mardi 29 juin 2021

Monique Ch. 01

Traduction d'un texte de « Kayce 69 »

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Monique va au cinéma sans son mari.

Il y a quatre mois, j'ai soudainement remarqué du changement dans notre vie sexuelle. Monique m'a semblé plus exigeante. Elle en voulait plus, elle restait excitée beaucoup plus longtemps elle semblait... Juste une minute, laissez-moi vous expliquer dès le commencement.

Je connais Monique depuis l'âge de seize ans. C'est moi que les autres garçons jalousaient, c'est moi qui ai eu la chance d'être le premier à pouvoir la toucher.

Nous étions jeunes et amoureux, et même un peu naïfs. Le sexe entre nous fut très simple jusqu'à notre mariage il y a huit ans. Je ne pensai pas qu'il y avait un problème dans notre vie sexuelle. Elle était normale, avec quelques fellations, pas de sodomie, mais plein de positions différentes. Et beaucoup d'amour de sa part, elle qui n'avait que vingt-huit ans.

Nous vivions bien, et pouvions améliorer notre maison. Monique faisait des photos pour des catalogues. Mon travail allait bien. Je venais d'avoir une promotion et j'avais en charge les stocks des magasins de l'entreprise. Cela voulait dire plus d'heures de travail, et des déplacements dans les différents magasins, en particulier le vendredi pour vérifier les stocks. Et comme nous nous en sortions pour l'argent, nous pensions peut-être que le moment était venu pour avoir des enfants.

Et comme je vous l'ai dit au début, tout changea en août dernier. Monique était devenue plus excitée sexuellement. Son excitation durait malheureusement plus longtemps que la mienne.

Cela commença la nuit où nous sortîmes pour fêter l'installation de notre nouvelle salle de bain et le nouveau système de chauffage central. C'était une belle nuit et il était évident que nous allions bien nous amuser lorsque nous rentrâmes à la maison. Nous baisâmes encore et encore, mais Monique était insatiable. Elle en voulait plus, même après de nombreux orgasmes. Et moi, je ne pouvais tout simplement pas suivre le rythme.

J'eus honte de ne plus pouvoir bander devant son corps magnifique. Elle avait une belle et grosse poitrine, de longues jambes sexy et une bouche si sensuelle. Elle me suça longuement, me prenant au fond de sa gorge comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Mais je n'arrivai plus à bander.

J'essayai alors de me montrer comme un mari aimant et tendre en l'étreignant. Mais Monique fit une chose qu'elle ne m'avait jamais fait, elle me tourna le dos.

Je ne pus m'endormir. Je restai allongé à penser à ma défaillance, quand tout d'un coup, elle sortit du lit. Je l'entendis entrer dans la salle de bain puis j'entendis des gémissements étouffés. Quelques minutes plus tard elle revint. Je fis semblant de dormir. Sans se soucier de moi, elle s'allongea et s'endormit.

Cela se produisit de plus en plus souvent. Elle commença à me dédaigner, je devais faire quelque chose, et très vite.

Heureusement, j'avais assez travaillé pour pouvoir prendre un jour de congé et emmener Monique en ville. Je pensai qu'un peu de shopping et un bon déjeuner allaient la rendre heureuse. Nous avons cherché un moment avant de trouver un bar à vin. Nous commençâmes et finîmes une bouteille avant d'en commander une deuxième avec des sandwichs finement élaborés. Tout d'un coup, Monique me demanda si j'avais vu le cinéma porno devant lequel nous étions passés. Comme j'avais bu, je rigolai.

Elle insista pour que nous commandions une troisième bouteille. Comme je voulais qu'elle soit heureuse, nous la bûmes puis nous partîmes. Dix minutes plus tard, nous fûmes devant le cinéma dont elle avait parlé. Monique regarda les affiches et en rigolant dit qu'elle voulait en voir un. Même si je pensais que c'était une mauvaise idée, je ne voulus pas jouer le mari trouble-fête. Donc je pris des billets et nous entrâmes dans la salle.

