dimanche 14 octobre 2018

Margot est une salope Ch.05

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Soirée entre amis.


Les fêtes se sont passées calmement en famille et depuis notre nuit, maman et moi n'avons pas recommencé nos ébats. Nous avons regagné l'appart et repris nos activités. Elle, son boulot de prof de français à mi-temps et moi, mes études. Mais, il est clair qu'il y a du changement dans l'appart.

D'abord, maman fume et boit ouvertement et est plus ouverte avec moi, moins distante en ce qui concerne le cul. On en discute pas mal pour ainsi dire. Ses tenues sont plus décontractées sans être sexy forcément et il y‘a comme un relâchement. Je crois que ça a fait du bien à tout le monde de mettre les choses à plat. Maintenant elle sait que je suis au courant de ses aventures extra conjugales. Je ne la fais même plus chanter d'ailleurs et on n’a pas reparlé des vidéos. Mais j'envisage toujours de remettre ça.

Elle m'a autorisé à la raccompagner à ses cours de danse du jeudi histoire de me rincer l'œil avec ses élèves. Bien qu'il faille avouer que la star du cours, c'est elle. Pourtant, ses élèves sont pas mal, de mon âge pour la plupart, 18, 20 ans et bien foutue. Mais elles n'ont pas les atouts que possèdent maman. Notamment sa superbe poitrine et ses fesses musclées et rebondies.

Elle met un ensemble body qui moule ses seins (bleu ou rose) et un short noir tout aussi moulant qui met en valeur la rondeur de ses cuisses musclées. Ses formes bougent lorsqu'elle montre les exercices et qu'elle y participe sous fond de musique. Ses seins sautent en cadence et ses fesses musclées rebondissent. Autour, il y a des admirateurs qui viennent soi-disant pour le sport mais qui sont là pour se rincer l'œil comme moi, voir toutes ses filles se trémousser, faire valoir leur charme. Et surtout leur prof, qui malgré ses 44 ans, est de loin, la plus souple et sexy de toute. Le teint mat avec des yeux noisette en amande, elle a des cheveux mi long qu'elle attache en arrière. C'est un plaisir et une torture de la voir bouger son corps, ce corps d'1m68 pour 62 kg. C'est aussi bizarre de la voir se comporter en sportive et en femme modèle alors qu'elle fume, boit beaucoup et se drogue des fois. Pour le moment, ça n'affecte pas son corps mais tôt ou tard, si elle continue, elle devra payer la facture. Surtout que ces derniers temps, elle se poudre le nez de temps en temps seule alors qu'elle le faisait que pendant les fêtes avec ses amants.

 Nous rentrons ce soir-là. Elle est toute propre, sortie de la douche des filles. En arrivant à l'appart, elle se met en pyjamas et se verse un verre. Je décide de rester avec elle ce soir. Je veux en savoir plus sur ses amants actuels car elle ne m’en parle pas beaucoup finalement. Elle préfère me livrer ses secrets de jeunesse à la fac où elle avait la réputation d'être une grosse chaude qui couche à tout va. Je m'assois à côté d'elle. Elle est les jambes repliées sur le canapé. J'engage la conversation texto :

- Tu sais maman, je serais curieux de rencontrer Jacques ou Nico !

- Quoi ? Mais pourquoi faire Sylvain ?

- Comme ça ! Ils ont l'air sympa et Nico est presque de mon âge !

- Non, je ne veux pas ! C'est gênant. Je ne tiens pas à ce que tu les rencontre.

- Tu as honte de moi ?

- Non, mais je ne veux pas que tu les côtoie et en plus, ils sont malsains.

- Je pensais pourtant qu'on avait dépassé les limites l'autre nuit.

- Tu insistes alors. Décidément, on aura tout vu ici ! Tu veux devenir ami avec les amants de ta propre mère ? Normalement, tu devrais les détester, être jaloux.

