jeudi 25 octobre 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 09

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Le copain.

Je n'avais été aussi contente de voir mon époux rentrer d'un voyage d'affaires. Cependant je craignais sa réaction s'il venait à découvrir ce que son frère m'avait obligée à faire ce week-end. Je tentai d'effacer de ma mémoire cette épreuve, ces épreuves humiliantes que j'avais endurées, me contentant de me réjouir de la présence de mon époux.

Malheureusement Yan batifola autour de nous redoublant de remarques ironiques m'empêchant de faire abstraction de mes aventures sexuelles. Ma seule consolation fut de savoir qu'il serait parti dans moins d'une quinzaine.

Jean n'avait pas à travailler de bonheur cette semaine aussi étais-je dispensée des attentions de Yan. Je m'en réjouis et me réjouis encore plus en apprenant qu'un vieil ami de Yan passerait le week-end avec nous. Il était censé venir donner un coup de main à Yan pour l'aider à s'installer dans un nouveau logement. Je ne me préoccupai pas de connaître leurs plans, je pensai que la présence de Richard m'éviterait de subir les "prévenances" de Yan.

Richard arriva le vendredi soir. C'était un véritable colosse avec de grosses mains et un sourire avenant. Yan et Richard entrèrent en action, il me sembla qu'ils passaient plus de temps au troquet qu'à préparer le nouveau logement de Yan. Je m'en foutais du moment que Yan se tenait éloigné de moi.

Aussi lorsque Jean dut partir samedi matin je me blottis bien au chaud dans mon lit. Je me rendormis lorsqu'on arracha mes couvertures, une lumière brillante m'aveugla et l'on posa un masque sur mon visage. Je restai totalement désorientée quelques instants, puis la signification de ce masque me frappa.

Je paniquai et voulus plonger vers la porte mais je fus repoussée vigoureusement sur le lit. L'instant d'après je me retrouvai coincée entre deux corps virils aux bites érigées.

- Tu vas te régaler ma petite salope ! M'agressa Yan d'une voix furieuse.

- Tu vas te faire baiser comme jamais tu ne l'as été !

Je luttai farouchement pour me libérer de leur emprise mais n'y parvins pas, je ne fis qu'accroître leur excitation. Pire encore je commençai aussi à me sentir excitée. Mon corps, à force de se tortiller entre leurs deux virilités répondit à leur simple présence. Mes tétons dardèrent et une humidité suspecte détrempa déjà ma chatte.

Yan se pressa contre mon ventre, m'épinglant fermement sur le lit, je présumai que c'était Richard qui se tenait serré contre mes fesses. Il trouva mes nibards et entreprit de les malaxer avec vigueur. Je tentai de l'ignorer, me mordant les lèvres pour m'interdire de gémir.

Pour aggraver ma situation Yan entreprit de sucer et mâchouiller un de mes tétons, Richard jouant avec l'autre, le serrant, le pétrissant entre ses doigts puissants. Je me tortillai de plus en plus, mais cette fois c'était plus de plaisir que par envie de leur échapper. Je sortis de mon ébahissement lorsque Yan releva ma jambe sur sa hanche, alors que Richard promenait sa main sa main entre mes cuisses. Il parcourut des doigts ma fentine et me doigta lubriquement, je poussai un cri de douleur et cherchai à me dégager de leur emprise. Je donnai des coups de pied, je cognai, je griffai, mais ils me matèrent aisément. Je cessai de me débattre pour déloger les doigts de Richard de leur écrin. J'aurai du savoir d'expérience que Yan adorait me voir me débattre, et, à entendre ses rires, Richard appréciait aussi de me sentir rétive.

Toutefois ils se seraient peut-être lassés si j'avais continué à me défendre.

- Du calme ! M'ordonna Yan sévèrement.

- Tu sais qu'en réalité tu adores ça !

