Le samedi, 14 heures, elle frappe à ma porte. Je la fais entrer. La première chose que je remarque c'est qu'elle sent bon, la deuxième c'est qu'elle est magnifique. Elle a dû passer chez le coiffeur, sa chevelure rousse ondule autour de son visage légèrement maquillé. Elle porte une grande robe fleurie qui à la fois cache et met en valeur ses courbes. Je pourrais tomber amoureux si je n’étais pas aussi salaud.
Elle pose un sac de voyage près de la porte et va se mettre au milieu du salon pour commencer à se déshabiller. Je l'arrête immédiatement :
— Stop petite chienne !
Elle m'obéit et laisse ses bras tomber le long de son corps. Je passe derrière elle et soulève sa robe. Elle porte une jolie culotte en dentelle, sûrement un achat récent. Je réalise aussi que les marques de la badine n’apparaissent plus, j’ai du bien dosé mes coups. Je laisse tomber sa robe et je me place face à elle. Sa robe se boutonnant sur le devant, elle n'a laissé que le dernier bouton défait. J'en défais deux de plus pour ouvrir son décolleté sur un soutien-gorge pigeonnant assorti à sa culotte.
— Bon choix pour une salope ! dis-je.
Elle rougit comme une pucelle. En prenant ses seins en coupe dans mes mains j'ajoute :
— Tu as une belle poitrine, il faut la montrer et la mettre en valeur. Donc tu laisses ta robe comme ça. Tu fais sexy sans être vulgaire. J'ai deux cadeaux pour toi, dont un qui va sublimer ton décolleté.
J'attrape sur la console à côté de nous un petit coffret et j'en sors une petite chaîne en or avec un pendentif. Je l'accroche autour du cou de Charlotte. Je lui dis qu'elle peut se regarder dans le miroir à l'entrée de mon appartement. Elle porte la main à son cou, en souriant de plaisir. Elle regarde son reflet et je vois son sourire se transformer en une grimace de frayeur. Elle crie immédiatement :
— Non, Monsieur Didier, je ne peux pas porter ça, c'est impossible !
Je la vois monter les mains derrière sa tête pour détacher le collier. Je prends alors ma voix autoritaire pour dire :
— STOP ! Tu es ma chienne et tu m’obéiras ! Tu viens de gagner une punition !
— Mais Monsieur Didier, c'est trop dégradant ! Me dit-elle en me montrant le pendentif représentant une femme à genoux, les mains derrière la tête, un vrai symbole d'esclavage.
Je me contente alors de répondre :
— Cinq coups de plus !
Elle baisse la tête, vaincue.
— Bon, alors nous sommes d'accord, tu es ma chienne et tu m’obéis ?
Elle hoche la tête et répond :
— Oui Monsieur !
— Bon ! Passons au deuxième cadeau ! Sais-tu ce que c’est que cet objet ?
Charlotte regarde l'objet que je lui présente. Il s'agit d'un objet pointu en métal avec une base évasée.
— Non, Monsieur !
— C'est un plug anal. Je t’avais dit que j’entraînerais ton cul. Tu vas te pencher, soulever ta robe, baisser ta culotte et écarter les fesses.
En tremblant, elle m'obéit et j'ai accès à son cul. Je saisis un tube et mets du lubrifiant sur mon doigt. Puis je l’étale sur son petit œillet brun. Elle frissonne. Je commence à masser son petit trou et bientôt je pousse mon doigt sur l’entrée interdite qui cède soudainement. Charlotte gémit. Je ressors mon doigt pour le recouvrir de lubrifiant et je le remets dans son cul. Je le fais tourner et j'y ajoute un copain, cette fois-ci Charlotte gémit et grimace. Je retire les doigts et lubrifie le plug. Ensuite, je le place sur son anus déjà ouvert et je pousse. Bien sûr, le plug est plus large que mes deux doigts, mais il pénètre lentement dans le petit trou. Charlotte gémit encore plus et grimace de douleur.
— Détends-toi si tu veux avoir moins mal et faciliter son introduction.
Elle souffle et se détend. Le plug finit d'entrer, ne laissant que la base, une sorte de petit diamant bleu, à l’extérieur pour pouvoir le retirer. J'essuie l’excédent de lubrifiant sur les fesses blanches et je dis à Charlotte :
— Remonte ta culotte et baisse ta robe, nous devons y aller. Je te donne le lubrifiant afin que tu puisses l'utiliser si tu dois enlever et remettre le plug !
Elle m'obéit et se redresse en grimaçant. Elle fait quelques pas mal assurés. Mais bientôt elle me suit pour prendre ma voiture.
Après un peu plus d'une heure trente de routes de campagne, nous arrivons dans la cour du manoir imposant d'Alain. Celui-ci vient aussitôt à notre rencontre, suivi d'un grand noir costaud. Je donne une accolade à mon ami et serre la main du noir. Alors qu'Alain dit bonjour à Charlotte, je demande :
— Bonjour, Georges, comment vas-tu ?
— Très bien Monsieur Didier, je vais prendre vos bagages et les emmener à votre chambre, vous avez la bleue comme d’habitude.
Alain a à son service une famille originaire du Congo. Cette famille vit au manoir et l'entretient. Elle est composée de Rosie, la mère, cuisinière hors pair, et de ses trois enfants, les jumeaux Georges et Jacques, armoires à glace imposantes et leur sœur Rosalinde.
— Les autres sont arrivés ? Demandé-je à Alain.
— Marc est déjà dans la cuisine en train de faire enrager Rosie. Tu les connais tous les deux, toujours en train de se chamailler pour les recettes. Et tu vois là-bas Éric et Pierre qui boivent une bière, Philippe n'est pas arrivé et j'attends encore six couples.
C’est alors qu'un coupé sport entre dans la cour du manoir en klaxonnant. Je vois Alain pâlir. Une femme dans la soixantaine sort de la voiture. Habillée avec du grand couturier, elle a une poitrine d’enfer. Elle avance rapidement vers Alain et le serre dans ses bras, un peu plus longtemps que normal. Je regarde mon ami, il est blanc comme un linge.
— Bonjour Alain. Je n’ai pas répondu à votre invitation. C’est idiot, mais je ne l’ai pas reçue. Vous organisez bien un barbecue. Je vous remercie de m’avoir invitée. Vous permettez, je rentre, il faut que je me rafraîchisse.
— Bonjour Madame la Générale ! Faites…
Mais la femme est déjà loin. Alain est apeuré, j’ai l’impression qu’il va s’évanouir.
— Qu’est-ce qui t’arrive Alain ?
