dimanche 28 octobre 2018

Margot est une salope Ch.06

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Ma mère se prostitue.

Quelques mois se sont écoulés depuis les dernières frasques de Margot. Pendant ce laps de temps, je me suis trouvé une copine et j’ai décroché quelques temps de Marguerite. Hélas, ma copine et moi nous sommes disputés au sujet d’une broutille et nous voici séparés. Du côté de Margot, elle vaque à ses occupations à savoir, ses cours de français et ceux de danse du jeudi soir.

J’avais donc laissé tomber petit à petit mes perversions sur elle et mon chantage mais depuis peu, je suis en manque de sexe et étant redevenu célibataire, me voici contraint d’assouvir mes perversions via le net. Je reste plus chez moi et je sors moins, bossant et surfant sur des sites pornos. Je remarque aussi que ma mère rentre très tard certains jours de la semaine : Le mercredi et le Jeudi. C’est à ce moment que je commence me poser des questions et surtout celle-là : A-t-elle un nouvel amant ?

Mercredi soir, je sors chez des potes faire la fête. Il est prévu que je reste dormir là-bas mais la copine d’un ami propose de me déposer vu qu’elle n’a pas bu. Arrivé dans ma cité, je me mets à marcher en titubant un peu à cause de l’effet des nombreuses vodkas que j’ai sifflé. Je connais l’endroit et pas besoin de réfléchir pour retrouver mon chemin. J’utilise l’ascenseur et me voilà en face de la porte de l’appartement.

Afin de pas déranger ma mère en train de dormir, je ne fais pas de bruit pour ouvrir la porte. En pénétrant à l’intérieur, j’entends de la musique en bruit de fond et des cris ou plutôt des gémissements répétés, le bruit régulier des ressorts d’un lit. Ça vient de la chambre de ma mère.

J’avance à petits pas en essayant de faire le moins de bruit possible et c’est là que je découvre le pot au rose. Sur le lit, je vois allongé un homme. Il est habillé et son pantalon est baissé. Il est en train de faire des va et vient sur une femme nue avec des seins énormes. Cette femme, il ne me faut pas longtemps pour le reconnaître. C’est ma mère, Margot.

Ils ne m’ont pas vu, trop occupé à leur plaisir. L’homme émet des grognements en même temps qu’il la baise tandis que ma mère, gémissante, écarte largement ses cuisses musclées pour l’accueillir. Elle serre le dos de l’homme avec ses mains. L’inconnu malaxe l’opulente poitrine tout en la baisant. C’est brutal car l’homme la bourre à grand coups de bite. Je vois le visage de maman, la bouche ouverte et les yeux fermés. Au bout d’une bonne minute, elle s’aperçoit de ma présence et écarte les yeux stupéfaite :

- Eeeh, dis donc Sylvain !

L’homme se retourne vers moi en faisant la moue. Il est brun, le teint mat, mal rasé et environ la trentaine. Il ne dit rien et remonte son froc lentement.

- Je croyais que tu devais dormir chez tes amis.

- Désolé maman, mais je pensais pas te déranger.

Agacée, ma mère s ‘assoit mollement sur le lit. Elle est ruisselante de sueur. L’homme sort un paquet de cigarettes sans rien dire et lui en propose une ainsi qu’à moi.

- Merci, je ne fume pas.

Ma mère s’empare de la cigarette et l’allume. Depuis peu, elle fume à bloc et boit beaucoup. La cigarette aux lèvres, elle se lève, toujours à poil et file à au salon pour se servir un verre de whisky. En se déplaçant, ses seins lourds bougent mollement et on reste à fixer sa chatte et son cul. L’homme me regarde et me dit :

- T’as de la chance d’avoir une mère comme ça. Une vraie salope avec un corps de pute. Tu l’as déjà baisé ?

- Oui !

- Ça ne m’étonne pas. Ton père il sait pour ta mère ? Je veux dire qu’elle le fait cocu à fond ? Que c’est une véritable salope ?

- Non et heureusement.

- Oui, il faut garder le secret et tu peux éventuellement la faire chanter avec ça.

- C’est déjà fait.

- Héhé ! T’es un sacré pervers toi, dis donc. Faire chanter sa mère pour la baiser. On va pouvoir s’entendre.

Je suis comme attiré par ce gars que je ne connais pas. Maintenant, je sais qu’avec lui, on va pouvoir bien s’éclater. Ma mère, encore nue, s’est vautrée dans le canapé du salon, buvant et fumant à volonté. On discute un peu de cul et sur nos préférences. On a un point commun : les gros nibards et lui aime bien les femmes noires. Il dit qu’il a connu Margot par un copain à lui dont la copine assistait au cours de danse.

- Je crois que sa paire de nibards fait son succès à ta mère ! Tu ne peux pas t’imaginer le nombre de mecs qui voudraient se la faire.

- Pas besoin de l’imaginer, j’ai déjà vu leur regard quand je l’accompagne des fois à son cours.

On la regarde en train de finir son verre et sa clope. Elle se retourne et nous voit la mater. On se lève et on la rejoint. Dylan, c’est son prénom, se glisse entre ses cuisses et moi derrière elle. Je place mes mains sur ses gros melons tandis que mon nouveau pote lui broute le minou. Elle se laisse faire avec plaisir, heureuse de pouvoir remettre ça mais avec deux hommes maintenant et en plus l’un des deux est son propre fils. La langue de Dylan est bien habile et s’introduit dans le sexe béant et humide de Margot qui écarte un maximum les cuisses. Moi, je suis derrière elle, palpant sa grosse poitrine. Stimulée, elle finit par émettre des gémissements de bonheur. Chaque sein est énorme et je m’en rends compte en les soulevant. Dylan, tout en fouillant la chatte fournie de ma mère, monte une main tentant de peloter un des gros melons. Il place les deux jambes de maman sur ses épaules et finit par lui lécher le nombril. La tête renversée, instinctivement, ma mère me roule une pelle de chienne en chaleur. Son haleine n’est pas top à cause du mélange tabac et alcool mais elle compense par sa technique. Sa langue s’enroule autour de la mienne. On sent le plaisir dans son regard. Sa langue fouille ma bouche ; cette même langue qui a léché les glands, taillé des pipes à de nombreuses occasions. On continue à la palper ainsi pendant un temps. Enfin de compte, on finit par la baiser à deux puis chacun son tour pour le reste de la nuit.

Le lendemain, ma mère part quand même dispenser ses cours de français mais avec une tête fatiguée que même le maquillage outrancier a du mal à masquer. En plus de ça quelques nausées due à l’alcool. Mais elle a pris soin de mettre une belle chemise blanche, classe et une jupe noire style secrétaire, des bas transparents et des mules. Malgré le sous tif, ça bouge dur dans la chemise. Ses élèves peuvent aisément deviner la taille de sa poitrine opulente par les formes qui ressortent de sa chemise. A ce propos, je pense qu’ils doivent être nombreux à se branler en pensant à elle.

Dylan fouille dans son sac et en sort un débardeur magnifique noir avec de petites bretelles. Il est brodé et moulant. Mais lorsqu’il le déplie entièrement, on voit que le décolleté est gigantesque et que le débardeur, laisse apparaître le ventre de celle qui le porte, un peu comme un body. Maman et moi, restons les yeux rivés sur ce débardeur qui se résume finalement à un magnifique bout de tissu fin noir, ce tissu ne servant qu’à cacher la poitrine de la femme voulant le porter. Pour finir, et devant ma mère stupéfaite, il sort une mini-jupe et une paire de sandales noires, très très fines. Il pose le tout doucement sur la table du petit salon.

- Voilà, c’est pour toi Margot. Tu vois que je pense à toi.

- Dylan, je suis contente mais tu comprends que je ne peux pas porter ça à l’extérieur.

- Tu fais ce que tu veux mais bon, je connais d’autres femmes qui le feront et qui n’attendent que moi.

- Quoi ? Tu me quitterais pour ça ?

- Je veux bien te faire plaisir mais toi tu ne veux pas.

Je prends Dylan à part, un peu en colère.

- Putain, tu fais du chantage à ma mère !

- Oui, et toi je te fais une proposition. Je connais une copine noire avec de gros seins. Une baiseuse sénégalaise.

- Et ?

- Je te branche avec si tu demandes à ta mère de porter ça.

- Attends, c’est trop exagéré ! C’est sûr que c’est top bandant mais ?

- A toi de voir ! Mais pense à Sonia : c’est son nom. Sa poitrine est presque aussi grosse que celle de ta mère et en plus, c’est une superbe noire.

- Tu fais chier Dylan ! Mais de toute façon, maman refusera.

- A toi de jouer ! Pense à Sonia, c’est tout

Il rit car il devine bien mon envie de rencontrer cette fameuse Sonia. Depuis le temps que je rêve de faire l’amour à une noire avec de gros seins, l’occasion est trop évidente.

Le mercredi suivant, Dylan propose d’aller en boite y rejoindre des potes à lui. Il tient une fois de plus à ce que Margot s’habille avec la petite tenue qui lui a offerte. Mais même maman avait ses limites en termes de provocations. Cette mini-jupe était vraiment trop courte et trop moulante. Ce n’est pas le fait de la mettre qui la gêne mais surtout par rapport aux autres dans la rue. A ma connaissance, je n’ai jamais vu de filles mettre ça en ville et j’ajoute même que les rares prostituées que j’ai pu observer ne sont pas habillée aussi court.

- Je ne suis pas d’accord pour que maman mette ça non plus ! Il y’a une différence entre sexy et provocation. Qu’elle le mette ici c’est bon mais pas dehors, merde.

- Je comprends que tu ne veuilles pas qu’il arrive des problèmes à Margot mais bon, si on y va en voiture, c’est bon.

- Non, Dylan, ici, c’est chaud et je ne veux pas non plus qu’on me voit comme ça. Et même en boite, ce n’est pas décent. Je n’ai pas envie de passer pour une espèce de pute. Sans compter que je risque de tomber sur des élèves à moi.