Il me tordit un de mes tétons pour accentuer ses dires. J'ignorai le frisson qui parcourut mon corps à cette rude caresse, je relevai mon genou, et ratai de peu son groin, Yan répliqua en me donnant une violente gifle en pleine figure.

- Je vois ce que tu voulais dire quand tu me parlais de son besoin de se sentir forcée ! Pouffa Richard.

- Vouai, tu vas bientôt être fixé ! Cracha Yan furieux.

L'instant suivant, je sentis des cercles de métal se refermer sur mes poignets, on me tira les bras au-dessus de la tête et je fus enchaînée à la tête de lit. Ils s'agenouillèrent de chaque côté de moi ricanant cyniquement. J'aperçus brièvement l'inévitable caméra installée au pied du lit. Je me tortillai inutilement sur le lit, cela ne les pousserait en aucun cas à me libérer et j'étais bien incapable d'y parvenir par moi-même. Yan s'allongea près de moi et m'attira contre lui, il tendit la main et empoigna mes nibards.

- Je t'avais dit qu'elle avait de superbes nichons ! Dit-il sur le ton d'un propriétaire.

Je ravalai un sanglot, je tentai d'ignorer que c'est moi qu'il humiliait ainsi.

- Ouais, ils sont pas mal… Rétorqua Richard, me tordant âprement un mamelon.

Je cherchai à me détourner, mais Yan me tenait fermement.

- Hey mec, serre ses nichons l'un contre l'autre !

Richard s'agenouilla sur mon buste et plaça sa bite entre mes miches. Il se mit à coulisser d'avant en arrière. Yan m'intima de lécher son bulbe turgescent chaque fois que je l'avais à portée de ma bouche. Une petite claque sur la tête suffit à me rappeler ce que je risquais en refusant.

Richard grogna en se retirant, et l'instant suivant, il projeta des jets puissants de foutre chaud sur ma poitrine et mon visage. Ils trouvaient tous deux cela hilarant, d'autant plus que je ne pouvais pas m'essuyer. Richard se laissa tomber à la renverse et Yan le remplaça plantant directement sa bite dans ma bouche. Il me tint fermement la tête tout en me secouant de puissants coups de boutoir. Je ne pouvais rien faire pour l'arrêter aussi me concentrais-je pour ne pas étouffer alors qu'il s'enfonçait dans mon arrière gorge.

Pendant ce temps, Richard s'était glissé entre mes cuisses et pressait son visage sur mon mont chauve. Chaque fois que je grognais ou gémissais sous les caresses de Richard, Yan se démenait dans ma bouche. Je fus fortement soulagée en l'entendant se raidir et jouir, il était si enfoncé dans ma gorge que son sperme coula directement dans mon œsophage.

Yan roula sur moi et se mit à me triturer les nibards, titillant durement mes mamelons avant de les sucer. La langue de Richard abandonna mon clito et parcourut maintenant avidement ma foufoune détrempée, son nez frottant contre mon clito participa à m'exciter follement.

Désespérée, je sentis l'orgasme monter en moi. Je luttai de toutes mes forces pour endiguer ce coït non désiré me focalisant sur le fait que je détestais être touchée par ces minables. Mon corps se moqua bien de savoir qui allumait ses sensations enivrantes, je perdis tout contrôle de mes sens, je m'arc-boutai sur les talons et me tortillai violemment en criant mon orgasme.

- Elle est sacrément bruyante ! Remarqua Richard.

Je me tortillai folle d'embarras, haïssant mon corps de me trahir avec une telle constance.

- Hey regarde-moi ça, elle est rouge comme une tomate !

Richard me força à écarter en grand mes cuisses qui tremblaient, jetant un œil ravi sur ma foufoune détrempée.

- C'est bon, je veux la baiser maintenant !

- D'accord mais enfile une capote ! Lui rétorqua Yan.

- On a fait un marché, rappelle-toi !

