lundi 29 mars 2021

18 Maîtres Ch. 06

 Traduction d'un texte de Penitr8me.

Ma condition de soumise.

Je suis nue. Je suis dans une cage. Je suis couverte de sperme. J'ai les yeux bandés. Mes mains et mes pieds sont liés. J'ai donné ma vie aux 18 hommes qui se trouvent dans la pièce voisine. Je pense que c'est la chose la plus brillante ou la plus stupide que je n'ai jamais fait.

Je suis à eux maintenant 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. L'encre sur le contrat est aussi sèche que le sperme sur mon visage. Je suis diablement excitée, même si je viens de passer quelques heures à me faire baiser le visage. Ma chatte n'a pas été touchée depuis trois jours et je brûle du besoin qu'elle soit utilisée.

Je suis un peu terrifiée par ce que je viens de faire. Plus de mots de sécurité. Je n'ai plus d'appartement, les clés ont été prises par mes Maîtres lorsque j'ai signé le contrat. Mes affaires sont parties au garde-meuble, mais je ne sais pas où.

Je me sens libre malgré mes liens et ma cage. Je veux sortir de cette petite cage noire mais j'ai peur de ce qui va se passer lorsque je serai nue et exposée devant mes 18 Maîtres sadiques. J'ai besoin d'être libérée sexuellement mais je sais que bientôt ils me laisseront battue, percluse de douleur et tellement baisée que je ne pourrai plus marcher.

Je suis dans ma nouvelle « maison », mon donjon pour les neuf prochains mois. Presque neuf, car mon contrat se terminera le jour anniversaire de mon premier gang-bang, de la première fois où je me suis livrée à eux tous. J'avais pensé qu'ils m'utiliseraient et me jetteraient, mais nous avons tous tellement aimé l'expérience qu'ils m'ont gardée pour que je leur vide les couilles. Depuis un peu plus de trois mois, ils m'utilisent encore et encore. Je suis leur pute.

Parfois ils me partagent avec leurs amis, si ceux-ci ont fait des tests ou utilisent des préservatifs. Le maximum que j'ai dû satisfaire une soirée est de 32 hommes. Mais mes Maîtres m'ont promis de repousser cette limite.

Ils m'emmènent à des soirées où je dois danser avec tous les hommes présents. Ils me sodomisent pendant que je travaille dans des « glory hole » privés qu'ils mettent en place. Ils m'emmènent au travail et me font les sucer sur les trajets. J'aime être leur jouet sexuel.

Finalement mon travail est d'être leur vide-couilles alors ils m'ont fait une offre : chambre gratuite, pension gratuite, mais pas de liberté. Ils ne me paient pas exactement pour le sexe. Ils me paieront pour travailler chez l'un de mes Maîtres, comme gestionnaire administrative pour son entreprise. Ils me paieront pour cet emploi mais ils me baiseront quand ils le voudront, dans un placard ou sur mon bureau quand tout le monde sera parti. Si je les sers bien, à la fois sexuellement et professionnellement, ils s'assureront que je ne sois jamais sans emploi.

Je n'ai pas encore vu ma « cellule ». Ils me disent que c'est adorable : un lit où ils peuvent m'immobiliser complétement, un banc de bondage, un placard plein d'instruments conçus pour me faire mal (des fouets, des cravaches, des cannes, de la cire, des aiguillons électriques), une salle de bain assez grande pour une orgie et un espace où ils peuvent m'attacher. Ai-je dit qu'il n'y avait plus de mots de sécurité? Mais il faut que je leur dise si je suis blessée. Ils ne veulent pas casser leur jouet, mais je ne peux pas les empêcher de faire quoi que ce soit d'autres à part des cicatrices.

Ils m'ont fait accepter un tatouage, une chaîne avec 18 anneaux sur mon bas-ventre. Quand ils me libèreront, s'ils me libèrent, je pourrai leur demander de payer pour l'enlever. Je sais que le tatoueur attend déjà pour me marquer comme esclave, et probablement me baiser quand il aura fini.

Le sperme démange, sèche et s'écaille. Ils m'ont donné trois jours pour réfléchir à leur offre, trois jours sans me toucher, me parler ou m'utiliser. Je suis tellement habituée à avoir mes trous remplis que c'est atroce pour moi de ne plus avoir de rapports sexuels. Bien sûr, ils m'ont dit que je pouvais me faire plaisir moi-même, chose qu'il m'avait interdite à moins d'être là pour regarder. Mais cela ne suffit pas à combler mon besoin. J'ai besoin d'eux, des 18, de toutes les 18 queues. Je commence à rejouer dans ma tête les meilleures fois où ils m'ont baisée. Mais ça me rend folle. Je peux à peine me toucher dans cette cage, ni me frotter à quoi que ce soit.

Quand je suis entrée pour signer le contrat, j'étais tellement excitée que j'aurais pu baiser tous les gars dans la pièce. Après avoir coupé mes vêtements et m'avoir fait mettre à genoux, les yeux bandés, ils m'ont demandé de sucer des bites, et il y avait beaucoup de queues. Je pouvais dire que certaines étaient celles de mes Maîtres car après des centaines de fellation je pouvais les reconnaitre par le goût et la façon de se vider dans ma gorge. Mais d'autres étaient réellement de nouvelles queues. Ils sortaient de ma bouche et giclaient sur mon visage, mes cheveux et mes seins. C'était surement des gens de l'entreprise. Ce souvenir m'apporte une nouvelle vague de frustration sexuelle, en pensant que ma bouche était pleine mais que le reste était vide.

J'entends des sons. Je sens la cage trembler. Quelqu'un enlève mon bandeau. Je suis toujours nue. Je suis toujours dans une cage. Je suis toujours couverte de sperme. Mes pieds et mes mains sont toujours liés. J'ai donné ma vie aux 18 hommes qui me dévisagent. Je pense que c'est la chose la plus brillante ou la plus stupide que je n'ai jamais faite. Ou les deux...

A suivre...

samedi 27 mars 2021

Coralie Miss Camping ! Ch. 18

Suite du Texte d'Alexis, écrit par Florian MC

Coralie retrouve son scout. 

Cela faisait des heures que nous étions à la plage, Véronique et moi. J'avais insisté pour qu'elle mette son bikini, finalement, je pensais qu'ainsi elle ne serait pas sollicitée outre mesure, et, d'une certaine manière, que je serais moi aussi protégée des velléités sexuelles des messieurs du camping. Le maillot de bain noir qu'elle portait sur sa peau rose dorée la rendait plus désirable à mes yeux, ses petits seins ronds bien pleins lovés dans le tissu moulant m'attiraient, mais je me réfrénais avec plus ou moins de succès - durant l'après-midi, nous avions encore échangé quelques baisers et exploré quelques zones intimes à l'abri des regards, perdues dans les dunes.

- Je dois rentrer, dis-je, Loïc ne devrait pas tarder à venir me voir, je veux être là. Tu devrais peut-être rentrer à l'improviste dans ton mobil-home, tu me raconteras…

Elle me regarda d'un air interrogateur, j'embrassai ses petites lèvres roses et ramassai ma serviette. Elle hésita puis déclara:

- Je reste encore un peu, j'ai chaud, je vais me baigner. Je viens te voir dès que je peux échapper à mes parents.

- Ok, amuse-toi bien.

Je la regardais s'éloigner, ses courbes parfaites et sa taille fine s'ouvrant sur ses fesses fermes et rondes, bien dessinées sous le maillot noir, je la trouvais magnifique. Je me dépêchais de rentrer à la tente, sans répondre aux appels des quelques hommes qui sifflaient sur mon passage. Il n'était pas tout à fait désagréable de susciter de l'intérêt chez tous ces garçons, même si le nu intégral, s'il aidait à capter leur attention, n'en était pas moins un souci pour les repousser lorsque l'envie d'introduire leur petite saucisse entre deux tranches d'abricot bien humide les prenait.

Il était presque 18h, Loïc viendrait-il immédiatement après le massage crapuleux - du moins espérais-je qu'il l'ait été - ou me faudrait-il attendre ? 

- Oh, ouiii, Jean, Jean, baise-moi plus fort, han, c'est bon !

Je ressentis une pointe de jalousie en m'approchant de la tente. Apparemment, la libido de mon mari se portait bien. Il n'avait pas fermé la tente, aussi jetais-je un œil pour voir qui avait choisi de me le voler, cette fois. Une jeune fille au corps fin et délicat, yeux fermés, se faisait prendre en levrette par un Jean extatique, qui souriait comme un saint. Il tenait le cul étroit à pleines mains et donnait des grands coups de reins, pénétrant sauvagement la petite chatte. La jeune femme, brune, cheveux longs, seins pointus, totalement nue, couinait comme un cochon d'Inde en respirant difficilement. Jean me vit et ne ralentit pas la cadence, gamahuchant toujours le sexe de sa jeune naïade.

- Oh, aah, Coralie, hiin, tu es là ? Ah, je te... aah... présente... aaah oui... Annabelle... aah…

La fille ouvrit les yeux, me sourit, et gémit.

- Aaah aaah bonjour aah mmmh aaah !

Elle souriait, ingénue, toute à son plaisir, ne se rendant pas compte que j'aurais dû la fumer sur place pour la punir de baiser mon mari dans mon dos. Il lui caressa le cul et remonta sur ses seins - elle était grande, la salope - continuant à la pistonner comme si je n'étais pas là.

- Elle... aah... m'a demandé... hiiin... de la dépuceler pour... aah... fêter ses 18 ans qu'elle aaaah eu la semaine aaah dernière ! Aaah, j'ai.. obéi... comme tu me l'as... demandé.... oh que c'est bon ! Oh la cochonne !

- Aah Jean, encore ! Encore ! Je vais souffler ta bougie, aaah, tu vas voir ! Viens dans ma bouche !

Il sortit de sa chatte, sa bite était striée de sang. Elle chercha à prendre la bite entre ses lèvres lorsqu'il la retourna, mais il se dégagea, l'allongeant devant lui, écarta les longues jambes et la pénétra sans ménagements. Il s'allongea sur elle et entama une danse rapide, transperçant la petite de ses coups de bite ravageurs. Il avait plus de résistance maintenant, lui qui avait toujours été plutôt rapide à jouir... Je me penchais en avant, déposais un baiser sur les lèvres de la jeune femme, puis embrassais Jean qui s'en aperçut à peine, et les laissais à leurs jeux amoureux. La vengeance viendrait plus tard. Je pris le porte-monnaie et décidais d'aller boire un soda au bar de la piscine en attendant Loïc.

Je n'eus pas à attendre longtemps. J'étais à peine assise sur le siège plastique du bar - les yeux du jeune serveur me laissaient à penser que le pourboire serait à payer en nature - que je le vis, immense, musculeux, short noir, foulard de scout autour du cou, qui se dirigeait vers mon emplacement. Renonçant à ma boisson - au grand regret du serveur - je le suivis discrètement -je ne voulais pas prendre le risque que Laetitia nous voit ensemble - et le rattrapais lorsqu'il tourna dans les thuyas qui cachaient ma tente.

- Hello, beau brun !

- Coralie... enfin !

Je me mis sur la pointe des pieds et l'embrassai sur la bouche. Il sentait l'huile de massage. Il me prit dans ses bras et me serra contre lui, ses mains sur mes fesses qui commençaient à bronzer. Je mordillais ses lèvres, sentant à nouveau mon ventre hurler de désir pour lui, une sensation qui me fit tourner la tête - et mouiller ma petite chatte glabre. Je montrais la tente, d'où s'échappaient toujours des gémissements, des "Oh, Jean !" et des "Remue le cul, petite salope !" qui me firent grincer des dents. Je m'en voulais de ressentir encore cette jalousie après tout ce par quoi j'étais passée…

- C'est occupé, on les rejoindra après si tu veux. Tu as des choses pour moi ?

- Oui, ça avance plutôt bien... Regarde !

Il sortit son téléphone portable d'une poche, choisit la vidéo et j'appuyai sur la touche "play".

- J'ai déclenché le portable avant d'entrer, j'ai bien fait, tu vas voir.

Sur la vidéo, on voyait Loïc frapper à la porte.

"Entrez…"

Laetitia était debout, totalement nue, son corps bronzé exhalant l'arrogance des top-modeles, ses beaux seins bruns appelant la caresse, sa chatte brune coupée court ne cachant rien de ses lèvres bien dessinées. Je pris conscience que Véronique lui ressemblait beaucoup, mais en blonde à la peau pâle.

"Oh, dit Loïc, il ne fallait pas vous déshabiller, ce n'est pas…"

"Ça te gêne ? Je peux mettre un string, si tu le souhaites. Tu me l'enlèveras si nécessaire... "

"Je.. euh...Non, allongez-vous, c'est bien comme ça."

"C'est ce que je pensais- les jeunes hommes préfèrent les femmes nues."

Laetitia s'allongea sur le dos, jambes légèrement écartées, suffisamment pour que Loïc ait une vue imprenable sur la chatte entrouverte.

"Masse-moi les épaules et... les seins."

Loïc posa le portable sur une étagère et prit ses onguents dans sa mallette.

- Là, je bandais déjà, me chuchota-t-il à l'oreille en m'embrassant les épaules. Regarde comme elle mate mon caleçon.

Effectivement, Laetitia suivait des yeux l'entrejambe de son masseur privé, et je devinai que, comme lorsqu'il m'avait massé, sa bite devait dépasser légèrement de son caleçon, un gland gros comme mon poing, appétissant à souhait. Laetitia parlait d'une voix suave.

"Tu masses divinement bien, tu sais... Descends vers mon ventre, jusqu'à...là…"

Elle écarta les jambes. Loïc, à hauteur de la tête, se pencha au-dessus d'elle, caressant ses seins, ses hanches, ses cuisses, le regard rivé sur le sexe scintillant d'humidité.

"Tu peux toucher, tu sais…"

Laetitia entrouvrit la bouche et se cambra, et, attrapant les mains de Loïc, les guida vers sa chatte. Loïc passa gentiment ses doigts sur le clitoris offert, et remonta ses mains lascivement sur le ventre et les seins. Laetitia haletait de désir.

"Je te plais, je le sais," dit-elle dans un râle, "tu bandes, tu as envie de me baiser, petit cochon…"

Elle souriait. Loïc feignit d'être gêné.

"Je...c'est que... vous êtes très belle... "

"Et je suis aussi très bonne... viens-là".

Laetitia se retourna sur le ventre, toujours allongée et fit lentement descendre le short court de Loïc, révélant le sexe immense dans toute sa splendeur.

"C'est ça, viens, mon scout, laisse faire Laetitia.…"

Elle happa la bite avec sa bouche et entreprit une fellation hâtive, mue par un désir incontrôlable. Loïc prit la tête de Laetitia entre ses mains et la guida sur sa pine, afin qu'elle avale le plus possible de l'énorme morceau. Laetitia, une main sous elle fourrageant sa chatte, geignait comme si elle n'avait pas eu de sexe sur sa langue depuis des années, elle donnait de grands coups de menton et enfonçait la bite dans sa gorge à s'en étouffer. Loïc relâcha son étreinte mais elle lui attrapa le membre à deux mains et le masturba frénétiquement en lui léchant goulûment le gland, tandis que le scout lui caressait le dos et les fesses.

"Raah, viens, mets tes doigts dans ma chatte, et donne-moi ta queue !"

Continuant à le masturber, elle engloutit le gros gland et le poussa dans sa trachée, tandis que Loïc enfonçait ses doigts dans l'antre humide.

- Là, chuchota-t-il dans mon oreille, on ne voit pas sur la vidéo, mais j'ai un doigt sur son anus aussi…

Il me caressait les seins de manière insistante.

"Raah, oui, comme ça, c'est bon…"

Laetitia, le cul cambré, branlait toujours activement Loïc, qui, n'y tenant plus, éjacula sur sa langue et son menton en jets puissants. Laetitia cracha le liquide poisseux sur le sexe encore turgescent, déçue.

"Je... suis désolé..." dit-il, "je ne pouvais plus tenir."

Laetitia se releva et vint frotter sa chatte ouverte contre la pine dégoulinante de sperme. Elle était clairement frustrée.

"Demain soir, même heure, ici, je te sauterai et après m'avoir baisée toutes les autres femmes te paraîtront insipides."

- Voilà, il n'y a rien d'intéressant après, si ce n'est qu'une fois que je me suis rhabillé, elle m'a roulé une pelle d'enfer.

Je posais un baiser sur ses lèvres tandis que ses mains descendaient délicieusement sur mon ventre.

- Pourquoi tu ne l'as pas sautée ? Tu n'as pas pu te retenir ?

Il me fit un clin d’œil malin.

- Je voulais la frustrer. Déjà, c'est ton ennemie, je ne vais pas lui faire du bien comme ça, elle peut attendre un peu - mais c'est une vorace, ta copine ! Deuxième raison, je veux qu'elle soit complètement folle quand je lui céderai, et que ça se voit sur la vidéo. Enfin... la récompense que tu m'as promise vaut bien quelques efforts de ma part pour te contenter…

Je l'embrassais à nouveau. Je lui avais promis une sodomie lorsqu'il me donnerait un film au moins aussi compromettant pour Laetitia que celui qu'elle avait du concours des Miss l'était pour moi. Chantage pour chantage. L'heure de la vengeance froide approchait. J'allais me la payer cette poufiasse.

- Tu es mignon. Viens.