— C’est cette femme. Il faut que je t’explique, mais laisse-moi m’asseoir.
Je le regarde poser son cul sur un muret en pierre et je dis :
— En tout cas elle est bien conservée.
Alain me répond alors :
— Oh ! C’est normal, elle est très active. C’est la femme d’un vieux collègue que j’ai eu il y a dix ans quand nous étions à la caserne de Gaulle. Il était général et j’étais son second. Le pauvre est mort aujourd’hui, elle a dû l’épuiser. C’est une vraie nymphomane. À ce que je sais, tout le régiment lui était passé dessus. J’ai eu le malheur de répondre à ses avances une fois et je l’ai regretté mille fois. Elle me harcelait, je n’en pouvais plus. Soit à un détour de couloir elle se jetait sur ma braguette, soit le soir elle rentrait dans ma chambre et s’empalait direct sur ma bite. J’ai compris après pourquoi son mari demandait à partir souvent en opération. C’est une mante religieuse cette femme. J’essaie de l’éviter, mais elle s’impose toujours. Aide-moi Didier, donne de ta personne et sauve-moi.
— Euhhh ! Après que tu m’as dit, ce n’est pas vraiment un cadeau. Je suppose que tu ne peux pas te permettre de la froisser ?
— Eh oui, elle a encore beaucoup de contacts au ministère. Mais elle va nous gâcher la soirée si elle reste. Et là, tel que je la vois elle est hyper excitée, il lui faut de l’homme.
Je réfléchis un moment et demande :
— Elle est difficile point de vue partenaire ?
— Non pas du tout, du moment qu’il a une bite à lui offrir.
— J’ai peut-être une idée !
J’appelle Éric et Pierre. Ils nous rejoignent rapidement. Et après les salutations d'usage, Pierre lorgnant le décolleté de Charlotte, je dis :
— Dis-moi Éric, pour tes gros chantiers tu fais toujours venir des Roumains que tu loges sur place ?
— Oui c’est beaucoup plus pratique. Je les loge dans des baraques que je peux déplacer.
— Tu n’as pas un chantier près d’ici avec des Roumains ?
— Si dans la ville d’à côté, une grosse résidence de 300 logements. J’ai une vingtaine de Roumains qui vivent sur place.
— Vingt c’est suffisant ? Demandé-je à Alain.
Il ouvre de grands yeux en comprenant ce que je veux faire. Puis il se met à sourire et me dit :
— C’est parfait !
— Bon Éric, on a une mission : sauver le soldat Alain. Une tigresse va réapparaître et on va la livrer à tes ouvriers, ça leur fera plaisir. Tu peux les contacter ?
— Je vais appeler le contremaître. Il s’appelle Bobesco et il comprend vite.
— Bien, je prends ma voiture et nous l’emmenons, ça va nous prendre une demi-heure en gros pour l’aller-retour.
Alain sourit, il est soulagé. Je me tourne vers Pierre et lui dit :
— Alain va être occupé pour recevoir ses invités et je n’ai que toi mon ami Pierre pour t’occuper de Charlotte en mon absence. Tu peux peut-être lui faire visiter le parc et le manoir. Mais attention, pas touche !
Pierre me regarde et me sourit. Il pose sa main dans le bas du dos de Charlotte et la dirige vers le parc. Elle me regarde un peu effrayée, mais je lui fais un signe de tête pour lui faire comprendre que tout va bien. Je sais que Pierre est un fieffé coquin, mais je sais aussi que c’est un vrai ami et qu’il ne fera rien pouvant me contrarier. C’est un gros avantage que nous avons tous les six. Nous sommes beaucoup plus que des amis, nous sommes des frères et toujours prêts à nous entraider.
C’est alors que la femme du général revient et dit :
— Fiou ! Qu’il fait chaud ! Je vois que vous avez invité beaucoup d’hommes, Alain !
C’est alors que je prends la parole :
— Madame la générale, Alain va devoir s’excuser, il a beaucoup de choses à préparer. Il nous laisse le soin à Éric et moi, de vous tenir compagnie.
La femme nous regarde comme un chien regarde une saucisse. J’ai l’impression qu’elle va se jeter sur nous et nous violer sur place. Je continue :
— Mon ami Éric voulait me montrer un de ses chantiers pas loin d’ici. Vous pourriez peut-être nous accompagner en attendant que tout soit prêt ici.
— Ben oui pourquoi pas cher ami !
Nous partons tous les trois pour le chantier, Éric et moi devant, la générale derrière, qui en profite pour refaire son maquillage. Quand nous arrivons, nous voyons un homme bronzé, petite moustache qui nous attend. Éric me dit que c’est son contremaître. Il lui a téléphoné plus tôt et lui a expliqué ce que nous voulions faire.
Nous descendons de voiture et Éric dit à notre passagère :
— Madame la générale, vous voulez peut-être vous rafraîchir, il fait si chaud.
— Volontiers mon ami !
— Mr Bobesco va vous montrer où vous pouvez le faire.
La générale suit le contremaître avec joie. Éric et moi nous adossons à la voiture. Nous attendons cinq minutes, puis dix. Nous décidons alors d’aller voir ce qui se passe. Par la fenêtre d’un baraquement, nous voyons la générale à genoux, son chemisier Chanel ouvert, ses gros seins ont l’air malaxés par plusieurs mains. Elle a une bite dans la bouche et une dans chaque main pour les branler. Sur son visage s’affiche une intense satisfaction.
Le contremaître s’approche de nous. Éric lui dit :
— Bobesco, il faut que tu la gardes toute la nuit, nous reviendrons la chercher demain. Mais il ne faut pas la casser. S’il y a un problème, tu m’appelles. Compris ?
— Compris Monsieur Éric ! Femme contente, ouvriers contents, femme jouir beaucoup, ouvriers tous jouir, tout le monde content ! Ah ah ah !
J'ajoute alors :
— Si tu pouvais faire un film et nous l'envoyer à cette adresse, ça serait très bien.
— Oui Monsieur, ça sera fait, vous contents !
Nous rigolons tous les trois avant qu’Éric et moi retournions à la voiture. Nous repartons heureux et soulagés pour Alain.
De retour au manoir, je me mets immédiatement à la recherche de Charlotte. Elle est assise à une table près de la piscine avec Pierre, elle se trémousse sur son siège, à cause du plug sûrement. D'autres couples sont arrivés et certains profitent même de la piscine. Je rejoins mon ami et ma petite chienne. Je suis devant à leur table quand quelqu'un arrive en courant et me saute dessus pour m’embrasser fortement sur les deux joues. Il s'agit d'une petite femme enrobée et très joyeuse.
