vendredi 29 octobre 2021

Baignade

Traduction d'un texte de Thecsm.

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Nous avons une maisonnette de vacances que nous partageons avec la famille de la sœur de ma mère et du frère de mon père. Normalement nous n'y sommes pas tous en vacances en même temps, mais cette année il y a beaucoup de travaux à y faire.

Mes oncles et mon père se disent alors que ce serait une bonne idée de prendre tous nos vacances en même temps. L'idée est de faire les travaux ensemble pour terminer plus rapidement. En gros, cela signifie que je vais aider mes oncles et mon père pendant que les femmes se prélasseront.

Mon père, Larry, travaille dur en tant que gestionnaire d'entreprise. Ma mère Jane travaille comme comptable et est très intelligente. C'est une femme très conservatrice qui va souvent à l'église. Elle est connue pour être plutôt timide et calme. Mais mes amis me disent qu'elle est bandante.

La société où elle travaille possède une salle de gym et encourage ses employés à l'utiliser. Ma mère en profite et l'utilise régulièrement après le travail.

Je ne sais pas trop ce que font mes oncles et tantes pour gagner leur vie. Et à mon avis, mes tantes sont plus jolies que ma mère.

Je m'appelle Bill et je viens d'avoir 18 ans. Je viens juste de terminer ma dernière année de lycée. J'aime cette maisonnette de vacances et ça ne me dérange pas d'aider pour les réparations. Mais j'espère que je pourrais prendre le temps de sortir et voir s'il y a quelqu'un de mon âge pour traîner avec.

Nous sommes arrivés les premiers à la maisonnette et nous déchargions la voiture quand tante Mary, la sœur de maman et l'oncle Robert sont arrivés avec leurs deux petits enfants. Quelques minutes plus tard, l'oncle Mike, le frère de papa, et tante Kate arrivent avec leur jeune fille. J'espère que je ne serai pas obligé de jouer la nounou pour ces trois enfants.

Après avoir déchargé les voitures, nous avons mis en place le planning pour ces deux semaines de vacances, ou devrais-je dire ces deux semaines de travail. Comme nous n'allons pas commencer les rénovations dès aujourd'hui, je pars me promener. Après un kilomètre sur la route, je rencontre des gars et je leur crie :

- Salut!

L'un d'eux me regarde et me répond :

- Hé salut! Qui es-tu?

- Bill, j'habite pas très loin.

- Ok! Viens! Je m'appelle Jake, et voilà Bob, Rich et Sam.

Bientôt trois autres jeunes nous rejoignent. Jake ajoute :

- Et voilà Josh, Sean et Dave. Cet été, nous avons décidé de prendre des vacances ensemble tous les 7. Nous venons de Détroit. Est-ce que tu sais s'il y a des filles de notre âge par ici?

- Pas à cette période de l'année, c'est la fin de l'été. La plupart des touristes sont là vers le 4 juillet mais pas fin août. Dis-je.

-Bon, si nous ne trouvons pas, nous changerons d'endroit alors! Et toi, que fais-tu par ici?

- Nous avons une maisonnette de vacances et nous y faisons des travaux de rénovation.

- Tu viens de dire « nous », avec qui es-tu?

- Mes deux tantes, leurs familles et mes parents. Bon, je dois rentrer. Peut-être que nous pourrons nous revoir dans la semaine et je vous montrerai le coin.

- Ça serait cool, mais je ne sais pas si nous allons rester ici, nous cherchons des filles à draguer.

Je retourne à la maisonnette, et le soir, pendant le diner, je parle de ma rencontre.

Ce soir-là, après m'être couché, j'entends ma tante Mary se diriger vers la salle de bain qui se trouve de l'autre côté du couloir de ma chambre. Je l'entends prendre une douche. Je décide alors de regarder par l'interstice de ma porte en espérant qu'elle soit nue quand elle retournera dans sa chambre.

Je m'assure que toutes les lumières soient éteintes dans ma chambre et que les rideaux soient bien tirés devant la fenêtre. Je ne veux pas qu'une lumière me trahisse. Il semble que mes prières vont être exaucées...

Après avoir éteint la douche, j'entends ma tante crier :

- Zut, j'ai oublié mes vêtements!

Oncle Robert lui répond en criant :

- Couvre toi simplement avec une serviette, les enfants sont endormis.

Ma tante lui obéit. Elle ouvre la porte et sort dans le couloir, enveloppée dans une serviette. Je la regarde marcher dans le couloir, ses hanches se balançant d'un côté à l'autre. Je prie pour que la serviette tombe, mais, à ma grande déception, ce n'est pas le cas.

****

Le lendemain matin, tout le monde se lève et commence à se préparer pour la journée. Comme c'est une chaude journée d'été, tout le monde enfile short et tongs.

Lorsque je croise mon père, il me dit :

- Bill, tes oncles et moi allons en ville acheter les matériaux dont nous avons besoin pour les réparations. Nous prenons les petits avec nous car ta mère et tes tantes veulent aller à la mare pour se baigner. Elles ne veulent personne d'autre car elles ont quelque chose à faire. Nous emmènerons les petits à la foire donc nous serons partis toute la journée.

- Faut-il que je vous accompagne? Sinon je pourrai aller voir Jake et les autres pour leur faire visiter la région.

- Non tu n'as pas besoin de venir. Amuse-toi bien avec tes amis. Me répond-il.

Environ une heure plus tard, j'entends papa dire à maman qu'ils partent. Puis j'entends tante Mary dire :

- Ok, partons pour la mare, nous allons voir qui est la meilleure.

Quelques minutes plus tard les femmes sont parties. Alors je sors pour essayer de retrouver Jake et ses amis. A ma grande surprise, je trouve Jake et Josh sur le chemin pas loin de la maisonnette. Je leur crie :

- Salut les gars! Où allez-vous?

- On se promène pour voir ce qu'il y a par ici. Répond Jake.

- C'est ta mère et tes tantes que nous venons de voir entrer dans les bois? Me demande Josh.

- Oui, ce sont bien elles. Elles vont à la mare pour se baigner. Elle est dans une clairière dans les bous à environ deux kilomètres.

- Mais elles n'avaient pas de maillot de bain. Me dit Josh.

- Comme je l'ai dit, c'est à deux kilomètres à travers bois et les moustiques sont méchants à cette période, donc leurs maillots sont sous leurs vêtements ou dans leurs sacs.

- Tu ne nous as pas dit qu'elles étaient aussi bandantes? Sourit Jake.

- Je ne m'en rends pas compte. Dis-je en rigolant.

Jake rigole avec moi et dit :

- Je pense qu'une bonne baignade nous sera bénéfique, surtout avec de jolies femmes. Va chercher ton maillot de bain Bill, nous allons chercher les nôtres. Retrouvons-nous ici dans vingt minutes.

- D'accord, vingt minutes!

Je retourne à la maisonnette pour prendre mon maillot. Je me souviens maintenant que papa m'avait dit que maman et mes tantes voulaient être seules pour faire quelque chose. Mais elles auront surement fini quand nous arriverons.

J'attends presque trente minutes avant que Jake ne revienne. Mais il n'est pas accompagné seulement de Josh, tous les autres gars sont là. Ils sont tous en maillot de bain. Je leur dis :

- Hé les gars, les moustiques vont vous manger tout cru!

- Ça va aller, nous marcherons vite. Dit Sam en rigolant.

- Je crois que vous allez prendre une leçon vous les gars de la ville! Dis-je en riant de plus belle.

Je remarque que certains gars ont des sacs à dos, mais je n'y fais pas plus attention que ça. J'ouvre le chemin dans les bois. Ce n'est pas à proprement parler un chemin, mais plutôt une piste faite par des animaux sauvages. Nous sommes obligés de marcher en file indienne et nous devons faire attention où nous mettons les pieds pour ne pas trébucher sur les rochers et les racines.

Intérieurement je rigole car je peux entendre les gars derrière moi jurer contre les moustiques. Mais ça ne les empêche pas d'avancer. Jake, qui est juste derrière moi, me demande :

- Bill, y a-t-il un endroit d'où nous pouvons regarder ta mère et tes tantes sans qu'elles nous voient?

- Oui mais nous devons ne pas faire de bruits car les voix portent loin dans les bois. Pourquoi veux-tu les espionner?

- Certains d'entre nous ne savent pas nager et ils ne veulent pas être embarrassés devant elles si elles ne veulent pas nous voir.

Je m'arrête de marcher et je le regarde tout en me demandant ce qu'il essaie de me faire gober. Puis je dis :

- Ok, je connais un endroit d'où nous pourrons voir la mare sans que personne ne sache que nous sommes là. Mais assure-toi que personne ne fasse de bruits.

Alors que nous approchons de notre destination je m'arrête et je chuchote à Jake :

- Il est temps de se taire.

Il sourit et lève la main puis l'abaisse pour que tout le monde se taise. Je m'accroupis et je fais un geste de la main pour que les gars se rapproche du bord de la clairière. Je me lève légèrement pour jeter un coup d'œil à travers les buissons et j'ai la surprise de ma vie : ma mère et mes tantes se baignent toutes nues.

Je suis sur le point d'annoncer notre présence quand Jake plaque sa main sur ma bouche et dit :

- Chut, il me semblait bien les avoir entendu dire qu'elles allaient se baigner à poil. Ne joue pas le trouble-fête, je suis sûr que tu veux les voir nues toi aussi.

Je regarde autour de moi et je m'aperçois que tous les gars regardent les femmes de ma famille. Je remarque que certains tirent des caméras de leurs sacs à dos et commencent à filmer. Ils sont trop nombreux pour que je me rebiffe et Jake a toujours sa main sur mon épaule pour s'assurer que je n'avertisse pas ma mère et mes tantes.

Comme je n'ai pas vraiment le choix, je me mets moi aussi à espionner les femmes. J'ai une bonne vue sur ma mère. A 38 ans, je sais qu'elle est fière de sa silhouette bien entretenue. Elle a de belles courbes où il faut.

Et là, la voir dans la mare la rend encore plus sexy. Quand je regarde, ses cheveux bruns qui lui arrivent aux épaules sont mouillés. Je déplace mon regard sur ses seins. Ils ne sont ni trop petits ni trop gros. Quand elle bouge, ils rebondissent. Je peux même voir que ses tétons sont durs et raides.

Je continue de baisser les yeux sur son corps alors qu'elle se trouve en face de nous pour le moment. Je me rends compte qu'elle garde sa chatte bien entretenue. Elle se tourne ensuite pour faire face à mes tantes et je vois son cul bien rond. Il semble que la gymnastique l'a gardé très ferme. Elle plonge dans l'eau.

Je reste à regarder ces femmes qui nagent et qui s'amusent dans l'eau. Leurs seins rebondissent allégrement. Du coin de l'œil je remarque que deux gars (je crois que c'est Sam et Rich) rampent vers l'endroit où les femmes ont posé leurs sacs et ont quitté leurs vêtements.

Ils prennent tous les habits, les chaussures et les sacs et repartent lentement vers l'endroit où nous nous cachons. Quand ils sont de retour, ils fouillent les sacs. Un des gars sort les portefeuilles et passe en revue les documents. Il sort les permis de conduire et commence à copier certaines informations dans un carnet qu'il a amené.

Un autre garçon attrape les soutien-gorge et les culottes dans es sacs. Il rit en les brandissant pour que tout le monde puisse les voir. Ensuite il les fourre dans son sac à dos.

L'un d'eux trouve les téléphones portables. Il sort les cartes SIM. Puis il pêche dans son sac un petit appareil. Il y introduit les cartes SIM. Je demande à Jake :

- Que font-ils?

- Rich a noté les adresses des domiciles à partir des permis de conduire et Josh va garder leurs soutien-gorge et culottes comme souvenirs. Sean fait une copie de leurs cartes SIM. On ne sait jamais, ça pourrait être utile.

Quand les gars ont fini de fouiller, ils remettent tous les vêtements, excepté soutien-gorge et culottes, dans les sacs.

Je recommence à regarder les femmes. Mary est sortie de l'eau et se dirige vers l'endroit où elles ont laissé leurs vêtements. Soudain je l'entends crier :

- Quelqu'un a pris nos affaires!

Les deux autres femmes sortent de l'eau et j'entends ma mère crier :

- D'accord Larry! Vous pouvez arrêter de vous cacher!

