Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.
Notre héroïne distrait les invités d'un barbecue.
Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage. Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.
Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maison, prenais une douche et restais nue. Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir.
Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir !
Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu. Au début, la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :
- Je veux que tu viennes demain. Dès que ton mari partira pour Atlanta !
Il me sembla que ma mâchoire se décrochait. Comment le savait-il ? Comment pouvait-il bien l'avoir appris ? Je n'en avais pas dit un mot ! Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné !
Snake explosa de rire et ajouta :
- Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe !
- Com... Comment... Comment le sais-tu ?
- Ce n'est pas ton problème petite chienne ! Et maintenant mets-toi au boulot!
- Oui maître !
- Et au fait, lorsque tu viendras demain matin, apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents ! Tu séjourneras chez moi un bon moment !
"Oh mon Dieu !" Pensais-je éperdue, "ce ne peut pas être vrai". Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester. J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats. Mais une semaine chez lui... Sans pouvoir retourner chez moi le soir ! Mon cœur battait la chamade à cette idée ! J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune. Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.
Je me retrouvai devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage. Je me ruai dans ma voiture et démarrai sur les chapeaux de roues. Je rentrai chez moi, me déshabillai et commençai mon ménage dans cette tenue. Je me versai un verre du vin, m'assis cherchant à me décontracter. J'essayai d'imaginer à quoi ressemblerait cette période où je serai totalement sous le joug de ce monstre 24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours. Je n'y parvins pas, ou je m'y refusai. Les images qui me vinrent en tête m'étaient insupportables.
Je bus mon vin et me postai devant mon ordinateur. Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip. Je regardai plusieurs fois le clip puis je m'intéressai aux photos, puis je visionnai à nouveau le petit film à plusieurs reprises. Tandis que je le regardais, je promenai mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatai à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.
Je me ruai dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise. Puis j'étendis la serviette sur mon siège et m'assis dessus. Et je repris mes caresses. Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue ?
Je finis par éteindre l'ordinateur, je m'essuyai la chagatte avec la serviette que je balançai ensuite dans la lingerie. Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages. Je posai la valise près de la porte du garage, puis je préparai le souper. Je ne parvins pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maison.
Je le touchai constamment, l'embrassai, posai ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.
Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher. Nous avons fait l'amour très tendrement. Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.
Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à son avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.
Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levai pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassai pour lui dire au revoir.
La limousine l'emporta et je préparai mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrai dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposai aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres. Puis je balançai le sac sur le siège passager et je me rendis à la maison de Snake.
Je me déshabillai dans l'entrée. Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.
- Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre. J'y organise un barbecue tout à l'heure. Et enfile ça !
Il prit quelque chose dans sa table de nuit et me le lança. C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand "SALOPE" sur la plaque chromée.
Je sortis à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerai dans la salle de bain en me regardant dans le miroir. Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait. Je plaçai le collier autour de mon cou et le bouclai. Il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.
Je gagnai la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puisse paraître, je pensai seulement que cela me rendait très excitante ! Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter !
Je nettoyai la maison, m'habillai et sortis pour ranger l'arrière cour. Je rangeai la tondeuse à gazon dans le hangar et vidai les cendres du grill à barbecue et le remplis de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.
Je rentrai dans la maison, me déshabillai et regardai ce qui se trouvait dans le réfrigérateur. Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparai un grand plat de charcuterie. Je hachai quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.
Tout au début de l'après-midi, le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa. Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrai ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :
- T'as fait du bon boulot, merci ! Il te reste une chose à faire, viens avec moi !
Elle m'entraîna au salon, s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit. Je tombai à genoux entre ses jambes et commençai à l'embrasser. Je débutai par ses genoux et remontai le long de ses cuisses, je retroussai le bas de sa jupe et continuai mon chemin. Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à son intimité. Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que son clito et les lèvres de sa chatoune. J'embrassai et léchai tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.
Alors que je l'embrassas et la léchai avidement, je sentis sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflai doucement sur sa fentine. Je savourai avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.
Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartai la bande formant le fond de son string, toute surprise je réalisai que j'adorais ce que je faisais ! Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle !
Je continuai à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.
Alors que je me redressai, j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :
- Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire !
Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil. J'étais prête !
Il me baisa âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer. Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :
- Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait !
Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à son tour.
Je me redressai alors et lui nettoyai consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.
- Merde alors ! Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler ! S'exclama la femme.
- Ce sera pour plus tard ! Allez ma fille viens t'occuper du grill.
Je me levai et me préparai à remettre mes vêtements.
- Laisse ça, tu n'en as nul besoin.. Allons-y !
Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue ?
Nous sommes sortis et je me contentai de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill. Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur. Lorsque nous sommes rentrés dans la maison Snake était levé et buvait déjà de la bière. Je suivis docilement la femme et l'aidai à transporter le matériel nécessaire au barbecue.
Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.
Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des motards. On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace. Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude. Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.
Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimai qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes. Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes. Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, personne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux.
J'allai ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa son doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour. Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.
Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'impression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute manière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le risque.
Lorsque j'approchai de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant. Je commençai à fredonner un air de danse dans ma tête sur lequel je cherchai à danser. Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais personne ne se plaignit de ma performance. Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.