Je le guidais vers la tente, juste à l'entrée, attrapais une serviette, et lui enlevais son short.

- Tu sais, je viens juste de... Je veux dire... Ça va être un peu mou.

- Oh, petit poussin... Je vais te le faire grandir, ton bâton de joie…

Je le fis s'agenouiller sur la serviette, de manière à ce qu'il me tourne le dos et que son sexe pendouille dans la tente où s'ébattaient toujours mon mari et sa jeune fille juste déflorée. J'entrouvris le battant en tissu, et saisis le grand braquemart de Loïc.

- Jean, retourne la petite, j'ai une sucette pour elle…

Jean comprit mon idée et allongea Annabelle, complètement surexcitée, sur le dos et la pénétra à nouveau aussitôt, il semblait la trouver vraiment à son goût, la petite pute. Sa bouche très féminine se trouvait ainsi juste sous le sexe grandiose, elle rit en haletant toujours.

- Ouh, la grosse bougie, mmmh.

Elle ouvrit grand les mâchoires et entreprit de sucer Loïc tandis que, juste derrière lui, je dirigeai la queue à deux mains en le masturbant. Je lui mordillais les épaules et le creux du dos.

- Laisse-toi faire, petit amour, on va te régaler.

Le membre fatigué se réveilla bien vite, je le poussai dans la gorge vierge, en le branlant sur toute sa longueur. Je plaquai mes seins sur le dos musclé, jambes écartées par-dessus ses mollets, essayant difficilement d'y frotter ma chatte trempée. Je dus bien avouer que la nana en avait sous le capot. Elle avala facilement les trois-quarts du sexe terrible de Loïc, la tête renversée en arrière, et appréciait manifestement de lécher ses couilles poilues - qui pendaient juste au-dessus de son nez - en le branlant habilement - il y avait la place pour nos quatre mains sur la pine enchanteresse.

Jean, de son côté, n'avait aucun problème à la satisfaire, il en redemanda, plongeant dans la jeune chatte comme dans du beurre. Il s'allongeait parfois totalement sur elle, la plombant de coups de bite ravageurs, ses yeux ne quittaient pas la fellation majestueuse que sa conquête offrait à mon scout. Il lui mordit la joue d'un air salace.

- Tu... aah... ne veux pas...aaah... sucer la mienne aussi ?

- Aah...mmmh...ouiiii…

Jean extirpa son engin de l'antre chaud et le présenta à la belle, qui le happa, en rythme, alternant l'une et l'autre des bites avec un entrain frais. Loïc se pencha en arrière et me dit à l'oreille:

- Va la sucer, je veux te mater.

- ça t'exciterait ?

- Oui.

Je me glissai dans la tente et, le cul bien en vue de Loïc et de Jean, j'entrepris de lécher l'intimité de la donzelle. Je posais ma langue sur son clitoris et enfonçai mon nez entre ses grandes lèvres. Le parfum fort de son excitation me satura vite les narines, je suçais fébrilement l'antre doux, à grands coups de langue et la pénétrant avec mon nez menu. Elle frissonnait, gémissait, défaillait de plaisir, et, lorsqu'elle passait d'une bite à l'autre, elle couinait:

- Oh oui oui oui, plus vite, plus vite, mmmmh.

Elle engloutissait alors une pine, et me tenait la tête à une main pour que je descende plus bas, que ma langue se trouve à hauteur de sa vulve, et s'y enfonce profondément. Je léchais son périnée et son petit trou, et fus satisfaite de l'entendre s'écrier:

- AH, oui, là, comme ça !

La pression de sa main sur mes cheveux s'accentua, elle se tendit comme un arc et me guida sur son anus, que je dégustais avec un plaisir, remarquant à peine les doigts de l'un des deux garçons qui jouaient dans mon vagin. Je m'activais plus précisément entre le bas de sa fente, son périnée et son petit trou, langue en pointe, et y promenai un doigt pour accentuer le torrent de sensations.

- Aooh, oui, comme ça, comme ça...!

J'avais le nez trempé de jus, je salivais abondamment, et embrassais la zone intime comme j'aurais embrassé la bouche d'un amant que je n'aurais pas vu depuis une éternité. Je souris de sentir le sexe de Loïc se frayer un chemin en moi. Je remontais sur le ventre de la nana, mes doigts virevoltant habilement dans la touffe pubère, et jetais un œil en arrière. Jean se masturbait dans la bouche grande ouverte, les yeux rivés sur la cambrure de mon cul et sur Loïc qui me pistonnait de plus en plus rapidement, les mains sur mes seins.

La petite m'appuya à nouveau sur la tête, écarta les jambes et me plaqua la bouche sur sa chatte, imprimant un mouvement pour que je suce anus et périnée au passage. Loïc se crispa en moi, je devinai qu'il éjaculait le reste de sperme non récolté par Laetitia, puis sortit de mon sexe humide et s'affala dans la tente.

La donzelle se tendit soudain, en exprimant des râles étouffés. Je ne ralentis pas ma caresse buccale, espérant prolonger sa jouissance, certainement la première du genre - je la comprenais, n'ayant ressenti moi-même ces sensations pour la première fois que quelques jours auparavant. Lorsqu'elle se détendit, je donnais encore deux trois coups de langue pour faire bonne mesure, puis quittai l'antre chaud. Je remontais le long du long corps féminin, et comme Jean se masturbait toujours au-dessus de son visage, je vins m'allonger à côté d'elle, l'embrassais sur la bouche, et me serrais contre elle, les yeux sur la queue qui s'agitait au-dessus de nous. C'en fut trop pour mon mari, qui jouit enfin, le sperme tomba en gouttes épaisses sur nos visages, et la petite se mit à rire en chantonnant la mélodie "Joyeux anniversaire".

Jean approcha son sexe souillé des lèvres fines, la bouche s'entrouvrit, et elle attrapa le sperme congelé avec sa petite langue et s'en régala, grimaçant à peine.

- Ma première bougie, dit-elle en riant.

Il vint se coucher à ses côtés, se serrant contre elle.

- Joyeux Anniversaire, Annabelle, dit-il en chuchotant.

- Merci pour le cadeau, c'était génial, répondit-elle sur le même ton.
 
Je sentis Loïc se lover contre mon dos et m'embrasser les épaules. Je fermais les yeux et m'endormis sans m'en rendre compte.

A suivre...

jeudi 25 mars 2021

La nouvelle vie de Julie Ch. 01

 Texte de gkcdqho

Julie fait la connaissance de ses voisins.

Elle s’appelle Julie, elle a 48 ans, mariée, un homme souvent en déplacement. Elle est maman de deux grands enfants qui ont quitté le nid familial. Il y a maintenant deux ans que son dernier a pris son envol la laissant seule à la maison. La situation professionnelle de son mari fait qu'elle n’a jamais eu besoin de travailler, elle en vit très bien. Dans cette situation, sa vie sociale s’étiole.

Julie mesure 1.68 m pour 68 kilos, vous l’aurez compris, elle est relativement en chair. Elle a les seins qui rentrent dans du 90 B qui ballottent à chacun de ses pas et qui font tourner les têtes... Elle a de jolies fesses rondes et rebondies. Elle a toujours aimé être regardée par les hommes, qui qualifient Julie de bourgeoise. Toujours bien habillée et maquillée, elle aime se montrer.

Julie n’a jamais trompé son mari, qui malgré ses absences, est un amant formidable. Adolescente elle était dans un internat pour jeunes filles, elle adorait pervertir ses camarades de chambrée. Nombreuses sont les nuits où elle a abusé de l’une d’entre elles…

Maintenant elle s'est calmée, déjà parce que son statut de maman avait mis sa libido au repos, et aussi le manque d’occasion.

Tout a commencé un mois plus tôt avec l'arrivée de nouveaux voisins. Elle observe discrètement de la fenêtre de sa cuisine les déménageurs qui apportent les meubles dans le pavillon juste en face du sien. Le quartier résidentiel ou elle habite avec son mari est très calme, très bourgeois. Que des gens bien dans ce lotissement.

La nouvelle famille qui s'installe en face de chez Julie est d'origine africaine. Le chef de famille est très impressionnant à regarder. Très grand, plus d'1,90m facile, le crane rasé, très musclé. Sa femme est très belle, leur fils est également très grand comme son père.

Julie observe le chef de famille qui, donnant un coup de main aux déménageurs, prend un carton. Il a enlevé sa chemise, il est torse nu, il soulève le carton a priori sans effort. Julie avoue être impressionné par sa musculature.

L'été était bien installé. Julie passe ses journées seule à la maison. Heureusement il y a la piscine, elle en profite au maximum. Julie aime se prélasser au soleil pour se faire bronzer. Tout son corps, sans aucune exception, a une jolie couleur dorée, aucune marque disgracieuse ne vient couper l'harmonie de son bronzage.

La piscine est bien exposée plein sud, le soleil la chauffe presque toute la journée. Elle est située derrière la maison à l'abri des regards. Une haie la protège des voisins situés à l'ouest, la famille de noirs, qui vient d'aménager récemment. Son mari veut remplacer la haie et il a enlevé le grillage rouillé qui se trouvait derrière. Il est absent pendant deux semaines pour son travail.

Au sud une haie d'arbuste assez haute la sépare de la maison voisine, un ménage très gentil, déjà assez âgé. Ils doivent avoir environ soixante-cinq ans si ce n'est plus, le vieux monsieur l'épie souvent.

Il fait très beau et très chaud cet après- midi. Julie se dirige à sa place habituelle au bord de l'eau. Elle porte, un tout petit calicot rose pâle très transparent. Julie n'a pas mis le haut de son maillot de bain. Elle étale sa serviette à même le gazon et s’assoit dessus. Elle pose son bouquin érotique, enlève le petit calicot, le pose à côté d'elle. Julie délace les lanières qui retiennent la culotte de son maillot de chaque côté de ses hanches et l'enlève. Julie est nue, comme toutes les après midi pour prendre son bain de soleil tranquillement. Les oiseaux, la bercent de leur chant, le ciel est d'un bleu limpide. Julie est sur le ventre, la lecture de son bouquin érotique l'excite. Elle n’en peut plus, c’est trop excitant. C’est mal, mais elle a besoin de se faire du bien. Ses mains descendent vers le bas de son ventre, elle commence à se caresser sans quitter son livre des yeux.

- Alors, la lecture te plaît ?

Julie sursaute en entendant la voix grave derrière elle. Julie se relève d'un bon. Elle n’a pas le temps de se retourner, des mains passent autour de sa taille et la serrent.

- Qu’est-ce que vous faites ?

L’homme qui la domine est le fils du voisin noir, d’une vingtaine d’années aux cheveux taillées très court. Ses yeux noirs brillent d’une lueur avide. Il est grand, largement plus d’un mètre quatre-vingt. Il l’immobilise de ses bras puissants.

-  Chut, pas si fort ou sinon les autres vont t’entendre. Ce serait dommage. Tu te fais du bien toute seule en lisant ton livre ?

-  Non.

Julie ne peut pas lui avouer qu’une femme avec une éducation comme la sienne puisse s’adonner à une telle activité.

- Ah ! Alors c’est par hasard si tu te caresses depuis cinq minutes ?

Julie se sent rougir. Elle a honte d'elle. Julie cherche une réponse à lui opposer quand elle sent que l’une de ses mains sur son ventre glisse vers sa raie des fesses.

-  Arrêtez ou je crie.

-  Attend au moins que je te mette ma queue dans ta chatte.

Julie est parcourue d’un frisson.

- Vous n’allez pas me violer ?

- Bien sûr que non. Qui parle de viol puisque c’est toi qui vas me demander de t’enfiler.

Il se serre contre elle. Julie sent son sexe dressé contre ses fesses. Elle a l’impression qu’il a un sexe énorme. Julie devrait se débattre, tenter de se libérer, mais elle reste passive. Elle est troublée. Mais qu'est ce qui lui arrive ?

On peut être une femme fidèle et avoir des fantasmes très intenses. Julie a toujours rêvé d’être prise par un inconnu vigoureux. 

Ce trouble profite à son inconnu pour faire avancer de nouveau sa main. Ses doigts descendent et rentrent en contact avec ses poils pubiens taillés en ticket de métro avant qu'elle n’ait le temps de réagir. Il les frotte avec force et continue sa descente écartant ses lèvres vaginales.

-  J’en étais sûr. Tu es trempée. Ta chatte n’attend que ma bite.

- Non.

- Mais si. Regarde.

Il sort sa main de sa grotte et la présente devant son visage. Ses doigts sont brillants de mouille. Ils les posent sur ses lèvres qu'elle garde fermées. Ça le fait rire et il remet sa main entre ses cuisses sans qu'elle ne s'y oppose.

De son autre main, il se saisit de son poignet gauche qu’il ramène dans son dos. Julie rencontre son torse musclé. Il guide sa main vers son caleçon et plonge dedans. Julie a un frisson en sentant le bout de ses doigts toucher son sexe dressé. Il lui libère sa main qui reste là à savourer ce sexe d’une taille qui lui est inconnue. Sa main remonte vers le haut pour empoigner avec force sa poitrine.

- T’as vraiment de bons gros nichons. Ça doit être très agréable de se branler avec.

Il malaxe ses seins avec forces, pince ses tétons. Julie a de plus en plus chaud. Elle est si excitée qu'elle ne se rend même pas compte qu'elle a commencé à le branler.

-  Tu la veux. Hein ? Tu la veux ma salope ? Tu veux que je t’enfile avec ma grosse bite.

-  Oui, soupire Julie

-  Non, mieux que ça salope.

-  Prends-moi.

Sa main sur sa poitrine se referme durement dessus.

-  Applique-toi. Sois honnête. Exprime-toi comme la salope que tu es.

-  Enfile-moi ! Prends-moi comme la salope que je suis.

Sa main abandonne sa chatte pour la faire descendre le long de ses cuisses. Il guide ensuite son sexe dur comme du béton à l’entrée de son puits d'amour pendant que l’autre main quitte ses seins pour venir se poser sur sa bouche. Sans la moindre tendresse, il perfore sa chatte d’un coup de reins d’une violence inouïe. Sa main sur sa bouche est là pour étouffer son cri et empêcher qu’on les surprenne.

Jamais Julie n’a eu un sexe d’une telle taille en elle. Julie a l’impression que son vagin va éclater. Elle n’a pas le temps de s’habituer à l’intrusion de ce sexe monstrueux, qu'il le retire complètement pour mieux lui le remettre. De nouveau, il étouffe un de ses cris. Pendant plus d’une minute, il recommence le même mouvement pour le même effet. Julie a la chatte en feu. Il la pousse tout en la pénétrant vers l'arbre qui fais de l'ombre à la terrasse ?

- Pose tes mains sur l’arbre et serre les dents, que je puisse te prendre comme tu le mérites, salope.

Docilement, elle lui obéit. Julie prend appui sur l’arbre devant elle.

- Cambre-toi. Montre-moi comme tu veux ma bite, sale chienne.

Julie se cambre autant qu'elle le peut prenant une pose aussi indécente que possible. Il pose ses deux mains sur ses hanches qu’il empoigne avec force et d’un coup puissant la transperce de nouveau. Julie étouffe à grand-peine un cri. Cette fois, plus question pour lui de s’amuser, il la prend dans une série de va-et-vient rapides et puissants. Son amant la tire brusquement par les cheveux et bascule sa tête en arrière vers lui.

- Maintenant tu vas pouvoir te lâcher. Fais-moi entendre ta voix de salope.

Il se met à la pilonner comme un fou furieux. Julie essaie au début de se retenir par peur d’être entendue, mais il va trop fort et lui fait trop de bien. Sa grotte dégouline autour de sa bite qui la ramone en profondeur.

- Tu la sens ma bite, salope. C’est autre chose qu’avec ton cocu, je parie.

Son mari est bien membré, en tout cas ça n’a rien de comparable avec ce sexe qui redessine l’intérieur de son vagin à grands coups de reins, jamais il ne l’a prise avec une telle intensité durant toutes ses années de mariage. Julie qui s'est habitué à leurs petits missionnaires, là elle perd pied devant ses assauts si puissants, si virils. Julie sent un orgasme monter, plus puissant que jamais. Elle s’abandonne au plaisir et explose dans un long cri de jouissance.

- OUIIIIIIIIII !!!

Julie bascule en avant, ses jambes la portent à peine. Son orgasme ne calme pas les ardeurs de son amant qui continue de la bourrer avec la même force. Encore en pleine jouissance, elle remarque la présence du père de son amant qu’au moment où celui-ci se tient juste devant elle.

- Alors Moussa, tu t’amuses bien à ce que je vois. Elle est comment ?

- Elle est bien baisable, mais elle ne vaut pas la petite Nadia, papa.

- Une sacrée salope celle-là. Il m’a fallu une semaine pour pouvoir la tringler, mais ça valait le coup.

- Dommage qu’elle reparte ce soir, on aurait bien pu s’amuser avec maintenant que tu l’as décoincée.

- Je crois que tu nous as trouvé de quoi nous occuper.

- Clair ! Admire un peu ces seins comme ils se balancent quand je la bourre.

Pour bien montrer l’effet produit, Moussa lui donne de puissants coups de reins sur toute la longueur de son sexe qui la secoue et lui fait bouger ses seins dans tous les sens.

- Pas mal.

Le papa, empoigne l’un de ses seins et le masse énergiquement.

- Ils sont bien gros et lourds. Comment elle s’en sort avec la bouche, elle suce bien ?