— Bonjour, mon Didier, je suis trop contente de te voir !
Surpris, et très heureux moi aussi je réponds :
— Virginie ma douce, je suis trop content que tu sois là.
Je la sers fort dans mes bras. Cette femme complète notre groupe avec les six gars. Depuis notre enfance, elle a toujours été avec nous et nous a souvent empêchés de faire des bêtises. Elle est psychologue et vit dans le sud de la France avec son second mari qui est artiste-peintre. Elle vient de subir une grave maladie, mais elle va beaucoup mieux.
— Picasso est par là ? Demandé-je.
C'est le surnom que nous six donnons à son mari. Nous l'aimons bien, car il rend heureuse notre Virginie.
— Tu sais comme il est ! Il fait le tour du manoir et du parc pour trouver un bon endroit pour peindre. Il a même demandé à Rosalinde si elle ne voulait pas poser nue pour lui, il a eu droit à son regard meurtrier.
Pendant tout cet échange, Charlotte reste bouche bée. Je dis alors à Virginie en la désignant :
— Il faut que je te présente Charlotte une amie qui va avaler des mouches si elle reste bouche ouverte.
Bien sûr, aussitôt Charlotte ferme la bouche. Les deux femmes se saluent. Virginie voit tout de suite le pendentif autour du cou de Charlotte. Elle se tourne vers moi et me dit :
— Tu ne changeras jamais Didier ! Bon je vais chercher Picasso !
Je hausse les épaules en souriant alors que Charlotte nous fait le bonheur de prendre un beau rouge écarlate.
— Et si nous allions nous changer pour profiter de la piscine ? dis-je en tendant la main à Charlotte.
Elle la prend et je l'emmène dans notre chambre. Pendant le trajet, elle me chuchote :
— Monsieur, s'il vous plaît, pourrai-je enlever le plug ?
— Pas de problème, cinq coups !
Elle réfléchit et pèse le pour et le contre, puis me répond :
— D'accord Monsieur
Arrivée dans la chambre, elle est impressionnée par le luxe. Mais elle se rue dans la salle de bain pour retirer le plug. Alors que j'enlève les vêtements, je l'entends gémir en sortant l'objet de son cul. Je la rejoins alors qu'elle lave l'objet. Je lui ordonne de se retourner et de se baisser. Son cul est béant, mais il reviendra bientôt à la normale. Je bande.
— À genoux ! Mains sur la tête ! Ouvre la bouche !
Docilement elle s’exécute. Je glisse mon sexe bien dur dans sa bouche ouverte. Elle commence à me sucer, un air de satisfaction sur le visage. Elle essaie de s'appliquer du mieux qu’elle peut en bougeant sa langue sur mon membre. Je la laisse faire et admire son visage de bourgeoise, si fière, essayer de faire jouir un homme autre que son mari. Bientôt j’éjacule dans sa bouche et elle s'empresse d’avaler. Puis elle lèche consciencieusement ma bite pour la nettoyer.
Nous prenons nos maillots de bain. Charlotte enfile un une-pièce noir qui moule son corps de façon exquise. Je crois qu'elle va faire tourner des têtes. Nous rejoignons les invités qui profitent de la piscine. L’après-midi se termine lentement. Nous nous amusons et discutons tranquillement. J'ai droit à une autre fellation quand nous retournons nous changer. Charlotte commence à devenir une experte.
Je n'oublie pas ma mission avec Natacha. J'attends le moment propice. J'ai demandé à Pierre et Philippe qu'ils s'occupent du mari. À la fin de la soirée il devrait être raide ivre et ne plus se soucier de sa femme.
À la fin du repas, je laisse Charlotte discuter avec Éric et je me dirige vers Natacha, assise seule sur une chaise et qui regarde son mari rire bruyamment avec mes deux compères.
— Le bébé est couché ? Lui demandé-je.
Elle sursaute et me répond :
— Oui et il dort profondément, sûrement l'air de la campagne.
— Puis-je vous proposer une promenade dans le parc ? Il y a tout au bout une petite tonnelle magnifique.
Elle hésite. Je pense qu’elle se demande si elle peut avec son mari tout près. Elle le regarde et quand elle voit qu'il l'ignore et qu'il enfile verre sur verre, elle se lève. Nous nous éloignons sous le regard curieux, furieux et peut-être jaloux de Charlotte.
Nous discutons de tout et de rien jusqu'au fond du parc. Puis je la fais asseoir sur un banc. Je prends ma voix charismatique et je lui dis :
— Vous allez m’écouter attentivement Natacha. Vous avez cinq enfants, un mari souvent absent, une vie morne. Comment voyez-vous le reste de votre vie ? À l'occuper à élever tous les mômes que vous aura faits votre mari lorsqu’il rentrera de mission ? Je me doute que vous êtes amoureuse de votre mari et qu'il vous fait bien jouir. Mais combien de fois par an ? Une, deux peut-être trois fois l'année. Et le reste du temps, vous mouillez parce que votre bébé tête votre sein. Ne niez pas, je l'ai vu. Vous voulez une vie sans plaisir, sans pouvoir vous épanouir en tant que femme ? Mais vous pouvez aimer votre mari tout en vous faisant plaisir. Vous êtes encore désirable alors profitez-en ! C'est ce soir que tout se décide, il n'y aura pas de retour en arrière. Donne-moi ta culotte Natacha !
Pendant tout mon discours, je vois tous ses sentiments s'afficher sur son visage : la curiosité suivie de l'introspection, la colère, l’incrédulité, la honte et l'envie de m'envoyer paître. Elle se lève. C'est le moment crucial, soit elle s'enfuit, soit elle obéit. Je la vois réfléchir intensément puis relever sa robe, retirer rapidement sa culotte et me la tendre en rougissant tête baissée.
- Mais tu es rasée, c’est très bien !
Elle rougit et baisse la tête. Je lui mets la main aux fesses et la pousse vers le manoir en disant :
—Tu ne le regretteras pas Natacha. Je vais te donner un premier défi. Tu vas aller voir mon ami Alain et tu lui diras que tu vas faire tout ce qu'il veut.
— Mais mon mari ?
— Je m’en occupe. À l'heure qu'il est, je pense qu'il doit être complètement ivre. Nous allons l'aider à se coucher. Vis ta vie Natacha !
— Bien Monsieur.
Nous rejoignons les convives. Certains sont déjà partis, d'autres rejoignent leur chambre. Charlotte me regarde revenir avec Natacha et elle voit son amie se diriger vers Alain et lui parler. Je rejoins Pierre et Philippe, et ensemble nous nous chargeons de porter Pierre-Henri Rivière dans la chambre attribuée au couple pour le mettre dans son lit. Quand nous le laissons, il ronfle comme un bienheureux. Rosalinde a pris le bébé avec elle pour la nuit.
