Texte de Patrick de Marseille.
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Ma femme est une jolie blonde aux yeux bleus, assez petite (1m60), pour 50 kg. Bien faite, elle a de beaux seins en trompette (85 B). Elle est plutôt réservée, mais son fantasme était que son patron, un homme BCBG d'environ 10 ans de plus qu'elle, la convoque a son bureau, et, pendant qu'il lui ordonnerait de prendre des notes, passerait sa main sous sa jupe, en l'obligeant à continuer à noter...
Je lui suggérai, le jour où elle me révéla ce fantasme, d'essayer d'inciter son patron à transformer ce fantasme en réalité. Elle parut étonnée de ma demande, mais je lui expliquai que cette situation m'exciterait beaucoup, de l'entendre me raconter ce qu'il lui ferait. La sentant excitée par ce projet, je me mis, à chaque fois que nous faisions l'amour, à lui proposer de penser que son patron la faisait venir à son bureau. A partir de ce moment, ses orgasmes furent plus forts, et je pris l'habitude de ponctuer le moment ou elle jouissait, de claques assez fortes, sur les fesses, qui augmentaient son plaisir de femme soumise.
Jolie comme elle est, je ne me faisais pas d'illusion : je savais bien qu'un jour prochain, elle se retrouverait avec la main de son patron dans la culotte. J'avais raison de ne pas me faire d'illusions, car, quelques semaines plus tard, je la croisai en voiture, près de chez nous, et, ouvrant la vitre, elle me montra sa culotte, en me disant avec un grand sourire : c'est mon patron qui me l'a enlevée ! Je lui demandai de me raconter, mais nous gênions la circulation, et je devais aller à une réunion. Nous convînmes alors qu'elle me dirait tout le soir même... Inutile de vous dire combien j'étais excité pendant ma réunion, et je fus de retour aussitôt celle ci terminée.
Je dus attendre que nos enfants soient couchés, pour qu'elle me raconte enfin : l'après midi, vers 17 heures, quand tout le monde avait quitté le bureau, son chef l'avait appelée, et lui avait demandé de lui apporter un dossier : debout près de lui, elle lui avait commenté le dossier, et avait senti la main du patron passer sous sa jupe, puis monter jusqu'à ses fesses. Elle n'avait pas bougé, le laissant faire, et, se sentant autorisé à continuer, son chef lui avait écarté le string, l'avait fouillée, doigtée, puis, n'y tenant plus, l'avait assise sur le bureau, lui avait remonté le chemisier au dessus des seins, les avait sortis du soutien gorge, l'avait embrassée à pleine bouche, lui avait remonté la jupe à la taille, l'avait déculottée, avait sorti sa queue, et l'avait prise, sur le bureau, sans capote.
Sans s'occuper de lui donner du plaisir, il l'avait pilonnée, profondément, et avait joui en elle, en la traitant de salope. Puis, sortant de sa chatte, il lui avait dit de se réajuster avant que la femme de ménage arrive. Ma femme était alors sortie du bureau, avec le sperme de son patron qui lui dégoulinait entre les cuisses, et, toute fière de son coup, avait pris sa voiture, pour me raconter ses exploits.
Je la félicitai chaleureusement, et, très excites tous les deux, nous fîmes l'amour sans qu'elle soit allée se doucher, et nous primes énormément de plaisir ensemble.
Je lui demandai alors de se laisser faire aussi souvent qu'il la sollicitait, et elle me promit de la faire... Depuis, son patron la prend de temps en temps, toujours sans se préoccuper du plaisir qu'elle prend : il jouit en elle, et lui demande de partir aussitôt. De temps en temps, il se fait sucer, et se finit dans sa chatte, mais le plus souvent, il l'enfile, elle sur le dos sur le bureau, les jambes remontées et lui la prend debout... il a un sperme abondant, qui ensuite, souille sa jupe ou sa robe, mais cela nous plait assez pour supporter ces petits inconvénients... Ce qui me plait énormément dans ce jeu, c'est qu'elle se soumet aux désirs de son patron.
J'ai alors eu envie d'aller plus loin, tout en lui demandant de continuer à accepter les assauts de son patron : je voulais pouvoir assister à ses ébats, ce qui est bien sur impossible quand elle est à son bureau.
