mardi 29 juin 2021

Monique Ch. 01

Traduction d'un texte de « Kayce 69 »

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Monique va au cinéma sans son mari.

Il y a quatre mois, j'ai soudainement remarqué du changement dans notre vie sexuelle. Monique m'a semblé plus exigeante. Elle en voulait plus, elle restait excitée beaucoup plus longtemps elle semblait... Juste une minute, laissez-moi vous expliquer dès le commencement.

Je connais Monique depuis l'âge de seize ans. C'est moi que les autres garçons jalousaient, c'est moi qui ai eu la chance d'être le premier à pouvoir la toucher.

Nous étions jeunes et amoureux, et même un peu naïfs. Le sexe entre nous fut très simple jusqu'à notre mariage il y a huit ans. Je ne pensai pas qu'il y avait un problème dans notre vie sexuelle. Elle était normale, avec quelques fellations, pas de sodomie, mais plein de positions différentes. Et beaucoup d'amour de sa part, elle qui n'avait que vingt-huit ans.

Nous vivions bien, et pouvions améliorer notre maison. Monique faisait des photos pour des catalogues. Mon travail allait bien. Je venais d'avoir une promotion et j'avais en charge les stocks des magasins de l'entreprise. Cela voulait dire plus d'heures de travail, et des déplacements dans les différents magasins, en particulier le vendredi pour vérifier les stocks. Et comme nous nous en sortions pour l'argent, nous pensions peut-être que le moment était venu pour avoir des enfants.

Et comme je vous l'ai dit au début, tout changea en août dernier. Monique était devenue plus excitée sexuellement. Son excitation durait malheureusement plus longtemps que la mienne.

Cela commença la nuit où nous sortîmes pour fêter l'installation de notre nouvelle salle de bain et le nouveau système de chauffage central. C'était une belle nuit et il était évident que nous allions bien nous amuser lorsque nous rentrâmes à la maison. Nous baisâmes encore et encore, mais Monique était insatiable. Elle en voulait plus, même après de nombreux orgasmes. Et moi, je ne pouvais tout simplement pas suivre le rythme.

J'eus honte de ne plus pouvoir bander devant son corps magnifique. Elle avait une belle et grosse poitrine, de longues jambes sexy et une bouche si sensuelle. Elle me suça longuement, me prenant au fond de sa gorge comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Mais je n'arrivai plus à bander.

J'essayai alors de me montrer comme un mari aimant et tendre en l'étreignant. Mais Monique fit une chose qu'elle ne m'avait jamais fait, elle me tourna le dos.

Je ne pus m'endormir. Je restai allongé à penser à ma défaillance, quand tout d'un coup, elle sortit du lit. Je l'entendis entrer dans la salle de bain puis j'entendis des gémissements étouffés. Quelques minutes plus tard elle revint. Je fis semblant de dormir. Sans se soucier de moi, elle s'allongea et s'endormit.

Cela se produisit de plus en plus souvent. Elle commença à me dédaigner, je devais faire quelque chose, et très vite.

Heureusement, j'avais assez travaillé pour pouvoir prendre un jour de congé et emmener Monique en ville. Je pensai qu'un peu de shopping et un bon déjeuner allaient la rendre heureuse. Nous avons cherché un moment avant de trouver un bar à vin. Nous commençâmes et finîmes une bouteille avant d'en commander une deuxième avec des sandwichs finement élaborés. Tout d'un coup, Monique me demanda si j'avais vu le cinéma porno devant lequel nous étions passés. Comme j'avais bu, je rigolai.

Elle insista pour que nous commandions une troisième bouteille. Comme je voulais qu'elle soit heureuse, nous la bûmes puis nous partîmes. Dix minutes plus tard, nous fûmes devant le cinéma dont elle avait parlé. Monique regarda les affiches et en rigolant dit qu'elle voulait en voir un. Même si je pensais que c'était une mauvaise idée, je ne voulus pas jouer le mari trouble-fête. Donc je pris des billets et nous entrâmes dans la salle.

L'intérieur était très sombre, mais je pus voir qu'il y avait six hommes dans la salle. Je me demandai quelle réaction allait avoir Monique alors que nous allions nous asseoir. Sur l'écran, une blonde suçait un type alors qu'un autre la léchait. Ma femme la regarda en cherchant un siège. Je m'assis à côté d'elle et posai une main sur son genou.

Je regardai le film tout en passant ma main sur sa jambe gainée. Je pensai qu'elle était excitée, car elle poussa sa jambe contre la mienne.

Malheureusement, après une quinzaine de minutes, la chaleur du cinéma et le vin aidant, je sentis mes yeux se fermer. Je me battis pour essayer de les garder ouverts mais ce fut une bataille perdue d'avance.

Je ne sus pas depuis combien de temps je dormais, mais, en ouvrant les yeux, j'ai d'abord constaté que Monique frottait toujours ma jambe avec la sienne, mais l'autre était appuyée contre l'autre siège. Ses jambes étaient grandes ouvertes et je distinguai comme un mouvement.

Je bougeai lentement la tête, et j'étouffai un cri de surprise quand je vis une main sur son autre jambe. Celle-ci était passée sous sa jupe. Je levai les yeux et je vis ma femme, la tête penchée en arrière. J'étais sur le point de bouger quand d'autres mouvements attirèrent mon attention. Une autre main était sur sa poitrine. Un deuxième homme avait bougé de place pour se mettre derrière elle. Son bras était passé par-dessus le dossier et sa main était à l'intérieur du haut de Monique. Je vis nettement le contour de sa main sur son sein gauche.

La main entre ses jambes bougeait maintenant dans un mouvement de va-et-vient. Il était évident que la main était dans sa culotte. Elle se faisait baiser avec des doigts. Je décidai d'arrêter ça.

Je l'attrapai et la traînai pratiquement jusqu'au-dehors de la salle obscure. Puis je me suis tourné vers elle :

- Qu'est-ce que tu fous, merde! Criai-je.

Alors qu'elle se dépêchait de reboutonner son chemiser, elle me regarda :

- Oh mon Dieu, je suis vraiment désolée. C'est le film... et le vin m'a endormi... Tout d'un coup des choses se passaient et je ne sais plus... Jusqu'à e que tu interviennes. Mon Dieu, je ne comprends pas ce qui vient de se passer. S'il te plaît mon chéri calme-toi, ne gâche pas cette journée.

Je me dis alors que j'aurais dû être plus attentif et intervenir beaucoup plus tôt. Elle avait vraiment l'air désolée. J'eus l'impression qu'elle était vraiment bouleversée donc ma colère disparut. Nous avons alors continué notre journée d'achats et nous n'avons plus reparlé de l'incident.

Deux semaines plus tard, il fallut que je rentre chez moi pour une raison quelconque. Monique était sortie, faisant un peu de mannequinat pour un catalogue. Je dus aller aux toilettes. Mais en tirant la chasse d'eau, j'entendis un bruit sourd.

Alors, je levai le couvercle de la chasse. A l'intérieur, se trouvait un sac en plastique bien fermé. Je le sortis et l'ouvris. Il contenait un vibromasseur rose et épais. Je le regardai sans pouvoir en croire mes yeux? Notre vie sexuelle était-elle si morne qu'elle doive utiliser un jouet de substitution?

Mon esprit passa alors à la vitesse supérieure. Que pouvait-elle me cacher d'autre? Je décidai de fouiller sa coiffeuse, puis son dressing. Je passai à ses manteaux et dans celui qu'elle aimait porter, long et noir, je trouvai un ticket de cinéma dans une des poches. Je décidai alors qu'il était temps de voir ce que ma jolie femme faisait en mon absence.

Un jeune au travail, vous savez, un de ces magiciens en informatique m'avait proposé de mettre en réseau tous les ordinateurs des magasins. Mais mon patron avait dit que c'était trop cher. Alors j'ai choisi de lui faire faire et je l'ai payé un peu de ma poche. Je lui ai octroyé quelques avantages comme des tickets restaurant. Donc avec ce système et si je travaillais durant mes pauses quotidiennes, ma charge de travail se réduisait et me donnait le temps pour espionner ma femme excitée.

Quand je suis allé acheter l'équipement pour le jeune informaticien, je me suis également procuré une fausse barbe et un anorak. Je savais bien que si je voulais découvrir ce qu'elle faisait, il fallait que je sois déguisé.

Vendredi arriva, je quittai ma femme en l'embrassant et lui dit que je rentrerai tard le soir, vers 21 heures. Puis j'allai préparer mon plan.

J'arrivai au cinéma vers 14 heures. Je trouvai un siège qui me permettait de voir entièrement la salle et j'attendis. Je remarquai qu'il y avait environ cinq ou six autres hommes à l'intérieur qui n'arrêtaient pas de regarder vers l'entrée. Le film était le même genre de film porno que la dernière fois. Je me dis qu'il ne valait pas grand-chose quand je vis ma femme arriver. Elle s'assit trois rangées plus bas sur les sièges de l'autre côté de l'allée centrale. Tous les hommes se mirent à chuchoter.

Un gars, pas très loin de moi, parlait à un autre. Je m'efforçai d'écouter.

- Elle est encore ici. Cette fois-ci, nous allons nous assurer qu'elle ne puisse s'en sortir.

Qu'est-ce qu'il voulait dire? Je ne compris pas tout de suite. Les hommes commencèrent à bouger. Deux se mirent à côté d'elle, chacun d'un côté. Deux autres se placèrent sur la rangée juste devant elle, et je suivis ceux qui se mirent derrière elle. Monique était complètement encerclée.