- J’en sais rien, je n’ai pas eu le temps de vérifier. Elle était tellement excitée par la lecture de son bouquin, que je l’ai fourrée direct comme une bonne salope.

- Et bien, on va vérifier ça tout de suite.

Le papa lui saisit les cheveux et la force à se pencher jusqu’à se retrouver devant son short qui disparaît pour laisser apparaître son gros boudin noir.

- Ouvre ta bouche, salope.

Julie est gênée et il appuie sur les épaules pour la faire se pencher. Son énorme queue est près de sa bouche.

- Mets la dans ta bouche.

Julie s'exécute. Fascinée par ce sexe devant elle, Julie ouvre la bouche sans réfléchir. Elle a la bouche grande ouverte pour pouvoir l'absorber et il donne un coup de rein pour mieux l'enfoncer dans sa gorge.

- Mieux que ça !

Julie étire ses mâchoires au maximum permettant au voisin de faire entrer son sexe dans sa bouche. Il ne bande pas encore, elle a pourtant l’impression d’être déjà totalement remplie. Elle a du mal à le sucer tellement elle est imposante.

- Suce-moi. Savoure ma bonne queue d’ébène au parfum épicé.

Ces paroles l’enivrent et sa langue s’agite avec gourmandise sur cette bite qui promet des moments délicieux.

- Alors, c’est une bonne suceuse ?

- Pas terrible, mais on va remédier à ça. Ton mari est absent pour combien de temps en sale pute de bourge ?

- Deux semaines, avoue Julie entre deux gémissements.

- Largement assez pour faire de toi la reine des vieilles putes. Et tu es toute seule ?

- Seule, dis-je dans un long feulement.

Moussa la prend avec plus de force en riant. Il est excité à l’idée de pouvoir la tirer tranquillement pendant aussi longtemps.

- Parfait, déclare le voisin. Première leçon. Les putes comme toi, quand elles ont une queue dans la bouche, elle l’avale en entier, peu importe leur taille.

Sa main dans ses cheveux accentue sa prise pendant qu’il enfonce un peu plus son sexe dans sa bouche jusqu’à atteindre sa gorge dont il essaie de forcer le passage. Jamais un sexe n’est allé aussi loin. Julie a l’impression quelle va étouffer. Elle tente de le retenir, de le repousser, mais Moussa se saisit de ses deux poignets qu’il verrouille dans son dos.

Issa, le voisin incline sa tête sur le côté pour une meilleure pénétration. Après de nouveaux efforts, il parvient à ses fins et son gland force le passage de sa gorge, Julie se retrouve finalement les lèvres écrasées contre ses poils pubiens. Julie pleure, elle a l’impression qu’il va lui déboîter la mâchoire et en même temps elle est sur un nuage. Elle a tout son sexe en elle.

- D’ici à ce que ton cocu revienne, tu m’avaleras sans difficulté comme une bonne pute.

Et il recommence à lui déboîter la mâchoire.

- Deuxième leçon, dit Moussa. Tous tes trous nous sont offerts.

Sans arrêter de la besogner, il pose un pouce sur son anus. Il exerce plusieurs pressions dessus avant de finalement parvenir à en forcer le passage. Julie pousse un cri que la bite d'Issa étouffe complètement.

- Cette salope n’a pas l’air d’avoir l’habitude de se faire enfiler par là.

- J’adore éclater les culs serrés, dit Issa en riant sans s’arrêter de malmener sa gorge.

L'anus de Julie n’a plus connu la visite d’un sexe bien avant son mariage il y a plus de vingt-huit ans.

- On échange ? J’ai la bite bien dure.

Moussa lui donne un dernier violent coup de reins avant de laisser la place à son père qui s’enfonce en elle sans aucune douceur et commence immédiatement à la ramoner. Malgré ce qu'elle a déjà pris, elle sent nettement la différence de taille entre leurs sexes. La sensation de sa grotte d'amour qui se dilate encore un peu plus est délicieuse. Devant elle, Moussa lui empoigne durement les cheveux pour lui présenter sa queue brillante.

- Viens goûter à ta mouille de chienne.

- Attendez ? Je suis d’accord pour que vous vous amusiez avec ma bouche et ma moule autant que vous voulez, mais laissez mon anus tranquille.

Moussa la gifle durement tout en souriant.

- Tu rêves, salope. Ton cul de chienne, on va te le prendre et tu vas nous dire merci.

Moussa ne lui laisse pas le temps de protester davantage, il enfourne sa bite dans sa bouche et la besogne de toute sa longueur comme il le faisait dans son vagin un instant auparavant. La différence de taille ne rend pas l’expérience plus supportable pour autant. Julie a la gorge en feu. Et pourtant elle aime ça, elle prend son pied comme jamais.

Julie se sent soudain vide quand les deux hommes la libèrent de leur sexe au même moment. Elle reste un moment courbé. Julie est sur un petit nuage. Elle attend qu’ils s'échangent de trous, mais ils ont d’autres projets. Issa lui claque violemment les fesses.

- À quatre pattes, Salope. Mets-toi dans ta position naturelle de chienne.

Julie leur obéit sans hésiter un instant, se moquant de la façon dont ils se comportent avec elle et lui parlent, car elle doit en fait se l’avouer, elle adore ça. Elle, la femme mariée et auparavant si sage prend un plaisir monstrueux à être humiliée et utilisée ainsi par ces deux voisins.

Moussa vient se placer derrière elle et s’agenouille. Il présente sa bite à l’entrée de son cul. Ça y est, son cul va de nouveau accueillir une bite, elle ne cherche même plus à s’y opposer. Julie peur de ce qu’il va lui faire tout autant qu'elle le désire. Son gland appuie sur son anus, mais malgré la pression qu’il exerce il n'y parvient pas à y rentrer. Elle l’entend râler. Il envoie un mollard épais en plein sur son œillet qu’il fait entrer en enfonçant brusquement son pouce. Le passage graissé, il retente sa chance pour peu d’effet. Énervé de ne pas y arriver, il lui empoigne férocement les hanches et appuie de toutes ses forces. Son gland force brusquement l’entrée et lui arrache un cri aigu.

- AEIII ! Doucement !

- Ta gueule, pétasse, ou je laisse à papas le plaisir de t’élargir le cul. Crois-moi, il vaut mieux pas que ce soit lui qui s’en occupe.

Julie a peur qu’il la déchire, mais maintenant que le gland est entré, le reste suit avec beaucoup plus de facilité qu'elle n’aurait cru. Julie le sent quand même sacrément passer. Pas un instant il ne lui laisse pas le temps de s’habituer, il force son passage toujours plus loin dans son anus surchauffé. Arrivé au bout, il lève ses mains qu’il abat de toutes ses forces sur ses fesses.

- Jusqu’à la garde ! Tu la sens ma grosse bite dans ton cul de chienne. T’aimes ça, grosse salope.

- Mon Dieu, tu vas me déchirer. Sors, sors !

Moussa se retire de moi dans une lente délivrance. Mais elle n'est pas entre les mains d’un homme, mais d’un mâle voulant la dresser et la faire sienne. Julie n’a plus que son gland en elle quand il se lance soudain de nouveau à l’assaut de son cul et l’embroche de toute la longueur de son sexe.

- AARRF ! AAAH !

Fier de lui et du cri qu’il lui a arraché, il se retire de nouveau pour mieux la reprendre. Julie n’arrête pas de crier, elle a le cul en feu. Elle souffre le martyre et pourtant elle sent monter en elle une pointe de plaisir. Il la déchire, et elle commence à aimer ça. Il continue son travail de démolition de son anus qui lui oppose de moins en moins de résistance.

- Le passage est fait !

Il se retire de son anus. Il pose ses mains sur ses fesses qu’il garde écartées pour admirer le spectacle. Son anus est rouge, il n’arrête pas de s’ouvrir et de se refermer. Issa présente sa matraque à l’entrée du cul de Julie. Dès que son gland est dans ses reins, Elle sent la différence de calibre, elle pousse un long feulement à mesure qu’il s’insinue dans son ventre. Il arrive vite à la profondeur de Moussa avant d’investir des zones encore vierges.

- Une vraie chienne, elle m’a avalé en entier direct.

Il se lance dans les mêmes assauts que son fils pour le même effet. Julie a mal. Mais et elle aime ça.
Quand il laisse sa place à son fils, celui-ci rentre en elle sans problème. Son cul est définitivement grand ouvert. Il se lance aussitôt dans des coups de reins puissants qui la font couiner.

- T’aimes te faire ouvrir le cul, salope.

Julie pousse un long soupir qui ne le satisfait pas et il lui claque durement les fesses.

- Dis-le !

Toute honte bue.

- J’adore me faire éclater le cul. Je suis votre chienne.

- Et on va bien te dresser.

Plus rien ne retient ses deux amants qui se relaient dans son cul avec une énergie et une force qui lui donne un plaisir terrible.

- Troisième leçon. Peu importe d’où sort une bite, tu la suces.

Malgré l’odeur que dégage le sexe dressé de Moussa devant elle, Julie ouvre machinalement la bouche où il s’engouffre. Elle a des haut-le-cœur. Julie salive abondamment pour atténuer le goût pendant qu’il lui baise la bouche. Pendant ce temps, son père ravage son cul avec force. Une fois son sexe bien propre, Moussa retourne investir son cul tandis qu’Issa lui offre sa poutre noire parfumée à sucer.

Ils répètent l’opération de nombreuses fois. Julie ne sait pas si elle finit par s’habituer au goût ou si à force son cul est un peu plus propre, mais elle est de moins en moins écœurée par le goût de leur sexe.

- On va la finir comme elle le mérite.

Moussa s’allonge devant Julie. Issa passe ses bras musclés autour de ses cuisses et sans quitter son cul il la porte au-dessus de son fils. Il la descend vers sa bite dressée impatiente d’investir de nouveau son puits d'amour. Le gland de Moussa ouvre doucement ses lèvres vaginales. La sensation est décuplée. Julie n’arrête pas de gémir à mesure que sa bite disparaît dans son puits. Sa bite est à moitié investie quand Moussa prend le relais de son père. Il la porte à sa place avant de l’attirer brusquement vers lui faisant disparaître toute sa bite.

- Ah !

Julie est ainsi bien pleine. Issa se remet en action, rapidement rejoint par son fils. Ils la prennent dans de longs mouvements amples, sa chatte et son cul sont stimulés à l’extrême. Julie en a la tête qui tourne. Jamais elle n’aurait imaginé prendre un tel plaisir. Rapidement les deux mâles s’accordent pour prendre leur voisine d’un même rythme. Julie n’arrête pas de gémir.

- Écoute-la couiner, cette chienne. Sa première double et elle prend son pied.

- C’est une bonne grosse salope. On va bien la dresser.

- Oui ! Je suis à vous ! Prenez-moi ! Encore ! Encore !

Ses deux amants éclatent de rire. Ils s’amusent de sa réaction. Il continue de l’insulter et ça la fait encore plus décoller. Ils la bourrent comme la dernière des salopes, ils lui claquent le cul et les seins, et elle n’arrête pas de jouir.

- Putain, je vais bientôt jouir.

- Moi aussi.

Julie reprend ses esprits et réalise soudain qu’aucun d’eux n’a mis de capote.

- Pas en moi. Laissez-moi vous boire.

Ses deux voisins ne l’entendent pas ainsi. Ils affermissent leurs prises sur Julie et augmentent l’intensité de leurs assauts. Julie bien tente de les convaincre de ne pas jouir dans ses puits d'amour, mais ses mots se perdent au milieu de ses gémissements.

- Quatrième leçon. Une chienne, ça se fait remplir tous ces trous de spermes, gémit Issa.

Dans un dernier coup de reins phénoménal, ils l’embrochent aussi loin qu’ils peuvent et hurlent.

- Salope !

Mais lorsqu'il lui renverse la tête vers lui, il enfourne sa grosse langue dans sa bouche, en lui prodiguant un baiser fabuleux, quand elle sent les énormes soubresauts de la bite qui vide sa semence au fond de ses entrailles, Julie explose, elle crie sa jouissance.

- OOUUU ! Oui ! Oui ! OUIIII !

Julie sent leurs bites exploser au même moment. Leur sperme l’inonde provoquant chez elle un orgasme dévastateur. Ils n’arrêtent pas de jouir. Julie avait oublié la sensation que cela fait de se faire remplir d’autant de sperme depuis le temps que son mari n’est plus capable que d’envoyer que quelques giclées. Là, ces bites qui continuent d’être dures même après avoir joui.

Julie s'écroule sur le torse du fils, qui en profite pour lui donner un autre baiser. Issa est le premier à se retirer. Julie se sent vide sans sa grosse poutre entre ses fesses.

Son anus béant se contracte évacuant progressivement le sperme. Il y en a tellement. Julie peine a imaginée à quel point il a inondé ses intestins de foutre. Tout ce jus s’écoule sur les couilles de Moussa qui finit par se désolidariser de sa voisine. Il la maintient au-dessus de lui le temps que son vagin laisse ressortir son sperme.

Issa l’attire par les cheveux et la force à reculer puis il ramène sa tête juste au-dessus de la bite de son fils englué sous le sperme.

- Tu voulais boire notre jus, salope ? Fais-toi plaisir. Nettoie.

- Leçon numéro cinq. Une chienne nettoie les queues de ses maîtres entre chaque saillie.

Julie se penche sur le sexe de Moussa et tire la langue pour récupérer la crème blanche qui l’en recouvre. Le goût est fort, surtout celui du sperme sur ses couilles parfumées par son cul, mais elle s’en moque. Julie adore le goût de ces hommes, des mâles.

Une fois la queue et les couilles de Moussa complètement nettoyés et brillants de salive, d'elle-même, elle se tourne vers son père qui l’accueille avec un large sourire, heureux de sa réaction. Julie fait disparaître de son sexe d’ébène toutes traces de leurs ébats, de la saillie.

Puis, pour se rafraîchir tout le monde entre dans la piscine, en espérant n'avoir pas ameuté tout le voisinage avec leurs ébats....

Julie questionne ses amants.

- Par où vous êtes entrés ?

- Il y a un trou dans la haie, j'ai voulu voir où ça menait, et c'est là que je t'ai vu nue.

- J'ai vu mon fils disparaître dans la haie, alors j'ai suivi et me voilà !

- T’es une bonne chienne, on va bien s’occuper de toi.

- Tu crois qu’on doit s’en occuper nous-même ou on la présente à p…..... ?

- C’est sûr qu’il s’ennuie depuis qu’il a fini l’éducation de ta dernière copine ? Mais tu crois qu’elle supportera son examen de passage ? Il en a estropié plus d’une.

- Ouais, c’est pas un tendre, mais c’est toujours un sacré spectacle et j’ai trop envie de le voir la dresser pour en faire une bonne voisine vide couille.

L’excitation retombant, Julie commence à s’inquiéter de ce P....... et de ce qu’il pourrait bien lui faire.

-Vous savez les garçons, vous êtes tout ce dont j’ai besoin. Je peux être rien qu’à vous pendant les jours d'absences de mon mari.

- Leçon numéro six, les chiennes obéissent à leur maître sans poser de question.

Issa l’observe de longues secondes avant de se mettre à sourire.

- T'as raison papa ! On l’emmènera la faire éduquer par P...... ?


A suivre...

mardi 23 mars 2021

Susan, la pute du bureau Ch. 02

Texte de Georges VI traduit par Coulybaca.

Suite de l'asservissement de Susan.

Chapitre 7 : A la disposition du staff.

Susan rentrait tout juste d'un déjeuner avec un autre client, ce bâtard s'était débrouillé pour la doigter sous la table toute la durée du repas. Comme Gary lui interdisait le port de petite culotte sous ses jupes courtes, dès qu'elle s'était assis dans le bureau de ce client il avait eu un excellent point de vue sur son intimité, visiblement il avait été ravi de cette absence de sous-vêtement. Elle était pratiquement sûre, d'avoir involontairement allumé les quatre jeunes hommes qui se trouvaient à l'opposé de leur table, au restaurant, lorsqu'elle avait pris place écartant en grand ses cuisses.

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Mais ce n'était pas pire que la semaine précédente lorsque Gary lui avait fait lire une circulaire concernant la nouvelle prise en charge des frais professionnels devant le staff des vendeurs.

Gary était absent du bureau ce jour-là, mais il lui avait laissé des consignes lui enjoignant de porter sa plus courte jupe sans petite culotte. Elle avait triché et enfilé une paire de collants, mais les ordres de son patron lui enjoignaient de s'asseoir cuisses écartées sur un tabouret face à son public pour détailler les points critiques de sa lecture.

Elle était heureuse de porter ses collants, mais comme c'était sans culotte elle se sentait exhibée à leurs regards, sa courte jupe remontait sur ses cuisses en dépit de ses efforts pour la redescendre, elle savait que les hommes des premiers rangs devaient distinguer sa toison sous la trame de ses collants et encore plus lorsqu'elle devait s'étendre pour pointer un point particulier sur l'écran.

Au centre du premier rang se tenait Phil. Il avait été son premier supérieur lorsqu'elle était entrée dans cette boite dans le département escompte. Phil ne se serait jamais permis de lui faire faire les choses que Gary lui imposait maintenant pensait-elle émue. C'était un homme posé, attentif, entièrement chauve, il portait des lunettes. Il était marié, mais il se montrait si réservé et serein qu'elle n'avait jamais pensé à lui comme un objet sexuel. Elle avait très envie de lui confier le chantage qu'elle subissait, elle ne voyait personne d'autre à qui en parler.
 