Maman pense surement que c'est papa et mes oncles qui leur font une farce.

Jake dit avec un sourire :

- Il est temps pour nous de les rejoindre et de nous amuser avec elles. Mais je crois que pour le moment c'est mieux pour toi Bill de rester ici. Dave va te tenir compagnie.

- Qu'allez-vous faire?

- Juste jouer avec elles. Et ensuite nous leur rendrons leurs affaires.

Maman et mes deux tantes sont en train de crier :

- Ok les hommes, vous vous êtes suffisamment amusés.

Puis Kate s'aperçoit que des hommes arrivent près de la mare. Elle dit :

- Ce ne sont pas nos maris, il s'agit d'un groupe de jeunes hommes.

Mary et ma mère regardent dans la direction que Kate leur indique. Elles essaient de couvrir leur corps.

Jake se met à rire et dit alors :

- Regardez les gars ce que nous trouvons au milieu de nulle part.

- Sensationnel! Dit un autre.

Jake rigole toujours :

- Je vous avais bien dit qu'il y avait des femmes par ici. Mais je ne savais pas qu'elles allaient se mettre nues pour nous.

- Vous pouvez retourner d'où vous venez. Dit ma mère, la peur sur son visage.

- Alors pourquoi vous ne vous tournez pas pour vous habiller? Dit Jake.

- Quelqu'un nous a pris tous nos vêtements. Dit Mary.

- Et je me demande si ce n'est pas vous. Ajoute Kate.

- Je ne sais pas si nous avons vos vêtements mais nous en avons trouvé plus loin dans le bois. Des animaux avaient dû les emmener. Répond Jake.

Ma mère le regarde et lui dit :

- Alors pourquoi ne seriez-vous pas galant et n'iriez-vous pas les chercher?

- Je ne sais pas trop...

- Connard! Crie Mary.

- Nous insulter ne fera pas avancer les choses. Nous voulions juste jeter un coup d'œil. Mais maintenant je pense que vous allez devoir nous donner un petit spectacle.

- Va te faire foutre! Dit Kate.

- Ecoutez mesdames, nous allons rester là et vous regarder. Si vous voulez partir, on ne vous retiendra pas. Dit Bob.

Avec une voix inquiète ma mère dit alors :

- Vous savez très bien que nous ne pouvons pas partir d'ici nues, nous allons nous abimer les pieds sur le chemin.

Jake dit alors sur un ton autoritaire :

- Laissez-nous regarder trois vieilles femmes! Laissez tomber vos bras et nous pourrons bien voir, ou alors faites bouger vos seins. Alors peut-être nous vous aiderons à retrouver vos vêtements.

Maman regarde mes deux tantes. Elle tend la main vers elles pour qu'elles la rejoignent.

- Bien, mettez vous côte à côte et laissez-nous bien voir. Ordonne Jake.

Les trois femmes obéissent et se mettent l'une à côté de l'autre. Elles laissent tomber leurs bras sur les côtés.

- Bon sang! Pour des femmes assez âgées, vous avez de sacrées paires de seins. Dit l'un des jeunes hommes.

Je peux à peine entendre mais je crois qu'elles disent « merci ».

Les gars se rapprochent d'elles pour mieux les voir. Jake reprend le contrôle des opérations et dit d'une voix rude :

- Ok les filles, tournez-vous lentement!

Les femmes obéissent lentement pendant que les gars applaudissent et crient leur approbation de ce qu'ils voient.

Je suis en mesure de bien voir mes tantes maintenant. Mary est plus jeune que ma mère de quelques années. Elle a les cheveux de la même couleur que sa sœur mais plus long. La plupart du temps elle a une queue de cheval. Ses seins sont plus fermes que ceux de maman. Ils pointent encore. Elle a aussi de gros tétons mais ses aréoles sont plus petites et plus roses. Sa chatte est rasée, on peut voir ses petites lèvres. Elle aussi a un cul bien ferme.

Tante Kate est la plus jeune du groupe. Elle a des cheveux noirs qui lui arrivent aux épaules. C'est elle qui a les plus gros seins des trois. Ils rebondissent à chaque fois qu'elle bouge. Ses tétons sont durs. Elle a de très grosses aréoles brun foncé. Sa chatte est rasée aussi. Son cul est plus gros que les deux autres mais toujours sexy.

Quand les femmes ont fini de tourner, Jake sourit et dit :

- Je vais vous poser deux questions pour savoir si vous allez être honnêtes avec nous. Première question : Donnez moi l'adresse de votre domicile? Deuxième question : Quels sont vos numéros de portable?

Il s'approche de maman en premier et attend sa réponse. Puis il se dirige vers Mary et ensuite vers Kate. Après avoir écouté leurs réponses, il regarde Rich. Celui-ci regarde son carnet et dit :

- Elles nous ont toutes mentis Jake!

Jake d'une voix furieuse crie alors :

- Hé bien, on dirait que nous avons là trois femmes matures qui pensent pouvoir nous raconter des mensonges et nous insulter. Je pense que vous allez devoir jouer avec vos seins.

Kate le regarde et dit :

- Tu plaisantes?

Jake prend un air méchant et regarde ma tante Kate dans les yeux avant de dévisager les deux autres :

- Vous pensez vraiment que vous ne nous devez pas un petit spectacle pour avoir menti et nous avoir insultés. Ok les gars, elles ne veulent pas de notre aide, passons à autre chose.

Maman dit alors :

- Non attendez!

Elle regarde mes tantes et ajoute :

- S'ils nous laissent ici, nous allons être bloquées jusqu'à ce que Larry et les autres viennent nous chercher.

Mary regarde Kate puis Maman et dit :

-OK!

Kate secoue la tête en signe d'accord. Maman regarde Jake et dit d'une voix soumise :

- Ok nous le ferons!

Jake sourit et dit d'une voix dominante :

- Je suis content de voir que nous avons fini de perdre notre temps. Maintenant, mettez vos mains sous vos seins et voyons si vous pouvez nous convaincre de vous aider.

Ma mère et mes tantes commencent à jouer et à faire rebondir leurs seins. Dave s'assure que tout soit sur le film. Je ne comprends pas vraiment pourquoi mais j'aime voir ma mère et mes tantes contrôlées par Jake. Je remarque que celui-ci devient de plus en plus dominant avec elles.

Je n'aurais jamais cru que ma mère ou mes tantes soient soumises. Elles m'avaient toujours donné l'impression de tout contrôler et de commander les autres. Je me demande ce que va faire Jake ensuite, si ça va se terminer ou s'il a prévu autre chose. Je l'entends crier :

- Regardez vous les vieilles, bougez plus vite, vous commencez à m'énerver avec votre manque d'enthousiasme.

Les trois femmes secouent leurs seins plus rapidement.

- C'est mieux! Dit Jake.

Au bout de quelques minutes, il ajoute!

- C'est bon les trois putes, vous pouvez arrêter.

Maman lui répond doucement :

- Nous ne sommes pas des putes s'il vous plaît, ne nous appelez pas comme ça.

Jake sourit et ne répond pas. Les femmes ne bougent plus. Mary prend alors la parole :

- Pouvez-vous nous aider à trouver nos vêtements?

- Depuis que je vous vois habillée comme à votre naissance, je me dis que nous devrions tous être comme ça.

En disant ces mots, Jake enlève son tee-shirt et découvre son corps musclé. Ensuite, lentement, il descend son maillot de bain. Sa bite, à moitié dure, apparaît alors. Elle est grande, plus de vingt centimètres, et très épaisse. Les femmes ne peuvent pas détourner les yeux de cette chose.

Les autres garçons enlèvent également leurs vêtements, mais ma mère et mes tantes continue de regarder la queue de Jake. Bob et Sam se mettent de chaque côté de lui. C'est alors que les trois femmes remarquent qu'ils ont aussi de grosses bites. Je ne sais pas qu'elle est la plus grosse tellement elles sont proches. Pour le reste du groupe, leurs membres ne sont pas aussi imposants mais quand même plus gros que la moyenne.

Personne ne dit rien pendant un moment. Les femmes ne cessent de regarder les trois énormes bites, s'égarant parfois sur les autres queues. Dave continue de filmer la scène.

De nouveau, Jake, sur un ton qui ne tolère pas la réplique dit :

- Je pense que vous aimez ce que vous voyez. Vous aimez voir nos grosses queues et je parie que vous voudriez les voir de plus près, peut-être même les toucher.

Il commence à caresser son sexe, puis il avance vers elles.

- Qu'est-ce que vous faites? Crie Maman.

D'une voix sérieuse, Jake dit :

- Puisque que vous êtes les seules femmes que nous trouverons cette semaine, mes mais et moi aimerions un peu d'action.

- Va te faire foutre! Crie Mary.

- ça ce n'est pas sympa petite chienne! Dit Jake en continuant d'avancer.

- Vous êtes assez proche! Crie Kate.

Il ne répond pas et continue de s'approcher de ma mère. Avec une voix de dominateur, il lui dit :

- Vas-y, tu peux la toucher. Tu sais bien que tu le veux. Alors vas-y, touche!

Mes tantes regardent ma mère soumise poser sa main sur la queue de Jake et commencer à la déplacer le long de cette hampe. Elle ne peut quitter des yeux cette bite pendant qu'elle la branle.

Jake agite la main et Bob se dirige vers Mary tandis que Sam s'approche de Kate. Au moment où elles s'en aperçoivent, les garçons se sont emparés d'une de leurs mains pour la poser sur leur bite.

Maintenant les trois femmes déplacent leur main de haut en bas sur une bite. Jake pose alors une main sur l'épaule de ma mère et il la pousse lentement à s'agenouiller. Maman, la main toujours sur la queue épaisse, a le regard vague. Jake lui ordonne :

- Allez, vas- y tu peux lécher et embrasser!

Soumise, ma mère bouge la tête et commence à embrasser puis lécher la bite du jeune garçon. Jake lui parle doucement maintenant.

- Bonne fille! Mets la dans ta bouche, tu sais quoi faire.

Ma mère ouvre sa bouche et, lentement, essaie d'engouffrer ce gros engin. Tandis qu'elle le fait entrer lentement, elle commence à sucer. Jake déplace sa main derrière sa tête et pousse sa bite plus profondément dans la gorge ouverte.

Je regarde mes tantes, et elles aussi font des fellations aux deux jeunes. J'ai l'impression que Bob et Sam sont plus rudes avec elles que Jake avec maman.

Bob tient dans sa main une poignée de cheveux de Mary, et il pousse sa queue dans et hors de sa bouche. Sam a ses mains sur les côtés de la tête de Kate et j'ai l'impression qu'il est plus en train de baiser son visage que de se faire tailler une pipe. Toutefois, ils ne peuvent mettre leur sexe en entier dans les bouches.

Ma bite est maintenant dure comme du roc alors que je regarde les femmes de ma famille donner du plaisir à ces trois étalons.

Les trois gars prennent le contrôle des femmes. Je suis surpris de voir à quel point elles sont devenues dociles. Je me demande que Jake prévoie d'autre pour elles.

Je continue de regarder ma mère sucer le chef de la bande. Même si c'est ma mère, je ne peux m'empêcher d'être excité en voyant ses lèvres glisser de haut en bas sur la queue.

Puis je remarque qu'une de ses mains se déplace vers sa chatte et elle commence à se caresser. Même d'aussi loin, j'entends les bruits de succion que font les femmes.

Alors que maman prend une longue inspiration, Jake enfonce sa queue dans sa gorge aussi profondément que possible. Elle commence à gémir autour de la bite. Puis elle suit le rythme que lui impose le garçon.

- Oh putain... Salope... suce bien! Crie Jake.

Bientôt il attrape la tête de ma mère avec ses deux mains et baise la bouche de ma mère. Il s'enfonce tant qu'elle étouffe un peu.

- Oh merde... Putain... Putain de Dieu!

Ma mère a un regard surpris quand le premier jet de sperme remplit sa bouche. Elle avale aussi vite qu'elle le peut pour ne pas s'étouffer. Alors qu'elle a du mal à respirer, Jake sort sa bite e, gémissant :

- Oh Putain... Oh putain...

Il gicle sur le nez et la bouche de maman.

- Alors, Comment est-elle? Demande Rich.

Jake sourit :

- C'est la meilleure bouche que j'ai connue!