Je m'arrangeai pour me mettre de telle façon que je puisse tout voir. Ma femme avait l'air de suivre le film. Elle portait son long manteau noir, mais il était déboutonné et bien ouvert. Dessous elle avait une jupe blanche et ample ainsi qu'un chemisier crème. Et autant que je pouvais voir, elle avait des bas.

Un premier commença à caresser sa jambe et elle ne l'arrêta pas. Un des gars derrière elle, déplaça sa main pour la glisser à l'intérieur de son chemisier. Il allait chercher ses seins.

Un des hommes sur la rangée devant elle se tourna et passa sa main sur son autre jambe. Je pus voir qu'elle se mordait les lèvres.

Puis beaucoup de mains se retrouvèrent sur elle, essayant de déboutonner son chemisier. Il était évident qu'elle ne portait pas de soutien-gorge et les hommes avaient l'intention d'exposer sa poitrine.

D'autres mains se posèrent sur ses cuisses, remontèrent le long des bas et troussèrent sa jupe à la taille. Une main venant de derrière attrapa sa tête. Elle gémit un peu, mais ça ne l'empêcha pas de lui faire tourner la tête. L'homme poussa un, non, deux doigts dans sa bouche.

- Non! Dit-elle alors que ses mains se levaient pour essayer de repousser l'homme.

Mais elle n'avait aucune chance. Ses bras furent saisis et tirés derrière le siège. Les hommes de derrière lui prirent les mains et les tinrent ainsi.

Dire qu'elle se débattait serait exagéré. Ses seins étaient maintenant à la disposition de tous. Je continuai à regarder alors que ses mamelons étaient tirés et mordus.

Sa culotte était tendue entre ses cuisses largement écartées, permettant ainsi aux doigts de s'approcher de son sexe. Un homme avait deux doigts dans sa bouche alors qu'une longue bite la frappait sur la joue. Des mains agrippèrent son visage, sa tête fut tournée et la bite entra dans sa bouche haletante.

Elle commença à se tortiller et des gémissements sortirent de sa bouche remplie par une queue. Tandis que les mains jouaient avec son corps exposé, l'homme, qui apparemment avait pris le contrôle, demanda à un autre gars d'aller vérifier les portes. Celui-ci disparut et revint peu après en disant que tout était clair.

Le chef se leva. Tout en attrapant la main de Monique, je l'entendis dire :

- Sors ta queue de sa bouche. Tu pourras la coller dans sa gorge quand nous aurons amené cette salope sur la scène. Il est temps de la mettre à quatre pattes.

Il baissa les yeux vers ma femme et dit :

- Tu ne pourras pas courir cette fois salope! Nous allons faire ce que nous aurions dû faire la semaine dernière.

Elle le regarda et il ajouta :

- Oui, nous allons tous te baiser.

Ma femme fut levée du siège et traînée vers la scène. Son manteau lui fut retirée et les hommes la forcèrent à se mettre à genoux. Elle regarda les hommes qui l'entouraient et supplia :

- S'il vous plaît arrêtez! Ça va trop loin laissez-moi partir!

Elle se rendit vite compte que personne ne l'écoutait. Ils la forcèrent à se mettre à quatre pattes et bientôt, la longue bite rentra de nouveau dans sa bouche.

Je ne pouvais quitter la scène des yeux. La jupe de ma femme fut relevée sur son cul nul, la lumière vacillante du film qui passait sur l'écran éclairait ses globes fermes et serrés. Malheureusement pour moi, la vue fut bloquée par le dos d'un homme. Il positionnait sa queue pour remplir le trou dégoulinant de ma femme.

Il la pénétra, provoquant un cri étouffé autour de la bite qui forçait la bouche de Monique. Des mains tiraient sur ses seins qui oscillaient entre les deux pans de son chemisier. Elle ne pouvait rien faire pour empêcher ces hommes de jouer avec elle.

Ce fut d'abord le gars dans sa chatte qui jouit le premier, remplissant son trou humide. Il se retira et immédiatement un autre prit sa place et ma femme fut pilonnée à nouveau. L'homme qui avait sa bite dans sa bouche lui tint fermement la tête et se vida dans sa gorge. Ma femme eut à peine le temps de tousser et cracher avant que son joli visage soit à nouveau empalé sur une autre belle queue.

Tout ce temps, je devins de plus en plus excité. Je vis l'homme qui était dans sa bouche respirer lourdement. Il ne lui avait pas fallu longtemps avant de jouir. Il sortit sa queue et arrosa le visage de ma femme avec son foutre. Puis il l'attrapa par les cheveux et replongea son sexe dans sa bouche pour qu'elle le nettoie bien.

Alors qu'un autre gars prenait sa place pour baiser une troisième fois le visage de mon épouse, je regardai celui qui était dans sa chatte. Il accéléra le rythme et se visa en elle. C'est alors que je saisis ma chance. Je sortis ma bite bien dure et je m'agenouillai derrière elle. Elle ne pouvait pas bouger et me voir, car sa tête était tenue et baisée. D'autres mains tiraient et pinçaient ses seins sensibles. Alors, je poussai ma bite dans sa chatte bien humide et déjà souillée.

Alors que je me regardai la pistonner, mes yeux se posèrent sur la vision merveilleuse de son petit trou du cul. C'est une chose dont j'avais toujours eu envie depuis longtemps. Mon esprit me dit que c'était l'occasion pour moi d'en profiter.

Je sortis ma bite de sa chatte et la poussai fort sur l'entrée de son anus. Ça glissa plus facilement que je ne l'aurais pensée et, avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, mon membre était à l'intérieur de son cul sur toute la longueur. Je commençai à la sodomiser, mais malheureusement, comme j'étais très excité et son cul si serré, j'éjaculai presque aussitôt. Mais je n'étais pas déçu, ça en valait la peine.

Je me levai et m'éloignai tandis que le chef de la troupe regardait le troisième à lui remplir la bouche. Ensuite il la traîna devant lui et l'agenouilla. Un autre homme se mit derrière ma femme et l'entoura de ses bars, la tenant immobile tout en lui tripotant les seins. Elle n'eut pas l'occasion de protester, car le chef avait sorti sa bite et il lui fourra dans la bouche. Il lima sa gueule sans aucune pitié. Dès qu'elle eut avalé son foutre, les hommes se dispersèrent.

Je me cachai derrière une rangée de sièges, laissant Monique essuyer le sperme de son visage, remettre ses vêtements et s'enfuit vers sa voiture. Bien sûr j'attendis 21 heures pour rentrer à la maison. Elle était propre et souriante, peut-être un peu inquiète quand je suis arrivé.

J'avais été une mauviette et j'avais laissé les choses se produire. Mais je m'étais amusé un peu et je me dis que ça lui apprendrait à ne pas jouer avec le feu.

Notre vie sexuelle redevint normale et ma femme ne me demandait pas plus. Mais il fallait que je m'assure qu'il n'y avait rien d'autre. Alors je préparai le même plan pour être disponible un autre vendredi.

Je m'assis une fois de plus dans la salle de cinéma. Mais je fus surpris de ne voir que deux hommes et je fus encore plus surpris quand Monique entra. La salle étant presque vide, les deux hommes l'attrapèrent chacun par un bras et la traînèrent vers le fond. Ils la posèrent sur la première rangée de siège près de l'entrée. Elle ne sembla pas protester quand un des hommes s'assit à côté d'elle et la tira vers lui.

Je vis sa main remonter le dos de sa jupe alors qu'il la tirait afin qu'elle s'assoie sur sa grosse queue bien raide. L'autre gars s'était positionné sur la rangée devant elle. Elle baissa la tête pour engloutir sa bite dans sa bouche. Il n'y avait pas de préliminaires, pas de caresses, ils venaient juste pour baiser ma femme. Pourquoi avait-elle besoin de ce genre d'attention?

Avant que je finisse de réfléchir, un autre homme se précipita à l'intérieur, et dit quelque chose à ses deux autres compères. Tout à coup, Monique fut poussée vers une sortie de secours. Ils sortirent avec moi à leur poursuite.

Il y avait une voiture dans l'allée. Le conducteur laissait tourner le moteur. Ils poussèrent ma femme à l'arrière et filèrent à toute vitesse. Heureusement ma voiture n'était pas garée bien loin et je pus les suivre facilement.

Ils allèrent dans une rue sinueuse du centre-ville, où il y avait une longue rangée de maisons mitoyennes converties en appartements. Les hommes descendirent de la voiture avec Monique. Ils la poussèrent vers une porte. Je garai ma voiture plus loin et remontai lentement la rue jusqu'à la maison. Je regardai les fenêtres.

Une lumière s'alluma. Je décidai alors de m'approcher précautionneusement de la fenêtre. Je jetai un coup d'œil à l'intérieur et je vis que l'on avait jeté ma femme sur un matelas. Elle était confuse. Elle essaya de se lever et de partir, mais à chaque fois qu'elle le faisait, des mains puissantes la repoussaient, jusqu'au moment où le chef entra dans la pièce. Ce fut le silence. Il sourit en la regardant. Heureusement il parlait assez fort pour que je puisse entendre :

- Nous commençons à en avoir marre du cinéma. C'est ici que nous allons te baiser dorénavant. J'ai jeté un coup d'œil dans ton sac à main, donc nous te connaissons maintenant. Les gars, dites bonjour à Monique!

- Bonjour Monique!

Le chœur de voix était moqueur. Le chef continua :

- Donc, tu viendras ici tous les vendredis, ou je vais te rendre la vie difficile. Je pense que tu comprends?

Elle hocha la tête pitoyablement pour acquiescer. Le sourire de l'homme s'élargit.

