dimanche 28 octobre 2018

Margot est une salope Ch.06

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Ma mère se prostitue.

Quelques mois se sont écoulés depuis les dernières frasques de Margot. Pendant ce laps de temps, je me suis trouvé une copine et j’ai décroché quelques temps de Marguerite. Hélas, ma copine et moi nous sommes disputés au sujet d’une broutille et nous voici séparés. Du côté de Margot, elle vaque à ses occupations à savoir, ses cours de français et ceux de danse du jeudi soir.

J’avais donc laissé tomber petit à petit mes perversions sur elle et mon chantage mais depuis peu, je suis en manque de sexe et étant redevenu célibataire, me voici contraint d’assouvir mes perversions via le net. Je reste plus chez moi et je sors moins, bossant et surfant sur des sites pornos. Je remarque aussi que ma mère rentre très tard certains jours de la semaine : Le mercredi et le Jeudi. C’est à ce moment que je commence me poser des questions et surtout celle-là : A-t-elle un nouvel amant ?

Mercredi soir, je sors chez des potes faire la fête. Il est prévu que je reste dormir là-bas mais la copine d’un ami propose de me déposer vu qu’elle n’a pas bu. Arrivé dans ma cité, je me mets à marcher en titubant un peu à cause de l’effet des nombreuses vodkas que j’ai sifflé. Je connais l’endroit et pas besoin de réfléchir pour retrouver mon chemin. J’utilise l’ascenseur et me voilà en face de la porte de l’appartement.

Afin de pas déranger ma mère en train de dormir, je ne fais pas de bruit pour ouvrir la porte. En pénétrant à l’intérieur, j’entends de la musique en bruit de fond et des cris ou plutôt des gémissements répétés, le bruit régulier des ressorts d’un lit. Ça vient de la chambre de ma mère.

J’avance à petits pas en essayant de faire le moins de bruit possible et c’est là que je découvre le pot au rose. Sur le lit, je vois allongé un homme. Il est habillé et son pantalon est baissé. Il est en train de faire des va et vient sur une femme nue avec des seins énormes. Cette femme, il ne me faut pas longtemps pour le reconnaître. C’est ma mère, Margot.

Ils ne m’ont pas vu, trop occupé à leur plaisir. L’homme émet des grognements en même temps qu’il la baise tandis que ma mère, gémissante, écarte largement ses cuisses musclées pour l’accueillir. Elle serre le dos de l’homme avec ses mains. L’inconnu malaxe l’opulente poitrine tout en la baisant. C’est brutal car l’homme la bourre à grand coups de bite. Je vois le visage de maman, la bouche ouverte et les yeux fermés. Au bout d’une bonne minute, elle s’aperçoit de ma présence et écarte les yeux stupéfaite :

- Eeeh, dis donc Sylvain !

L’homme se retourne vers moi en faisant la moue. Il est brun, le teint mat, mal rasé et environ la trentaine. Il ne dit rien et remonte son froc lentement.

- Je croyais que tu devais dormir chez tes amis.

- Désolé maman, mais je pensais pas te déranger.

Agacée, ma mère s ‘assoit mollement sur le lit. Elle est ruisselante de sueur. L’homme sort un paquet de cigarettes sans rien dire et lui en propose une ainsi qu’à moi.

- Merci, je ne fume pas.

Ma mère s’empare de la cigarette et l’allume. Depuis peu, elle fume à bloc et boit beaucoup. La cigarette aux lèvres, elle se lève, toujours à poil et file à au salon pour se servir un verre de whisky. En se déplaçant, ses seins lourds bougent mollement et on reste à fixer sa chatte et son cul. L’homme me regarde et me dit :

- T’as de la chance d’avoir une mère comme ça. Une vraie salope avec un corps de pute. Tu l’as déjà baisé ?

- Oui !

- Ça ne m’étonne pas. Ton père il sait pour ta mère ? Je veux dire qu’elle le fait cocu à fond ? Que c’est une véritable salope ?

- Non et heureusement.

- Oui, il faut garder le secret et tu peux éventuellement la faire chanter avec ça.

- C’est déjà fait.

- Héhé ! T’es un sacré pervers toi, dis donc. Faire chanter sa mère pour la baiser. On va pouvoir s’entendre.