Tous les gars rient sur cette déclaration. Jake attrape les cheveux de ma mère et la tire pour qu'elle se retrouve à quatre pattes. Son cul est maintenant en face de lui et elle est sur ses genoux et ses bras. Maman se rend alors compte qu'elle est dans une position vulnérable. D'une voix inquiète, elle dit :

- Que pensez-vous faire? Je suis mariée, je ne crois pas que...

Mais c'est trop tard. Avant qu'elle ne puisse terminer sa phrase ou faire mine de s'éloigner, Jake a déjà placé sa grosse bite encore raide à l'entrée de la chatte. Il agrippe sa taille au-dessus de ses hanches pour la maintenir en place. Puis il enfonce profondément et en totalité sa queue dans la chatte humide.

Cette pénétration brutale a dû faire du bien à ma mère malgré son objection précédente. J'ai l'impression qu'elle soupire de plaisir. Je suppose qu'elle a apprécié cette entrée brutale et rapide.

Jake commence à pistonner la chatte de ma mère avec rudesse.

De nouveau la voix inquiète de maman se fait entendre :

- Jake, s'il vous plaît non... Je suis mariée... Je ne veux pas...

Mais le ton de sa voix change. Il passe de l'objection à un doux gémissement :

- Ohhh... Oui... Oui... Ça fait du bien...

Jake a maintenant un grand sourire sur son visage. Il sait qu'il la contrôle totalement. Ma mère s'amuse vraiment.

Puis, ce que je trouve étonnant, elle commence à beaucoup parler vulgairement :

- Oui... Baise-moi... Fais-moi jouir... OUI OUI OUI Comme ça... AAAAAAHHHHHH.

Elle a un gros orgasme. Ça devient vraiment intéressant. Je sors ma queue de mon maillot et je commence à me branler tout en regardant. Elle continue de crier :

- Oh! Baise-moi! Continue de me sauter mon garçon! Baise ma chatte! jouis et fais de moi ta chienne!

Jake arrête de la pilonner. Il retire sa queue de la chatte. Maman devient folle et le regarde en tournant la tête :

- Salaud, ne t'arrête pas!

Jake balance son bras en arrière et lui gifle le cul à plusieurs reprises. Maman glapit et demande :

- C'est pour quoi?

Le garçon la regarde et d'une voix sévère lui dit :

- Ecoute salope! Si tu veux que je finisse il faut que tu comprennes une chose. Tu es ma salope maintenant, ma chienne. Je peux faire de toi ce que je veux. Tu vas me baiser moi et ceux que je veux sans poser de questions. Compris?

Ma mère, qui veut désespérément qu'il continue, répond :

- Oui je ferais tout ce que tu veux. Baise-moi!

Je vois que Dave filme encore et a tout enregistré. Dans d'autres circonstances, elle n'aurait jamais accepté si facilement. Mais pour l'instant, mes tantes et elle consentent à tout cela. Je ne les ai pas vu se débattre. Elles ont un petit peu protesté mais je ne suis pas sûr qu'elles voulaient vraiment dire non.

Dave tourne la caméra vers Bob qui a, à peu près, la même conversation avec Mary. Elle aussi accepte de faire ce qu'il veut. Dave s'occupe ensuite de déplacer sa caméra vers Kate qui accepte aussi les demandes de Sam. Il s'assure d'avoir sur la vidéo les trois femmes qui acceptent d'être leurs salopes.

Je ne suis pas sûr que les plans des gars pour leurs vacances étaient pour ma mère ou mes tantes, mais je pense que les trois femmes vont être bien occupées le reste de nos vacances.

Dave me regarde et dit :

- Il est temps de rejoindre la fête. Mais tu peux rester là si tu veux.

Je me lève et nous sortons de notre cachette. Je suis Dave jusqu'au bord de la mare. Je peux voir les trois gars baiser sans ménagement et sans pitié les trois femmes mures. Alors que nous approchons, Dave crie :

- Je vois que vous avez trouvé du gibier dans les bois.

- Il était temps que tu te montres! Dit Jake en nous regardant.

Il tourne lentement ma mère vers moi. Elle a les yeux fermés et ne m'a pas remarqué. Il la saisit par les cheveux pour lui relever la tête mais elle garde toujours les yeux fermés. De sa main libre, le garçon commence à serrer un de ses seins.

- UNGHHHH... Oui... Oui... Gémit ma mère comme si elle appréciait.

Dave rigole et dit :

- Et bien, je prenais des photos de la vie sauvage et j'ai rencontré Bill sur le chemin. Il m'a accompagné jusqu'ici.

Surprise par ces mots, maman ouvre les yeux et me voit directement devant elle. Elle est à quatre pattes, complétement nue devant moi tandis qu'un homme la baise par derrière et lui tripote les seins.

- UMMMM... Oh... Merde... Gémit-elle en se cambrant en arrière.

Jake continue de la baiser et me dit :

- Tu vois Bill, cette pute aime ce que je lui fais. Et regarde tes tantes, elles aiment aussi ce qui leur arrive.

Puis il crie :

- Bon dieu, cette pute sait baiser!!!!

Ma mère et mes tantes se rendent compte que je suis bien là, alors elles se redressent et essaient de cacher leur corps.

Jake et les autres garçons se mettent à rire. Puis le chef dit avec sa voix autoritaire :

- Ecoutez bien les salopes, si vous voulez qu'on continue à vous baiser alors arrêtez de vous cacher.

Immédiatement les trois femmes baissent leurs bars le long du corps. Elles me regardent alors que je détaille leurs corps sexy. Maman me dit alors :

- Je ne sais pas vraiment ce que tu as vu mais tu dois n'en parler à personne.

J'essaie d'avoir l'air surpris et je lui réponds :

- J'en ai vu beaucoup et je ne l'aurais pas cru si je ne l'avais vu. Je pense qu'avec un peu de persuasion, tu pourras me convaincre de me taire.

- Je suis tellement désolée Bébé mais...

C'est tout ce qu'elle peut dire. Jake en profite et dit :

- Maintenant mesdames, vous allez prendre soin du reste de l'équipe, vous parlerez de vos problèmes plus tard.

Dave se précipite vers ma mère. Il est déjà nu et arbore une grosse bite. Il se jette sur elle comme un mort de faim. Il enfouit son visage entre ses seins et commence à sucer durement un mamelon tout en tirant sur l'autre.

Sean prend Mary tandis que Josh et Rich vont vers Kate. Ces gars sont beaucoup plus durs avec les seins des femmes. Ils les tirent, les tordent et les sucent fortement.

Je regarde principalement Dave avec ma mère. Tandis qu'il meurtrit ses seins, elle continue de regarder le visage de Jake. Je suis sûr qu'elle préférerait que ce soit lui à la place de Dave. Jake commence à s'éloigner alors elle demande en regardant par-dessus le dos de Dave :

- Ou vas-tu? S'il te plaît, reste où je peux te voir.

- Ne t'inquiète pas chienne, je vais revenir. Répond-il en souriant.

Puis il se tourne vers moi et dit :

- Regarde le pouvoir que j'ai sur elle, elle ne veut pas que je sorte de sa vue.

Tout ce que je peux faire c'est de regarder Dave mordre et tirer sur ses seins. Après quelques minutes, il lui dit de se mettre à quatre pattes. Il la prend par derrière et la baise violemment tout en l'insultant brutalement. Puis il me regarde dans les yeux en riant :

- Ta mère est une vraie pute et salope.

Je ne lui réponds pas.

Je remarque alors que Bob filme toute l'action. Je ne sais pas quand Dave lui a remis la caméra mes ces gars s'assurent que tout soit filmé.

Je regarde de nouveau Dave et ma mère. Le garçon est en train de lui dire :

- Tu a vraiment une chatte de grosse salope!

Puis il me regarde et dit :

- Pourquoi tu ne viens pas te joindre à nous?

Je me déshabille et je m'approche de ma mère. J'essaie de lui mettre ma bite dans la bouche, mais elle détourne la tête. Alors j'attrape une poignée de ses cheveux et je force ma bite entre ses lèvres. Je lui dis :

- Bonne fille, si tu veux baiser tout le monde, tu ferais bien de me faire une bonne fellation. Voilà, c'est bien!

Je me fais sucer par ma mère sexy et c'est génial. Mais comme je veux que ma queue soit plus profonde dans sa bouche, je mets une main sur le haut de sa tête et je commence à pousser de haut en bas sur mon membre. Je lui baise le visage maintenant.

Nous sommes deux à glisser nos bites dans ma jolie mère. Au bout de dix minutes, je suis sur le point de jouir et je n'ai aucune intention de sortir de sa bouche.

Mais maman a remarqué que je me préparais à éjaculer. Alors elle essaie de me pousser pour que je sorte de sa bouche. Mais je la tiens solidement derrière la tête et je continue de lui baiser le visage. Je l'entends tousser et s'étrangler avec ma semence qui inonde sa bouche.

Dave jouis en même temps que moi. Avec un grand gémissement il retire sa queue et gicle sa charge sur son dos. Nous nous levons tous les deux tandis que ma mère reste en place, du sperme sur le dos et dégoulinant sur le côté de sa bouche. Je la regarde, sourit et dit :

- C'est à mon tour de te baiser.

Je la mets sur le dos et j'écarte ses jambes. Puis j'attrape ma bite dans une main et je la pousse entre les petites lèvres de sa chatte. Je ne vais pas perdre de temps.

Tandis que je pousse ma queue en elle, je l'entends doucement protester :

- Ce n'est pas bien, arrête, arrête s'il te plaît...

Sa chatte est élargie et bien lubrifiée avec les mecs qui sont déjà passés. Donc, avec facilité je plonge toute ma bite dans son sexe. Elle commence à se tortiller d'avant en arrière.

- NON NOOOON... OH NOOOO... Crie-t-elle.

Ensuite, elle remue son corps d'un côté à l'autre pour se défendre. Ça provoque des remous et des secousses dans ses nichons. Les voir bouger ainsi avec cette sensation merveilleuse de ma bite coulissant dans et hors de sa chatte est incroyable.

- Oh nooooonnnnn... Pleure-t-elle.

Tandis que je prends un bon rythme, elle cesse finalement de se débattre et elle commence à gémir à chaque fois que je suis au fond d'elle. Ses jambes m'enserrent.

- OOOOHHH, OHHHHH... Gémit-elle.

Ça m'incite à pousser plus fort dans sa chatte. Maintenant elle bouge ses hanches en rythme avec moi. Je peux sentir les muscles de sa chatte se contracter autour de ma queue. Je commence à serrer ses seins et tirer sur ses mamelons.

Ma mère grogne et crie :

- Ugh, Arghhh, OOOhhhh, ne t'arrête pas je vais jouiiiiirr!

Elle remue les hanches et serre ma taille avec ses cuisses. Bientôt j'éjacule dans le ventre de ma mère. Elle crie encore plus fort.

Quand je sors ma bite, elle lève les yeux vers moi et sourit juste.

Jake revient vers elle et elle se tourne vers lui pour le fixer du regard. Il lui gifle le cul et dit :

- Je suis de retour, je t'ai manqué salope?

- Oui, baise moi fort! dit-elle simplement.

Il la positionne une nouvelle fois à quatre pattes et il la prend par derrière. Il commence à la marteler consciencieusement.

Puis il prend son temps. A chaque fois il se retire complétement puis il s'enfonce profondément. On peut presque voir sa chatte essayer d'agripper sa bite pour qu'il reste en elle. Elle crie et supplie d'être baisée plus durement.

Puis Jake arrête de bouger. Il claque le cul de ma mère, tire ses cheveux et se penche pour lui chuchoter à l'oreille. Elle hoche la tête et commence à faire tout le travail toute seule. Elle se balance en arrière pour s'empaler sur toute la longueur de la bite du garçon.

Mais Jake décide de la taquiner alors il se retire complétement. Elle n'aime pas ça et dit :

- Arrête de me taquiner s'il te plaît! J'ai besoin de ta queue en moi!

- Qu'est-ce que tu veux chienne?

- Je veux que tu me baises s'il te plaît. Vas-y baise-moi, baise ma vieille chatte, vas-y s'il te plaît! Supplie-t-elle.

