A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
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Le copain.
Je n'avais
été aussi contente de voir mon époux rentrer d'un voyage d'affaires. Cependant
je craignais sa réaction s'il venait à découvrir ce que son frère m'avait
obligée à faire ce week-end. Je tentai d'effacer de ma mémoire cette épreuve,
ces épreuves humiliantes que j'avais endurées, me contentant de me réjouir de
la présence de mon époux.
Malheureusement
Yan batifola autour de nous redoublant de remarques ironiques m'empêchant de
faire abstraction de mes aventures sexuelles. Ma seule consolation fut de
savoir qu'il serait parti dans moins d'une quinzaine.
Jean n'avait
pas à travailler de bonheur cette semaine aussi étais-je dispensée des
attentions de Yan. Je m'en réjouis et me réjouis encore plus en apprenant qu'un
vieil ami de Yan passerait le week-end avec nous. Il était censé venir donner
un coup de main à Yan pour l'aider à s'installer dans un nouveau logement. Je
ne me préoccupai pas de connaître leurs plans, je pensai que la présence de
Richard m'éviterait de subir les "prévenances" de Yan.
Richard
arriva le vendredi soir. C'était un véritable colosse avec de grosses mains et
un sourire avenant. Yan et Richard entrèrent en action, il me sembla qu'ils
passaient plus de temps au troquet qu'à préparer le nouveau logement de Yan. Je
m'en foutais du moment que Yan se tenait éloigné de moi.
Aussi
lorsque Jean dut partir samedi matin je me blottis bien au chaud dans mon lit. Je
me rendormis lorsqu'on arracha mes couvertures, une lumière brillante m'aveugla
et l'on posa un masque sur mon visage. Je restai totalement désorientée
quelques instants, puis la signification de ce masque me frappa.
Je paniquai
et voulus plonger vers la porte mais je fus repoussée vigoureusement sur le
lit. L'instant d'après je me retrouvai coincée entre deux corps virils aux
bites érigées.
- Tu vas te
régaler ma petite salope ! M'agressa Yan d'une voix furieuse.
- Tu vas te
faire baiser comme jamais tu ne l'as été !
Je luttai
farouchement pour me libérer de leur emprise mais n'y parvins pas, je ne fis
qu'accroître leur excitation. Pire encore je commençai aussi à me sentir
excitée. Mon corps, à force de se tortiller entre leurs deux virilités répondit
à leur simple présence. Mes tétons dardèrent et une humidité suspecte détrempa
déjà ma chatte.
Yan se
pressa contre mon ventre, m'épinglant fermement sur le lit, je présumai que
c'était Richard qui se tenait serré contre mes fesses. Il trouva mes nibards et
entreprit de les malaxer avec vigueur. Je tentai de l'ignorer, me mordant les
lèvres pour m'interdire de gémir.
Pour
aggraver ma situation Yan entreprit de sucer et mâchouiller un de mes tétons,
Richard jouant avec l'autre, le serrant, le pétrissant entre ses doigts puissants.
Je me tortillai de plus en plus, mais cette fois c'était plus de plaisir que
par envie de leur échapper. Je sortis de mon ébahissement lorsque Yan releva ma
jambe sur sa hanche, alors que Richard promenait sa main sa main entre mes
cuisses. Il parcourut des doigts ma fentine et me doigta lubriquement, je
poussai un cri de douleur et cherchai à me dégager de leur emprise. Je donnai
des coups de pied, je cognai, je griffai, mais ils me matèrent aisément. Je cessai
de me débattre pour déloger les doigts de Richard de leur écrin. J'aurai du
savoir d'expérience que Yan adorait me voir me débattre, et, à entendre ses
rires, Richard appréciait aussi de me sentir rétive.
Toutefois
ils se seraient peut-être lassés si j'avais continué à me défendre.
- Du calme !
M'ordonna Yan sévèrement.
- Tu sais
qu'en réalité tu adores ça !
Il me tordit
un de mes tétons pour accentuer ses dires. J'ignorai le frisson qui parcourut
mon corps à cette rude caresse, je relevai mon genou, et ratai de peu son
groin, Yan répliqua en me donnant une violente gifle en pleine figure.
