mercredi 27 octobre 2021

Isabelle Ch. 11

  Texte de Aldo37.

 *****

Suite de la nuit à l'hôtel avec Michel.

Isabelle obéit, tandis que Michel allait jeter le préservatif dans la cuvette des toilettes.

— SUCE MOI, maintenant et fais-moi cracher !

Isabelle prit la queue dans la main, et commença à sucer.

— Humm tu suces bien tu es experte en pipes, toi : Continue comme ça oui ! Oui je vais partir continue !

Isabelle branlait légèrement la queue. Michel prit sa bite à la main.

— Ca y est ! JE VIENS. JE JOUIS !!!!

— TIENS SALOPE ! TIENS, PRENDS MON FOUTRE ! TIENS !

Les jets de sperme se succédaient. Michel avait une éjaculation abondante. Abondante et épaisse. Le premier jet avait atteint Isabelle dans les cheveux, et maintenant, les jets se succédaient sur son visage. Comme ce matin, les joues, les paupières, les lèvres, le menton étaient souillés. Et comme ce matin, le sperme dégoulinait, tombait sur ses seins et ses cuisses.

Au bout d’un moment interminable, Michel arrêta d’éjaculer, en secouant son sexe sur le visage de la jeune femme.

— Oh salope, tu m’as vidé les couilles !

Isabelle se releva, et partit se doucher. Pendant ce temps, Michel ouvrit le minibar, prit une bouteille de champagne et versa deux coupes. Isabelle revint.

— Tiens, on va fêter notre nuit de baise ! Viens sur mes genoux !

Michel était assis sur le canapé, Isabelle vint le rejoindre, et s’assit sur ses genoux. Elle but plusieurs gorgées de champagne, pendant que son amant lui caressait les cuisses.

— Bien je vais me laver la queue, et on va se coucher.

Isabelle ouvrit le lit, s’allongea, et alluma la télévision, tandis que Michel prenait une douche. Il arriva, la queue molle, pendante entre ses jambes. Il s’allongea à côté d’elle, lui embrassa l’épaule, lui pelota les seins.

— Tu vois, il est à peine 23 heures, et tu en as déjà pris un coup. Je te laisse une petite demi-heure pour récupérer, et on remet ça ! Je ne suis pas venu ici pour regarder la télévision, poupée, mais pour te baiser. Alors tu vas en prendre plein la moule, c’est moi qui te le dis. Et plein le cul, aussi.

Un moment passa. Michel caressait distraitement Isabelle, seins, ventre, tout y passait. Tout à coup, il se leva, plaça son visage contre le sexe de la jeune femme, et commença à la lécher

— slurp slurp...

Tout à coup, il se leva.

— On va faire un 69 ! 

Il se plaça au-dessus d’Isabelle, qui reçut bientôt le sexe dressé dans la bouche. On n’entendit plus dans la pièce que des bruits de succion et des gémissements. Au bout d’un moment, Michel arrêta, s’allongea.

— On change ! vient au-dessus !

Ils firent un 69 en inversant les rôles. Les mêmes bruits de succion et les gémissements reprirent de plus belle.

— AHHH !! 

Isabelle se leva brusquement, arrêta la fellation, tout en tenant la queue dressée dans sa main gauche. Apparemment, la langue à Michel lui faisait du bien. Elle prit un préservatif sur la table de nuit, l’ouvrit, l’enfila sur la queue dressée, se positionna au-dessus, écarta les lèvres de son sexe avec deux doigts, et fit pénétrer le gland, puis la queue.

— Ahh... ohh...

— AH OUI SALOPE.EMPALE-TOI ! EMPALE-TOI BIEN A FOND !

Isabelle était effectivement empalée à fond sur la queue, dos à son amant. Celui-ci la tint immédiatement par les hanches et commença à lui faire faire le mouvement de va-et-vient.

— Allez ! Vas y !  Bouge bien sur ma queue ! Empale toi bien !

Isabelle bougeait en cadence, se soulevait, aidée par Michel, pour retomber sur sa queue. Elle ne tarda pas à manifester du plaisir.

— Oh non c’est trop bon... ahhh oui  OUI... Continue, baise-moi avec ta grosse queue ! Ta grosse queue dans mon ventre ! oui oui encore...