Il remet sa bite dans la chatte de ma mère et recommence à la pilonner. Il se penche en avant sur son dos et tend la main pour jouer avec ses seins. Il les presse et tire durement sur mes mamelons. Il les gifle aussi plusieurs fois. Ce traitement brutal rend ma mère encore plus excitée. D'une voix soumise elle dit :

- OHHHHH continue de jouer avec mes seins, c'est si bon. Je me sens si bien. S'il te plaît continue de me baiser. Tu vas me faire jouir oh mon Dieu!

Pendant qu'ils baisent, Jake continue de torturer ses seins. Ses tétons sont droits et raides. Jake la défonce sans pitié. Maintenant maman halète et gémit bruyamment :

- OHHHH Merde OHHHHHHH!!

- Dis moi à quel point tu veux être une chienne! Demande Jake.

Elle ne répond pas.

- Allez vieille salope, dis-moi à quel point tu veux que je te baise! Crie Jake en ralentissant le rythme.

Avec une voix vraiment soumise, maman répond :

- Baise-moi... S'il te plaît baise-moi!

- Qu'est ce que tu dis vieille pute? Demande Jake.

- S'il te plaît... OOOHHHH... Baise-moi... Gémit-elle docilement beaucoup plus fort.

- je ne t'entends pas!

- OOOOOHHHHHH, S'IL TE PLAIT BAISE-MOI! BAISE-MOI AVEC TA GROSSE BITE! Crie ma mère.

Il lui donne toute ce qu'il peut maintenant. Ils baisent pendant un bon moment encore. Ma mère a trois orgasmes et son ventre touche le sol maintenant. Alors que j'ai l'impression que ça ne va jamais se terminer, Jake lui donne quelques coups de reins plus rudes puis il se retire et se place devant elle en disant :

- Ouvre ta bouche vieille pute!

Elle obéit et ouvre la bouche le plus largement possible pour recevoir sa queue. Jake pousse sa bite dans la gorge et éjacule de grandes quantités de sperme. Ma mère avale sans se faire prier. Jake dit alors :

- Bonne salope! Nettoie bien ma queue maintenant! Montre-moi que tu es une bonne fille.

Elle obéit et lèche la queue pour la rendre propre.

Je regarde autour de moi et je vois mes tantes qui s'amusent elles aussi. Jake s'approche de moi et me dit :

- Ecoute, tu ne comprends peut-être pas tout, mais ces trois garces sont maintenant nos salopes. Elles feront tous ce que nous voudrons.

Je le regarde puis je regarde mes tantes et ma mère. Il a raison, elles semblent accros aux sexes de ces gars. Ce sont bien leurs salopes.

Les trois femmes se laissent baiser par tous les garçons présents à tour de rôle, moi inclus. A la fin de la journée j'ai sauté les trois salopes.

Quand tout le monde a fini de baiser mes tantes et ma mère, Jake ordonne :

- Bien! Venez devant moi les salopes!

Les trois femmes se dirigent vers l'endroit où se trouve Jake. Les autres se mettent derrière leur chef. Dave a repris la caméra et continue de filmer.

Jake détaille les femmes de haut en bas. Puis d'une voix autoritaire il demande :

- Aujourd'hui, vous êtes-vous amusées autant que nous?

Mes tantes et ma mère me regardent comme si elles ne voulaient rien dire en ma présence. Jake crie alors!

- J'ATTENDS UNE REPONSE!

Les yeux de Kate me quittent pour regarder Jake et dire :

- Je pense que je peux parler pour nous trois et te dire que oui, nous nous sommes bien amusées.

Ma mère et tante Mary ne font que hocher la tête pour confirmer ces propos. Jake continue alors :

- Puisque vous êtes les seules garces dans la région, vous allez faire en sorte que notre séjour soit agréable. Comme vous vous êtes bien amusées, nous vous baiserons tous les jours de la semaine.

Mais ma mère dit d'une voix soumise, la tête baissée :

- Mais nous ne pouvons pas, nos maris sont ici.

Jake les informe alors de ce qui va se passer si elles ne font pas ce qu'ils veulent. Il fera en sorte que tout ce qui vient d'arriver soit connu de toute la famille et de tout le voisinage dans notre ville. Il explique à quel point ça sera facile puisqu'ils ont toutes les informations prises sur leurs permise de conduire et leurs téléphones portables. Jake dit même à ma mère et mes tantes qu'il pourrait arriver qu'ils leur rendent visite de temps en temps.

Maman regarde mes tantes et elles hochent la tête ensemble. Elles sont conscientes que ces gars les possèdent et qu'ils peuvent ruiner leur réputation et leur vie. Ma mère dit :

- D'accord mais vous devrez vous assurer que rien ne se sache.

Jake et les gars partent. Je reste seul avec les femmes. Je vais dans les bois et je ramène leurs sacs et leurs vêtements.

Même si je dois les écouter maudire le ciel de ne pas avoir trouvé leurs soutien-gorge et culottes, je me réjouis de voir leurs seins rebondir à chaque pas sur le chemin.

En retournant à la maisonnette de vacances, je leur promets de ne parler à personne de ce qui s'est passé aujourd'hui.

Pour le reste des vacances j'ai aidé mon père et mes oncles à faire les réparations. Maman et mes tantes disparaissaient pendant des heures. Je savais qu'elles se faisaient baiser par la bande à Jake.

Ce fut de sacrées vacances. J'ai même reçu une copie de la vidéo faite par Dave.

FIN.

mercredi 27 octobre 2021

Isabelle Ch. 11

  Texte de Aldo37.

 *****

Suite de la nuit à l'hôtel avec Michel.

Isabelle obéit, tandis que Michel allait jeter le préservatif dans la cuvette des toilettes.

— SUCE MOI, maintenant et fais-moi cracher !

Isabelle prit la queue dans la main, et commença à sucer.

— Humm tu suces bien tu es experte en pipes, toi : Continue comme ça oui ! Oui je vais partir continue !

Isabelle branlait légèrement la queue. Michel prit sa bite à la main.

— Ca y est ! JE VIENS. JE JOUIS !!!!

— TIENS SALOPE ! TIENS, PRENDS MON FOUTRE ! TIENS !

Les jets de sperme se succédaient. Michel avait une éjaculation abondante. Abondante et épaisse. Le premier jet avait atteint Isabelle dans les cheveux, et maintenant, les jets se succédaient sur son visage. Comme ce matin, les joues, les paupières, les lèvres, le menton étaient souillés. Et comme ce matin, le sperme dégoulinait, tombait sur ses seins et ses cuisses.

Au bout d’un moment interminable, Michel arrêta d’éjaculer, en secouant son sexe sur le visage de la jeune femme.

— Oh salope, tu m’as vidé les couilles !

Isabelle se releva, et partit se doucher. Pendant ce temps, Michel ouvrit le minibar, prit une bouteille de champagne et versa deux coupes. Isabelle revint.

— Tiens, on va fêter notre nuit de baise ! Viens sur mes genoux !

Michel était assis sur le canapé, Isabelle vint le rejoindre, et s’assit sur ses genoux. Elle but plusieurs gorgées de champagne, pendant que son amant lui caressait les cuisses.

— Bien je vais me laver la queue, et on va se coucher.

Isabelle ouvrit le lit, s’allongea, et alluma la télévision, tandis que Michel prenait une douche. Il arriva, la queue molle, pendante entre ses jambes. Il s’allongea à côté d’elle, lui embrassa l’épaule, lui pelota les seins.

— Tu vois, il est à peine 23 heures, et tu en as déjà pris un coup. Je te laisse une petite demi-heure pour récupérer, et on remet ça ! Je ne suis pas venu ici pour regarder la télévision, poupée, mais pour te baiser. Alors tu vas en prendre plein la moule, c’est moi qui te le dis. Et plein le cul, aussi.

Un moment passa. Michel caressait distraitement Isabelle, seins, ventre, tout y passait. Tout à coup, il se leva, plaça son visage contre le sexe de la jeune femme, et commença à la lécher

— slurp slurp...

Tout à coup, il se leva.

— On va faire un 69 ! 

Il se plaça au-dessus d’Isabelle, qui reçut bientôt le sexe dressé dans la bouche. On n’entendit plus dans la pièce que des bruits de succion et des gémissements. Au bout d’un moment, Michel arrêta, s’allongea.

— On change ! vient au-dessus !

Ils firent un 69 en inversant les rôles. Les mêmes bruits de succion et les gémissements reprirent de plus belle.

— AHHH !! 

Isabelle se leva brusquement, arrêta la fellation, tout en tenant la queue dressée dans sa main gauche. Apparemment, la langue à Michel lui faisait du bien. Elle prit un préservatif sur la table de nuit, l’ouvrit, l’enfila sur la queue dressée, se positionna au-dessus, écarta les lèvres de son sexe avec deux doigts, et fit pénétrer le gland, puis la queue.

— Ahh... ohh...

— AH OUI SALOPE.EMPALE-TOI ! EMPALE-TOI BIEN A FOND !

Isabelle était effectivement empalée à fond sur la queue, dos à son amant. Celui-ci la tint immédiatement par les hanches et commença à lui faire faire le mouvement de va-et-vient.

— Allez ! Vas y !  Bouge bien sur ma queue ! Empale toi bien !

Isabelle bougeait en cadence, se soulevait, aidée par Michel, pour retomber sur sa queue. Elle ne tarda pas à manifester du plaisir.

— Oh non c’est trop bon... ahhh oui  OUI... Continue, baise-moi avec ta grosse queue ! Ta grosse queue dans mon ventre ! oui oui encore...

— Ah, salope tu aimes ça ! Tu aimes la bite, toi !

Elle se faisait limer de plus en plus vite, de plus en plus profond.

— Allez ! change de côté ! FACE A MOI maintenant  ! Je veux voir ma queue dans ta chatte et voir tes miches balancer !

Isabelle obéit, se retira pour s’empaler de nouveau. Le coït recommença de plus belle. Isabelle commençait à crier.

— Oui, salope vas-y ! GUEULE GUEULE REVEILLE L’HOTEL ! Montre leur que tu en prends plein la chatte ! Montre leur que tu te fais bien baiser ! VAS-Y HURLE !

— AHHHH ! OUI ! c’est bon.. c’est bon... J’aime la bite ! J’aime les grosses bites dans ma chatte ! j’aime me faire défoncer, je suis une salope et j’aime ça ! AH OUIIII JE JOUIS !! ahhh JE JOUIIIIIS ! BAISE-MOI FORT !

Isabelle hurlait, se tordait sous les coups de boutoir. Michel se retira quand elle eût finit et qu’elle râlait, il l’allongea sur le dos, et vint se placer au-dessus d’elle, mit sa queue entre ses seins.

— Allez ! Tiens tes seins que je me branle un peu !

Il allait et venait entre ses seins.

— HUMM SALOPE je vais venir... ça vient ! OUVRE LA BOUCHE ! OUVRE LA BOUCHE Bon Dieu !!

Il n’eût pas le temps de répéter. Se masturbant entre les seins d’Isabelle, le plaisir était arrivé. Le premier jet de sperme l’atteignit sur le menton et sur la bouche, les autres arrivèrent dans le cou et sur les seins. Michel avait hurlé, et geignait maintenant. Il termina la queue plantée dans la bouche d’Isabelle, qui, maculée de sperme, devait la nettoyer avec sa langue.

Isabelle se releva sur les coudes, vit le sperme qui coulait sur ses seins, regarda et fit " Ohhh."

— Oui, tu es pleine de foutre.

Isabelle allait se lever.

— Non non ! Ne vas pas te laver maintenant, je veux encore te contempler pleine de sperme. Je vais me laver, moi. En attendant, CARESSE TOI ! Je veux que tu prennes encore ton pied. Alors pendant que je prends ma douche, masturbe toi ! Et pas de simulation. je veux t’entendre CRIER !!

Isabelle restait statique.

— Eh bien ?? Qu’est ce que tu attends ??? BRANLE-TOI !!

La main d'Isabelle descendit vers son bas-ventre. Elle commença à se caresser doucement.

— Voilà c’est bien, branle bien ton clito !

— Je vais me laver, je laisse la porte ouverte. Je veux entendre ton plaisir.

Il commença sa toilette. Pendant ce temps, Isabelle ferma les yeux et se masturba. Au bout d’un moment, des frissons parcouraient son corps.

— Ahh... Ohh... ahh humm... HUMMMMMM...

Michel, qui avait terminé sa douche, passa la tête dans l’encoignure de la porte. Il vit Isabelle, allongée, les yeux fermés, le visage et les seins maculés de semence, la main sur son sexe, en train de se masturber.

