Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Soirée entre amis.
Soirée entre amis.
Les fêtes se
sont passées calmement en famille et depuis notre nuit, maman et moi n'avons
pas recommencé nos ébats. Nous avons regagné l'appart et repris nos activités.
Elle, son boulot de prof de français à mi-temps et moi, mes études. Mais, il
est clair qu'il y a du changement dans l'appart.
D'abord,
maman fume et boit ouvertement et est plus ouverte avec moi, moins distante en
ce qui concerne le cul. On en discute pas mal pour ainsi dire. Ses tenues sont
plus décontractées sans être sexy forcément et il y‘a comme un relâchement. Je
crois que ça a fait du bien à tout le monde de mettre les choses à plat.
Maintenant elle sait que je suis au courant de ses aventures extra conjugales.
Je ne la fais même plus chanter d'ailleurs et on n’a pas reparlé des vidéos.
Mais j'envisage toujours de remettre ça.
Elle m'a
autorisé à la raccompagner à ses cours de danse du jeudi histoire de me rincer
l'œil avec ses élèves. Bien qu'il faille avouer que la star du cours, c'est
elle. Pourtant, ses élèves sont pas mal, de mon âge pour la plupart, 18, 20 ans
et bien foutue. Mais elles n'ont pas les atouts que possèdent maman. Notamment
sa superbe poitrine et ses fesses musclées et rebondies.
Elle met un
ensemble body qui moule ses seins (bleu ou rose) et un short noir tout aussi
moulant qui met en valeur la rondeur de ses cuisses musclées. Ses formes
bougent lorsqu'elle montre les exercices et qu'elle y participe sous fond de
musique. Ses seins sautent en cadence et ses fesses musclées rebondissent.
Autour, il y a des admirateurs qui viennent soi-disant pour le sport mais qui
sont là pour se rincer l'œil comme moi, voir toutes ses filles se trémousser,
faire valoir leur charme. Et surtout leur prof, qui malgré ses 44 ans, est de
loin, la plus souple et sexy de toute. Le teint mat avec des yeux noisette en
amande, elle a des cheveux mi long qu'elle attache en arrière. C'est un plaisir
et une torture de la voir bouger son corps, ce corps d'1m68 pour 62 kg. C'est
aussi bizarre de la voir se comporter en sportive et en femme modèle alors
qu'elle fume, boit beaucoup et se drogue des fois. Pour le moment, ça n'affecte
pas son corps mais tôt ou tard, si elle continue, elle devra payer la facture.
Surtout que ces derniers temps, elle se poudre le nez de temps en temps seule
alors qu'elle le faisait que pendant les fêtes avec ses amants.
Nous rentrons ce soir-là. Elle est toute
propre, sortie de la douche des filles. En arrivant à l'appart, elle se met en
pyjamas et se verse un verre. Je décide de rester avec elle ce soir. Je veux en
savoir plus sur ses amants actuels car elle ne m’en parle pas beaucoup finalement.
Elle préfère me livrer ses secrets de jeunesse à la fac où elle avait la
réputation d'être une grosse chaude qui couche à tout va. Je m'assois à côté
d'elle. Elle est les jambes repliées sur le canapé. J'engage la conversation
texto :
- Tu sais maman,
je serais curieux de rencontrer Jacques ou Nico !
- Quoi ?
Mais pourquoi faire Sylvain ?
- Comme ça !
Ils ont l'air sympa et Nico est presque de mon âge !
- Non, je ne
veux pas ! C'est gênant. Je ne tiens pas à ce que tu les rencontre.
- Tu as honte
de moi ?
- Non, mais
je ne veux pas que tu les côtoie et en plus, ils sont malsains.
- Je pensais
pourtant qu'on avait dépassé les limites l'autre nuit.
- Tu
insistes alors. Décidément, on aura tout vu ici ! Tu veux devenir ami avec les
amants de ta propre mère ? Normalement, tu devrais les détester, être
jaloux.
- Je ne suis
pas jaloux et de toute façon, maintenant je sais tout. Je pense que ce serait
bien qu'on devienne tous impliqué dans cette histoire.
