Texte de Géronimo (Elko)
Orgie finale.
Une semaine s'est écoulée depuis que j'ai sauté la mère de Chris. J'ai bien l'intention d'y retourner et de la soumettre à mes moindres caprices. Isabelle, ma mère, est dans le salon en train de regarder une émission à la télé. Elle est assise dans le canapé, jambes croisées très haut, sa jupe dévoile ses cuisses qui sont habillées d'un nylon blanc. Je me demande immédiatement si elle a mis des bas ou un collant. Je m'approche d'elle et m'assois à ses côtés. Je pose une main sur sa jambe et commence à remonter tout doucement. Le nylon crisse sous mes doigts. Ma mère ne dit rien, elle me jette juste un regard. Je continue et je commence à remonter sa jupe. Ma mère frémit mais toujours pas un mot. J'arrive à la lisière des bas, car ce sont bien des bas ! Je remonte encore plus haut, la jupe de ma mère est maintenant retroussée jusqu'à l'aine. Je m'introduis dans son string, blanc également, et commence à lui masser les lèvres délicatement. Sa main saisi mon poignet :
- Arrête immédiatement ! T'es vraiment un pervers, je suis ta mère quand même !
- Ne fais pas ta mijaurée, maman, tu aimes ce que je suis en train de te faire.
Petit soupir venant de ma maman, elle ferme les yeux, s'abandonnant complètement à mes caresses. Je glisse mon index et mon majeur dans sa fente humide. J'agite mes doigts dans sa chatte. Elle donne un coup de reins et gémit. Je remue mes doigts de plus en plus vite, j'ai une trique d'enfer maintenant à telle point que j'en ai mal. Fébrilement, je me libère, mon sexe jaillit à l'air libre.
- Suce-moi ! lançé-je à ma mère d'un ton autoritaire.
Elle secoue la tête.
- Non, il ne faut pas mon chéri.
Agacé, j'appuie fermement sur sa nuque descendant son visage à hauteur de mon sexe dressé. Je faillis défaillir quand je sens sa bouche chaude enveloppé ma queue. Sa langue commence un ballet infernale autour de mon gland. Elle s'active dessus, me branlant d'une main tout en continuant de me sucer. Elle pompe ma bite comme la dernière des salopes. Elle ressort, me lèche les couilles puis replonge dessus avec avidité. J'appuie sur sa tête pour enfoncer ma queue encore plus loin. Maman s'active sur ma bite, salivant dessus. J'halète sentant le plaisir monter de mes reins. J'interromps soudain cette fellation et lui ordonne de se mettre a genoux sur le canapé. Isabelle s'exécute, soumise. Elle se retrouve à quatre pattes, jupe troussée autour des hanches. Je la pénètre d'un violent coup de reins et elle pousse un petit cri. L'agrippant aux hanches, je commence à la besogner comme un fou. Mon ventre va claquer contre ses fesses. Maman ne tarde pas à gémir, poussant des plaintes.
- Oh Mon Dieu ! Oui ! Défonce moi ! .Bourre moi comme une chienne !
- Salope, je vais te démolir le cul ! lâché-je complètement excité.
Ma queue, luisante de secrétions, rentre et sort du con de ma mère. Mes coups de reins se font de plus en plus violent. Ma mère halète, gémit, supplie.J e me retire et pointe mon gland vers l'ouverture de ses reins.
- Non mon chéri, pas ça !
Encore plus excité par cette supplication que je sais totalement hypocrite, j'appuie ma bite sur son trou du cul et m'enfonce brutalement dedans. Ma mère pousse un hurlement que j'étouffe en lui mettant ma main sur la bouche la bâillonnant. Je commence a bouger dans son cul. Maman ne crie plus, elle pousse des gémissement sans discontinuer. De nouveau, j'agrippe fermement ses hanches et je la bourre. Je suis en sueur. Ma mère couine se tordant sous mes coups de queues. N'en pouvant plus, je me retire et la retournant, j'éjacule sur son beau visage, l'éclaboussant de mon sperme chaud. Les filaments de foutre coulent sur son menton.
