Texte de Aldo37.
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Fin de la nuit à l'hôtel avec Michel.
Isabelle avait senti le rythme accélérer et Michel suffoquer. Elle avait senti le membre palpiter. Mais impossible de bouger, il fallait subir.
Le moment arriva. Cinq longues giclées, chaudes et gluantes, qui envahirent sa bouche, coulèrent dans la gorge. La jeune femme faillit suffoquer d’étouffement et de honte.
Michel restait planté dans sa bouche. Il regardait Isabelle déglutir. Il ne relâcha l’étreinte que plus tard.
— Ca y est ??? TOUT EST AVALE ??
Isabelle fit " OUI " en hochant la tête. Le membre quitta enfin sa bouche. Michel, satisfait, se leva pour la toilette. Isabelle s’endormit immédiatement, la bouche pâteuse de sperme. Elle rêva pensant que tout cela n’était qu’un cauchemar.
Son sommeil fût brusquement interrompu à 6 h 30. Michel la retourna, la plaça sur le ventre, lui souleva le ventre à deux mains.
— Allez ! A QUATRE PATTES !
Isabelle retomba, épuisée. Il la reprit par le ventre, la releva.
— Salope, fous-toi à quatre pattes en vitesse. Je veux te prendre en levrette !
Il lui prit les bras qu’il leva, Isabelle tenait tant bien que mal, offrant ses fesses. Elle sentit la morsure du gland pénétrant son sexe, et du membre s’insinuant en elle.
— Han ! Tiens Tiens prends ça !
Immédiatement, le va-et-vient est rapide, profond. Michel sortait presque à chaque fois entièrement la verge, pour la replonger immédiatement à fond. Isabelle ne réagissait plus, elle était trop épuisée, elle subissait les assauts du mâle.
— Tu aimes ça salope, hein ? Tu aimes ce que je te mets, eh bien prends en ! Tiens ! Tiens ! Prends ma bite !
Isabelle était défoncée. Tout à coup, il se retira brusquement, frotta la verge sur ses fesses.
— AHHH !! ah ! aie !
Isabelle subissait la sodomie. Dans son demi-sommeil, des larmes perlaient à ses yeux. Le mâle la limait toujours.
— Humm il est bon ton cul, il est chaud et serré. Mais rassure-toi, quelques coups de bite vont te l’élargir, tu verras. Han ! Tiens, je te baise, je t’encule !
Michel se mit à accélérer. Isabelle sentit que la fin de son calvaire était proche.
— AH CA Y EST ! JE JOUIS DANS TON CUL ! OUIIII... TIENS PRENDS TOUT DANS LE CUL...
Michel se vida dans le préservatif. Il se retira, arrachant un cri à la jeune femme, se leva, jeta le préservatif dans les toilettes, et prit une douche. Quant il revint, Isabelle était couchée sur le côté, endormie.
Michel s’habilla. Il était 7 h 30. On frappa à la porte. Michel alla ouvrir, c’était le réceptionniste qui apportait les petits déjeuners. L'homme, 35ans, tenait un plateau sur lequel se trouvaient les cafés, les croissants, jus d’orange, confitures et pain grillé.
— Entrez, je vais ouvrir les volets.
Michel se dirigea vers la fenêtre, l’ouvrit, et poussa les volets. Le jour entra dans la pièce et réveilla Isabelle, qui, brusquement, plaça son bras sur ses yeux pour se protéger de la lumière. Quand elle l’enleva, quelques secondes après, elle vit le réceptionniste poser le plateau sur une des tables de nuit. Elle réalisa alors qu’elle était nue.
Rapidement, elle se leva légèrement, tira sur le drap pour cacher sa nudité. Michel arriva près du lit, arracha le drap jusqu’au pied du lit.
- Espèce de petite imbécile ! Montre lui tes charmes !
Isabelle serrait ses bras contre sa poitrine et se mettait de côté.
— Allonge-toi sur le dos en vitesse !! Tu m’écoutes, OUI ???
Isabelle, terrorisée, obéit. Elle s’allongea sur le dos.
— Enlève tes bras de ta poitrine, et écarte les cuisses !
Elle fit ce que Michel lui demandait. Il s’adressa au réceptionniste !
— Alors ? Qu’en pensez-vous ??
— Elle est vraiment très jolie.
— Oui, vous avez raison, très jolie. En plus, elle baise bien !! Elle a passé la nuit à se faire sauter, je l’ai prise dans toutes les positions, et enculée trois fois. En plus, elle suce bien, ce qui ne gâte rien. Caresse-toi le corps !
Isabelle obéit.
— Bien ! Maintenant, prend un sein en main, et lèche le bout. Voilà, l’autre sein maintenant.
Isabelle lécha l’autre sein, mais frémit lorsque, regardant les deux hommes, elle vit que le réceptionniste avait sortit son sexe et se masturbait en la regardant.