L'intérieur était très sombre, mais je pus voir qu'il y avait six hommes dans la salle. Je me demandai quelle réaction allait avoir Monique alors que nous allions nous asseoir. Sur l'écran, une blonde suçait un type alors qu'un autre la léchait. Ma femme la regarda en cherchant un siège. Je m'assis à côté d'elle et posai une main sur son genou.

Je regardai le film tout en passant ma main sur sa jambe gainée. Je pensai qu'elle était excitée, car elle poussa sa jambe contre la mienne.

Malheureusement, après une quinzaine de minutes, la chaleur du cinéma et le vin aidant, je sentis mes yeux se fermer. Je me battis pour essayer de les garder ouverts mais ce fut une bataille perdue d'avance.

Je ne sus pas depuis combien de temps je dormais, mais, en ouvrant les yeux, j'ai d'abord constaté que Monique frottait toujours ma jambe avec la sienne, mais l'autre était appuyée contre l'autre siège. Ses jambes étaient grandes ouvertes et je distinguai comme un mouvement.

Je bougeai lentement la tête, et j'étouffai un cri de surprise quand je vis une main sur son autre jambe. Celle-ci était passée sous sa jupe. Je levai les yeux et je vis ma femme, la tête penchée en arrière. J'étais sur le point de bouger quand d'autres mouvements attirèrent mon attention. Une autre main était sur sa poitrine. Un deuxième homme avait bougé de place pour se mettre derrière elle. Son bras était passé par-dessus le dossier et sa main était à l'intérieur du haut de Monique. Je vis nettement le contour de sa main sur son sein gauche.

La main entre ses jambes bougeait maintenant dans un mouvement de va-et-vient. Il était évident que la main était dans sa culotte. Elle se faisait baiser avec des doigts. Je décidai d'arrêter ça.

Je l'attrapai et la traînai pratiquement jusqu'au-dehors de la salle obscure. Puis je me suis tourné vers elle :

- Qu'est-ce que tu fous, merde! Criai-je.

Alors qu'elle se dépêchait de reboutonner son chemiser, elle me regarda :

- Oh mon Dieu, je suis vraiment désolée. C'est le film... et le vin m'a endormi... Tout d'un coup des choses se passaient et je ne sais plus... Jusqu'à e que tu interviennes. Mon Dieu, je ne comprends pas ce qui vient de se passer. S'il te plaît mon chéri calme-toi, ne gâche pas cette journée.

Je me dis alors que j'aurais dû être plus attentif et intervenir beaucoup plus tôt. Elle avait vraiment l'air désolée. J'eus l'impression qu'elle était vraiment bouleversée donc ma colère disparut. Nous avons alors continué notre journée d'achats et nous n'avons plus reparlé de l'incident.

Deux semaines plus tard, il fallut que je rentre chez moi pour une raison quelconque. Monique était sortie, faisant un peu de mannequinat pour un catalogue. Je dus aller aux toilettes. Mais en tirant la chasse d'eau, j'entendis un bruit sourd.

Alors, je levai le couvercle de la chasse. A l'intérieur, se trouvait un sac en plastique bien fermé. Je le sortis et l'ouvris. Il contenait un vibromasseur rose et épais. Je le regardai sans pouvoir en croire mes yeux? Notre vie sexuelle était-elle si morne qu'elle doive utiliser un jouet de substitution?

Mon esprit passa alors à la vitesse supérieure. Que pouvait-elle me cacher d'autre? Je décidai de fouiller sa coiffeuse, puis son dressing. Je passai à ses manteaux et dans celui qu'elle aimait porter, long et noir, je trouvai un ticket de cinéma dans une des poches. Je décidai alors qu'il était temps de voir ce que ma jolie femme faisait en mon absence.

Un jeune au travail, vous savez, un de ces magiciens en informatique m'avait proposé de mettre en réseau tous les ordinateurs des magasins. Mais mon patron avait dit que c'était trop cher. Alors j'ai choisi de lui faire faire et je l'ai payé un peu de ma poche. Je lui ai octroyé quelques avantages comme des tickets restaurant. Donc avec ce système et si je travaillais durant mes pauses quotidiennes, ma charge de travail se réduisait et me donnait le temps pour espionner ma femme excitée.