— Ah, salope tu aimes ça ! Tu aimes la bite, toi !

Elle se faisait limer de plus en plus vite, de plus en plus profond.

— Allez ! change de côté ! FACE A MOI maintenant  ! Je veux voir ma queue dans ta chatte et voir tes miches balancer !

Isabelle obéit, se retira pour s’empaler de nouveau. Le coït recommença de plus belle. Isabelle commençait à crier.

— Oui, salope vas-y ! GUEULE GUEULE REVEILLE L’HOTEL ! Montre leur que tu en prends plein la chatte ! Montre leur que tu te fais bien baiser ! VAS-Y HURLE !

— AHHHH ! OUI ! c’est bon.. c’est bon... J’aime la bite ! J’aime les grosses bites dans ma chatte ! j’aime me faire défoncer, je suis une salope et j’aime ça ! AH OUIIII JE JOUIS !! ahhh JE JOUIIIIIS ! BAISE-MOI FORT !

Isabelle hurlait, se tordait sous les coups de boutoir. Michel se retira quand elle eût finit et qu’elle râlait, il l’allongea sur le dos, et vint se placer au-dessus d’elle, mit sa queue entre ses seins.

— Allez ! Tiens tes seins que je me branle un peu !

Il allait et venait entre ses seins.

— HUMM SALOPE je vais venir... ça vient ! OUVRE LA BOUCHE ! OUVRE LA BOUCHE Bon Dieu !!

Il n’eût pas le temps de répéter. Se masturbant entre les seins d’Isabelle, le plaisir était arrivé. Le premier jet de sperme l’atteignit sur le menton et sur la bouche, les autres arrivèrent dans le cou et sur les seins. Michel avait hurlé, et geignait maintenant. Il termina la queue plantée dans la bouche d’Isabelle, qui, maculée de sperme, devait la nettoyer avec sa langue.

Isabelle se releva sur les coudes, vit le sperme qui coulait sur ses seins, regarda et fit " Ohhh."

— Oui, tu es pleine de foutre.

Isabelle allait se lever.

— Non non ! Ne vas pas te laver maintenant, je veux encore te contempler pleine de sperme. Je vais me laver, moi. En attendant, CARESSE TOI ! Je veux que tu prennes encore ton pied. Alors pendant que je prends ma douche, masturbe toi ! Et pas de simulation. je veux t’entendre CRIER !!

Isabelle restait statique.

— Eh bien ?? Qu’est ce que tu attends ??? BRANLE-TOI !!

La main d'Isabelle descendit vers son bas-ventre. Elle commença à se caresser doucement.

— Voilà c’est bien, branle bien ton clito !

— Je vais me laver, je laisse la porte ouverte. Je veux entendre ton plaisir.

Il commença sa toilette. Pendant ce temps, Isabelle ferma les yeux et se masturba. Au bout d’un moment, des frissons parcouraient son corps.

— Ahh... Ohh... ahh humm... HUMMMMMM...

Michel, qui avait terminé sa douche, passa la tête dans l’encoignure de la porte. Il vit Isabelle, allongée, les yeux fermés, le visage et les seins maculés de semence, la main sur son sexe, en train de se masturber.

— C’est bien ma belle, continue, astique toi bien !

Michel retourna à sa toilette, Isabelle continua.

— Humm oh... HUUMM... HUMMMM AHHHH... AHHHHHHH !!!

Michel arriva tout de suite pour assister à l’orgasme d’Isabelle, qui jouissait, se caressant, cuisses écartées.

— Eh bien dis donc, tu n’as pas fait semblant !

Isabelle était épuisée, les cuisses toujours écartées, haletante.

— Allez ! A la douche, tu l’as bien méritée !

Isabelle eût du mal à se lever, mais parvint à arriver à la salle d’eau, se lava visage et seins, et resta sous la douche c’était si bon. Tout à coup, Michel, toujours nu, surgit derrière elle, dans le bac à douche. Il tenait la brosse à cheveux d’Isabelle à la main.

— Oh non ! non !

Mais elle n’eût pas le temps de se poser de questions.

— Mets tes bras sur la paroi ! Penche-toi bien en avant !

Isabelle obéit. La seconde d’après, le manche de la brosse à cheveux la pénétrait.

— AHHH !

— Ne gueule pas, ou je te la mets par l’autre bout !