— Bon ça suffit ! Mets-toi à 4 pattes sur le lit !
Isabelle emplie de honte, se mit à quatre pattes face aux hommes.
— Mieux que ça !! Tends ton cul !
Ce qui fût fait.
— Pas mal, non ???
— Oui, un cul d’enfer !!
— Ca, à qui le dites vous ! Vous avez vu sa petite fente ?? CA SUFFIT ISABELLE ! Vas faire ton petit pipi et viens t’allonger sur le lit !
Isabelle alla aux toilettes, et revint s’allonger comme le souhaitait son amant. Michel prit alors un croissant, et le promena sur les seins d’Isabelle. Il descendit légèrement, passa sur le ventre, titilla le nombril, et commença à caresser les lèvres du sexe avec le bout. Doucement, le croissant s’insinuait. Il décapuchonna le clitoris qu’il chatouilla, pour bientôt plonger dans le sexe. Isabelle frémit, mais se sentit bientôt pénétrée par le croissant. Michel allait et venait maintenant.
— Ahh... oh... ahh...
Isabelle ondulait du ventre, ne pouvant rester insensible à la pénétration. Le réceptionniste se masturbait plus vite. Michel sortit le croissant, remonta le ventre, les seins, pour pénétrer la bouche de la jeune femme.
— Mange Isabelle ! Mange ta mouille !
Isabelle mangea le bout du croissant. Elle constata que le réceptionniste était en train de se déshabiller. Michel attendit qu’il soit nu.
— Tu vois Isabelle, c’est toi le pourboire. Bois ton jus d’orange, ça te donnera des forces.
— Non je ne veux pas, je n’en peux plus, je suis épuisée. Je vous en prie !
Michel ne répondit pas. Il s’adressa au réceptionniste :
— Elle est à vous ! Amusez vous bien, et faites la bien jouir.
— Merci, c’est un cadeau de choix, elle est vraiment très mignonne. Tu vas commencer par me tailler une petite pipe.
Le réceptionniste grimpa sur le lit, se mit à genoux à côté du visage d’Isabelle.
— SUCE-MOI !
— Je vous en prie, je suis fatiguée, je n’en peux plus !
— Ne me fais pas attendre ! SUCE-MOI !
Michel acquiesça :
— Dépêche-toi de le sucer !
Isabelle, vaincue, ouvrit la bouche. Le membre l’envahit aussitôt.
— Humm ta bouche est chaude. Tète moi bien, bébé !
Le réceptionniste prenait beaucoup de plaisir à se faire sucer par la jeune femme. Il soupirait, gémissait, fermait quelquefois les yeux.
— Oh la la quelle pipe d’enfer, elle suce comme une reine.
Le gland déformait quelquefois la joue, quant à la queue, elle allait et venait. Tout à coup, Isabelle sortit la queue de sa bouche, et se mit à lécher tout le long de la verge, délicatement, pour arriver sur le gland et recommencer.
— AHHHHOUAHHH... Oui, comme ça ! sors bien ta langue sur ma queue. C’est bon ce que tu me fais oh la la !
Isabelle continuait.
— Bouffe moi aussi les couilles ! les couilles Bon Dieu. Ta langue sur mes couilles; lèche-les, embrasse-les !
Isabelle obéit, mettant l’homme en transes.
— ARGGHH... arrrggg... salope... humm... salope.... Ca suffit ! Je vais te prendre ! Mets-toi à quatre pattes !
Il saisit le préservatif que lui tendait Michel, et l’enfila sur sa verge. Une fois Isabelle en position, il se plaça derrière elle, guida sa queue, et la pénétra.
— Ca y est ! Tu l’as dans la chatte !
Il se mit à la limer.
— Tu la sens ma queue ? Tu la sens ma grosse bite ? Hein, dis ? Tu la sens te ramoner le ventre.
Il accélérait le rythme, cramponnant Isabelle par les hanches et choquant son ventre contre ses fesses.
— Tu es bonne bébé. Je te défonce bien la chatte, tu la prends toute. tiens !
Isabelle gémissait, criait sous les coups de boutoir.
— Tu cries, tu aimes ça la queue, salope, ça se voit. Eh bien prends en...
Au bout d’un moment, il se retira, fit allonger Isabelle sur le côté, se mit derrière elle, et la pénétra.
— Tiens ! Sur le côté, c’est pas mal non plus, tu vas voir !
Il se remit à la posséder, lui levant quelquefois la jambe droite pour mieux la pénétrer. Il la prenait, lui pelotant les seins. Il se retira, s’allongea.
— Allez, viens sur moi !!
Isabelle l’enjamba, s’empala.
— Dis donc, tu as une sacrée paire de nibards, toi !! On va faire balancer tout ça, remue bien sur ma queue.