Quand je suis allé acheter l'équipement pour le jeune informaticien, je me suis également procuré une fausse barbe et un anorak. Je savais bien que si je voulais découvrir ce qu'elle faisait, il fallait que je sois déguisé.

Vendredi arriva, je quittai ma femme en l'embrassant et lui dit que je rentrerai tard le soir, vers 21 heures. Puis j'allai préparer mon plan.

J'arrivai au cinéma vers 14 heures. Je trouvai un siège qui me permettait de voir entièrement la salle et j'attendis. Je remarquai qu'il y avait environ cinq ou six autres hommes à l'intérieur qui n'arrêtaient pas de regarder vers l'entrée. Le film était le même genre de film porno que la dernière fois. Je me dis qu'il ne valait pas grand-chose quand je vis ma femme arriver. Elle s'assit trois rangées plus bas sur les sièges de l'autre côté de l'allée centrale. Tous les hommes se mirent à chuchoter.

Un gars, pas très loin de moi, parlait à un autre. Je m'efforçai d'écouter.

- Elle est encore ici. Cette fois-ci, nous allons nous assurer qu'elle ne puisse s'en sortir.

Qu'est-ce qu'il voulait dire? Je ne compris pas tout de suite. Les hommes commencèrent à bouger. Deux se mirent à côté d'elle, chacun d'un côté. Deux autres se placèrent sur la rangée juste devant elle, et je suivis ceux qui se mirent derrière elle. Monique était complètement encerclée.

Je m'arrangeai pour me mettre de telle façon que je puisse tout voir. Ma femme avait l'air de suivre le film. Elle portait son long manteau noir, mais il était déboutonné et bien ouvert. Dessous elle avait une jupe blanche et ample ainsi qu'un chemisier crème. Et autant que je pouvais voir, elle avait des bas.

Un premier commença à caresser sa jambe et elle ne l'arrêta pas. Un des gars derrière elle, déplaça sa main pour la glisser à l'intérieur de son chemisier. Il allait chercher ses seins.

Un des hommes sur la rangée devant elle se tourna et passa sa main sur son autre jambe. Je pus voir qu'elle se mordait les lèvres.

Puis beaucoup de mains se retrouvèrent sur elle, essayant de déboutonner son chemisier. Il était évident qu'elle ne portait pas de soutien-gorge et les hommes avaient l'intention d'exposer sa poitrine.

D'autres mains se posèrent sur ses cuisses, remontèrent le long des bas et troussèrent sa jupe à la taille. Une main venant de derrière attrapa sa tête. Elle gémit un peu, mais ça ne l'empêcha pas de lui faire tourner la tête. L'homme poussa un, non, deux doigts dans sa bouche.

- Non! Dit-elle alors que ses mains se levaient pour essayer de repousser l'homme.

Mais elle n'avait aucune chance. Ses bras furent saisis et tirés derrière le siège. Les hommes de derrière lui prirent les mains et les tinrent ainsi.

Dire qu'elle se débattait serait exagéré. Ses seins étaient maintenant à la disposition de tous. Je continuai à regarder alors que ses mamelons étaient tirés et mordus.

Sa culotte était tendue entre ses cuisses largement écartées, permettant ainsi aux doigts de s'approcher de son sexe. Un homme avait deux doigts dans sa bouche alors qu'une longue bite la frappait sur la joue. Des mains agrippèrent son visage, sa tête fut tournée et la bite entra dans sa bouche haletante.

Elle commença à se tortiller et des gémissements sortirent de sa bouche remplie par une queue. Tandis que les mains jouaient avec son corps exposé, l'homme, qui apparemment avait pris le contrôle, demanda à un autre gars d'aller vérifier les portes. Celui-ci disparut et revint peu après en disant que tout était clair.

Le chef se leva. Tout en attrapant la main de Monique, je l'entendis dire :

- Sors ta queue de sa bouche. Tu pourras la coller dans sa gorge quand nous aurons amené cette salope sur la scène. Il est temps de la mettre à quatre pattes.