- Je ne suis pas jaloux et de toute façon, maintenant je sais tout. Je pense que ce serait bien qu'on devienne tous impliqué dans cette histoire.

- C'est-à-dire ?

- J'ai envie de les connaître, c'est tout ! tu ne m’en parles pas trop ! Tu me parles plus de tes actions à la fac mais pas les actuelles.

- Il me semble que tu as des petits souvenirs de mes actions actuelles !

- Oui mais bon, j'ai envie de choses nouvelles. Et puis, ce sera l'occasion de faire une fête entre nous, non ? un petit repas, etc…

- Hum...De toute façon, pour Jacques, je ne le revois plus trop en ce moment. J'ai contact qu'avec Nico.

- On a qu'à l'inviter la semaine prochaine.

- On verra, j'y réfléchirai, mon chéri, mais je ne sais pas ce que tu as derrière la tête. Ce n’est pas sain tout ça et ça risque de mal se terminer nos histoires.

- Je sais que Nico te file des substances mais à la limite, c'est toi qui vois. Je sais que c'est un drogué et qu’il n’est pas très fréquentable.

- Tu sais, j'ai eu de gros ennuis avec la drogue durant mes études. Que j'en prenne même maintenant, c'est vrai que c'est mon problème. Mais je ne veux pas que tu tombes là-dedans. Tu ne peux pas t'imaginer ce qu'on est prête à faire quand on est accroc. J'en sais quelque chose, crois-moi.

Elle lève les yeux et repense au passé. Je n’insiste pas sur ce sujet.

Après cette discussion, on va au lit. Je télécharge quelques vidéos de cul. Surtout des gang-bang et des partouzes. Un peu blasé car j'en ai vu des centaines. Mais le fait d'imaginer maman à la place de ces femmes qui se font saillir m'excite. La semaine passe et je n’arrête pas d'insister sur cette soirée à venir. Elle essaie d'éviter le sujet mais je reviens à la charge. Je veux qu'elle fasse une fête à l'appart avec Nico. Après l'avoir ennuyé sans cesse, elle se décide à faire ça le Mardi soir, d'autant plus qu’elle n’a pas cours le lendemain. Donc un repas le soir avec Nico mais pas Jacques.

Le mardi arrive enfin. Mon impatience est grande. J'aide maman à faire la cuisine. Elle se doute bien que je suis excité comme un fou et ça l'amuse on dirait.

- Alors, Sylvain, c'est rare de te voir à la cuisine.

- Oui, mais bon, c'est une soirée spéciale aujourd'hui.

- Je m'en doute. Tu n'as pas arrêté de m'ennuyer avec ça toute la semaine.

- Ce Nico , j'ai trop hâte de le rencontrer.

- Oui, eh bien ne parle pas trop de ce que tu sais. Il n'est pas au courant que tu as tout découvert.

- Et tu vas t'habiller sexy j'espère.

- Ai-je le choix ? De toute façon, Nico m'a déjà dit au téléphone d'être habillée mini.

- Tu vas mettre ta minijupe ?

- Oui, et ne fais pas de crise car elle est vraiment très très courte. J'ai très honte de la mettre. Même quand j'avais 20 ans, je n'en portais jamais d'aussi courte.

- OH, je suis d'accord mais met un décolleté du feu de dieu, s'il te plait.

- Mais je vais avoir l'air d'une pute ! Tu es malade, toi.

- S'il te plait ! Je ferai toute la vaisselle de la soirée.

- Bon, d'accord ! et puis en ce moment, je n’en mets pas à cause du froid. Monte le chauffage alors.

- Je vais le mettre à fond, t'inquiète.

Pour l’instant, maman semble prendre tout ça pour un jeu mais moi, ça m'excite vraiment. Ça ne la gêne plus de se mettre en valeur devant moi. On finit le poulet frite et on met le tout au four.

- Bon, eh bien, prépare la table et les apéritifs ! Je vais me faire belle.

- Oui, maman.