Je fus soulagée de l'entendre mentionner l'emploi de préservatifs, mais je fus affolée d'entendre que Yan avait décidé que Richard pourrait me faire tout ce qu'il voulait. Mes sentiments étaient donc partagés lorsque je vis Richard sortir une capote et la lubrifier. Il me roula sur le ventre les mains toujours ancrées par les menottes à la tête du lit. Il plaça ses genoux entre mes cuisses et me saisit fermement par les hanches pour me disposer à sa convenance.

Je ne compris ses intentions qu'en le sentant presser son gland contre mon petit œillet frémissant, il était trop tard pour que je proteste et crispe mes sphincters. Déjà il avait introduit son gland dans mon boyau culier, il exerça une forte pression pour s'enfouir lentement dans mon intestin asservi. Je criai et hurlai, luttant pour lui échapper, mais il me tenait bien trop fermement, il se contenta de rire de mes vains efforts.

Je n'avais jamais ressenti de sensations semblables à celles-ci. Il distendait allégrement mes muqueuses, c'était totalement différent de l'amour par les voix ordinaires. Une fois qu'il se fut enfoncé le plus profondément qu'il le put dans mon anus, il s'accorda une pause, je sentis mon fion s'adapter à cette brutale intrusion.

Je tentai d'endiguer mes gémissements refusant de leur montrer ma douleur et ma honte. Comme je le craignis, j'eus bien du mal à supporter cette brutale enculade, Richard saisit mes hanches et roula sur le dos m'emmenant avec lui, toujours embrochée sur sa grosse pine.

Je soupirai pitoyablement en sentant sa bite s'enfoncer encore un peu plus dans mes intestins dans le mouvement, je ne pensai pas que les choses puissent encore empirer. J'ouvris alors les yeux et vis Yan qui se penchait sur moi, se branlant lentement. Je me débattis de toutes mes forces, mais arrêtai immédiatement, mes mouvements provoquant un empalement plus profond sur la bite qui m'enculait.

Yan ricana en se penchant en avant et enfonça sa grosse bite dans ma chatte détrempée. Je ne m'étais jamais senti aussi distendue, des ondes de plaisir couraient dans mes lombaires. Je grommelai une protestation, je combattis l'orgasme que je sentais monter dans mes reins, trop tard une puissante jouissance me terrassa.

Comme ils venaient tous deux de jouir, ils se montrèrent endurants. Ils prirent leur temps, alternant leurs poussées dans mes deux trous asservis, ou me ramonant simultanément à grands coups de boutoirs furieux. Je rebondis d'orgasme en orgasme quelle que soit leur façon de me prendre. Je me tordis entre leurs deux corps, j'espérai dompter mon corps mais en vain, les vagues de plaisir succédaient aux vagues de plaisir.

Après un long moment, je sentis Richard se raidir, m'empoigner fermement les hanches tout en s'enfonçant au plus profond de mon intestin. Il se tortilla et frissonna tout contre moi, puis il tomba à la renverse avec un soupir de contentement. Yan suspendit un instant ses allées et venues le temps que je sentisse son foutre chaud inonder ma chatte repue.

Yan roula sur le flanc et se remit sur pieds en chancelant. Il attrapa une des caméras et commença à filmer mon corps s'attardant sur chaque détail. Richard l'aida en me roulant sur le ventre pour écarter mes fesses pour qu'il puisse filmer mon trou du cul béant d'où suintaient des filets de foutre grumeleux.

Dès qu'ils en eurent fini avec moi, ils m'enlevèrent les menottes et sortirent de la chambre en me donnant une gentille tape sur les fesses. Je me roulai en boule et gémis, jamais je n'avais été aussi humiliée, dégradée. J'avais mal, mon corps était meurtri en des endroits que je n'aurai jamais cru pouvoir l'être.

J'entendis Yan et Richard sortir, je me glissai dans la salle de bain pour prendre un bain bien chaud. Je me dis qu'il ne me restait plus qu'une semaine à endurer ces épreuves, que bientôt ce cauchemar se terminerait.