— C’est bien ma belle, continue, astique toi bien !

Michel retourna à sa toilette, Isabelle continua.

— Humm oh... HUUMM... HUMMMM AHHHH... AHHHHHHH !!!

Michel arriva tout de suite pour assister à l’orgasme d’Isabelle, qui jouissait, se caressant, cuisses écartées.

— Eh bien dis donc, tu n’as pas fait semblant !

Isabelle était épuisée, les cuisses toujours écartées, haletante.

— Allez ! A la douche, tu l’as bien méritée !

Isabelle eût du mal à se lever, mais parvint à arriver à la salle d’eau, se lava visage et seins, et resta sous la douche c’était si bon. Tout à coup, Michel, toujours nu, surgit derrière elle, dans le bac à douche. Il tenait la brosse à cheveux d’Isabelle à la main.

— Oh non ! non !

Mais elle n’eût pas le temps de se poser de questions.

— Mets tes bras sur la paroi ! Penche-toi bien en avant !

Isabelle obéit. La seconde d’après, le manche de la brosse à cheveux la pénétrait.

— AHHH !

— Ne gueule pas, ou je te la mets par l’autre bout !

Michel s’activait maintenant, effectuant un mouvement de va-et-vient.

— Ma parole, tu es encore mouillée.

Cela durait depuis cinq minutes.

— AHH... humm... AHHHHH... ohhhh ...

— Tu aimes ça, hein ?? 

Tout à coup, il fit sortir le manche de brosse du sexe de la jeune femme, et lui écarta les fesses.

— NON ! pas ça !

Michel ne s’occupa pas des supplications. Aussitôt, le manche pénétra l’anus.

— AIE ! ahhhh... NON ! non !

Mais déjà, le manche était entré jusqu’à la garde, et allait et venait en cadence.

— AHH... ah ! AHHH... AHHH !!! NON !

Michel accéléra.

— NON... AHH... non,non,non... AHAH... Ahhhhhhh !! oui... ah... ouiii.!!!!!

Michel fit hurler Isabelle. Il la finit en accélérant le rythme à lui faire perdre haleine. Isabelle ne pouvait plus crier tellement la jouissance lui coupait le souffle. Il retira le manche d’un coup sec.

— AHHHH !

Isabelle s’écroula, assise dans la douche, épuisée. Michel lui dit :

— Regarde ton baiseur !

Il lui montrait le manche qu’elle ne regardait pas. Il lui passa sur les lèvres, Isabelle ne réagit pas. Pas plus que lorsque le manche s’immisça entre ses lèvres.

— Voilà c’est bien ! Suce ! Suce, lèche ta souillure ! Voilà c’est très très bien...

Il retira le manche de la bouche d’Isabelle.

— Bien ! tu es fatiguée, tu vas aller te reposer un peu. Passe sur le bidet, lave bien ton petit cul, et tu auras droit de dormir un peu. Il se fait tard, il est déjà 1 h 30 du matin.

Tel un automate, la jeune femme se leva avec peine, et ouvrit l’eau du bidet, s’assit sur le siège, et fit sa toilette intime, devant Michel, sexe et anus. Elle s’essuya avec la serviette qu’il lui tendait, et s’allongea sur le lit, où elle s’endormit immédiatement tandis que Michel se servait une coupe de champagne. Peu après, il se coucha.

A 4 heures 10 au radio réveil intégré au lit, Isabelle fût brusquement réveillée. Elle sentait quelque chose lui frotter les lèvres. Michel s’était levé, se trouvait au-dessus d’elle sur le lit, à genoux, et lui frottait son sexe dressé sur les lèvres.

— Eh bien ma petite pute est réveillée on dirait. Regarde le gros moineau pour ta bouche de salope. Allez ! ouvre la bouche et suce moi !

Isabelle ouvrit la bouche. Le membre la pénétra aussitôt.

— Oui tête moi bien ! Oui comme ça !

Le membre devenait de plus en plus gros, de plus en plus dur, et avait du mal à rester dans la bouche d’Isabelle, où le gland frappait presque le fond de la gorge et lui donnait des nausées.

— Humm  c’est bon !  Attends chérie. je vais te BAISER LA BOUCHE !

Il se releva légèrement, s’enfonça encore plus profondément dans la bouche. Isabelle était littéralement étouffée. Michel commença le mouvement de va-et-vient. Il lui prenait littéralement la bouche. Il aimait cela, gémissait, grognait.

— Huumm oui elle est bonne, ta bouche. Chaude et humide comme une bonne chatte. Si tu te voyais avec ma bite plantée dans la bouche. Salope, je veux sentir ta langue bouger. Voilà c’est mieux. Comme ça. 

Il n’en pouvait plus, le coït buccal dura bien 15 minutes.

— Ohhh salope je vais jouir. TU VAS TOUT AVALER.

Isabelle tenta de se dégager, de faire sortir le sexe de la bouche,mais Michel lui bloqua la tête, la maintenant par la nuque.

— Ah salope, pas question de te barrer ! TU VAS TOUT AVALER que ça te plaise ou non ! TU VAS BOUFFER MON FOUTRE... ALLEZ, LAISSE TOI FAIRE ! Ne t’inquiète pas, CA VIENT ! A force de te limer la bouche, tu vas me faire cracher. AHHH ! ARGGG AVALE ! AVALE TOUT ! BOUFFE MON SPERME AVA..LE !

A suivre...

lundi 25 octobre 2021

Le Pasteur se fait maquereau - 4ème partie

 Texte de Black Demon (Pimped by Her Own Pastor) traduit par Coulybaca.

Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation) et "Le pasteur se fait maquereau" (Pastor's a Pimp I et II)

Les deux acolytes prostituent une paroisienne.

Son voyage d'affaire à "Springfield" était couronné d'une totale réussite, elle avait vendu une commande pour une somme importante de matériel médical à l'hôpital local, et maintenant elle devait faire une petite étape à "Bridge-port" cet après-midi selon son agenda.

Puis elle rentrerait chez elle tard le lendemain par le vol du vendredi matin pour dîner avec son fiancé. Elle avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à se souvenir avoir pris ce rendez-vous, mais au fond d'elle-même, Kristin savait que monsieur Simpson l'attendrait à la sortie du terminal de l'aérodrome.

- Etait-il un administrateur de l'hôpital ?

- Quel type d'équipement médical recherchait-il ? 

Elle n'en savait rien, en fait, elle se rendait compte qu'elle n'était nullement préparée à ce rendez-vous !

***

Julius Simpson qui venait de faire une dotation de 30.000 $ à la fraternité comptait bien en retirer les bénéfices très bientôt. Plus tôt il avait attentivement observé le site web ouvert par monsieur Mollway au nom du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" qui l'avait rapidement convaincu de faire cette donation de 30.000$ à sa fondation.

"Bordel, quel coup de cul d'être tombé sur son site où il publiait des photos des plus jolies membres féminins de sa congrégation, c'est parmi ces photos qu'il avait choisi sa future proie... C'était vraiment incroyable ! Et il n'avait même pas besoin de se déplacer, cette salope vient à moi selon les dire de ce vieux pote de Mollway !" pensait Julius enthousiasmé.

Lorsqu'il avait feuilleté le livre de souvenirs de la congrégation sur le site de Mollway, Julius avait disposé de nombreuses photos des membres de la paroisse et lut les commentaires qui les concernaient. Il y avait de nombreuses ravissantes jeunes femmes, mais l'annonce qu'il avait préférée était celle annonçant le futur mariage de Kristin Corbett avec son fiancé Mike Goodman. Ce nom avait tilté dans sa tête, c'était celui d'une des jeunes femmes qu'il avait remarquée parmi les photos des membres, ce qui devait signifier que cette promise devait être ravissante ! Il était retourné rapidement vers la section photos du site, avait descendu la liste alphabétique. Sa bite s'était cabrée dans son caleçon à, la vue de la photo de la somptueuse jeune femme.

"Bordel de merde, elle semble si douce, si naïve Peut-être bien qu'elle est encore pucelle ! " se mit-il à espérer avec concupiscence.

Lorsqu'un homme se présentant comme maître Mollway du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" à la fondation lui avait téléphoné, il avait reçu un enivrant remerciement pour sa donation. Cet homme avait insisté :

- "Je ne veux pas vous faire perdre votre temps, aussi vais-je aller tout droit au but Je vais vous envoyer un mail avec une adresse pour répondre. Vous l'étudierez, puis vous nous direz de quelle façon nous pourrons vous exprimer notre gratitude pour cette généreuse donation que nous sollicitons ! "

Quelques jours plus tard, un dimanche après-midi, il rappelait monsieur Mollway l'avisant :

- "J'ai vu une photo d'une ravissante beauté, Kristin Corbett, sur le site que vous m'avez conseillé de consulter... Fait-elle partie de l'offre ? C'est elle que je voudrai !" demandait Julius nerveusement.

- "Ah cher ami, un excellent choix ! Je pense que vous avez vu qu'elle devait bientôt se marier. Bien sur qu'elle fait partie de l'offre, vous pourrez en disposer quand vous le voudrez ! Voulez vous l'essayer avant son mariage ? Ou après ? " lui répliqua alors l'ex-pasteur Mollway.

- "Vous voulez dire que je pourrai vraiment me la faire avant son mariage ? " s'enquit Julius d'une voix chargée de désir.

- "Bien entendu... Nous sommes là pour réaliser vos vœux, dans ce domaine tout au moins. Mais cela veut dire qu'il va falloir hâter les choses ! Ne pensez-vous pas qu'une seconde donation de 5.000 $ viendrait appuyer votre désir ? "

Il donna aussitôt les instructions en ce sens, il ne lui restait plus qu'à attendre le coup de fil qui lui donnerait le feu vert et les conditions de la "livraison".

 ***

En traversant le terminal de l'aéroport, Kristin se sentait accidentellement nerveuse, elle ne parvenait pas à se rappeler les raisons de son rendez-vous.

- Pourquoi ai-je retenu une chambre d'hôtel ?

- Pourquoi l'ai-je retenue alors que mon voyage d'affaire avait commencé, d'autant plus que je n'en sais pas plus sur cette opportunité !

- Qui est ce monsieur Simpson que je dois rencontrer ? se demandait-elle nerveusement.

Elle n 'avait aucune idée de ce qui l'attendait, elle ne savait même pas comment il la reconnaîtrait, elle ne se rappelait pas lui avoir parlé une seule fois au téléphone. Pourtant c'était bien elle qui avait inscrit ce rendez-vous sur son agenda, elle reconnaissait parfaitement son écriture et le talon de la réservation de la chambre qu'elle avait retenu à l'hôtel de l'aéroport pour ce jour. Habituée à emporter peu de bagages, d'autant plus que généralement elle partait une journée, Kristin avait été embarrassé pour faire sa valise la veille au soir. Elle contenait un petit sac de voyage, un élégant soutien-gorge assortie à une affriolante petite culotte et une froufroutante chemise de nuit, elle était loin d'emmener de tels articles habituellement. Encore qu'elle ne comprenait pas pourquoi ce voyage d'affaire serait si différent. Mais elle avait revêtu une très élégante tenue pour ce rendez-vous, elle portait une jupe bleue, un veston classique un chemisier blanc et des hauts talons noirs.

"Pourquoi n'ai je pas pris de tenue d'affaire pour demain ? ." se demandait-elle intriguée.

En sortant du terminal, Kristin chercha des yeux qui pouvait bien l'attendre. Mais lorsqu'elle vit s'approcher un noir musclé très élégant portant un costume gris sombre sur une chemise orange elle fut transportée de joie à l'idée de le rencontrer. Il lui semblait familier, mais elle était incapable de se rappeler quand elle l'avait rencontré, cependant elle était certaine qu'il s'agissait bien de ce monsieur Simpson avec qui elle avait rendez-vous. Cœur battant la chamade, il lui sembla être plongée dans une espèce de transe lorsqu'il lui dit :

- "Mademoiselle Corbett, Julius Simpson, l'homme qui va faire de vous une femme aujourd'hui ! Suivez-moi !"

Sa valise à la main elle le suivit docilement jusqu'à sa voiture parquée devant l'aéroport. Dès qu'elle fut assise dans le siège passager, il lui demanda :

- " Dans quel hôtel nous as-tu réservé une chambre ? "

- "A l'hôtel de l'aéroport ! " répondit Kristin, se demandant pourquoi elle se sentait obligée d'accompagner cet homme qui s'était montré si grossier en l'accostant prétendant entre autre faire d'elle une femme.