J'ai un vieil ami, beaucoup plus vieux que nous (il a 62 ans, et elle en a 38), qui est un partouzeur acharné, et qui me raconte parfois ses exploits : je lui demandai récemment s’il aimerait baiser ma femme, qu'il connait un peu. Il me répondit sans hésiter qu’il la trouvait canon, et qu’il adorait son air de petite bourgeoise. Il ajouta qu'il serait très heureux de la baiser devant moi, et de transformer cette petite bourgeoise en petite pute. Ravi par cette perspective, je rentrai à la maison, et, une fois couché, je racontai à ma femme que je venais de montrer des photos d'elle nue, à mon ami Pierre, qui exerce d'importantes responsabilités dans une administration avec laquelle elle est en relation. Je la sentis un peu paniquée par cette révélation, et j'ajoutai que j'avais envie qu'elle se laisse faire s'il voulait la baiser, lui aussi.
D abord, elle refusa en me disant qu’il était trop vieux et qu’il ne lui plaisait pas. Je répondis alors que j'avais laissé les albums de photos à Pierre, ainsi que le numéro de téléphone de ma femme, et qu'il l'appellerait dans les jours à venir, pour lui dire ce qu'il attendait d'elle pour lui rendre ses photos.
Ma femme était furieuse, et refusa de faire l'amour avec moi ce soir là.
Le lendemain, Pierre m'appela pour me demander si j'avais parlé de lui à ma femme, et je lui racontai. Il rit, et me proposa de se faire inviter à dîner, un de ces soirs. Il ajouta qu'il ferait ses recommandations à ma femme directement, mais que j'avais intérêt à monter le chauffage si je ne voulais pas qu'elle attrape froid. Nous raccrochâmes en riant, et j'attendis la suite.
Cela ne se fit pas attendre : le soir même, ma femme me dit que Pierre l'avait appelée, et qu'il venait dîner le lendemain, puisque nos enfants étaient chez leurs Grands-Parents. Elle était stressée, et me dit qu'il voulait qu'elle le reçoive habillée seulement de bas et d'un porte jarretelles, de chaussures à talons, et d'un haut en voile transparent, sans aucun sous-vêtement, et qu'elle ait le sexe entièrement épilé. Il devait arriver quand elle serait encore seule à la maison, une heure avant mon retour, et qu'elle devrait se comporter avec lui comme une soumise parfaitement obéissante. Il voulait qu'elle prépare un dîner fin, et qu'elle nous serve, sans que nous participions en aucune façon au service : il voulait être traité comme un seigneur. Il avait ajouté qu'elle n'avait de toutes façons pas le choix, car les photos qu'il avait intéresseraient probablement un ou deux de ses collaborateurs avec qui son travail la mettait en relation quotidiennement.
Ma femme semblait furieuse, mais elle ne fit rien pour se soustraire à cette situation. Le lendemain, elle posa une demi-journée de congé, pour pouvoir préparer le repas commandé par mon ami, et se rendit chez son esthéticienne qui lui fit une épilation totale.
Mon ami m'appela le matin pour prendre des nouvelles : je lui racontai la mauvaise humeur de ma femme, mais aussi qu'elle avait accepté la situation. Il me confirma qu'il serait chez moi vers 18 heures, et me demanda de ne pas rentrer avant 19 heures, car il voulait que ma femme se laisse prendre en mains. J'étais si excité que je lui confirmai mon accord sans réserve, en lui donnant carte blanche : il pouvait faire absolument tout ce qui lui passait par la tête.
Le soir venu, j'eus beaucoup de mal à attendre 19 heures pour rentrer. Je me garai un peu plus tôt, assez loin de la maison, et m'approchai suffisamment pour voir la voiture de mon ami, rangée à côté de celle de ma femme.
La nuit était tombée, et j'essayais de m'approcher de la maison, mais je ne vis presque rien. J'aperçus seulement une fois ma femme qui passait dans le couloir de l'entrée, habillée comme le lui avait demandé mon ami : ses fesses, ses seins étaient parfaitement visibles au travers de son haut en voile noir, et elle portait un plateau sur lequel elle avait disposé deux verres.