La présentation terminée, le groupe sortit alors que Susan se tournait vers son équipement bureautique. Phil était resté en arrière attendant que tout le monde soit parti. Il s'approcha de Susan.

- Susan, si j'avais su que vous vouliez utiliser le sexe pour grimper dans la compagnie, vous auriez avancé rapidement dans mon département.

Susan qui s'était rendu compte de la façon qu'il avait eu de contempler sa foufoune, comprenait ce qu'il voulait dire, elle était certaine qu'il avait entendu parler de ses dernières aventures. Elle aurait voulu se confier à lui, lui raconter la vérité, mais avant qu'elle ouvre la bouche, il la serrait contre le mur mais sur ses hanches.

- Si j'avais su que vous étiez si facile, il y a longtemps que j'aurai fait cela lorsque vous travailliez sous mes ordres.

Sa main droite courait sur sa taille remontait pour empaumer son nichon gauche le pinçant au travers de son soutien gorge.

- Oh Phil ! pleurnicha-t-elle.

Mais comme elle ne lui opposait aucune résistance physique il posa sa main gauche sur son nibard droit refermant les doigts sur ses collines jumelles. Ses tétons ne tardèrent pas à tarder sous ses caresses lascives. Elle regardait son tourmenteur d'un oeil résigné.

Il descendit ensuite sa main gauche sur ses flancs gagnant le bas de sa hanche, la glissa sous sa jupe dans le dos, il lui pétrit alors les fesses au travers de ses collants. Il se tenait du coté droit de Susan, il remonta sans vergogne sa courte jupe sur sa taille, trouva la ceinture élastiquée de ses collants et glissa la main dans ses collants malaxant alors ses fesses nues.

Puis il opéra de même sur le devant empaumant sa chatoune d'une main envahissante. Alors que son index gauche courait de bas en haut dans sa raie culière, et son majeur droit dans sa fentine engorgée de cyprine, ses doigts se rejoignant à chaque aller-retour.

Susan crispa ses fesses sous deux doigts naissaient des éclairs électriques qui déferlaient dans son bas-ventre.

Phil descendit ses collants sur ses chevilles, Susan enleva ses chaussures et enjamba alors les collants.

Le comptable d'âge mûr, déboucla sa ceinture et descendit sa braguette avant de sortir une épaisse bite bandée. Il s'accroupit légèrement, leva le genou gauche de Susan et enfouit sa bite raidie dans sa petite chatte accueillante. Il la sauta debout contre le mur, il avait empoigné ses fesses et ses cui-ses et la bourrait consciencieusement.

- Avez-vous idée du temps que je suis resté assis dans mon bureau en imaginant te baiser ? Me demanda-t-il désappointé.

En un rien de temps il se vida les couilles dans la caverne de Susan tandis qu'elle vibrait sous ses assauts.

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Et, quelques jours avant cet épisode, Gary lui avait ordonné de porter une tenue qu'il venait d'acheter, une courte brassière qui laissait son nombril à l'air coordonné avec une paire de caleçons beige taille basse. Susan savait que certaines teenagers portaient ce genre de tenue, mais elles avaient le ventre parfaitement plat, si quelqu'un la regardait de près ils pourraient voir le haut de sa pêche velue couverte de poils pubiens sur le devant et le début de sa raie culière dans le dos.

Lorsque Gary lui fit réorganiser la planche basse des étagères de classement, elle dut s'accroupir, elle savait pertinemment qu'elle exposait le haut de ses fesses aux yeux des employés qui passaient dans son dos. Elle le savait d'autant plus que Thom et Graig et d'autres employés la plaisantèrent crûment à ce sujet en passant derrière elle.

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Maintenant Byron, Mick, Emile, Joe et de nombreux employés prenaient des privautés avec Susan à tout moment de la journée, en quelque lieu qu'elle se trouva, ils lui palpaient les nichons à la cafétéria, lui pelotaient les fesses dans le hall, retroussaient sa jupe dans leurs bureaux.

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Mais cet après-midi elle désirait surtout rester cachée dans son bureau pour éviter les commentaires graveleux et les caresses sournoises dont ses collègues l'accablaient, depuis plusieurs semaines, où qu'elle se trouva.

Elle sentit soudain une présence dans son dos, elle se tourna et vit Louis, un ouvrier d'entretien qui lui souriait affablement, il devait avoir une quarantaine d'années était célibataire, n'était ni particulièrement attirant, ni particulièrement intelligent. Il était un peu plus petit que la moyenne, une coupe de cheveux assez moche, avec une raie à droite. Louis traînait des pieds, il sourit largement, et éclaircit sa voix.

- Um, Gary m'a dit que vous pourriez venir m'aider dans la remise...

- Dans la remise ? Que voulez-vous ?

Il y avait un grand atelier dans l'embarcadère et la remise de Louis se trouvait derrière. Jusqu'ici, Susan n'avait fait qu'en regarder la porte. Louis continua affichant un large sourire :

- Allez, tu me suis, Gary m'a dit que tu me suivrais !

Susan se leva lentement et suivit Louis qui descendait le hall pour gagner les ateliers d'entretien, il referma la porte dans son dos. Cet espace incluant l'embarcadère était de la grandeur d'une classe de taille moyenne, l'endroit était poussiéreux et encombré de boites et de cartons. Susan qui portait sa courte jupe et son chemisier blanc transparent se posta dans un coin entouré de boites.

- Pourquoi avez-vous besoin de mon aide Louis ?

Il se posta face à elle un sourire railleur sur les lèvres.

- heu, j'ai réparé la voiture de Gary et il m'a dit qu'en récompense je pourrais te peloter les miches !

Le cœur de Susan battît à nouveau la chamade, mais elle ne doutait pas de ses dires. Gary voulait se servir d'elle pour payer en nature la réparation de sa voiture. Elle se sentit rougir jusqu'aux oreilles, elle se retrouvait toute seule dans cet entrepôt en compagnie de Louis. Il n'était pas vraiment hideux, mais ce n'était pas quelqu'un avec qui Susan aurait pris un rendez-vous. Puis Louis poursuivit :

- Tout le monde te pelote les nibards dans cette entreprise.

Susan voulait en finir rapidement, elle s'adossa à son bureau de cuir, elle émit un long soupir :

- C'est d'accord, fais ce que tu veux !

Louis s'avança d'un pas et posa sa main droite sur son nichon droite, au-dessus de son chemisier. Il le palpa et le malaxa rapidement tout en lui souriant à pleines dents. Il déboutonna facilement son corsage et pétrit ses nichons au travers de son soutien-gorge, il glissa sans vergogne sa main dans les bonnets de son soutien-gorge et tripota ses nichons de ses mains calleuses.

Susan était gênée, embarrassée de se tenir devant l'ouvrier le moins important de la boite qui lui pelotait allégrement les miches.

Louis respirait difficilement, il était légèrement essoufflé, il posa sa main gauche sur les épaules de Susan, l'attira à lui et lui roula un patin baveux.

Elle mit docilement ses bras autour de son cou et lui rendit ses baisers fiévreux.

La main droite dans le soutien-gorge de Susan, Louis glissa sa main gauche sur sa croupe qu'il malaxa au travers de la jupe. La jupe était si courte qu'il glissa facilement une main sous l'ourlet empaumant ses fesses dénudées. Il la pressa contre son torse, elle sentait son érection pointer contre son estomac. La main de gauche de Louis se dirigea vers son bas-ventre, il entreprit de lui titiller la chatoune. Un doigt rugueux fora son chemin dans sa cha-toune détrempée. Susan écarta les cuisses et s'accroupit légèrement facilitant la pénétration de son doigt au cœur de sa féminité. Louis lui roula un patin baveux, alors que sa langue plongeait dans sa bouche un filet de salive s'écoula sur son menton.

- Etends-toi sur le dos sur ces caisses que je te baise ! lui ordonna Louis.

- Gary m'a dit que tu serais d'accord !

Susan jeta un œil sur l'empilement de caisses sur lequel Louis voulait qu'elle s'étende, il était très poussiéreux. Elle ne voulait pas passer le reste de la matinée avec des taches de poussière dans le dos. Elle avait observé que déjà la main sale de Louis avait laissé une trace noire sur son nibard droit.

- D'accord, mais c'est trop sale ! Laisse-moi le temps de me déshabiller.

Visiblement cela ne lui posait aucun problème, et ravi il la mata enlevant d'abord ses hauts talons, puis déboutonnant son chemisier pour le poser sur un endroit propre, ôtant son soutien-gorge laissant ses nibards osciller doucement sur son torse, se dépouillant de sa jupe lui dévoilant sa toison châtain claire.

Elle grimpa alors sur les caisses. Louis se déshabilla prestement dévoilant une bite assez courte mais bien épaisse. Susan s'étendit sur le dos sur les caisses, écarta ses cuisses en grand attendant qu'il l'enfourche. Elle l'attira sur elle et guida son épaisse mentule lui facilitant l'accès à sa caverne accueillante.

Elle se demandait s'il avait déjà couché avec une femme auparavant. Il la labourait de rudes coups de boutoir. Susan jeta un œil sur son environnement, elle était nue dans un entrepôt, allongée sous un homme d'entretien, l'endroit était dégueulasse, cela lui ressemblait si peu, c'était moche, elle était si proche de l'orgasme.

- Uh! UH! UH! UH! Grognait-elle verrouillant ses chevilles dans son dos s'arc-boutant pour l'accueillir de son mieux.

Louis soufflait et grognait, il se releva sur les coudes admirant ses nichons qui dansaient en tous sens, visiblement il appréciait de "baiser une véritable femme". Il se laissa retomber sur elle Susan enfonça ses ongles dans son dos. Elle le sentit jouir rapidement alors que leur chevauchée s'apaisait.

- Oh Louis... Louis! N'arrêtez pas Louis... Le suppliait Susan.

Elle était si proche de jouir aussi. Elle cherchait à le conserver en elle, donnant des violents coups de rein tout en remuant son pelvis pour profiter encore de ses dernières raideurs.

- Umghhhh... Hurla-t-elle en plongeant dans un semi-orgasme la laissant à demi insatisfaite.

Elle restait étendue sous Louis qui lui souriait à pleines dents.

Chapitre 8 : Susan et la cliente.

Susan et Gary passaient l'après-midi avec un autre client. Mais après avoir joué la pute mise à disposition pour différents clients, Susan se réjouissait de savoir que cette fois il s'agissait d'une cliente. 

Lana était une femme très séduisante, la quarantaine bien sonnée avec de longs cheveux bruns. Elle était grande, un bon mètre soixante quinze et portait des hauts ta-lons qui la grandissaient encore. Son tailleur bleu marine semblait, de prime abord, très classique, mais une inspection plus fine permettait de constater que le veston se resserrait sur la taille accentuant l'opulence de sa poitrine, la jupe était assez courte et étroite, elle descendait à mi-cuisse. Une tenue de travail assez sexy finalement, à la différence de Susan qui portait un chandail sans manches sans soutien-gorge, une courte jupe évasée avec un porte-jarretelles blanc et une affriolante petite culotte de satin blanc.

Pour le dîner Susan était assise face à Lana. Celle-ci tout en fumant cigarette sur cigarette se penchait sur Susan et Gary clignant ses yeux très maquillés. Elle pressait sa poitrine contre ses bras posés sur la table, l'entrebâillement du haut de son veston laissait entrevoir le haut de son soutien-gorge noir brillante sans rien d'autre.

Susan se surprit à mater sa devanture, elle présumait que Gary aussi avait remarqué sa tenue, elle se demandait si Gary avait déjà couché avec elle.

De retour au bureau, Susan se joignit à Lana et Gary pour gagner la salle de réunion. Après une discussion de haut niveau technique, Gary les quitta les laissant régler les ultimes détails entre femmes.

Lana était assise à la droite de Susan, sa chaise était serrée contre celle de son interlocutrice. Les fesses de Lana reposaient sur le rebord de sa chaise, son visage tout proche de celui de Susan, sa main gauche était posée sur la chaise de Susan, dans son dos. Susan respirait le capiteux parfum de Lana, qui se mêlait à l'odeur de ses cigarettes. Susan l'écoutait religieusement exposer les formalités d'embarquement des produits, mais lorsque Lana pressa son genou gauche contre le genou droit de Susan, elle prit vivement conscience de sa proximité. Les paupières baissées de Lana, son demi-sourire et sa voix ensorcelante réveillait chez Susan les agissements de ses clients qui l'avaient "séduites".

- Vous me comprenez bien ma chérie ? L'interrogea soudain Lana.

Susan répéta les instructions de Lana assurant sa cliente que sa compagnie respecterait le programme prévu.

- Mmmmm, c'est très bien... Gary m'avait prévenu que je vous apprécierai... La complimenta Lana pressant plus fermement son genou contre la cuisse de Susan.

Susan se surprit à jeter une nouvelle fois un œil dans le décolleté de Lana. La jupe de Lana avait remonté sur ses cuisses Susan distinguait distinctement le haut de ses bas et son porte-jarretelles noir. Lorsque Lana posa sa main droite sur la cuisse droite de Susan, instinctivement elle chercha à s'écarter de Lana. Mais la main gauche de cette dernière se posa tout de suite sur les épaules de Susan qui immédiatement se sentit piégée.

- Susan, vous êtes très séduisante... Gary m'a dit que vous me donneriez satisfaction ! Travaillez avec moi et je vous apporterai de nombreuses affaires !

La main gauche de Lana agrippa gentiment mais fermement la nuque de Susan. Lana se pencha sur elle et planta ses lèvres sur celles de Susan. Susan ressemblait à une biche figée dans les phares d'une voiture et se sentait sans défense. Susan savait qu'elle n'était pas lesbienne, ni même bisexuelle, mais les années passant, elle en venait à se demander ce que cela ferait d'être embrassée par une autre femme et se surprenait à mater le corps des jolies femmes. JAMAIS elle ne l'aurait fait de sa propre initiative, mais maintenant que Lana L'OBLIGEAIT à subir son baiser elle acceptait son destin, ouvrait la bouche et rendait son baiser à Lana, goûtant pour la première fois aux lèvres d'une autre femme, elle était apeurée, hésitante mais soumise. En fait, elle devait admettre que ce n'était pas plus révoltant que ce qu'elle avait du subir de la part de l'homme d'entretien.

Lana tendit la main droite et déboutonna sa veste. Elle prit la main gauche de Susan et la plaça dans le décolleté sur son soutien-gorge. C'était un soutien-gorge pigeonnant et Susan se sentait toute excitée à la vue d'une large part d'aréole débordant des bonnets. Tentée, elle entreprit de caresser les bonnets soyeux la caressant en petits cercles s'élargissant, d'elle-même elle glissa sa main dans le sillon mammaire, comme attirée par la chair brûlante de ses nibards.

A son tour Lana tendit la main et caressa les nibards nus de Susan sous son fin corsage. Elle saisit l'ourlet du vêtement et le lui remonta au-dessus de la tête avant de le poser sur la table. Susan se sentait vulnérable et gênée de se retrouver torse nu au boulot en face d'une autre femme. Elle regardait Lana enlever sa veste, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge noir de ses épaules. Lana lui sourit en laissant tomber le haut de ses bonnets exposant ses larges aréoles à l'adresse de Susan alors que ses nibards reposaient toujours dans leurs bonnets. Lana empoigna son nichon gauche, arqua son dos, et le pressa contre les miches de Susan. 

Susan avala sa salive à cet étrange mouvement instinctivement elle se recula et tendit ses miches vers l'avant. Des vagues électriques couraient dans sa poitrine alors que ses tétons raidissaient. Lana se pencha en avant et glissa sa langue dans la bouche de Susan, alors que les deux femmes se caressaient mutuellement les miches. Lana était maîtresse de la situation, Susan se laissait faire, à contre cœur elle prenait du plaisir avec son aînée. Les grommellements de Susan se différenciaient nettement des sourds miaulements de plaisir de Lana.

C'était une étrange expérience que de caresser les miches d'une autre femme, mais Susan s'était toujours demandé ce que cela pouvait bien faire. Elle aimait cette expérience. Les grosses mamelles de sa partenaire étaient moins fermes, plus molles mais elles roulaient agréablement dans les mains de Susan. De plus les caresses de la main d'une autre femme sur ses nichons étaient enivrantes. Lana semblait savoir exactement comment caresse les nichons de Susan pour lui extirper un intense plaisir.

Les lèvres de Lana descendirent dans le cou de Susan et arrivèrent sur ses miches. La libido de Susan explosa soudainement en sentant les lèvres de son aînée se poser sur une de ses tétons pour le titiller tendrement, la main gauche de Lana glissa de son estomac sur ses cuisses. Elle progressait remontant la face interne de sa jambe et arriva rapidement à l'intervalle de chair tendre et douce séparant le haut des bas du porte-jarretelles.

- Ecarte plus tes cuisses Susan... Lui intima Lana d'une voix enrouée.

Lana était choquée mais se sentait obligée de lui obéir docilement. Les doigts de sa tentatrice remontèrent encore jusqu'au fond détrempé de sa petite soyeuse culotte. Elles en suivaient le bord, palpant doucement son monticule velu, et glissèrent enfin par le coté dans sa toison bouclée. Lana promenait son majeur dans la fentine de Susan testant l'onctuosité de sa moule engorgée de cyprine. Lana se redressa et souffla :

- Embrasse mes nibards ma chérie !