Frémissante elle ne se trouvait pourtant incapable de repousser la main de ce pervers qui tenait la sienne commentant :

- "Quelle belle bague de fiançailles. Ton fiancé s'est-il mis à genoux quand il t'a demandé en mariage ? Et qu'il t'a glissé cette bague au doigt ! "

Kristin se contenta de souffler un timide oui. La main pendant le long de la console séparant les deux sièges, elle frémit lorsqu'elle toucha la cuisse droite du conducteur, mais ce n'est pas sur sa cuisse que sa main s'était instinctivement refermée.

- "Mon Dieu que suis-je en train de faire ? " se demandait Kristin en son fort intérieur.

Voila qu'elle empoignait la bite de set étranger au travers du tissu de son pantalon, c'était une chose qu'elle avait peut être fait deux malheureuses fois avec Mike. Il l'encouragea vulgairement :

- "Oh oui ma petite chérie, fais connaissance avec cette bite que tu suceras bientôt ! "

Elle ne parvenait pas en croire ses oreilles, comment pouvait-on se montrer aussi vil. Cependant elle ne pouvait s'empêcher d'agripper sa bite, mesurant de la main sa taille et son épaisseur se demandant toujours :

- "Mon Dieu que suis-je en train de faire ? "

Dans un total état de sidération, Kristin descendit de voiture lorsqu'ils stoppèrent devant l'entrée de l'hôtel puis elle le remonta le vestibule menant au bureau des réservations comme le lui avait intimé monsieur Simpson. Et elle obéit avec complaisance, réclamant la clef de la chambre qu'elle avait réservée. Une fois la chambre payée sur sa carte bancaire, elle retourna alors à la voiture avec la clef magnétique en main et lui donna la direction à suivre pour se rendre à leurs chambres.

Peu après que la voiture ait été garée, Kristin se retrouva seule avec Monsieur Simpson, un homme qu'elle n'avait jamais rencontré auparavant et qui cependant semblait exercer une forte emprise sur elle. Elle savait que c'était fou, que cela ne pouvait pas arriver, et pourtant elle ne parvenait pas à briser cette espèce de sortilège qui lui interdisait de lui désobéir quoi qu'il lui demande de faire. Les yeux braqués sur cet homme, elle n'écoutait plus que sa voix, rien d'autre que cette voix ne semblait exister pour elle. Elle paraissait en transe. Elle ne remarqua pas qu'il plaçait son portable sur la table, braqué sur le lit, il avait commencé prendre des images depuis qu'ils avaient quitté le hall de l'hôtel, se focalisant sur la bague de fiançailles à sa main gauche.

A de nombreux kilomètres de là, dans la petite ville de Presswood, un portable recevait les images qui étaient immédiatement transférées sur un ordinateur. Pour l'instant, on voyait sur l'écran la ravissante Kristin Corbett déboutonner avec hésitation le haut de sa veste bleue.

- "Allez chérie, enlève-moi ce veston !" dut-il répéter pour l'encourager à poursuivre.

Le premier bouton déboutonné, les doigts nerveux œuvrèrent alors sur le second, puis le troisième... Jusqu'à ce qu'elle enlève l'élégante veste.

- "Et maintenant les chaussures ma chérie !"

Elle obéit docilement. Les yeux rivés sur cet homme qu'elle ne connaissait pas une heure plus tôt, elle poussa la première chaussure avec l'autre et l'ôta et se retrouva bien vite pieds nus.

- "Au tour de ta jupe maintenant !" lui intima-t-il avec autorité.

Une fois qu'elle se fut exécutée, il reprit :

- "Le corsage ! "

Quelques instants plus tard, la fiancée de Mike Goodman se tenait presque nue devant un complet étranger, un musculeux noir qui s'était offert les charmes de cette succulente jeune femme.

Les deux hommes avaient les yeux rivés sur l'écran de l'ordinateur, ils observaient la ravissante jeune femme qui tremblait d'effroi alors que Jules Simpson faisait un pas en avant, tendait sa grosse main vers l'affriolant soutien-gorge en dentelle qui voilait les tétons de la future madame Goodman. La fragile beauté effrayée semblait figée sur place, incapable de se débattre ou de résister de quelque manière que ce soit, haletant de détresse alors que ce bâtard lubrique palpait ses miches.

- "Ohhh t'as vraiment de beaux nichons ! " lui dit-il tout en la pelotant allégrement.

Le soutien -gorge en dentelle enlevé, il se pencha sur son torse, embouchant l'un après l'autre les tétons dardés de la ravissante jeune femme en état de sidération.

- "Ooooooooooooooooohhhhhhhh... " soupira-t-elle extasiée alors qu'il suçait divinement ses deux jumeaux.

- "Ummmmmm... Chérie... Est-ce que ton connard de fiancé joue souvent avec tes superbes tétons ? " lui demanda-t-il alors qu'il les lui mignotait de la langue et des dents.

- "Oooooohhhh, ohhhhhhhhhh... Non Non, jamais... Je... Je lui ai dit d'attendre ! D'attendre... Qu'on soit marié ! " répondit la pantelante innocente beauté.

Un instant plus tard, il la poussa à s'agenouiller, alors qu'il guidait ses mains vers son entrecuisse. D'instinct elle descendit la fermeture éclair de sa braguette. Tremblante de nervosité elle s'escrima pour pêcher la grosse mentule cachée dans son caleçon, elle grimaça en serrant la grosse bite entre ses doigts. Une fois le caleçon bien ouvert et l'épaisse mentule dénichée, elle la tint de la main droite, sa main gauche descendant palper ses grosses couilles.

- "Ahhhhhhhhhh... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii..." grogna Julius comme elle le branlait allégrement sinon habilement.

Alors qu'elle observait avec attention le gland turgescent de Julius, elle avala sa salive à la vue d'une perle blanche se formant à la commissure de son méat. Sa bite gonflait de plus en plus, elle frôlait maintenant la moquette, il posa alors une main sur sa nuque l'attirant sur son ventre jusqu'au moment ou ses lèvres frottèrent contre la peau tendue de son gros bourgeon de chair. Bien vite ses lèvres luirent doucement, il avait étalé sur elle la perle de pré-sperme qui avait goutté de son méat.

Assis, les deux macs observaient avec attention la future épouse ouvrir la bouche pour enfouir l'épaisse biroute du noir dans son innocente bouche. Rich saliva à la pensée qu'il était l'outil principal de sa déchéance, c'est lui qui l'avait mise en évidence parmi ses ouailles. Le vieux Mollway le poussa du coude en s'exclamant :

- "Tu devrais être fier de toi mon cher ami. Son propre pasteur, l'homme chargé de célébrer leur cérémonie de mariage... C'est le même homme qui l'a précipité dans les griffes de ce bâtard de Julius Simpson ! "

Ils entendirent alors résonner la voix de Julius :

- "Oh chérie, tu apprends drôlement vite... Tu feras une excellente fellatrice !"

Là bas, dans la petite chambre la ravissante future mariée était agenouillée sur la moquette face à la grosse bite noire, elle apprenait de première main comment une femme pouvait dispenser du plaisir à un homme avec sa bouche. Plus d'un croyait qu'elle attendrait la nuit de ses noces pour apprendre de telles choses, ce jour où elle serait toute vêtue de la longue robe blanche au collier de perles autour de son cou en passant par sa petite culotte, son soutien-gorge et ses bas. Et le pasteur qui célébrerait la cérémonie se demanderait :

- "Mike Goodman voudrait-il toujours épouser sa ravissante fiancée si on lui donnait un instantané de cette érotique scène, qu'en penserait-il au fond de lui-même ? "

Julius Simpson, sûr de son emprise sur la ravissante apprentie fellatrice, tira doucement sur sa chevelure extirpant sa grosse bite palpitante de sa bouche qui l'aspirait comme une ventouse. Il saisit son poignet gauche pour lui faire cesser son branle tant il avait peur de juter prématurément. Il la saisit sous les genoux pour l'emmener sur le sofa, et l'allongea dessus tout en accrochant la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle blanche.

Le visage de la ravissante jeune femme affichait de l'incrédulité, lorsqu'il posa ses doigts sur les lèvres de sa fentine. A première vue elle réalisait avec horreur ce qui se passait à l'instant même, mais elle était toujours incapable d'opposer la moindre résistance alors qu'il la dépouillait de son affriolante petite culotte. Elle était en pleine confusion mentale, incapable de penser rationnellement à ce qui lui arrivait. Depuis qu'elle avait posé les yeux sur Julius Simpson dans l'aéroport, elle était plongée dans un état hypnotique qui avait été implanté dans son cerveau quelques temps plus tôt.

Cette emprise mentale lui avait été infligée le jour où elle avait assisté pour la première fois au cours de préparation au mariage auquel le pasteur Knowlton lui avait conseillé de participer. Ces cours étaient conduits par un conseiller marital nommé monsieur Mollway. Il l'avait hypnotisée à son insu ce jour là, il l'avait pré conditionnée pour le jour où elle rencontrerait l'homme dont elle avait eu la photo sous les yeux, il s'agissait de la photo de Julius Simpson bien entendu ce généreux donateur sensible à ses charmes.

Les yeux rivés sur le moniteur, les deux maîtres chanteurs, regardaient attentivement la jeune beauté tremblante serrer timidement ses cuisses l'une contre l'autre, tout en croisant les bras sur sa poitrine dénudée. Elle braquait les yeux au plafond totalement paniquée dans la crainte révérencieuse de cet étranger. Cet homme qui l'avait choisie en contrepartie de sa donation tenait maintenant son affriolante petite culotte entre ses doigts et, la portant à ses narines il en humait les troublantes flagrances. Il la prit sous les genoux et écarta ses cuisses en grand. Cela fait, elle émit un long soupir :

- "Ooooohhhhh, Ohhhhhhhhhhhh Ohhhhhhhhhhhhhhhhh"

alors que ce bâtard plongeait sa tête entre ses cuisses commençant à lui bouffer le gazon.

Alors qu'ils le regardaient procéder habilement, ils virent la jeune beauté décroiser ses bras pour les laisser tomber le long de son corps, ses mains se crispant et se décrispant dans la literie.

- "OhhhhhhhOhhhhhhhhhhhh Ahh... ahhhhhhhhhhhhhhh Arrrrghhhhhhhhhhhhhhhhh" grommela-t-elle alors que son corps était secoué de spasmes incontrôlables, à l'évidence un orgasme d'une exceptionnelle intensité la terrassait.

Julius Simson se tenait à coté du lit, sur lequel la jeune femme gisait épuisée, amollie, Mollway et Rich Knowlton regardait l'athlétique noir se dépouiller de ses vêtements. C'est alors que Mollway confia à Rich un petit secret qu'il détenait depuis peu lui disant seulement :

- "Attend quelques minutes, ça va devenir succulent d'ici peu ! Dès qu'elle réalisera qu'il va fourrer cette épaisse queue dans son étroite foufoune, elle va frémir d'horreur... et ça ne va pas tarder ! Simpson le sait, c'est lui qui me l'a suggéré, il veut que cette prude jeune femme, soit pleinement conscient de qu'elle se fait violer."

Julius Simpson empoigna ses chevilles et lui leva haut les jambes de façon à disposer de son compas grand ouvert, il caressa tendrement ses plantes de pied avant d'écarter en grand ses cuisses. Il se pressa alors dans son entrecuisse sachant pertinemment que bientôt son esprit sombrerait à nouveau. Julius parcourut lentement sa fentine du bout du gland lubrifiant sa bite et lui annonça cruellement :

- "Je vais faire de toi une femme ma petite chérie ! Je vais cueillir ton précieux pucelage... Que va dire ton mari, lorsque le jour de ta nuit de noce il découvrira qu'à l'évidence sa promise s'est donnée à un autre homme ?"

Kristin, en sentant l'épais bourgeon découvrir les replis intimes de son vagin se réveilla totalement et chercha à se libérer de son emprise.

- "Mon Dieu que fais-je ici ? Et avec cet homme ! Ce noir ! Mon Dieu mais je suis entièrement nue ! C'est trop grave. Ca ne peut pas m'arriver. Non... Pas ça ! "

Elle se dit alors qu'elle allait s'éveiller et sortir de ce terrible cauchemar.