Maman est rhabillée. Enfin rhabillée, c'est un bien grand mot. Sur mes instructions, elle est vêtue d'un porte-jarretelles noirs qui retient des bas nylons noirs également. Elle est perchée sur des talons aiguilles et elle déambule ainsi dans la maison vaquant à ses occupations. Elle vient de m'annoncer que mon père rentre ce soir. Ce qui me donne soudain une idée.
- Appelle Philippe ! lui ordonné-je.
Elle me regarde éberluée.
- Mais... Mais.... Comment ça ?
- Appelle-le et passe-le moi !
Je vous rappelle que Philippe est le responsable d'une pseudo association caritative. C'est en réalité un « dominateur » qui a été engagé par mon propre père pour dresser et éduquer ma mère qui a eu le tort de le tromper.
Tremblante, ma mère obéit et appelle son maitre-amant qu'elle me passe. La conversation est courte. Je me présente et annonce à Philippe que je suis au courant de ses activités inavouables et peu recommandables pour quelqu'un qui dirige une telle association dans une ville huppée comme la notre. Je le menace de le dénoncer et très vite il me mange dans la main. Je lui demande de venir me rejoindre avec son épouse.
J'appelle ensuite Nadine, la mère de Chris et lui ordonne également de venir nous rejoindre. Mais il me manque un personnage pour accomplir l'ignoble idée que j'ai en tête. J'appelle Chris et lui demande de passer a la maison ce soir. Il accepte avec plaisir.
Nadine est la première à arriver. Ses jambes dévoilées par une jupe courte qui lui arrives a mi-cuisses sont gainées de nylon gris. Ses escarpins vernis la grandissent encore plus. Elle rentre et rougit en voyant ma mère uniquement vêtu de ses sous-vêtements. Elles se regardent toutes les deux, honteuses.
Je m'approche de Nadine et lui soulève sa jupe. Le collant emprisonne un string rouge.
- Baisse ton collant !
Elle s'exécute, rougissante.
Je lui donne aussitôt une claque sur ses fesses qui la fait crier.
- Tu ne mettras plus jamais de string ni de collant, que des bas et des porte-jarretelles.
Elle baisse les yeux. Un chemisier moule sa poitrine arrogante. J'empoigne ses seins les malaxant sans douceur. Nadine pousse un gémissement. Je lui ordonne de déboutonner son chemisier. Le soutien-gorge, rouge également, apparaît. Je baisse les balconnets et commencet à lui sucer les pointes de ses seins qui très vite durcissent. Je me mets à genoux écartant le string et je lui titille son clitoris avec ma langue. Nadine ne dit rien, elle est totalement passive. Tout juste donne t'elle un coup de rein par moment. Je lui mords le clito et elle pousse un gémissement. Je plonge mon index et mon majeur dans sa chatte, sa mouille coule sur mes doigts. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. J'ai une érection d'enfer. J'arrête soudain et appuie sur ses épaules pour qu'elle se mette à genoux.
- Suce-moi !
Fébrilement, ses doigts manucurés libèrent ma queue gonflé à bloc. Elle plonge dessus avec avidité. Sa langue s'enroule autour de mon gland. Je regarde ma mère et lui fait signe de nous rejoindre. Je me retrouve donc avec ma mère et sa meilleur amie à genoux devant moi en train de me faire une pipe. Nadine suce ma queue, lèche mes couilles, me branle. Isabelle prend la relève me pompant également. Elles alternent toutes les deux, Un coup de langue par ci par la. Je les oblige à s'embrasser langue contre langue et elles s'exécutent toute rouges. Cela me donne de nouveau une idée. Nadine me branle énergiquement pendant que maman me suce les couilles. J'agrippe mon sexe à pleines mains et me masturbe furieusement. J'éjacule soudain, libérant des torrents de sperme qui vont s'écraser sur le visage de Nadine et maman. Le liquide poisseux atterrit sur le front de Nadine et coule sur son nez. Maman en reçoit sur ses lèvres et Nadine doit les lui lécher pour la nettoyer.
Je suis confortablement assis dans le canapé et je regarde Isabelle et Nadine au milieu du salon en train de se gouiner tête-bêche. Maman suce le clito de Nadine pendant que la mère de Chris, le visage barbouillée de cyprine plonge deux doigts dans la chatte de ma mère. Les cris de maman se mélangent aux gémissements de Nadine.
