Auteur inconnu.
Ma femme au bureau.
Je vous présente Sarah ma femme. Elle mesure 1m69, fait un 38 en bas et un joli 90D de poitrine. Tous les hommes et moi le premier en sont fous.
Malheureusement depuis le début de notre relation je dois dire qu’au niveau sexe c’est pas fou fou. Mais depuis l’épisode avec les routiers, je voulais la voir être une vraie petite salope. Elle ne pense qu’à son job de secrétaire de direction. Son patron Maurice lui laisse quelquefois négocier des contrats si bien qu’elle a vite grimpé les échelons et gagne mieux sa vie que moi.
Un événement particulier me l’a fait découvrir sous un nouveau jour. C’est une grosse salope mais puissance mille, et son plaisir est de m’humilier avec ses partenaires. Tout cela je l’ai découvert en accédant à ses vidéos sur son ordinateur. Moi qui pensais que la nuit dans le relais routier n’était qu’un dérapage j’allais être servi.
Ce matin-là, après le bisou de rigueur, la valise à son côté, la voilà prête à partir en stage dans le sud pour, officiellement, une semaine en formation de management. Elle était excitée comme une puce, c’était une formation importante pour elle. Je lui fais remarquer qu’elle a une tenue un peu sexy pour aller en séminaire : Une jupette à volant bleu marine très courte et un petit débardeur blanc qui moule ses courbes de façon presque obscène. Surtout que dessous, elle porte un ensemble de lingerie string et soutif rose bonbon ultra sexy. Les talons qu’elle a aux pieds complètent, avec son maquillage, sa tenue.
Elle me dit que je suis rabat joie et Vlan, la porte fermée je regarde par la fenêtre le vieux Maurice lui fait la bise. Un claquement de porte de voiture et les voilà en direction de l’aéroport. Sur le moment je ne prête pas attention à la main délicatement posée sur les fesses rebondies de ma douce femme.
Je regarde sur son bureau et je vois son ordi portable. Quelle idiote ! bah elle prendra celui de Maurice.
Un coup de téléphone quelques heures plus tard, c’est Sarah. Elle est bien dépitée, des documents importants sont à l’intérieur de son ordinateur. Je lui propose de lui envoyer les documents par mail directement à son hôtel à Perpignan. Mais Sarah me répond hâtivement par la négative. Elle me dit que Maurice vient de lui confirmer qu’il les avait en double et que ce n’était pas la peine de toucher à son ordi.
Je trouve cela étrange, sa voix étant chevrotante. Après avoir raccroché, directement j’allume le portable. Un mot de passe, mince ! Pas de soucis, après de longues recherches sur le net, une petite clef USB et hop accès déverrouillé.
Après un rapide tour d’horizon, rien de bien folichon, je peste, je me sens dans la peau du salaud, du jaloux de service. Est-ce que je dois continuer ?
Je tape Maurice dans le moteur de recherche de Windows pour voir ces fameux documents importants. Sur l’écran défilent des documents Word et Excel, il y en a plein. Mais soudain, apparaît un énorme fichier vidéo nommé « Maurice-téléphone-Marc ».
Je suis intrigué. Les deux dernières fois que j’ai eu son vieux boss au téléphone, c’est que je n’avais pas pu l’avoir. Une fois elle s’occupait de traiter une signature de contrat avec un certain Morel et l’autre fois elle rédigeait un dossier très important et Maurice n’a pas osé la déranger, tellement elle mettait du cœur à l’ouvrage, à s’activer sur ce projet.
Hum je double clique et la vidéo s’ouvre et là je suis sur le cul...
Maurice est au bureau dans son fauteuil, et Sarah, ma femme si douce, le suce sous le bureau. On se croirait dans un classique du porno du samedi soir, le cliché de la secrétaire avec son boss sauf que Maurice est vieux, dégarni et bedonnant. Un vieux dégarni et bedonnant mais avec un sexe de la taille d’un poney. Ma pauvre chérie a la bouche complètement distendue.
- Jean-Charles, ne perds pas une miette et filme bien cette grosse salope en train de pomper ensuite ça sera ton tour fiston !
- Patron, je vais l’avoir cette augmentation, à la force du poignet et je suis prête à me salir les mains et le reste. Dit-elle en branlant ce vieux naze ventripotent de 53 ans.
- Mais oui ma salope, suce-moi, hum c’est bon, ça t’excite de me pomper devant mon fils qui filme !!! Tu aimes faire l’actrice porno. Tu vas prendre ta dose sale pute.
- Hum oui d’après la bosse de son pantalon je vais bien m’amuser, il a des petits plaisirs que je n’hésiterai à refaire mon coco. Dit-elle en faisant un clin d’œil plus que lubrique à la caméra.
