Texte de gkcdqho
Attention, Zoophilie !
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Julie sent que quelque chose se trame. Après un repas léger, ils prennent la route pendant une grosse demi heure. Pierro conduit seul à l’avant de la voiture pendant que Julie nue occupe la banquette arrière, attachée par son collier avec un mousqueton, à une prise de ceinture de sécurité.
- J'ai pris rendez vous avec Marcel le responsable du chenil, je lui amène une chienne se faire saillir.
Excitée mais en même temps angoissée, Julie se demande, comment cela va se dérouler.
La voiture stoppe en pleine campagne, près de bâtiments bas et allongés. A leur arrivée, ils sont accueillis par de joyeux aboiements, manifestement ils l’attendent. Une nuée d’aboiements fuse quand ils claquent les portes. Julie a compris immédiatement ce qui l’attend, une lumière blafarde s’est allumée au dessus d’une porte métallique, Marcel est apparu. Pierro est allé à sa rencontre et l’a serré dans ses bras. Il est un ancien collègue de Pierro, qui s’est reconverti dans le domaine de la pension pour animaux, faisant à l’occasion un peu d’élevage. Ils sont entrés dans ce qui s’avère être une cuisine, Marcel prend une bouteille d’alcool blanc, des verres et leur sert à chacun une bonne rasade. Se faisant, il commence à parler avec Pierro, ignorant Julie totalement.
Julie entend que ce que Pierro a demandé est prêt, et au delà de ses espérances. Quand les hommes se sont levés en dirigeant leur regards vers Julie, elle en a un frisson. Julie s'est levée à son tour et a suivi Pierro et le maître de maison. Ils sont entrés dans une grande pièce carrelée à l’odeur de désinfectant. Une dizaine de cages abritent chacune un chien. Tous sont propres et semblent en parfaite santé, Marcel explique que tous ces chiens sont en pension chez lui pour des durées plus ou moins longues, que tous sont tatoués, vaccinés et en pleine forme. Il les a sélectionné en fonction de leur caractère et de leur docilité.
D’autres sont en réserve dans le chenil. Au milieu de la salle, trône une sorte de table basse réglable en hauteur par une grosse manivelle, c’est la table de soins pour la toilette des chiens nécessitant une tonte régulière. Les couvertures posées sur la table, qui vont servir sans aucun doute de couche a Julie semblent sortir du pressing. S’adressant à Julie, Marcel l’a rassure, en lui disant qu’il a l’habitude de voir chez lui, de belles bourgeoises comme elle se faire enfiler par ses chiens, c’est même pour lui une très grosse source de revenu.
Il organisait une à deux fois par semaine des soirées de ce genre, Julie est gênée, bien qu’intimidée, elle a la chatte trempée, dégoulinante. Excitée par ce qui va se passer, elle ne veut pourtant pas passer pour la dernière des salopes. Très galamment, il lui demande par quel chien elle veut commencer. Interloquée et aussi pour ne pas passer de suite pour une gourmande, Julie lui demande un avec un sexe pas trop gros. Pierro, caméra en main, lui dit de s'allonger sur la table d’abord sur le dos. Il veut qu'elle se fasse prendre en missionnaire par le premier chien. Marcel est allé chercher un chien roux de taille moyenne, l’animal se demande bien ce qu'il lui veut.
Julie, les jambes pendantes de la table, Marcel l’ approche lentement de son sexe, flattant le chien pour le rassurer. La moule luisante de mouille de Julie doit avoir l’odeur adéquat, le chien commence par la lécher du cul au clitoris. Très vite il la fait jouir, en lui enfonçant la langue dans le vagin, Pierro peut mesurer combien sa jouissance est importante.