Je retourne auprès de Charlotte. Elle semble heureuse de me voir, ça ne va pas durer. La voyant bâiller, je lui propose d'aller nous coucher. Elle me suit alors que nous regagnons notre chambre. À peine la porte refermée, j'ordonne :
— Déshabille-toi !
Elle m'obéit un peu anxieuse. Elle doit se demander ce qu'il va se passer. Une fois qu'elle est nue, j’appuie sur un bouton caché et un pan de mur tourne pour découvrir un passage secret.
— Suis-moi ! Dis-je simplement
Elle m'obéit et nous descendons des escaliers en bois jusqu’à une porte verrouillée par un code électronique. Je connais le code bien sûr, cette pièce étant une de celles dont j'ai supervisé l’emménagement.
Je laisse passer Charlotte devant moi. Elle se fige au milieu de la pièce. Elle voit différents meubles bizarres ainsi que toute une série d'accessoires inquiétants accrochés au mur. Je la tire par le bras jusqu’à un pilori modifié par mes soins. Il est plus bas que la moyenne et possède une barre d'écartement en retrait. Je soulève la planche supérieure et demande à Charlotte de mettre ses poignets et sa tête dans les trous dont les contours sont recouverts d'une épaisse couche de mousse puis je rabats la planche. Elle est prise au piège. Ensuite j'attache chacune de ses chevilles à chacun des bouts de la barre d’écartement. Elle se retrouve donc pliée à la taille, les seins pendants, la tête et les mains prises en étaux, le cul bien présenté, les jambes largement écartées.
Je me déplace jusqu’à un tiroir dans un meuble et en sort plusieurs objets. Je m’approche de ma voisine, m'agenouille et fixe une petite pince à chacun de ses mamelons. Elle pousse un petit cri de douleur. À ces pinces, j'attache des poids qui tirent les seins vers le bas. Je donne un petit coup aux poids pour qu'ils se balancent. Enfin je me place en face de Charlotte qui grimace et tremble.
— Chienne, tu dois être punie. Rappelle-moi le nombre de coups ? Si tu te trompes, ça sera cinq de plus.
Je la vois réfléchir intensément. Elle ne veut certainement pas se tromper. Elle finit par me dire :
— Quinze ! Monsieur, dix à cause du pendentif et cinq pour le plug.
— Dommage… commencé-je à répondre.
Son visage pâlit, elle se demande quelle règle elle a enfreinte.
— Dommage que tu ne te sois pas trompée, quinze coups je trouve ça peu.
Le soulagement s'affiche sur le visage de Charlotte, bientôt suivi par de l'indignation sur la fin de ma phrase. Je continue alors :
— Je vais te donner une fessée mains nus. Mais avant chaque claque je te poserai une question. Après la claque, que tu auras comptée bien sûr, tu répondras à la question. Si tu réponds mal, si tu n’es pas sincère, si tu me mens, ou si tu ne réponds pas assez vite, on recommence au début.
Je passe derrière elle, caresse sa croupe exposée et dis :
— Qui es-tu ?
CLAC, j’abats ma main sur sa fesse droite.
— Aïe ! Un Monsieur ! Je suis Charlotte de Villaret !
— Et encore ?
CLAC, cette fois-ci c'est la fesse gauche. Je vais alterner à chaque fois.
— Aïe ! Deux Monsieur ! Votre chienne Monsieur !
— Qui suis-je ?
CLAC !
— Ouille ! Trois Monsieur ! Vous êtes Monsieur Didier !
— Et encore ?
CLAC !
— Aïe ! Quatre Monsieur ! Vous êtes mon maître monsieur ?
— Ça signifie quoi pour toi ?
CLAC !
— Cinq Monsieur ! Que je dois vous obéir en toutes circonstances !
— As-tu envie que je te sodomise ?
CLAC !
— Six Monsieur ! Non,Monsieur !
— Et si je veux le faire, essaieras-tu de m'en empêcher ?
CLAC !
— Sept Monsieur ! Non,Monsieur, je suis votre chienne !
— Est-ce que dorénavant tu vas jouir sans ma permission ?
CLAC !
— Ouille ! Huit Monsieur ! Non, Monsieur !
— Même avec ton mari ?
CLAC ! Elle hésite, mais seulement un court instant.
— Neuf Monsieur ! Je ne jouirai pas avec mon mari Monsieur !
— Bien ! Es-tu prête à m’obéir quand je le veux, où je le veux, comme je le veux ?
CLAC !
— Dix Monsieur ! Oui Monsieur !
— Même si je te demande de sucer Albert ?
CLAC ! Elle hésite encore, mais c'est très court.
— Onze Monsieur ! Oui Monsieur !
— Et si je te demande de te faire baiser par tous mes amis ?
CLAC !
— Douze Monsieur, je le ferai Monsieur !
— Et si je t'emmène dans un baraquement de vingt Roumains pour te livrer à eux ?
CLAC !
— Treize Monsieur ! Comme vous le voudrez Monsieur !
— Qui suis-je ?
CLAC ! J'appuie bien cette avant-dernière claque.
— Aïe ! Aïe ! Quatorze Monsieur ! Vous êtes, Monsieur Didier mon Maître !
— Et toi qui es-tu !
CLAC. ! La dernière est particulièrement violente.
— Ouille, ouille, ouille ! Quinze Monsieur ! Je suis votre chienne, votre esclave Monsieur !
Ses fesses sont bien rouges. Je l'entends sangloter de douleur et de soulagement que ce soit terminé. Sa chatte luit, elle doit être bien humide. Je baisse mon pantalon et sort mon sexe bien dur. Je me penche sur elle et lui chuchote :
— À partir de maintenant, tu es autorisée à jouir jusqu’à ce que je remette l'interdiction !
Je présente ma bite à l'entrée de sa chatte, l’insère entre ses petites lèvres et l’enfonce d'un coup sec dans son antre chaud. J'ai raison, elle est plus que mouillée.
— AAAAAAHHHHHHHHH, OOOOOOHHHHHH, AAAAAAAAAAH ! gémit Charlotte en jouissant.
Elle était trop excitée. Je vois son corps trembler, ses genoux flageoler, heureusement que je la tiens par les hanches. Je retire ma queue, puis la remets, provoquant ainsi des petits gémissements. Je continue ce manège pendant un moment et bientôt une réplique de son premier orgasme la terrasse à nouveau. Je me mets alors à la pilonner assez rapidement et quelques minutes après elle jouit une troisième fois. Je l'accompagne en éjaculant mon foutre chaud au fond de son ventre.