- Bon les gars, maintenant tout est clair. Déshabille-toi, il y a une belle paire de seins qui ne demandent qu'à sortir. Et une bouche qui ne demande qu'à être remplie. Sans parler de deux trous que cette dame veut voir être utilisés. Allez, baisons cette pute.

Il ajouta en riant :

- N'oublions pas que nous n'aurons pas une créature magnifique à baiser...

Il mit sa main sous le menton de ma femme et releva sa tête avant de continuer :

- Jusqu'à vendredi prochain. Alors ne perdons pas de temps.

Monique essaya de se déshabiller, mais les hommes n'attendirent pas. L'un gifla ses mains pendant que d'autres tirèrent sur ses vêtements pour les lui enlever. Elle fut très vite complètement nue. Je restai caché à la regarder. Ils traînèrent ma femme sur le lit et ils la forcèrent à se mettre à quatre pattes, son cul bien exposé.

Un des gars prit sa chatte par-derrière alors qu'un autre se positionnait devant elle, et lui tirait les cheveux pour forcer sa bite dans sa bouche. Elle prit deux bites bien dures à chacune de ses extrémités.

Les hommes n'avaient plus de problèmes. Personne ne pouvait les découvrir ou les déranger. Personne ne pouvait aider Monique, alors ils l'ont baisée. Elle avait l'air d'être vraiment soumise. Elle les laissait faire tout ce qu'il voulait, lui tirer les cheveux pour enfoncer leur bite dans sa gorge ou la baiser violemment.

Quand les deux hommes eurent fini avec elle, un autre s'allongea sur le lit et la força à s'asseoir sur sa queue. Ses mains saisirent et torturèrent ses gros seins fermes. Il pinça ses mamelons jusqu'à ce qu'elle gémisse dans une protestation pathétique et sans succès. Le chef s'approcha d'elle, lécha son doigt et chatouilla son trou du cul.

- Beau cul, bien ferme, bien rond avec une jolie rondelle toute rose. C'est juste ce dont a besoin une bite. Ouais je crois que je vais me faire ton cul. Plie-toi en avant salope. Tu fais ce que je te dis, tu vas prendre deux queues en même temps.

Ma femme obéit. Tout ce que je pouvais faire, c'était de regarder ma montre alors que les quatre hommes abusaient de mon épouse comme ils le voulaient. Ils l'humiliaient en lui tirant la tête pour qu'elle suce leur bite. Et peu importe le trou qu'ils baisaient.

Ils la sautèrent sans arrêt jusqu'à 19 heures environ. Je me dis qu'elle allait avoir mal ce soir en la voyant grimacer alors qu'ils la préparaient à être enculée une nouvelle fois.

Elle essaya de plaider sa cause quand ils la retournèrent sur le lit. Elle les supplia de la laisser partir en leur disant que son mari serait bientôt à la maison. Elle était allongée sur le ventre, les fesses en l'air et la tête pendante.

L'un des gars commença à coller son membre dans son trou du cul exposé alors qu'un autre attrapait ses cheveux et relevait sa tête. Il ricana devant son visage tourné vers le haut.

- Tu rentreras chez toi salope quand nous t'aurons bien baisée. Pour le moment, prends ma bite dans ta bouche et suce bien.

Mes sentiments étaient partagés. Une part de moi était révoltée et l'autre part pensait que cette salope méritait bien ça, qu'elle l'avait voulu et qu'elle méritait de souffrir. Je vis sa tête se faire tirer d'un côté à l'autre pour essayer de satisfaire deux bites à la fois tandis qu'un autre mec entrait et sortait de son cul déjà bien sodomisé.

Le chef la menaça de fouetter son cul avec une fine tige. Il rigola en lui demandant comment elle expliquerait les marques sur son cul. Bien sûr, ma femme l'a supplié de ne pas le faire. L'homme a accepté, mais elle a dû s'humilier encore plus en léchant des couilles, des trous du cul, en les laissant faire ce qu'ils voulaient de dégradant. Ils lui dirent que c'était sa seule issue.

Quand je suis rentré chez moi ce soir-là, elle était déjà au lit. Elle m'expliqua avoir fait une chute et s'être blessée au bas du dos. Elle sentait mal. Je me dis qu'en fin de compte c'était bien et qu'elle allait stopper tout ça.

Le vendredi suivant, je pris un taxi pour me rendre dans la rue de cette maison. Il fallait que je me montre comme un vrai homme et que j'arrête ça.

Monique arriva, l'air abattue. Avant qu'elle ne sorte de sa voiture, j'apparus. Sus son visage s'afficha la surprise et le choc de me voir. Je la regardai et lui dit :

- Je sais tout sur le cinéma et sur cette maison. Je pense que nous devrions rentrer à la maison et en parler.

A suivre...

dimanche 27 juin 2021

La nouvelle vie de Julie Ch. 08

Texte de gkcdqho

Attention, Zoophilie !

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La vie conjugale de Julie reprend son cours avec ses nouveaux voisins. Son mari semble les apprécier, il y a des soirées barbecues, des apéros dînatoires, et autres festivités avec les voisins du quartiers. Le chien du voisin a adopté Issa, ils sont souvent ensemble.

Ainsi son voisin Issa a pris l’habitude de baiser Julie le plus souvent possible et lui trouve toujours de nouvelles idées de débauche et surtout d’humiliation. Quand il le souhaite soit, dans la cabane à côté de sa maison pendant les barbecues, le soir tard dans le salon quand son mari et couché, il fait d'elle ce qui lui plaît.

En effet depuis un an Issa a décidé de la partager avec d’autres voisins du quartier de son choix. Julie est donc offerte comme une pute aux bites de leurs voisins qui la baisent dans son garage. Julie ne sait pas qui la baise. Mais j’imagine qu’eux savent. Julie a remarqué plusieurs regards lubriques chez certain de ses voisins de quartier. C’est un sentiment particulier de ne pas savoir. 

Ils sont une famille très bien intégrés dans leur quartier et il y a toujours une soirée chez l’un, un apéro chez l’autre. L’idée qu'elle se fasse baiser par tous ses voisins comme si de rien n'était, à l’insu de son mari excite beaucoup Issa. Mais Julie aussi, elle se l’avoue ! Elle croit qu'Issa a comme projet de faire de son mari le plus gros cocu de la ville !

Un soir lors d’un apéro dînatoire, ils sont dans salon et comme si de rien n'était la soirée se termine. Julie pense qu'ils vont en rester là mais elle se trompe. Moussa les invitent à finir la soirée chez eux. Julie est réticente au grand étonnent de son mari qui adore Issa et sa famille... Le pauvre s'il savait !

Issa demande a Julie de passer chez lui vers minuit. Julie passe donc par son jardin discrètement et arrive dans sa cuisine ou elle voit une belle tenue sexy en dentelle noir. Une fois en tenue elle va dans le garage ou Issa l’attend avec à la main un masque intégral en latex. Julie en conclut une soirée SM. Il la fait s'allonger sur le ventre sur un banc et lui attache les deux mains et les genoux aux pieds du banc, Elle se retrouve en position de levrette sans pouvoir bouger. Sur cette mise en place Issa lui annonce qu’il a une surprise pour elle. Julie devine aisément la suite. Elle est donc attaché le cul offert, elle entend des pas.

Issa s’assoit dans un fauteuil, il la regarde, l’air très satisfait. Il la ramène vers lui, il lui roule un patin, elle fond. Il lui crache dans la bouche :

- Maintenant tu vas faire ce que je te dis petite pute !

- Oui Maître !

Issa lui attache un collier autour du cou.

- Tu es belle ma chienne ! On va bien s’amuser ensemble !

Une petite tape sur les fesses. 

- Allez ma chienne ! Suce ton Maître !

Julie commence à lui lécher la queue. Elle le lèche bien tout autour du gland, le long de sa tige, descend vers ses couilles. Une fois bien dur, il lui enlève sa queue de la bouche et lui dit : 

- Lèche moi le cul ma chienne ! Montre-moi que tu adores ton Maître !

Julie glisse plus bas et avec sa langue commencer à farfouiller son cul. Elle se donne à l’ouvrage, se délecte du cul de son Maître.

- Prends moi en bouche !!

Julie avance encore en avant sa tête, ouvre grand sa bouche et engloutit la verge à Issa. La porte petite porte du garage s'ouvre et ce referme, quelqu'un est entré. Julie la tête entre les cuisses d'Issa avec sa bite dans la bouche voudrait bien voir qui vient d'entrer mais ses liens l’empêche de bouger.

- C'est lui que tu as amené Moussa ?

- Bin ?? C'est celui que j'ai trouver Papa !!

- Elle aime la grosse bite, pour l'autre trou tu en prendras un autre, plus c'est gros plus elle aime.

Julie, penchée sur la verge d'Issa essaye d'entendre la conversation, car il a resserré ses cuisses emprisonnant ses oreilles. Lorsqu' elle sent soudain une langue râpeuse passer et repasser sur sa vulve. Julie a compris que c'est un chien qui la lèche. Issa attrape le tête de Julie et la force a reprendre sa bite en bouche, il l'immobilise a nouveau, et lui dit :

- Oh là ! Tu es ma chienne !! Alors là je veux que tu sois une chienne ? Laisse-toi faire comme avec Pierro ! 

Il l’offre au chien du voisin après avoir vu les vidéos de Pierro. Le chien baise Julie devant Issa pendant qu’il filme et se branle. Son chien gicle des quantités impressionnante de sperme dans son puits d'amour.