Le téléphone sonne, Maurice regarde et s’exclame :
- C’est ton cocu de mari, il veut savoir si sa petite femme travaille bien, on va bien rigoler, continue à me sucer, je décroche !
- Allo Patrick, comment ça va ? Moi je vais très bien avec cette bosseuse de Sarah qui est au petit soin pour son vieux directeur, elle est très attentionnée votre petite femme, toujours la bouche ouverte pour des bêtises. Je vous l’avoue Patrick on a une complicité paternelle, vous le savez et au niveau du travail c’est une acharnée, elle a redressé les carnets de commande tout à la force du poignet.
Pendant ce temps-là elle branle le vieux très rapidement et gifle son visage maculé de salive avec sa queue avec de grand aller-retour. On le voit tressaillir dans son fauteuil. Mais sans se trahir, il continue avec moi :
- Ah Patrick vous voulez lui parler ? Je n’ose pas la déranger, elle est sur un gros dossier urgent, très épineux, mais je sais qu’avec son savoir-faire, elle va bien défaire le nœud du problème. Hannnnn !! Ce n’est rien Patrick, je viens d’avoir une crampe à la jambe. Ah il ne fait pas bon vieillir !
Ma femme lui mord le gland puis crache sur sa hampe et le branle à fond si rapidement que je ne peux plus voir le bout de son gros mandrin. Puis, après avoir fait monter son jus de vieux, elle arrête sa branlette et claque deux, trois fois la bite de Maurice.
- Je sens Patrick qu’il est temps pour moi de lâcher la pression, je vais exploser avec le stress généré par mon entreprise, je vous assure. Mais heureusement Sarah est là pour me donner de sérieux coups de main. Je vais d’ailleurs la récompenser d’une prime payée en liquide. Vous comprenez Patrick, sans en avertir le contribuable, je vais confier les rênes à mon fils Jean-Charles qui va démarrer sa formation avec Sarah. Elle a vraiment un talent pour s’occuper des jeunes recrues, le courant passe bien entre les deux. Je vais vous laisser Patrick, c’est mon moment de détente, ma bonne pipe d’après-midi, vous n’êtes pas fumeur Patrick ? Vous avez raison, ça fait tousser et je crache souvent après celle-ci mais que voulez-vous, chacun ses plaisirs. Votre charmante femme vous rappellera après la conclusion du dossier urgent, je viens de la voir passer dans son bureau, son gros marqueur à la bouche, on la sent préoccupé devant son tableau blanc, va-t-elle faire jaillir la solution à tous mes maux ? J’en suis certain, elle est talentueuse, une experte, sachez que sa santé me préoccupe aujourd’hui. Elle tousse beaucoup ce matin j’ai toujours du sirop en réserve je lui en proposerai quand elle reviendra me voir, je lui dirai que vous avez appelé, au revoir Patrick !
Il raccroche le téléphone.
Les voilà tous en train de rigoler en me traitant de con, cocu et j’en passe. Sarah a ouvert son chemisier blanc et tombe son soutif en dentelles, ses gros seins englobent la bite de son boss, elle commence ses mouvements de bas en haut. Elle crache sur le gland, sa branlette est parfaite. La grosse queue de Maurice vient taper son menton et entrer dans sa bouche de salope en rut. Son patron lui ordonne d’enlever son string de dessous le bureau est de le branler avec, elle place le triangle sur son nœud bien rouge et masturbe Maurice dans le tissu. Il la traite de tous les noms (salope, pute, sac à foutre, chienne de service et j’en passe …), elle regarde droit dans les yeux, elle serre de plus en plus la ficelle autour de la hampe, son patron se cramponne, le vieux va jouir.
Il enlève le string et se met debout, ma femme se relève rapidement et s’allonge sur le bureau la tête dans le vide.
- Ah je vois que tu sais ce que j’aime. Tu as bien retenu la leçon de la dernière fois.
Il commence à lui baiser la bouche. Au début elle n’en prend pas plus de la moitié, mais il force. Elle s’étouffe, crache, bave énormément. Mais le monstre fini par entrer en totalité dans la bouche de ma douce. Quelle vision hardissime de voir la gorge de Sarah déformée par ce membre. Il finit par lui mettre la tête à plat sur le bureau.
Maurice se rapproche, se branle énergiquement en appuyant sa main sur la tête de Sarah et balance son jus sur la tronche de ma salope de femme. Un premier gros jet s’écrase sur sa joue bien épais, d’autres ensuite ricochent sur son nez. Le boss hurle sa jouissance :
- Tiens petite pute, tu vas l’avoir ton augmentation, ouvre ta bouche de chienne et nettoie mon gland, pouffiasse !!
-Tout ce que vous voudrez patron.