Je reprends mon souffle pendant quelques secondes, puis je me retire. C'est alors que ses genoux cèdent, j'ai l'impression d'avoir un pantin désarticulé attaché au pilori. J'aurais bien voulu qu'elle nettoie ma bite, mais quand je me place devant elle, je la vois presque évanouie, un mince sourire de satiété sur son visage en sueur.
J'enlève les pinces et les poids sans qu'elle réagisse. Je la détache alors du pilori et la remonte dans la chambre. Je la pose dans la grande douche, me déshabille et la rejoins. Je la douche et la lave du mieux que je peux. Quand je veux nettoyer son sexe, inconsciemment elle bouge ses hanches pour venir à la rencontre de mes doigts. Il ne me faut pas longtemps avant qu'elle ne jouisse à nouveau. Je décide alors de la laisser reprendre ses esprits toute seule dans la douche. Je finis de me laver, me sèche et me couche dans le grand lit.
Plus tard, j’entends la douche fonctionner de nouveau. Alors que je suis couché sur le dos, les bras derrière la tête, je la vois sortir nue de la salle de bain, se glisser sous les draps, hésiter un court moment et poser sa tête sur mon torse avant de s’endormir. Je la laisse comme ça, elle sent si bon.
******
Charlotte
En ce samedi matin, j'apprécie de pouvoir traîner au lit. Je suis seule et il n'y a personne pour me dire ce que je dois faire. Je me lève quand même vers neuf heures et demie. Cette après-midi, Monsieur Didier m'emmène passer le week-end à la campagne. Si j'ai ce qu'il faut pour la robe et le maillot de bain, je veux lui faire plaisir pour mes dessous. Je ne peux pas mettre mes classiques culottes de coton qu'il abhorre et sur un coup de tête, j'ai appelé ma coiffeuse qui, une chance, à une place libre à onze heures.
En prenant ma douche, je suis soulagée de constater que les marques de la badine de Monsieur Didier ont disparu. Je pourrais me mettre en maillot sans risquer d'attirer des regards interrogateurs.
Je décide de me rendre dans un magasin de lingerie qui se trouve à quelques rues de mon appartement. J'y suis allée, il y a longtemps, un jour que je voulais une surprise à François pour la Saint-Valentin, mais devant le fiasco, je n'y ai plus remis les pieds.
La vendeuse charmante et souriante se rend bien compte que je ne suis pas une habituée de ce type de sous-vêtements et elle me conseille et me guide. Je finis par choisir un ensemble de dentelle jaune pâle, tanga et soutien-gorge. Je constate que dans cette boutique, ils ont toutes les tailles même pour les femmes qui sont bien plus en chair que moi. Je repère quelques strings et autres sous-vêtements qui devraient plaire à Monsieur Didier, mais je n'ose pas les acheter.
La vendeuse me propose d'essayer le soutien-gorge, j'hésite un peu.
— Vous savez, Madame, selon les modèles, il faut parfois prendre la taille inférieure ou supérieure. Ce serait dommage qu'arriver chez vous, vous vous rendiez compte qu'il n'est pas à votre taille.
— Oui ! Vous avez raison… Je vais l'essayer.
Je tire le rideau de la cabine et retire mon chemisier puis le soutien-gorge que je porte. J'enfile cette pièce de dentelle. Il me va parfaitement, je réalise alors que je ne me suis jamais sentie aussi bien dans un soutien-gorge et surtout cela n'a rien à voir avec celui que j'ai pris l'autre jour dans cette boutique du centre commercial.
Je confirme mon achat auprès de la vendeuse et après avoir payé, une somme non négligeable. Je me dépêche de me rendre chez Isabelle, ma coiffeuse. Je la laisse décider pour moi, je lui dis simplement que je vais passer le week-end à la campagne chez des amis. J'admire son travail, mes cheveux sont nets et gonflés. Mes boucles rousses se déploient harmonieusement. C'est le cœur léger que je rentre chez moi pour prendre un repas rapide.
À quatorze heures, je frappe à la porte de Monsieur Didier. Je porte une robe à fleurs évasée, et les sous-vêtements achetés ce matin, mon nécessaire pour le week-end dans un petit sac.
Dès mon entrée, je me rends au salon pour commence à me dévêtir comme je dois le faire en arrivant chez lui, mais, il m'arrête. Il soulève ma robe et je le vois satisfait de découvrir ce que je porte en dessous. Il ouvre des boutons de ma robe que j'avais fermés jusqu'en haut, ce qui élargit un peu plus mon décolleté.
— Bon choix pour une salope ! dis-je.
Je rougis, un mélange de fierté et de honte. Puis, il prend ma poitrine dans ces mains et les soulève un peu.
— Tu as une belle poitrine, il faut la montrer et la mettre en valeur. Donc tu laisses ta robe comme ça. Tu fais sexy sans être vulgaire. J'ai deux cadeaux pour toi, dont un qui va sublimer ton décolleté.
Je suis aux anges, Monsieur Didier me fait des cadeaux, et je vois bien que cela lui fait plaisir de me les offrir. Cela me change de François qui me les fait plus par obligation que par envie. Il s'approche de moi et il accroche un pendentif autour de mon cou. Je sens le petit médaillon autour de mon cou.
Quand je me vois dans le miroir, je comprends que je n'aurai pas dû être si enthousiaste. C'est atroce ce qu'il vient de m'offrir, je ne peux pas le garde, je me prépare à l'enlever en criant.
— Non-Monsieur Didier, je ne peux pas porter ça, c'est impossible !
— STOP ! Tu es ma chienne et tu m’obéiras ! Tu viens de gagner une punition !
— Mais Monsieur Didier, c'est trop dégradant !
Je lui montre le pendentif, une femme à genoux, les mains derrière la tête, un vrai symbole d'esclavage.
— Cinq coups de plus ! me dit-il sobrement.
Je ne dis rien et je ne touche pas au pendentif, retenant mes larmes.
— Bon, alors nous sommes d'accord, tu es ma chienne et tu m’obéis ?
— Oui Monsieur !
— Bon ! Passons au deuxième cadeau ! Sais-tu ce que c’est que cet objet ?
— Non-Monsieur !
— C'est un plug anal. Je t’avais dit que j’entraînerais ton cul. Tu vas te pencher, soulever ta robe, baisser ta culotte et écarter les fesses.