Le soir même je fus abasourdie de voir Yan et Richard se porter volontaires pour préparer le thé. J'étais douillettement assise sur le sofa à côté de Jean, on se serait cru revenu au bon vieux temps. On se relaxait tous ensemble et j'en aurai presque oublié ce qui s'était passé ce matin même. Je me sentais heureuse et en paix lorsque Yan passa la tête par la porte et demanda où nous avions rangé la râpe.

Je tentai de lui expliquer clairement où elle se trouvait, mais visiblement Yan ne comprit pas puisqu'il prit la direction opposée. A contrecœur je me levai du sofa et allai la lui chercher. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi naïve.

A l'instant où j'entrai dans la cuisine, Yan agrippa ma brassière et mon soutien-gorge et les remonta à hauteur d'épaule dévoilant mes nichons, tandis que Richard déchira le haut de mon jean et le tira avec ma petite culotte sur mes chevilles. J'allai pousser un cri de protestation, mais Yan me bâillonna vivement étouffant mon hurlement.

- Non Non, ne hurle pas ! M'admonesta-t-il.

- Nous ne voudrions surtout pas que mon frère bien-aimé entende tes cris et se pointe immédiatement voir ce qui cloche ! Imagine-le surgissant dans la cuisine et me découvrant en train de sauter sa gentille petite femme !

Tout en parlant, il me courba sur le plan de travail et fourra tout de go sa grosse bite dans ma chatte. Je frissonnai en m'efforçant d'étouffer mes gémissements. Richard se pencha en avant et empoigna mes nibards et les serra rudement l'un contre l'autre.

Je m'efforçai de toutes mes forces de ne pas répondre à leurs assauts lubriques, mais Richard s'assit par terre, la tête au niveau de ma chatte et entreprit de léchouiller mon clito. Mes jambes se mirent à trembler et mon ventre se crispa alors que je jouissais sous ses caresses lascives.

Yan poussa un grognement satisfait et me chevaucha activement tout en larguant sa purée au fin fond de mon utérus. Il se retira de mon ventre et je glissai sur le plan de travail, frémissante d'un mélange de fureur et de plaisir.

- A mon tour maintenant ! Déclara Richard me claquant les fesses.

- Je vais enfin savoir si ta chatte est aussi étroite que le prétend Yan !

- Il n'en est pas question ! Protestai-je vivement décidée à leur résister.

- Ferme ta gueule et contente toi d'écarter les cuisses salope ! S'exclama Yan en reboutonnant son pantalon.

 - Non ! Grognai-je sourdement.

- Si tu poses un doigt sur moi je me mets à hurler au viol aussi fort que je le peux, ils m'entendront à l'autre bout de la ville, alors dans la pièce d'à côté ! Et vous pourrez toujours chercher comment expliquer à Jean pourquoi tu regardes ton copain me molester. Je crains fort que cela vaille à ton pote un petit séjour à l'ombre, au commissariat de police !

Richard me gifla sauvagement et releva une de mes jambes sur son bras, se préparant à me fourrer en dépit de mes objections. Je soufflai comme un phoque, Richard crut alors avoir gagné, mais Yan le repoussa.

- Cette salope a raison ! Admit Yan à contrecœur.

- J'ai bien peur que tu ne puisses pas la sauter cette fois ci !

- Mais tu m'as promis. Intervint Richard en jetant un regard glacial à Yan.

- Ne t'inquiète pas, tu auras d'autres occasions de te faire son cul et sa chatte Richard, mais ce n'est ni le bon moment, ni le bon endroit ! Répliqua Yan.

Tandis qu'ils argumentaient je remis de l'ordre dans ma tenue et j'essuyai le sperme qui marbrait mes cuisses avec une feuille d'essuie-tout. Je ne voulus pas les écouter discuter pour déterminer si Richard pouvait me sauter ou pas. Je les repoussai et sortis de la cuisine me dirigeant vers la salle de bain. J'évitai Richard le reste du week-end comme s'il avait une maladie contagieuse. Je m'assurai de ne jamais me trouver seule avec lui, j'étais sans illusion sur ce qu'il entendait me faire subir s'il parvenait à me piéger.