- C'est-à-dire ?
- J'ai envie
de les connaître, c'est tout ! tu ne m’en parles pas trop ! Tu me parles plus
de tes actions à la fac mais pas les actuelles.
- Il me
semble que tu as des petits souvenirs de mes actions actuelles !
- Oui mais
bon, j'ai envie de choses nouvelles. Et puis, ce sera l'occasion de faire une
fête entre nous, non ? un petit repas, etc…
- Hum...De
toute façon, pour Jacques, je ne le revois plus trop en ce moment. J'ai contact
qu'avec Nico.
- On a qu'à
l'inviter la semaine prochaine.
- On verra,
j'y réfléchirai, mon chéri, mais je ne sais pas ce que tu as derrière la tête. Ce
n’est pas sain tout ça et ça risque de mal se terminer nos histoires.
- Je sais
que Nico te file des substances mais à la limite, c'est toi qui vois. Je sais
que c'est un drogué et qu’il n’est pas très fréquentable.
- Tu sais,
j'ai eu de gros ennuis avec la drogue durant mes études. Que j'en prenne même
maintenant, c'est vrai que c'est mon problème. Mais je ne veux pas que tu
tombes là-dedans. Tu ne peux pas t'imaginer ce qu'on est prête à faire quand on
est accroc. J'en sais quelque chose, crois-moi.
Elle lève
les yeux et repense au passé. Je n’insiste pas sur ce sujet.
Après cette
discussion, on va au lit. Je télécharge quelques vidéos de cul. Surtout des
gang-bang et des partouzes. Un peu blasé car j'en ai vu des centaines. Mais le
fait d'imaginer maman à la place de ces femmes qui se font saillir m'excite. La
semaine passe et je n’arrête pas d'insister sur cette soirée à venir. Elle
essaie d'éviter le sujet mais je reviens à la charge. Je veux qu'elle fasse une
fête à l'appart avec Nico. Après l'avoir ennuyé sans cesse, elle se décide à
faire ça le Mardi soir, d'autant plus qu’elle n’a pas cours le lendemain. Donc
un repas le soir avec Nico mais pas Jacques.
Le mardi
arrive enfin. Mon impatience est grande. J'aide maman à faire la cuisine. Elle
se doute bien que je suis excité comme un fou et ça l'amuse on dirait.
- Alors,
Sylvain, c'est rare de te voir à la cuisine.
- Oui, mais
bon, c'est une soirée spéciale aujourd'hui.
- Je m'en
doute. Tu n'as pas arrêté de m'ennuyer avec ça toute la semaine.
- Ce Nico ,
j'ai trop hâte de le rencontrer.
- Oui, eh
bien ne parle pas trop de ce que tu sais. Il n'est pas au courant que tu as
tout découvert.
- Et tu vas
t'habiller sexy j'espère.
- Ai-je le
choix ? De toute façon, Nico m'a déjà dit au téléphone d'être habillée
mini.
- Tu vas
mettre ta minijupe ?
- Oui, et ne
fais pas de crise car elle est vraiment très très courte. J'ai très honte de la
mettre. Même quand j'avais 20 ans, je n'en portais jamais d'aussi courte.
- OH, je
suis d'accord mais met un décolleté du feu de dieu, s'il te plait.
- Mais je
vais avoir l'air d'une pute ! Tu es malade, toi.
- S'il te
plait ! Je ferai toute la vaisselle de la soirée.
- Bon,
d'accord ! et puis en ce moment, je n’en mets pas à cause du froid. Monte le
chauffage alors.
- Je vais le
mettre à fond, t'inquiète.
Pour l’instant,
maman semble prendre tout ça pour un jeu mais moi, ça m'excite vraiment. Ça ne
la gêne plus de se mettre en valeur devant moi. On finit le poulet frite et on
met le tout au four.
- Bon, eh
bien, prépare la table et les apéritifs ! Je vais me faire belle.
- Oui,
maman.