La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table. Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquai 4 hommes qui sortaient un banc du patio. Je supposai que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.
Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table. Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue. Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc. Une sangle m'entoura la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc. Mes jambes et mes bras étaient libres, mais je ne pouvais pas bouger.
Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol. Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.
Dès le début du film, les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage. D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film. Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.
Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide. Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre. Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.
Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises. Je commençai à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtai aucune attention à ce qui se passait autour de moi. Je remarquai cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle, Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.
Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurai allongée à plat dos sur le banc toute la nuit. Quelques gars allèrent pisser au fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.
On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux. Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture. Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché ça et là sur mon corps et mon visage. Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.
Je me plaçai dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps. Je me précipitai sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses personnes, surprise et consternée.
Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus. Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon. Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par son nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais personne par leur nom, c'était plus sûr.
Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchai et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand. Je lui obéis promptement sans une plainte, je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priai pour qu'elle épargne ma chatoune.
Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette. Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante. Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une personne.
- Rude nuit ma fille !Me demanda-t-elle.
- Oh oui madame. Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.
- Appelle-moi Beth. Me dit-elle.
- Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée ! J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer. Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maison et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit. Je pense qu'à la nuit tombée, Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour ! Il adore se montrer un excellent hôte. Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit. Je sais que cela fait très mal ! Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir ! A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis ! Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir !
- Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne. Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me force à subir des choses dégradantes.
Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :
- Eh merde alors ! Chérie, tu as intérêt à t'appliquer. Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant. Il cherche à les briser. Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable. Certaines de ces filles... Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit !
J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquai, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère ? Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout !
Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant. Je me débrouillai pour dormir un peu et je me réveillai vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler. Il me fit lever et me roula un patin, son haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers. Je l'embrassai en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.
Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth. Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :
- Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage !
Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres. Je commençai les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.
Je fis de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquai cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme. Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.
La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençai à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :
- J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire. Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre ! Des questions, salope ?
- Non maître...
Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon...
Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison. Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posai sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandai s'il voulait que je lui taille une pipe comme pourboire. Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux. Finalement je posai mon bras autour de son cou et l'embrassai en lui susurrant que je le suppliai de me laisser faire.
Il hocha la tête et reconnaissante je me laissai tomber à genoux et baissai son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement. Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake. J'embrassai et léchai pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.
Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance. Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensai qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grogna sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injecta des flots de foutre dans l'arrière-gorge. Je nettoyai obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclai sa ceinture, il me remercia :
- Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu !
Je levai les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions.
Je ne pus m'empêcher de penser à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.
Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée. Certains qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.
Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot. Enfin il ne resta plus que Snake et moi. Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.
Je me lavai minutieusement et le rejoignis dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus. Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit. J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormis comme un bébé.
Je me réveillai vers midi, Snake ronflait encore aussi me levai-je précautionneusement pour gagner la salle de bain. Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement. Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyai la salle de bain. Elle était dégueulasse.
Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillai pour le décrasser rapidement. Puis, je passai à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table. Je me demandai si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle. Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer. J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.
Tandis qu'il prenait sa douche je préparai du café. Puis je sortis dans l'arrière cour et commençai à la ranger. Lorsque je retournai dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandai s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des œufs. J'approuvai et me dirigeai vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et un tube de mayonnaise.
- Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide !
Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture. Comme toujours, j'approuvai, j'enfilai ma courte jupe et mon haut provocant et je traversai vivement la rue. Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandai ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie, il me rétorqua :
- Bien sûr, sans problème, entre donc !
Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'il y avait un petit problème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressai de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournai précipitamment chez Snake.
- Par le diable, pourquoi as-tu été si longue ?
- Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer !
Snake éclata de rire et s'esclaffa :
- Quel vieux salaud !
Je lui préparai un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café. Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute. J'allai me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.
Snake m'ordonna de le suivre, nous sommes sortis et montés dans sa camionnette. Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient. J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici. Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci. Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.
- Surtout ne déçois pas Snake !
Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire. Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser. Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussai mon caddy. Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.
- Sens-tu ma caresse chienne !
Je hochai la tête, et il poursuivit :
- J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes !
Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée. Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre. A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers. J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur. Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.
Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin. Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes. Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées. Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.
"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire de nos deux visages lequel était le plus rouge. Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l'œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendai pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.
Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :
- Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale ?
Il ouvrit la portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol. Puis il me tapota les fesses en commentant :
- Elle a vraiment un beau cul ! Tu peux te la faire mon gars !
Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher. Je jetai un œil par-dessus mon épaule vers Snake et secouai la tête désespérée en lui murmurant :
- Non, Snake. Je vous en prie pas ça ! Ne m'obligez pas à...
Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire. Je réalisai alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que je venais de prononcer les paroles prohibées ! On ne devait jamais rien refuser à Snake !
Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite. Lorsque je me relevai Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien : "Salope".
- Joli surnom madame Anderson... Quelle surprise de vous si gentille avec moi !
Snake prit le chemin du retour sans dire un mot. Je cherchai à m'excuser, je lui demandai la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve. J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée...
A suivre...
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