Je me sentis soulagée comme jamais quand il partit le lundi matin. Jean devait le déposer à la gare pour lui éviter une bonne marche à pied, aussi partirent-ils tous plus tôt que d’habitude.  Je me tins à la porter leur faisant des aurevoir jusqu'à ce que je les vis monter dans la voiture et je refermai ma porte espérant ne plus jamais revoir Richard.

Mes illusions furent tout de suite contrariées. J'avais un pied dans l'escalier menant à l'étage lorsque la porte d'entrée s'ouvrit violemment.

- Que faites... Pourquoi êtes-vous revenus Richard ? M'écriai-je horrifiée.

- Je leur ai dit que j'avais oublié quelque chose ! Et c'est vrai ! J'ai oublié de te sauter une dernière fois !

Bien que ce fut trop tard je me ruai dans les escaliers. Richard empoigna un de mes pieds et me retourna sur le dos. Il pesa de tout son poids sur moi enfonçant douloureusement les marches dans mon dos. Je lui donnai un coup de coude dans la figure, mais sans même y prêter attention il déchira mon tee-shirt en deux. Il éjecta mes nichons des bonnets de mon soutien-gorge les tordant douloureusement. Je lui décochai un violent coup de pied et tapai à coup de poing sur son dos, mais cela ne sembla rien lui faire.

Il était agenouillé sur une marche entre mes cuisses, il lui fut aisé de remonter ma jupe à ma taille et de me retirer ma petite culotte.

- Es-tu prête salope ? M'interrogea-t-il en m'empoignant les cheveux, me forçant à le regarder dans les yeux.

Il m'embrassa sauvagement puis il glissa une main entre mes cuisses et pinça durement mon clito. Je criai et essayai de me dégager, mais j'étais piégée. L'instant d'après il m'embrocha sur sa grosse bite. Je criai alors qu'il me fourrait douloureusement forant son chemin dans ma chatte non préparée.

- Que t'es étroite ma jolie ! Exulta-t-il en me pistonnant d'un nouveau et impitoyable coup de boutoir.

- Tu viens de faire connaissance avec la plus grosse des bites parmi toutes les bites, n'est-ce pas salope ? tu n'es pas près d'oublier cette baise hein sale pute !

Je me mordis les lèvres pour ne pas exprimer ma souffrance, cherchant toujours à le repousser.  Il ignora totalement mes efforts, bloquant mes mains au-dessus de ma tête en les écrasant dans une étreinte féroce alors qu'il continuait frénétiquement à marteler ma chatte.

La porte d'entrée s'ouvrit à nouveau juste à l'instant où Richard rejetait sa tête en arrière expulsant sa sève dans ma foufoune. Je fus soulagée de voir Yan qui nous regardait fixement, j'avais craint un instant que ce soit Jean qui soit revenu sur ses pas. Il aida Richard à se relever puis à remettre de l'ordre dans sa tenue.

- Es-tu cinglé ? L'engueula-t-il avec colère.

- Son con de mari s'impatiente dans la voiture ! Viens ! Et toi salope, tu ne dis rien de tout ça ou je montre à Jean quelques photos et vidéos qui risquent de le captiver ! Compris ?

Et avec un dernier coup d'œil glacial sur ma petite personne il entraîna Richard à l'extérieur. Je restai étendue dans les escaliers, éreintée, meurtrie par cette violente agression. Je me traînai en haut des escaliers, me glissai sous la douche m'efforçant d'effacer les souillures de mon corps.

Je ne parvins pas à croire à ce qui venait de se passer si rapidement, si soudainement, j'étais engourdie tant émotionnellement que physiquement. Je me demandai si c'était ma faute, si je n'envoyais pas inconsciemment des signaux aux hommes leur disant que j'étais disposée à les satisfaire, à combler leurs appétits de lucre.

A suivre…

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