Je suis
comme un chien chien. Je me mets au boulot en essayant d'imaginer ma mère se
préparant. J'entends la douche qui coule. Au bout de dix minutes, j'entends
sonner. Je me précipite pour ouvrir. Je reconnais Nico mais lui ne me connaît
pas. Mais il n'est pas seul. Il est accompagné de deux copains avec de drôles
de têtes.
- Salut, je
suis Nico, un copain de Margot et j'ai ramené deux collègues : Patrick et
Youssef.
- Moi, c'est
Sylvain ! Euh, je suis le fils de margot.
- Ah, tu es
son fils ? Elle ne nous avait pas dit que tu serais là.
Ça à l'air
de les gêner.
- Ah bon !
c'est pas cool ça.
- Bof, c'est
pas grave. Elle a voulu nous faire une surprise sans doute.
- Oui.
D'ailleurs, ma mère se prépare là.
- Elle est à
la salle de bain. Décidément, elle ne change pas.
- Asseyez
vous.
Je verse un
apéritif pour tous en attendant mais la porte s'ouvre.
- Ouh la vache,
Margot ! tu es...hmmmm
Nico et les
autres se lèvent. Ils applaudissent et y a de quoi. Quelle vision fantastique.
Ma mère venait de sortir de la salle de bain. Une vraie bombe à sperme. Un peu
trop maquillée à mon goût mais je l'ai rarement vu comme ça. J'ai du mal à la
reconnaître et on dirait qu'elle a carrément rajeunie. Ses cheveux lui tombent
jusqu'au cou. Ils sont noirs et lisses. Ses yeux sont marrons, en amande et
elle a mis du rouge à lèvre.
Mais elle a
bien joué pour ses vêtements. D'abord son haut. Elle a mis un de ses maillot de
danse. Une sorte de body noir à tissu fin, bien moulant avec de petites
bretelles. D'habitude, elle met un soutien-gorge en dessous pour éviter que ça
remue mais là , elle en a pas mis. Ce qui fait que quand elle marche, on a
l'impression que ça ballonne. Maman a toujours eu de gros seins et elle a
toujours joué de ses magnifiques attributs. Ce qui est génial, c'est qu'ils
sont naturels et pas siliconés. Ils tombent un peu, c'est sûr mais la loi de la
gravité est incontournable. Le volume impressionnant de sa poitrine capte
aussitôt l'attention. On regarde tous aussi son ventre, nu. Le sport, ça
conserve mais elle a un début de bidon. Très léger. Mais ça, c'est naturel
aussi. Par contre, ses jambes sont parfaites. Elle a mis sa mini comme promis.
Elle est tellement mini qu'elle ressemble à une culotte noire et en cuir. Ses
deux fesses musclées ressortent et moule l'habit fin. Ses cuisses sont musclées
et magnifiques sans oublier ses mollets ronds. Elle n'a pas mis de bas et
d'ailleurs, au final, c'est aussi joli comme ça. Elle a mis comme chaussures,
des sandales noires très fines avec de hauts talons. Maman nous offre un
magnifique étalage de ses charmes. Nico va lui dire bonjour ainsi que les deux
autres.
- Tu pourrais
prévenir, quand tu amènes des amis quand même.
- Ils
étaient avec moi, je n’allais pas les larguer.
- Sylvain,
mets deux couverts de plus alors.
Elle va
s'asseoir avec eux tandis que je mets la table. Rapidement, ils se mettent à
rire et commence à s'enfiler verre sur verre. En fait, je me sens un peu exclu.
On a tous le regard rivé sur la poitrine de Margot ou ses jambes. On se pose
tous la question de savoir si elle a mis une culotte ou pas.
- Allez, les
enfants, on va a table !
- Oui.
Le repas se
passe bien, dans la bonne humeur. On siffle une bouteille de vin en même temps.
Maman se lève alors pour aller aux toilettes. J'en profite pour débarrasser.
Là, je vois Nico qui met un truc dans le verre de maman sous l'œil complice de
ses collègues. Ok, j'ai compris : Que maman le veuille ou non, il y'aura une
partouze ce soir. Ils sont décidés et sont venus pour ça je suppose. Ils
m'ignorent presque. Maman revient.