Le visage plein de foutre, elle prend la bite déjà bien ramollie du vieux et donne des coups de langue, la caméra n’en perd pas une miette. Maurice la prend par les cheveux et lui fait lécher le sperme qui a coulé sur son bureau. Il lui fait retirer son tailleur, elle se retrouve seins nus avec juste son porte-jarretelles et ses bas noirs, du jus de couille pend de son nez. Son boss lui demande d’aller se nettoyer avant de se faire démonter par son fils.
- Patron, je peux pas y aller comme ça, je peux tomber sur le vigile. Dit-elle avec le sourire.
-Tout le monde sait que t’es une salope ici !
- C’est vrai patron !
Il lui fout une énorme fessée sur son cul bien ferme. La vidéo coupe et redémarre. Ma femme revient et là c’est le fils dans le champ de la caméra. Il est à poil et est monté comme un âne.
Ma femme se met à genoux et commence à le pomper comme une chienne. Elle a du mal tellement il est gros. Il lui tient les cheveux par sa queue de cheval et donne de grand coup de reins. Il ressort sa queue et tapote sur les joues de ma femme. Elle tire sa langue et il donne de grands coups dessus en la traitant de pute. Il recommence sa pipe en lui baisant la gorge. Maurice rigole et commente la scène. Ils parlent des « exploits de Sarah », des pipes, baises, doubles pénétrations et partouzes qu’elle subit. Et plus ils parlent plus elle suce comme une affamée.
Je suis outré, dégoûté de ma femme. Mais en même temps j’ai une trique du tonnerre.
Il lui fait stopper sa pipe, la relève violemment, la prend par le coup et l’étrangle. Puis il lui crache dessus. Il ne la respecte pas du tout. Et elle en retour que fait-elle ? Elle sourit, elle sourit et passe sa langue sur ses lèvres. Il la retourne, la plie en deux et passe sa main entre ses jambes.
- Tu es vraiment une chienne, tu es toute trempée.
Il l’attrape sous les bras et la jette dans le fauteuil du papa. Elle se retrouve à genoux le cul offert, ce cul qu’elle refuse de m’offrir car « ça fait mal et c’est pour les putes ».
Directement il pointe son dard dans son anus, et, à ma grande stupéfaction, le gland passe. Pourtant il est vraiment très gros, sûrement plus de 6 cm de diamètre. Avec la douceur d’un bulldozer il rentre sa bite entièrement. Sarah hurle de plaisir, lui priant de la défoncer. Il est vrai que pour former les petits jeunes elle est très douée. Enfin là c’est surtout elle qui se fait déformer !!!
Il lui met de grandes claques sur les fesses pendant la sodomie. Cette scène m’écœure, son cul est rouge comme pas possible. Il lui tire les cheveux en même temps en tenant sa queue de cheval. Et elle, elle va à la rencontre du mandrin qui la déchire. La baise fait un sacré bruit, on voit les ombres des gens qui passent dans le couloir. Tout le monde doit savoir que Sarah prend cher.
Jean-Charles lui dit des mots très crus :
- C’est pas ta pédale de mari qui pourrait t’enculer comme cela avec sa p’tite bite ! T’aime la queue chiennasse, tu te rends compte Pa, le patron, le fils, même son Beau-père de 65 balais, ton pote !!!
- Oouiiiiiiii et la liste et longue mon salaud ! cria-t-elle sous les mégas coups de rein du fiston.
Ça claque très fort. Quand la jouissance arrive, il calme le rythme. Ma femme remue son cul comme une traînée puis la cavalcade repart. Il sort sa queue de son cul, c’est un trou béant. Il y replonge aussitôt encore plus fort.
J’ai failli avoir un malaise, mon père baise avec ma femme, je suis trahi par mon géniteur, ce vieux bâtard. Ou bien est-ce le nouveau mari de sa mère ?
Le fils retourna ma femme face à lui dans le fauteuil et pose ses pieds sur ses épaules.
- Cette fois, on va limer un peu ton con de pute.
La scène ne semble jamais s’arrêter. Il la gifle et elle jouit toujours plus. Maurice approche la caméra.
- Fais coucou à la caméra petite salope de secrétaire en chaleur.
Jean-Charles lui prend les deux pieds et les appliques sur sa bite monstrueuse. Il se branle gaiement en regardant ma femme. Il lui crache des gros mollards sur sa gueule d’ange. Ma femme le fixe avec ses beaux yeux intensément :
- Alors mon gars, on n’aime les pieds de tatie Sarah ?
Elle prend un de ses énormes nibards et rapproche le téton de sa bouche pour le lécher. Le fiston grommelle, il arrête net sa branlette, prend sa cravate la passe au coup de Sarah.
- Allez, on va faire le tour du bureau ma chienne. Regarde comme elle aime ça papa !!!!