Je ne dis rien mais je n’en pense pas moins. Margot a déjà une sale réputation dans la cité, en plus elle est prof. Mais je sais que Dylan, considère déjà ma mère comme une pute et que ses réticences ne lui font rien du tout. Dylan est contrarié et me reparle de l’opportunité de baiser Sonia, la sénégalaise. Sa façon de la décrire est vraiment excitante et il me fait vraiment envie. Mais accepter un tel marché, c’est aussi risquer de provoquer des embrouilles pour ma mère, et de grosses embrouilles. On décide d’annuler la sortie pour cette semaine mais je dis à Dylan que je vais réfléchir à une solution.

Comme d’habitude, ma mère et moi rentrons à la maison de campagne rejoindre mon père. Encore un dîner de famille avec ma tata, mon oncle et mes grands-parents. Chaque fois, c’est la honte vis à vis d’eux de les regarder comme ça sachant les perversions que ma mère et moi effectuons. Une honte mais aussi une espèce de plaisir pervers de briser les tabous. Ah, s’ils savaient que Margot, qui parle si bien à table et qui se comporte bien avec eux est une véritable salope.

Le samedi soir, je sors avec de vieux amis en boite. Ma mère reste avec mon père. Peut-être baisent- ils ? En tous cas, nous, on ne fait pas grand-chose à part consommer des alcools fort hors de prix. On rentre vers deux heures. Je passe le reste de la nuit à calculer la proposition de Dylan. J’entends du bruit dans la cuisine. Je me lève. C’est maman qui est en nuisette transparente. On voit tout à travers. Elle va au bar se verser sa ration d’alcool. Je crois bien qu’elle devient alcoolique petit à petit. Elle me voit.

- Alors, Sylvain, ta soirée ?

-Bof et toi ? Tu as baisé avec papa ?

- Chut Sylvain, ça ne va pas. Ne parle pas si fort. On a fait l’amour mais bon, ce n’était pas le top.

- C’est à dire ?

- Eh bien ça dure dix minutes, voilà.

Je n’en revenais pas. Mon père avait une femme superbe et bandante et il la baisait à peine. Je prends un verre de whisky aussi et le vide cul sec. Puis je fixe la grosse poitrine de ma mère dont on devine la pointe des seins et les auréoles sombres. On voit aussi sa chatte sombre à travers la nuisette. Je plaque mes mains sur ses deux gros seins.

- Sylvain, non pas ici, tu es fou, ton père, il dort en haut.

Elle tente de me repousser mais je suis trop excité, j’arrache même le décolleté de sa nuisette pour en extraire un des énormes seins. Je la soulève et la pose sur la table en soulevant le bas de la nuisette pour avoir accès à sa chatte. Elle résiste un peu, la peur d’être surprise en flagrant délit d’inceste par mon père. Mais je finis par la pénétrer. La situation est si excitante que je la bourre comme un animal sur la table de la cuisine. Ça fait du bruit car la table bouge en même temps que je fais des va et viens. Rapidement, elle gémit et s’abandonne totalement, les pattes écartées. Je sens que je vais me lâcher alors je me retire d’elle. Je lui enlève sa nuisette comme on ferait à une poupée et je la jette. Je la retourne alors et lui écarte les jambes. Je la sodomise sans lubrifier mais à quoi bon. Son anus a suffisamment été pénétré pour supporter ça. Là, je la bourre à nouveau par le cul. Ses seins sont aplatis sur la table mais ils sont si gros qu’on a l’impression que ma mère se trouve sur un coussin et qu’elle rebondit dessus. Là, elle gémit. Dire que je baise maman, à poil sur la table de la cuisine, dans la maison familiale. Mon bonheur est de courte durée car je finis par juter en elle, remplissant son cul de sperme. Quel bonheur. Je me lâche jusqu’à la dernière goutte. Je me refroque et aide ma mère à se relever. Elle est à poil. Son cul dégoulinant de sperme. Elle remet sa nuisette et file se coucher. Les couilles vidées, je rejoins ma chambre aussi.

Le lendemain, on retourne à la cité. On discute de la soirée dans la voiture.

- Ecoute Sylvain, ne refais plus jamais ça dans la maison de campagne.

- Bof, on n’a pas fait trop de bruit.

- Si ton père se réveille tu imagines les conséquences.

- Oui, m’an je sais mais j’avais trop envie de baiser.

- Eh bien retiens toi un peu et je ne suis pas à ta disposition pour que tu te vide les couilles sans arrêt. Retrouve-toi une copine.

Je ne réponds rien mais une fois arrivé à l’appart, je ferme la porte.

- A poil, maintenant !

- Quoi ?

- A poil, n’oublie pas le chantage.

- Sylvain, arrête ça. J’ai des copies à corriger pour demain.

- Bon, tant pis, je vais diffuser tes exploits sur le net.

- Non, non, sylvain, non !

- Alors à poil.

Ma mère ôte ses fringues une à une. Elle se retrouve en sous-vêtements.

- Garde ton string mais enlève ton soutien-gorge que je puisse voir tes gros seins à ma guise.

Elle s’exécute. Montrer ses seins ne la gêne plus.

- Voilà, tu restes comme ça tout ce soir et soit prête à me satisfaire si j’ai envie de me vider les couilles.

Elle part corriger ses copies avec pour seul vêtement, son string. Si ses élèves savaient, plus d’un seraient heureux de voir la scène. C’est vers 22H00 que j’ai une soudaine envie de baiser. Je la prends par derrière sur son bureau, ses gros seins plaqués contre les copies. Surprise car elle était concentrée, je la sens réticente. Je lui baisse son string et me met à la pénétrer. Mon excitation est extrême et le bureau bouge sous mes coups de sexe. Ses seins énormes frottent contre les copies pendant que je la bourre. Désireux qu’elle me suce, j’enfourne alors ma bite dans sa bouche et dans l’excitation, je lui jute en plein visage. Hélas, du sperme éclabousse les copies ce qui met fin à notre baise. En colère, elle me repousse.

- C’est pas vrai, du sperme sur mes copies.

Déjà, les encres se diluent avec mon foutre. Le visage tout gluant, elle se met machinalement à essuyer les copies. Je file à ma chambre en laissant ma mère se débrouiller avec ça. Je me demande quelles excuses elle donnera à ses élèves.

Le lendemain, je décide de sécher les cours et je reçois un appel de Dylan. On se donne rendez-vous dans un café. Je fais plus connaissance avec lui. Il est chômeur et donc passe son temps à baiser ses amantes en journée. La plupart du temps, ce sont des femmes mariées, mères au foyer qui s’ennuient chez elle. Leur mari étant au travail et leurs enfants à l’école, elles se trouvent des amants par internet. C’est comme ça qu’il les rencontre. Ce gars est vraiment un pervers baisant des femmes de 20 à 60 balais. Il m’avoue que ma mère est l’un des meilleurs coups qu’il ait eu et qu’il pense aller très loin avec elle. Je lui raconte aussi mes histoires avec elle et ce qu’elle m’a dit sur son passé.

- Elle me l’a raconté aussi. Une vraie salope. C’est vrai aussi qu’elle a failli tomber enceinte avec des militaires ?

- Elle m’a dit aussi et qu’avant, elle prenait pas trop ses précautions et effectivement elle a failli tomber enceinte plusieurs fois.

- Eh ben, une vraie chaudasse ! Au fait t’as réfléchi alors ?

- Ouais, je suis d’accord mais faudra la convaincre elle.

- Force la avec ton chantage.

- C’est vrai, je n’y avais pas pensé. On va la voir et lui mettre la pression à deux.

- C’est bien, si ça marche, je te fais baiser avec Sonia.

- Par contre je ne sais pas ce que tu veux faire. L’exhiber en boite, c’est assez banal finalement et la plupart des filles sont fringuées sexy.

- Toi, tu ne dois penser qu’à Sonia.

Le soir, on attend ma mère , vautrés sur le canapé. On lui explique le topo.

- Bande de salauds ! j’en ai marre de cette situation. Eh ben, ok, je vais le faire ! Hein, Sylvain, tu es content que ta mère ressemble à une pute, eh bien je vais le faire. Voilà.

Elle va s’envoyer un verre et file à sa chambre. On fixe le rendez-vous le mercredi soir. Dylan passe directement à l’appart habillé pour faire la fête, jean moulant, tee-shirt blanc. Ma mère s’est enfermée dans la salle de bain et se prépare. Elle en ressort au bout d’un quart d’heure mais ça valait le coup d’attendre. On reste à la regarder en silence, la bave aux lèvres. Attifée de la sorte, ma mère à l’air d’une vraie pute.

- Alors, vous êtes contents ?

On regarde Margot, cette femme mature de 44 ans, au visage méditerranéen et le teint mat, maquillée comme une pute avec ses cheveux mi longs et noirs qui descendent au niveau des épaules. Son corps est un appel au sexe cru. Son débardeur noir avec de petite bretelles lui va à merveille sauf que ses seins sont si énormes que l’on se demande comment de si petites bretelles peuvent tenir une telle paire de loche. Le décolleté est gigantesque et limite raisonnable. Elle n’a pas mis de soutien-gorge et donc, ses gros seins sont soumis à la gravité et pendent mollement. Le bout de ses tétons déforme le tissu et pointe vers le bas. Son ventre est à nu. L’âge lui a fait prendre un peu de ventre mais ça reste honnête car avec la danse, elle a su garder la ligne. Sa mini-jupe est incroyablement moulante comme si Dylan l’avait pris taille en dessous. Comme elle a un string, on dirait que chaque fesse est moulée. La mini-jupe est à ras la chatte et on peut voir les longues jambes nues et musclées dont les mollets sont mis en valeur par les talons aiguilles de ses sandales fines.

On a très envie de la baiser là, mais on se retient et je sens que Dylan a une idée derrière la tête. J’ai une gaule d’enfer et en plus je me mets à penser à ma récompense : Sonia la noire. Je demande à ce que maman porte une veste pour éviter les embrouilles avec la cité où on habite. En regardant Dylan, j’ai l’impression qu’il s’en fout que ma mère risque le viol et qu’il serait content. Mais obsédé par Sonia, je laisse tomber. On finit par sortir sans problème. Le manteau est long et on passe inaperçu. Par contre, Dylan nous conduit dans une boite louche. Elle est en sous-sol déjà et rien n’indique que ça en est une. En bas, c’est enfumé, bourré de monde. On se trouve un coin et Dylan va commander et revient. Ma mère enlève sa veste et c’est l’effet immédiat.