Docilement Susan baissa la tête regardant fixement les nichons blancs aux larges aréoles brunes. Susan les embrassa servilement puis les lécha lascivement. Elle évitait les longs mamelons tendus, se focalisant sur ses larges aréoles, mais la curiosité ne tarda pas à l'emporter et elle prit le téton droit en bouche, et le suça avidement.

- Mmmmmmm, t'es-tu déjà grouinée auparavant ma chérie ?

-Non... souffla-t-elle timidement la tête encastrée entre les nibards de Lana.

-Tu t'en tires très bien la chérie... Caresse ma chatoune comme je caresse la tienne...

Susan posa à son tour sa main gauche sur la cuisse gauche de Lana. Sa jupe était remontée très haut, Susan distinguait nettement la plus grande part de ses cuisses dénudées jusqu'à son porte-jarretelles. Lana écartait ses cuisses en grand exhibant le fond de sa petite culotte de satin noir. Susan tendit la main entre ses cuisses accueillantes, sa main courut sur le haut de ses bas et se glissa dans l'entrejambe de sa petite culotte trempée de sa mouille. Ce faisant Susan continuait de mignoter les nibards de sa partenaire, elle atteint une longue bandelette de poils drus bien taillés. Elle doigtait maintenant sa chatte lubrifiée imitant en cela ce que Lana lui faisait. Elles miaulaient toutes deux leur plaisir.

Lana se faisait plus agressive, elle embrassait Susan plus voluptueusement, plus profondément, la doigtant avec tant de vigueur que sa chaise recula sur le plancher. Il semblait à Susan que c'était un de ces hommes si agressifs qui la manipulait si rudement, mais pas une douce femme. Lana pinçait ses mamelons tout en serrant fermement ses miches. Elle empoigna une poignée de cheveux et pressa son visage contre ses nichons.

Lana se redressa soudain, elle retroussa sa jupe sur sa taille exhibant sa ceinture porte-jarretelles et sa petite culotte en dentelle noire alors que ses gros nibards pendaient hors des bonnets de son soutien-gorge noir. Elle empoigna alors sa petite culotte et la roula sur ses chevilles exhibant sa toison châtain sombre. Elle avait elle aussi la jupe retroussée sur la taille, elle saisit la main de Susan et repoussa sa chaise loin de la table de conférence, puis elle s'étendit sur la moquette et attira Susan à elle.

Susan ne s'attendait pas à tout ça, elle avait perdu tout contrôle de la situation et se laissa tomber sur la carpette juste au coté de Lana, sur le dos à moitié allongée sous la table de conférence. Lana remonta la jupe de Susan bien au-delà de sa taille exhibant sa petite culotte blanche et son porte-jarretelles coordonné. Elle empoigna sa culotte et la roula vivement sur ses cuisses.

Susan se montra tout d'abord fort hésitante, puis se laissa faire passivement laissant Lana lui enlever sa petite culotte. Lana était allongée à son coté, mais tête-bêche. Elle écarta les cuisses de Susan en grand, contemplant son chaton dénudé. Lana se mit entre les cuisses de Susan alors que leurs jambes s'emmê-laient. Lana se pencha en avant et se saisit de la jambe de Susan comme l'aurait fait un lutteur professionnel. Elle écarta ses cuisses exposant son entrecuisses sous les yeux de Susan. Elle pressa fermement sa toison contre celle de Susan se frottant contre son, bas-ventre.

- Ohhh... Couina Susan surprise.

- Uuhhh! Grogna Lana d'une voix enrouée.

Elle frottait sa chatoune contre celle de Susan, cette dernière répondait maintenant à ses caresses. On aurait dit qu'elles baisaient, leurs entrejambes s'entrechoquaient, elles roulaient l'une sur l'autre au sol, haletant et grognant comme des bêtes et non pas comme deux femmes aussi sophistiquées qu'élégantes.

Susan avait espéré que cette femme se montrerait gentille avec elle, mais Lana se comportait avec autant de rudesse que ces hommes qui l'avaient maltraitée dernièrement. 

Lana relacha Susan. Elle la repoussa sur le dos, Lana se redressa plaçant ses deux genoux de chaque coté du visage de Susan l'enfourchant véritablement tête bêche. Susan leva les yeux et vit la chatoune de Lana s'ouvrir sous ses yeux. Elle avala sa salive sachant déjà ce que voulait Lana, mais lorsque Lana descendit sur son visage, Susan lui saisit les hanches et enfouit son nez dans la toison de sa partenaire.

Elle sentit le nez de Lana en faire de même dans sa cramouille, parcourant de la langue sa foufoune épanouie.

- MMMMMPHHHHHH... Marmonna Susan sous cette caresse.

Elle lécha de son mieux la fentine de sa partenaire comme enivrée par l'odeur et la texture de sa féminité. Elle réagit aux léchouilles de Lana serrant les cuisses sur sa tête, s'arquant sur les talons pour mieux s'offrir à ses caresses. Lana aussi réagissait sous les assauts de Susan qui lui bouffait le gazon, refermant fermement ses cuisses sur la tête de Susan.

D'une main Lana empoigna les fesses de Susan. Elle écarta sa fesse jusqu'au moment où elle dénicha des doigts son trou du cul, elle fit coulisser lentement mais sûrement son majeur dans son œillet anal la faisant sursauter :

- Du calme chérie... Marmotta Lana la tête enfouie dans les poils pubiens de la chatoune de Susan.

Susan avait peur que ce doigt la blesse, mais alors que Lana l'enfonçait profondément dans son intestin, elle sentait croître son excitation. La combinaison de la bouche de Lana lui fouillant la chatte et de son doigt farfouillant dans son anus la stimulait fortement.

- Fais-m'en autant Susan... Lui ordonna Lana.

Susan tendit les mains et s'empara des larges fesses de son aînée, elle trouva son trou du cul, pas très loin de son nez. Elle pénétra aisément son goulot du doigt, Lana gémit alors que son majeur la forait profondément. Les deux femmes se bouffaient réciproquement la chatte tout en se doigtant, elles gémissaient et miaulaient haletantes.

Susan sursauta à peine en voyant la web caméra qui se dressait dans un coin, cette camera servait à tenir des téléconférences, elle était pointée droit sur Lana et Susan et un bouton rouge allumé indiquait qu'elle fonctionnait. Susan savait que Gary ne voulait surtout pas manquer une chance de la regarder faire sur le web, mais elle se demandait combien d'autres personnes étaient en train de les mater, où les materaient si cet épisode était gravé sur un disque.

Mais Susan se trouvait trop plongée dan son plaisir grandissant pour seulement voiler ses gémissements. Les deux femmes gémissaient de plus en plus fortement. Susan poussait des couinements aigus, et Lana des grognements plus sourds, plus rauques, étouffés qu'ils étaient par les poils de la chatte qu'elle butinait. Lana picorait maintenant le clito de Susan d'habiles coups de langues, Susan dénichait seulement le clito de Lana. Elles tortillaient toutes deux des hanches, serrant la tête de leurs partenaires entre leurs cuisses.

- Whuuuuuiiiii... UUMmmmmmm... Mmummmmmmmm... Uurr-rggggghhhhh !

Un orgasme inouï submergea Susan, Lana bouillonnait jusqu'à ce qu'elles s'écroulent toutes deux éreintées. Susan se mit à sangloter, elle ressentait un combiné de honte, d'humiliation, d'éreintement et un peu de tristesse que son orgasme se soit dissipé. Lana roula sur le flanc à coté de Susan, l'embrassant tout en la cares-sant lascivement.

Chapitre 9 : La punition.

Naturellement, le travail de Susan en souffrait. Sa concentration, son enthousiasme décrûrent grandement. Gary l'avait menacé clairement de mettre en œuvre son chantage si Susan les quittait. Ce n'était pas d'ailleurs dans la nature de Susan de saboter son boulot pour se faire vider, mais elle se disait que la boite ne pouvait pas lui faire grand chose si son boulot n'était pas transcendant, aussi laissait-elle facilement la qualité de son travail décliner.

Lors d'une réunion de l'équipe, Byron semblait être particulièrement de mauvaise humeur.

- On m'a rapporté ce matin que nous avons perdu l'affaire Benson... Notre contact m'a révélé que le mois dernier nous n'avons pas tenu nos engagements ce qui leur a fait perdre un gros client... Aussi nous ont-ils quitté... Je veux des réponses... Mick ?

Mick s'éclaircit la gorge, il sentait comme tous les spectateurs que Byron était sur le point d'exploser :

- Benson nous a faxé un ordre le mois dernier, nous avons entré cet ordre dans le système, mais ils nous ont ensuite faxé un ordre contradictoire et le changement n'a pas été exécuté. Ce n'est que lorsque l'embarquement des denrées a été effectué que quelqu'un réalisa l'erreur.

- A qui ont-ils adressé le contre-ordre ? S'enquérra Byron.

- Ummmm... Susan.. Répliqua Mick gêné.

Susan n'était pas sur ses gardes. Une onde de la panique la parcourut. Oh non ! Elle se souvenait avoir reçu ce contre-ordre maintenant ! Il était arrivé tard le soir, alors qu'elle venait subir une longue séance de baise avec Gary, elle avait décidé de s'en préoccuper le lendemain matin, et s'était empressée de l'oublier.

Mais elle n'avait pas été consciente de son erreur jusqu'à cet instant, face à Byron, Gary et la plus grande partie du staff de vente. Elle rougit comme une tomate, les yeux de tous les assistants étaient braqués sur elle.

- Que s'est-il passé Susan ? L'interrogea lentement Byron d'une voix contrôlée, lèvres tremblantes de fureur, la transperçant du regard au travers de la table.

- Um, Je ummmm... Balbutia la malheureuse qui ne s'attendait pas à cette attaque.

- QUE S'EST-IL PASSE ? Hurla Byron d'une voix aiguë.

- J'ai juste OUBLIE... Répliqua Susan d'une voix tremblante.

- Tu as juste oublié un ordre de cet enculé de Benson ? VIENS ICI! MAINTENANT ! Hurla-t-il déchaîné, le visage aussi rouge qu'une betterave.

Susan sursauta violemment sur sa chaise, elle sauta sur ses pieds. Tout le monde se taisait dans la salle de conférence. Susan contourna la table et se posta face à Byron.

- A GENOUX! Lui enjoigna-t-il furibard.

Susan se jeta immédiatement à genoux devant la chaise de Byron. Précipitamment, en fureur, il dégrafa sa ceinture et l'arracha de son pantalon. Susan pensa un instant qu'il allait la fouetter avec sa ceinture, mais il la jeta contre le mur avec un bruit sec. Puis il déboutonna la braguette de son pantalon et le laissa tomber sur ses chevilles. Il empoigna la nuque de Susan et attira son visage contre son entrecuisse. Susan se débattit un instant puis elle ouvrit sa bouche et prit la bite semi-érigée entre ses lèvres. Simultanément Byron tira sa tête en avant et poussa violemment sur ses hanches. Il fit ces gestes plusieurs reprises. Il la baisait en bouche au centre en peine réunion dans la salle de conférence, il la baisait rapidement, violemment et avec fureur. Susan étouffait sur sa bite, ce n'est pas qu'elle soit particulièrement longue ou épaisse, mais Byron l'embrochait de toute sa longueur, son gland émergeant dans son arrière-gorge la soulevait de nausées alors qu'elle gargouillait à demi-étouffée.

- Guck guck guck guck!

Il ne lui fit pas longuement sucer sa mentule, pas plus qu'il ne gicla dans sa bouche. Il lui lâcha la tête et cessa de lui plonger son chibre dans la gorge :

- Sur la table ! A genoux sur la table ! Hurla-t-il déchaîné.

La stupide assistante de direction grimpa sur la table de conférence, sur les genoux. Sa mini-jupe avait remonté bien au-delà de sa taille, elle se tenait à genoux sur ses genoux dénudés. Byron se releva, la bite toujours pendante entre ses grasses cuisses, il la poussa au milieu de la table face à l'extrémité nord de la table. Il escalada à son tour la table et s'agenouilla dans son dos. Son patron toujours aussi courroucé retroussa sa mini-jupe sur sa taille exhibant son petit thong rose. Mais ce n'était pas sa foufoune qui l'intéressait mais bel et bien son œillet anal vierge. Il pressa sa mentule lubrifiée de salive sur le goulot étroit.

- UEEEEEEEEEEEEE! NON ! Couina-t-elle sous l'effet de la surprise.

- Ta gueule STUPIDE SALOPE !

- AAHHHHHHHHHHHH !

Progressivement Byron insérait sa fine bite dans on trou du cul vierge. De grosses larmes ruisselaient le long de son nez tombant sur la table de conférence. Son décolleté baillait largement dévoilant ses nichons dénudés aux hommes qui lui faisaient face. L'autre moitié des assistants matait son cul et son patron qui l'enculait impitoyablement.

Le vice-président s'accroupit contre elle et entreprit de la couvrir comme un chien, la fourrant à raides coups de bites tout en haletant. Il se tenait dressé sur ses orteils, genoux pliés. Son pelvis cognait contre les fesses de sa proie à chaque coup de boutoir, il tendit la main vers son torse et tira l'épaule de son chemisier dénudant son nichon droit. Alors qu'il pendait librement, Byron l'empoigna et entreprit de le pétrir.

Susan la tête basse était éperdue de honte alors que son patron rouge, comme une tomate la baisait comme un chien accroché à ses basques. Ses cheveux décoiffés pendaient le long de son visage, et elle pleurnichait. Mais bientôt elle sentit des sensations érotiques naître dans son trou du cul. Elle ne resterait pas bien longtemps insensible aux délices de la sodomie.

Byron tendit la main entre ses cuisses et pampa sa foufounette. Il dénicha son clito et le manipula aussi rapidement que rudement. Susan sentit soudain monter un orgasme inattendu.

- OHHHHHHHHHHH... AAAAAAAAAAHHHHHH... Gémissait-elle involontairement, avouant son émoi.

Susan frissonna, redressa la tête faisant danser ses nibards sur son torse.

- OOOOOOOOHHHHHHHHHHHHH !

Elle sentit alors Byron cracher son foutre dans son intestin asservi, cette sensation provoqua la survenue de son orgasme, elle jeta son cul en arrière tout contre le pubis de son Vice-Président.

- OOOHHHHHHHHHHHHHH mon DIEU !

Byron extirpa sa fine mentule de son trou du cul et projeta ses derniers jets de foutre sur ses fesses. Il essuya alors sa bite dans son thong et descendit de la table de conférence, abandonnant son employée punie cul nu sur la table.

- La réunion est remise, retournez à votre boulot !

Chapitre 10 : Susan et son mari.

Lorsque le mari de Susan grimpa dans le lit, Susan faisait semblant de dormir. Elle savait pertinemment qu'il voulait coucher avec elle, et cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas fait l'amour. Mais, une fois encore elle se refusait à se plier à cette corvée.

Ces derniers mois elle avait utilisé tous les prétextes : le mal de tête, la fatigue, ses règles... Tout pour dissuader son mari de lui faire l'amour. En fait, sa chatte avait été surutilisée quasiment chaque jour.

Chaque jour après le boulot, chez elle, elle prenait une longue douche pour se débarrasser de toutes traces de ses débordements, pour cacher ses vêtements souillés de sperme et pour se déshabiller dans le noir afin qu'il ne puisse détecter aucune marque ni contusion.

Mais ce soir il refusait toute excuse. Susan, à contrecœur se retourna laissant son mari la caresser et, sans enthousiasme elle empoigna sa bite. Mais quels que soient les efforts qu'il déploie, lorsqu'il voulut insérer son doigt dans sa foufoune elle était plus sèche que le désert de Gobi. Il était impossible de feindre une certaine humidité.

Susan s'étendit sur le dos, espérant qu'elle serait suffisamment humide pour qu'il puisse la pénétrer. Bordel elle n'avait aucun problème de lubrification au boulot, sa chatte était inondée de cyprine à la moindre caresse.

Elle pensait au jour ou Phil l'avait sautée dans son bureau, sa chatte avait été immédiatement gorgée de son jus, De même lorsque Gary l'avait bousculée sur son bureau, lorsque Lana lui avait butiné la foufoune, et même après une simple promenade dans le hall en tenue provocante elle avait du se rendre aux toilettes pour s'essuyer la chatoune qui débordait de cyprine, détrempant le fond de sa petite culotte.

Et maintenant, allongée dans son lit avec son mari elle sentait qu'elle commençait à mouiller, pas sous ses caresses, mais bel et bien après avoir évoqué ces moments où elle avait été prise contre sa volonté. Enfin ses sens s'étaient éveillés. Son mari l'enfourcha rapidement et la pénétra. Susan restait étendue dans le noir, yeux fermés, elle se revoyait bourrée par Louis l'ouvrier d'entretien, puis Gary lui léchant avidement le clito, Gary la fourrant face à un groupe d'assistants males. Rien que des moments de soumission, des réminiscences humiliantes !

- Whhhhhoooooooooo... Haaaaaaooooooooooo... Gémit-elle.

Elle se mordait les lèvres pour e pas murmurer le nom de Mick.

- UNNNNNGGGGGGG!

Elle se tordait alors qu'un violent orgasme la terrassait. Pas aussi intense que ceux qu'elle endurait au boulot, mais cela lui évitait de feindre du plaisir avec son mari.