J’hallucine, il fait marcher ma chérie à quatre pattes en laisse dans le bureau. De temps en temps, il la fait sucer. Arrivé à la porte il l’entrouvre, lui fait passer la tête dehors et l’encule aussi sec. J’ai rarement vu quelque chose d’aussi hard !!!! Si quelqu’un passe et la voit mon Dieu. J’ose pas imaginer, mais je bande toujours plus.
Ils finissent par revenir enfin. Jean-Charles la porte sur son épaule et la jette au sol. Il se place sur le bureau la bite tendue vers le ciel. Ma femme enjambe et enfonce doucement le mandrin dans sa chatte. Elle s’accroupit pour sentir les couilles contre son cul, commence alors une chevauchée endiablée, elle monte et descend jouissant de plus belle, les cheveux lâchés.
- Hannnn oui c’est bon, plus vite, défonce-moi, je veux mon quota de bite, plus vite mon salaud, fais-moi couiner comme une truie, tu veux que je te termine dans un de mes bas comme la dernière fois.
JC répond :
- Yes et je vais t’arroser sale garce.
Ma femme ressort du pieu turgescent, enlève un de ses bas, le passe à son bras et masturbe JC sur le bureau. Elle le branle d’une très grande force, des allers-retours si puissants qu’on croirait qu’elle va arracher la bite du jeune. Quand il va jouir, elle arrête net et pompe doucement le gland en remontant la peau délicatement sur le prépuce. Elle remet en route sa branlette, le gros gland à l’entrée de sa bouche, son rouge à lèvre carmin contraste sur cette scène perverse.
Il va jouir, il met des grandes claques sur le visage avec sa bite.
- Je vais jouir petite putain, sors ta langue je vais te donner ton sirop !
- Ouiiiiiii JC, sur ma langue, et j’en veux sur mes seins. Barbouille-moi de ton jus, petit con !
Il se lève du bureau, compresse sa bite de sa main pour retenir sa jouissance, et contraint ma pute de femme à s’agenouiller avec son autre main. Elle ouvre la bouche, sort sa langue. Un premier jet énorme et gras s’écrase dans la bouche, un sperme épais recouvre la langue de Sarah. La puissance et la quantité est telle qu’elle recrache en ayant des haut le cœur, avalant de travers la semence de fils de son patron. Du jus tombe sur ces seins. Un deuxième jet fin monte et s’étale en nombreuses gouttelettes sur sa face de traînée. JC branle sa queue en beuglant et un gros jet est expulsé arrivant dans l’œil de ma femme.
Elle ne voit plus rien. L’éjaculation continue et ma femme se protège avec sa main gainée, parant les tirs. Ça ne plaît pas à JC, il la gifle violemment, lui rentre sa bite dans la bouche et fini sa jouissance en lui tirant les cheveux. Le trop plein s’écoule et souille le carrelage. Il lui fait lécher le sol.
- Ramasse tout sale pute, aspire bien pendant que je te prends en photo. J’enverrai tout ça à Raymond, ton beau-papa (ouf c’est pas mon père…), avec ta face pleine de jus de couille. Mets-toi debout et branle-toi !
- Ouiii. Alors Maurice, mon augmentation je l’ai ?
- Mais oui ma chérie, on ne voudrait pas, et Fiston est d’accord, que tu te fasses débaucher par d’autres. Une salope comme toi ça se récompense. Et tu es si disponible avec ton cocu en déplacement. Vivement la semaine de stage au cap d’Agde, tu vas dérouiller salope.
- A vos ordres boss ! Vous rebandez Monsieur Maurice, ça vous dirait une petite branlette ? JC pourra prendre des photos pour beau-papa Raymond !!
La vidéo se termine. Je suis en érection. Je remets les scènes les plus hard et j’envoie la sauce en quelques minutes tel un jeune puceau. Je décide ensuite de retrouver le dossier de la vidéo et je tombe sur une vingtaine de films aux noms très évocateurs (Sarah la pute, Cocktail de foutre, Les salopes de la boite en partouze, …)
Il y a des centaines de photos. Je referme le dossier pour cette triste journée d’humiliation. Et dire que ma femme se faisait en ce moment démonter peut-être sur les plages naturistes. J’ai la tête dans les nuages mais un mail arrive.
Je l’ouvre ? oui ? non ?
La curiosité est trop forte encore. C’est une photo, il y a du monde dessus, 5 mecs et deux filles. Une des deux est Sarah, elle est sein nu en string et talons, comme l’autre fille qui n’est autre que sa meilleure amie. Je mets du temps à regarder les hommes qui sont Maurice, son fils et trois mecs que je ne connais pas. En fait si ! il y en a un que je reconnais, c’est pas possible !!!! C’est Michel le routier de la dernière fois. Le titre du mail ? La semaine va être bonne en séminaire avec deux salopes en chaleur.
A suivre…
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