Issa aime l’entendre jouir. Car oui elle jouit. Comme Julie aime ça ! Il l’a fait devenir une chienne dans son garage ou maintenant des maîtres amènent leurs chiens pour saillir la femelle. Julie se fait baiser par plusieurs chiens dans ce garage et devant plein de monde. Les spectateurs boivent leurs bières tranquillement. Il y a aussi la femme d'Issa qui assiste au spectacle. 

En ce moment c’est soit Issa ou un des ses deux fils qui viennent le soir vers vingt trois heures quand son mari dort et qu'elle est devant la télé. Il viennent avec le chien. Ils baisent Julie sur le canapé et après laisse le chien la baiser. Julie jouit en pensant à son mari qui est à l’étage en train de dormir pendant que sa femme se fait baiser comme une chienne en chaleur au salon.

Son mari ne sait rien. Et ce soir comme souvent Julie va se coucher dans le lit conjugal remplie du sperme d'un de ses nouveaux voisins et de leur chien.

Il arrive souvent quand son mari est au travail qu'un après-midi les trois voisins débarquent dans le salon de Julie et la tringlent sur son canapé.

Julie les a rejoint sur le canapé, elle est en peignoir au milieu d’eux, Moussa est en train de lui rouler une pelle pendant que Momo a écarté légèrement son peignoir pour atteindre sa grotte, il lui titille le clitoris du bout des doigt, on peut voir son sexe s’ouvrir comme une fleur. Julie tourne la tête et embrasse Momo à présent, leurs langues s’entremêlent pendant qu’il continue de lui masser son petit bouton.

Issa se lève alors et se place à genoux entre les cuisses de Julie, il commence à lécher sa chatte humide. Elle prend sa tête entre ses mains et la presse contre son sexe. Momo continue de l’embrasser, il a carrément ouvert son peignoir et il lui malaxe les seins. Il se met à lui sucer les tétons, les mordiller. Elle pousse un petit cri de douleur. C’est alors que Issa tire un peu plus Julie vers lui pour qu’elle soit bien au bord du canapé, il sort sa queue et la pénètre doucement, la faisant profiter de toute la longueur de sa queue. Moussa se lève alors et se place au-dessus d’elle, ses couilles au niveau de la bouche pour qu’elle puisse les lécher.

Julie gémit et pousse des petits cris, puis elle se met à hurler. Elle entend Issa crier des saloperies :

- Putain t’es vraiment une salope, vas-y, avale !

Et Momo qui surenchérit :

- Tu la sens sale pute ? Tu la sens ma grosse queue dans ta petite chatte ?

Et Julie qui crie :

- Ouiii !! Ouiii !! Je la sens bien, continue, défonce-moi !

C’est alors que Moussa prend quelques photos pour montrer aux collègues lundi, ils vont halluciner !!
Julie se fait prendre par tous les trous ! Issa dans sa chatte, Momo dans le cul et elle suce Moussa en même temps !

- Putain bouge plus, je vais jouir ! Crie Moussa qui éjacule en lui maintenant la tête pour qu’elle prenne tout dans la bouche.

Issa lutte pour ne pas jouir, et Momo qui lui ramone le cul aussi profond qu’il le peut. Il lui met une grande claque sur la fesse et lui demande d’un ton sévère :

- Pas vrai que tu en veux encore ma salope ?

- Oh oui, j’en veux encore ! Répond Julie à bout de souffle.

Et alors qu’il lui défonce le cul toujours plus vite, Issa n’en peut plus et jouit en elle. Moussa se retire, il la met à genoux devant lui et lui éjacule dans sa bouche ouverte en la regardant droit dans les yeux :

- Regardez comme elle aime mon sperme… Dis-le que tu l’aimes salope…

- MMMMH !! Oui j’adore ton sperme mon chéri…

Un bruit de porte qu'on ouvre me fait tourner les têtes :

- Chérie ? C'est moi, je suis rentré plus tôt...

Passé la porte, des voix se font entendre dans le salon, en s’approchant, son mari comprend vite qu’il y a du monde avec sa femme et qu’ils ne jouent pas aux cartes. Plus il s’approche, mieux il entend sa femme gémir de plaisir. A la porte du salon, il découvre Julie coincée entre deux hommes sur le canapé qui la baisent ensemble, et un troisième qui a sa bite dans sa bouche.

- C’est quoi ce bordel ? S’écrit-il.

Horrifiée, Julie voit son mari avancer dans le salon découvrant l'ignoble spectacle...

- Continue, t’arrête pas ! Commande Moussa a Julie.

Les hommes noirs sont ses nouveaux voisins et ils sont bien bâtis, ils ont largement une tête de plus que lui. Momo lui jette un regard menaçant puis continue à sodomiser Julie.

Pas téméraire, son mari se tait, attendant la fin du coït pour intervenir. Issa et Momo se vident assez vite, laissant Julie sur le canapé, les trois partent tranquillement la queue pendante vers la cuisine, disant qu’il vont se chercher une bière. Seul avec Julie, son mari prend un air sérieux et grave.

- Non mais, tu te crois où la ? Ça ne va pas !

Elle sourit, le défiant du regard.

- Tu viens me lécher, je suis pleine de sperme !!

- Je te cause, arrête tes conneries, c’est sérieux !

Julie actionne la télécommande de la télé, une vidéo apparaît… C'est une vidéo qu'a filmé Pierro au chenil.

- Tu veux que je montre à ta famille et à ton travail comment se comporte ta femme pendant que tu es dans le lit de ta secrétaire.

Son assurance et sa morgue ont subitement disparu.

- Quand on se sait cocufier, on est abattu… Une femme frêle et innocente comme moi a succombé à la tendresse de ses voisins.

Julie enchaîne ces phrases d’une petite voix fluette. Son mari est piégé. Sa femme l’a eu avec un culot monstre, c'est elle qui est prise en flagrant délit d'adultère et elle fait retomber sa faute sur son mari.
Issa revient en sirotant sa bière en les regardant. Ses fils ce sont éclipsés par la porte de la cuisine.

- Bon OK, j’oublie tout et on est quitte.

Jacques son mari tente d’échapper à l’emprise de Julie.

- Non, ce n’est plus toi qui décide quoi que ce soit. Tu commences par te déshabiller.

Issa sourit, Jacques le regarde, il regarde Julie, ils sont toujours nus, elle du sperme qui coule de sa grotte et de son anus rougis par les accouplements.

- J’attends… Je te rappelle que c'est toi qui m'a faite cocu avec la fille de ton patron, ta secrétaire...

Jacques baisse son regard vers le sol, sa chemise, puis son pantalon le quittent.

- Tout, tu enlèves tout.

Sans un mot, Jacques obéit, il se trouve nu devant eux, les mains cache son sexe.

- Viens lécher mes puits d'amour comme avant que tu baises ta pouffe de secrétaire !!!!

Du coin de l’œil, Jacques voit le voisin qui l’observe, le dur regard de Julie ne lui laisse pas d’espoir. Jacques s’approche d’elle, s’agenouille devant son sexe d’où se dégage une forte odeur de sperme. Julie écarte largement les cuisses.

- Viens, lèche tout.

Sans un mot, sa bouche et sa langue viennent au contact de la grotte maculée de sa femme, elle prend sa tête avec ses mains, Jacques se laisse guider par elle en s’appliquant à lécher consciencieusement son corps. Le goût est âpre, mais tel un zombie, il lèche tout, avalant la semence qui coule de ses puits d'amour.

- HUMMH ! C’est trop bon, tu vois que ce n’est pas si dur… Tu es toujours un bon nettoyeur de sperme, même si ce n'est pas le tien.

Jacques a tout léché, il a enlevé toutes les traces de spermes sur Julie, elle le toise en souriant, il se sent rabaissé terriblement.

- Tu as bien travaillé sur mon puit d'amour, maintenant il en reste sur sa bite, va lui nettoyer aussi.

Issa rigole, son sexe semi rigide maculé pend devant lui. Il s’avance devant Jacques, lui présente son sexe devant son visage. Jacques commence par des petits coups de langue puis docilement il le prend en bouche, quand Issa le dirige contre ses lèvres. Il est gros, Jacques fait de son mieux pour le prendre en bouche et le nettoyer. Le voisin s’amuse à faire glisser son sexe dans sa bouche, à chaque passage, Jacques le sent durcir et prendre de la vigueur. Rapidement, Jacques se trouve à sucer sa queue en érection, il lui taille une pipe, lui le gars entièrement hétéro.

Pensant l’avoir bien nettoyé, Jacques s’arrête mais Julie lui ordonne de continuer jusqu’à ce qu’elle lui dise stop. Pendant ce temps là, Moussa de la cuisine pianote sur son portable, il prend des photos, et envoie des messages. Jacques reprend la queue en bouche pour la sucer encore. Issa émet des petits gémissements, sa queue a des contractions que Jacques connaît trop bien mais il continue son labeur. Les mains d'Issa maintiennent sa tête, il s’enfonce plus profondément dans sa bouche et se vide en trois jets puissants de sperme au fond de sa gorge. Jacques a du mal à tout avaler, une petite coulée macule le coin de ses lèvres. Julie se lève, son doigt prend la coulée de sperme et la présente à sa bouche qui l’accueille soumise.

- Regarde ton sexe…

Jacques bande, il a léché du sperme, sucé une bite et il bande.

- Tu vois tu aimes cela… Si tu ne veux pas que ton patron et ta famille soit au courant de ton exploit, tu as intérêt à m’obéir.

Julie fait signe à Moussa de venir.

- Comme tu peux le voir, Moussa a tout filmé en souvenir, il en a fait une copie sur un serveur en ligne.