À 19 heures tapantes, j'ouvris la porte doucement, espérant les surprendre. La vision de ma femme, à 4 pattes, devant mon ami, qui contemplait son cul, ses fesses écartées, ses seins, tout en me faisant signe d'approcher, suffit à me faire bander immédiatement comme un âne !
Pierre me sourit, et, tout en enfonçant un ou deux doigts dans la chatte de ma femme, me souhaita la bienvenue chez moi. Il me déclara que ma femme était une hôtesse délicieuse, et qu'elle lui avait donné une douche, qui l'avait délassé, puis avait soulagé sa tension en lui faisant une fellation délicieuse, qu'il avait appréciée au point de permettre à ma femme d'avaler sa précieuse semence, ce qu'elle avait fait avec application. Il attendait maintenant mon retour, avant de se faire servir un apéritif.
Ma femme se releva, à sa demande, et nous servit un whisky, qu'elle nous apporta en silence. Ensuite, il me montra la souplesse incroyable de ma femme, en lui demandant de se pencher devant lui : ma femme prit alors ses jambes dans ses bras, lui montrant son anus et son sexe épilés, à hauteur de ses yeux. Amusé, il lui enfonça un glaçon dans son petit trou, en l'obligeant à rester dans cette position.
Il était seulement vêtu d'un slip, et l'enleva alors. il prit ma femme par la main, l'allongea dans un fauteuil, lui releva les jambes en les passant sur ses épaules, et, après avoir pris un peu de sa cyprine sur son sexe, présenta sa verge sur l'anus de ma femme, soigneusement enduit. Sans effort, il entra en elle, et je vis, pour la première fois, ma femme se faire sodomiser. Il entrait en elle complètement. Elle grimaça un peu, puis se détendit, et il commença alors des allées et venues en elle. Ses seins bougeaient au rythme de ses coups de bélier, et elle gémissait à chaque fois qu'il s'enfonçait. Pour faire glisser mieux la peau de sa verge dans l'anus de ma femme, il fit couler un peu de salive : il crachait sur ce cul écarté et l'enculait pour la première fois. J'étais aux anges.
Ma femme gardait presque toujours les yeux clos, mais, parfois, les ouvrait, et souriait de nous voir aussi excités.
Lorsqu'il sentit qu'il allait jouir, Pierre accéléra sa cadence, et traita ma femme de belle salope, tout en lui déchargeant son sperme dans le cul. Elle souriait en le regardant jouir, et semblait prendre du plaisir à le soulager.
Pour un sexagénaire, il était plutôt performant : 2 éjaculations en 2 heures !
Il sortit du derrière de ma femme, et essuya son sexe sur la chatte toute lisse. il lui donna une claque aux fesses, et lui ordonna de nous servir à manger.
Elle allait aller se rafraichir, quand il la rappela en lui disant :
- "Si je veux que tu ailles te laver, je te le dirai. Pour le moment, je veux que tu restes comme ça : pas d'initiative, ma petite salope, tu fais ce que je te demande. Compris ?"
Elle était un peu vexée, et le prit de haut :
- "Je veux bien jouer un peu, mais il y a des limites : je ne vais pas demander l'autorisation pour aller aux toilettes, quand même !"
Mon ami lui prit alors le bras, et l'attira contre lui. Elle était debout, et entre ses jambes ouvertes. Lui, assis, lui tenait le poignet. Je ne m'y attendais pas : il lui tordit le poignet, l'obligeant à se pencher en avant. Elle se retrouva en position allongée sur son genou gauche. Sans desserrer l'étreinte du bras, de son autre main, il la releva, pour la faire passer sur l'autre jambe aussi, et la bloqua dans cette position. Alors, il lui asséna une très forte fessée, qui la fit crier. Après une quinzaine de claques très fortes, qui lui avaient boursouflé les fesses, elle criait, et voulait qu'il arrête. Il arrêta alors et lui dit :
- "Je veux que tu me demandes la permission pour tout, et tu m'appelles maître, pour me parler. Tu as compris ?".
Ma femme se rendit immédiatement, et lui dit :
- "Oui !"
Une autre claque lui rappela qu'elle devait dire "Maître".