Le chien comprend qu’il peut passer à autre chose, il grimpe ses pattes avants sur le ventre de Julie, elle voit le bout rouge de son sexe qui lâche des giclées de liquide translucide. Aidé par Marcel qui dirige la bite du chien vers sa grotte d'amour offerte. Ses pattes avants enserrent l'abdomen de la sacrifiée, la bite visqueuse tape en désordre à l’entrée de son puits d'amour jusqu’à ce qu’elle trouve la porte de sa grotte.
Dans cette position le chien ne peut pas entrer profondément. Pour la première saillie, c’est tout ce qu’il lui faut pour l'échauffer, après s’être secoué très rapidement dans sa grotte, il s’est vidé longuement, en provoquant finalement à Julie qu’un plaisir restreint.
- Il lui faut du plus gros, du plus fort pour satisfaire ma chienne ? Claironne Pierro, en filmant le sperme canin s’écouler à gros bouillon de la grotte de Julie.
Marcel prend un pot en plastique sur une étagère et récupère le liquide blanchâtre qui s’écoule du puits d'amour de Julie. Il déclare qu'il faut passer au choses sérieuses, les chiens qui ont senti l’odeur de la femelle et du sperme deviennent nerveux.
Marcel fait allonger Julie sur le ventre, les genoux au sol. Il pose une couverture sur son dos pour la protéger et il libère un gros chien noir. A partir de ce moment il ne s’adresse plus à Julie comme une femme, elle est maintenant une chienne que ses chiens vont saillir. Le gros chien noir s’avance, Julie se fait lécher la chatte et le cul, quand il grimpe sur son dos elle comprend qu’il s’agit d’un gros calibre. Aidé par Marcel, il se laisse prendre le sexe pour être guidé jusqu’à l'entrée vaginal de sa chienne. D’une poussée magistrale il est entré en se cambrant, soulevant le cul de sa chienne, enfin Julie est bien emplie, comblée.
Elle sent la bite chaude pomper dans son ventre. Le chien lâche de petites giclées de liquide brûlant, Julie se sent bien, le gros sexe est bon. Après deux ou trois minutes de ce régime, il s’enfonce encore plus loin, collant le bout de sa bite à son utérus. Son nœud se met à gonfler, et il se déverse à gros bouillons dans son puits d'amour. Julie sent que son amant lui remplit son ventre au plus profond d'elle-même.
Le nœud empêche le sperme de sortir, la pression dans son ventre est terrible, Julie jouit devant les hommes et la caméra comme une malade. Pierro l'a amené ici pour cela, son utérus palpite sous les giclées de liquide qui le force. Marcel empêche le chien de se séparer de Julie pour lui éviter un arrachement vaginal. Après une quinzaine de minutes, quand le chien se désaccouple de sa chienne, un flaque de liquide odorant tombe sur le sol, Pierro se saisit d'un autre pot, en déclarant que compte tenu de la qualité des jouissances de sa chienne, tous les chiens ici présents ont le droit au plaisir de sauter cette chienne. Elle a le devoir de tous les satisfaire. Un à un, tous les chiens l’ont baisé, certain l'ont même enculé, à chaque changement de partenaire, Julie prend du plaisir. Après quelques saillies, les nœuds de ses amants sortent facilement de son vagin ou de son anus. Ce qui a permit à Marcel de faire subir à Julie plus de saillie que prévu. Marcel recueillent à chaque "passe canine" le jus que Julie expulse de son ventre.
Ce soir là, de son cul et sa chatte, Marcel a récupéré un litre et demi de sperme, Julie a joui comme jamais elle n’avait encore joui. Pendant que Marcel est allé chercher deux autres chiens, Pierro s'est rué sur Julie, pour la sodomiser. Il marque ainsi, lui aussi son territoire, Julie sent le chien et le sperme.
Julie est trop fatiguée, pour satisfaire le dernier animal pourtant l’énorme bite qui sort du fourreau lui fait envie terriblement. Mais Julie n’en peut plus, elle pense que la prochaine fois, s’il est encore là, elle commencera par lui.