Michel s’activait maintenant, effectuant un mouvement de va-et-vient.

— Ma parole, tu es encore mouillée.

Cela durait depuis cinq minutes.

— AHH... humm... AHHHHH... ohhhh ...

— Tu aimes ça, hein ?? 

Tout à coup, il fit sortir le manche de brosse du sexe de la jeune femme, et lui écarta les fesses.

— NON ! pas ça !

Michel ne s’occupa pas des supplications. Aussitôt, le manche pénétra l’anus.

— AIE ! ahhhh... NON ! non !

Mais déjà, le manche était entré jusqu’à la garde, et allait et venait en cadence.

— AHH... ah ! AHHH... AHHH !!! NON !

Michel accéléra.

— NON... AHH... non,non,non... AHAH... Ahhhhhhh !! oui... ah... ouiii.!!!!!

Michel fit hurler Isabelle. Il la finit en accélérant le rythme à lui faire perdre haleine. Isabelle ne pouvait plus crier tellement la jouissance lui coupait le souffle. Il retira le manche d’un coup sec.

— AHHHH !

Isabelle s’écroula, assise dans la douche, épuisée. Michel lui dit :

— Regarde ton baiseur !

Il lui montrait le manche qu’elle ne regardait pas. Il lui passa sur les lèvres, Isabelle ne réagit pas. Pas plus que lorsque le manche s’immisça entre ses lèvres.

— Voilà c’est bien ! Suce ! Suce, lèche ta souillure ! Voilà c’est très très bien...

Il retira le manche de la bouche d’Isabelle.

— Bien ! tu es fatiguée, tu vas aller te reposer un peu. Passe sur le bidet, lave bien ton petit cul, et tu auras droit de dormir un peu. Il se fait tard, il est déjà 1 h 30 du matin.

Tel un automate, la jeune femme se leva avec peine, et ouvrit l’eau du bidet, s’assit sur le siège, et fit sa toilette intime, devant Michel, sexe et anus. Elle s’essuya avec la serviette qu’il lui tendait, et s’allongea sur le lit, où elle s’endormit immédiatement tandis que Michel se servait une coupe de champagne. Peu après, il se coucha.

A 4 heures 10 au radio réveil intégré au lit, Isabelle fût brusquement réveillée. Elle sentait quelque chose lui frotter les lèvres. Michel s’était levé, se trouvait au-dessus d’elle sur le lit, à genoux, et lui frottait son sexe dressé sur les lèvres.

— Eh bien ma petite pute est réveillée on dirait. Regarde le gros moineau pour ta bouche de salope. Allez ! ouvre la bouche et suce moi !

Isabelle ouvrit la bouche. Le membre la pénétra aussitôt.

— Oui tête moi bien ! Oui comme ça !

Le membre devenait de plus en plus gros, de plus en plus dur, et avait du mal à rester dans la bouche d’Isabelle, où le gland frappait presque le fond de la gorge et lui donnait des nausées.

— Humm  c’est bon !  Attends chérie. je vais te BAISER LA BOUCHE !

Il se releva légèrement, s’enfonça encore plus profondément dans la bouche. Isabelle était littéralement étouffée. Michel commença le mouvement de va-et-vient. Il lui prenait littéralement la bouche. Il aimait cela, gémissait, grognait.

— Huumm oui elle est bonne, ta bouche. Chaude et humide comme une bonne chatte. Si tu te voyais avec ma bite plantée dans la bouche. Salope, je veux sentir ta langue bouger. Voilà c’est mieux. Comme ça. 

Il n’en pouvait plus, le coït buccal dura bien 15 minutes.

— Ohhh salope je vais jouir. TU VAS TOUT AVALER.

Isabelle tenta de se dégager, de faire sortir le sexe de la bouche,mais Michel lui bloqua la tête, la maintenant par la nuque.

— Ah salope, pas question de te barrer ! TU VAS TOUT AVALER que ça te plaise ou non ! TU VAS BOUFFER MON FOUTRE... ALLEZ, LAISSE TOI FAIRE ! Ne t’inquiète pas, CA VIENT ! A force de te limer la bouche, tu vas me faire cracher. AHHH ! ARGGG AVALE ! AVALE TOUT ! BOUFFE MON SPERME AVA..LE !

A suivre...

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