- "Oui, Maître" dit elle entre deux sanglots.
Pierre caressa alors les fesses rougies, et enfila 2 doigts dans sa chatte : il me montra la cyprine qui s'était déposée sur ses doigts, et d'un clin d'œil, me fit comprendre que ma femme était excitée d'être traitée avec brutalité par un homme dominateur.
A partir de ce moment, Pierre se fit servir, attrapa ma femme par les cheveux pour l'embrasser ou se faire sucer. Il la prit sur ses genoux pour lui caresser les seins, pour lui rouler des pelles, lui doigter la chatte ou l'anus.
Après le dîner, il ordonna à ma femme de débarrasser la table et de ranger la cuisine, puis il lui ordonna de sortir la poubelle dans la tenue ou elle était. Nous habitons dans une impasse, et je n'étais pas inquiet qu'elle soit vue par les voisins, couchés à cette heure là.
Mais cela me plaisait que Pierre la traite ainsi, et la fasse sortir de la maison, de son cocon protecteur. Il me dit à l'oreille qu'il sortait la chienne.
Il l'accompagna, et me fit signe de regarder par la fenêtre : elle portait la poubelle et il la tenait par la main. Il avait relevé le haut en voile, et elle marchait, les fesses nues, à la lueur du réverbère. Sous le halo de lumière, je la vis se baisser, puis se mettre à 4 pattes. Je n'en revenais pas : il lui faisait faire ses besoins devant lui, dehors, à 4 pattes comme une chienne. Elle qui d'habitude s'enfermait pour aller aux toilettes, était en train de pisser devant mon ami, dans une posture de soumission humiliante. Il souriait en me faisant signe qu'il était ravi.
Moi, j'étais stupéfait. Et je bandais encore. Je n'avais pas joui de la soirée, me tenant un peu à l'écart de mon ami, et de ma femme, ne manquant rien du spectacle.
Quand elle eut fini son pipi du soir, je la vis s'essuyer de la main, et, alors que je pensais qu'ils allaient rentrer, je les vis partir, s'éloignant vers l'entrée de l'impasse.
Je sortis à mon tour de la maison, pour continuer à regarder : ma femme avançait, retroussée jusqu'à la taille. Ses fesses nues faisaient une tache claire dans la nuit. Il faisait frais. Mon ami la tenait par la main. Au loin, on apercevait d'autres réverbères, devant d'autres maisons. Pas de voitures.
Mon ami s'arrêta, et me fit signe de le rejoindre. Ma femme avançait seule, devant nous.
- "Tu as une salope parfaite", me dit Pierre. "J’en fais ce que je veux. Tu me la prêtes pour la nuit ? Je voudrais la ramener chez moi, dans cette tenue, et demain matin je te la fais déposer devant la porte. Je branche la webcam, et on se connecte sur skype : tu vois tout, mais elle ne le sait pas. Je voudrais la baiser encore une fois ou deux, et si je peux, j'appelle un ami qui bosse avec moi, et qui la connait par son boulot, pour qu'il vienne prendre le petit déjeuner avec nous. Je pense que s’il la voit dans cette tenue, elle ne pourra rien lui refuser... S’il est dispo, je la lui fais baiser, et c'est lui qui la ramènera demain matin. Qu’en penses-tu ?"
Je lui donnais immédiatement mon accord. Pierre rappela ma femme, qui revint vers nous et il lui apprit la suite du programme :
- "Je t'amène à la maison. Ton mari te prête pour la nuit. Pas besoin de prendre tes affaires : tu restes comme ça. Demain matin tu auras le temps de venir te préparer avant d'aller au bureau. Embrasse ton mari, et va m'attendre à 4 pattes près de la voiture".
Ma femme me tendit ses lèvres, et en lui malaxant les seins, je lui dis d'être bien obéissante. Elle acquiesça sans un mot, puis s'éloigna et alla se mettre à 4 pattes près de la voiture de Pierre.
Je demandai à Pierre de ne pas oublier de brancher Skype, et lui souhaitai bonne nuit. je lui déclarai que j'allais me branler en les regardant.
Pierre me demanda si j'acceptais que son collègue la baise aussi sans capote. Il me précisa qu'il est clean.
