager dans la bouche accueillante de la principale du lycée local. Lorsqu'il se retira, un filet de foutre relia un instant ses lèvres au méat luisant d'Amos, ce détail excitait follement les deux voyeurs.

Elle avala la chaude semence qui formait une mare crémeuse dans son estomac qui se soulevait de dégoût.

Ils regardaient maintenant les deux écrans. le second transmettait les images du portable posé sur la table de nuit, les deux pasteurs observaient la ravissante madame Garrison étendue sur son lit conjugale, Amos lui caressait lascivement les cuisses, le contraste entre sa grosse patte noire et la chair blanche des cuisses de Patricia était follement excitant. Puis il lui ôta rapidement ses hauts talons, ses orteils s'agitaient maintenant à l'air libre. Puis il lui roula sa petite culotte de dentelle blanche sur les chevilles dévoilant son petit trésor blond comme les blés.

- Oooooooh... Ooooooooooooh... Ooooooooooooooooooooh... Couinait-elle bruyamment.

Il était évident pour les deux spectateurs que la fidèle et guindée madame Garrison ne le serait plus très longtemps. Elle crispait ses mains sur le drap alors que ses jambes recourbées reposaient sur les épaules de son suborneur. Elle couinait de plus en plus alors qu'on entendait clairement le professeur Thompson laper sa juteuse fentine engorgée de cyprine. Il était évident que la ravissante principale de lycée succombait à un i-tense orgasme alors qu'elle hurlait :

- Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuu... Je jouuuuuuuuuiiiiiiiissssssss... 

Son corps tremblait de toutes ses fibres les orteils pointés sur le portable posé sur la commode, la sublime madame Garrison venait de succomber pour la première fois à un butinage de chatoune. Elle était totalement molle lorsqu'elle reprit pied sur terre.

Amos la positionna alors à sa convenance jambe après jambe puis il pointa sa grosse bite sur sa cible et la pressa à l'orée de sa grotte embrasée. Puis il se pencha à son oreille et lui murmura :

- Tu es vraiment bonne à baiser ma petite salope !

Cette phrase ne devait pas être prononcée devant elle, cette phrase avait été implantée dans son esprit par le pervers Mollway ; c'était la clef pour la faire reprendre pied dans la réalité. 

Brutalement revenue à elle en entendant prononcer cette phrase, Patricia sombra dans un état de choc en réalisant dans quelle situation elle se trouvait. Elle comprit tout d'abord qu'elle se trouvait dans son lit conjugal dans leur chambre principale. Puis elle réalisa qu'elle était entièrement nue et que le prof de psychologie de sa fille était étendu sur elle, il était lui aussi entièrement nu. Et pire encore, sa "grosse chose bandée" se pressait contre sa fente intime.

- Que se passe-t-il ? Que faites-vous ? Je vous en prie... Non.. On ne peut pas... Je ne le veux pas faire... Faire l'amour ! Le suppliait-elle ses yeux roulant dans leur orbite alors que pour toute réponse il pressait de plus en plus sa bite contre son intimité.

Le regard d'horreur que lui envoyait la ravissante femme éperdue ne faisait que l'exciter encore plus, sa bite se déployait encore alors qu'il donnait de petits coups de reins pour tester sa perméabilité. Amos éclata de rire en voyant ses yeux lui sortir des orbites, son visage affichait son désespoir il frissonnait de l'entendre se lamenter :

- - Nonnnn... Pas ça... Je ne veux pas... Nonnnnn... Elle est bien trop grosse ! Trop épaisse... Nonnnnn ! Aieeeeeeeeeeeeeeee !

Avec un plaisir évident Amos lui bloqua les poignets au-dessus de sa tête, la clouant impitoyablement sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son époux. Comme elle sanglotait et pleurnichait, Amos gloussait :

- Oh je réalise enfin mon rêve, je rêve de te baiser depuis la remise des diplômes ! Bordel ce que t'es étroite ! J'avais tant envie de te dévaster la chatte ! La bite de ton mari ne doit être qu'un petit flûtiau pour que tu sois restée aussi étroite !

Il la chevauchait allégrement sans tenir compte de ses lamentations et de ses plaintes qui ne faisaient que l'exciter davantage encore. Il ne se souciait pas de lui procurer de plaisir, Amos était d'autant plus heureux qu'elle se débattait pour tenter d'échapper au viol de son corps.

- Ahhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhh... Ugggghhhhhhhhh... Oh, je jouis... Je vais gicler en toi ma chérie ! Ohhh ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii...

Les yeux braqués sur le plafond de sa chambre, Patricia ressentait un méli-mélo de sensations, elle se demandait déjà :

- Comment ai-je pu autoriser ce pervers à pénétrer dans ma chambre ? Un viol ! Il m'a violée...

Patricia tentait de se convaincre elle-même de cela, mais elle devait encore s'expliquer pourquoi elle avait laissé ce bâtard la caresser longuement avant le repas, allant jusqu'à appeler son mari pour qu'il puisse verser un soporifique dans sa boisson. Elle savait pertinemment ce qui allait advenir une fois que son mari aurait succombé au somnifère, d'autant plus que le professeur Thompson lui avait clairement annoncé son intention de la sauter sur son lit conjugal.

Ses cuisses étaient douloureuses à force d'être écartées en force, les lèvres de sa chatoune se crispaient spasmodiquement après son brutal assaut, Patricia grognait de douleur alors qu'Amos la repoussait sur le flanc avant de la disposer à quatre pattes. Alors que ses grosses mains calleuses pétrissaient ses fesses, Patricia comprit qu'il allait la prendre de nouveau, mais cette fois il allait la grimper comme une bête, comme un chien prenait sa chienne dans la rue. Elle se rappelait cet épisode ou toute jeune lors d'une visite au zoo elle avait vu un étalon monter sa pouliche afin de la féconder.