Je suis comme attiré par ce gars que je ne connais pas. Maintenant, je sais qu’avec lui, on va pouvoir bien s’éclater. Ma mère, encore nue, s’est vautrée dans le canapé du salon, buvant et fumant à volonté. On discute un peu de cul et sur nos préférences. On a un point commun : les gros nibards et lui aime bien les femmes noires. Il dit qu’il a connu Margot par un copain à lui dont la copine assistait au cours de danse.

- Je crois que sa paire de nibards fait son succès à ta mère ! Tu ne peux pas t’imaginer le nombre de mecs qui voudraient se la faire.

- Pas besoin de l’imaginer, j’ai déjà vu leur regard quand je l’accompagne des fois à son cours.

On la regarde en train de finir son verre et sa clope. Elle se retourne et nous voit la mater. On se lève et on la rejoint. Dylan, c’est son prénom, se glisse entre ses cuisses et moi derrière elle. Je place mes mains sur ses gros melons tandis que mon nouveau pote lui broute le minou. Elle se laisse faire avec plaisir, heureuse de pouvoir remettre ça mais avec deux hommes maintenant et en plus l’un des deux est son propre fils. La langue de Dylan est bien habile et s’introduit dans le sexe béant et humide de Margot qui écarte un maximum les cuisses. Moi, je suis derrière elle, palpant sa grosse poitrine. Stimulée, elle finit par émettre des gémissements de bonheur. Chaque sein est énorme et je m’en rends compte en les soulevant. Dylan, tout en fouillant la chatte fournie de ma mère, monte une main tentant de peloter un des gros melons. Il place les deux jambes de maman sur ses épaules et finit par lui lécher le nombril. La tête renversée, instinctivement, ma mère me roule une pelle de chienne en chaleur. Son haleine n’est pas top à cause du mélange tabac et alcool mais elle compense par sa technique. Sa langue s’enroule autour de la mienne. On sent le plaisir dans son regard. Sa langue fouille ma bouche ; cette même langue qui a léché les glands, taillé des pipes à de nombreuses occasions. On continue à la palper ainsi pendant un temps. Enfin de compte, on finit par la baiser à deux puis chacun son tour pour le reste de la nuit.

Le lendemain, ma mère part quand même dispenser ses cours de français mais avec une tête fatiguée que même le maquillage outrancier a du mal à masquer. En plus de ça quelques nausées due à l’alcool. Mais elle a pris soin de mettre une belle chemise blanche, classe et une jupe noire style secrétaire, des bas transparents et des mules. Malgré le sous tif, ça bouge dur dans la chemise. Ses élèves peuvent aisément deviner la taille de sa poitrine opulente par les formes qui ressortent de sa chemise. A ce propos, je pense qu’ils doivent être nombreux à se branler en pensant à elle.

Dylan fouille dans son sac et en sort un débardeur magnifique noir avec de petites bretelles. Il est brodé et moulant. Mais lorsqu’il le déplie entièrement, on voit que le décolleté est gigantesque et que le débardeur, laisse apparaître le ventre de celle qui le porte, un peu comme un body. Maman et moi, restons les yeux rivés sur ce débardeur qui se résume finalement à un magnifique bout de tissu fin noir, ce tissu ne servant qu’à cacher la poitrine de la femme voulant le porter. Pour finir, et devant ma mère stupéfaite, il sort une mini-jupe et une paire de sandales noires, très très fines. Il pose le tout doucement sur la table du petit salon.

- Voilà, c’est pour toi Margot. Tu vois que je pense à toi.

- Dylan, je suis contente mais tu comprends que je ne peux pas porter ça à l’extérieur.

- Tu fais ce que tu veux mais bon, je connais d’autres femmes qui le feront et qui n’attendent que moi.

- Quoi ? Tu me quitterais pour ça ?

- Je veux bien te faire plaisir mais toi tu ne veux pas.

Je prends Dylan à part, un peu en colère.

- Putain, tu fais du chantage à ma mère !

- Oui, et toi je te fais une proposition. Je connais une copine noire avec de gros seins. Une baiseuse sénégalaise.

- Et ?

- Je te branche avec si tu demandes à ta mère de porter ça.

- Attends, c’est trop exagéré ! C’est sûr que c’est top bandant mais ?

- A toi de voir ! Mais pense à Sonia : c’est son nom. Sa poitrine est presque aussi grosse que celle de ta mère et en plus, c’est une superbe noire.