Il baissa les yeux vers ma femme et dit :

- Tu ne pourras pas courir cette fois salope! Nous allons faire ce que nous aurions dû faire la semaine dernière.

Elle le regarda et il ajouta :

- Oui, nous allons tous te baiser.

Ma femme fut levée du siège et traînée vers la scène. Son manteau lui fut retirée et les hommes la forcèrent à se mettre à genoux. Elle regarda les hommes qui l'entouraient et supplia :

- S'il vous plaît arrêtez! Ça va trop loin laissez-moi partir!

Elle se rendit vite compte que personne ne l'écoutait. Ils la forcèrent à se mettre à quatre pattes et bientôt, la longue bite rentra de nouveau dans sa bouche.

Je ne pouvais quitter la scène des yeux. La jupe de ma femme fut relevée sur son cul nul, la lumière vacillante du film qui passait sur l'écran éclairait ses globes fermes et serrés. Malheureusement pour moi, la vue fut bloquée par le dos d'un homme. Il positionnait sa queue pour remplir le trou dégoulinant de ma femme.

Il la pénétra, provoquant un cri étouffé autour de la bite qui forçait la bouche de Monique. Des mains tiraient sur ses seins qui oscillaient entre les deux pans de son chemisier. Elle ne pouvait rien faire pour empêcher ces hommes de jouer avec elle.

Ce fut d'abord le gars dans sa chatte qui jouit le premier, remplissant son trou humide. Il se retira et immédiatement un autre prit sa place et ma femme fut pilonnée à nouveau. L'homme qui avait sa bite dans sa bouche lui tint fermement la tête et se vida dans sa gorge. Ma femme eut à peine le temps de tousser et cracher avant que son joli visage soit à nouveau empalé sur une autre belle queue.

Tout ce temps, je devins de plus en plus excité. Je vis l'homme qui était dans sa bouche respirer lourdement. Il ne lui avait pas fallu longtemps avant de jouir. Il sortit sa queue et arrosa le visage de ma femme avec son foutre. Puis il l'attrapa par les cheveux et replongea son sexe dans sa bouche pour qu'elle le nettoie bien.

Alors qu'un autre gars prenait sa place pour baiser une troisième fois le visage de mon épouse, je regardai celui qui était dans sa chatte. Il accéléra le rythme et se visa en elle. C'est alors que je saisis ma chance. Je sortis ma bite bien dure et je m'agenouillai derrière elle. Elle ne pouvait pas bouger et me voir, car sa tête était tenue et baisée. D'autres mains tiraient et pinçaient ses seins sensibles. Alors, je poussai ma bite dans sa chatte bien humide et déjà souillée.

Alors que je me regardai la pistonner, mes yeux se posèrent sur la vision merveilleuse de son petit trou du cul. C'est une chose dont j'avais toujours eu envie depuis longtemps. Mon esprit me dit que c'était l'occasion pour moi d'en profiter.

Je sortis ma bite de sa chatte et la poussai fort sur l'entrée de son anus. Ça glissa plus facilement que je ne l'aurais pensée et, avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, mon membre était à l'intérieur de son cul sur toute la longueur. Je commençai à la sodomiser, mais malheureusement, comme j'étais très excité et son cul si serré, j'éjaculai presque aussitôt. Mais je n'étais pas déçu, ça en valait la peine.

Je me levai et m'éloignai tandis que le chef de la troupe regardait le troisième à lui remplir la bouche. Ensuite il la traîna devant lui et l'agenouilla. Un autre homme se mit derrière ma femme et l'entoura de ses bars, la tenant immobile tout en lui tripotant les seins. Elle n'eut pas l'occasion de protester, car le chef avait sorti sa bite et il lui fourra dans la bouche. Il lima sa gueule sans aucune pitié. Dès qu'elle eut avalé son foutre, les hommes se dispersèrent.