Moussa le sourire aux lèvres, le sexe pendant, se place devant Jacques.

- Suce ! Lui ordonne-t-il.

Jacques ouvre la bouche et s’applique à sucer au mieux, sa queue qui durcit régulièrement. Moussa se rapproche de Julie, il bande à nouveau. Julie lui fait non de la tête.

- Vous m’avez assez défoncé, ce soir c’est fini pour moi, ma chatte et mon cul ne peuvent plus accueillir de bite.

- Allez soit sympa, j’ai encore envie moi... Je te promets d’aller doucement…

- Non vraiment je ne peux plus...

Julie se redresse en souriant.

- Par contre si tu veux le sien, tu peux…

A quatre pattes, les fesses en l’air, la position de Jacques est scabreuse. Il regarde sa femme et lui fait non de la tête,. Elle le fixe.

- Si tu veux j’ai du lubrifiant dans mon sac… Dit-elle à Moussa. 

Il va fouiller dans le sac.

- Toi continue de lécher.

La tête dans la grotte de Julie, Jacques sent couler du frais sur son anus, deux doigts étalent au mieux le gel autour et poussent le sphincter pour en faire pénétrer à l’intérieur. Un bruit de tube qu’on presse, Moussa doit se badigeonner la queue, Jacques continue d’implorer non de la tête, en réponse Julie lui sourit.

Un doigt qui s’enfonce d’un coup en Jacques, le fait sursauter. Une dernière supplique à Julie qui lui susurra que ça ira bien, qu'il va aimer et Jacques sent le gros gland contre sa rosette. A la première petite poussée, le gland s’écrase, à la seconde Jacques sent une douleur intense, le gland a forcé le passage. Moussa se retire, le sphincter de Jacques n’a pas fini de se resserrer que la troisième poussée permet l’introduction de la moitié de son sexe.

Le dernier rempart a cédé complètement, Jacques est emmanché à moitié. Moussa le saisit par les hanches et s’enfile entièrement dans ses reins. Le souffle coupé par la soudaineté de cette introduction, des larmes coulent sur ses joues.

- Détend toi, ça y est, il est passé. Tu vas t’habituer.

Moussa se retire en partie et revient d’un coup au fond du ventre de Jacques, lui arrachant un gémissement de douleur.

- Ça va, tu veux que j’arrête ? Le questionne Moussa.

- Je suis sûre qu’il veut que tu continues. Lui répond Julie en le regardant dans les yeux.

- Vraiment ? Redemande Moussa en refaisant coulisser à nouveau sa queue dans son cul.

Julie prend le menton de Jacques dans sa main, le force à la regarder.

- Alors… Il attend que tu lui dises...

Son regard ne souffre aucune discussion.

- Oui… Continue…

Jacques finit par lâcher la phrase que sa femme attend, elle lui sourit encore une fois et l’embrasse sur les lèvres en lui disant qu’elle l'aime. Issa leur tourne autour en filmant la scène, Jacques est maintenant à leur merci. Tenu par les hanches, Moussa lui baise le cul méthodiquement. Jamais Jacques n’avait été enculé et il a l’impression d’être déchiré par chaque passage de la grosse queue de Moussa.

- Putain t’as le cul serré, je ne vais pas tenir longtemps ?

Les mains de Moussa tiennent plus fermement les hanches de Jacques, mettant plus de vigueur et de vitesse dans ses mouvements, il finit par se coller à Jacques en grognant.

- Putain, t’es une sacrée salope toi, je te baise encore le cul quand tu veux.

- Tu veux essayer papa, le chemin est fait !!

- Non ! Pas ce soir, une autre fois.

Bien qu’il s’est retiré Jacques a l’impression de l’avoir encore en lui. Il se laisse tomber recroquevillé au sol, observant ses deux voisins qui se rhabillent et finissent par partir de la maison. Jacques n’en finit plus de sentir le passage de cette queue, du sperme s’écoule de son anus pas entièrement refermé.

Julie se lève et part prendre une douche, Jacques reste seul prostré dans le salon. Un long moment aux toilettes pour se vider et en sortant, Jacques croise Julie. Il marche lentement, le cul encore ravagé par la queue de Moussa, elle s’arrête rigole et lui lance :

- Tu fais la gueule ? Je suis désolé, ça m'est venu comme ça, je n'ai pu dire non à Moussa… Et puis si tu n’étais pas d’accord, il fallait le dire !  Vous les mecs vous êtes bien tous les mêmes ! Vous rêvez de sodomie en nous disant que ce n’est rien, juste un petit moment à passer, qu’on va s’habituer et même aimer ça… Mais quand on inverse les rôles, là ce n’est plus pareil, ça devient horrible, la fin du monde…

Jacques ne sait même pas quoi lui répondre, aucun mot ne sort de sa bouche. Ce soir il découvre une Julie qu'il ne connais pas, il sait qu’elle aimait le cul, mais là, se faire baiser dans la maison par les voisins, il n’en revient toujours pas. Jacques se sent ridicule devant elle, il est nu, il lui a léché tout le sperme qui sortait de ses deux puits d'amour, il a sucé des queues, il a été enculé, il a été humilié…

Julie retourne une nouvelle fois à la douche, puis elle part se coucher, sans un regard vers lui. Jacques a une érection terrible, est-ce le fait d’avoir été enculé par un type de 25 ans ? En tout cas, Il ne peut pas aller se coucher comme ça. Jacques retourne alors dans la salle de bain, et se masturbe en pensant à cette soirée hors du commun. Puis il va se coucher, Julie dort déjà…

Le lendemain Julie et Jacques ont une discussion virulente, mais pour elle, il n’y a rien de bien grave là-dedans, et elle a bien vu que Jacques a pris aussi du plaisir à lui lécher ses puits d'amour débordant de sperme d’autres hommes. Jacques n'a pas vraiment détesté sa première sodomie.

- Mon chéri, tu veux voir la vidéo d'hier soir faisant une fellation à Issa et te faisant sodomiser par Moussa. Ça t’a plu ? J'en suis sûre petit cochon…

Envahi d’une colère intérieure, Jacques ne sait pas quoi lui répondre, aucun mot ne sort de sa bouche.
Elle se colle à son mari et commence à passer sa main dans son pantalon.

- Ah bah je vois que je te fais toujours de l'effet... Même si je suis une salope !

- Arrête ! Répond Jacques, tu sais bien que tu m'as toujours fait bander quand tu voulais...

- Ha ! Ha ! Oui parce que je sais ce que tu aimes mon chéri.

Julie lui fait un baiser sur la bouche et rejoint la salle de bain pour prendre une douche. Cette fois, c'est elle qui gagne…

A suivre...

vendredi 25 juin 2021

Un fils indigne Ch. 06

 Texte de Géronimo (Elko)

Orgie finale.

Une semaine s'est écoulée depuis que j'ai sauté la mère de Chris. J'ai bien l'intention d'y retourner et de la soumettre à mes moindres caprices. Isabelle, ma mère, est dans le salon en train de regarder une émission à la télé. Elle est assise dans le canapé, jambes croisées très haut, sa jupe dévoile ses cuisses qui sont habillées d'un nylon blanc. Je me demande immédiatement si elle a mis des bas ou un collant. Je m'approche d'elle et m'assois à ses côtés. Je pose une main sur sa jambe et commence à remonter tout doucement. Le nylon crisse sous mes doigts. Ma mère ne dit rien, elle me jette juste un regard. Je continue et je commence à remonter sa jupe. Ma mère frémit mais toujours pas un mot. J'arrive à la lisière des bas, car ce sont bien des bas ! Je remonte encore plus haut, la jupe de ma mère est maintenant retroussée jusqu'à l'aine. Je m'introduis dans son string, blanc également, et commence à lui masser les lèvres délicatement. Sa main saisi mon poignet :

- Arrête immédiatement ! T'es vraiment un pervers, je suis ta mère quand même !

- Ne fais pas ta mijaurée, maman, tu aimes ce que je suis en train de te faire.

Petit soupir venant de ma maman, elle ferme les yeux, s'abandonnant complètement à mes caresses. Je glisse mon index et mon majeur dans sa fente humide. J'agite mes doigts dans sa chatte. Elle donne un coup de reins et gémit. Je remue mes doigts de plus en plus vite, j'ai une trique d'enfer maintenant à telle point que j'en ai mal. Fébrilement, je me libère, mon sexe jaillit à l'air libre.

- Suce-moi ! lançé-je à ma mère d'un ton autoritaire.

Elle secoue la tête.

- Non, il ne faut pas mon chéri.

Agacé, j'appuie fermement sur sa nuque descendant son visage à hauteur de mon sexe dressé. Je faillis défaillir quand je sens sa bouche chaude enveloppé ma queue. Sa langue commence un ballet infernale autour de mon gland. Elle s'active dessus, me branlant d'une main tout en continuant de me sucer. Elle pompe ma bite comme la dernière des salopes. Elle ressort, me lèche les couilles puis replonge dessus avec avidité. J'appuie sur sa tête pour enfoncer ma queue encore plus loin. Maman s'active sur ma bite, salivant dessus. J'halète sentant le plaisir monter de mes reins. J'interromps soudain cette fellation et lui ordonne de se mettre a genoux sur le canapé. Isabelle s'exécute, soumise. Elle se retrouve à quatre pattes, jupe troussée autour des hanches. Je la pénètre d'un violent coup de reins et elle pousse un petit cri. L'agrippant aux hanches, je commence à la besogner comme un fou. Mon ventre va claquer contre ses fesses. Maman ne tarde pas à gémir, poussant des plaintes.