- Tu fais chier Dylan ! Mais de toute façon, maman refusera.

- A toi de jouer ! Pense à Sonia, c’est tout

Il rit car il devine bien mon envie de rencontrer cette fameuse Sonia. Depuis le temps que je rêve de faire l’amour à une noire avec de gros seins, l’occasion est trop évidente.

Le mercredi suivant, Dylan propose d’aller en boite y rejoindre des potes à lui. Il tient une fois de plus à ce que Margot s’habille avec la petite tenue qui lui a offerte. Mais même maman avait ses limites en termes de provocations. Cette mini-jupe était vraiment trop courte et trop moulante. Ce n’est pas le fait de la mettre qui la gêne mais surtout par rapport aux autres dans la rue. A ma connaissance, je n’ai jamais vu de filles mettre ça en ville et j’ajoute même que les rares prostituées que j’ai pu observer ne sont pas habillée aussi court.

- Je ne suis pas d’accord pour que maman mette ça non plus ! Il y’a une différence entre sexy et provocation. Qu’elle le mette ici c’est bon mais pas dehors, merde.

- Je comprends que tu ne veuilles pas qu’il arrive des problèmes à Margot mais bon, si on y va en voiture, c’est bon.

- Non, Dylan, ici, c’est chaud et je ne veux pas non plus qu’on me voit comme ça. Et même en boite, ce n’est pas décent. Je n’ai pas envie de passer pour une espèce de pute. Sans compter que je risque de tomber sur des élèves à moi.

Je ne dis rien mais je n’en pense pas moins. Margot a déjà une sale réputation dans la cité, en plus elle est prof. Mais je sais que Dylan, considère déjà ma mère comme une pute et que ses réticences ne lui font rien du tout. Dylan est contrarié et me reparle de l’opportunité de baiser Sonia, la sénégalaise. Sa façon de la décrire est vraiment excitante et il me fait vraiment envie. Mais accepter un tel marché, c’est aussi risquer de provoquer des embrouilles pour ma mère, et de grosses embrouilles. On décide d’annuler la sortie pour cette semaine mais je dis à Dylan que je vais réfléchir à une solution.

Comme d’habitude, ma mère et moi rentrons à la maison de campagne rejoindre mon père. Encore un dîner de famille avec ma tata, mon oncle et mes grands-parents. Chaque fois, c’est la honte vis à vis d’eux de les regarder comme ça sachant les perversions que ma mère et moi effectuons. Une honte mais aussi une espèce de plaisir pervers de briser les tabous. Ah, s’ils savaient que Margot, qui parle si bien à table et qui se comporte bien avec eux est une véritable salope.

Le samedi soir, je sors avec de vieux amis en boite. Ma mère reste avec mon père. Peut-être baisent- ils ? En tous cas, nous, on ne fait pas grand-chose à part consommer des alcools fort hors de prix. On rentre vers deux heures. Je passe le reste de la nuit à calculer la proposition de Dylan. J’entends du bruit dans la cuisine. Je me lève. C’est maman qui est en nuisette transparente. On voit tout à travers. Elle va au bar se verser sa ration d’alcool. Je crois bien qu’elle devient alcoolique petit à petit. Elle me voit.

- Alors, Sylvain, ta soirée ?

-Bof et toi ? Tu as baisé avec papa ?

- Chut Sylvain, ça ne va pas. Ne parle pas si fort. On a fait l’amour mais bon, ce n’était pas le top.

- C’est à dire ?

- Eh bien ça dure dix minutes, voilà.

Je n’en revenais pas. Mon père avait une femme superbe et bandante et il la baisait à peine. Je prends un verre de whisky aussi et le vide cul sec. Puis je fixe la grosse poitrine de ma mère dont on devine la pointe des seins et les auréoles sombres. On voit aussi sa chatte sombre à travers la nuisette. Je plaque mes mains sur ses deux gros seins.

- Sylvain, non pas ici, tu es fou, ton père, il dort en haut.