Je suis comme un chien chien. Je me mets au boulot en essayant d'imaginer ma mère se préparant. J'entends la douche qui coule. Au bout de dix minutes, j'entends sonner. Je me précipite pour ouvrir. Je reconnais Nico mais lui ne me connaît pas. Mais il n'est pas seul. Il est accompagné de deux copains avec de drôles de têtes.

- Salut, je suis Nico, un copain de Margot et j'ai ramené deux collègues : Patrick et Youssef.

- Moi, c'est Sylvain ! Euh, je suis le fils de margot.

- Ah, tu es son fils ? Elle ne nous avait pas dit que tu serais là.

Ça à l'air de les gêner.

- Ah bon ! c'est pas cool ça.

- Bof, c'est pas grave. Elle a voulu nous faire une surprise sans doute.

- Oui. D'ailleurs, ma mère se prépare là.

- Elle est à la salle de bain. Décidément, elle ne change pas.

- Asseyez vous.

Je verse un apéritif pour tous en attendant mais la porte s'ouvre.

- Ouh la vache, Margot ! tu es...hmmmm

Nico et les autres se lèvent. Ils applaudissent et y a de quoi. Quelle vision fantastique. Ma mère venait de sortir de la salle de bain. Une vraie bombe à sperme. Un peu trop maquillée à mon goût mais je l'ai rarement vu comme ça. J'ai du mal à la reconnaître et on dirait qu'elle a carrément rajeunie. Ses cheveux lui tombent jusqu'au cou. Ils sont noirs et lisses. Ses yeux sont marrons, en amande et elle a mis du rouge à lèvre.

Mais elle a bien joué pour ses vêtements. D'abord son haut. Elle a mis un de ses maillot de danse. Une sorte de body noir à tissu fin, bien moulant avec de petites bretelles. D'habitude, elle met un soutien-gorge en dessous pour éviter que ça remue mais là , elle en a pas mis. Ce qui fait que quand elle marche, on a l'impression que ça ballonne. Maman a toujours eu de gros seins et elle a toujours joué de ses magnifiques attributs. Ce qui est génial, c'est qu'ils sont naturels et pas siliconés. Ils tombent un peu, c'est sûr mais la loi de la gravité est incontournable. Le volume impressionnant de sa poitrine capte aussitôt l'attention. On regarde tous aussi son ventre, nu. Le sport, ça conserve mais elle a un début de bidon. Très léger. Mais ça, c'est naturel aussi. Par contre, ses jambes sont parfaites. Elle a mis sa mini comme promis. Elle est tellement mini qu'elle ressemble à une culotte noire et en cuir. Ses deux fesses musclées ressortent et moule l'habit fin. Ses cuisses sont musclées et magnifiques sans oublier ses mollets ronds. Elle n'a pas mis de bas et d'ailleurs, au final, c'est aussi joli comme ça. Elle a mis comme chaussures, des sandales noires très fines avec de hauts talons. Maman nous offre un magnifique étalage de ses charmes. Nico va lui dire bonjour ainsi que les deux autres.

- Tu pourrais prévenir, quand tu amènes des amis quand même.

- Ils étaient avec moi, je n’allais pas les larguer.

- Sylvain, mets deux couverts de plus alors.

Elle va s'asseoir avec eux tandis que je mets la table. Rapidement, ils se mettent à rire et commence à s'enfiler verre sur verre. En fait, je me sens un peu exclu. On a tous le regard rivé sur la poitrine de Margot ou ses jambes. On se pose tous la question de savoir si elle a mis une culotte ou pas.

- Allez, les enfants, on va a table !

- Oui.

Le repas se passe bien, dans la bonne humeur. On siffle une bouteille de vin en même temps. Maman se lève alors pour aller aux toilettes. J'en profite pour débarrasser. Là, je vois Nico qui met un truc dans le verre de maman sous l'œil complice de ses collègues. Ok, j'ai compris : Que maman le veuille ou non, il y'aura une partouze ce soir. Ils sont décidés et sont venus pour ça je suppose. Ils m'ignorent presque. Maman revient.