- Il va me prendre comme une chienne en chaleur ! Il va faire de moi sa petite chienne ! Pensait-elle affolée.

Elle frissonna en sentant l'épais champignon se glisser dans son con lubrifié. Prise par surprise elle sentait qu'il s'était enfoncé aisément jusqu'aux burnes dans sa chatoune engorgée de foutre, mais il s'était retiré immédiatement laissant sa cramouille aspirer de l'air. Elle ne comprit pas pour autant qu'en fait le démoniaque prof avait plongé son estoc dans sa caverne lubrifiée pour la graisser correctement, il avait besoin que sa bite soit correctement huilée pour accomplir la tâche qu'il s'était fixée, plonger son épaisse bite dans son trou du cul vierge.

Sentant le gland turgescent presser son œillet, Patricia se mit à paniquer tentant de se dérober en s'éloignant en rampant. Mais il la tenait fermement aux hanches, l'attirant à lui en fait tout en donnant de violents coups de reins.

- Aieeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... J'ai maaaaaaaaalllllllllllll... trop maaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllll... Se lamentait-elle misérablement.

- Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Couinait-elle désespérément à chaque coup de rein propulsant la mentule d'Amos dans ses reins douloureux.

Sachant que sa performance était retransmise sur les écrans du bureau de Mollway, que ces deux hommes avaient déjà assisté à la défloration de l'adorable fille de madame Garrison quelques mois plus tôt, il leur offrait maintenant le dépucelage anal de sa mère, Amos adorait l'entendre se plaindre lamentablement à chaque coup de bite dans son étroit trou du cul.

- Bordel elle était si étroite ! Pensait-il alors qu'il s'enfouissait une fois de plus dans ses reins.

Il savait d'après l'étroitesse de son œillet et ses soupirs qu'en fait c'était la première fois que cette belle femme sophistiquée se faisait sodomiser.

- Owww... Oww... Oww... Oh, arrêtez... Je vous en prie arrêtez ! Professeur... Professeur Thompson... Je vous en prie... Arrêtez, s'il vous plait ! Ca fait maaaaaaaaaaalllll... Se plaignait-elle alors qu'il la martelait sans merci.

Il la tenait fermement aux hanches pour l'empêcher de lui échapper, Amos jeta un œil vers le bas pour voir les traces de sang qui maculaient le gland de sa bite, ce qui le fit glousser joyeusement :

- Oh, madame Garrison, je crois que je t'ai foré un nouveau trou du cul ! Ouais, je sais bien que je t'ai déchiré le périnée, mais cela t'appréciera de te faire enculer très bientôt.

Il lui lâcha les hanches alors qu'il continuait à la labourer de grands coups de bite, il empoigna sa blonde chevelure soyeuse et allongea son autre main par delà sa taille pour la doigter lubriquement.

Frottant son clito sensibilisé, Amos rit aux éclats alors qu'il remarquait :

- Il faudra t'oindre le trou du cul avec un bon gel madame Garrison... Tu vas me rejoindre à mon hôtel mardi prochain et je te fourrerai comme une reine toute la journée... Je t'en donnerai plus que tu as jamais rêvé ces dernières semaines !

Au travers de la douleur qui la tétanisait toute, Patricia parvint à déchiffrer son dernier commentaire :

- Il sait que toutes les nuits j'ai rêvé qu'il me sautait, que je me demandais à quoi cela ressemblait de faire l'amour avec un noir pour la première fois... De faire l'amour avec lui !

- Oh mon Dieu comment puis-je me réjouir qu'il me caresse et me doigte... Tandis qu'il me sodomise ! D'autant plus qu'il me traite comme une pute bon marché, il attend ma visite mardi matin à son hôtel !

- Ohhhhh... Ohhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Ohh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il se vidait les couilles dans les profondeurs de son intestin ravagé.

Lorsqu'il retira sa grosse bite de son trou du cul endolori, elle s'effondra sur le lit conjugal. Patricia était toute engourdie à force d'avoir été écartelée et déchirée, son cul pointait toujours en l'air du foutre s'égouttant de sa chatoune et de son trou du cul sur le couvre-lit.

Elle entendit le professeur bouger dans la salle de bain adjacente, le ruissellement de l'eau lui fit comprendre qu'il se lavait avant de partir. Elle avait besoin de temps pour récupérer ses fonctions corporelles, elle réalisa soudain qu'elle devait prendre une douche vaginale pour esquiver tout danger de procréation.

Une fois le professeur Thompson parti, Patricia trouva enfin la force de se glisser hors du lit pour gagner la salle de bain. La main en coupe pour capturer les coulées de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de son trou du cul, elle ouvrit le cabinet de toilette pour y chercher un flacon de douche vaginale là où elle les stockait.

Elle avala brutalement sa salive, et tendit la main pour trouver un des deux flacons qu'elle avait rangé là la semaine dernière.

- Ou se trouvaient-ils ? Se demanda-t-elle brusquement, elle était sûre de les y avoir rangés après les avoir achetés dimanche dernier au drugstore.

Elle cherchait frénétiquement sur les étagères du cabinet de toilette, pensant qu'elle avait pu les poser sur une mauvaise étagère, elle tenta de retracer ses gestes ce dimanche dernier en rentrant de la pharmacie. Puis se retournant, elle vit le reflet orange des flacons de douche vaginale qui dépassaient de la poubelle. Elle saisit les deux flacons vides jetés dans la poubelle, un long frisson courut le long de sa colonne vertébrale en réalisant ce que ce pervers bâtard avait fait ; il avait ouvert les deux flacons et les avait vidés dans la douche avant de partir, la forçant à conserver sa fertile semence en elle.

A suivre...