- Allons au
salon.
- Oui, mais
finis ton verre de vin maman, cul sec !
Là, Nico me regarde
satisfait. A-t-il deviné que je suis complice avec eux ?
- Ouh, je
risque d'être pompette rapidement.
Elle va
s'asseoir sur le canapé. Elle est entre Nico et Youssef. Patrick et moi, assis
sur les deux fauteuils à côté. J'ouvre une nouvelle bouteille. Le bar est
presque vide. Ils s'allument tous une cigarette. Au bout d'un quart d'heure,
maman ne sait plus trop ce qu'elle dit. Je me risque.
- Alors, les
gars, on dirait que le vin fait son effet.
- Quoi ?
- Z'inquiétez
pas, je suis de tout cœur avec vous.
Margot me
regarde :
- Tu dis
quoi , mon chéri ?
- Juste que
le vin nous fait tous tourner la tête.
Elle rit
bêtement et se rallume une cigarette. L'effet monte toujours. Nico commence à
la caresser et à l'embrasser en me regardant du coin de l'œil. Il voit alors
que je suis ok avec lui. Ils savent que je suis complice avec eux maintenant.
Plus de fioritures. Youssef la chatouille tandis que Nico sort de la substance
illicite. Il me demande :
- T'en
prends ?
- Non !
Youssef
alors prend la jambe de maman et la pose sur ses genoux. Il lui enlève sa
sandale. Il se met à lui embrasser le pied.
- Hihihi ! Ça
chatouille.
On dirait
que ma mère ne réalise pas. Je ne sais pas ce que Nico à foutu dans le vin mais
ça rend abruti. Youssef s'amuse avec les doigts de pied de Margot tandis que
Nico a fait sa part à chacun.
- Tous
ensemble et Margot aussi !
Elle obéit
sans réaliser qu'elle est devant moi. Qu'elle va se droguer devant son propre
fils. Elle est complètement à côté de la plaque. Ses yeux sont tous bizarres.
Elle aspire la substance illicite en tenant sa cigarette à la main. Sa jambe
est toujours sur Youssef. Elle tousse. Youssef lui tapote le dos.
- Allez
Margot, je t'enlève ton autre chaussure.
Youssef
prend l'autre jambe et la pose sur ses genoux. Il défait consciencieusement la
sandale. Margot fume sa cigarette naïvement. Elle ne réalise absolument pas les
intentions de ces gars. Nico tend un verre à Margot. Youssef se met à lui
caresser les jambes, les cuisses. Nico passe derrière elle et lui fait un
massage. Patrick se lève à son tour et s'empare d'une jambe. Il est en face
d'elle. Margot se laisse faire. A son tour, il se met à caresser cette jambe
magnifique.
Youssef
commence à explorer un peu plus haut et met sa main en dessous la mini-jupe. Il
sent une culotte visiblement. Nico porte un verre à la bouche de Margot qui
avale sans broncher. Youssef parvient à tirer petit à petit la culotte qui au
final, s'avère être un string. Après l'avoir enlevée avec la complicité de
Patrick, il la porte à ses narines. Nico roule des pelles à maman maintenant et
commence à ploter ses nichons. Youssef retire la mini-jupe maintenant. Il la
déboutonne et défait la fermeture éclair.
Margot se
laisse enlever sa mini-jupe comme un pantin. Elle semble comme à moitié dans le
coma. Comme un zombie. Maintenant, il ne lui reste plus que son body. Sa chatte
est à l'air, touffue. Je vois le doigt de Youssef rentrer dans son vagin sous
le regard lubrique de Patrick. Margot commence à pousser un léger gémissement
en sentant son intimité explorée. Il finit par écarter les jambes de la femme
et à la lécher. Nico enlève le maillot de Margot. Ses gros seins retombent. Ils
sont vraiment énormes, provocants. Il plaque ses mains dessus et les malaxe.
Sous ses paumes, il sent les longs tétons durcis par l'excitation. Ils sont
lourds et moelleux au toucher. Je commence à sérieusement bander. Voir Nico
malaxer cette grosse paire de seins m'excite à fond.