Isabelle entreprit de se soulever, pour retomber sur la queue qui lui perforait le ventre. Pas assez vite cependant au goût du réceptionniste.
— Tu vas remuer, oui ???? DANSE sur ma queue. bouge bien !
Isabelle se mit à accélérer.
— Voilà, empale-toi bien ! Prend la bien à fond.
— AHH... ah... je n’en peux plus. Arrêtez je vous en supplie !
Mais le mâle ne tint pas compte de ses supplications, et, la tenant par les hanches, accéléra le mouvement.
— NON non. Je vous en prie ! ahh... AH... AH... AH...
Tout à coup, il la fit se retirer, et l’allongea.
— Tu vas voir, je vais réellement t’en mettre, là.
Il s’allongea sur elle, la pénétra, et passa ses bras sous ses aisselles pour la cramponner par les épaules. Il commença alors à la pilonner.
— AHHH ! Ah, arrêtez arrêtez... ahhh...
Le mâle la défonçait, donnait ce qu’il pouvait.
— Tiens je te défonce la chatte, tiens salope prends ma bite tiens prends-la. !!!
Isabelle suffoquait, était dans un état second. A moitié évanouie sous les coups de boutoir, elle ne criait plus, elle ne faisait plus que gémir. L’homme s’arrêta.
— Tu as vu. tu en as pris plein la chatte Maintenant, passons aux choses sérieuses j’ai envie de te sodomiser !
— Allez, fous-toi à quatre pattes que je prenne ton petit cul !
Isabelle n’avait plus la force de réagir elle pût juste balbutier :
— Non non pas ça ! je n’en peux plus, je ne veux pas. Pitié pas ça !
Michel vint l’aider, et ils soulevèrent Isabelle, mirent trois oreillers l’un sur l’autre, lui installèrent la tête et le buste dessus, puis ils la mirent à genoux. Isabelle avait bien du mal à tenir le bassin levé.
— Tends ton cul, salope, que je puisse t’enfiler !
Le bassin retombait. Le réceptionniste lui claqua violemment deux fois les fesses. Cela la réveilla un peu, et elle releva les fesses et resta à genoux.
-Voilà ! comme ça je peux te prendre le cul ! Allez ! dans le petit trou !
Il prit la queue à la main, écarta les fesses.
— AHHH ! NON ! AIE !! ahhhhhh ! vous me faites mal ! Arrêtez !
Mais il ne tint pas compte d’Isabelle. Déjà, le gland était entré, bientôt suivi par la moitié de la queue.
— Humm il est bon ton cul. Je te ramone le fondement, tu sens ma grosse pine te défoncer ???
Il la prenait de plus en plus rapidement, de plus en plus profond. Isabelle perdit connaissance. Peut être cinq minutes, peut être plus. Quand elle reprit connaissance, l’homme était toujours en elle, toujours dans son anus, toujours en train d’aller et venir, la verge la perforait.
— Humm tu es bonne, tu as le cul bien serré. Tu vas me faire cracher, tu vas faire cracher ma bite. Humm OUI... OUI je sens que ça vient.
— Attends un dernier coup dans le cul tiens ! Ohhh je n’en peux plus !
Il se retira, puis d’un coup, fît allonger Isabelle, et retira prestement le préservatif.
— Je vais jouir, salope; je viens; je vais t’arroser. OUIIIIII !!!!!!!! arrrrgghhh !! TIENS prends mon sperme, prends tout, tiens !
Cela dura longtemps au moins 6 ou 7 jets qu’Isabelle, à demi inconsciente, sentit arriver, chauds, sur sa peau. L’homme arrêta d’éjaculer en soufflant.
— Elle était bonne, elle m’a vidé les burnes !!
— Ca, vous ne l’avez pas ratée, elle a du foutre partout. Regardez, elle en a plein les poils de la chatte, plein sur le ventre, sur le nombril, et même sur un sein. Vous lui avez mis un sacré paquet dites donc quelle éjaculation !
— Oui, j’ai toujours les éjaculations très abondantes et en plus, quand j’ai la chance de baiser une salope pareille, je ne me prive pas.
Isabelle, totalement impudique, entièrement nue allongée sur le lit, couverte de sperme, était dans un demi-sommeil.
— Bien, je vais aller au travail. Laissez la dormir jusqu’à midi. Je l’ai baisée toute la nuit, et avec ce que vous lui avez mis, elle doit être épuisée.
— Sans problème, je vais donner des instructions pour que la femme de ménage ne fasse pas la chambre avant 15 heures.
— Très bien, regardez-la, elle m’excite beaucoup. Je me la taperais bien encore une fois mais elle a eu sa dose, laissons la récupérer.
Les deux hommes quittèrent la chambre, non sans avoir tiré les volets, et allumé un chevet. Isabelle dormait, indécente, cuisses écartées, souillée.
FIN
Malheureusement, il n'y a pas de suite à cette histoire.
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