Je me cachai derrière une rangée de sièges, laissant Monique essuyer le sperme de son visage, remettre ses vêtements et s'enfuit vers sa voiture. Bien sûr j'attendis 21 heures pour rentrer à la maison. Elle était propre et souriante, peut-être un peu inquiète quand je suis arrivé.

J'avais été une mauviette et j'avais laissé les choses se produire. Mais je m'étais amusé un peu et je me dis que ça lui apprendrait à ne pas jouer avec le feu.

Notre vie sexuelle redevint normale et ma femme ne me demandait pas plus. Mais il fallait que je m'assure qu'il n'y avait rien d'autre. Alors je préparai le même plan pour être disponible un autre vendredi.

Je m'assis une fois de plus dans la salle de cinéma. Mais je fus surpris de ne voir que deux hommes et je fus encore plus surpris quand Monique entra. La salle étant presque vide, les deux hommes l'attrapèrent chacun par un bras et la traînèrent vers le fond. Ils la posèrent sur la première rangée de siège près de l'entrée. Elle ne sembla pas protester quand un des hommes s'assit à côté d'elle et la tira vers lui.

Je vis sa main remonter le dos de sa jupe alors qu'il la tirait afin qu'elle s'assoie sur sa grosse queue bien raide. L'autre gars s'était positionné sur la rangée devant elle. Elle baissa la tête pour engloutir sa bite dans sa bouche. Il n'y avait pas de préliminaires, pas de caresses, ils venaient juste pour baiser ma femme. Pourquoi avait-elle besoin de ce genre d'attention?

Avant que je finisse de réfléchir, un autre homme se précipita à l'intérieur, et dit quelque chose à ses deux autres compères. Tout à coup, Monique fut poussée vers une sortie de secours. Ils sortirent avec moi à leur poursuite.

Il y avait une voiture dans l'allée. Le conducteur laissait tourner le moteur. Ils poussèrent ma femme à l'arrière et filèrent à toute vitesse. Heureusement ma voiture n'était pas garée bien loin et je pus les suivre facilement.

Ils allèrent dans une rue sinueuse du centre-ville, où il y avait une longue rangée de maisons mitoyennes converties en appartements. Les hommes descendirent de la voiture avec Monique. Ils la poussèrent vers une porte. Je garai ma voiture plus loin et remontai lentement la rue jusqu'à la maison. Je regardai les fenêtres.

Une lumière s'alluma. Je décidai alors de m'approcher précautionneusement de la fenêtre. Je jetai un coup d'œil à l'intérieur et je vis que l'on avait jeté ma femme sur un matelas. Elle était confuse. Elle essaya de se lever et de partir, mais à chaque fois qu'elle le faisait, des mains puissantes la repoussaient, jusqu'au moment où le chef entra dans la pièce. Ce fut le silence. Il sourit en la regardant. Heureusement il parlait assez fort pour que je puisse entendre :

- Nous commençons à en avoir marre du cinéma. C'est ici que nous allons te baiser dorénavant. J'ai jeté un coup d'œil dans ton sac à main, donc nous te connaissons maintenant. Les gars, dites bonjour à Monique!

- Bonjour Monique!

Le chœur de voix était moqueur. Le chef continua :

- Donc, tu viendras ici tous les vendredis, ou je vais te rendre la vie difficile. Je pense que tu comprends?

Elle hocha la tête pitoyablement pour acquiescer. Le sourire de l'homme s'élargit.

- Bon les gars, maintenant tout est clair. Déshabille-toi, il y a une belle paire de seins qui ne demandent qu'à sortir. Et une bouche qui ne demande qu'à être remplie. Sans parler de deux trous que cette dame veut voir être utilisés. Allez, baisons cette pute.

Il ajouta en riant :

- N'oublions pas que nous n'aurons pas une créature magnifique à baiser...

Il mit sa main sous le menton de ma femme et releva sa tête avant de continuer :

- Jusqu'à vendredi prochain. Alors ne perdons pas de temps.

Monique essaya de se déshabiller, mais les hommes n'attendirent pas. L'un gifla ses mains pendant que d'autres tirèrent sur ses vêtements pour les lui enlever. Elle fut très vite complètement nue. Je restai caché à la regarder. Ils traînèrent ma femme sur le lit et ils la forcèrent à se mettre à quatre pattes, son cul bien exposé.