Susan resta longtemps allongée sur le dos, yeux grands ouverts au coté de son époux endormi. Bordel elle ne pouvait pas se réjouir de devoir baiser à nouveau avec lui à l'avenir. Ces derniers mois elle avait succombé à des orgasmes d'une intensité inégalée avec son mari, et ce chaque fois qu'on l'assaillait et qu'elle se retrouvait désarmée, sans défense, humiliée et utilisée.

Chapitre 11 : L'usine

Revenant d'avoir dîné, Susan était penchée sur son patron, elle le suçait servilement alors qu'il conduisait. Elle savait que cela allait prendre un certain temps et il tournait en rond en attendant qu'elle termine sa pipe. Mais quand il éjacula dans sa bouche et qu'elle eut fini d'avaler son foutre, elle se redressa et ne reconnut pas l'endroit où ils se trouvaient.

- Où sommes-nous? 

On va s'amuser à la boite. J'y ai rencontré les directeurs des opérations, la boite c'était le nom qu'ils donnaient à l'usine où était confectionné les produits qu'ils vendaient, elle se trouvait dans une zone industrielle à quelques 20 kilomètres des bureaux de la compagnie. Susan n'était jamais venue ici.

Elle jeta un œil sur l'équipement que lui avait personnellement acheté Gary, la jupe ressemblait à celles que portaient les gamines actuellement, très courte et plissée et la ceinture au bas des hanches. Sa brassière était minuscule, elle lui laissait le nombril à l'air, son décolleté dévoilait le haut de son soutien-gorge rouge. Un thong vert citron, jambes nues, hauts-talons, elle avait tout d'une pute. Jamais elle n'aurait voulu rencontrer qui que ce soit dans cette tenue.

Vern le contremaître de la boite ne parvenait pas à détacher les yeux de Susan, accompagné de Gary ils firent le tour de la boite, c'était un bâtiment ancien au plancher usé et sale. Le bruit sourd et lancinant des machines et des moteurs diesels des camions était assourdissant. Dans chaque coin se trouvaient des ouvriers lorgnant Susan comme s'ils n'avaient jamais vu de femme auparavant. Des posters de femmes dénudées aux bustes avantageux découpés dans des magazines pour hommes, étaient placardées sur les machines outils. Susan était ébahie de voir que de telles choses puissent encore être tolérées.

Quand ils arrivèrent au bureau du contremaître au fond de la "boite", Gary ordonna à Susan de remonter au bureau d'entrée pour lui ramener un imprimé se trouvant dans son porte-documents. Dès que Susan remonta l'allée de la "boite" sans les chefs les sifflets retentirent, tout d'abord une paire de sifflements discrets, mais il alertèrent tous les ouvriers qui vinrent la voir évoluer.

Tout d'abord assez sourds, des sifflements aigus ne tardèrent pas à supplanter le halètement des machines. Les ouvriers abandonnèrent leur machine pour s'approcher d'elle. Susan sentait cette bande de loups se refermer sur elle.

Elle pressa le pas mais cela ne fit qu'amplifier le balancement de ses nibards et souligner l'érection de ses mamelons, alors que sa petite jupe dansait de plus en plus dévoilant son cul dénudé.

Son passage s'accompagnait maintenant d'appels et de commentaires que Susan ne comprenaient pas, d'un part parce que le bruit était trop confus et par ailleurs parce que ces commentaires fleurissaient en différentes langues et dialectes. Et comme elle ignorait même le sens des mots en patois !

Au bout de l'allée, Susan devait grimper un escalier escarpé pour gagner le bureau d'entrée. Une douzaine d'hommes l'attendait là au pied des marches de métal, elle savait que les spectateurs pourraient facilement reluquer sous sa jupe, plusieurs d'entre eux confirmèrent ce fait en citant la couleur de son string, en commentant les formes de son cul rebondi et la couleur de sa foufounette.

Lorsqu'elle eut trouvé l'imprimé que Gary réclamait, elle dut retourner au fin fond de la "boite" subissant à nouveaux sifflets et commentaires salaces, sauf que les sifflets étaient encore plus nombreux et les commentaires plus salaces. Les mêmes douze hommes l'attendaient au bas de l'escalier. L'un d'eux lui pelota rudement les fesses, Susan poussa un cri mais ne se retourna même pas.

Plusieurs mètres plus loin quelqu'un d'autre lui palpa sans vergogne les fesses, cette fois elle se retourna mais ne distingua pas qui était coupable de ce geste déplacé. Un ouvrier retroussa sa jupe dans son dos, exposant sa croupe dénudée. Quelques caresses osées et une paire de claques sur les fesses plus tard, un ouvrier plus âgé, chauve s'approcha et empoigna son nichon droit au travers de sa brassière.

Lorsqu'elle parvint enfin au bureau du contremaître elle comprit qu'il ne servirait à rien de se plaindre des gestes obscènes qu'elle venait de subir en remontant l'allée.

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Plusieurs semaines après la visite de la "boite", Gary l'appela dans son bureau après le repas de midi. Il regardait quelque chose sur son écran d'ordinateur. Gary ne se servait jamais de cet ordinateur. Il l'appela qu'elle vienne regarder ce qu'il visionnait, bien sûr tout en lui parlant il lui pelotait sans vergogne le fessier.

Elle portait un ensemble assez sophistiqué que Gary lui avait fait enfiler pour la nuit à venir, incluant une jupe bleue plissée et une veste, elle n'avait jamais porté de jupe aussi étroite et moulante. Elle comprit qu'il regardait une vidéo. Elle reconnut un film de Demi Moore où elle tenait le rôle d'une strip-teaseuse. Elle aurait du savoir qu'il regardait un film chaud.

- Regarde bien sa façon de marcher... Comment elle se tient raide... Cela n'a rien à voir avec des pas de danse... Et maintenant comment elle danse.

Gary désignait les séquences en se servant de sa souris alors qu'une autre vidéo débutait.

- Et maintenant regarde bien cette vidéo de rap ! Lui intima-t-il avec autorité.

Cette fois il s'agissait d'un simple clip de rap. Susan en avait déjà vu sur MTV lorsqu'elle surfait pour trouver un canal l'intéressant, bien qu'elle ne goûta pas particulièrement ce genre de musique. Elle avait déjà remarqué la façon dont ces jeunes bimbos noirs s'exhibaient, tortillant de la croupe, jetant leur pubis en avant, tout en écartant les cuisses de façon très suggestive. C'est dégoûtant, pensait-elle dans son fort intérieur, il est vrai qu'elle n'était jamais restée plus d'une minute à les regarder sur ces canaux. Mais elle n'avait jamais vu de chorégraphie telle que celle que Gary lui faisait découvrir. Une jeune noire uniquement vêtue d'un string, le cul tourné vers la caméra, tortillant du croupion secouant ses fesses avec ardeur.

- Regarde comme elle remue du croupion... Comment elle se tortille !

- Pourquoi ne voit-on que ses fesses? Commenta Susan.

- Elle doit vraiment être moche pour ne pas montrer son visage !

Elle fut légèrement désappointée en voyant Gary éteindre l'écran.

- Alors Susan, prête à retourner à la "boite" ?

Bordel, Susan haïssait cet endroit.

- Dois-je vraiment y aller ?

- Ouais... Phil va conduire un groupe d'employés à la boite. Ils organisent une petite fête pour la ligne de travail qui a produit les meilleurs résultats ce dernier trimestre ! On a décidé de les récompenser de façon à les encourager à persévérer.

Susan s'enfonçait dans le siège du mini van de Phil entre Joe et Mick, les deux gars les plus gros. Sans aucun doute ses collègues avaient maté sa courte jupe moulante lorsqu'elle était grimpée dans le véhicule. Elle avait des difficultés à s'asseoir avec cette jupe fourreau, elle remontait jusque son entrejambes offrant aux quatre hommes assis sur la banquette avant et celle du milieu un remarquable point de vue sous sa jupe. "Heureusement que j'ai mis une petite culotte aujourd'hui..." pensait-elle soulagée. "De toute manière tout le monde ici a déjà vu mon entrecuisses, même si je n'ai pas l"habitude de m'exhiber."

Sur le chemin de la "boite" Joe et Mick avaient tous deux posé une main sur ses cuisses, au-dessus de la frontière de ses bas, mais, de façon tout à fait surprenante ils ne poussèrent pas les choses plus loin.

Lorsqu'ils pénétrèrent dans la "boite" on les dirigea vers l'endroit où devait se dérouler la petite fête, dans une petite salle de réception sur le coté de l'allée centrale. La salle était meublée d'une bonne dizaine de tables de cafétéria et de chaises pliantes, une paire de distributeurs de boissons et quelques posters représentant des monuments nationaux s'affichaient aux murs, quelques poubelles, le sol était couvert d'une moquette sale et usée.

Susan s'approcha d'une barrique de bière, une douzaine d'ouvriers de la "boite" buvaient de la bière dans des timbales de carton, un mélange de blancs, de noirs et d'hispaniques en tee-shirts et jeans. Une vingtaine d'employés mâles de différents services discutaient de ci delà, en majorité des hommes à la chevelure argentée. Tous les yeux se tournèrent vers Susan lorsqu'elle entra dans la salle. Elle était bien mieux habillée que tous ces gens, dans son fourreau étroit sur des bas beiges clairs et ses hauts talons noirs.

Gary capta l'attention de la salle. Après un court discours condescendant au sujet de l'esprit d'équipe et de la productivité, Gary annonça :

- Il y a maintenant trois mois, lorsque j'ai annoncé ce concours, je sais que certains ont compris que le bonus promis aux premiers ne serait pas seulement constitué d'une prime financière et d'une fête, mais que la fête serait animée par une strip-teaseuse... Et lorsqu'à la moitié de la manifestation ils ont constaté qu'il n'y avait pas strip-teaseuse au programme, ils ont commencé à grogner... Mais notre employée Susan a décidé de se dévouer, et maintenant laissez moi vous présenter Susan !

La salle semblait crouler sous les applaudissements alors que Susan se figeait interdite.

- Avait-elle bien entendu ? Il l'avait amenée ici pour faire un strip-tease ! NON !

Mais lorsque Joe et Mick lui empoignèrent les deux bras pour la mener jusqu'à une grande table, elle escalada une chaise et se retrouva poussée sur la table. Elle avait de la chance que depuis des mois elle marchait avec des hauts talons, sinon elle serait tombée.

Elle était hébétée, elle jetait des regards affolés sur ces frustes travailleurs qui s'étaient assis sur des chaises autour de la table alors que le reste des mâles de l'assistance se tenaient derrière eux. Elle était affolée, éperdue.

Lorsqu'un lecteur de CD commença à diffuser un air de rap, elle entreprit de remuer ses épaules d'avant en arrière. Elle reconnaissait un des airs de rap d'une vidéo que Gary regardait assez souvent, elle supposa qu'elle devait se mettre à danser comme ces femmes évoluant sur ces vidéos. Sous contrainte, Susan se mouvait avec raideur. Sa jupe était si courte qu'elle savait que les hommes assis en contre-bas devaient drôlement se rincer l'œil. Elle tenta de la rabaisser en tirant sur l'ourlet de chaque coté. Mais comme un des noirs dans la foule hurla :

- Secoue-toi le popotin, tortille ton cul ! 

En bonne soumise, elle leva les mains et dessus de la tête et claqua des doigts en rythme en tortillant des hanches. Le résultat le plus immédiat fut que sa jupe remonta de 15 centimètres exposant son porte-jarretelles rouge. Un fort sentiment d'humiliation maintenant familier montait en elle. Il semblait qu'elle agissait maintenant comme dans un rêve, sans avoir véritablement conscience de ses actes, elle tortillait du cul alors que son corps ondulait érotiquement selon les vœux de l'assistance. Elle avait les jambes largement écartées, les genoux fléchis ce qui am-nait sa jupe à remonter encore et encore. Elle balançait rapidement ses hanches caressant de ses doigts ses longs cheveux noirs.

Un vieux blanc complètement chauve assis au-dessous d'elle s'époumonait :

- A poil ! Fous-toi à poil !

C'est exactement ce Gary attendait qu'elle fasse. Et lentement, pour le satisfaire, elle entreprit de déboutonner sa veste. La foule des admirateurs réagit fortement en entrevoyant son soutien-gorge rouge et applaudit en la voyant ôter son blazer. Son petit soutien-gorge de dentelle rouge moulait ses nichons exacerbant ses mamelons alors que ses miches débordaient des bonnets, ils dansaient et se balançaient sur son torse.

Susan se posta dos tourné vers la foule et tortilla de la croupe comme les filles noires qui passaient sur MTV elle cherchait à les imiter au plus près. Sa petite jupe étroite dévoilait maintenant plus de la moitié de ses fesses.

Les spectateurs trépignaient à la vue de ses bas rouges vifs, de son soutien-gorge coordonné à sa petite culotte, qui laissait les trois quarts de ses fesses à l'air. Ils rêvaient tous d'étreindre son magnifique cul.

Susan tendit le bras et dégrafa l'attache de sa jupe. Elle tira lentement la fermeture éclair vers le bas, exposant une grande partie de sa parure rouge. Même dégrafé sa jupe restait hyper moulante et elle dut la tirer par petits à coup vers le bas, jusqu'à ce qu'il glisse au bas ses jambes, elle s'en débarrassa alors d'un coup de pied chassé.

Elle dansait maintenant vêtue petit soutien-gorge de dentelle rouge, son shorty rouge, son porte-jarretelles rouge, et son bustier beige et ses hauts talons, Susan se retourna alors faisant face à la foule der ses admirateurs. Elle n'était pas un modèle au corps parfaitement découpé elle était juste une très jolie femme. Elle avait un tout petit ventre arrondi. Ses hanches étaient juste opulentes, son cul trop rond, bien qu'il soit plus beau que celui de certaines danseuses qu'on voyait dans ces clips érotiques.

La foule semblait enchantée de ce qu'elle voyait et poussait des cris enthousiastes. 

En dépit de sa répulsion elle sentait son corps s'exciter au vu de la réponse enthousiaste de ses admirateurs. Elle empoigna la ceinture de son shorty et le roula sur les hanches. En dessous, elle ne portait qu'un string rouge, elle roula le shorty sur ses chevilles et l'enjamba souplement cuisses grandes écartées. Son string n'était une bande soyeuse, enfoncée profondément dans sa chatte en son centre, moulant de façon fort suggestive son mont de Vénus. Il était trempé de mouille, enfoncé dans sa fentine engorgée de cyprine. Quelques poils bruns follets dépassaient au-dessus de son string et par les cotés. Susan se retourna montrant à ses admirateurs sa croupe dénudée. Elle secouait ses fesses comme une danseuse de bastringue noire tortillant du cul d'une façon incroyable pour une bimbo blanche.

Un hispanique trapu se leva un billet d'un dollar à la main. Elle ne comprit pas de prime abord ce qu'il lui voulait, il baragouinait un patois hispanique incompréhensible. Tout en dansant, elle se rapprocha du bord de la table et l'homme glissa le billet d'un dollar dans l'élastique de son string, elle frissonna en sentant sa main toucher sa chair dénudée.

Une paire d'autres travailleurs s'approchèrent leurs billets d'un dollar à la main suivit des autres spectateurs enthousiastes. Ils glissaient des billets sous la bande de son porte-jarretelles, dans la bande élastique de ses bas, à l'avant à l'arrière de son string. Ses nombreuses mains qui frôlaient ses charmes faisaient monter sa fièvre.

Le sommet de son nichon droit était maintenant à l'air libre depuis qu'un billet avait atterri dans le bonnet du soutien-gorge, une bonne partie de sa toison intime était maintenant exposée.

Un type tenta de glisser un billet dans sa raie du cul, c'est alors qu'elle vit Gary prendre des photos d'elle en arbre à billets, avec son portable. 

Comme obéissant aux nombreux encouragements de se foutre à poil, Susan descendit la bretelle droite de son soutien-gorge, puis la gauche. Elle dégrafa la fermeture entre les deux bonnets et l'ouvrit doucement avant de le laisser choir au sol. Ses collines dodues pointaient sur son torse dansant au rythme de ses mouvements saccadés. Elle était mortifiée de se voir tortiller des nichons pour une meute d'admirateurs en liesse, mais elle n'avait jamais reçu d'ovation aussi chaleureuse quoi qu'elle ait fait dans sa vie. Elle accompagna ses mouvements de ses mains laissant ses nibards danser librement sous leurs yeux ravis. Elle secouait les épaules d'avant en arrière, ses seins se balançaient d'avant en arrière, les spectateurs étaient de plus en plus écarlates.

Susan se tenait sur l'extrême rebord de la table, elle roula lentement son string sur ses hanches dévoilant entièrement sa toison pubienne. Elle enjamba son string tombait sur ses chevilles, elle ne portait plus que son porte-jarretelles rouge, ses bas, ses chaussures et ses bijoux. Comme elle dansait quasiment nue, elle vit plusieurs de ses admirateurs la supplier du geste de faire quelque chose.

Elle baissa les yeux et vit un de des spectateurs de type hispanique se branler frénétiquement la bite sortie de son pantalon. Elle tortilla des hanches dans sa direction, il pointa sa mentule sur elle. Il mimait un coït frénétique à 1 mètre d'elle, Susan était follement aussi gênée qu'excitée.