Elle tente de me repousser mais je suis trop excité, j’arrache même le décolleté de sa nuisette pour en extraire un des énormes seins. Je la soulève et la pose sur la table en soulevant le bas de la nuisette pour avoir accès à sa chatte. Elle résiste un peu, la peur d’être surprise en flagrant délit d’inceste par mon père. Mais je finis par la pénétrer. La situation est si excitante que je la bourre comme un animal sur la table de la cuisine. Ça fait du bruit car la table bouge en même temps que je fais des va et viens. Rapidement, elle gémit et s’abandonne totalement, les pattes écartées. Je sens que je vais me lâcher alors je me retire d’elle. Je lui enlève sa nuisette comme on ferait à une poupée et je la jette. Je la retourne alors et lui écarte les jambes. Je la sodomise sans lubrifier mais à quoi bon. Son anus a suffisamment été pénétré pour supporter ça. Là, je la bourre à nouveau par le cul. Ses seins sont aplatis sur la table mais ils sont si gros qu’on a l’impression que ma mère se trouve sur un coussin et qu’elle rebondit dessus. Là, elle gémit. Dire que je baise maman, à poil sur la table de la cuisine, dans la maison familiale. Mon bonheur est de courte durée car je finis par juter en elle, remplissant son cul de sperme. Quel bonheur. Je me lâche jusqu’à la dernière goutte. Je me refroque et aide ma mère à se relever. Elle est à poil. Son cul dégoulinant de sperme. Elle remet sa nuisette et file se coucher. Les couilles vidées, je rejoins ma chambre aussi.

Le lendemain, on retourne à la cité. On discute de la soirée dans la voiture.

- Ecoute Sylvain, ne refais plus jamais ça dans la maison de campagne.

- Bof, on n’a pas fait trop de bruit.

- Si ton père se réveille tu imagines les conséquences.

- Oui, m’an je sais mais j’avais trop envie de baiser.

- Eh bien retiens toi un peu et je ne suis pas à ta disposition pour que tu te vide les couilles sans arrêt. Retrouve-toi une copine.

Je ne réponds rien mais une fois arrivé à l’appart, je ferme la porte.

- A poil, maintenant !

- Quoi ?

- A poil, n’oublie pas le chantage.

- Sylvain, arrête ça. J’ai des copies à corriger pour demain.

- Bon, tant pis, je vais diffuser tes exploits sur le net.

- Non, non, sylvain, non !

- Alors à poil.

Ma mère ôte ses fringues une à une. Elle se retrouve en sous-vêtements.

- Garde ton string mais enlève ton soutien-gorge que je puisse voir tes gros seins à ma guise.

Elle s’exécute. Montrer ses seins ne la gêne plus.

- Voilà, tu restes comme ça tout ce soir et soit prête à me satisfaire si j’ai envie de me vider les couilles.

Elle part corriger ses copies avec pour seul vêtement, son string. Si ses élèves savaient, plus d’un seraient heureux de voir la scène. C’est vers 22H00 que j’ai une soudaine envie de baiser. Je la prends par derrière sur son bureau, ses gros seins plaqués contre les copies. Surprise car elle était concentrée, je la sens réticente. Je lui baisse son string et me met à la pénétrer. Mon excitation est extrême et le bureau bouge sous mes coups de sexe. Ses seins énormes frottent contre les copies pendant que je la bourre. Désireux qu’elle me suce, j’enfourne alors ma bite dans sa bouche et dans l’excitation, je lui jute en plein visage. Hélas, du sperme éclabousse les copies ce qui met fin à notre baise. En colère, elle me repousse.

- C’est pas vrai, du sperme sur mes copies.

Déjà, les encres se diluent avec mon foutre. Le visage tout gluant, elle se met machinalement à essuyer les copies. Je file à ma chambre en laissant ma mère se débrouiller avec ça. Je me demande quelles excuses elle donnera à ses élèves.

Le lendemain, je décide de sécher les cours et je reçois un appel de Dylan. On se donne rendez-vous dans un café. Je fais plus connaissance avec lui. Il est chômeur et donc passe son temps à baiser ses amantes en journée. La plupart du temps, ce sont des femmes mariées, mères au foyer qui s’ennuient chez elle. Leur mari étant au travail et leurs enfants à l’école, elles se trouvent des amants par internet. C’est comme ça qu’il les rencontre. Ce gars est vraiment un pervers baisant des femmes de 20 à 60 balais. Il m’avoue que ma mère est l’un des meilleurs coups qu’il ait eu et qu’il pense aller très loin avec elle. Je lui raconte aussi mes histoires avec elle et ce qu’elle m’a dit sur son passé.

- Elle me l’a raconté aussi. Une vraie salope. C’est vrai aussi qu’elle a failli tomber enceinte avec des militaires ?