- Allons au salon.

- Oui, mais finis ton verre de vin maman, cul sec !

Là, Nico me regarde satisfait. A-t-il deviné que je suis complice avec eux ?

- Ouh, je risque d'être pompette rapidement.

Elle va s'asseoir sur le canapé. Elle est entre Nico et Youssef. Patrick et moi, assis sur les deux fauteuils à côté. J'ouvre une nouvelle bouteille. Le bar est presque vide. Ils s'allument tous une cigarette. Au bout d'un quart d'heure, maman ne sait plus trop ce qu'elle dit. Je me risque.

- Alors, les gars, on dirait que le vin fait son effet.

- Quoi ?

- Z'inquiétez pas, je suis de tout cœur avec vous.

Margot me regarde :

- Tu dis quoi , mon chéri ?

- Juste que le vin nous fait tous tourner la tête.

Elle rit bêtement et se rallume une cigarette. L'effet monte toujours. Nico commence à la caresser et à l'embrasser en me regardant du coin de l'œil. Il voit alors que je suis ok avec lui. Ils savent que je suis complice avec eux maintenant. Plus de fioritures. Youssef la chatouille tandis que Nico sort de la substance illicite. Il me demande :

- T'en prends ?

- Non !

Youssef alors prend la jambe de maman et la pose sur ses genoux. Il lui enlève sa sandale. Il se met à lui embrasser le pied.

- Hihihi ! Ça chatouille.

On dirait que ma mère ne réalise pas. Je ne sais pas ce que Nico à foutu dans le vin mais ça rend abruti. Youssef s'amuse avec les doigts de pied de Margot tandis que Nico a fait sa part à chacun.

- Tous ensemble et Margot aussi !

Elle obéit sans réaliser qu'elle est devant moi. Qu'elle va se droguer devant son propre fils. Elle est complètement à côté de la plaque. Ses yeux sont tous bizarres. Elle aspire la substance illicite en tenant sa cigarette à la main. Sa jambe est toujours sur Youssef. Elle tousse. Youssef lui tapote le dos.

- Allez Margot, je t'enlève ton autre chaussure.

Youssef prend l'autre jambe et la pose sur ses genoux. Il défait consciencieusement la sandale. Margot fume sa cigarette naïvement. Elle ne réalise absolument pas les intentions de ces gars. Nico tend un verre à Margot. Youssef se met à lui caresser les jambes, les cuisses. Nico passe derrière elle et lui fait un massage. Patrick se lève à son tour et s'empare d'une jambe. Il est en face d'elle. Margot se laisse faire. A son tour, il se met à caresser cette jambe magnifique.

Youssef commence à explorer un peu plus haut et met sa main en dessous la mini-jupe. Il sent une culotte visiblement. Nico porte un verre à la bouche de Margot qui avale sans broncher. Youssef parvient à tirer petit à petit la culotte qui au final, s'avère être un string. Après l'avoir enlevée avec la complicité de Patrick, il la porte à ses narines. Nico roule des pelles à maman maintenant et commence à ploter ses nichons. Youssef retire la mini-jupe maintenant. Il la déboutonne et défait la fermeture éclair.

Margot se laisse enlever sa mini-jupe comme un pantin. Elle semble comme à moitié dans le coma. Comme un zombie. Maintenant, il ne lui reste plus que son body. Sa chatte est à l'air, touffue. Je vois le doigt de Youssef rentrer dans son vagin sous le regard lubrique de Patrick. Margot commence à pousser un léger gémissement en sentant son intimité explorée. Il finit par écarter les jambes de la femme et à la lécher. Nico enlève le maillot de Margot. Ses gros seins retombent. Ils sont vraiment énormes, provocants. Il plaque ses mains dessus et les malaxe. Sous ses paumes, il sent les longs tétons durcis par l'excitation. Ils sont lourds et moelleux au toucher. Je commence à sérieusement bander. Voir Nico malaxer cette grosse paire de seins m'excite à fond.