C'est sans compter sur la détermination de Pierro. Il prend lui même le chien et le dirige sur la chienne de service. Il le prend par le poitrail et pose ses deux pattes avants sur le dos de Julie.
Soudain Julie sent le poitrail velu de l'animal se coucher sur son dos, aussitôt ses deux pattes de devant lui enserrèrent la taille désormais prise comme dans un étau. Cette bête a une force peu commune, Julie est complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, Julie sent une barre brûlante se présenté à l'entrée de son vagin heureusement bien lubrifié. Sentant l'ouverture, le mâle, d'un formidable coup de rein, propulse son énorme verge au fond de son puits d'amour, frappant violemment la paroi de l'utérus, ce qui lui fait pousser un cri de douleur.
Dans cette position, bien arrimée sur son dos, la bête possède une grande mobilité du bassin. Il entreprend alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amènent sa monstrueuse rigidité au fond de son vagin, lui faisant pousser des cris douloureux. Le sexe gonfle, et gonfle. Il lui remplit désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu'il lui dilate son puits d'amour en repoussant les parois.
Elle qui n'en pouvait plus de se faire saillir par tout un chenil. Elle est en train de se faire saillir par le dernier chien du chenil et elle y prend plaisir ; car c’est le cas ; elle ne sait si c’est le fait de la grosseur démesurée de la bite du chien, ou de la réaction à cette dernière pénétration vaginale, mais en tout cas sa grotte d'amour se remplit de cyprine, favorisant encore plus les à-coups du mâle.
C'est alors que Julie sent le chien prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une violence inouïe au fond de son ventre, le col de son utérus semble exploser. Tout est rentré. Puis durant quelques secondes tout se calme. Contre toute attente, ses organes commencent à s'habituer à cette gigantesque intromission. Le mâle sur son dos halète, la langue pendante, des filets de bave s'écoulent sur la peau de son cou.
Tout à coup, l'énorme turgescence est comme animée d'une vie propre, elle se met à vibrer, lui envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu'à son cerveau, son bas-ventre est agité de spasmes, ses organes génitaux s’enflamment une fois de plus. Son amant commence à lui envoyer des torrents de liquide dans son utérus. Il se dilate encore plus, il repousse les organes voisins, Julie sent son bas-ventre gonfler, gonfler. Et soudain, une formidable chaleur envahit tous ses organes.
Julie perd complètement pied, une jouissance phénoménale l'envahit, elle hurle dorénavant son plaisir incontrôlable, un orgasme phénoménal éclate dans son corps. Julie plonge alors dans un état de demi-inconscience. Julie est désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Elle devient sa femelle, sa soumise.
Le liquide reproducteur continue à se déverser dans son vagin, dans son utérus, il va, il veut la féconder. Une joie sans fin l'envahit à l'idée de lui fournir une belle portée de chiots. Julie divague moralement ( Ta femelle en prendra soin, n'aie aucune crainte. Continue ton travail de mâle procréateur. Je suis à toi, pour toujours. Désormais je vivrai nue, je ne te quitterai plus, toujours prête à t'ouvrir la voie de mes organes génitaux afin que tu te libères selon ton bon vouloir et jusqu'à ce qu'enfin je te procure ta progéniture.)
Julie n’entend plus aucun son en provenance de son environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui la paralyse jusqu'à la pensée et l'esprit. Elle en a oublié la situation finale, elle en oublie aussi la caméra.
Et puis, comme un brouillard qui se lève, Julie reprend peu à peu conscience, mais elle a quelques difficultés à se repositionner dans le temps et dans l'espace. C'est le chien qui l'aide lorsqu'elle perçoit la présence de sa formidable musculature sur son dos et ses pattes qui la font sienne.