Je lui obéis sans protester, je sens Monsieur Didier étaler un liquide froid entre mes fesses. Je frissonne quand son doigt masse mon anus. Il appuie et je le sens soudain entrer en moi. Je pousse un petit gémissement. Monsieur Didier sort son doigt avant de le remettre une nouvelle fois dans mon cul où il s'amuse à le tourner. Je grimace et pousse un petit cri quand je sens qu'il entre un deuxième doigt. Je n'aime vraiment pas cela, mais je l'accepte. Je souffle quand il ressort son doigt, mais je réalise que le pire est à venir. IL présente maintenant le plug devant mon petit trou. Là, je ne me retiens plus et je crie.
— Détends-toi si tu veux avoir moins mal et faciliter son introduction.
Je souffle et je tente de me détendre le plus possible. L'objet entre dans mon sphincter et il ne bouge plus. Cela me donne envie d'aller aux toilettes. La sensation est vraiment très désagréable.
— Remonte ta culotte et baisse ta robe, nous devons y aller. Je te donne le lubrifiant afin que tu puisses l'utiliser si tu dois enlever et remettre le plug !
Une fois rhabillée, je suis Monsieur Didier dans la voiture. À chaque pas, je sens le plug dans mes fesses, je n'ose pas imaginer la démarche que je dois avoir avec.
Nous arrivons enfin devant le portail automatique d'une immense propriété. Je découvre un manoir dix-huitième au bout d'une allée bordée de vieux tilleuls. Un mur d'enceinte semble faire le tour du domaine. Même si mes parents ont de l'argent et si notre maison de famille tient la comparaison avec ce manoir, le parc en revanche, fait jardin de banlieue. Chez qui Monsieur Didier m'a-t-il emmenée ?
Je vois alors Alain, l'un des participants de la partie de poker de mardi. Je blêmis. Je comprends de suite que ce week-end ne va pas être ordinaire. Un grand noir s'approche de nous. Non seulement la propriété est immense, mais en plus Alain peut se permettre d'avoir du personnel de maison. Ma famille y a renoncé depuis des années, mes parents faisant appel à des extra pour les besoins d'une réception. Le jeune homme qui s'appelle Georges prend nos bagages pour les monter dans notre chambre.
Je découvre parmi les invités d'autres participants de la partie de cartes. Quand soudain une petite voiture de sport déboule dans l'allée. Alain se décompose et je l'entends parler avec de la panique dans la voix. J'entends les mots "générale", "nymphomane"… Ces hommes qui semblent si sûrs d'eux auraient-ils un point faible ? Mais je vois Monsieur Didier prendre les choses en mains. Il demande alors à Pierre s'il veut bien s'occuper de moi pendant qu'il gère le problème que semble leur poser cette femme.
— Mais on ne touche pas… finit-il sa phrase.
Pierre me prend sous son aile et commence à me faire visiter les étages communs du manoir. Je découvre la salle de réception lambrissée avec une magnifique fresque au plafond, puis dans les cuisines, je vois Rosie, la mère de George le majordome, affairée à préparer le buffet de ce soir avec Marc, un autre joueur de poker.
Nous sortons côté jardin et à ma surprise, je découvre un parc à l'anglaise qui s'étend jusqu'à l'orée d'une forêt.
— C'est impressionnant, n'est-ce pas ? me dit Pierre.
— Oui, ce domaine est immense… dis-je admirative.
Sous ses airs bourrus, je découvre un Pierre urbain, qui n'a ni paroles ni gestes déplacés. Il me présente rapidement aux invités comme Charlotte de Villaret, amie de Didier. Il ne précise pas la nature des relations que j'entretiens avec Didier ce qui fait que les gens me regardent avec considération. Je pense que la particule n'y est pas étrangère. M'auraient-ils considéré de la même manière si je m'appelais Durand ou Dupont ? Nous nous approchons de la piscine, déjà occupés par deux couples.
Une jeune femme noire me présente un rafraîchissement que je prends avec plaisir. Nous avons beau être fin septembre, le soleil est encore chaud.
C'est alors que j'entends mon prénom. Je me retourne et je vois Natacha accompagnée de son mari. Elle est toujours aussi magnifique dans sa robe blanche.
— Charlotte, que fais-tu là ?
— Et toi ? Je suis venue avec mon voisin, il m'a proposé de l'accompagner pour le week-end pour que je ne reste pas seule…
— Alain est un camarade de promo de Pierre-Henri à l'École de Guerre…
— Je comprends, Alain et Didier sont des amis d'enfance. Ainsi que Pierre…
— Oui ! C'est cela ! dit Pierre d'un ton bourru.
Je le vois aussi regarder avec envie le cul de Natacha qui s'éloigne pour aller saluer d'autres couples qu'elle connaît. Je me disais bien aussi que son urbanité avait des limites.
Il m'invite à m'asseoir et nous commençons à parler de manière surréaliste de compte de résultats, de rentabilité, de développement. Il semble s'intéresser au concept de mon agence de voyages et il se propose de m'aider à le développer. Cela m'intéresse, car je lui avoue que mes relations avec mon banquier ne sont pas des plus cordiales depuis le semi-échec du lancement de l'agence de New Delhi et qu'il me suit à reculons sur l'ouverture de celle de Dubaï.
Assise je suis un peu soulagée, car le plug commence sérieusement à me gêner et je me dandine un peu. J'espère que Monsieur sera de retour bientôt et qu'il me donnera l'autorisation de le retirer.
Je bois avec plaisir ce cocktail très léger à base de mangue, préparé par Rosalinde qui semble s'être volatilisée depuis l'arrivée de Natacha. D'ailleurs qu'a-t-elle fait de Baptiste ?
Monsieur Didier me sort de ma réflexion, il est là, devant moi. Je vois alors débouler une petite brune assez ronde qui lui saute dans les bras. Un autre de ses conquêtes ? Non, cela ne colle pas avec son comportement. Même si je vois les mains descendre sur les fesses de cette femme, Monsieur Didier ne lui aurait jamais donné l'autorisation de lui sauter dessus ainsi.
— Picasso est par là ? dit-il.
— Tu sais comme il est ! Il fait le tour du manoir et du parc pour trouver un bon endroit pour peindre. Il a même demandé à Rosalinde si elle ne voulait pas poser nue pour lui, il a eu droit à son regard meurtrier.
Leur échange est tout aussi surréaliste que le mien avec Pierre avant l'arrivée de Monsieur Didier. Je les regarde sans m'être rendu compte que j'avais gardé la bouche ouverte.
— Il faut que je te présente Charlotte une amie qui va avaler des mouches si elle reste bouche ouverte.