Youssef se
met à boire la chatte de ma mère devenue une vraie fontaine. Les deux jambes de
maman sont sur ses épaules tandis qu'il lui dévore la chatte. Patrick défait sa
braguette et sort son sexe. Il se met au niveau de la tête de Margot. Margot
est à l'ouest. Sa tête est renversée vers l'arrière. Elle ne semble plus avoir
de volonté. Son corps réagit aux excitations et aux stimulations des trois
mecs.
Pourtant,
quand Patrick lui montre son sexe, elle le suce presque instinctivement. Ils
sont à trois dessus. Patrick se faisant sucer. Nico qui n'en finit pas de lui
malaxer les melons et Youssef toujours entre ses jambes. Je n'éprouve même pas
de gène ni de honte à voir ma mère se faire baiser devant moi. Voilà que Nico
dépose de la drogue sur la chatte de margot. Youssef plonge dedans tandis que
Nico, lui en dépose entre la fente des deux seins qu'elle maintient collé. Elle
regarde la poudre avec envie tout en ayant le gros sexe de Patrick dans sa
bouche, sa joue déformée par le gros gland excité.
Nico plonge
sa tête entre les lolos et respire à fond. Il fait une raie sur la table pour
Margot. Patrick retire son sexe de la bouche de la femme. Et là, je la vois, à
poil, se pencher sur la petite table du salon et aspirer ce poison avec une
paille. Elle pose ses deux mains sur sa poitrine et aspire. Elle est tellement
défaite qu'elle ne se rend pas compte que je suis là, en train de la regarder
se dépraver. Patrick se met à hauteur de son visage. Elle vide un verre et
Margot reprend le sexe en bouche. Youssef me regarde.
- Allez
viens, au lieu de regarder comme un con.
On défait
tous nos braguettes. Maman ne semble pas gêner que je participe à ces jeux
pervers. On a tous une gaule de folie. Je carre ma queue entre ses deux seins
qu'elle presse. Elle a dans sa bouche le sexe de Patrick. Mais elle alterne.
Patrick, Nico, Youssef. Ma bite disparaît entre les deux masses de chairs
mammaires. Elle est comme engloutie. Les trois gars se branlent alors tout en
se faisant sucer. Ils éjaculent presque en même temps sur le visage de ma mère.
Une quantité assez incroyable comme s'ils n'avaient pas baisé depuis des mois.
Je jute juste après entre ses deux seins. Ça fait un gros splash gluant. Margot
a la tête recouverte de liquide blanc. Bye Bye le beau maquillage. Ça coule de
partout. Maman se laisse tomber à la renverse et se tartine les seins de mon
sperme. Elle sue comme une fontaine. Sa chatte est humide comme c'est pas
possible. Youssef, encore excité, prend la bouteille de whisky et écarte les
cuisses de Margot.
- Aidez-moi.
Patrick et
Nico écarte les jambes de la femme. Il commence à la goder avec le culot de la
bouteille. Nico file à la cuisine et fouille dans le frigo. Dommage, ce n’est
pas la saison des courgettes ni des concombres. Il récupère une bouteille de
vin dans la poubelle. On retourne maman. Elle a la bouteille de whisky enfoncée
dans la chatte. Nico la sodomise avec la bouteille de vin. Margot hurle. Ça
fait mal.
Elle reste
comme ça à quatre pattes pendant presque un quart d'heure, l'anus et la chatte
dilatée au maximum. On reste à la regarder. Youssef remarque des pinces à
linge. On observe alors ses gros seins qui pendent. Youssef et moi prenons
chacun un des seins et on tire de chaque côté. Ils sont vraiment énormes. On
tire sur les tétons et on met les pinces. La douleur est cuisante. Elle est
très sensible des lolos et surtout des tétons. Des larmes de douleurs coulent.
Mais ce n'est pas fini. Il me vient une idée de pervers. Je vais récupérer de
la ficelle à la cuisine et on attache un bout de ficelle sur les pinces. Là, Youssef
et moi on tire doucement. Les tétons sont tirés de chaque côté.