- Je me sens mal, là. J’ai l’impression d’être une proie pour des pervers.

- Mais non Margot.

Dylan voit que je commence à pas être trop ok. Et il s’éclipse puis revient avec une noire plantureuse.
- Voilà Sonia.

Je reste muet devant cette noire aux gros seins. Habillée un peu comme maman, mais en moins court, elle est terriblement excitante. Avec un accent africain, elle nous dit bonjour. Les cheveux tressés et teint en blond, sa bouche semble vraiment insatiable. Je reste fixé sur ses lèvres. Nous restons à discuter. Les verres se succèdent, l’ambiance s’échauffe. Ma mère commence à rire bêtement et Dylan, malin comme un pou, l’emmène danser. Sonia alors me fait du pied et m’invite à aller à côté, un couloir avec des chambres cote à cote. Je comprends tout de suite. Sonia est une pute. Mais bon, rien à foutre et tant mieux. Elle me met la main sur mon sexe après avoir commencé à déboutonner mon pantalon. Puis elle m’entraîne au fond, son lieu de travail. Elle vire son sous tif et me pousse sur le lit. Là, après m’avoir grimpé dessus, elle me fouette le visage avec ses gros seins noirs en riant. Elle sort mon sexe gonflé à bloc. Je ne fais rien, c’est elle qui fait son truc. En vraie pro, elle me suce le gland après l’avoir soigneusement décalotté. Entre deux suçages, on se tape un verre de whisky et rapidement je suis saoul. Elle me pompe le dard et je reste là, à me faire sucer par une pute, à la merci de son professionnalisme. J’en profite pour masser se seins noirs aux tétons démesurés. Elle finit alors par s’empaler sur mon sexe et à faire des va et vient en gémissant. Saoul et trop excité, je jute rapidement, en déchargeant tout ce que j’ai. Puis trop crevé, je finis par m’endormir, la bite à l’air.

Il doit être dix heures quand je me réveille. Sonia n’est pas là. Je me refroque et vais au bar. Les chambres sont occupées. J’entends des rires venant du bar. Là je vois Dylan et trois nanas dont Sonia. Ils m’invitent à prendre un verre. Sonia me paraît un peu plus grosse que hier. Je devais être bien allumé.

- Alors, il paraît que Sonia s’est bien occupée de toi ?

Je souris et elle rit fortement.

- Oui.

Je demande un café.

- Au fait, où est maman ?

- Elle doit être dans une des chambres à dormir.

- Quoi ?

- Ta mère, c’est une vraie pro.

Ils rient tous.

- C’est quoi cette histoire ?

- Ben disons que je sais pas ce qu’il lui a pris mais elle a voulu faire la pute hier.

- Ma mère, faire la pute ? C’est toi qui monté le coup, je suis sûr.

- Demande aux filles !

Elles acquiescent. Quelques épaves sortent des chambres. Les filles rient. Je crois que je suis tombé sur une espèce de bar à putes pas très légal. Au bout d’une heure, ma mère émerge, détruite.

- Dylan, espèce de Salaud, tu m’as prostitué !

- Non, c’est toi qui est allé de ton plein gré.

Elle me regarde et je pense que Dylan ment. Mais comment le prouver.

- La preuve, j’ai ton fric.

Il sort les billets. On se demande combien de mecs sont passés sur ma mère vu la somme. Ma mère s’empare des billets.

- Salaud, je vais les garder !

Sonia dit :

- Pas la peine de s’énerver, Margot.

- Mon string, un pervers a dû l’emporter, je suis nue en dessous ma minijupe.

Elle fond en larme. Elle n’est même pas sûr qu’elle ne soit pas responsable de sa prostitution. Elle se fait verser une bonne dose de whisky. Ma mère récupère sa veste et on repart à la cité. Pas un mot dans la voiture et Dylan conduit tout peinard. Je sais que c’est un coup monté par Dylan. Il m’a payé une pute pour m’endormir et prostituer ma mère en profitant de son ivresse. Tout était calculé. Une fois à l’appart, ma mère boit un verre et va sous la douche.

- T’es qu’un salaud Dylan !

- Et alors t’as pris ton pied avec Sonia.

- Oui.

- Te plains pas. Je t’ai dit, ta mère c’est une pute de toute façon. Qu’elle le veuille ou non.

Dylan a raison et je le sais. C’est pour ça que je crise pas.

- Allez, de toute façon, tu pourras revenir au bar quand tu veux. Tu es le bienvenu.

- Merci.

- Et ta mère aussi. J’ai rarement vu autant de mec demander une femme comme ça. Y’a du fric à se faire avec elle.

- Salaud !

Il rit et s’en va. Ma mère sort en peignoir, nue en dessous.

- Mais quel porc, quel salaud !

Je lui fais un café.

- Tu crois que je suis une pute, Sylvain ?

- Non.

- Dis le moi !

- Bon oui, je pense que tu en es une de toute façon. Et même si je sais que Dylan n’est pas étranger à ta prostitution.

Ma mère boit son café et va se coucher. Je sais qu’elle est nue dans son lit. Je fonce à sa chambre et retire la couette. Elle n’est pas encore endormie. Je décide alors de la baiser furieusement.

FIN.

Ma mère Martine - La réalité. Ch. 01

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Les pervers du net envahissent notre maison.

Bonjour, mon nom est Julien, 22 ans et je suis l’auteur de la saga des aventures de Martine. Pour ceux qui ne connaissent pas mes histoires, sachez que l’héroïne est en fait directement inspirée de ma propre mère.

Ma mère est une femme bourgeoise, rangée et bien conservée pour son âge. Elle a le formidable avantage de posséder une grosse poitrine qu’il me plait d’exhiber et de mettre en valeur dans mes histoires. J’aime le fait qu’elle se déprave et devienne une véritable salope allant jusqu’à se prostituer volontairement. J’aime aussi l’idée de la conduire ou d’être responsable de ses diverses mésaventures pornographiques. Bref, je suis fier d’elle dans les histoires.

Jusqu’à peu, ce que j’ignorais, c’est que Martine faisait fantasmer énormément les pervers du net qui finirent par correspondre entre eux et imaginer les idées les plus salaces à l’encontre de ma mère.

Devenue une sorte de putain du net, elle suscite, par ma faute, les plus vils fantasmes et, au fur et à mesure, les internautes finirent par former un groupe échangeant des propos salaces sur elle. Pensant être bien à l’abri derrière mon ordinateur portable, je continuais à la prostituer dans les histoires tout en ignorant que les pervers du net avaient décidé de bien me punir de les faire fantasmer au plus haut point.

Une bande d’une vingtaine de lecteurs se réunirent afin de discuter sur un moyen de me faire payer mon exagération. D’abord, ils voulurent envoyer des emails à ma mère indiquant que j’écrivais des histoires porno sur elle. Mais ils se rétractèrent car cela ne servirait qu’à la prévenir d’une éventuelle visite dont elle serait l’objet. Puis, rapidement, ils en arrivèrent à fomenter un complot afin de me punir. Ils veulent aussi et par-dessus tout, vérifier que ma mère correspond à l’image que j’en fais dans les histoires de cul. Par une manipulation que je ne comprends pas, certains parvinrent à localiser mon adresse et à trouver la résidence cossue de mes parents sur Nantes.

Il s’avère que deux d’entre eux habitent dans ma ville. Ils se mirent à espionner la demeure de mes parents en se relayant et purent enfin voir ma mère en chair et en os. Ils prirent des photos d’elle qu’ils diffusèrent à leurs amis sur le net et ils décidèrent de se réunir à nouveau. Ces salopards purent voir cette femme bourgeoise qui ressemblait à peu près aux descriptions que j’en faisais dans les histoires.

Oui, elle porte des tailleurs jupes la plupart du temps, elle est brune et à leur plus grande joie possède effectivement une opulente poitrine. Elle semble malheureusement bien moins salope que dans les histoires et elle porte des lunettes. Elle est, dans la réalité, secrétaire de mairie et elle se doit d’être habillée bien comme il faut.

Ils étudièrent ses va-et-vient et s’aperçurent que le mercredi et jeudi soir, mon père, Dominique était absent car il est cadre commercial et doit souvent se déplacer dans les quatre coins de la France. Le complot s’organisa et ils furent bien décidés à réaliser leurs ignobles fantasmes (vous devinez lesquels).

Cet après-midi-là, je suis le premier à rentrer de la fac. Etant en licence, j’ai peu de cours et je termine tôt. A peine rentré, j’entends sonner à la porte. Naïf, j’ouvre. Deux hommes encagoulés se jettent sur moi et me poussent dans la maison. N’étant pas assez costaud, je ne peux résister et je me retrouve bâillonné et ligoté à une chaise.

Ma mère arrive de son travail à 17h30. Elle ne prête pas attention à la camionnette garée devant chez nous. Au moment où elle pénètre dans la maison, les deux hommes la saisissent et la bâillonnent à son tour. Ils ont des couteaux et nous menacent :

 - Voilà putain, maintenant, si tu veux que ton fils s’en sorte indemne, il va falloir que tu la fermes et que tu fasses ce que l’on te dit !

Ma mère est abasourdie, ne comprenant pas trop ce qui se passe. Au bout d’à peine cinq minutes, six autres gars sonnent et pénètrent à l’intérieur de la maison. Nous sommes dans le salon, ma mère et moi, apeurés.

Enfin, ils nous détachent et enlèvent nos baillons. L’un d’eux, un grand cagoulé dit :

- Voilà ! Si nous sommes ici, c’est pour punir ton fils de ses actes ! C’est un gros pervers !

Ma mère fronce ses beaux sourcils et demande :

- Comment cela ? Mon fils n’est pas un pervers, il est bien élevé et studieux !

L’homme esquisse un sourire :

- Ah bon, et ça alors !

Cet ignoble salopard a imprimé toutes mes histoires et il les tend à ma mère.

- Maintenant lis, ça te concerne, salope !

Ma mère jette les papiers au sol et se rebiffe, mais une gifle la calme. Elle frotte sa joue endolorie. L’homme crie :

- Lis maintenant ce que ton pervers de fils a écrit !