Puis elle vit un second spectateur se branlant sur le même rythme. Un des blancs à l'accent prononcé tendit la main et empoigna sa croupe. Une grosse main noire recouvrit son nibard droit et le palpa rudement. Dès lors une bonne douzaine de mains palpèrent rudement ses charmes exposés. Ils la descendirent de son piédestal, elle passait de mains en mains traversant de part en part la petite salle.

Elle se retrouva finalement au centre de la pièce. Elle ne voyait plus les gens qui assistaient au spectacle au travers des fenêtres. Elle se sentait seule livrée aux mains de ces ouvriers malodorants, suants et moitié ivres. Une main fouilla sa foufoune, un doigt s'engouffra profondément dans sa caverne. Une autre main lui écartait les fesses en grand alors qu'un doigt fouineur s'enfonçait dans son trou du cul rétif.

Alors que d'autres mains palpaient ses nichons et son torse, Susan se tenait debout cuisses grandes écartées, des doigts fouineurs fouillant sa chatoune et son trou du cul, se touchant au travers du périnée. Elle couinait, les suppliait d'arrêter, mais personne ne l'entendait dans le brouhaha.

C'est alors qu'un colosse noir l'empoigna par les cheveux. Il était assis sur le rebord de la table, il la força à s'agenouiller face à lui. Il la tenait par les cheveux alors qu'il extirpait sa grosse bite de son caleçon. Puis il lui empoigna la nuque à deux mains la forçant à ingurgiter sa grosse bite massive. Susan ouvrit docilement la bouche en grand pour le recevoir servilement. Elle devait distendre ses mâchoires au maximum pour admettre le champignon turgescent et plusieurs centimètres de mentule dans sa gorge.

Mais le colosse noir n'était pas satisfait pour autant. Il se tenait debout, lui tenant la tête à deux mains la forçant à coulisser rapidement sur sa hampe, la baisant énergiquement en bouche. Susan s'étouffait sur l'énorme bite chaque fois que son gland venait heurter le fond de son arrière gorge.

- Guck, guck, guck, guck... vagissait-elle la bouche pleine.

Ses nichons son cul et sa foufoune étaient pelotés par de nombreux amateurs alors qu'elle se tenait agenouillée entre les cuisses de ce colosse qui la baisait énergiquement en bouche. Sans aucun signe précurseur, la grosse bite explosa, lui projetant une énorme dose de foutre en pleine gorge. La jeune blanche savoura chaque lampée, gargouillant alors qu'un mince filet de semence lui repassait par le nez, alors qu'une petite partie s'échappait à la commissure de ses lèvres. Finalement il relâcha sa tête et la grosse bite mollissante glissa hors de sa bouche.

C'est alors qu'elle vit trois hommes de diverses couleurs se branler face à son visage. Un jet de foutre s'écrasa sur sa joue gauche, puis un second sur sa joue droite et le dernier sur son nez. Son visage dégoulinait maintenant de semence mâle.

Ils la relevèrent et la posèrent sur le rebord de la table. Un colosse de type hispanique engouffra son chibre dans sa chatoune, ses pieds reposaient sur les épaules de son suborneur. On la força à tourner la tête vers la gauche, un blanc enfonça son épais braquemart entre ses lèvres. Elle suçait une bite tout en se faisant baiser frénétiquement alors que plusieurs mains palpaient rudement ses miches.

- MMMPPHHHHHHH! MMMBBLLLMMMMMPH ! Gémissait Susan en dépit de la bite qui la bâillonnait.

Une suite ininterrompue d'orgasmes la terrassait successivement sous les assauts de ces hommes.

- MMMUMMMMMUUMMMMMMM !

Enfin ils extirpèrent leurs bites de ses trous embrasés. D'autres candidats la roulèrent sur le ventre, le cul pendant hors d'un coté de la table, la tête de l'autre. Une bite s'engouffra dans sa chagatte, une autre dans sa gorge. Malgré tout le bruit environnant, elle pouvait entendre les bruits de chair des hanches de l'inconnu frappant sa croupe.

Les deux bites dans sa chatoune et dans sa bouche semblaient la labourer à l'unisson, sur le même rythme, elle poussait des grognements extasiés à chaque coup de boutoir dans sa chatte.

- OUUUUWWWWMMMMPH !

Elle était quasiment dans les vapes, terrassée par de multiples orgasmes quand elle sentit qu'on la relevait. Ils la transportèrent hors de la cafétéria, dans l'usine, un grand nombre d'ouvriers la suivaient comme à la parade. Ils la transportèrent quelque part dans les profondeurs de l'usine, remontant d'étroites allées, passant devant des machines extrêmement bruyantes, si bruyante que personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils l'étreignaient fermement.

A chaque machine elle voyait de plus en plus d'ouvriers qui posaient leurs gants de travail et se joignaient à la foule de ses suivants. Ils la jetèrent sur le dos au bout d'un large transporteur sur la bande de tissu qui roulait sur des rouleaux d'acier. Il était arrêté, son corps oscillait de droite à gauche alors qu'ils la positionnaient selon leurs vœux.

Elle leva les yeux sur le colosse qui l'avait emmenée ici et qui se tenait debout entre ses cuisses. Cet homme aux cheveux taillés en brosse portait un étroit tee-shirt sale qui lui moulait le torse, il déboutonna son pantalon extirpant une grosse bite non circoncise qu'il pointa sur la grotte fiévreuse de Susan.

Susan se débattait, mais ses bras et ses jambes étaient maintenues si fermement par ses agresseurs qu'elle ne pouvait vraiment se défendre. Ils applaudirent en voyant le gros coiffé en brosse plonger profondément sa mentule dans le tunnel d'amour de Susan, il plaça ses pieds sur ses épaules comme s'il s'agissait d'une poupée, et la laboura énergiquement.

Elle jeta un coup d'œil circulaire. Les nombreux ouvriers d'usine portaient des fringues graisseuses, avaient les cheveux grisonnants et les dents pourries, ils se tenaient devant de nombreuses machines outils extrêmement bruyantes. Ces machines crachaient des flammes et de la fumée et pulsaient sur des rythmes totalement incohérents. Ce rythme que semblait adopter son baiseur. Ma combinaison des lumières fluorescentes du plafond, des flammes oranges et des voyants multicolores des machines faisaient baigner cet univers particulier dans une étrange luminosité diffuse.

Susan jeta un regard sur son environnement sale et bruyant, et les innombrables cris et sifflets des hommes qui la reluquaient, puis sa tête fut tournée de coté et quelqu'un plongea une bite malodorante dans sa bouche. Elle suçait et baisait alors qu'on lui malaxait durement les nibards sur la bande inconfortable du convoyeur. 

Lorsque le colosse qui la grimpait eut projeté une bonne dose de semence au fin fond de sa foufoune, il se retira et fut immédiatement remplacé par un second amateur alors qu'une queue de gens attendant de la fourrer se formait.

Il y eut un trapu chauve de type hispanique qui baragouinait l'espagnol avec une grosse moustache, puis un vieillard aux cheveux gris qui n'avait plus de dents, un colosse noir musclé qui portait des dreadlocks et était doté d'une énorme mentule, un jeune polonais, un autre immigré venant de l'Est européen, l'homme tatoué porteur de piercings, un obèse pesant au moins 150 kg avec son énorme panse. Beaucoup portaient des piercings et des tatouages dans des endroits inimaginables !

Elle accueillit des hommes de toutes tailles, des bites de toutes formes et couleurs, des toisons de textures extrêmement différentes entre ses cuisses et ses lèvres, ils projetaient leur semence sur son torse, son visage et son estomac. Elle avait cessé de se débattre, personne ne lui tenait plus les bras. En fait ils poussaient leurs grosses bites et elle se laissait faire passive. Parallèlement elle branlait énergiquement des bites, lorsqu'elle refusait de s'exécuter on lui malmenait durement les nibards.

Il n'y avait aucune variété, une foule de travailleurs la baisait en bouche et en chatte. La queue des amateurs attendant leur tour semblait interminable. On se croirait en l'enfer, pensait Susan. Elle pensait vraiment que c'était une bonne image de l'enfer. L'obscurité, le feu, la fumée, la chaleur et le bruit, l'impression d'étouffer, tout y était. Et le rire tonitruant des ces monstres qui se tenaient en ligne en attendant de se servir de sa bouche et de sa chatte, et ces nombreuses mains palpant ses chairs. Un véritable enfer.

Avec la première demi-douzaine de baiseurs qu'elle dut subir, elle apprit comment détendre ses muscles vaginaux pour en garder le contrôle.Elle se rappelait ce que leur disait leur entraîneur de basket :

- Si vous vous faites violer, le mieux c'est de vous étendre sur le dos et de prendre votre pied !

Elle était allongée sur le dos et elle subissait ce viol, elle pensait que si elle ne se débattait pas, sa chatoune resterait détrempée et elle pourrait prendre un certain plaisir physique en dépit de son tourment mental. Même les constantes malaxages de ses nibards qu'ils soient  rudes ou tendres, par ces mains calleuses lui procuraient une certaine jouissance. Elle se débrouillait pour se tenir sur la frange d'un mini-orgasme, ressentant des picotements et des frissons involontaires sous les caresses de cette horde d'amateurs, bien qu'elle soit trop faible que cela lui donnait le vertige. 

Elle perdit toute notion du temps. Elle n'avait aucune idée de l'heure lorsque le contremaître et ses collè-gues de bureau la retrouvèrent et l'emmenèrent, la transportant carrément en dehors de l'usine pour la rhabiller et la ramener dans leur mini-van.

Chapitre 12 : Une convention de putes.

Susan reçut l'ordre de prendre l'avion pour se rendre à une convention à Las Vegas. Quelques mois plus tôt cela aurait été le genre de manifestation qui lui aurait énormément fait plaisir de fréquenter. orsqu'elle travaillait dans le service financier, voyager sous des climats chauds était une des choses qu'elle enviait dans le travail des vendeurs et de l'équipe de vente. Mais maintenant elle était assez circonspecte, elle se demandait ce que Gary avait en tête lorsqu'elle se trouverait dans une chambre d'hôtel sans espoir de retrouver son mari le soir.

Elle prit l'avion le jeudi matin, la conférence devait commencer le lendemain et devait durer les deux jours suivants dans un hôtel de Las Vegas dans le centre des séminaires. Un grand nombre des employés devait les rejoindre la plus grande partie des équipes de vente ainsi que quelques femmes d'autres services. Ce voyage à Las Vegas paraissait plus être une récompense accordée à ces employés qu'un séminaire de travail présumait Susan. De fait deux autres séduisantes jeunes femmes avaient pris le même vol.

Marie une très appétissante femme de quarante cinq ans et Kelly une jolie jeune femme de trente et un ans, dont les charmes, en dépit d'un accouchement vieux de neuf mois maintenant faisait l'envie de toutes les femmes de la boite. Susan savait pertinemment ce qu'elle portait sous son imperméable, mais elle n'avait pas remarqué que Mary portait aussi un long caban sur son chemisier et sa jupe, et Kelly un manteau d'hiver sur son chandail et sa salopette.

A l'arrivée à Las Vegas, Susan et les deux autres femmes se rendirent directement au centre des conventions. Les trois femmes, avant de fouler le sol du centre des séminaires ôtèrent leurs manteaux et imper. C'est alors que Susan comprit que les deux femmes se trouvaient dans la même situation qu'elle-même.

Susan avait reçu l'ordre de porter la tenue qu'elle avait portée à la dernière fête de Noël cependant Gary l'avait fait modifier par un tailleur. Son plastron plongeait maintenant jusque sa taille offrant sa poitrine aux admirateurs ce qui rendait impossible le port d'un soutien-gorge. Ses nibards dépassaient les cotés de son décolleté et n'importe qui se tenant à son coté pouvait voir jusqu'à l'autre coté de ses miches. Le fin tissu du plastron avait été changé au profit d'un voile transparent qui laissait apparent ses aréoles et ses mamelons érigés pointaient continuellement au travers du fin plastron. Sa jupe avait été sévèrement raccourcie la transformant en micro jupe, et rétrécie au point qu'elle pouvait à peine s'asseoir. Et il lui était interdit de porter une quelconque combinaison, son string couleur lie de vin était clairement visible que ce soit par-devant ou par derrière.

Elle se rendit alors compte que Kelly portait la même tenue noire et le chandail bleu pâle qu'elle portait fréquemment, elle n'avait pas mis de soutien-gorge et ses nichons se balançaient librement alors que ses longs mamelons bruns sombres pointaient au travers du fin lainage de son chandail.

Mary arborait une courte jupe blanche et un petit corsage blanc, mais comme Susan se tenait à sa gauche elle se rendit compte que son chemisier était déboutonné à mi-buste exhibant clairement sa petite poitrine nue.

Comme Susan regardait ébahie ses nichons, Marie lui jeta un regard plein de honte, mais ne rectifia son boutonnage pour autant. Visiblement elle portait aussi un string de couleur sombre sous sa courte jupe blanche.

Elles arrivèrent rapidement à la salle abritant leur compagnie, elles portaient des badges affichant leur prénom et le nom de leur entreprise en grandes lettres.

Susan vit plusieurs autres employées femelles toutes apparemment vêtues des tenues qu'elles portaient à Noël, mais une inspection plus fine permettait de constater qu'elle ne portait pas de sous-vêtements ou des dessous minimums, exposant une large part de leurs charmes, leurs tenues paraissaient toutes plus courtes et plus étroites que lors des dernières fêtes de Noël.

Gary leur avait imparti un certain temps pour visiter les stands des autres exposants avant de retourner aux stands de l'entreprise. Susan sentait qu'elle n'était qu'un appas déambulant dans le grand hall à la vue et à l'envie de nombreux étrangers.

Elle vit de nombreux hommes qui reluquaient sans vergogne dans le décolleté de Marie lorgnant ses petits nibards. Les gros nibards de Kelly avaient aussi leurs admirateurs qui la suivaient du regard dans le hall.

Beaucoup de ces admirateurs les suivirent jusqu'aux stands de l'entreprise, où Gary trinquait à leur santé, ravi de voir tant d'admirateurs lorgner les charmes dévoilés des trois jeunes femmes.

Quand les stands fermèrent, Gary, Susan et tous leurs collègues partirent dîner dans une salle arrière de l'hôtel. A sa grande surprise pas un de ses collègues ne chercha à la peloter, puis les femmes durent remonter dans leur chambre pour se rafraîchir, elle devait rejoindre la salle de réception louée par la compagnie à 20 heures, là un vin d'honneur serait servi aux employés, aux clients et aux futurs clients.

Susan avait la ponctualité dans la peau, mais elle se tint éloignée de la salle de réception aussi longtemps qu'elle le put sans risquer de fâcher Gary. Lorsqu'elle arriva dans la grande pièce, Jon et Walter deux collègues qui la dévoraient des yeux depuis le premier jour, lui ouvrirent la porte. Gary se tenait au bar et lui fit signe de la rejoindre.

La salle était quasiment comble. La plupart des autres femmes visibles étaient disséminées dans toute la pièce, debout ou assises avec des collègues ou des clients habituels qui, inspectant leurs charmes, les pelotaient sans vergogne.

Susan repéra plusieurs jeunes femmes qui venaient d'intégrer les départements ventes de l'entreprise, leurs jambes étaient exposées et leurs décolletés étalaient aux yeux de tous leurs avantages mammaires. Il y avait plusieurs femmes mariées, qui, selon Susan devaient avoir 25 à 30 ans, il y avait aussi quelques femmes qui avaient la quarantaine voire le début de la cinquantaine. Il y avait même plusieurs femmes plus âgées encore qui mettaient en valeur leurs appas.

- Tu arrives juste à temps pour premier spectacle !

- Un spectacle ? Quel spectacle ?

- Quelques-unes unes de nos amies vont se livrer à un show informel pour distraire la foule...

Susan se recula précipitamment.

- Vous ne voulez tout de même pas que je fasse un strip-tease comme à l'usine !

- Non... Mais Christy va nous en faire un... Regarde !

Susan parcourut du regard le fond de la salle obscurci par les rideaux fermés. Christy se trouvait dans une zone éclairée. Christy correspondait exactement à la description d'une femme libérée : une ravissante brunette athlétique, elle avait la quarantaine, se trouvait en excellente forme, avec des mollets galbés et fermes et une taille de jeune fille, des gros nibards qui pointaient comme des obus défiant les lois de la gravité.

Susan se demanda soudain si les miches de Christy étaient naturelles, elle allait bientôt le savoir.

Un collègue mit en route un lecteur de CD dans le fond de la salle, un air d'ACDC : "Highway to hell", Christy se mit à danser sur un rythme très lent avec sa robe coupée court et sa poitrine apparente. Elle entama alors son strip-tease. Elle descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe, et lentement repoussa ses manches sur bras. Sa robe tirebouchonna autour de sa taille, dévoilant un joli soutien-gorge de dentelle. Elle se dépouilla de sa robe et apparut en petite culotte lavande avec une ceinture porte-jarretelles assortie, une fois son soutien gorge enlevé ses nibards se retrouvèrent à l'air, elle semblait naturelle, elle se balançait et tombait comme une paire de miches naturelle. Elle ne pouvait lutter contre les lois de la gravité. Cependant ses miches qui dansaient sur son torse étaient encore très attractives et captivaient ces messieurs. Lorsqu'elle enleva sa petite culotte, ils purent admirer son ventre plat et son mont de Venus entièrement rasé. Lorsqu'elle eut terminé sa danse, elle ramassa ses vêtements et repartit entièrement nue sous les applaudissements des mateurs enthousiastes.