- Je vois ce
que tu voulais dire quand tu me parlais de son besoin de se sentir forcée ! Pouffa
Richard.
- Vouai, tu
vas bientôt être fixé ! Cracha Yan furieux.
L'instant
suivant, je sentis des cercles de métal se refermer sur mes poignets, on me
tira les bras au-dessus de la tête et je fus enchaînée à la tête de lit. Ils
s'agenouillèrent de chaque côté de moi ricanant cyniquement. J'aperçus
brièvement l'inévitable caméra installée au pied du lit. Je me tortillai
inutilement sur le lit, cela ne les pousserait en aucun cas à me libérer et
j'étais bien incapable d'y parvenir par moi-même. Yan s'allongea près de moi et
m'attira contre lui, il tendit la main et empoigna mes nibards.
- Je t'avais
dit qu'elle avait de superbes nichons ! Dit-il sur le ton d'un propriétaire.
Je ravalai
un sanglot, je tentai d'ignorer que c'est moi qu'il humiliait ainsi.
- Ouais, ils
sont pas mal… Rétorqua Richard, me tordant âprement un mamelon.
Je cherchai
à me détourner, mais Yan me tenait fermement.
- Hey mec,
serre ses nichons l'un contre l'autre !
Richard
s'agenouilla sur mon buste et plaça sa bite entre mes miches. Il se mit à
coulisser d'avant en arrière. Yan m'intima de lécher son bulbe turgescent
chaque fois que je l'avais à portée de ma bouche. Une petite claque sur la tête
suffit à me rappeler ce que je risquais en refusant.
Richard
grogna en se retirant, et l'instant suivant, il projeta des jets puissants de
foutre chaud sur ma poitrine et mon visage. Ils trouvaient tous deux cela
hilarant, d'autant plus que je ne pouvais pas m'essuyer. Richard se laissa
tomber à la renverse et Yan le remplaça plantant directement sa bite dans ma
bouche. Il me tint fermement la tête tout en me secouant de puissants coups de
boutoir. Je ne pouvais rien faire pour l'arrêter aussi me concentrais-je pour
ne pas étouffer alors qu'il s'enfonçait dans mon arrière gorge.
Pendant ce
temps, Richard s'était glissé entre mes cuisses et pressait son visage sur mon
mont chauve. Chaque fois que je grognais ou gémissais sous les caresses de
Richard, Yan se démenait dans ma bouche. Je fus fortement soulagée en
l'entendant se raidir et jouir, il était si enfoncé dans ma gorge que son
sperme coula directement dans mon œsophage.
Yan roula
sur moi et se mit à me triturer les nibards, titillant durement mes mamelons
avant de les sucer. La langue de Richard abandonna mon clito et parcourut
maintenant avidement ma foufoune détrempée, son nez frottant contre mon clito
participa à m'exciter follement.
Désespérée,
je sentis l'orgasme monter en moi. Je luttai de toutes mes forces pour endiguer
ce coït non désiré me focalisant sur le fait que je détestais être touchée par
ces minables. Mon corps se moqua bien de savoir qui allumait ses sensations
enivrantes, je perdis tout contrôle de mes sens, je m'arc-boutai sur les talons
et me tortillai violemment en criant mon orgasme.
- Elle est
sacrément bruyante ! Remarqua Richard.
Je me
tortillai folle d'embarras, haïssant mon corps de me trahir avec une telle
constance.
- Hey regarde-moi
ça, elle est rouge comme une tomate !
Richard me
força à écarter en grand mes cuisses qui tremblaient, jetant un œil ravi sur ma
foufoune détrempée.
- C'est bon,
je veux la baiser maintenant !
- D'accord
mais enfile une capote ! Lui rétorqua Yan.
- On a fait
un marché, rappelle-toi !