Pendant presque une heure, ma mère lit les récits de ses aventures pornographiques et n’en croit pas ses yeux. C’était bien d’elle dont je parle dans les histoires, la mettant dans les situations les plus perverses et inimaginables, la transformant en salope, en prostituée et même en véritable truie soumise allant se livrer à de parfaits inconnus. Elle peut lire ses multiples aventures dans les caves des cités, dans les bars et dans les lieus les plus ignobles. Elle lit également l’histoire de sa propre fin la transformant littéralement en droguée de sexe à la fois pute, hardeuse et truie prise par tous les orifices, tous les jours.

Elle ne manifeste pas d’émotion sur le coup, mais tombe en sanglot. Moi, je n’en mène pas large, humilié et dénoncé par ces fumiers. Ma mère est désormais au courant que je l’ai transformée en putain du net.

- Trop tard pour pleurer maintenant ! Il va falloir payer ta perversité ! Me dit un des ravisseurs avec un sourire qui en dit long.

Ma mère essuie ses larmes. Elle est vraiment humiliée, elle se sent bafouée et salie par son propre fils. L’homme en cagoule s’en fiche royalement :

- Ce soir, ça va être la nouba ici !

Entre temps, des hommes sont sortis et ont ramenés des packs de bières en grande quantité. Ils me forcent à prévenir les voisins que ce soir, j’organise une fête entre amis. Ainsi, ils ne se douteront de rien et la fête spéciale pourra se dérouler sans anicroches.

Au fil du temps, d’autres hommes arrivent. Ce sont d’autres pervers qui ont fomenté cet abominable complot. Tout était bien préparé et aucune chance qu’il n’y ait le moindre problème. Ma mère ne bouge pas et me regarde méchamment voire avec du mépris mais elle ne se doute pas que cette fête est organisée autour d’elle

Vers 19h00, ils versent des apéros. Les hommes ont allumé la chaîne hifi et dansent. Ma mère est tirée par les bras et est forcée de danser avec ses ignobles ravisseurs. De temps en temps, on la fait boire. Tous reluquent surtout sa grosse poitrine qui les a faits tant fantasmer dans les histoires. Il faut dire que ma mère est une très belle femme bourgeoise d’1m64, étonnement bien conservée pour ses 48 ans bientôt. Elle est brune aux yeux noisette. Ses lèvres sont naturellement pulpeuses. Son visage n’a presque pas de rides et ressemble effectivement un peu à celui de la présentatrice de télévision Evelyne T. Elle porte une belle veste chinée bleu. En dessous, on peut voir son t-shirt blanc moulant ses gros seins qui malgré le soutien-gorge à armature, bougent au moindre de ses mouvements. Elle porte également une jupe bleu assortie qui lui arrive sobrement aux genoux ainsi que des escarpins noirs.

Ma mère est ballottée en tous sens et change de cavaliers constamment. Jamais je n’aurai imaginé que la fiction rejoindrait la réalité. A présent, c’est devant moi que tout se passe et je suis maintenant persuadé que ces ignobles salopards n’en resteront pas à quelques enlacements et pelotages de seins. J’assiste donc, impuissant à la revanche des pervers du net décidé à profiter réellement du corps de ma mère. Ils en ont vraiment rien à foutre et ont même enlevé leur cagoule maintenant.

Ma mère tente d’échapper à leurs étreintes, de les repousser mais rien n’y fait. Elle sent les mains palper ses fesses rondes, passer entre ses cuisses et masser avidement ses deux gros seins à travers le tee-shirt. Elle tente d’empêcher ces mains si perverses mais ne le peut pas et elle pleurniche. La fête bat son plein et les hommes s’excitent de plus en plus pour le plus grand malheur de ma mère (et le bonheur des lecteurs).

Certains des hommes relisent les histoires, avachis et bien chauffés par l’alcool dans les canapés du salon. Ils lisent tout en sortant leurs grosses queues gonflées à bloc et en se masturbant sans honte en jetant des coups d’œil vicieux sur cette femme à gros seins qui n’est autre que ma génitrice. Elle est là, en face d’eux, cette femme sur qui ils ont fantasmé pendant des heures. Elle est enfin à leur merci prête à subir les derniers outrages.

Mais ils préfèrent ne pas précipiter les choses et jouissent à l’idée de pouvoir bien l’humilier avant de passer à l’acte. Car contrairement à la Martine des histoires, elle est loin d’éprouver le moindre plaisir à se faire souiller par tous ses hommes. Ma mère est une bourgeoise bien élevée et cela ne lui plait pas du tout d’être considérée comme une putain. Mais de toute façon, elle sait au fond d’elle-même ce qui l’attend.

- Bon, la salope va nous montrer la marchandise. Elle va faire un strip-tease. Oui, tu vas d’abord enlever lentement ta veste de bourgeoise !

Ma mère reste immobile à pleurnicher et l’homme lui crie dessus. Lentement, elle enlève sa veste chic et se retrouve en tee-shirt. Il est terriblement moulant et je remarque que j’avais à peine tort d’exagérer la taille de sa poitrine. Ma mère a vraiment des seins énormes, il faut le reconnaître. Je comprends l’excitation de ces hommes même si je les méprise. On devine aisément les deux protubérances mammaires à travers le tee-shirt. Elle tend la veste à son ravisseur qui s’en empare aussitôt.

- Toi la salope, tu sais te fringuer.

Il montre la veste à tous les autres qui se passent leur trophée.

- Maintenant, vire tes chaussures une à une.

Ma mère obéit et enlève ses jolis escarpins. Ils sont pris par les pervers puis ceux-ci versent de la bière dedans. Ils boivent dans les chaussures de luxe et de façon vulgaire. Ils épient la moindre réaction de ma mère pour voir ce qu’elle ressent. Du dégoût visiblement.

- Mmh, voyons voir...Vire ta jupe maintenant. On a tous envie de voir ton cul et tes cuisses. On va voir si ton fils avait raison dans ses histoires.

Ma mère se rebiffe :

- Ça suffit maintenant ! Je...je refuse !

En guise de réponse, elle reçoit une paire de gifles et l’homme réitère sa demande avec force :

- Alors, tu le fais ou cette fois on tabasse ton pervers de fils !

Elle finit par céder.

- Fais le lentement, ma salope !

Elle fait glisser la jupe et se retrouve en culotte et t-shirt. Sa jupe fait le tour de l’assemblée, puis finit par être mise en morceau devant ma pauvre mère apeurée.

- Bon allez, maintenant enlève ton tee-shirt. On a tous bien envie de voir tes grosses loches.

Avec peine, elle enlève son tee-shirt moulant blanc. Elle le lance au pied de ses ravisseurs. Elle est maintenant en culotte et soutien-gorge assortis devant ces pervers qui, cela est sûr maintenant, ne s’arrêteront pas là. Ils restent un moment à la reluquer avec leurs yeux brillants et vicelards qui me dégoûtent.

- Vire ta culotte et donne la nous !

Là, ma mère refuse à nouveau. Elle est à nouveau giflée et on me menace avec un couteau. Elle n’a plus le choix et elle le sait. Ils sont déterminés. Elle descend donc sa culotte beige en dentelle révélant son sexe bien entretenu. L’action semble interminable pour elle. Jamais elle n’a autant été humiliée de toute sa vie rangée. Sa culotte lui est arraché des mains et on se la passe, on la renifle. Ma mère pleurniche et se cache le sexe avec pudeur ce qui agace les hommes.

- Allez la bourgeoise, montre-nous tes gros nichons ! enlève ton soutien-gorge et vite !

Elle le dégrafe, toujours honteuse, et enlève les bretelles lentement. Le soutien-gorge est magnifique, bien brodé et en dentelle. Il est à armature car il doit soutenir une sacrée paire de seins. D’ailleurs, ceux-ci tombent lourdement et ballottent un peu. Tous les hommes sont subjugués par les mamelles lourdes, blanches et aux larges auréoles brunes. Mais les plus viles insultes fusent à son égard.

- Regardez-moi cette bourge à gros seins. Quelle honte de les cacher. Tu ne devrais jamais porter de soutien-gorge !

- Oui, une vraie vache à lait. Tu as bien dû nourrir tes mômes. Aujourd’hui, il va falloir nous faire téter nous !

Ils éclatent de rire et continuent à plaisanter sur les gros seins de ma mère. Ils n’ont rien de bébés innocents et loin s’en faut. Ce sont de véritables salopards pervers et irrespectueux. Ils restent là, à bien lorgner sur les énormes nichons, mater son cul et son sexe avec un désir salace. Voilà ma mère totalement nue dans le salon entourée d’une bonne vingtaine de gars prêts à la baiser. Certains se branlent et éjaculent déjà en la voyant. Ils essuient leurs grosses queues avec les histoires. Le sperme coule sur le canapé et il y en a aussi sur le sol. Ma mère a envie de vomir en voyant la scène.

Bientôt elle est saisie par les bras. Elle est mise à terre et on lui écarte bien les cuisses. Elle veut hurler et se débattre mais rien n’y fait. On lui montre le couteau pour la dissuader. Un des gars fourre sa tête entre ses cuisses et lui broute le sexe comme un porc. Sa bouche est prise par un autre larron qui lui insinue sa langue baveuse tandis que deux de ses amis tète un nichon chacun.

Il faut préciser que l’un des pervers à un camescope numérique et filme toute la scène depuis le début. Il fait des gros plans sur son sexe en train de se faire dévorer par un de ses ravisseurs.

Malgré toute sa volonté, son corps finit par céder au plaisir de la langue de cet homme. Ses tétons durcissent sous les succions et elle commence à gémir de plaisir. Gros plan sur sa bouche qui se fait rouler une pelle de folie et qui reçoit une bonne gorgée de bière pour la saouler. Sa bouche est à nouveau prise. L’homme filme les deux compères qui la tètent si fort que l’on voit des marques de succions autour des auréoles. Sa chatte est inondée, une vraie fontaine et l’homme décide de la baiser. Sa queue énorme rentre dans la chatte et entame des va-et-vient. Ceci est filmé toujours en gros plan.