- "Je suis prêt à faire de toi une vraie femme !" entendit-elle alors cet homme annoncer.

Et comme il pressait son épais gland contre sa chatoune affolée, forçant son chemin dans son tunnel, Kristin réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, qu'elle était vraiment en train de se faire dépuceler.

- "Arrêtezzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzz... Je vous en prieeeeeeeee... Je vous en prie. Ne me violez pas. Je ne veux pas..." sanglotait Kristin dans un ultime effort de faire cesser son viol.

Mais relevant la tête vers son agresseur, elle comprit que ses cris, ses plaintes, ses pleurs ne faisaient qu'accroître son plaisir de la forcer. Elle tenta encore de lutter pour lui échapper, mais il la tenait fermement aux hanches, elle ne pouvait bouger que de quelques centimètres. Elle hurla de peur lorsque de ses fortes mains il l'attira à lui pour que son gland turgescent s'introduise dans son fourreau inexploré. Elle essaya une dernière fois de le repousser de toutes ses forces.

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !" hurla-t-elle à pleins poumons alors que d'un violent coup de boutoir il la pénétrait inexorablement. Et lorsqu'il se retira pour plonger à nouveau en elle poussa un hurlement strident :

- "Nonnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !"

Un violent coup de rein et son pucelage s'était envolé à jamais ! 25 ans d'abstinence, elle avait tout planifié pour se présenter pure et virginale pour sa nuit de noce, tout cela anéanti en un instant. Kristin pensait maintenant à son petit fiancé chéri, se demandant comment elle pourrait lui faire face maintenant. Voudrait-il encore l'épouser après ce drame.

- "Oh, oui chérie... Julius est venu et a fait de toi une vraie femme..." gloussait-il avec fierté à la vue de sa bite souillée de traînées sanguinolentes.

Il était heureux d'avoir fait une aussi large donation au "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor", cette somptueuse jeune femme valait tout l'or du monde. Quel remerciement fantastique il avait reçu en retours de cette fondation, l'opportunité de dépuceler une adorable beauté blanche qui venait tout juste de se fiancer avec un de ces petits connards de blanc. Ses cris, ses plaintes, et sa lutte pour se libérer de son emprise, tout cela s'ajoutait à l'honneur d'avoir cueilli la fleur de cette jeune promise. Sans avoir à se tracasser, une telle donation à la fondation du père Mollway n'était rien pour un gars comme Julius Simpson, il avait de l'argent à gogo. Il n'aurait sûrement pas pu se faire une telle beauté sans se tracasser de risquer la prison sans l'intervention de ce Mollway.

Dans ce cas précis il n'avait rien à craindre, cette petite pute était venue à lui de son plein gré et avait même payé la chambre d'hôtel avec sa carte de crédit. Et comme le réceptionniste de l'hôtel pourrait témoigner que c'était elle qui avait pris les deux cartes ouvrant la porte de la chambre, peut être même bien l'avait-il vu attendre dans la voiture où elle était venue le rejoindre. Il n'avait vraiment pas à se tracasser, elle ne risquait pas de courir se plaindre aux flics.

Il coulissait allégrement dans sa foufoune échauffée, il tonna alors à son oreille :

- "Hey chérie, ne dois-tu pas te marier dans cinq semaines ? Peut-être bien que je pourrai annoncer à ce petit con que tu vas épouser, que je t'ai collé un petit polichinelle noir dans le tiroir."

Ces mots redoublèrent ses sanglots ce qui rendait le viol encore plus excitant alors qu'il continuait à la ramoner, il espérait vraiment l'engrosser ce qui serait la cerise sur le gâteau.

- "C'est un échange de bon procédé, je suis venu et j'ai cueilli ta précieuse petite fleur mais je te laisse un souvenir dont ton connard de blanc pourra prendre soin !" gloussait-il.

Il serra brusquement les dents alors que son corps se cabrait, il giclait à grosses saccades dans sa foufoune bien vite engorgée en gémissant :

- "Ohhhhhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !"

Le viol avait fourni un spectacle hautement érotique pour aux deux pasteurs, l'ancien et l'actuel, mais ce fut encore mieux lorsque le pervers noir roula sur le flanc le temps de reprendre son souffle. L'innocente jeune femme restait étendue sur le lit sanglotant sa détresse, ses jambes étaient largement ouvertes, un mélange de foutre et de sang virginal s'écoulait lentement de sa chatte tuméfiée.

- "C'est beaucoup trop d'un seul coup pour une virginale promise, hein Rich ! " gloussa Mollway, puis il ajouta :

- "Par l'enfer, elle descendra l'allée centrale derrière toi avec un bébé noir grossissant dans son ventre"

Il réfléchit quelques secondes, et poursuivit :

- "Je suppose que Simpson sera tout heureux de faire une nouvelle donation si cela lui permet de passer une autre journée avec cette sensuelle beauté. Pendant son voyage de noce par exemple ! "

Un peu plus tard, la bite de Julius s'était réveillée et il coulissait à nouveau dans la cramouille de la future épousée, il était évident que l'innocente jeune femme subissait passivement son sort, elle ne répondait en aucune manière à ses assauts lubriques.

Mollway avisa alors Rich :

- Attends qu'il lui murmure à l'oreille la formule magique : 'violée et ruinée", elle se transformera immédiatement en une goulue avide de bites noires.

Et effectivement lorsque Julius se pencha pour chuchoter à son oreille ces quelques mots, elle leva bras et jambes et les enroula autour de son torse, elle se mit alors à participer activement à la séance de baise en cours, s'arc-boutant sur les talons pour mieux accueillir son amant, haletant :

- "Baise-moi mon chéri... Je t'en prie baise-moi. fourre-moi avec ta grosse bite noire ! "

Le lendemain, confortablement assise dans le vol qui la ramenait chez elle, Kristin avait les nerfs à fleurs de peau, ses mains tremblaient constamment.

"Will remarquera-t-il que j'ai changé cette nuit ? Peut-être que je devrai lui téléphoner pour décliner son invitation au restaurant... Je ne sais pas si je supporterai de l'y accompagner ! En fait, je me sens vraiment malade rien qu'y repenser ! " ressassait-elle depuis l'envol.

"Comment une telle chose peut-elle arriver ? Pourquoi l'ai-je fait ? Je dois l'avoir rencontré plus tôt puisque je l'ai reconnu dès que je l'ai vu dans l'aéroport ! Je n'arrive pas à relier les choses ! Tout ce que je sais c'est que c'est arrivé. J'ai fait l'amour avec un total étranger... Je l'ai laissé cueillir ma virginité !" réalisait-elle affolée.

A mi parcours, incapable de cesser de rabâcher cet événement dramatique, Kristin réfléchissait :

"Avons-nous fait l'amour six ou sept fois ? Dois-je compter cette fois, juste avant de quitter l'hôtel lorsqu'il m'a fait mettre à genoux pour le sucer une dernière fois ?"

La langue courant sur l'intérieur de ses joues, elle avala profondément les quelques traces de foutre qui lui rappelait qu'il avait éjaculé dans sa bouche, des restes qu'elle avait oublié de savourer à ce moment. Puis elle se remémora cet instant où il l'avait prise bestialement à quatre pattes sur le lit alors qu'il commentait qu'elle méritait de se faire baiser comme la vraie pute qu'elle était.

Elle se rappelait, avec honte, avoir répondu éperdue à tous ses assauts pendant cette longue séance de baise qui les avait réunis. Elle dut bien en conclure qu'il avait raison : fallait vraiment être une salope pour coucher avec un étranger, lui accorder son pucelage et satisfaire ses appétits lubriques comme elle l'avait fait.

Les deux semaines qui suivirent, bourrée de remords, elle se repassait continuellement les images de son dépucelage dans la tête. Kristin était profondément confuse, elle ne comprenait pas comment elle avait pu tromper ainsi son adorable fiancé.

"Comment ai-je pu faire une chose aussi honteuse ? "

"Comment ai-je pu être aussi ignominieusement infidèle à mon futur époux ? "

"Pourquoi ? Pourquoi ai-je fixé un rendez-vous à monsieur Simpson à l'aéroport ? Ca n'avait rien à voir avec un rendez-vous d'affaire ! j'y suis allée uniquement pour faire l'amour avec lui, pour lui offrir ma virginité. mon pucelage que seul devait cueillir Mike lors de notre nuit de noce !" se demandait-elle toujours et encore.

Elle ne savait pas quoi faire, elle aurait bien besoin d'un conseiller et d'un confident. Seul le bienveillant pasteur de leur communauté pouvait être assez compréhensif pour écouter ses révélations. Son seul espoir d'apaiser son esprit était de confier cette déplorable aventure à ce bienveillant pasteur.

Elle lui demanda si elle ne devait pas annuler le mariage, elle ne méritait plus d'épouser son adorable fiancé, elle n'était plus digne de devenir sa femme. Kristin sortit rassurée de leur entrevue, il lui avait seulement dit que ces choses arrivaient parfois, et que de toute manière elle n'avait nullement violé ses engagements puisqu'ils n'avaient pas encore prononcé leur promesse d'être fidèles l'un envers l'autre.

Kristin remercia vivement le bon pasteur de l'avoir rasséréné, elle était si contente d'avoir entendu cet avis et c'est avec reconnaissance qu'elle se promettait de suivre ses excellents conseils. Jamais elle n'aurait cru que ce bon pasteur puisse se montrer si compréhensif, assis à coté d'elle, il avait posé son bras sur ses épaules l'attirant à lui pour qu'elle puisse pleurer dans son giron.

Elle était loin de soupçonner que ce bon pasteur avait été l'instrument principal de sa déchéance, que sous la férule de son maître chanteur il l'avait virtuellement prostituée pour éviter d'être humilié en public. Elle ne réalisait pas plus que ce sale bâtard avait pris son pied regardant toute la séance de baise sur l'écran d'un ordinateur, et que lorsqu'il l'avait pris dans ses bras pour la consoler, il bandait comme un âne en respirant son doux parfum.

Un bras autour des épaules la jeune beauté angoissée, il joua le rôle du gentil pasteur Knowlton si compréhensif. Il prit sa main dans sa main gauche et tout en lui disant :

- "Ma chère petite Kristin vous devez avoir confiance en moi, vous devez me confier tous les détails de votre abandon ce qui me permettra de mieux vous assister et ainsi d'alléger ce fardeau qui pèse sur vos faibles épaules !"

Alors que la malheureuse Kristin lui racontait sa triste aventure, Rich Knowlton prenait grand plaisir à voir sa bague de fiançailles étinceler à son index. Il se remémorait ses instants ou il avait vu le même doigt orné de la même bague refermé sur l'appendice de Simson qu'elle branlait allégrement.

Cinq semaines plus tard, encore étonnée d'avoir pu surmonter ces pénibles événements, Kristin était heureuse de recevoir les toasts que lui adressaient les membres de la fraternité de Mike. Houspillant son mari qui avait assez gaspillé de temps pour gagner leur suite nuptiale, elle espérait que son plan fonctionnerait à merveille. Elle feint une certaine douleur lorsque Mike la pénétra, et comme elle l'espérait l'excitation de Mike, "d'en la faire une femme", était telle qu'il éjacula rapidement.

Comme il somnolait sous le coup de l'ivresse et de la fatigue, elle se lova contre lui, et comme elle l'avait prévu, sortit une aiguille pointue de son sac. Elle se piqua le doigt à plusieurs reprise, de grosses gouttes de sang tombèrent sur le drap le tâchant à l'endroit voulu. Elles apparaîtraient clairement comme les ultimes traces de son pucelage le lendemain matin à leur réveil.

Ils devaient passer une semaine dans un palace romantique, un endroit merveilleux recevant de nombreux couples en lune de miel. Kristin repensait au sermon plein d'élégance qu'avait prononcé le pasteur Knowlton faisant de leur mariage un jour mémorable. Et maintenant, au troisième jour de sa lune de miel, Mike était parti sur le terrain de golf voisin pour frapper quelques balles puis faire une partie avec d'autres joueurs.

Au début, Kristin aurait aimé qu'ils restent ensemble pour la durée de leur lune de miel, mais elle renonça en voyant à quel point son mari avait envie de fouler le terrain de golf, et était déterminé à faire une bonne partie. En entendant la sonnette, elle se demanda qui cela pouvait bien être puisque son mari avait une carte pour ouvrir la porte de la suite, elle se précipita pour répondre à cet appel.