Aussitôt je referme ma bouche, gênée, avant de saluer Virginie qui est donc une amie d'enfance de ce groupe d'hommes. Amitié tellement improbable, pensé-je en la voyant si différente des autres. Elle remarque alors le pendentif que je porte et relève les yeux vers Monsieur Didier en lui disant d'un air grave :
— Tu ne changeras jamais Didier ! Bon je vais chercher Picasso !
Je rougis, car je sais à cet instant qu'elle sait comme il me considère. Mais en partant chercher son mari de l’autre côté du parc, elle m'envoie un baiser du bout des doigts. Monsieur Didier me prend la main et nous, nous allons dans notre chambre pour nous changer afin d'enfiler nos maillots pour profiter de la piscine. Je profite que personne n’est autour de nous pour lui chuchoter :
— Monsieur, s'il vous plaît, pourrai-je enlever le plug ?
— Pas de problème, cinq coups !
— D'accord Monsieur ! dis-je.
La gêne que me cause le plug est plus désagréable que cinq coups de badine sur les fesses. Je n'ai pas mis beaucoup de temps à choisir.
La chambre est toute aussi luxueuse que le reste de la demeure. Je me précipite dans la salle de bain pour retirer le plug. Je pousse un petit couinement, mais je me sens infiniment mieux. Je le regarde un peu souillé, je grimace et le passe sous l'eau pour le nettoyer. Je sens alors la présence de Monsieur Didier dans mon dos.
— Tourne-toi et penche-toi ! m'ordonne-t-il.
Quand il retrousse ma robe, j'ai peur qu'il n'ait envie de me prendre par là, mais il me demande juste de m'agenouiller et d'ouvrir la bouche. Je suis bien heureuse qu'il se contente de ma bouche aussi je m'applique à le sucer et lorsqu'il jouit dans ma bouche. Je ne grimace pas et je me contente d'avaler son sperme et de lui montrer ma bouche vide.
Une fois que je lui ai bien nettoyé le sexe je me change et enfile mon maillot une pièce, noir qui me moule tant. Cet après-midi, je ne pourrais pas cacher la forme de ma fente aux autres. Mais cela ne me gêne pas autant qu'à la piscine. Je plonge dans l'eau et je rejoins Natacha qui s'y prélasse déjà. Elle a osé un maillot un peu provocant, mais avec ses fesses, elle peut se le permettre. Je remarque que parfois, Alain se rapproche beaucoup de mon amie et la frôle. Elle frissonne à chaque contact, mais elle ne les refuse pas. Seraient-ils amants ? Non, elle m'en aurait parlé et elle est si amoureuse de son mari.
Elle m'explique alors que Rosalinde s'occupe de Baptiste. Elle s'en doutait un peu, car elle s'est toujours sentie à l'aise avec les enfants à chaque fois que Pierre-Henri et elle viennent. Elle lui fait entièrement confiance.
— Il faut que j'aille lui donner la tétée. D'ailleurs, je crois que je vais y aller maintenant comme cela je serais tranquille pour la soirée. Il n'y a rien de plus désagréable que de devoir quitter une soirée pour aller nourrir bébé.
Alors que je la regarde retourner vers le manoir, Monsieur Didier me fait aussi comprendre qu'il est temps d'aller remettre nos vêtements pour le repas.
Dans la chambre, il me demande une nouvelle fellation, dont je m'applique avec le plus grand plaisir. Quand nous retournons sur la terrasse, les employés congolais d'Alain, Jacques et Georges, ont apporté les tables et avec leur sœur, ils ont dressé le buffet. Georges s'occupe ensuite du barbecue pendant que nous prenons l'apéritif.
Alors que la soirée est bien avancée, je vois Monsieur Didier s'approcher de Natacha pour lui parler. Je les regarde s'éloigner dans le parc et disparaître derrière un bosquet. Je jette un regard vers Pierre-Henri qui ne s'est rendu compte de rien. Il a l'air ivre. Je suis étonnée, cela ne lui ressemble pas. Quelques minutes plus tard, quand Monsieur Didier et Natacha reviennent, elle semble soucieuse. Je lui fais un petit signe, mais elle ne le remarque pas. Elle se dirige vers Alain et quelques instants plus tard, je vois Monsieur Didier, Pierre et Philippe attraper Pierre-Henri par les bras et le conduire vers le manoir.
L'excellent rosé d'Anjou, ajouté aux quelques cocktails de l'après-midi commencent à faire effet. Mes paupières sont lourdes et je bâille. C'est avec plaisir que je prends le bras de Monsieur Didier pour rejoindre la chambre.
Dans la chambre, je n'hésite pas quand il me demande de me mettre nue. Mais au lieu de s'occuper de moi, il me demande de le suivre. Je découvre alors une nouvelle merveille de ce château. Après m'avoir invité à le suivre, Monsieur Didier me montre un passage secret derrière les moulures de la chambre. Nous descendons un escalier de bois jusqu'à une porte fermée par un code que Monsieur Didier connaît. Il m'invite à entrer dans une pièce qui me fait plus penser à une salle de torture qu'à une chambre romantique. Je le regarde, immobile, tétanisée. Je ne sais pas comment me comporter.
Il s'approche d'un appareil qui ressemble aux piloris que l'on voit sur les représentations médiévales pour punir les criminels. Il en soulève la basse supérieure pour que je m'y installe. Les trous pour la tête et les poignets sont recouverts de mousse épaisse et ne font pas mal lorsqu'il referme la planche pour m'emprisonner. Je le sens alors attacher mes chevilles à une barre fixée au sol qui me maintient les cuisses bien ouvertes.
Je l'entends chercher quelque chose puis il revient vers moi. Il se penche près de ma poitrine et il fixe une pince à chacun de mes mamelons. Je ne retiens pas un petit cri, plus de surprise que de douleur, mais quand il ajoute des poids et qu'il les fait se balancer, je couine. Il vient alors devant moi et prend sa voix autoritaire.
— Chienne, tu dois être punie. Rappelle-moi le nombre de coups ? Si tu te trompes, ça sera cinq de plus.
Rapidement, je réfléchis et je me souviens des moments où il m'a dit que je serai punie, je lance en espérant ne pas m'être trompée :
— Quinze Monsieur, dix à cause du pendentif et cinq pour le plug.
— Dommage… commencé-je à répondre.
Qu'ai-je oublié ? me dis-je.
— Dommage que tu ne te sois pas trompée, quinze coups je trouve ça peu.
Quel goujat ! Comme si quinze coups n'étaient pas suffisants…
— Je vais te donner une fessée mains nus. Mais avant chaque claque je te poserai une question. Après la claque, que tu auras comptée bien sûr, tu répondras à la question. Si tu réponds mal, si tu n’es pas sincère, si tu me mens, ou si tu ne réponds pas assez vite, on recommence au début.