Youssef se met à boire la chatte de ma mère devenue une vraie fontaine. Les deux jambes de maman sont sur ses épaules tandis qu'il lui dévore la chatte. Patrick défait sa braguette et sort son sexe. Il se met au niveau de la tête de Margot. Margot est à l'ouest. Sa tête est renversée vers l'arrière. Elle ne semble plus avoir de volonté. Son corps réagit aux excitations et aux stimulations des trois mecs.

Pourtant, quand Patrick lui montre son sexe, elle le suce presque instinctivement. Ils sont à trois dessus. Patrick se faisant sucer. Nico qui n'en finit pas de lui malaxer les melons et Youssef toujours entre ses jambes. Je n'éprouve même pas de gène ni de honte à voir ma mère se faire baiser devant moi. Voilà que Nico dépose de la drogue sur la chatte de margot. Youssef plonge dedans tandis que Nico, lui en dépose entre la fente des deux seins qu'elle maintient collé. Elle regarde la poudre avec envie tout en ayant le gros sexe de Patrick dans sa bouche, sa joue déformée par le gros gland excité.

Nico plonge sa tête entre les lolos et respire à fond. Il fait une raie sur la table pour Margot. Patrick retire son sexe de la bouche de la femme. Et là, je la vois, à poil, se pencher sur la petite table du salon et aspirer ce poison avec une paille. Elle pose ses deux mains sur sa poitrine et aspire. Elle est tellement défaite qu'elle ne se rend pas compte que je suis là, en train de la regarder se dépraver. Patrick se met à hauteur de son visage. Elle vide un verre et Margot reprend le sexe en bouche. Youssef me regarde.

- Allez viens, au lieu de regarder comme un con.

On défait tous nos braguettes. Maman ne semble pas gêner que je participe à ces jeux pervers. On a tous une gaule de folie. Je carre ma queue entre ses deux seins qu'elle presse. Elle a dans sa bouche le sexe de Patrick. Mais elle alterne. Patrick, Nico, Youssef. Ma bite disparaît entre les deux masses de chairs mammaires. Elle est comme engloutie. Les trois gars se branlent alors tout en se faisant sucer. Ils éjaculent presque en même temps sur le visage de ma mère. Une quantité assez incroyable comme s'ils n'avaient pas baisé depuis des mois. Je jute juste après entre ses deux seins. Ça fait un gros splash gluant. Margot a la tête recouverte de liquide blanc. Bye Bye le beau maquillage. Ça coule de partout. Maman se laisse tomber à la renverse et se tartine les seins de mon sperme. Elle sue comme une fontaine. Sa chatte est humide comme c'est pas possible. Youssef, encore excité, prend la bouteille de whisky et écarte les cuisses de Margot.

- Aidez-moi.

Patrick et Nico écarte les jambes de la femme. Il commence à la goder avec le culot de la bouteille. Nico file à la cuisine et fouille dans le frigo. Dommage, ce n’est pas la saison des courgettes ni des concombres. Il récupère une bouteille de vin dans la poubelle. On retourne maman. Elle a la bouteille de whisky enfoncée dans la chatte. Nico la sodomise avec la bouteille de vin. Margot hurle. Ça fait mal.

Elle reste comme ça à quatre pattes pendant presque un quart d'heure, l'anus et la chatte dilatée au maximum. On reste à la regarder. Youssef remarque des pinces à linge. On observe alors ses gros seins qui pendent. Youssef et moi prenons chacun un des seins et on tire de chaque côté. Ils sont vraiment énormes. On tire sur les tétons et on met les pinces. La douleur est cuisante. Elle est très sensible des lolos et surtout des tétons. Des larmes de douleurs coulent. Mais ce n'est pas fini. Il me vient une idée de pervers. Je vais récupérer de la ficelle à la cuisine et on attache un bout de ficelle sur les pinces. Là, Youssef et moi on tire doucement. Les tétons sont tirés de chaque côté.