- On va les
tirer vers l'avant !
Youssef et
moi on se met en face d'elle et on tire lentement. Les deux mamelles sont tirées
par le fil relié aux pinces. Les seins sont tellement lourds qu'on a peur que
leur poids arrache le téton. Mais il n'en est rien. On tend un peu les deux
fils et on attache ça aux tringles des rideaux. Les seins sont donc remontés
par l'avant. La douleur est atroce pour Margot. Hélas, ça ne tient pas. La
pince se barre du téton et l'un des lolos retombent lourdement. On se rend
compte du ridicule du truc. Ma mère est à quatre patte avec une bouteille dans
le cul et dans la chatte. Un nichon tiré vers le haut et l'autre qui pend
mollement vers le bas. La deuxième pince se barre et l'autre lolo retombe à son
tour.
On finit
alors par la dégoder et on lui vire la dernière pince. Ses deux trous lui font
mal. On a abusé. Elle se prend une rasade d'alcool et se fume clope sur clope.
Je réalise alors que ma mère est vraiment une dépravée quand elle s'y met. Elle
est là, au milieu de trois jeunes et même de son fils, à poil, se saoulant et
se droguant. La scène est vraiment orgiaque. Dire que cette femme aux gros
seins est ma mère. Au bout de trois quart d'heure, elle comate sur le canapé.
J'ai
empoigné les deux lolos de maman. Je les tripote n'importe comment. Elle ne
réagit pas des masses et dort à moitié en gémissant. Youssef se met par terre
sur le dos et on la met dessus. On est à deux à porter maman par les bras. Elle
pend mollement entre nos mains. Elle s'empale directement sur sa queue en
érection. Patrick la maintient par derrière, les deux mains plaquées sur les
nichons. Youssef commence à la limer. Elle ne peut ignorer les coups de sexe
qui la fouille et la voilà qui remouille. Patrick la relâche. Youssef peut voir
en contre plongée les deux énormes melons qui bougent dans tous les sens. Il ne
peut s'empêcher de les peloter. Le plaisir regagne alors maman qui sort de son
demi coma. Elle écarte davantage les cuisses sur l'homme qui la saisit par les
hanches pour cadencer le va et vient. Sentir cette queue en elle la fouiller la
fait gémir de plaisir.
Les seins de
Margot excitent Youssef en bougeant n'importe comment. Ils sont vraiment gros.
Les auréoles marrons autour des tétons sont assez larges. Les tétons sont
longs. Ah, combien de mecs dans sa vie ont dû les sucer, peloter ses deux
masses de chairs. Patrick toujours derrière elle a posé ses deux mains sur les
seins si gros. Il a une gaule pas possible. Sentir les seins moelleux entre ses
mains. Il commence à se masturber d'une main tandis qu'il tient un sein de
l'autre. Puis il lâche le sein. Elle se vautre sur Youssef. La poitrine de
Margot fait office d'air bag. Il sent les seins de la femme sur sa poitrine.
Patrick
passe derrière elle et sort sa grosse pine. Il la lubrifie à peine avec un
crachat et écarte les deux fesses. Il l'encule alors. Elle sent les deux sexes
fouiller ses entrailles en même temps. Youssef n'en peut plus. Il sent le
contact des deux nichons sur son torse et il n'arrive plus à contenir son jus.
Il se lâche. Le liquide fécond se répand en elle. Youssef gémit en se lâchant.
Patrick fait pareil. A force de grand coup de rein, il finit par s'exciter au
plus haut point et il jute dans le conduit culier. Margot ouvre la bouche, la
tête en arrière et pousse un long râle de plaisir. Ses cheveux sont collés à
son visage par le sperme et la sueur. Les deux hommes la lime tant qu'ils
peuvent jusqu'à épuisement. Margot commence à hurler. Elle ne domine plus rien.