La bouche laisse place à une énorme queue qui rentre jusqu’au fond de la gorge de ma mère qui, naturellement se met à pomper dur. Les deux gars qui s’occupaient de ses seins sortent leur queue et se branle entre les deux énormes loches. Ils giclent sur sa grosse poitrine. Le sperme dégouline partout sur elle. Elle en a sur les seins, le ventre et les cuisses.

D’autres prennent le relais et se branlent entre ses seins. Sa poitrine ne ressemble plus à rien tant elle est inondée de foutre chaud. Sa bouche accueille d’autres queues et elle se voit obligée d’avaler le sperme en énorme quantité. Son beau visage est éclaboussé. Ses beaux cheveux sont collés de foutre.

Puis on la retourne et la plaque sur la table du salon. Son cul bien en évidence. Des doigts lui écartent l’anus et on crache sur la rondelle pour la lubrifier. Certains s’essuient la bite avec les sous-vêtements de ma mère. Ils veulent eux aussi participer à la sodomie.

L’homme au camescope, un ignoble pervers fait un gros plan sur le trou du cul de ma mère. Il n’a pas arrêté de filmer. La première bite s’enfonce dans l’anus lentement et arrache un cri de douleur à ma pauvre mère dont c’est la première sodomie. Pauvre bourgeoise qui jamais n’aurait imaginé subir ce qui lui arrive. Puis l’homme lui ramone le cul de plus en plus vite. Il finit par gicler avec force. Ma mère sent se répandre dans ses entrailles le foutre de cet étranger qui la prend. Son anus est en feu et lui fait horriblement mal mais de toute façon, elle doit continuer à subir les assauts des amis de celui-ci.

Tout est filmé. Elle se fait enfiler tour à tour, la semence se répandant dans son corps. Sa bouche, de temps en temps, doit accueillir un sexe gonflé à bloc afin de faire patienter ses enculeurs. Malgré sa réticence, elle a quand même un certain savoir-faire dans l’art de la fellation. Tout le monde y a droit de toute façon. Son anus dégouline de partout, son visage et ses seins sont collés de sperme. Elle est à nouveau prise mais par les trois orifices à la fois et toujours dans le salon. Les bites s’enfoncent en elle et le sperme gicle à fond. Ses énormes seins sont malaxés, triturés et soupesés à de nombreuses reprises.

La séance de cul se déroule jusqu’à 23h30. Finalement, ils laissent ma mère reprendre son souffle. Elle est à terre, à poil et recouverte de sperme de la tête au pied en plein milieu du salon. Elle gémit de plaisir tout en étant honteuse d’avoir cédée à celui-ci. Moi, je suis écœuré. Je n’ai pas éprouvé autant de plaisir comme lorsque j’écrivais les histoires. La réalité est terrible et bien plus perverse. Ces salauds ont eu ce qu’ils voulaient. Ils se refroquent :

- Bon, tu avais raison à propos de quelques trucs sur ta mère. C’est vrai qu’elle est bien bonne à baiser et qu’elle a des seins énormes ! Dommage qu’elle soit moins salope, c’est tout.

Et ils rigolent tous à nouveau.

- Maintenant, on s’en va ! on va emmener ta mère avec nous pour bien la finir dans un coin. T’as pas intérêt à moucharder aux flics sinon on diffuse les images sur le net. On va les garder entre pervers. On te la ramènera bien baisée demain soir peut-être. T’auras qu’à dire qu’elle est malade et qu’elle ne pourra pas bosser demain. Elle sera bien trop occupée.

Les pervers du net embarquent ma mère à poil et toute souillée dans la fourgonnette. Elle ne résiste pas car elle est vaincue, humiliée et résignée à ce qui va lui arriver. Elle se laisse porter comme un vulgaire sac de patate prête à accepter l’idée d’être traitée comme la pire des truies pendant des heures et des heures. Ils s’en vont donc lui faire subir les derniers outrages quelque part. Moi, je reste comme un misérable en me maudissant d’avoir écrit cette saga qui a fini par se retourner contre moi.

A suivre...


jeudi 25 octobre 2018

Sévices militaires Ch. 01

Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Femmes de militaires soumises.

Mon mari est militaire. Officier dans un régiment de parachutistes, il est donc fréquemment absent. Il part souvent en opération extérieure et dans des pays à risques comme l'Afghanistan, le Kosovo ou la Bosnie.

Je m'appelle Patricia, j'ai 38 ans, je ne suis pas très grande, brune, plutôt jolie. Marc, mon mari, m'a fait 5 beaux enfants que j'élève seule la plupart du temps. Je vis en caserne dans la région parisienne.

Il y a une grande solidarité entre femmes de militaire quand l'une d'entre elle se retrouve seule pour de longs mois. Depuis deux mois, mon mari ainsi que plusieurs autres sont partis en mission nous laissant de nouveau seule. Je passe souvent l'après-midi avec d'autres femmes de militaire quand les enfants sont à l'école.
L'une d'entre elle, Béatrice, est la femme du commandant de la garnison : La cinquantaine épanouie, toujours tirée à quatre épingles, rivalisant d'élégance dans des tailleurs très chics. J'ai un peu honte de m'habiller qu'en pantalon ou avec de longues jupes et des chaussures à talons plats alors qu'elle ne met que des escarpins aux talons qui me paraissent démesurément grand ! Mais avec les enfants à m'occuper, il est vrai que je ne prends plus le temps de prendre soin de moi. Et puis pourquoi m'habiller plus sexy ? Pour plaire à qui ? Je n'ai qu'un seul homme dans ma vie, mon mari !

Un jour, la voiture de fonction du commandant rentre dans la cour, conduite d'une main de maître par David, le chauffeur du commandant. Celui-ci n'étant pas là, il doit s'agir de Béatrice. En effet, elle sort de la voiture que David s'empresse de lui ouvrir. Elle sort en dévoilant généreusement ses jambes gainées de nylon noir, la jupe remontée pratiquement jusqu'à l'aine. Le chauffeur se rince l'œil et regarde les cuisses de la femme du commandant. Je suis choquée de la voir se comporter de cette façon, elle pourrait faire attention quand même et mieux se conduire ! Mais enfin, ceci ne me regarde pas après tout.

Le soir même, je sors rapidement de chez moi, les enfants étant couchés, pour aller demander à une de mes voisines de bien vouloir me donner des œufs pour faire une omelette. Je traverse la cour sous le regard de plusieurs militaires qui me dévisagent, ce qui me fait rougir comme une première communiante.
Je passe devant le garage et j'entends un bruit. Je m'arrête net, tendant l'oreille. Un voleur ? Non pas possible. Je m'interroge. Dois-je prévenir la Sentinelle ? Le cœur battant la chamade dans ma poitrine, je m'approche du garage et entrouvre la porte. J'aperçois un homme debout, de dos. Je reconnais David. Il est face à Béatrice, toujours vêtue de son tailleur du matin.

- Alors ? Tu te décides ?

Béatrice, blanche, semble abattue. Que se passe-t-il donc ?
Elle ouvre la veste de son tailleur d'une main tremblante dévoilant sa généreuse poitrine qui déborde de son soutien-gorge. David s'approche et lui baisse les balconnets. Les seins lourds de Béatrice le narguent, les pointes dardant fièrement.

David lui appuie sur la tête et elle s'agenouille devant lui. Je ne vois plus bien la scène maintenant, mais il n'est pas bien compliqué de comprendre qu'elle est en train de lui sortir son sexe pour lui faire une fellation.
Je reste interloquée. Je n'aurais jamais pensé que la femme du commandant pouvait se comporter de cette façon. Je n'entends plus que les halètements de David qui donne des coups de rein pour mieux s'enfoncer dans la bouche de Béatrice.
Puis, David la relève et la cambre sur le capot de la voiture de son mari. Il lui relève sa jupe dévoilant ses bas noirs et le porte-jarretelles. Son sexe, tendu, luisant dans l'obscurité est impressionnant par sa taille.

Je rougis en pensant que je suis en train de regarder cette scène honteuse. Mais je ne pars pas, je reste comme hypnotisée.
David embroche Béatrice d'un furieux coup de rein et celle-ci pousse un long gémissement quand elle sent la bite de David la pénétrer. Il commence à la bourrer frénétiquement, la baisant sauvagement en lui donnant des grands coups de rein. Béatrice, les cheveux en bataille, la bouche ouverte, le rouge aux joues, halète et secoue la tête dans tous les sens en balbutiant des mots sans suite :

- Oui. Plus loin. Plus fort.

Je ressens une douce chaleur dans mon bas-ventre. J'ai la gorge sèche. Je n'arrive pas à détacher mon regard de cette horrible scène qui est en train de se dérouler sous mes yeux. Je ne peux que regarder la bite de David qui entre et sort de la chatte de Béatrice qui gémit de plus en plus fort.
Sans m'en rendre compte, ma main descend à hauteur de mon bas ventre et commence à caresser mon mont de vénus.

Je suis vêtue d'une jupe longue que, après avoir hésité une fraction de seconde, je commence à relever. Je regarde autour de moi, terrorisée. Et si quelqu'un me voyait ? Je me caresse à travers mon collant couleur chair. Ma main se faufile dans mon collant et écarte mon string. Mes doigts impatients s'emparent de mon clitoris et le pincent, le tordent.

David a relevé Béatrice et l'a mise sur le capot, ses jambes relevées à la verticale, posées sur ses épaules. De nouveau, il la défonce à grands coups de rein. Il s'enfonce avec tellement de fougue qu'un des escarpins de Béatrice tombe par terre. Elle donne des coups de bassin comme pour mieux s'empaler sur la queue de l’homme qui la pistonne.

Je titille mon clitoris en me mordant les lèvres. Je donne inconsciemment des coups de bassin. Je gémis.
Et sans le savoir, Béatrice répond à mon gémissement en poussant un cri. Elle vient de jouir.

David continue de la baiser en lui demandant si elle aime se faire troncher comme une salope. Elle ne répond pas, ne poussant qu'un gémissement.

Une houle délicieuse traverse mon bas ventre. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler quand l'orgasme me terrasse. Les jambes flageolantes, je manque de tomber par terre.