Jetant un œil au travers du judas de la porte, elle vit un noir athlétique qui portait l'uniforme des employés de l'hôtel.

- "Oui ? " demanda-telle au travers de la porte.

- "Le service madame... C'est adressé à madame Goodman et c'est signé de la main de votre mari Mike... "

Toute souriante, pensant que son mari était vraiment aux petits soins avec elle, ou qu'il se sentait un peu coupable de l'avoir abandonnée pour une partie de golf, Kristin ouvrit la porte. Elle se retrouva alors face à un visage très familier, un visage qui la plongea illico dans le même état de sidération que la première fois qu'elle l'avait vu en sortant du terminal de l'aéroport six semaines plus tôt. 

- "Ah, bonjour madame... Je dois dire madame Goodman maintenant, n'est ce pas ? Je vais profiter que ton mari est parti faire une partie de golf pour te prendre ! Je vais me faire quelques trous ! Il aurait peut-être du rester ici il aurait pu ainsi apprécier ma façon de "putter"" ironisait Julius Simpson en entrant dans la suite nuptiale sans que la jeune mariée ne lui oppose la moindre résistance.

Elle n'offrit pas plus de résistance lorsqu'il l'entraîna vers le grand lit après avoir suspendu l'habituel "Ne pas déranger" à la cliche de porte. Repoussant la robe de chambre blanche qu'elle avait enfilée à la hâte sur sa chemise de nuit de satin pour répondre à la porte, Julius put apprécier de nouveau les appâts de la jeune mariée, il s'approcha d'elle et lui roula alors une pelle des plus passionnées.

Obéissant aux suggestions hypnotiques profondément imprimées dans son esprit, la jeune mariée de quelques jours, ne put résister à la tentation de caresser la peau couleur d'ébène de son athlétique visiteur. Lorsque Julius Simpson avait fait une nouvelle donation au "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor", le pasteur Knowlton avait reçu mission d'envoyer le futur marié chez le même conseiller marital que Kristin avait vu lors de la session de cours préalables au mariage.

A l'insu du malheureux futur mari, non seulement l'ex pasteur Mollway avait implanté au plus profond de son esprit de se livrer à une partie de golf le 3ème jour de sa lune de miel, mais il avait aussi implanté dans son esprit de se montrer très compréhensif et bienveillant et très entreprenant avec sa merveilleuse jeune femme en rentrant de sa partie de golf.

Il avait bien fait attention de lui ordonner de caresser longuement ses jambes crémeuses puis de les écarter en grand, il devait ensuite la dépouiller de sa petite culotte, d'embrasser et lécher ses cuisses nues et enfin de poser sa bouche sur juteuse féminité velue.

Grace à sa contribution, Julius savait qu'il pouvait disposer de la jeune femme jusqu'à 16 heures, il connaissait aussi les ordres implantés dans l'esprit du jeune marié quant à son retour dans la suite nuptiale, et il était ravi d'avoir accompli sa tâche en garnissant la féminité de sa femme d'une épaisse crème juteuse que le jeune mari pourrait savourer en dessert.

Juste avant son départ, conformément à l'accord pris avec l'ex-pasteur Mollway, il devait implanter dans l'esprit de la somptueuse beauté qu'elle devrait se réjouir de voir son mari enfouir son visage dans son entre-cuisse pour savourer sa petite chatte juteuse !

Qu'elle devrait lui réclamer qu'il déguste sa cramouille !

Qu'elle devrait s'arc-bouter et agripper sa tête pour l'enfoncer entre ses cuisses accueillantes !

Qu'elle devait lui faire déguster le foutre de noir dont il venait de lui tapisser la vulve !

A suivre...

samedi 23 octobre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 07

 Auteur inconnu.

A la maison.

Cette histoire intervient environ un mois après le séminaire de Sarah, séminaire où elle a oublié son ordinateur du travail à la maison, ce qui m’a permis de découvrir le nouveau visage de ma femme.

- C'est moi, je suis rentrée chéri.

Je m’empresse de quitter la vidéo de Sarah lors de son dernier séminaire dans laquelle elle suce un client pendant qu’il signe un gros contrat (et oui j’ai réussi à récupérer régulièrement ses vidéos). J’ai tout juste le temps d'enfiler un caleçon le pénis encore en érection.
 
- Qu'est-ce que tu faisais ?

- Ben rien, je t'attendais.
 
- Ah...

Sarah pose son sac, accroche sa veste au porte-manteau, prend son paquet de clope et vient s'asseoir au côté de moi dans le canapé. Elle est tellement ravissante avec ses gros seins, son petit cul bombé et ses habits sexy qui la mettent en valeur. Je savais qu’elle attirait le regard des hommes et même plus que les regards, mais j’aime ça maintenant.

Pour nous remettre dans le contexte, j’ai depuis quelques années l’envie de voir ma femme prise par un autre homme, pour être plus général par d’autres personnes que moi. Tout a commencé dans un relais de routier, il y a quelques mois, où j’ai poussé ma femme Sarah dans la gueule du loup. Nous sommes allés manger là-bas et comme nous avions trop bu, un certain Michel m’a proposé de faire « dormir » Sarah dans son camion un petit moment. Sans qu’elle le sache je l’ai observé se faire baiser par des routiers une grande partie de la nuit.

Cela est allé crescendo, elle était réticente à de petits attouchements au début, puis s’est laissée faire sous l’effet de l’alcool avant de carrément en redemander. Cette « sieste » qui devait être d’une heure ou deux a duré toute la nuit. Je n’ai pas assisté à la fin de la nuit de peur de me faire repérer mais ce que j’avais pu regarder était très hard et excitant. Je ne pensais pas ma femme capable de faire ça. Le routier qui l’avait pervertie, un certain Michel lui avait même demandé de venir le voir plus souvent. Je n’avais pas pu voir sa réaction ni savoir ce qu’elle avait répondu à ce moment-là.

Cependant, une fois cet épisode passé notre vie est redevenu normale, pas de signe de tromperie. Hélas à mon grand dépit, cela n’a été que la première de ses nombreuses expériences. En effet, cela a dû créer chez elle un électrochoc, car elle est devenue à partir de là une vraie salope. Notre vie sexuelle a continué à être épanouie mais son appétit était décuplé et elle devenait de plus en plus chaude au lit. Peu de fois à faire l’amour et beaucoup de baise bestiale car oui je différencie les deux.

J’ai aussi, par la suite, trouvé des vidéos sur son ordinateur d’elle à son boulot. Madame est la traînée de service, elle passe du bon temps avec son boss, le fils de son boss mais aussi des clients. Mais ça n’est pas tout, elle a goûté au plaisir lesbien. Son beau-père est aussi de la partie et le gros routier vient parfois lui rendre visite lors des sauteries organisées par son patron.

Je sais qu’elle est une vraie salope, mais elle ne sait pas que je suis au courant. Elle a notamment passé une semaine en séminaire à se faire défoncer. Bref là n’est pas le sujet revenons à notre histoire du jour.

- Ben tu me dis pas bonjour ?

- Ah si, excuse-moi.

Elle me fait un bref baiser qui ne manque pas de me faire tenir mon érection tant le contact même bref de ses lèvres pulpeuses m’excite. Je pourrais parier qu’elle sent le sperme.

- Tu n'as pas oublié que ce soir mon chef a invité toute l'équipe pour le cocktail de fin d'année, chez lui,. On doit venir avec nos moitiés et tu n'es pas habillé, j'espère au moins que tu es lavé ?

- Ah oui j'avais oublié, tu ne peux pas y aller toute seule ? (L’idée de voir ceux qui la tringlent était très bizarre encore)

- Non, à chaque fois tu te défiles ! 

Elle allume une clope visiblement énervée. Toujours en érection, je ne peux m'empêcher de la scruter en train de délicatement inhaler la fumée et la libérer de ses lèvres en un nuage de fumée bleutée. Sa jupe faussement sage et son chemisier la rendent trop belle et désirable. Je me lève la queue au garde à vous et me jette sur ses lèvres l'embrassant fougueusement, la renversant dans le canapé, elle sent ma queue déjà toute dure contre elle. 

-Qu'est-ce que tu fais, on n'a pas le temps ! Va t'habiller on doit être là-bas dans une heure ! 

 Arg ! elle a déjà dû avoir sa dose aujourd’hui. Mais j’ai trop envie d’elle, mon dieu. Je me relève et lui présente ma queue au garde à vous.

-Si tu m'autorises un câlin, je viens et reste jusqu'à la fin. Mais avant je vais t’honorer, ma coquine de femme.

Elle tire sur sa cigarette comme pour réfléchir, voit la queue fière d'excitation, elle ne voudrait pas céder, mais compte tenu qu'il lui assure de venir, elle accepte et puis de toute façon cela lui apportera aussi du plaisir.

Elle prend ma queue de sa main libre et commence une lente masturbation. Son regard est déjà très sexy, le regard d’une chatte en chaleur.

- Oh oui !

Je suis déjà fou d'excitation, elle commence à l'être aussi du fait de me voir dans un tel état. Elle embrasse la base du gland, le lèche, puis prend désormais la bite en bouche. Elle la pompe, creusant ses joues comme pour aspirer l'excitation qui pour moi monte de plus en plus. Je commence à bander comme un âne. Elle suce vraiment comme une reine. Elle crache sur ma queue puis la prend au fond de la gorge, malaxe mes testicules, tapote mon sexe sur sa langue. Bref elle fait son maximum pour m’exciter. J’ai beau essayer de me maîtriser mais après 15 minutes de ce traitement ça en est trop.

- Attends, je vais venir !

Elle retire mon sexe en laissant traîner ses lèvres le long de ma verge qui, à peine libérée de l'étreinte de la bouche de Sarah, tressaillit.

- Tu veux me prendre sauvagement mon chéri ? Je suis déjà toute humide. J’ai envie de ton sexe.

- Oui, je suis trop chaud mon cœur, tu m’excites trop.

Je me concentre pour ne pas éjaculer, mais je peux plus me contrôler quand elle, seulement du bout de ses doigts, me reprend la bite tout en massant les couilles et en passant sa langue sur ses lèvres rouges. Alors j’éjacule par de nombreuses giclées une quantité importante de foutre qui atterrit directement sur le chemisier de ma belle, qui reste immobile tant elle est surprise de la vitesse et la quantité des jets.

-Bien joué ça fait le troisième chemisier que tu me tâches ce mois-ci ! 

Désolé, dis-je en culpabilisant, je vais me préparer. 

Elle regarde l'ampleur des dégâts :

- Tu es chiant, moi je reste sur ma faim !

Elle s’allume une nouvelle clope en me snobant. Visiblement déçue. En même temps qui peut tenir une pipe comme ça ?

- Effectivement ça n'a pas duré longtemps ! me tacle-t-elle.

 Elle finit sa clope et part changer de chemisier, frustrée de ne même pas avoir été pénétrée. En fait, elle revient changée et habillée comme une escort-girl. Une jupe courte noire qui laisse voir qu’elle porte des porte-jarretelles. Son chemisier rose est très moulant pour ses gros seins. Je n’ose rien dire pour ne pas la vexer et en même temps elle est tellement belle que je ne peux rien lui dire. 

 Le trajet est relativement calme, même si nous discutons de tout et de rien. Pourtant, je sens qu’elle m’en veut de ne pas l’avoir honorée et je dois avouer que je suis un peu gêné. L’ambiance devient par contre lourde quand j’ai le malheur de critiquer son boss. Elle me réplique qu’il est adorable et que je suis un abruti de le critiquer sans le connaître. Et vu la soirée que cela allait être il valait mieux que je sache rester sympa.

- Je tiens à mon job, si tu n’es pas content tu resteras pas avec lui. Il est un patron génial et tu ne peux juste pas comprendre... Je dois rester avec lui et faire bonne impression avec son fils aussi.

- Je ne dis pas ça mais leurs blagues lourdes de ces machos m’énervent.

- Peu importe mais c’est comme ça. Je t’aime quand même mon amour, mais le travail c’est le travail.

 La soirée s’annonce tellement bien ! Ma femme va rester à rire avec ses cocufieurs et moi je vais devoir assister à ça. Je suis honteux et en même temps très excité.

A suivre...