Je fus
soulagée de l'entendre mentionner l'emploi de préservatifs, mais je fus affolée
d'entendre que Yan avait décidé que Richard pourrait me faire tout ce qu'il
voulait. Mes sentiments étaient donc partagés lorsque je vis Richard sortir une
capote et la lubrifier. Il me roula sur le ventre les mains toujours ancrées
par les menottes à la tête du lit. Il plaça ses genoux entre mes cuisses et me
saisit fermement par les hanches pour me disposer à sa convenance.
Je ne
compris ses intentions qu'en le sentant presser son gland contre mon petit œillet
frémissant, il était trop tard pour que je proteste et crispe mes sphincters. Déjà
il avait introduit son gland dans mon boyau culier, il exerça une forte
pression pour s'enfouir lentement dans mon intestin asservi. Je criai et hurlai,
luttant pour lui échapper, mais il me tenait bien trop fermement, il se
contenta de rire de mes vains efforts.
Je n'avais
jamais ressenti de sensations semblables à celles-ci. Il distendait allégrement
mes muqueuses, c'était totalement différent de l'amour par les voix ordinaires.
Une fois qu'il se fut enfoncé le plus profondément qu'il le put dans mon anus,
il s'accorda une pause, je sentis mon fion s'adapter à cette brutale intrusion.
Je tentai
d'endiguer mes gémissements refusant de leur montrer ma douleur et ma honte. Comme
je le craignis, j'eus bien du mal à supporter cette brutale enculade, Richard
saisit mes hanches et roula sur le dos m'emmenant avec lui, toujours embrochée
sur sa grosse pine.
Je soupirai
pitoyablement en sentant sa bite s'enfoncer encore un peu plus dans mes
intestins dans le mouvement, je ne pensai pas que les choses puissent encore
empirer. J'ouvris alors les yeux et vis Yan qui se penchait sur moi, se
branlant lentement. Je me débattis de toutes mes forces, mais arrêtai immédiatement,
mes mouvements provoquant un empalement plus profond sur la bite qui
m'enculait.
Yan ricana
en se penchant en avant et enfonça sa grosse bite dans ma chatte détrempée. Je
ne m'étais jamais senti aussi distendue, des ondes de plaisir couraient dans
mes lombaires. Je grommelai une protestation, je combattis l'orgasme que je
sentais monter dans mes reins, trop tard une puissante jouissance me terrassa.
Comme ils
venaient tous deux de jouir, ils se montrèrent endurants. Ils prirent leur
temps, alternant leurs poussées dans mes deux trous asservis, ou me ramonant
simultanément à grands coups de boutoirs furieux. Je rebondis d'orgasme en
orgasme quelle que soit leur façon de me prendre. Je me tordis entre leurs deux
corps, j'espérai dompter mon corps mais en vain, les vagues de plaisir
succédaient aux vagues de plaisir.
Après un
long moment, je sentis Richard se raidir, m'empoigner fermement les hanches
tout en s'enfonçant au plus profond de mon intestin. Il se tortilla et
frissonna tout contre moi, puis il tomba à la renverse avec un soupir de
contentement. Yan suspendit un instant ses allées et venues le temps que je
sentisse son foutre chaud inonder ma chatte repue.
Yan roula
sur le flanc et se remit sur pieds en chancelant. Il attrapa une des caméras et
commença à filmer mon corps s'attardant sur chaque détail. Richard l'aida en me
roulant sur le ventre pour écarter mes fesses pour qu'il puisse filmer mon trou
du cul béant d'où suintaient des filets de foutre grumeleux.
Dès qu'ils
en eurent fini avec moi, ils m'enlevèrent les menottes et sortirent de la
chambre en me donnant une gentille tape sur les fesses. Je me roulai en boule
et gémis, jamais je n'avais été aussi humiliée, dégradée. J'avais mal, mon
corps était meurtri en des endroits que je n'aurai jamais cru pouvoir l'être.
J'entendis
Yan et Richard sortir, je me glissai dans la salle de bain pour prendre un bain
bien chaud. Je me dis qu'il ne me restait plus qu'une semaine à endurer ces
épreuves, que bientôt ce cauchemar se terminerait.