Seul son corps réagit. Nico en profite pour passer devant. A force de voir la
bouche de la femme ouverte, ça lui donne envie de se faire sucer. Il introduit
son sexe dans la bouche de maman qui se met à le sucer tout en se faisant
baiser par Youssef et enculer par Patrick. Il lui éjacule rapidement dans la
bouche. Margot manque de s'étouffer et tousse comme une folle. Elle se laisse
tomber sur Youssef, épuisée. Les trois mecs se retournent alors vers moi.
- Allez, a
ton tour !
Youssef la
repousse et la met sur le dos. Patrick prend une jambe et Youssef l'autre. Ils
écartent ses deux jambes pour me montrer le sexe béant et touffu.
- Profites
d'avoir une pute sous la main.
Nico lui
tient les bras. Youssef se met alors à écarter les lèvres du sexe. J'ai une
gaule de fou et je plonge sur elle. Les deux gars écartent encore plus les
cuisses de maman.
- Vas-y ! bourre-la
cette salope !
Sans
réfléchir, j'y vais tel un dégénéré. Baiser ma propre mère devant ces mecs.
Quel malade je fais. La vue de ses nichons décidément si gros anéantit les
dernières barrières de lucidité en moi. Et j'enfonce mon gros sexe dans la
chatte de Margot sous les encouragements. Mes mains ne cessent de malaxer les
deux gros melons. Les deux collègues écartent encore plus les deux jambes de
margot, les tirant de chaque côté. Nico excité comme un fou, lui maintient les
bras joint en arrière. On pourrait presque croire à une scène de viol de
dépravé. Ma mère est à demi dans le cirage et ne réalise pas ce qui se passe ou
elle s'en fiche. La drogue, l'alcool ont sapé sa lucidité. Seul son corps
réagit. Et pour elle, je suis un mec de plus avec une queue qui la fourre. Plus
de barrière, plus de tabou, tout est transgressé, détruit. Son regard a perdu
toute lucidité.
Tout en la
baisant, je regarde son visage. Fini le beau maquillage et les cheveux soyeux.
Tout n'est qu'un mélange de cheveux, de sperme et d'alcool. Son rouge à lèvre
s'est dilué et son maquillage a coulé. Ce qui la rendait belle, la rend moche.
Mais à ce stade d'ébriété et d'excitation, ce n'est plus son visage qui nous
intéresse. Juste ses trous et sa paire de mamelles. Mes mains pelotent les deux
énormes seins. Eux aussi sont coulant de jus. Ils sont tout gluant de sperme
mais je m'en fous. Je lui mordille ses longs tétons. Son corps est tout suant.
Je finis par me vider en elle à mon tour, épuisé.
Il est trois
heures et demi du mat. Voilà que maman tente d'avaler un dernier verre mais là,
c'est trop. Elle se tient le ventre. Elle a mal. Le foie à ses limites. Elle
porte sa main à la bouche et va en titubant vers les toilettes. On entend des
bruits de vomissements. C'est le comble. Elle gerbe de toute ses tripes on
dirait. On l'entend gémir. Dire que cette femme est censée être un modèle. Une
sportive, une mère, une prof de français. Voilà, ce qu'elle est capable de
devenir : une pute dépravée.
- Eh ben,
elle en tient une belle ta reum.
A nouveau
elle vomit. Elle se purge de toutes les saloperies qu'elle a pris. Ses
entrailles sont en feu. Son estomac, ses intestins, son foie ont dû en prendre
un sacré coup. On va la voir dans les chiottes. Elle en a mis partout et ça a
même couler sur sa paire de gros lolos.
- Berk !
Quelle truie.
- On va la
foutre sous la douche.
On la prend
à trois et on fait couler la douche. On la nettoie de la tête au pied. On prend
notre pied à lui laver la chatte et les seins. Après l'avoir séchée, on la met
sur son lit. Elle est tellement défaite, qu'on dirait un pantin ou même une
poupée gonflable vivante. On peut faire de son corps ce que l'on veut. Mais
bon, pour cette nuit ça suffit.
- On lui met
un truc pour dormir ?
- Non, laisse-la
à poil. Elle n’a pas besoin de fringue.