Il est 18h00. Isabelle vient de me servir un whisky que je sirote en attendant mes premiers « invités ». Nadine est rentrée chez elle rapidement se changer. Elle est vêtue d'une guêpière rouge retenant des bas résilles .Ses talons aiguilles rouges également lui donne vraiment un air de pute. Mais c'est ce que je voulais. Coup de sonnette.J 'ordonne à maman d'aller ouvrir.
- Dans cette tenue ? bafouille-t-elle.
- Qu'est ce que ca peut foutre, bientôt tout le monde sauras que t'es une salope.
Morte de honte, elle s'exécute. Philippe et sa femme sont sur le pas de la porte. Mme blêmit en voyant ma mère mais Philippe la fait rentrer.
L'épouse de Philippe doit avoir la soixantaine. Encore mince malgré son âge, c'est une femme qui doit s'entretenir. Son visage est certes un peu fripé par endroit et ses cheveux longs sont d'un blanc argenté mais globalement ca reste une belle femme. Elle a des yeux bleus extraordinaires. Ses lèvres sont peintes d'un rouge carmin. Elle est vêtue d'une robe noir très strict, d'un collier de perle de valeur, ses jambes magnifique mis en valeur par des bas couleurs chair. Ses chaussures a petits talons sont pas très sexy mais bon. Elle a été visiblement briefer par son époux car elle me regarde avec crainte.
- Mon cher Philippe, dis-je d'un ton très mondain, comment allez-vous ? Voila donc votre charmante épouse.
Philippe, le visage crispé, ne réponds pas bien sûr. Je m'approche de sa femme .
- Comment t'appelles-tu ?
Madame sursaute, outrée d'être tutoyée par un homme qui pourrait être son fils, voir son petit-fils d'ailleurs.
- Christine. murmure-t-elle.
- Tu sais pourquoi tu es là ?
- Oui, répond-elle, en jetant un regard de reproche a son mari. Vous exercez un chantage sur mon mari qui doit obéir si on ne veut pas être montré du doigt.
- Vous savez que votre mari est un sacré pervers, il a réduit ma mère en esclavage tout de même, Dis-je en prenant un air contrit.
Christine fusille son mari du regard.
- Cela ne m'étonnes pas, il a toujours été cochon.
- Et vous, êtes vous une cochonne ?
Madame rougit violemment. Je me tourne vers ma mère.
- Maman, tu ne dis pas bonjour à ton maitre-amant ?
Ma mère hésite une fraction de seconde et elle s'approche de Philippe. Elle se met à genoux devant lui et lui dégrafe la braguette devant les yeux horrifiés de Christine. Le sexe dur et gonflé de Philippe jaillit et maman commence sa fellation. Christine, sous mes ordres, enlève sa robe noir. Elle apparait uniquement vêtu de ses bas auto-fixant et son collier de perles.
- A votre tour, Christine, montrez-moi si vous êtes une bonne suceuse.
C'est du délire toute la soirée. Christine me pompe de longues minutes, me titillant le gland avec sa langue qui est fort agile ma foi. Très douée la bourgeoise. Maman suce Philippe et il éjacule rapidement. Nadine et Christine se gouinent toutes les deux sous ses yeux ce que lui donne une trique impressionnante. Pour se soulager, il baise en levrette Nadine et l'encule même ce qui arrache des hurlements à la mère de Chris. J'allonge Christine sur le sol du salon, les jambes relevées à la verticale et je la bourre frénétiquement pendant que maman lui suce les seins. D'abord réticente, la femme de Philippe collabore avec entrain, répondant à mes puissants coups de reins en ondulant du bassin et en poussant des gémissements et des petits cris de satisfactions.
Je suis tellement occupé a me faire sucer par Christine que je n'entends même pas mon père rentrer. C'est une exclamation de sa part qui me fait tourner la tête. Je repousse , avec regrets , Christine et me dirige vers lui. Je lui explique rapidement la situation. Il ne proteste pas trop bien sûr, après tout c'est lui qui a tout déclenché indirectement en livrant maman dans les griffes de Philippe.tel est pris qui croyait prendre. On trouve toujours plus pervers que soit. Mon père, Bernard, mi-effrayé, mi-amusé observe maman en train de se faire enculer par Philippe pendant qu'elle embrasse a pleine bouche Nadine.