Un des gars prit sa chatte par-derrière alors qu'un autre se positionnait devant elle, et lui tirait les cheveux pour forcer sa bite dans sa bouche. Elle prit deux bites bien dures à chacune de ses extrémités.

Les hommes n'avaient plus de problèmes. Personne ne pouvait les découvrir ou les déranger. Personne ne pouvait aider Monique, alors ils l'ont baisée. Elle avait l'air d'être vraiment soumise. Elle les laissait faire tout ce qu'il voulait, lui tirer les cheveux pour enfoncer leur bite dans sa gorge ou la baiser violemment.

Quand les deux hommes eurent fini avec elle, un autre s'allongea sur le lit et la força à s'asseoir sur sa queue. Ses mains saisirent et torturèrent ses gros seins fermes. Il pinça ses mamelons jusqu'à ce qu'elle gémisse dans une protestation pathétique et sans succès. Le chef s'approcha d'elle, lécha son doigt et chatouilla son trou du cul.

- Beau cul, bien ferme, bien rond avec une jolie rondelle toute rose. C'est juste ce dont a besoin une bite. Ouais je crois que je vais me faire ton cul. Plie-toi en avant salope. Tu fais ce que je te dis, tu vas prendre deux queues en même temps.

Ma femme obéit. Tout ce que je pouvais faire, c'était de regarder ma montre alors que les quatre hommes abusaient de mon épouse comme ils le voulaient. Ils l'humiliaient en lui tirant la tête pour qu'elle suce leur bite. Et peu importe le trou qu'ils baisaient.

Ils la sautèrent sans arrêt jusqu'à 19 heures environ. Je me dis qu'elle allait avoir mal ce soir en la voyant grimacer alors qu'ils la préparaient à être enculée une nouvelle fois.

Elle essaya de plaider sa cause quand ils la retournèrent sur le lit. Elle les supplia de la laisser partir en leur disant que son mari serait bientôt à la maison. Elle était allongée sur le ventre, les fesses en l'air et la tête pendante.

L'un des gars commença à coller son membre dans son trou du cul exposé alors qu'un autre attrapait ses cheveux et relevait sa tête. Il ricana devant son visage tourné vers le haut.

- Tu rentreras chez toi salope quand nous t'aurons bien baisée. Pour le moment, prends ma bite dans ta bouche et suce bien.

Mes sentiments étaient partagés. Une part de moi était révoltée et l'autre part pensait que cette salope méritait bien ça, qu'elle l'avait voulu et qu'elle méritait de souffrir. Je vis sa tête se faire tirer d'un côté à l'autre pour essayer de satisfaire deux bites à la fois tandis qu'un autre mec entrait et sortait de son cul déjà bien sodomisé.

Le chef la menaça de fouetter son cul avec une fine tige. Il rigola en lui demandant comment elle expliquerait les marques sur son cul. Bien sûr, ma femme l'a supplié de ne pas le faire. L'homme a accepté, mais elle a dû s'humilier encore plus en léchant des couilles, des trous du cul, en les laissant faire ce qu'ils voulaient de dégradant. Ils lui dirent que c'était sa seule issue.

Quand je suis rentré chez moi ce soir-là, elle était déjà au lit. Elle m'expliqua avoir fait une chute et s'être blessée au bas du dos. Elle sentait mal. Je me dis qu'en fin de compte c'était bien et qu'elle allait stopper tout ça.

Le vendredi suivant, je pris un taxi pour me rendre dans la rue de cette maison. Il fallait que je me montre comme un vrai homme et que j'arrête ça.

Monique arriva, l'air abattue. Avant qu'elle ne sorte de sa voiture, j'apparus. Sus son visage s'afficha la surprise et le choc de me voir. Je la regardai et lui dit :

- Je sais tout sur le cinéma et sur cette maison. Je pense que nous devrions rentrer à la maison et en parler.

A suivre...

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