- Comment trouves-tu les tenues de ces dames ? Demanda Gary à Susan.

Susan répondit par une question.

- As-tu fait transformer toutes leurs robes de la fête de Noël ?

- La plupart. Elles ont dit à leur mari qu'elles ne pouvaient pas porter la même robe de soirée à deux reprises.

- Faites-vous chanter toutes ces femmes ?

- Pratiquement toutes... S'étrangla de rire Gary.

- Il y une paire de jeunes bimbos qui le font pour obtenir une promotion, ou tout simplement parce que ce sont de rude salopes, mais pour la plupart nous détenons des preuves compromettantes de leurs infidélités.

- Vous avez des photos de toutes ces femmes en train de baiser ?

- Nous nous les procurons par différents biais... Beaucoup de gens ont commis des actes illégaux dans leur vie... Et nous avons de nombreux amis dans les services de police et dans les tribunaux d'état... Nous employons aussi des détectives privés... Nous amassons ainsi les documents compromettants... Parfois ce sont leurs maris qui se sont rendus coupables d'exaction ! Alana, par exemple, son mari est supposé être extradé, mais nous pouvons intervenir pour le faire rester ! Le bébé de Kelly a besoin d'une intervention chirurgicale extrêmement risquée, le chirurgien refuse d'intervenir s'il n'est pas couvert par une importante assurance, et son assurance refuse de couvrir le risque si la demande n'émane pas de la compagnie. Dès que l'on trouve des documents compromettants sur quelqu'un, on les utilise pour faire chanter la femme!

Levant les yeux, Susan vit Marie, bras droit de Byron, sa secrétaire personnelle une brune d'une soixantaine d'années, au buste opulent dont la tête allait et venait entre les cuisses d'un homme appuyé au mur.

- Marie aussi ? Elle travaille pour la compagnie depuis des décades !

- Son mari a de gros problèmes de jeu... Elle est la meilleure fellatrice de l'entreprise !

- Mais pourquoi les forcer à ça ? Pourquoi ne pas louer les services d'un groupe de prostituées pour satisfaire vos clients ?

- Il y a plusieurs raisons. En premier un tas d'entreprise agissent ainsi et le risque de se faire prendre est important ! Si des flics de Las Vegas apprennent qu'un groupe de prostituées se rend à notre réception, soit on accepte de leur payer un pot de vin, soit ils nous arrêtent sur le champ... Les clients le savent... De plus je ne dispose pas d'un budget suffisant pour leur offrir des putes... Gloussa Gary hilare.

- Mais principalement parce que de nombreux clients préfèrent se taper de véritables amatrices à de vulgaires putes !

- Certaines de ces femmes sont assez âgées... Une paire d'entre elles ne sont même pas séduisantes ! Commenta Susan.

Gary lui rétorqua :

- Nos clients veulent des femmes de types différents, évidemment les plus jeunes sont très réclamées, mais certains préfèrent des femmes matures, expérimentées. Certaines de nos plus collaboratrices les plus collet-montées sont très appréciées.

La musique reprit et Susan leva les yeux vers Julie qui dansait dans le fond. Julie était une femme assez rondouillarde en fin de cinquantaine, qui n'était pas dans la meilleure des formes. Grosse ? Plutôt enveloppée que grosse !

- Un peu enveloppée la Julie... Commenta Gary

- Ni la plus jeune, ni la plus jolie. Mais comme je te disais certains hommes préfèrent les vieilles... Certains hommes aiment les grosses femmes... Bien plus grosse que Julie d'ailleurs... Et elle a de grosses miches ! Se marra Gary.

Gary avait raison sur ce point. Lorsque Julie enleva son soutien-gorge pour danser uniquement vêtue de bas nylon, de son porte-jarretelles noir, d'une culotte noire, une guêpière noire maintenant son ventre ses gros nichons jaillirent au grand air se balançant lourdement sur son torse. Susan estima que chacun de ses nichons avait la taille d'une boule de bowling.

Julie quitta la pièce sous les nombreux applaudissements, Susan vit alors arriver Molly qui sortait d'une chambre. Elle portait une robe de mariée. Molly était une jeune mariée, elle avait épousé son mari quelques semaines plus tôt. Voyant l'étonnement de Susan, Gary gloussa, elle lui demanda ébahie :

- Est-ce sa véritable robe de mariée ?

Il se marra comme une brute et répondit :

- Eh oui, une de mes dernières bonnes inspiration... C'est sa véritable robe de mariée, et je lui ai donné de porter les mêmes sous-vêtements que le jour de son mariage, seule jarretière est nouvelle!

Susan regardait avec sympathie la jeune, ravissante quasi virginale jeune mariée qui dansait dans sa magnifique robe sans bretelles. Le lecteur de Cd jouait "Celebrate good times come on !". Molly tendit le bras dans son dos et déboutonna difficilement jusqu'à ce qu'elle en eut assez dégrafé pour rabattre sa robe sur sa taille exposant son soutien-gorge blanc sans bretelles. Lorsqu'elle se fut dépouillée de sa robe et de ses jupons, elle continua à danser vêtue de ses bas blancs, de son porte-jarretelles blanc et de sa petite culotte de satin blanc, et de sa jarretière bleue. Elle tendit à nouveau la main dans son et dégrafa son soutien-gorge et se retrouva en un rien de temps à danser torse nue, montrant à la foule ses gros nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, les démarcations de sa peau brunie lors de son voyage de noce au soleil, bien visibles. Et, lorsqu'elle se dépouilla de sa petite culotte de satin blanc, elle leur exposa sa petite touffe de poils châtains et ses petites fesses blanches bien rondes.

Rose une nouvelle employée assez menue, et Donna une femme de quarante cinq ans entamèrent un show lesbien, se roulant des pelles baveuses en se déshabillant mutuellement face à la foule.

Gary appela ses deux collègues Jon et Walter. Il leur intima :

- Jouez un peu avec les appas de Susan, pas trop, juste assez pour la mettre en forme !

- Je croyais que vous me resserviez pour de nouveaux clients ? L'interrogea Susan surprise.

- Effectivement, je veux juste t'échauffer la touffe... Commenta Gary vulgairement.

- M'échauffer ?

- Eh oui, exactement comme l'on échauffe les vedettes du porno... Juste pour les préparer à leur performance !

Susan eut une brusque montée d'adrénaline.

- Quelle performance ?

Tandis que Jon plongeait la main dans son bustier pour jouer avec ses tétons, Walter avait glissé la main sous sa jupe, écarté la bande de son string pour lui masser gentiment les babines. L'attention de Susan était partagée entre les agissements des deux jeunes gens et l'annonce de Gary concernant sa performance. Il ajouta :

- Tu devras enlever tes vêtements, t'étendre sur la moquette et te branler !

- Tu veux que je me masturbe en public !

- Exactement! Que tu te branle jusqu'à jouir ! Je veux dire un VERITABLE orgasme, mais si tu n'y parviens pas directement tu pourras feindre un petit peu... J'ai ici quelque chose pour toi si tu as besoin d'aide...

Il tendit la main derrière le bar et ramena deux jouets sexuels : un petit vibromasseur jaune, et un godemiché rose d'un bon treize centimètres !

- Oh je t'en prie, ne me fais pas faire cela ! Le supplia Susan.

- Je ne t'y oblige pas, ils seront juste là au cas ou tu en aurais besoin !

Susan ne gaspilla pas plus longtemps de salive à argumenter avec Gary. 

Lorsque les deux gouines eurent fini de jouer entre elles, elles disparurent derrière les rideaux du fond, Susan hésita quelques instants puis s'installa face à la foule des spectateurs, jetant les deux jouets sur la moquette. Quelqu'un renouvela la musique. Susan parcourut des yeux l'assistance, des douzaines de collègues, mâles et femelles mélangés avec des étrangers, certains qu'elle avait rencontré à la convention un peu plus tôt, et des clients plus familiers.

Susan dégrafa sa robe et remonta son bustier au-dessus de ses épaules. Lorsque sa robe tomba au sol, Susan se tint en string lie de vin, ses gros nichons pendants arrachant des "Ohhh" admiratifs aux spectateurs. La jeune femme glissa la ficelle son thong sur ses chevilles et l'enjamba avant d'ôter ses hauts talons. Elle ne portait plus qu'un collier et ses boucles d'oreille, elle s'allongea sur la moquette.

Un de ses collègues lui tendit un épais oreiller qu'elle posa dans son dos. Susan s'avouait à elle-même que c'était drôlement érotique de se voir reluquée par des dizaines d'homme et de femmes. Mais elle décida de faire comme elle se trouvait seule dans la chaleur de son lit à se masturber. 

Et ainsi, comme à la maison Susan commença par se caresser lascivement les nibards titillant ses mamelons érigés. Sa main gauche glissa entre ses cuisses et entreprit de se chatouiller l'entrejambes, tournant doucement autour de sa foufoune. Un frisson involontaire la secoua toute. Fermant ses yeux, elle glissa ses doigts de haut en bas dans sa fentine, découvrant qu'elle était trempée. Elle plongea son majeur dans sa caverne embrasée et gémit. Elle se doigta longuement ouvrant occasionnellement les yeux pour voir qui la matait. Une grande partie de l'assistance s'était levée et les entourait maintenant admirant la jeune femme nue étendue sur le sol.

Comme les choses ne progressaient pas, elle bougeait la main droite de bas en haut frottant son clito entre son majeur et son l'annulaire. Sans même penser à ce qu'elle faisait, elle retira la main de sous sa jupe et titilla son trou du cul du majeur. Ce geste tira des gloussements de la foule qui accrurent l'excitation de Susan. Susan aurait voulu jouir rapidement, mais ne parvenait pas à conclure.

Chez elle, elle aurait utilisé sa brosse à cheveux pour se branler. Elle se rappela le vibromasseur. Elle le retrouva sur la moquette juste à coté d'elle, elle le saisit et le pointa sur sa caverne engorgée. Elle en plongea plusieurs centimètres dans sa grotte

- Ohhhhhhhhhhhh... Grogna-t-elle en tortillant son torse.

Elle s'empara du vibro et trouva le bouton marche/arrêt. Chez elle, elle ne disposait pas de vibromasseur - elle aurait été bien trop embarrassée pour expliquer à son mari qu'elle possédait un tel engin - mais elle se servait parfois de sa brosse à dents électrique, aussi savait-elle comment se faire jouir. Elle mit le vibro en marche en le plongeant dans sa foufoune, arquant son pelvis pour venir à la rencontre du gode, plongeant et replongeant le vibro dans sa chatoune enfiévrée.

- Ahhhhhhhh! ooooooOOOOOOOO !

Elle frotta son clito avec le bout du vibro, elle se mit alors à hurler :

- HUUUUUUUUUUUU ! OOOWWWWWEEE ! WHooooOOOOOO !

Susan laissa le godemiché plongé dans son intimité tandis que sa main droite tendait son vibro vers son clito. Elle s'arqua violemment se tortillant de droite à gauche, les doigts fourrés dans sa foufoune son corps se tordant sur la moquette, ses nichons dansant de droite à gauche.

- OHHHHH ! OHHHHHH ! HuH, Huh, HuH, Huh... OOOOHHHH !

Susan se tordait sur la moquette en face de dizaines de spectateurs alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites. La salle croula sous les applaudissements alors que Susan gisait recroquevillée au sol, haletant doucement.

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Jon et Walter escortèrent Susan nue sur le devant des spectateurs. Elle s'assit sur une chaise, récupérant quelques instants en regardant Alya faire son show.

Susan ne se rappelait jamais si Alya était indienne ou pakistanaise, mais elle portait toujours des tenues traditionnelles et gardait la tête couverte d'un voile. C'était une femme mature mais très séduisante, et une allure très respectable sous sa burka. 

Susan la regardait danser lascivement en enlevant lentement sa tenue s'exposant en soutien-gorge de dentelle rose et petite culotte assortie.

Jon et Walter la chopèrent alors par les bras et l'emmenèrent dans une chambre, tournant la tête elle eut le temps de la voir entièrement nue exposant ses gros nichons aux larges aréoles brunes et son buisson touffu.

Il se trouvait deux grands lits dans la chambre et ils étaient tous deux occupés. Sur le lit de gauche se trouvait Julie la femme mature aux gros nibards, elle était étendue sur le dos et un homme entre deux âges se taillait une cravate de notaire entre ses opulentes miches. Il tenait ses gros nibards serrés sur sa hampe tandis qu'il coulissait âprement entre eux.

Molly, la jeune mariée se trouvait allongée à coté d'elle, elle avait remis sa robe de mariée de satin blanc, mais pas ses sous-vêtements. Un homme aux cheveux grisonnants se vautrait entre ses cuisses. Ses pieds étaient posés sur les épaules de l'homme. Sa robe et ses jupons étaient tire-bouchonnés autour de sa taille et l'homme la baisait énergiquement. Les gros nibards de Molly étaient sortis de son corsage et se balançaient sur son torse alors que deux hommes qui se tenaient à ses cotés les malaxaient rudement.

Le lit sur le coté droit était occupé par Kelly, la jeune mère qui était venue sur le même avion que Susan. Kelly était entièrement nue et se faisait baiser par un vieux japonais qui se trouvait sur elle, ses gros nibards rebondissant sur son torse alors qu'elle refermait ses cuisses dans son dos. Le japonais appela Susan.

- Eh toi, oui toi viens ici et joins-toi à nou s! Accroupis-toi sur mon visage !

Susan avait à peu prêt le même âge et la même stature que Kelly, elle se demanda un instant si elles avaient été volontairement appariées pour lui être offertes. Elle se dirigea vers eux grimpa docilement sur le lit et enfourcha le visage de l'homme. Elle remua son croupion pour se poser sous le meilleur angle, Kelly se trouvait derrière Susan, elle se tortillait sur sa bite bandée. Susan sentait les nichons de Kelly se presser contre son dos.

Le Japonais lui léchait la fentine, parcourant avidement ses babines engorgées de cyprine tendant les mains pour palper rudement ses miches, ses cuisses, son cul. Il malaxa longuement ses nibards et ses fesses.

- Et maintenant roulez-vous une pelle !

Susan pressa ses lèvres sur celles de la ravissante brunette et glissa sa langue dans la bouche docilement ouverte de Kelly. Susan jeta un œil sur le lit voisin pour voir que Julie se faisait baiser maintenant, ses gros nichons pendaient mais semblaient encore bien fermes, dansant sous son torse alors que l'homme la labourait frénétiquement.

Molly, la jeune épouse, se trouvait maintenant à genoux, elle se faisait baiser par derrière alors qu'elle suçait un des deux hommes qui lui pelotait les nibards quelques instants plus tôt.

Susan et Kelly avaient adopté un rythme régulier Kelly se dressant sur ses cuisses alors que Susan s'arquait en arrière sous les délicieux coups de langue de son suborneur. Alors qu'il lui bouffait la foufoune, son nez frottait contre son clito. Kelly et Susan gémissaient de concert. Kelly gémissait plus rapidement que sa consœur mais dès que Susan lui roula des pelles elles gémirent à l'unisson.

- Huh Huh Huh ! Soufflaient-elles comme un petit train à vapeur

Susan était fort étonnée de jouir aussi rapidement, ayant juste eu un grand frisson dans l'autre pièce, mais comme Kelly criait en se tortillant sur la bite du japonais elle referma les cuisses sur son visage l'étouffant presque alors qu'elle succombait à un orgasme d'une extrême violence.

Lorsqu'il en eut fini avec elles, Susan fut prise par une demi-douzaine d'hommes, dans des positions diverses, dans tous ses trous avec et sans la participation d'autres femmes. Elle vit plusieurs collègues femelles escorter leurs clients dans leurs chambres à coucher mais elle, elle resta dans la chambre.

Finalement à l'occasion d'une pause elle quitta entièrement la chambre pour gagner sa suite.

Les clients étaient tous repartis, il ne restait plus que Gary et quelques employés mâles, et une demi-douzaine de femmes nues ou demi-nues. Gary était nu et il jouait à une sorte de jeu avec les autres femmes, elles se tenaient autour de lui alors qu'il palpait leurs nichons.

Julie était agenouillée enveloppant sa bite de ses gros nibards et la Molly, la jeune mariée se faisait sucer les tétons.

Il fit signe à Susan de se joindre à eux lui intimant de frotter ses miches contre lui.

Puis débuta un jeu de chatoune, Gary doigtait deux foufounes, en léchait une troisième et faisait coulisser sa bite dans une quatrième.

Susan était éreintée mais faisait tout ce qu'elle pouvait pour complaire à son patron. Ses sentiments étaient confus. D'une part elle savait qu'elle n'était pas seule, que d'autres femmes partageaient ses problèmes, elle se sentait mieux de ce fait, mais elle réalisait par ailleurs qu'il n'y aurait pas de fin rapide à sa soumission, qu'elle devrait attendre que Gary soit fatigué d'elle et de ses charmes. Elle s'imaginait à la place de Marie, toute proche de la retraite et cependant obligée de sucer tous les hommes qui le demandaient tant elle était performante dans son rôle de fellatrice. Elle l'acceptait.

Alors que son patron lui tripotait énergiquement ses gros nibards la bite fourrée profondément dans sa foufoune engorgée de foutre, elle savait qu'elle devrait cacher son sort à son pauvre mari tous comme les autres femmes présentes qui jouaient comme elle le rôle de putes de l'entreprise.

FIN