- Tu vois papa, c'étais pas la peine de demander a un étranger. Ton fils sait y faire, autant que cela reste dans la famille.
Un hurlement l'empêche de répondre. Maman vient de s'écrouler victime d'un énième orgasme.
Mon père veut goûter à la bouche de Christine et Nadine qui le sucent comme de véritables professionnelles. Elles ne protestent plus du tout maintenant et elles avalent tout sans rechigner. Philippe et moi on s'occupe de Maman. Je lui défonce son cul, lui perforant l'anus a grand coups de pines pendant qu'elle suce Philippe goulument.
23h00. Chris vient de m'appeler sur mon portable pour me dire qu'il arrive. Je lui ai simplement répondu que je lui réservais une surprise. Je m'approche de Nadine qui, écroulée sur le sol, haletante, cuve ses nombreux orgasmes. Isabelle m'a fourni plusieurs pairs de bas. Je demande à Nadine de se diriger vers la chambre de mes parents ou je l'attache sur lit lui liant les poignets et les chevilles aux montants du lit. Puis je la bâillonne toujours avec les bas. Enfin, pour qu'elle soit méconnaissable, je lui enfile sur la tête plusieurs pair de bas ce qui fait qu'on ne distingue vraiment plus ses traits. Apres m'être assuré qu'elle pouvait toujours respirer, je l'abandonne a son triste sort.
Vous devinez la suite n'est ce pas ? Faut-il vraiment que je vous la raconte ? Chris est arrivé et après le premier moment de surprise passé de voire ma mère se faire baiser comme une chienne par Philippe devant mon père qui lui-même encule la femme de celui qui enculait ma mère (vous arrivez a suivre ? ) je le dirige vers la chambre.
- Mais.... Qui est-ce ? me demande Chris interdit.
Nadine gigote dans ses liens et pousse des gémissements. Elle a reconnu la voix de son fils.
- Une bourgeoise salope qui aime être attachée.
- Quelle chienne !!
- Tu n'imagines même pas a quel point ! Dis-je avec un petit sourire.
Chris se déshabille et s'allonge sur le corps de Nadine. Il la pénétre d'un puissant coup de reins et commence à la besogner. Nadine gémit. Je m'approche et caresse les seins de Nadine. J'entends les cris de Christine et ma mère dans le salon. Chris s'agite dans le vagin de sa mère. Il a détaché ses jambes qu'il a redressé a la verticale et il lui donne de furieux coups de reins.
- Tiens salope de bourge, prends ça dans ta chatte ! Ddit-il en haletant.
- Elle est trempée. Me dit-il en me regardant.
Je lui détache les poignets et Chris, l'ayant retournée, la prend en levrette. Fasciné, je regarde le va et vient de sa queue dans le con de Nadine qui gémit toujours mais ne cherche pas à enlever son « masque ». Complètement excité, je lui déchire les bas a hauteur de sa bouche, lui ôtant son bâillon avec un peu d'appréhension. Vas t'elle crier ?
Elle ne dit rien. Elle pousse un gémissement et supplie.
- Oui... Oui... Encore, plus fort... Baisez-moi comme une chienne, je suis une salope.
Nouvelle appréhension. Chris vas t'il reconnaitre la voix de sa mère ? Mais non ! Trop occupé à la baiser il ne fait pas attention. Je plonge ma bite dans la bouche de Nadine qui commence à me sucer avec frénésie.
Chris et moi abusons du corps de Nadine de toutes les façons possibles. Chris est reparti à l'aube, extenué et surtout sans se douter qu'il venait de baiser sa mère. Je continue de voir Nadine régulièrement dans le dos de Chris qui lui, baise Isabelle tout aussi régulièrement avec ma bénédiction et celle de mon père. Christine est devenue mon esclave consentante ce qui est un juste retour des choses vous le reconnaitrez.
Nadine m'a demandé de recommencer une séance avec son fils, je crois bien qu'elle y a pris goût.
FIN
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