- Oh Mon Dieu ! Oui ! Défonce moi ! .Bourre moi comme une chienne !

- Salope, je vais te démolir le cul ! lâché-je complètement excité.

Ma queue, luisante de secrétions, rentre et sort du con de ma mère. Mes coups de reins se font de plus en plus violent. Ma mère halète, gémit, supplie.J e me retire et pointe mon gland vers l'ouverture de ses reins.

- Non mon chéri, pas ça !

Encore plus excité par cette supplication que je sais totalement hypocrite, j'appuie ma bite sur son trou du cul et m'enfonce brutalement dedans. Ma mère pousse un hurlement que j'étouffe en lui mettant ma main sur la bouche la bâillonnant. Je commence a bouger dans son cul. Maman ne crie plus, elle pousse des gémissement sans discontinuer. De nouveau, j'agrippe fermement ses hanches et je la bourre. Je suis en sueur. Ma mère couine se tordant sous mes coups de queues. N'en pouvant plus, je me retire et la retournant, j'éjacule sur son beau visage, l'éclaboussant de mon sperme chaud. Les filaments de foutre coulent sur son menton.

Maman est rhabillée. Enfin rhabillée, c'est un bien grand mot. Sur mes instructions, elle est vêtue d'un porte-jarretelles noirs qui retient des bas nylons noirs également. Elle est perchée sur des talons aiguilles et elle déambule ainsi dans la maison vaquant à ses occupations. Elle vient de m'annoncer que mon père rentre ce soir. Ce qui me donne soudain une idée.

- Appelle Philippe ! lui ordonné-je.

Elle me regarde éberluée.

- Mais... Mais.... Comment ça ?

- Appelle-le et passe-le moi !

Je vous rappelle que Philippe est le responsable d'une pseudo association caritative. C'est en réalité un « dominateur » qui a été engagé par mon propre père pour dresser et éduquer ma mère qui a eu le tort de le tromper.

Tremblante, ma mère obéit et appelle son maitre-amant qu'elle me passe. La conversation est courte. Je me présente et annonce à Philippe que je suis au courant de ses activités inavouables et peu recommandables pour quelqu'un qui dirige une telle association dans une ville huppée comme la notre. Je le menace de le dénoncer et très vite il me mange dans la main. Je lui demande de venir me rejoindre avec son épouse.

J'appelle ensuite Nadine, la mère de Chris et lui ordonne également de venir nous rejoindre. Mais il me manque un personnage pour accomplir l'ignoble idée que j'ai en tête. J'appelle Chris et lui demande de passer a la maison ce soir. Il accepte avec plaisir.

Nadine est la première à arriver. Ses jambes dévoilées par une jupe courte qui lui arrives a mi-cuisses sont gainées de nylon gris. Ses escarpins vernis la grandissent encore plus. Elle rentre et rougit en voyant ma mère uniquement vêtu de ses sous-vêtements. Elles se regardent toutes les deux, honteuses.

Je m'approche de Nadine et lui soulève sa jupe. Le collant emprisonne un string rouge.

- Baisse ton collant !

Elle s'exécute, rougissante.

Je lui donne aussitôt une claque sur ses fesses qui la fait crier.

- Tu ne mettras plus jamais de string ni de collant, que des bas et des porte-jarretelles.

Elle baisse les yeux. Un chemisier moule sa poitrine arrogante. J'empoigne ses seins les malaxant sans douceur. Nadine pousse un gémissement. Je lui ordonne de déboutonner son chemisier. Le soutien-gorge, rouge également, apparaît. Je baisse les balconnets et commencet à lui sucer les pointes de ses seins qui très vite durcissent. Je me mets à genoux écartant le string et je lui titille son clitoris avec ma langue. Nadine ne dit rien, elle est totalement passive. Tout juste donne t'elle un coup de rein par moment. Je lui mords le clito et elle pousse un gémissement. Je plonge mon index et mon majeur dans sa chatte, sa mouille coule sur mes doigts. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. J'ai une érection d'enfer. J'arrête soudain et appuie sur ses épaules pour qu'elle se mette à genoux.

- Suce-moi !

Fébrilement, ses doigts manucurés libèrent ma queue gonflé à bloc. Elle plonge dessus avec avidité. Sa langue s'enroule autour de mon gland. Je regarde ma mère et lui fait signe de nous rejoindre. Je me retrouve donc avec ma mère et sa meilleur amie à genoux devant moi en train de me faire une pipe. Nadine suce ma queue, lèche mes couilles, me branle. Isabelle prend la relève me pompant également. Elles alternent toutes les deux, Un coup de langue par ci par la. Je les oblige à s'embrasser langue contre langue et elles s'exécutent toute rouges. Cela me donne de nouveau une idée. Nadine me branle énergiquement pendant que maman me suce les couilles. J'agrippe mon sexe à pleines mains et me masturbe furieusement. J'éjacule soudain, libérant des torrents de sperme qui vont s'écraser sur le visage de Nadine et maman. Le liquide poisseux atterrit sur le front de Nadine et coule sur son nez. Maman en reçoit sur ses lèvres et Nadine doit les lui lécher pour la nettoyer.

Je suis confortablement assis dans le canapé et je regarde Isabelle et Nadine au milieu du salon en train de se gouiner tête-bêche. Maman suce le clito de Nadine pendant que la mère de Chris, le visage barbouillée de cyprine plonge deux doigts dans la chatte de ma mère. Les cris de maman se mélangent aux gémissements de Nadine.

Il est 18h00. Isabelle vient de me servir un whisky que je sirote en attendant mes premiers « invités ». Nadine est rentrée chez elle rapidement se changer. Elle est vêtue d'une guêpière rouge retenant des bas résilles .Ses talons aiguilles rouges également lui donne vraiment un air de pute. Mais c'est ce que je voulais. Coup de sonnette.J 'ordonne à maman d'aller ouvrir.

- Dans cette tenue ? bafouille-t-elle.

- Qu'est ce que ca peut foutre, bientôt tout le monde sauras que t'es une salope.

Morte de honte, elle s'exécute. Philippe et sa femme sont sur le pas de la porte. Mme blêmit en voyant ma mère mais Philippe la fait rentrer.

L'épouse de Philippe doit avoir la soixantaine. Encore mince malgré son âge, c'est une femme qui doit s'entretenir. Son visage est certes un peu fripé par endroit et ses cheveux longs sont d'un blanc argenté mais globalement ca reste une belle femme. Elle a des yeux bleus extraordinaires. Ses lèvres sont peintes d'un rouge carmin. Elle est vêtue d'une robe noir très strict, d'un collier de perle de valeur, ses jambes magnifique mis en valeur par des bas couleurs chair. Ses chaussures a petits talons sont pas très sexy mais bon. Elle a été visiblement briefer par son époux car elle me regarde avec crainte.

- Mon cher Philippe, dis-je d'un ton très mondain, comment allez-vous ? Voila donc votre charmante épouse.

Philippe, le visage crispé, ne réponds pas bien sûr. Je m'approche de sa femme .

- Comment t'appelles-tu ?

Madame sursaute, outrée d'être tutoyée par un homme qui pourrait être son fils, voir son petit-fils d'ailleurs.

- Christine. murmure-t-elle.

- Tu sais pourquoi tu es là ?

- Oui, répond-elle, en jetant un regard de reproche a son mari. Vous exercez un chantage sur mon mari qui doit obéir si on ne veut pas être montré du doigt.

- Vous savez que votre mari est un sacré pervers, il a réduit ma mère en esclavage tout de même, Dis-je en prenant un air contrit.

Christine fusille son mari du regard.

- Cela ne m'étonnes pas, il a toujours été cochon.

- Et vous, êtes vous une cochonne ?

Madame rougit violemment. Je me tourne vers ma mère.

- Maman, tu ne dis pas bonjour à ton maitre-amant ?

Ma mère hésite une fraction de seconde et elle s'approche de Philippe. Elle se met à genoux devant lui et lui dégrafe la braguette devant les yeux horrifiés de Christine. Le sexe dur et gonflé de Philippe jaillit et maman commence sa fellation. Christine, sous mes ordres, enlève sa robe noir. Elle apparait uniquement vêtu de ses bas auto-fixant et son collier de perles.

- A votre tour, Christine, montrez-moi si vous êtes une bonne suceuse.

C'est du délire toute la soirée. Christine me pompe de longues minutes, me titillant le gland avec sa langue qui est fort agile ma foi. Très douée la bourgeoise. Maman suce Philippe et il éjacule rapidement. Nadine et Christine se gouinent toutes les deux sous ses yeux ce que lui donne une trique impressionnante. Pour se soulager, il baise en levrette Nadine et l'encule même ce qui arrache des hurlements à la mère de Chris. J'allonge Christine sur le sol du salon, les jambes relevées à la verticale et je la bourre frénétiquement pendant que maman lui suce les seins. D'abord réticente, la femme de Philippe collabore avec entrain, répondant à mes puissants coups de reins en ondulant du bassin et en poussant des gémissements et des petits cris de satisfactions.

Je suis tellement occupé a me faire sucer par Christine que je n'entends même pas mon père rentrer. C'est une exclamation de sa part qui me fait tourner la tête. Je repousse , avec regrets , Christine et me dirige vers lui. Je lui explique rapidement la situation. Il ne proteste pas trop bien sûr, après tout c'est lui qui a tout déclenché indirectement en livrant maman dans les griffes de Philippe.tel est pris qui croyait prendre. On trouve toujours plus pervers que soit. Mon père, Bernard, mi-effrayé, mi-amusé observe maman en train de se faire enculer par Philippe pendant qu'elle embrasse a pleine bouche Nadine.