David a sorti sa bite et se masturbe au-dessus du visage de la femme du commandant qui ouvre la bouche et sort sa langue. Il pousse un cri en déchargeant tout son sperme sur le visage de Béatrice. Elle reçoit sur son nez des filaments qui coulent jusque sur son menton. Honteuse, je laisse retomber ma jupe et fais demi-tour pour rentrer chez moi.

J'ai eu beaucoup de mal à m'endormir après avoir été le témoin involontaire des débauches de la femme du commandant. Toute seule dans mon lit, je me suis masturbée plusieurs fois avant de sombrer dans un sommeil réparateur.

Le lendemain matin, je sors pour aller faire des courses en centre-ville quand je tombe sur Béatrice et son époux de commandant qui me saluent. Il est vraiment la caricature du militaire, raide comme la Justice, les cheveux coupés très courts, un regard froid, une allure martiale. Je discute avec eux parlant de tout et de rien. Pendant qu'il me parle, je me demande s'il est au courant que sa femme se fait troncher par son chauffeur ? J'intercepte plusieurs fois le regard inquiet de Béatrice posée sur moi. Un doute affreux me saisit. M'aurait-elle vu hier soir ?

Les enfants sont couchés et je suis devant la télé où je regarde « Qui veut gagner des Millions ? ». Jean-Pierre Foucault est en train de poser les premières questions du 1er palier (les plus faciles) quand la sonnette retentit. Je me lève pour aller ouvrir. Je n'ai pas peur, je vis avec des militaires. Il n'y a pas mieux comme protection.

Je suis étonnée de découvrir Béatrice et David. Celui-ci pousse Béatrice dans mon appartement et ils entrent sans vraiment me demander mon avis. Je suis suffoquée par autant de sans-gêne mais je ne dis rien, c'est quand même l'épouse du commandant.
Béatrice est habillée de façon curieuse. Elle porte un manteau de fourrure ce qui est surprenant, la température extérieure n'étant pas particulièrement fraiche ce soir.
Je suis vêtue d'un jogging et je m'en excuse auprès de mes « invités » de dernière minute. David me regarde et me lance :

- C'est vrai que ce n'est pas tellement sexy, vous pourriez vous habiller autrement, prenez exemple sur Madame la commandante.

Je reste stupéfaite devant autant d'aplomb. De quel droit un simple chauffeur se permet-il de me parler sur ce ton ? mais pour qui se prend-il ? Je regarde Béatrice qui ne dit pas un mot, baissant les yeux. David s'approche de moi :

- Tu t'es bien rincée l'œil hier soir, pas vrai ? T'as pris ton pied, ma salope ?

Mon visage s'empourpre et je sens mon cœur s'accélérer. Mon Dieu ! Il m'avait vu !
David sort des photos de sa poche, me les tendant avec un sourire ironique. Je faillis m'évanouir en me reconnaissant sur les clichés. On me voie nettement en train de me masturber. Qui a pu prendre ces photos ? Ce ne peut pas être David puisqu'il était trop occupé à ce moment-là, ni Béatrice. Comme s’il lisait dans mes pensées, David m'explique :

- C'est Bruno la sentinelle de garde hier soir qui t'as vu et a pris ces photos avec son téléphone portable. Bon elles ne sont pas de super qualités, mais on te reconnaît bien non ?

Je ne réponds pas. Oui on me reconnaît très bien même.

David s'approche de Béatrice et lui demande d'ouvrir son manteau de fourrure. Elle rougit violemment et me lance un regard apeuré. Elle s'exécute et écarte les pans de son manteau. Elle apparait uniquement vêtue d'un porte-jarretelle rouge avec des bas et des talons aiguilles rouges également. Je reste sans voix en découvrant la femme du commandant attifée de cette manière : Comme une pute.

- Tu vas venir avec nous, je vais te monter quelque chose de très intéressant.

Je proteste que je ne veux pas venir avec eux mais David me menace alors de montrer les photos à tous les trouffions de la caserne. J'imagine la réaction de mon mari s’il l’apprend. Je vais pour enfiler un anorak quand David m'arrête.

- Attends ! Tu vas te saper autrement. Tu n’as rien de plus sexy ?

Je suis contrainte de l'emmener dans ma chambre où il inspecte ma garde-robe. Il me sort un short que je ne mets que l'été et une paire de collant noir mais brillant satiné avec des escarpins à hauts talons que je n'ai dû mettre qu'une fois dans ma vie au cours d'une soirée.
Il me demande de rester seins nus comme Béatrice. J'enfile un imperméable. Je proteste une dernière fois que je ne peux partir en laissant mes enfants seules. David sort son téléphone et appelle quelqu'un.

Quelques minutes plus tard, une jeune fille en uniforme de soldat arrive. Je la connais de vue, elle vient d'être affectée dans cette caserne. Elle embrasse goulûment David sur la bouche. Ils sont donc amants. Elle me regarde et demande :

- C'est elle ta nouvelle recrue ?

Je reste interdite. Nouvelle recrue ? Il y en aurait d'autres ? Et recrue pourquoi faire ?
Elle s'approche de moi et écarte les pans de l'imperméable. Ses mains s'emparent de mes seins et commence à jouer avec. Les triturant, les malaxant, elle me tord les pointes et je pousse un petit cri.

David a demandé à l'épouse du commandant de s'agenouiller et elle s'active sur son pantalon pour lui sortir sa queue. Je subis les attouchements de cette jeune fille qui me semble aussi perverse que David. Elle me caresse partout sur le corps et je commence à être troublée. Sa main s'aventure dans ma chatte, elle y introduit deux doigts et les fait coulisser.

- Quelle cochonne ! Elle est déjà trempée.

J'ai l'impression de suffoquer. J'ouvre la bouche et je pousse une légère plainte. Les doigts me branlent sans s'arrêter, me pincent mon clitoris. Je donne des coups de rein involontaires. J'entends, comme dans un brouillard, les bruits de succions produits par la bouche de Béatrice qui pompe la bite de David avec application.

La jeune fille, qui s'appelle Audrey, baisse le pantalon de son uniforme ainsi que son string, me dévoilant une chatte rasée et bien lisse. Elle m'empoigne les cheveux et approche mon visage de sa vulve.

- Suce salope !

Subjuguée par l'autorité de cette jeune fille, j'obéis. Je sors ma langue et commence à lui lécher la chatte. Elle m'appuie fermement sur la nuque me contraignant à la lécher. Pendant ce temps, David décharge dans la bouche de la femme du commandant en lui ordonnant de tout avaler.

Audrey ne tarde pas à jouir me barbouillant le visage de sa mouille. David me relève et m'explique qu'Audrey va rester pour surveiller les enfants. Nous sortons et nous dirigeons vers la cantine où mangent tous les soldats.

Il est un peu plus de 21 heures, il n'y a donc plus personne qui mange à cette heure-là. Nous retrouvons le cuistot et quelques soldats, tous assez jeunes. J'ignore le nom de la plupart. Tous juste ai-je remarqué qu'ils dévisagent parfois les femmes des officiers avec envie.

David nous ordonne d'enlever nos manteaux et nous apparaissons dans nos tenues de putes. J'entends des cris étouffés et des protestations et je suis surpris de voir débarquer encadrées par deux autres trouffions, Marie-Dominique, la femme de l'adjudant-chef chargé de la formation des jeunes soldats et qui leur en fait baver régulièrement ainsi que Valérie, une jolie blonde, mère de 3 enfants, épouse d'un autre officier. Elles sont vêtues elle aussi de manière très provocante : Mini-jupes, bas, talons aiguilles et seins nus. Alors qu'habituellement, je ne les vois habillées que très sagement d'un pantalon et des chaussures plates. Quelle métamorphose !

Automatiquement, on nous positionne à quatre pattes sur le carrelage froid de la cantine devant les hommes. David m'explique que toutes ces femmes ont quelque chose à se reprocher. Quand leurs maris s'absentent et risquent leurs vies dans des pays en guerre, elles aguichent les jeunes recrues. David avec la complicité des autres leur a tendu un piège dans lequel elles sont toutes tombées. Succombant à l'appel des sirènes, ou plutôt de la luxure, elles ont trompé leurs maris. Prisent en photo ou filmées, elles n'ont plus d'autres choix que d'obéir.

Nous nous regardons toutes, effondrées. Les soldats ont tous sortis leurs queues et se masturbent. C'est terrifiant de penser que dorénavant quand je croiserai dans la caserne un de ces jeunes soldats, je devrais baisser le regard.

David sort une caméra et commence à filmer. Les 5 soldats s'approchent et, nous tirant par les cheveux, nous contraignent à avaler leurs bites. J'entends des gémissements étouffés, des petits cris de protestation. La bite que je suce est énorme et j'ai l'impression d'étouffer. Je m'applique en le pompant, lui suçant le gland.

Pendant que je suce cet homme, les soldats ont inventé un jeu extrêmement pervers. Pour se venger de l'adjudant-chef qui leur fait subir des exercices contraignants toute la journée, ils décident de faire de même avec sa femme. Marie-Dominique, à plat ventre, doit ramper sur le sol sous les quolibets des soldats. Puis on lui ordonne de faires des pompes et de courir dans le réfectoire. Avec des talons aiguilles ce n'est vraiment pas évident, et elle manque de tomber plusieurs fois.

Pendant ce temps, Béatrice, emmanchée jusqu'à la garde par un des soldats, se fait ramoner à grands coups de rein. Valérie, elle, se fait enculer, la bouche ouverte, de la bave coulant sur son menton. Le visage ravagé, elle subit les assauts de son enculeur qui la menace de la faire défoncer par son doberman la prochaine fois. Celui que je suce m'éjacule dans la bouche et je suis contrainte d'avaler son foutre. Aussitôt un autre le remplace et un second me pénètre par derrière me déchirant l'anus. Je pousse un hurlement étouffé par la bite que je suce.

Marie-Dominique, empalée sur une bite dressée et enculée par une autre se fait défoncer pendant qu'elle suce un autre soldat qui lui a enfoncé sa bite dans sa bouche. Elle pousse des gémissements.