- On va les tirer vers l'avant !

Youssef et moi on se met en face d'elle et on tire lentement. Les deux mamelles sont tirées par le fil relié aux pinces. Les seins sont tellement lourds qu'on a peur que leur poids arrache le téton. Mais il n'en est rien. On tend un peu les deux fils et on attache ça aux tringles des rideaux. Les seins sont donc remontés par l'avant. La douleur est atroce pour Margot. Hélas, ça ne tient pas. La pince se barre du téton et l'un des lolos retombent lourdement. On se rend compte du ridicule du truc. Ma mère est à quatre patte avec une bouteille dans le cul et dans la chatte. Un nichon tiré vers le haut et l'autre qui pend mollement vers le bas. La deuxième pince se barre et l'autre lolo retombe à son tour.

On finit alors par la dégoder et on lui vire la dernière pince. Ses deux trous lui font mal. On a abusé. Elle se prend une rasade d'alcool et se fume clope sur clope. Je réalise alors que ma mère est vraiment une dépravée quand elle s'y met. Elle est là, au milieu de trois jeunes et même de son fils, à poil, se saoulant et se droguant. La scène est vraiment orgiaque. Dire que cette femme aux gros seins est ma mère. Au bout de trois quart d'heure, elle comate sur le canapé.

J'ai empoigné les deux lolos de maman. Je les tripote n'importe comment. Elle ne réagit pas des masses et dort à moitié en gémissant. Youssef se met par terre sur le dos et on la met dessus. On est à deux à porter maman par les bras. Elle pend mollement entre nos mains. Elle s'empale directement sur sa queue en érection. Patrick la maintient par derrière, les deux mains plaquées sur les nichons. Youssef commence à la limer. Elle ne peut ignorer les coups de sexe qui la fouille et la voilà qui remouille. Patrick la relâche. Youssef peut voir en contre plongée les deux énormes melons qui bougent dans tous les sens. Il ne peut s'empêcher de les peloter. Le plaisir regagne alors maman qui sort de son demi coma. Elle écarte davantage les cuisses sur l'homme qui la saisit par les hanches pour cadencer le va et vient. Sentir cette queue en elle la fouiller la fait gémir de plaisir.

Les seins de Margot excitent Youssef en bougeant n'importe comment. Ils sont vraiment gros. Les auréoles marrons autour des tétons sont assez larges. Les tétons sont longs. Ah, combien de mecs dans sa vie ont dû les sucer, peloter ses deux masses de chairs. Patrick toujours derrière elle a posé ses deux mains sur les seins si gros. Il a une gaule pas possible. Sentir les seins moelleux entre ses mains. Il commence à se masturber d'une main tandis qu'il tient un sein de l'autre. Puis il lâche le sein. Elle se vautre sur Youssef. La poitrine de Margot fait office d'air bag. Il sent les seins de la femme sur sa poitrine.

Patrick passe derrière elle et sort sa grosse pine. Il la lubrifie à peine avec un crachat et écarte les deux fesses. Il l'encule alors. Elle sent les deux sexes fouiller ses entrailles en même temps. Youssef n'en peut plus. Il sent le contact des deux nichons sur son torse et il n'arrive plus à contenir son jus. Il se lâche. Le liquide fécond se répand en elle. Youssef gémit en se lâchant. Patrick fait pareil. A force de grand coup de rein, il finit par s'exciter au plus haut point et il jute dans le conduit culier. Margot ouvre la bouche, la tête en arrière et pousse un long râle de plaisir. Ses cheveux sont collés à son visage par le sperme et la sueur. Les deux hommes la lime tant qu'ils peuvent jusqu'à épuisement. Margot commence à hurler. Elle ne domine plus rien. Seul son corps réagit. Nico en profite pour passer devant. A force de voir la bouche de la femme ouverte, ça lui donne envie de se faire sucer. Il introduit son sexe dans la bouche de maman qui se met à le sucer tout en se faisant baiser par Youssef et enculer par Patrick. Il lui éjacule rapidement dans la bouche. Margot manque de s'étouffer et tousse comme une folle. Elle se laisse tomber sur Youssef, épuisée. Les trois mecs se retournent alors vers moi.