Le soir même
je fus abasourdie de voir Yan et Richard se porter volontaires pour préparer le
thé. J'étais douillettement assise sur le sofa à côté de Jean, on se serait cru
revenu au bon vieux temps. On se relaxait tous ensemble et j'en aurai presque
oublié ce qui s'était passé ce matin même. Je me sentais heureuse et en paix
lorsque Yan passa la tête par la porte et demanda où nous avions rangé la râpe.
Je tentai de
lui expliquer clairement où elle se trouvait, mais visiblement Yan ne comprit
pas puisqu'il prit la direction opposée. A contrecœur je me levai du sofa et
allai la lui chercher. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi naïve.
A l'instant
où j'entrai dans la cuisine, Yan agrippa ma brassière et mon soutien-gorge et
les remonta à hauteur d'épaule dévoilant mes nichons, tandis que Richard
déchira le haut de mon jean et le tira avec ma petite culotte sur mes
chevilles. J'allai pousser un cri de protestation, mais Yan me bâillonna
vivement étouffant mon hurlement.
- Non Non,
ne hurle pas ! M'admonesta-t-il.
- Nous ne
voudrions surtout pas que mon frère bien-aimé entende tes cris et se pointe
immédiatement voir ce qui cloche ! Imagine-le surgissant dans la cuisine et me
découvrant en train de sauter sa gentille petite femme !
Tout en
parlant, il me courba sur le plan de travail et fourra tout de go sa grosse
bite dans ma chatte. Je frissonnai en m'efforçant d'étouffer mes gémissements. Richard
se pencha en avant et empoigna mes nibards et les serra rudement l'un contre
l'autre.
Je
m'efforçai de toutes mes forces de ne pas répondre à leurs assauts lubriques,
mais Richard s'assit par terre, la tête au niveau de ma chatte et entreprit de
léchouiller mon clito. Mes jambes se mirent à trembler et mon ventre se crispa
alors que je jouissais sous ses caresses lascives.
Yan poussa
un grognement satisfait et me chevaucha activement tout en larguant sa purée au
fin fond de mon utérus. Il se retira de mon ventre et je glissai sur le plan de
travail, frémissante d'un mélange de fureur et de plaisir.
- A mon tour
maintenant ! Déclara Richard me claquant les fesses.
- Je vais
enfin savoir si ta chatte est aussi étroite que le prétend Yan !
- Il n'en
est pas question ! Protestai-je vivement décidée à leur résister.
- Ferme ta
gueule et contente toi d'écarter les cuisses salope ! S'exclama Yan en reboutonnant
son pantalon.
- Non ! Grognai-je sourdement.
- Si tu
poses un doigt sur moi je me mets à hurler au viol aussi fort que je le peux,
ils m'entendront à l'autre bout de la ville, alors dans la pièce d'à côté ! Et
vous pourrez toujours chercher comment expliquer à Jean pourquoi tu regardes
ton copain me molester. Je crains fort que cela vaille à ton pote un petit
séjour à l'ombre, au commissariat de police !
Richard me
gifla sauvagement et releva une de mes jambes sur son bras, se préparant à me
fourrer en dépit de mes objections. Je soufflai comme un phoque, Richard crut
alors avoir gagné, mais Yan le repoussa.
- Cette
salope a raison ! Admit Yan à contrecœur.
- J'ai bien
peur que tu ne puisses pas la sauter cette fois ci !
- Mais tu
m'as promis. Intervint Richard en jetant un regard glacial à Yan.
- Ne
t'inquiète pas, tu auras d'autres occasions de te faire son cul et sa chatte
Richard, mais ce n'est ni le bon moment, ni le bon endroit ! Répliqua Yan.
Tandis
qu'ils argumentaient je remis de l'ordre dans ma tenue et j'essuyai le sperme
qui marbrait mes cuisses avec une feuille d'essuie-tout. Je ne voulus pas les
écouter discuter pour déterminer si Richard pouvait me sauter ou pas. Je les
repoussai et sortis de la cuisine me dirigeant vers la salle de bain. J'évitai
Richard le reste du week-end comme s'il avait une maladie contagieuse. Je
m'assurai de ne jamais me trouver seule avec lui, j'étais sans illusion sur ce
qu'il entendait me faire subir s'il parvenait à me piéger.