Cela dura des heures. Nous fûmes toutes les trois humiliées et contraintes a toutes les dépravations de la part de ces soldats : Enculées, baisées, soumises à toutes leurs volontés. Et le tout filmé par David que je dus sucer à la fin de la séance mais qui nous arrosa toutes les quatre de sa semence.

Nous fûmes reconduites dans nos appartements respectifs, couvertes de sperme, les bas déchirés, Marie-Dominique titubante car un de ses talons s'est cassé lors de la 2ème séance d'exercice où elle a dû encore courir dans le réfectoire.
David nous a menacé de diffuser les films et les photos dans toute la caserne si nous en parlions à nos maris.

Régulièrement, je suis emmenée dans la cantine ou je retrouve Marie-Dominique, Valérie et la femme du commandant, Béatrice. Aucune d'entre nous n'en a parlé à son mari et ils ne se doutent de rien. Une nouvelle famille est arrivée dernièrement, la femme de l'officier, une aristocrate, mère de trois enfants, catholique pratiquante, excite beaucoup David. Il m'a demandé de l'aider à la piéger.

A suivre….

A la merci de mon beau-frère. Ch 09

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Le copain.

Je n'avais été aussi contente de voir mon époux rentrer d'un voyage d'affaires. Cependant je craignais sa réaction s'il venait à découvrir ce que son frère m'avait obligée à faire ce week-end. Je tentai d'effacer de ma mémoire cette épreuve, ces épreuves humiliantes que j'avais endurées, me contentant de me réjouir de la présence de mon époux.

Malheureusement Yan batifola autour de nous redoublant de remarques ironiques m'empêchant de faire abstraction de mes aventures sexuelles. Ma seule consolation fut de savoir qu'il serait parti dans moins d'une quinzaine.

Jean n'avait pas à travailler de bonheur cette semaine aussi étais-je dispensée des attentions de Yan. Je m'en réjouis et me réjouis encore plus en apprenant qu'un vieil ami de Yan passerait le week-end avec nous. Il était censé venir donner un coup de main à Yan pour l'aider à s'installer dans un nouveau logement. Je ne me préoccupai pas de connaître leurs plans, je pensai que la présence de Richard m'éviterait de subir les "prévenances" de Yan.

Richard arriva le vendredi soir. C'était un véritable colosse avec de grosses mains et un sourire avenant. Yan et Richard entrèrent en action, il me sembla qu'ils passaient plus de temps au troquet qu'à préparer le nouveau logement de Yan. Je m'en foutais du moment que Yan se tenait éloigné de moi.

Aussi lorsque Jean dut partir samedi matin je me blottis bien au chaud dans mon lit. Je me rendormis lorsqu'on arracha mes couvertures, une lumière brillante m'aveugla et l'on posa un masque sur mon visage. Je restai totalement désorientée quelques instants, puis la signification de ce masque me frappa.

Je paniquai et voulus plonger vers la porte mais je fus repoussée vigoureusement sur le lit. L'instant d'après je me retrouvai coincée entre deux corps virils aux bites érigées.

- Tu vas te régaler ma petite salope ! M'agressa Yan d'une voix furieuse.

- Tu vas te faire baiser comme jamais tu ne l'as été !

Je luttai farouchement pour me libérer de leur emprise mais n'y parvins pas, je ne fis qu'accroître leur excitation. Pire encore je commençai aussi à me sentir excitée. Mon corps, à force de se tortiller entre leurs deux virilités répondit à leur simple présence. Mes tétons dardèrent et une humidité suspecte détrempa déjà ma chatte.

Yan se pressa contre mon ventre, m'épinglant fermement sur le lit, je présumai que c'était Richard qui se tenait serré contre mes fesses. Il trouva mes nibards et entreprit de les malaxer avec vigueur. Je tentai de l'ignorer, me mordant les lèvres pour m'interdire de gémir.

Pour aggraver ma situation Yan entreprit de sucer et mâchouiller un de mes tétons, Richard jouant avec l'autre, le serrant, le pétrissant entre ses doigts puissants. Je me tortillai de plus en plus, mais cette fois c'était plus de plaisir que par envie de leur échapper. Je sortis de mon ébahissement lorsque Yan releva ma jambe sur sa hanche, alors que Richard promenait sa main sa main entre mes cuisses. Il parcourut des doigts ma fentine et me doigta lubriquement, je poussai un cri de douleur et cherchai à me dégager de leur emprise. Je donnai des coups de pied, je cognai, je griffai, mais ils me matèrent aisément. Je cessai de me débattre pour déloger les doigts de Richard de leur écrin. J'aurai du savoir d'expérience que Yan adorait me voir me débattre, et, à entendre ses rires, Richard appréciait aussi de me sentir rétive.

Toutefois ils se seraient peut-être lassés si j'avais continué à me défendre.

- Du calme ! M'ordonna Yan sévèrement.

- Tu sais qu'en réalité tu adores ça !

Il me tordit un de mes tétons pour accentuer ses dires. J'ignorai le frisson qui parcourut mon corps à cette rude caresse, je relevai mon genou, et ratai de peu son groin, Yan répliqua en me donnant une violente gifle en pleine figure.

- Je vois ce que tu voulais dire quand tu me parlais de son besoin de se sentir forcée ! Pouffa Richard.

- Vouai, tu vas bientôt être fixé ! Cracha Yan furieux.

L'instant suivant, je sentis des cercles de métal se refermer sur mes poignets, on me tira les bras au-dessus de la tête et je fus enchaînée à la tête de lit. Ils s'agenouillèrent de chaque côté de moi ricanant cyniquement. J'aperçus brièvement l'inévitable caméra installée au pied du lit. Je me tortillai inutilement sur le lit, cela ne les pousserait en aucun cas à me libérer et j'étais bien incapable d'y parvenir par moi-même. Yan s'allongea près de moi et m'attira contre lui, il tendit la main et empoigna mes nibards.

- Je t'avais dit qu'elle avait de superbes nichons ! Dit-il sur le ton d'un propriétaire.

Je ravalai un sanglot, je tentai d'ignorer que c'est moi qu'il humiliait ainsi.

- Ouais, ils sont pas mal… Rétorqua Richard, me tordant âprement un mamelon.

Je cherchai à me détourner, mais Yan me tenait fermement.

- Hey mec, serre ses nichons l'un contre l'autre !

Richard s'agenouilla sur mon buste et plaça sa bite entre mes miches. Il se mit à coulisser d'avant en arrière. Yan m'intima de lécher son bulbe turgescent chaque fois que je l'avais à portée de ma bouche. Une petite claque sur la tête suffit à me rappeler ce que je risquais en refusant.

Richard grogna en se retirant, et l'instant suivant, il projeta des jets puissants de foutre chaud sur ma poitrine et mon visage. Ils trouvaient tous deux cela hilarant, d'autant plus que je ne pouvais pas m'essuyer. Richard se laissa tomber à la renverse et Yan le remplaça plantant directement sa bite dans ma bouche. Il me tint fermement la tête tout en me secouant de puissants coups de boutoir. Je ne pouvais rien faire pour l'arrêter aussi me concentrais-je pour ne pas étouffer alors qu'il s'enfonçait dans mon arrière gorge.

Pendant ce temps, Richard s'était glissé entre mes cuisses et pressait son visage sur mon mont chauve. Chaque fois que je grognais ou gémissais sous les caresses de Richard, Yan se démenait dans ma bouche. Je fus fortement soulagée en l'entendant se raidir et jouir, il était si enfoncé dans ma gorge que son sperme coula directement dans mon œsophage.

Yan roula sur moi et se mit à me triturer les nibards, titillant durement mes mamelons avant de les sucer. La langue de Richard abandonna mon clito et parcourut maintenant avidement ma foufoune détrempée, son nez frottant contre mon clito participa à m'exciter follement.

Désespérée, je sentis l'orgasme monter en moi. Je luttai de toutes mes forces pour endiguer ce coït non désiré me focalisant sur le fait que je détestais être touchée par ces minables. Mon corps se moqua bien de savoir qui allumait ses sensations enivrantes, je perdis tout contrôle de mes sens, je m'arc-boutai sur les talons et me tortillai violemment en criant mon orgasme.

- Elle est sacrément bruyante ! Remarqua Richard.

Je me tortillai folle d'embarras, haïssant mon corps de me trahir avec une telle constance.

- Hey regarde-moi ça, elle est rouge comme une tomate !

Richard me força à écarter en grand mes cuisses qui tremblaient, jetant un œil ravi sur ma foufoune détrempée.

- C'est bon, je veux la baiser maintenant !

- D'accord mais enfile une capote ! Lui rétorqua Yan.

- On a fait un marché, rappelle-toi !

Je fus soulagée de l'entendre mentionner l'emploi de préservatifs, mais je fus affolée d'entendre que Yan avait décidé que Richard pourrait me faire tout ce qu'il voulait. Mes sentiments étaient donc partagés lorsque je vis Richard sortir une capote et la lubrifier. Il me roula sur le ventre les mains toujours ancrées par les menottes à la tête du lit. Il plaça ses genoux entre mes cuisses et me saisit fermement par les hanches pour me disposer à sa convenance.

Je ne compris ses intentions qu'en le sentant presser son gland contre mon petit œillet frémissant, il était trop tard pour que je proteste et crispe mes sphincters. Déjà il avait introduit son gland dans mon boyau culier, il exerça une forte pression pour s'enfouir lentement dans mon intestin asservi. Je criai et hurlai, luttant pour lui échapper, mais il me tenait bien trop fermement, il se contenta de rire de mes vains efforts.

Je n'avais jamais ressenti de sensations semblables à celles-ci. Il distendait allégrement mes muqueuses, c'était totalement différent de l'amour par les voix ordinaires. Une fois qu'il se fut enfoncé le plus profondément qu'il le put dans mon anus, il s'accorda une pause, je sentis mon fion s'adapter à cette brutale intrusion.

Je tentai d'endiguer mes gémissements refusant de leur montrer ma douleur et ma honte. Comme je le craignis, j'eus bien du mal à supporter cette brutale enculade, Richard saisit mes hanches et roula sur le dos m'emmenant avec lui, toujours embrochée sur sa grosse pine.