Ses entrailles sont toujours aussi tumultueuses, c'est un volcan qui lui brûle le bas-ventre, son vagin est énorme mais Julie est bien, fière d'avoir appartenu à ce merveilleux mâle, fière d'avoir accueilli toute sa semence dans son corps, fière de ne faire qu'une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui l'a tient soudée aussi solidement. Malgré les accouplement précédent, leurs deux corps sont littéralement collés l'un à l'autre, l'énorme nœud les tient solidaires, ils ne forment plus qu'un.
Quelque chose s'est passée lors de cet dernier accouplement, une forme de communion a uni la femme et la bête, un lien spécial que Julie sent fort et qu'elle ne pourra désormais plus ignorer.
Au terme de quelques instants où Julie ne sait pas combien de temps a duré son inconscience, elle sent son nœud se dégonfler, et sous la pression énorme existant dans ses entrailles, tout est éjecté. De sa vulve béante et baveuse, des flots de sperme s'écoulent sur le sol, lui arrosant les cuisses et les mollets. Julie ressent un sentiment de vide extraordinaire dans son ventre, comme si toutes ses entrailles ont été expulsées avec le liquide.
Julie ne pense plus, toute activité cérébrale a cessée. Elle est comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.
Ce n'est qu'environ quinze minutes plus tard que Julie donne signe de vie en rouvrant les yeux. Elle a de nouveau à se situer. Puis tout lui revient. Tout ses amants canins qui l'ont saillie les uns derrière les autres, du sperme canin s'écoule de son vagin, et encore de son anus, son corps entièrement souillé par ces déjections.
Marcel s'agenouille alors près d'elle et lui dit :
- Ça va ? Tu nous as fait peur ! Tu poussais des hurlements effroyables avec le dernier, on se demandait s'il ne t'avait pas causé des dégâts à l'intérieur !
- Non non ! De ce côté là tout va bien ! Par contre dans ma tête je ne sais pas encore bien où j'en suis. Ça m'a vraiment secouée ! C'est la première fois que ça me fait ça, de plus avec un chien, je n'oublierai pas de sitôt.
Pierro l'aide à se relever et avec Marcel Julie part vers le cabinet de toilette avec bien des difficultés. Heureusement il y a un bidet. Aussitôt Julie s'arrose la vulve et l'anus d'eau froide afin de calmer la douleur due à la trop grande dilatation. Elle s'asperge l'intérieur du vagin afin d'éliminer le reste de sécrétion. Puis elle se lave les jambes, et se sèche. Julie regagne la cuisine. Marcel lui verse un petit verre d'alcool fort.
En sortant de la pension pour chien Julie a le cul et la chatte en feu, elle a à peine senti quand Pierro l'a couchée en rentrant. Elle a dormi toute la journée du lendemain. Marcel lui avait glissé un petit mot au creux de la main, avec son numéro de téléphone et son adresse.
Durant le restant de mes vacances, je passe mon temps à alterner entre les gang-bang dans le camp de Paulo avec les nuits chez moi entre les bras d’hommes mariés mûrs qui trouvent chez moi la salope qu’ils n’ont pas chez eux.
C’est avec beaucoup de regret que Julie voit partir Pierro qui ne semble pas affecté par son départ, depuis quelques jours Julie a l’impression qu’il a une autre cible en vue, une autre femme chez laquelle il va réveiller la chienne en elle. Une chienne qui le restera.
Julie passe son temps à réfléchir à ses voisins. Maintenant qu'elle les connaît bien, elle est sûre qu'ils vont l'offrir à tous leurs amis, a certain voisins, et autres. Julie imagine aussi tous ceux qui lui sont encore inconnus, tous ses futurs amants auxquels elle révélera toute l’étendue de ses talents de bonne grosse chienne en chaleur.
Mais jamais ils ne pourront lui faire atteindre le degré de jouissance que lui a procuré son dernier merveilleux amant canin qui a fait d'elle une chienne a tout jamais. Une chienne qui ne se sent pas à son aise. Julie se passe autour du cou le collier que lui a laissé Pierro.
Une autre vie commence pour Julie.
A suivre...
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