- "Au contraire, lui dis-je, ça m'excite de la voir pleine de foutre"
Avant de retourner près de ma femme, Pierre appela son collègue sur son portable :
- "Tu es seul ? Ça te dirait de baiser Murielle, tu sais la secrétaire de Gilles F ? Oui, elle est complètement soumise. Son mari me la prête. Mais je te préviens, on branche la webcam pour qu'il mate. Elle n'est pas prévenue que tu seras là. Ça va lui faire une surprise ! Tu vas voir, elle est épilée, un vrai petit lot ! Va chez moi, et attends nous : on sera là dans une demi-heure. Branche la web cam, et allume les lumières de l'appart. Tu vas voir, ça va être mignon dans l'ascenseur : elle est quasiment à poil. Quand l'appart est prêt, attends nous dans le parking sous-terrain : cache toi, elle ne saura pas où se mettre quand elle va te reconnaître."
J'étais super excité, et un peu inquiet à l'idée de mettre ma femme dans cette situation, mais surtout super excité !
Je dus attendre plus d'une demi heure, pour les voir arriver, par la web cam, dans la chambre de Pierre. Ma femme était complètement nue maintenant, et je vis un inconnu lui bouffer la chatte pendant que Pierre se faisait sucer. Elle fermait les yeux, mais son bassin ondoyait et ses fesses se crispaient. Puis, l'inconnu quitta le sexe de ma femme, pour à son tour, donner sa queue à sucer à ma femme. Pierre installa ma femme en levrette, et entreprit de la baiser pendant qu'elle s'appliquait sur la queue de l'autre.
Je pense qu'ils jouirent ensemble, car je les vis se crisper, et s'immobiliser, l'un dans la bouche de Murielle, et l'autre dans son sexe. Du sperme s'écoulait maintenant de sa bouche.
Je vis Pierre s'allonger : il semblait fatigué, et s'apprêtait à dormir, laissant ma femme rassasier son ami. Lui, n'avait joui qu'une fois, et semblait prêt à d'autres exploits. il n'avait pas quitté la bouche de ma femme, et lui tenait la tête pour la baiser par la bouche.
Je n'avais pas de son, mais j'ai joui enfin, à longs jets, en la regardant subir une gorge profonde, loin de moi.
Pierre s'endormait, et son collègue s'amusa à amener le visage de ma femme sur la queue de mon ami, enfin ramollie. Murielle était à 4 pattes, et son cul était en premier plan, grâce à la caméra bien placée. L’inconnu lui claquait les fesses, la tripotait, la doigtait. Elle subissait tout.
Je vis encore l'inconnu la sodomiser, après lui avoir enduit le cul de pommade. Probablement de la vaseline. Il s'enfonça en elle jusqu'au bout de sa queue, et défonça ma femme avec entrain. Il jouit encore en elle.
Je m'endormis probablement à peu près en même temps qu'eux, et fus réveillé par ma femme, qui rentrait à la maison, toujours dans la même tenue, accompagnée par le collègue de mon ami, qui voulut faire ma connaissance, et me déclara qu'ils étaient convenus, Pierre et lui, de voir Murielle une à deux fois par semaine, si j'étais d'accord.
Je lui donnai mon accord. Murielle demanda ce qu'elle ferait quand elle aurait ses règles :
- "tu nous donneras ta bouche, et ton cul" lui répondit son nouvel amant.
- "Et en attendant, va prendre une douche, et habille toi : je t'amène au boulot. Ne mets pas de slip, désormais c'est inutile. Et rappelle toi : si tu désobéis, je te grille à ton boulot"
Ma femme lui répondit :
- "Je sais, je ne désobéirai pas".
Pierre me rappela dans la journée, pour me demander ce que j'avais pensé de la soirée. Je lui confirmai que j'étais super content, et que ma femme était à sa disposition, quand et où il voulait.
C’était la nuit dernière. Je suis certain qu'il y en aura d'autres. Et je l'espère. Ma femme est au bureau en ce moment : je ne sais pas si son patron va passer sa main sous sa jupe, mais, s’il le fait, il aura la surprise de la trouver le cul nu.
FIN.
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