- Elle m’a dit aussi et qu’avant, elle prenait pas trop ses précautions et effectivement elle a failli tomber enceinte plusieurs fois.

- Eh ben, une vraie chaudasse ! Au fait t’as réfléchi alors ?

- Ouais, je suis d’accord mais faudra la convaincre elle.

- Force la avec ton chantage.

- C’est vrai, je n’y avais pas pensé. On va la voir et lui mettre la pression à deux.

- C’est bien, si ça marche, je te fais baiser avec Sonia.

- Par contre je ne sais pas ce que tu veux faire. L’exhiber en boite, c’est assez banal finalement et la plupart des filles sont fringuées sexy.

- Toi, tu ne dois penser qu’à Sonia.

Le soir, on attend ma mère , vautrés sur le canapé. On lui explique le topo.

- Bande de salauds ! j’en ai marre de cette situation. Eh ben, ok, je vais le faire ! Hein, Sylvain, tu es content que ta mère ressemble à une pute, eh bien je vais le faire. Voilà.

Elle va s’envoyer un verre et file à sa chambre. On fixe le rendez-vous le mercredi soir. Dylan passe directement à l’appart habillé pour faire la fête, jean moulant, tee-shirt blanc. Ma mère s’est enfermée dans la salle de bain et se prépare. Elle en ressort au bout d’un quart d’heure mais ça valait le coup d’attendre. On reste à la regarder en silence, la bave aux lèvres. Attifée de la sorte, ma mère à l’air d’une vraie pute.

- Alors, vous êtes contents ?

On regarde Margot, cette femme mature de 44 ans, au visage méditerranéen et le teint mat, maquillée comme une pute avec ses cheveux mi longs et noirs qui descendent au niveau des épaules. Son corps est un appel au sexe cru. Son débardeur noir avec de petite bretelles lui va à merveille sauf que ses seins sont si énormes que l’on se demande comment de si petites bretelles peuvent tenir une telle paire de loche. Le décolleté est gigantesque et limite raisonnable. Elle n’a pas mis de soutien-gorge et donc, ses gros seins sont soumis à la gravité et pendent mollement. Le bout de ses tétons déforme le tissu et pointe vers le bas. Son ventre est à nu. L’âge lui a fait prendre un peu de ventre mais ça reste honnête car avec la danse, elle a su garder la ligne. Sa mini-jupe est incroyablement moulante comme si Dylan l’avait pris taille en dessous. Comme elle a un string, on dirait que chaque fesse est moulée. La mini-jupe est à ras la chatte et on peut voir les longues jambes nues et musclées dont les mollets sont mis en valeur par les talons aiguilles de ses sandales fines.

On a très envie de la baiser là, mais on se retient et je sens que Dylan a une idée derrière la tête. J’ai une gaule d’enfer et en plus je me mets à penser à ma récompense : Sonia la noire. Je demande à ce que maman porte une veste pour éviter les embrouilles avec la cité où on habite. En regardant Dylan, j’ai l’impression qu’il s’en fout que ma mère risque le viol et qu’il serait content. Mais obsédé par Sonia, je laisse tomber. On finit par sortir sans problème. Le manteau est long et on passe inaperçu. Par contre, Dylan nous conduit dans une boite louche. Elle est en sous-sol déjà et rien n’indique que ça en est une. En bas, c’est enfumé, bourré de monde. On se trouve un coin et Dylan va commander et revient. Ma mère enlève sa veste et c’est l’effet immédiat.

- Je me sens mal, là. J’ai l’impression d’être une proie pour des pervers.

- Mais non Margot.

Dylan voit que je commence à pas être trop ok. Et il s’éclipse puis revient avec une noire plantureuse.
- Voilà Sonia.