Je me sentis
soulagée comme jamais quand il partit le lundi matin. Jean devait le déposer à
la gare pour lui éviter une bonne marche à pied, aussi partirent-ils tous plus
tôt que d’habitude. Je me tins à la
porter leur faisant des aurevoir jusqu'à ce que je les vis monter dans la
voiture et je refermai ma porte espérant ne plus jamais revoir Richard.
Mes
illusions furent tout de suite contrariées. J'avais un pied dans l'escalier menant
à l'étage lorsque la porte d'entrée s'ouvrit violemment.
- Que
faites... Pourquoi êtes-vous revenus Richard ? M'écriai-je horrifiée.
- Je leur ai
dit que j'avais oublié quelque chose ! Et c'est vrai ! J'ai oublié de te sauter
une dernière fois !
Bien que ce
fut trop tard je me ruai dans les escaliers. Richard empoigna un de mes pieds
et me retourna sur le dos. Il pesa de tout son poids sur moi enfonçant
douloureusement les marches dans mon dos. Je lui donnai un coup de coude dans
la figure, mais sans même y prêter attention il déchira mon tee-shirt en deux. Il
éjecta mes nichons des bonnets de mon soutien-gorge les tordant
douloureusement. Je lui décochai un violent coup de pied et tapai à coup de
poing sur son dos, mais cela ne sembla rien lui faire.
Il était
agenouillé sur une marche entre mes cuisses, il lui fut aisé de remonter ma
jupe à ma taille et de me retirer ma petite culotte.
- Es-tu
prête salope ? M'interrogea-t-il en m'empoignant les cheveux, me forçant à le
regarder dans les yeux.
Il
m'embrassa sauvagement puis il glissa une main entre mes cuisses et pinça
durement mon clito. Je criai et essayai de me dégager, mais j'étais piégée. L'instant
d'après il m'embrocha sur sa grosse bite. Je criai alors qu'il me fourrait
douloureusement forant son chemin dans ma chatte non préparée.
- Que t'es
étroite ma jolie ! Exulta-t-il en me pistonnant d'un nouveau et impitoyable
coup de boutoir.
- Tu viens
de faire connaissance avec la plus grosse des bites parmi toutes les bites,
n'est-ce pas salope ? tu n'es pas près d'oublier cette baise hein sale
pute !
Je me mordis
les lèvres pour ne pas exprimer ma souffrance, cherchant toujours à le
repousser. Il ignora totalement mes
efforts, bloquant mes mains au-dessus de ma tête en les écrasant dans une
étreinte féroce alors qu'il continuait frénétiquement à marteler ma chatte.
La porte
d'entrée s'ouvrit à nouveau juste à l'instant où Richard rejetait sa tête en
arrière expulsant sa sève dans ma foufoune. Je fus soulagée de voir Yan qui
nous regardait fixement, j'avais craint un instant que ce soit Jean qui soit
revenu sur ses pas. Il aida Richard à se relever puis à remettre de l'ordre
dans sa tenue.
- Es-tu
cinglé ? L'engueula-t-il avec colère.
- Son con de
mari s'impatiente dans la voiture ! Viens ! Et toi salope, tu ne dis rien de
tout ça ou je montre à Jean quelques photos et vidéos qui risquent de le
captiver ! Compris ?
Et avec un
dernier coup d'œil glacial sur ma petite personne il entraîna Richard à
l'extérieur. Je restai étendue dans les escaliers, éreintée, meurtrie par cette
violente agression. Je me traînai en haut des escaliers, me glissai sous la
douche m'efforçant d'effacer les souillures de mon corps.
Je ne parvins
pas à croire à ce qui venait de se passer si rapidement, si soudainement,
j'étais engourdie tant émotionnellement que physiquement. Je me demandai si
c'était ma faute, si je n'envoyais pas inconsciemment des signaux aux hommes
leur disant que j'étais disposée à les satisfaire, à combler leurs appétits de
lucre.
A suivre…
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