- Tu vois papa, c'étais pas la peine de demander a un étranger. Ton fils sait y faire, autant que cela reste dans la famille.

Un hurlement l'empêche de répondre. Maman vient de s'écrouler victime d'un énième orgasme.

Mon père veut goûter à la bouche de Christine et Nadine qui le sucent comme de véritables professionnelles. Elles ne protestent plus du tout maintenant et elles avalent tout sans rechigner. Philippe et moi on s'occupe de Maman. Je lui défonce son cul, lui perforant l'anus a grand coups de pines pendant qu'elle suce Philippe goulument.

23h00. Chris vient de m'appeler sur mon portable pour me dire qu'il arrive. Je lui ai simplement répondu que je lui réservais une surprise. Je m'approche de Nadine qui, écroulée sur le sol, haletante, cuve ses nombreux orgasmes. Isabelle m'a fourni plusieurs pairs de bas. Je demande à Nadine de se diriger vers la chambre de mes parents ou je l'attache sur lit lui liant les poignets et les chevilles aux montants du lit. Puis je la bâillonne toujours avec les bas. Enfin, pour qu'elle soit méconnaissable, je lui enfile sur la tête plusieurs pair de bas ce qui fait qu'on ne distingue vraiment plus ses traits. Apres m'être assuré qu'elle pouvait toujours respirer, je l'abandonne a son triste sort.

Vous devinez la suite n'est ce pas ? Faut-il vraiment que je vous la raconte ? Chris est arrivé et après le premier moment de surprise passé de voire ma mère se faire baiser comme une chienne par Philippe devant mon père qui lui-même encule la femme de celui qui enculait ma mère (vous arrivez a suivre ? ) je le dirige vers la chambre.

- Mais.... Qui est-ce ? me demande Chris interdit.

Nadine gigote dans ses liens et pousse des gémissements. Elle a reconnu la voix de son fils.

- Une bourgeoise salope qui aime être attachée.

- Quelle chienne !!

- Tu n'imagines même pas a quel point ! Dis-je avec un petit sourire.

Chris se déshabille et s'allonge sur le corps de Nadine. Il la pénétre d'un puissant coup de reins et commence à la besogner. Nadine gémit. Je m'approche et caresse les seins de Nadine. J'entends les cris de Christine et ma mère dans le salon. Chris s'agite dans le vagin de sa mère. Il a détaché ses jambes qu'il a redressé a la verticale et il lui donne de furieux coups de reins.

- Tiens salope de bourge, prends ça dans ta chatte !  Ddit-il en haletant.

- Elle est trempée. Me dit-il en me regardant.

Je lui détache les poignets et Chris, l'ayant retournée, la prend en levrette. Fasciné, je regarde le va et vient de sa queue dans le con de Nadine qui gémit toujours mais ne cherche pas à enlever son « masque ». Complètement excité, je lui déchire les bas a hauteur de sa bouche, lui ôtant son bâillon avec un peu d'appréhension. Vas t'elle crier ?

Elle ne dit rien. Elle pousse un gémissement et supplie.

- Oui... Oui... Encore, plus fort... Baisez-moi comme une chienne, je suis une salope.

Nouvelle appréhension. Chris vas t'il reconnaitre la voix de sa mère ? Mais non ! Trop occupé à la baiser il ne fait pas attention. Je plonge ma bite dans la bouche de Nadine qui commence à me sucer avec frénésie.

Chris et moi abusons du corps de Nadine de toutes les façons possibles. Chris est reparti à l'aube, extenué et surtout sans se douter qu'il venait de baiser sa mère. Je continue de voir Nadine régulièrement dans le dos de Chris qui lui, baise Isabelle tout aussi régulièrement avec ma bénédiction et celle de mon père. Christine est devenue mon esclave consentante ce qui est un juste retour des choses vous le reconnaitrez.

Nadine m'a demandé de recommencer une séance avec son fils, je crois bien qu'elle y a pris goût.

FIN


mercredi 23 juin 2021

La tournée d'Aline Ch. 01

 Texte de Le Normand

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 La tournée de la postière

Cette histoire trouve son origine dans les pensées coquines que le passage de la préposée à la distribution du courrier faisait naître dans mon adolescence.

Nouvelle postière d’un bureau d’une petite ville de Normandie, Aline est un beau brin de fille d’une vingtaine d’années, mais qui accumule les erreurs et les bévues depuis sa prise de fonction. Cela lui vaut les remontrances de son chef de bureau qui pour passer l’éponge, lui « propose » de faire la prochaine tournée en tenue sexy et sans aucun dessous.

Aline est bouleversée par la demande de son supérieur. Elle trouve difficilement le sommeil et seule une caresse très intime et prolongée jusqu’à la jouissance lui permet de trouver le repos.

6H00… le réveil tire Aline de son sommeil, les paroles de son chef lui reviennent en mémoire. C’est donc sans aucun dessous, vêtue du seul chemisier réglementaire et d’une jupe très courte qu’Aline se rend d’un pas hésitant vers le bureau de poste.

L’accueil de ses collègues est pour le moins flatteurs. Les regards insistants, les attouchements très furtifs durant la préparation de la tournée font monter un long et lent plaisir dans le ventre d’Aline.

7H45… Départ de la tournée, Aline est la dernière à partir sous les yeux de son chef de bureau qui exige de vérifier l’absence de dessous. Rouge de honte, Aline remonte sa jupe et dévoile un sexe totalement épilé, lisse et humide comme le constate le chef de bureau avec le sourire. Il en profite pour dégrafer le corsage s’emparant d’une paire de ciseau pour ôter les trois premiers boutons laissant quasiment la poitrine nue d’Aline offerte à tout les regards.

- Bien… tu peux y aller… et si tu es sage, j’oublierais les erreurs du mois…

Les paroles du chef résonnent dans la tête d’Aline dans ce début de distribution qui parait normale excepté les quelques regards des hommes croisés sur le chemin qui sont bien très insistants et dévoilent des envies non dissimulées.

Aline arrive à la boulangerie avec un recommandé pour le maitre artisan. Elle va devoir donc pénétrer dans le laboratoire pour faire signer le patron. Celui-ci est en train d’enfourner quand l’apparition d’Aline lui procure une montée de désir aussi fort qu’inattendu.

- Bonjour Monsieur, j’ai besoin d’une signature… Commence Aline qui s’approche du boulanger en lui remettant le pli recommandé.

Celui-ci ne quitte pas l’ouverture du corsage de la jeune postière. Aline remarque également une bosse se former dans le pantalon du boulanger. Cette vue lui procure une montée de chaleur dans le ventre.
 
Le boulanger ordonne d’une voix calme mais autoritaire à Aline de déposer son sac à courrier. Comme hypnotisée, Aline obéit. 

- Appuie-toi sur le comptoir et remonte ta jupe, petite salope ! Assène le patron.

Comme Aline hésite, Le boulanger lui saisit les épaules et la place face au comptoir en la forçant à se pencher en avant, il remonte la jupe totalement pour découvrir deux fesses bien rondes qu’il ne tarde pas à caresser, à malaxer avec vigueur. Il lui écarte les jambes sans ménagement. Il prend un peu de recul pour admirer le spectacle ordonnant à Aline d’ouvrir son cul et de se pencher en arrière pour mieux lui offrir.

Pour la punir des hésitations, le boulanger décide de faire rougir les deux globes d’Aline qui est surprise par le premier coup et pousse un cri. La douleur est vite remplacée par un plaisir qui gagne son sexe et lui arrache des soupirs de douleurs mélangés de plaisir.

Pour en finir, le patron doigte sans ménagement la jeune Aline, découvrant son sexe humide, la traite de salope et décide de la prendre par le cul pour lui donner une leçon. C’est ainsi que sans ménagement Aline est rapidement sodomisé par la longue queue du boulanger.

Aline, offerte aux assauts du boulanger, ressent à la fois douleur et honte qui lui arrachent des larmes. Mais très vite, les assauts du patron boulanger transforme cette douleur en un plaisir qui s’empare du corps entier de la jeune femme. Elle s’entend maintenant demander au patron d’aller plus vite et plus loin, de l’enculer et de la baiser comme une salope. C’est donc sans ménagement, avec une vigueur jusque la inconnue de notre jeune femme que le boulanger la besogne.

Rapidement les coups de rein du boulanger arrache des cris de plaisir à Aline qui reçoit la semence du boulanger dans son cul. Sans autre procès, le patron ordonne à la jeune fille de reprendre sa tournée.

- Tu as encore beaucoup à faire ma jeune salope de postière. Dit-il avec ironie et laissant l’empreinte de farine de sa claque affectueuse sur la jupe de la jeune postière.

Aline se retrouve dans la rue, le cul plein du sperme de l’homme. La honte de s’exhiber ainsi et le plaisir charnel se mélangent dans l’esprit de notre jeune Aline sur le chemin de son prochain client.

A suivre...

lundi 21 juin 2021

Otage rebelle - Partie 1

 Bande dessinée de Giorgio CAMBOTTI

****


A suivre...

samedi 19 juin 2021

J'appartiens à Snake désormais Ch. 05

Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.

Notre héroïne distrait les invités d'un barbecue.

Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage. Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.

Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maison, prenais une douche et restais nue. Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir. 
Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir !

Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu. Au début, la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :

- Je veux que tu viennes demain. Dès que ton mari partira pour Atlanta !

Il me sembla que ma mâchoire se décrochait. Comment le savait-il ? Comment pouvait-il bien l'avoir appris ? Je n'en avais pas dit un mot ! Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné ! 

Snake explosa de rire et ajouta :

- Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe !

- Com... Comment... Comment le sais-tu ?

- Ce n'est pas ton problème petite chienne !  Et maintenant mets-toi au boulot! 

- Oui maître !

- Et au fait, lorsque tu viendras demain matin, apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents ! Tu séjourneras chez moi un bon moment !

"Oh mon Dieu !" Pensais-je éperdue, "ce ne peut pas être vrai". Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester. J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats. Mais une semaine chez lui... Sans pouvoir retourner chez moi le soir ! Mon cœur battait la chamade à cette idée ! J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune. Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.

Je me retrouvai devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage. Je me ruai dans ma voiture et démarrai sur les chapeaux de roues. Je rentrai chez moi, me déshabillai et commençai mon ménage dans cette tenue. Je me versai un verre du vin, m'assis cherchant à me décontracter. J'essayai d'imaginer à quoi ressemblerait cette période où je serai totalement sous le joug de ce monstre 24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours. Je n'y parvins pas, ou je m'y refusai. Les images qui me vinrent en tête m'étaient insupportables. 

Je bus mon vin et me postai devant mon ordinateur. Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip. Je regardai plusieurs fois le clip puis je m'intéressai aux photos, puis je visionnai à nouveau le petit film à plusieurs reprises. Tandis que je le regardais, je promenai mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatai à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.

Je me ruai dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise. Puis j'étendis la serviette sur mon siège et m'assis dessus. Et je repris mes caresses. Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue ? 

Je finis par éteindre l'ordinateur, je m'essuyai la chagatte avec la serviette que je balançai ensuite dans la lingerie. Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages. Je posai la valise près de la porte du garage, puis je préparai le souper. Je ne parvins pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maison.

Je le touchai constamment, l'embrassai, posai ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.

Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher. Nous avons fait l'amour très tendrement. Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.

Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à son avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport. 

Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levai pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassai pour lui dire au revoir.

La limousine l'emporta et je préparai mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrai dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposai aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres. Puis je balançai le sac sur le siège passager et je me rendis à la maison de Snake.

Je me déshabillai dans l'entrée. Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.

- Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre. J'y organise un barbecue tout à l'heure. Et enfile ça !

Il prit quelque chose dans sa table de nuit et me le lança. C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand "SALOPE" sur la plaque chromée.

Je sortis à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerai dans la salle de bain en me regardant dans le miroir. Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait. Je plaçai le collier autour de mon cou et le bouclai. Il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.

Je gagnai la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puisse paraître, je pensai seulement que cela me rendait très excitante ! Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter !

Je nettoyai la maison, m'habillai et sortis pour ranger l'arrière cour. Je rangeai la tondeuse à gazon dans le hangar et vidai les cendres du grill à barbecue et le remplis de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton. 

Je rentrai dans la maison, me déshabillai et regardai ce qui se trouvait dans le réfrigérateur. Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparai un grand plat de charcuterie. Je hachai quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.

Tout au début de l'après-midi, le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa. Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrai ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :

- T'as fait du bon boulot, merci !  Il te reste une chose à faire, viens avec moi !

Elle m'entraîna au salon, s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit. Je tombai à genoux entre ses jambes et commençai à l'embrasser. Je débutai par ses genoux et remontai le long de ses cuisses, je retroussai le bas de sa jupe et continuai mon chemin. Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à son intimité. Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que son clito et les lèvres de sa chatoune. J'embrassai et léchai tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.

Alors que je l'embrassas et la léchai avidement, je sentis sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflai doucement sur sa fentine. Je savourai avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.

Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartai la bande formant le fond de son string, toute surprise je réalisai que j'adorais ce que je faisais ! Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle !

Je continuai à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête. 

Alors que je me redressai, j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :

- Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire !

Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil. J'étais prête !

Il me baisa âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer. Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :

- Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait !

Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à son tour. 

Je me redressai alors et lui nettoyai consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.

- Merde alors !  Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler ! S'exclama la femme.

- Ce sera pour plus tard ! Allez ma fille viens t'occuper du grill.

Je me levai et me préparai à remettre mes vêtements.

- Laisse ça, tu n'en as nul besoin.. Allons-y ! 

Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue ?

Nous sommes sortis et je me contentai de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill. Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur. Lorsque nous sommes rentrés dans la maison Snake était levé et buvait déjà de la bière. Je suivis docilement la femme et l'aidai à transporter le matériel nécessaire au barbecue.

Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.

Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des motards. On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace. Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude. Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.

Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimai qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes. Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes. Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, personne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux.

J'allai ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa son doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour. Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.

Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'impression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute manière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le risque.

Lorsque j'approchai de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant. Je commençai à fredonner un air de danse dans ma tête sur lequel je cherchai à danser. Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais personne ne se plaignit de ma performance. Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.

La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table. Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquai 4 hommes qui sortaient un banc du patio. Je supposai que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.

Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table. Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue. Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc. Une sangle m'entoura la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc. Mes jambes et mes bras étaient libres, mais je ne pouvais pas bouger.

Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol. Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.

Dès le début du film, les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage. D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film. Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.

Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide. Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre. Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.

Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises. Je commençai à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtai aucune attention à ce qui se passait autour de moi. Je remarquai cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle, Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.

Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurai allongée à plat dos sur le banc toute la nuit. Quelques gars allèrent pisser au fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.

On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux. Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture. Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché ça et là sur mon corps et mon visage. Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.

Je me plaçai dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps. Je me précipitai sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses personnes, surprise et consternée.

Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus. Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon. Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par son nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais personne par leur nom, c'était plus sûr.

Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchai et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand. Je lui obéis promptement sans une plainte, je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priai pour qu'elle épargne ma chatoune.

Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette. Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante. Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une personne.

- Rude nuit ma fille !Me demanda-t-elle.

- Oh oui madame. Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.

- Appelle-moi Beth. Me dit-elle.

- Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée ! J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer. Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maison et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit. Je pense qu'à la nuit tombée, Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour !  Il adore se montrer un excellent hôte. Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit. Je sais que cela fait très mal ! Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir ! A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis !  Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir !

- Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne. Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me force à subir des choses dégradantes.

Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :

- Eh merde alors ! Chérie, tu as intérêt à t'appliquer. Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant. Il cherche à les briser. Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable. Certaines de ces filles... Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit !

J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquai, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère ? Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout !

Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant. Je me débrouillai pour dormir un peu et je me réveillai vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler. Il me fit lever et me roula un patin, son haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers. Je l'embrassai en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.

Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth. Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :

- Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage !

Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres. Je commençai les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.

Je fis de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquai cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme. Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.

La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençai à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :

- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire. Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre !  Des questions, salope ? 

- Non maître...

Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon...

Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison. Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posai sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandai s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire. Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux. Finalement je posai mon bras autour de son cou et l'embrassai en lui susurrant que je le suppliai de me laisser faire.

Il hocha la tête et reconnaissante je me laissai tomber à genoux et baissai son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement. Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake. J'embrassai et léchai pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.

Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance. Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensai qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grogna sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injecta des flots de foutre dans l'arrière-gorge. Je nettoyai obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclai sa ceinture, il me remercia :

- Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu !

Je levai les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions.

Je ne pus m'empêcher de penser à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.

Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée. Certains qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.

Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot. Enfin il ne resta plus que Snake et moi. Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.

Je me lavai minutieusement et le rejoignis dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus. Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit. J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormis comme un bébé.

Je me réveillai vers midi, Snake ronflait encore aussi me levai-je précautionneusement pour gagner la salle de bain. Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement. Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyai la salle de bain. Elle était dégueulasse.

Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillai pour le décrasser rapidement. Puis, je passai à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table. Je me demandai si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle. Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer. J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.

Tandis qu'il prenait sa douche je préparai du café. Puis je sortis dans l'arrière cour et commençai à la ranger. Lorsque je retournai dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandai s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des œufs. J'approuvai et me dirigeai vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et un tube de mayonnaise.

- Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide !

Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture. Comme toujours, j'approuvai, j'enfilai ma courte jupe et mon haut provocant et je traversai vivement la rue. Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandai ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie, il me rétorqua :

- Bien sûr, sans problème, entre donc ! 

Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'il y avait un petit problème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressai de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournai précipitamment chez Snake.

- Par le diable, pourquoi as-tu été si longue ?

- Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer !

Snake éclata de rire et s'esclaffa :

- Quel vieux salaud !

Je lui préparai un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café. Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute. J'allai me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.

Snake m'ordonna de le suivre, nous sommes sortis et montés dans sa camionnette. Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient. J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici. Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci. Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.

- Surtout ne déçois pas Snake !

Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire. Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser. Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussai mon caddy. Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.

- Sens-tu ma caresse chienne !

Je hochai la tête, et il poursuivit :

- J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes !

Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée. Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre. A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers. J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur. Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.

Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin. Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes. Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées. Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.

"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire de nos deux visages lequel était le plus rouge. Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l'œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendai pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.

Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :

- Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale ?

Il ouvrit la portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol. Puis il me tapota les fesses en commentant :

- Elle a vraiment un beau cul !  Tu peux te la faire mon gars ! 

Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher. Je jetai un œil par-dessus mon épaule vers Snake et secouai la tête désespérée en lui murmurant :

- Non, Snake. Je vous en prie pas ça ! Ne m'obligez pas à...

Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire. Je réalisai alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que je venais de prononcer les paroles prohibées ! On ne devait jamais rien refuser à Snake !

Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite. Lorsque je me relevai Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien : "Salope".

- Joli surnom madame Anderson... Quelle surprise de vous si gentille avec moi ! 

Snake prit le chemin du retour sans dire un mot. Je cherchai à m'excuser, je lui demandai la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve. J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée...

A suivre...