Je soupirai pitoyablement en sentant sa bite s'enfoncer encore un peu plus dans mes intestins dans le mouvement, je ne pensai pas que les choses puissent encore empirer. J'ouvris alors les yeux et vis Yan qui se penchait sur moi, se branlant lentement. Je me débattis de toutes mes forces, mais arrêtai immédiatement, mes mouvements provoquant un empalement plus profond sur la bite qui m'enculait.

Yan ricana en se penchant en avant et enfonça sa grosse bite dans ma chatte détrempée. Je ne m'étais jamais senti aussi distendue, des ondes de plaisir couraient dans mes lombaires. Je grommelai une protestation, je combattis l'orgasme que je sentais monter dans mes reins, trop tard une puissante jouissance me terrassa.

Comme ils venaient tous deux de jouir, ils se montrèrent endurants. Ils prirent leur temps, alternant leurs poussées dans mes deux trous asservis, ou me ramonant simultanément à grands coups de boutoirs furieux. Je rebondis d'orgasme en orgasme quelle que soit leur façon de me prendre. Je me tordis entre leurs deux corps, j'espérai dompter mon corps mais en vain, les vagues de plaisir succédaient aux vagues de plaisir.

Après un long moment, je sentis Richard se raidir, m'empoigner fermement les hanches tout en s'enfonçant au plus profond de mon intestin. Il se tortilla et frissonna tout contre moi, puis il tomba à la renverse avec un soupir de contentement. Yan suspendit un instant ses allées et venues le temps que je sentisse son foutre chaud inonder ma chatte repue.

Yan roula sur le flanc et se remit sur pieds en chancelant. Il attrapa une des caméras et commença à filmer mon corps s'attardant sur chaque détail. Richard l'aida en me roulant sur le ventre pour écarter mes fesses pour qu'il puisse filmer mon trou du cul béant d'où suintaient des filets de foutre grumeleux.

Dès qu'ils en eurent fini avec moi, ils m'enlevèrent les menottes et sortirent de la chambre en me donnant une gentille tape sur les fesses. Je me roulai en boule et gémis, jamais je n'avais été aussi humiliée, dégradée. J'avais mal, mon corps était meurtri en des endroits que je n'aurai jamais cru pouvoir l'être.

J'entendis Yan et Richard sortir, je me glissai dans la salle de bain pour prendre un bain bien chaud. Je me dis qu'il ne me restait plus qu'une semaine à endurer ces épreuves, que bientôt ce cauchemar se terminerait.

Le soir même je fus abasourdie de voir Yan et Richard se porter volontaires pour préparer le thé. J'étais douillettement assise sur le sofa à côté de Jean, on se serait cru revenu au bon vieux temps. On se relaxait tous ensemble et j'en aurai presque oublié ce qui s'était passé ce matin même. Je me sentais heureuse et en paix lorsque Yan passa la tête par la porte et demanda où nous avions rangé la râpe.

Je tentai de lui expliquer clairement où elle se trouvait, mais visiblement Yan ne comprit pas puisqu'il prit la direction opposée. A contrecœur je me levai du sofa et allai la lui chercher. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi naïve.

A l'instant où j'entrai dans la cuisine, Yan agrippa ma brassière et mon soutien-gorge et les remonta à hauteur d'épaule dévoilant mes nichons, tandis que Richard déchira le haut de mon jean et le tira avec ma petite culotte sur mes chevilles. J'allai pousser un cri de protestation, mais Yan me bâillonna vivement étouffant mon hurlement.

- Non Non, ne hurle pas ! M'admonesta-t-il.

- Nous ne voudrions surtout pas que mon frère bien-aimé entende tes cris et se pointe immédiatement voir ce qui cloche ! Imagine-le surgissant dans la cuisine et me découvrant en train de sauter sa gentille petite femme !

Tout en parlant, il me courba sur le plan de travail et fourra tout de go sa grosse bite dans ma chatte. Je frissonnai en m'efforçant d'étouffer mes gémissements. Richard se pencha en avant et empoigna mes nibards et les serra rudement l'un contre l'autre.

Je m'efforçai de toutes mes forces de ne pas répondre à leurs assauts lubriques, mais Richard s'assit par terre, la tête au niveau de ma chatte et entreprit de léchouiller mon clito. Mes jambes se mirent à trembler et mon ventre se crispa alors que je jouissais sous ses caresses lascives.

Yan poussa un grognement satisfait et me chevaucha activement tout en larguant sa purée au fin fond de mon utérus. Il se retira de mon ventre et je glissai sur le plan de travail, frémissante d'un mélange de fureur et de plaisir.

- A mon tour maintenant ! Déclara Richard me claquant les fesses.

- Je vais enfin savoir si ta chatte est aussi étroite que le prétend Yan !

- Il n'en est pas question ! Protestai-je vivement décidée à leur résister.

- Ferme ta gueule et contente toi d'écarter les cuisses salope ! S'exclama Yan en reboutonnant son pantalon.

 - Non ! Grognai-je sourdement.

- Si tu poses un doigt sur moi je me mets à hurler au viol aussi fort que je le peux, ils m'entendront à l'autre bout de la ville, alors dans la pièce d'à côté ! Et vous pourrez toujours chercher comment expliquer à Jean pourquoi tu regardes ton copain me molester. Je crains fort que cela vaille à ton pote un petit séjour à l'ombre, au commissariat de police !

Richard me gifla sauvagement et releva une de mes jambes sur son bras, se préparant à me fourrer en dépit de mes objections. Je soufflai comme un phoque, Richard crut alors avoir gagné, mais Yan le repoussa.

- Cette salope a raison ! Admit Yan à contrecœur.

- J'ai bien peur que tu ne puisses pas la sauter cette fois ci !

- Mais tu m'as promis. Intervint Richard en jetant un regard glacial à Yan.

- Ne t'inquiète pas, tu auras d'autres occasions de te faire son cul et sa chatte Richard, mais ce n'est ni le bon moment, ni le bon endroit ! Répliqua Yan.

Tandis qu'ils argumentaient je remis de l'ordre dans ma tenue et j'essuyai le sperme qui marbrait mes cuisses avec une feuille d'essuie-tout. Je ne voulus pas les écouter discuter pour déterminer si Richard pouvait me sauter ou pas. Je les repoussai et sortis de la cuisine me dirigeant vers la salle de bain. J'évitai Richard le reste du week-end comme s'il avait une maladie contagieuse. Je m'assurai de ne jamais me trouver seule avec lui, j'étais sans illusion sur ce qu'il entendait me faire subir s'il parvenait à me piéger.

Je me sentis soulagée comme jamais quand il partit le lundi matin. Jean devait le déposer à la gare pour lui éviter une bonne marche à pied, aussi partirent-ils tous plus tôt que d’habitude.  Je me tins à la porter leur faisant des aurevoir jusqu'à ce que je les vis monter dans la voiture et je refermai ma porte espérant ne plus jamais revoir Richard.

Mes illusions furent tout de suite contrariées. J'avais un pied dans l'escalier menant à l'étage lorsque la porte d'entrée s'ouvrit violemment.

- Que faites... Pourquoi êtes-vous revenus Richard ? M'écriai-je horrifiée.

- Je leur ai dit que j'avais oublié quelque chose ! Et c'est vrai ! J'ai oublié de te sauter une dernière fois !

Bien que ce fut trop tard je me ruai dans les escaliers. Richard empoigna un de mes pieds et me retourna sur le dos. Il pesa de tout son poids sur moi enfonçant douloureusement les marches dans mon dos. Je lui donnai un coup de coude dans la figure, mais sans même y prêter attention il déchira mon tee-shirt en deux. Il éjecta mes nichons des bonnets de mon soutien-gorge les tordant douloureusement. Je lui décochai un violent coup de pied et tapai à coup de poing sur son dos, mais cela ne sembla rien lui faire.

Il était agenouillé sur une marche entre mes cuisses, il lui fut aisé de remonter ma jupe à ma taille et de me retirer ma petite culotte.

- Es-tu prête salope ? M'interrogea-t-il en m'empoignant les cheveux, me forçant à le regarder dans les yeux.

Il m'embrassa sauvagement puis il glissa une main entre mes cuisses et pinça durement mon clito. Je criai et essayai de me dégager, mais j'étais piégée. L'instant d'après il m'embrocha sur sa grosse bite. Je criai alors qu'il me fourrait douloureusement forant son chemin dans ma chatte non préparée.

- Que t'es étroite ma jolie ! Exulta-t-il en me pistonnant d'un nouveau et impitoyable coup de boutoir.

- Tu viens de faire connaissance avec la plus grosse des bites parmi toutes les bites, n'est-ce pas salope ? tu n'es pas près d'oublier cette baise hein sale pute !

Je me mordis les lèvres pour ne pas exprimer ma souffrance, cherchant toujours à le repousser.  Il ignora totalement mes efforts, bloquant mes mains au-dessus de ma tête en les écrasant dans une étreinte féroce alors qu'il continuait frénétiquement à marteler ma chatte.

La porte d'entrée s'ouvrit à nouveau juste à l'instant où Richard rejetait sa tête en arrière expulsant sa sève dans ma foufoune. Je fus soulagée de voir Yan qui nous regardait fixement, j'avais craint un instant que ce soit Jean qui soit revenu sur ses pas. Il aida Richard à se relever puis à remettre de l'ordre dans sa tenue.

- Es-tu cinglé ? L'engueula-t-il avec colère.

- Son con de mari s'impatiente dans la voiture ! Viens ! Et toi salope, tu ne dis rien de tout ça ou je montre à Jean quelques photos et vidéos qui risquent de le captiver ! Compris ?

Et avec un dernier coup d'œil glacial sur ma petite personne il entraîna Richard à l'extérieur. Je restai étendue dans les escaliers, éreintée, meurtrie par cette violente agression. Je me traînai en haut des escaliers, me glissai sous la douche m'efforçant d'effacer les souillures de mon corps.

Je ne parvins pas à croire à ce qui venait de se passer si rapidement, si soudainement, j'étais engourdie tant émotionnellement que physiquement. Je me demandai si c'était ma faute, si je n'envoyais pas inconsciemment des signaux aux hommes leur disant que j'étais disposée à les satisfaire, à combler leurs appétits de lucre.

A suivre…