Je reste muet devant cette noire aux gros seins. Habillée un peu comme maman, mais en moins court, elle est terriblement excitante. Avec un accent africain, elle nous dit bonjour. Les cheveux tressés et teint en blond, sa bouche semble vraiment insatiable. Je reste fixé sur ses lèvres. Nous restons à discuter. Les verres se succèdent, l’ambiance s’échauffe. Ma mère commence à rire bêtement et Dylan, malin comme un pou, l’emmène danser. Sonia alors me fait du pied et m’invite à aller à côté, un couloir avec des chambres cote à cote. Je comprends tout de suite. Sonia est une pute. Mais bon, rien à foutre et tant mieux. Elle me met la main sur mon sexe après avoir commencé à déboutonner mon pantalon. Puis elle m’entraîne au fond, son lieu de travail. Elle vire son sous tif et me pousse sur le lit. Là, après m’avoir grimpé dessus, elle me fouette le visage avec ses gros seins noirs en riant. Elle sort mon sexe gonflé à bloc. Je ne fais rien, c’est elle qui fait son truc. En vraie pro, elle me suce le gland après l’avoir soigneusement décalotté. Entre deux suçages, on se tape un verre de whisky et rapidement je suis saoul. Elle me pompe le dard et je reste là, à me faire sucer par une pute, à la merci de son professionnalisme. J’en profite pour masser se seins noirs aux tétons démesurés. Elle finit alors par s’empaler sur mon sexe et à faire des va et vient en gémissant. Saoul et trop excité, je jute rapidement, en déchargeant tout ce que j’ai. Puis trop crevé, je finis par m’endormir, la bite à l’air.

Il doit être dix heures quand je me réveille. Sonia n’est pas là. Je me refroque et vais au bar. Les chambres sont occupées. J’entends des rires venant du bar. Là je vois Dylan et trois nanas dont Sonia. Ils m’invitent à prendre un verre. Sonia me paraît un peu plus grosse que hier. Je devais être bien allumé.

- Alors, il paraît que Sonia s’est bien occupée de toi ?

Je souris et elle rit fortement.

- Oui.

Je demande un café.

- Au fait, où est maman ?

- Elle doit être dans une des chambres à dormir.

- Quoi ?

- Ta mère, c’est une vraie pro.

Ils rient tous.

- C’est quoi cette histoire ?

- Ben disons que je sais pas ce qu’il lui a pris mais elle a voulu faire la pute hier.

- Ma mère, faire la pute ? C’est toi qui monté le coup, je suis sûr.

- Demande aux filles !

Elles acquiescent. Quelques épaves sortent des chambres. Les filles rient. Je crois que je suis tombé sur une espèce de bar à putes pas très légal. Au bout d’une heure, ma mère émerge, détruite.

- Dylan, espèce de Salaud, tu m’as prostitué !

- Non, c’est toi qui est allé de ton plein gré.

Elle me regarde et je pense que Dylan ment. Mais comment le prouver.

- La preuve, j’ai ton fric.

Il sort les billets. On se demande combien de mecs sont passés sur ma mère vu la somme. Ma mère s’empare des billets.

- Salaud, je vais les garder !

Sonia dit :

- Pas la peine de s’énerver, Margot.

- Mon string, un pervers a dû l’emporter, je suis nue en dessous ma minijupe.

Elle fond en larme. Elle n’est même pas sûr qu’elle ne soit pas responsable de sa prostitution. Elle se fait verser une bonne dose de whisky. Ma mère récupère sa veste et on repart à la cité. Pas un mot dans la voiture et Dylan conduit tout peinard. Je sais que c’est un coup monté par Dylan. Il m’a payé une pute pour m’endormir et prostituer ma mère en profitant de son ivresse. Tout était calculé. Une fois à l’appart, ma mère boit un verre et va sous la douche.

- T’es qu’un salaud Dylan !

- Et alors t’as pris ton pied avec Sonia.

- Oui.

- Te plains pas. Je t’ai dit, ta mère c’est une pute de toute façon. Qu’elle le veuille ou non.

Dylan a raison et je le sais. C’est pour ça que je crise pas.

- Allez, de toute façon, tu pourras revenir au bar quand tu veux. Tu es le bienvenu.

- Merci.

- Et ta mère aussi. J’ai rarement vu autant de mec demander une femme comme ça. Y’a du fric à se faire avec elle.

- Salaud !

Il rit et s’en va. Ma mère sort en peignoir, nue en dessous.

- Mais quel porc, quel salaud !

Je lui fais un café.

- Tu crois que je suis une pute, Sylvain ?

- Non.

- Dis le moi !

- Bon oui, je pense que tu en es une de toute façon. Et même si je sais que Dylan n’est pas étranger à ta prostitution.

Ma mère boit son café et va se coucher. Je sais qu’elle est nue dans son lit. Je fonce à sa chambre et retire la couette. Elle n’est pas encore endormie. Je décide alors de la baiser furieusement.

FIN.

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