- Allez, a ton tour !

Youssef la repousse et la met sur le dos. Patrick prend une jambe et Youssef l'autre. Ils écartent ses deux jambes pour me montrer le sexe béant et touffu.

- Profites d'avoir une pute sous la main.

Nico lui tient les bras. Youssef se met alors à écarter les lèvres du sexe. J'ai une gaule de fou et je plonge sur elle. Les deux gars écartent encore plus les cuisses de maman.

- Vas-y ! bourre-la cette salope !

Sans réfléchir, j'y vais tel un dégénéré. Baiser ma propre mère devant ces mecs. Quel malade je fais. La vue de ses nichons décidément si gros anéantit les dernières barrières de lucidité en moi. Et j'enfonce mon gros sexe dans la chatte de Margot sous les encouragements. Mes mains ne cessent de malaxer les deux gros melons. Les deux collègues écartent encore plus les deux jambes de margot, les tirant de chaque côté. Nico excité comme un fou, lui maintient les bras joint en arrière. On pourrait presque croire à une scène de viol de dépravé. Ma mère est à demi dans le cirage et ne réalise pas ce qui se passe ou elle s'en fiche. La drogue, l'alcool ont sapé sa lucidité. Seul son corps réagit. Et pour elle, je suis un mec de plus avec une queue qui la fourre. Plus de barrière, plus de tabou, tout est transgressé, détruit. Son regard a perdu toute lucidité.

Tout en la baisant, je regarde son visage. Fini le beau maquillage et les cheveux soyeux. Tout n'est qu'un mélange de cheveux, de sperme et d'alcool. Son rouge à lèvre s'est dilué et son maquillage a coulé. Ce qui la rendait belle, la rend moche. Mais à ce stade d'ébriété et d'excitation, ce n'est plus son visage qui nous intéresse. Juste ses trous et sa paire de mamelles. Mes mains pelotent les deux énormes seins. Eux aussi sont coulant de jus. Ils sont tout gluant de sperme mais je m'en fous. Je lui mordille ses longs tétons. Son corps est tout suant. Je finis par me vider en elle à mon tour, épuisé.

Il est trois heures et demi du mat. Voilà que maman tente d'avaler un dernier verre mais là, c'est trop. Elle se tient le ventre. Elle a mal. Le foie à ses limites. Elle porte sa main à la bouche et va en titubant vers les toilettes. On entend des bruits de vomissements. C'est le comble. Elle gerbe de toute ses tripes on dirait. On l'entend gémir. Dire que cette femme est censée être un modèle. Une sportive, une mère, une prof de français. Voilà, ce qu'elle est capable de devenir : une pute dépravée.

- Eh ben, elle en tient une belle ta reum.

A nouveau elle vomit. Elle se purge de toutes les saloperies qu'elle a pris. Ses entrailles sont en feu. Son estomac, ses intestins, son foie ont dû en prendre un sacré coup. On va la voir dans les chiottes. Elle en a mis partout et ça a même couler sur sa paire de gros lolos.

- Berk ! Quelle truie.

- On va la foutre sous la douche.

On la prend à trois et on fait couler la douche. On la nettoie de la tête au pied. On prend notre pied à lui laver la chatte et les seins. Après l'avoir séchée, on la met sur son lit. Elle est tellement défaite, qu'on dirait un pantin ou même une poupée gonflable vivante. On peut faire de son corps ce que l'on veut. Mais bon, pour cette nuit ça suffit.

- On lui met un truc pour dormir ?

- Non, laisse-la à poil. Elle n’a pas besoin de fringue.