Je me demande ce qu'il va me demander et comment saura-t-il si je mens.
— Qui es-tu ?
CLAC, sur ma fesse droite, j'encaisse le coup avec un petit cri et je réponds.
— Aïe ! Un Monsieur ! Je suis Charlotte de Villaret !
— Et encore ?
CLAC, cette fois-ci c'est la fesse gauche. Ma réponse ne lui convient pas, elle n'est pas ce qu'il attendait, je la complète alors.
— Aïe ! Deux Monsieur ! Votre chienne Monsieur !
— Qui suis-je ?
CLAC !
— Ouille ! Trois Monsieur ! Vous êtes Monsieur Didier !
— Et encore ?
CLAC ! Encore une fois, il veut plus de précision
— Aïe ! Quatre Monsieur ! Vous êtes mon maître monsieur ?
— Ça signifie quoi pour toi ?
CLAC !
— Cinq Monsieur ! Que je dois vous obéir en toutes circonstances !
— As-tu envie que je te sodomise ?
CLAC ! Là, je n'hésite pas et exprime mon refus.
— Six Monsieur ! Non, Monsieur !
— Et si je veux le faire, essaieras-tu de m'en empêcher ?
CLAC ! De toute manière, serais-je en mesure de refuser.
— Sept Monsieur ! Non, Monsieur, je suis votre chienne !
— Est-ce que dorénavant tu vas jouir sans ma permission ?
CLAC ! Pour cette question, la réponse me semble évidente.
— Ouille ! Huit Monsieur ! Non, Monsieur !
— Même avec ton mari ?
CLAC ! J'hésite, brièvement, j'ai déjà tellement souvent simulé que cela ne changera pas grand-chose.
— Neuf Monsieur ! Je ne jouirai pas avec mon mari Monsieur !
— Bien ! Es-tu prête à m’obéir quand je le veux, où je le veux, comme je le veux ?
CLAC ! Bien sûr, pensé-je, n'est-ce pas déjà ce que je fais.
— Dix Monsieur ! Oui Monsieur !
— Même si je te demande de sucer Albert ?
CLAC ! Je pense que je pourrais le faire sans difficulté.
— Onze Monsieur ! Oui Monsieur !
— Et si je te demande de te faire baiser par tous mes amis ?
CLAC ! S'il s'agit de ses amis de poker, je suis prête à me laisser baiser par eux.
— Douze Monsieur, je le ferai Monsieur !
— Et si je t'emmène dans un baraquement de vingt Roumains pour te livrer à eux ?
CLAC ! Je tourne ma réponse pour ne pas dire oui ou non, j'espère que cela lui conviendra.
— Treize Monsieur ! Comme vous le voudrez, Monsieur !
— Qui suis-je ?
CLAC ! Pour cette question, je n'hésite pas.
— Aïe ! Aïe ! Quatorze Monsieur ! Vous êtes, Monsieur Didier mon Maître !
— Et toi qui es-tu !
CLAC. ! Cette fois-ci, je ne me fais pas piéger par la réponse et je trouve de suite la bonne formulation.
— Ouille, ouille, ouille ! Quinze Monsieur ! Je suis votre chienne, votre esclave Monsieur !
J'ai une nouvelle fois les fesses rouges et endolories, mais quand il me dit que j'ai le droit de jouir, je suis aux anges. Je le sens alors entrer en moi, prendre ma chatte. Cela fait une semaine que j'attends cela. Je ne vais pas laisser passer ce moment. Cependant je suis frustrée depuis tellement de temps que je jouis très rapidement. Un violent orgasme me traverse, je tremble de partout. Heureusement que je suis attachée sinon je me serais effondrée sur le sol.
Malgré ma jouissance, Monsieur Didier continue d'aller et venir en moi et une nouvelle fois je sens une vague de plaisir monter de mon ventre, jusque dans mes seins et ma tête. Je ne sens même plus les pinces et les poids qui ballottent, entraînant ma poitrine dans leurs mouvements désordonnés. Je jouis encore et encore alors qu'il se vide dans mon ventre. Je n'en peux plus et je tombe sur le sol.
Je me rends à peine compte qu'il me retire les pinces et me libère de mon carcan. Je ne sais pas comment je fais pour remonter les escaliers et je m'effondre sous la douche. Je sens l'eau couler sur ma peau et les doigts de Monsieur Didier dans ma chatte. Je remue mes hanches pour les sentir en moi, il les bouge dans mon sexe et je jouis encore en silence, avec des spasmes.
Puis, plus rien, je reprends conscience lentement. Monsieur Didier n'est plus avec moi. Je sens son sperme s'échapper de ma chatte. Je me douche complètement pour bien me nettoyer. Après m'être séchée, je le découvre, allongé sur le dos. Il est torse nu. Il semble dormir.
Je m'allonge auprès de lui et j'ose poser ma tête sur ma poitrine. Il est mon maître, mais il est aussi mon protecteur.
Je pose ma main sur son entrejambe, sentant son sexe sous mes doigts et je m'endors ainsi.
Au milieu de la nuit, j'ignore l'heure qu'il peut être. J'entends des pas dans le couloir. La porte de la chambre voisine s'ouvre et se referme discrètement. C'est la chambre de Natacha et Pierre-Henri. Aux bruits des pas, je comprends qu'il s'agit de Natacha qui regagne sa chambre. Que peut-elle faire à cette heure ?
Je ne réfléchis pas plus longtemps, car je me rendors. Quand je me réveille de nouveau, je sens sous ma main, le sexe de Monsieur Didier bien raide.
Sur un coup de tête, je décide de le prendre en bouche et de lui faire une fellation. Tous les hommes aiment cela, pourquoi cela serait-il différent avec lui ? Je sens alors sa main sur ma tête qui m'impose le rythme. Je ferme les yeux et m'applique. Il jouit dans ma bouche, j'avale tout son sperme avec délectation. Et, alors que j'allais reprendre ma position, sur sa poitrine, il me claque les fesses.
— Allez petite chienne ! Debout ! Il est temps d'aller chercher la générale.
Je l'avais oublié celle-là. Mais aller la chercher où ? Où l'ont-ils emmenée hier après-midi ?
— Enfile, juste ta robe, reste nue dessous… me dit-il alors qu'il est en train de finir de s'habiller.
A suivre...
Superbe histoire. Pourriez vous faire une suite avec Didier et Natacha qui pourrait être vêtue d'une lingerie sexy....
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