On la met
dans le lit, on la couvre et on va se boire un dernier verre.
- Quelle
partouze ! ta mère, excuse-moi des mots, mais c'est vraiment une sacrée chienne.
J'ai jamais vu ça. Veinard.
- Je crois
que le cacheton que vous avez mis dans le verre y ‘est pour quelque chose !
- Peut-être
mais bon, tu devines que je la connaissais avant, margot.
- Oui.
-Je peux te
dire que là, elle a atteint des sommets de perversité.
- Oui, et
j'espère que je vous ai pas choqué par le fait que je l'ai baisée.
- Non et de
toute façon, ce n'était plus ta mère à ce niveau-là, mais une chatte.
- Il faudra
qu'on remette ça.
- Youssef à
raison, sylvain, maintenant, on peut se la taper comme on veut.
- On
remettra ça, sûrement les gars mais gardez ça pour vous. Si ça se sait, je vais
avoir des ennuis et je ne veux pas non plus que mon père le sache. Sinon, le
divorce.
- Ton père
doit forcément sans douter !
- Non, du moins
j'espère. Il croit que maman a arrêté ses parties de jambes en l'air depuis la
fac.
- En tous
cas, pas de problème pour nous.
Sur ces
belles paroles, ils se cassent et il est quatre heures. Je réalise alors ce
qu'on a fait. C'était vraiment grave. Je vais voir maman. Nue sous la
couverture, elle s'est endormie sur le dos. Elle ronfle. Ils ont oublié de lui
couvrir sa poitrine. Pfou, qu'ils sont gros ses nichons. Je les caresse un
moment et je vais dormir.
Réveil vers quatorze
heures avec la gueule de bois. Ma mère est pitoyable à voir. La gueule de mort
vivante, des cernes rouges. Elle a mis son pyjama moche. Elle n'ose me
regarder.
- Alors, maman,
bien dormie.
- Je ...je
suis désolée Sylvain, oh mon dieu.
Elle
sanglote.
-Quelle
honte, quelle honte.
- Ça tu peux
le dire ! On aurait dit une vraie dépravée hier. Je crois même que j'ai une
maman nymphomane.
- Non,
Sylvain, ne dis pas ça, merde. Je...c'est l'alcool.
- Oui, mais
il est révélateur. Tu es une vraie pute, je suis désolée de te le dire.
- Non,
sylvain, je t'interdis...
- Maintenant,
tu vas faire ce que je te dis sinon je dénonce.
- Quoi ?
mais je croyais...
- Non, tu es
allée trop loin hier. Il va te falloir assumer.
- Mais...
- Maintenant,
je veux que tu te mette à poil. Vire ton sale pyjamas. Allez !
- Sylvain,
arrête.
- A poil,
j'ai dit.
A force
d'insister et de menace, elle finit par céder, honteuse.
- Je
t'interdis de t'habiller jusqu'à demain matin.
- Sylvain,
je dois aller faire des courses.
- Eh bien,
si tu veux faire des courses, tu iras à poil mais interdiction de mettre des
habits.
Résignée,
Margot sait qu'elle va passer sa journée à l'appart. Ainsi, je la vois la
journée en train de faire ses taches ménagère, nue comme un ver. Elle passe
l'aspirateur, fait la vaisselle, et passe la serpillière. Je regarde à volonté
son cul, ses jambes et ses magnifiques lolos qui bougent. Elle nettoie aussi
les toilettes qu'elle a souillées, hier. Elle n'ose pas faire les vitres de
peur d'être aperçue par des gens par la fenêtre. Au début, gênée, elle finit
par s'y faire et vers la soirée, cela ne l'affecte même plus. Malgré ses abus,
elle garde un corps vraiment bandant. Encore vaseuse, elle file se coucher tôt.
Voilà, maintenant, je la tiens. Les idées les plus malades me passent par la
tête. Que vais-je faire d'elle maintenant ? refaire une partouze,
l'exhiber en public habillée comme une salope ou pourquoi pas aller à l'extrême
: Lui faire faire la pute ou la faire carrément violer. Tout un programme.
A suivre…
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