On la met dans le lit, on la couvre et on va se boire un dernier verre.

- Quelle partouze ! ta mère, excuse-moi des mots, mais c'est vraiment une sacrée chienne. J'ai jamais vu ça. Veinard.

- Je crois que le cacheton que vous avez mis dans le verre y ‘est pour quelque chose !

- Peut-être mais bon, tu devines que je la connaissais avant, margot.

- Oui.

-Je peux te dire que là, elle a atteint des sommets de perversité.

- Oui, et j'espère que je vous ai pas choqué par le fait que je l'ai baisée.

- Non et de toute façon, ce n'était plus ta mère à ce niveau-là, mais une chatte.

- Il faudra qu'on remette ça.

- Youssef à raison, sylvain, maintenant, on peut se la taper comme on veut.

- On remettra ça, sûrement les gars mais gardez ça pour vous. Si ça se sait, je vais avoir des ennuis et je ne veux pas non plus que mon père le sache. Sinon, le divorce.

- Ton père doit forcément sans douter !

- Non, du moins j'espère. Il croit que maman a arrêté ses parties de jambes en l'air depuis la fac.

- En tous cas, pas de problème pour nous.

Sur ces belles paroles, ils se cassent et il est quatre heures. Je réalise alors ce qu'on a fait. C'était vraiment grave. Je vais voir maman. Nue sous la couverture, elle s'est endormie sur le dos. Elle ronfle. Ils ont oublié de lui couvrir sa poitrine. Pfou, qu'ils sont gros ses nichons. Je les caresse un moment et je vais dormir.

Réveil vers quatorze heures avec la gueule de bois. Ma mère est pitoyable à voir. La gueule de mort vivante, des cernes rouges. Elle a mis son pyjama moche. Elle n'ose me regarder.

- Alors, maman, bien dormie.

- Je ...je suis désolée Sylvain, oh mon dieu.

Elle sanglote.

-Quelle honte, quelle honte.

- Ça tu peux le dire ! On aurait dit une vraie dépravée hier. Je crois même que j'ai une maman nymphomane.

- Non, Sylvain, ne dis pas ça, merde. Je...c'est l'alcool.

- Oui, mais il est révélateur. Tu es une vraie pute, je suis désolée de te le dire.

- Non, sylvain, je t'interdis...

- Maintenant, tu vas faire ce que je te dis sinon je dénonce.

- Quoi ? mais je croyais...

- Non, tu es allée trop loin hier. Il va te falloir assumer.

- Mais...

- Maintenant, je veux que tu te mette à poil. Vire ton sale pyjamas. Allez !

- Sylvain, arrête.

- A poil, j'ai dit.

A force d'insister et de menace, elle finit par céder, honteuse.

- Je t'interdis de t'habiller jusqu'à demain matin.

- Sylvain, je dois aller faire des courses.

- Eh bien, si tu veux faire des courses, tu iras à poil mais interdiction de mettre des habits.

Résignée, Margot sait qu'elle va passer sa journée à l'appart. Ainsi, je la vois la journée en train de faire ses taches ménagère, nue comme un ver. Elle passe l'aspirateur, fait la vaisselle, et passe la serpillière. Je regarde à volonté son cul, ses jambes et ses magnifiques lolos qui bougent. Elle nettoie aussi les toilettes qu'elle a souillées, hier. Elle n'ose pas faire les vitres de peur d'être aperçue par des gens par la fenêtre. Au début, gênée, elle finit par s'y faire et vers la soirée, cela ne l'affecte même plus. Malgré ses abus, elle garde un corps vraiment bandant. Encore vaseuse, elle file se coucher tôt. Voilà, maintenant, je la tiens. Les idées les plus malades me passent par la tête. Que vais-je faire d'elle maintenant ? refaire une partouze, l'exhiber en public habillée comme une salope ou pourquoi pas aller à l'extrême : Lui faire faire la pute ou la faire carrément violer. Tout un programme.

A suivre…

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