mardi 19 octobre 2021

Encouragement pour l’équipe.

Traduction d’un texte de George VI.

 *****

Ça fait longtemps que cette université n’a jamais eu d’équipe sportive gagnant un championnat. Mais avant le dernier match de la saison l’équipe de basket-ball était bien placée dans le classement de la ligue. l’entraîneur principal Bill DARK se casse la tête pour trouver un moyen de motiver son équipe pour gagner le championnat.

Que peut-il promettre à ses jeunes joueurs pour les faire jouer encore mieux ? Il se souvient de sa jeunesse à l’université. Son équipe avait gagné cette année-là et son entraîneur avait emmené l’équipe pour faire la fête et boire. C’est une possibilité à envisager. Mais il se rappelle d’une autre histoire où un entraîneur avait engagé une strip-teaseuse pour son équipe gagnante. Hum, le côté lubrique de Bill aime cette idée. Où pourrait-il trouver une telle personne ? Il n’y a pas de club de strip-tease dans cette petite ville. Quelqu’un de l’université ? Peut-être que certains de ses joueurs connaissent une vraie salope qu’il pourrait soudoyer ou faire chanter. Il décide alors de demander à Joe ou Rick, les capitaines de l’équipe. 

Les deux garçons traînent dans les couloirs devant les vestiaires et regardent les filles quand l’entraîneur les rejoint.

- C’est qui celle avec le cul bien rond ? Demande-t-il en montrant de la tête une petite brune.

-Oh, une des troisièmes années. Répond Joe.

Bill entraîne Joe et Rick depuis des années. Ils ont l’habitude de parler sans pudeur des filles. 

Après avoir passé en revue d’autre filles, l’entraîneur leur dit ce qu’il veut faire pour les motiver.

- Si vous gagnez vendredi soir, je pense vous donner une récompense spéciale. Qu’est-ce que vous diriez d’une strip-teaseuse ?

Les deux garçon regardent l’homme en souriant :

- Ce serait vraiment cool ! Commente Rick avec l’appui de Joe.

- Le problème c’est que je ne sais pas trop qui trouver. Il faut que je persuade la bonne fille. Qui choisiriez-vous les garçons dans l’université si vous le pouviez ?

Rick regarde le couloir tout en écoutant son entraîneur. Et il dit :

- Celle qui vient maintenant !

Il y a plusieurs filles qui marchent dans le couloir, mais Bill sait de qui parle Rick. Mme CARLSON, la professeure de français, une blonde plantureuse arrive dans leur direction. Elle porte un pull moulant, et alors qu’elle marche vite dans le couloir, ses seins se soulèvent et retombent lourdement. Badaboum ! Badaboum ! Les trois mâles gardent les yeux rivés sur la poitrine qui rebondit. Après qu’elle soit passé, les deux adolescents gémissent et l’entraîneur glousse. Joe déclare alors :

- Entraîneur, si vous arrivez à la faire se déshabiller, je crois que chaque joueur jouera à 200 pour cent, ou mourra en essayant.

Bill hoche la tête.

- Je vais y réfléchir les gars. Bon choix.

Cette chienne à gros seins, Maryline CARLSON va être difficile à convaincre, pense Bill. Mariée, dans la trentaine, titulaire de son poste, coincée, elle se considère plus intelligente que les profs de gym. Il avait quelques enseignants flirter avec elle, et être simplement ignorés ou repoussés. Il se souvient en avoir fait partie.

Mais l’entraîneur DARK est dans la ville depuis de nombreuses années et il connaît beaucoup de gens. La première chose qu’il va faire c’est d’utiliser son amitié avec le directeur de l’université pour étudier le dossier de l’enseignante. Puis il aura une conversation avec le chef de la police. Celui-ci doit une faveur à Bill pour avoir entraîné son fils il y a quelques années.

 ****

Maryline CARSON a vu les deux garçons et Bill qui la détaillaient du coin de l’œil, tout en faisant semblant de ne pas la voir. Bill DARK était un homme grossier et entreprenant. Quand elle avait commencé a enseigner dans cette université il y a dix ans, il avait flirté avec elle en passant son bras autour d’elle. Il l’a même embrassé sur les lèvres lors d’une fête de Noël. Une fois, alors qu’elle avait donné une mauvaise note à un de ses meilleurs joueurs, il avait demandé au directeur d’intervenir pour faire augmenter la note. Depuis ce jour, il la considère de haut. 

Son joueur vedette, Rick, est l’un de ses élèves. Mais il est peu intelligent et mal élevé. Plus tôt cette année, alors qu’elle marchait dans un couloir bondé entre deux cours, une main est apparue et a tâté rapidement sa poitrine. Elle s’était retournée et elle avait vu Rick la regarder en se retournant. Toutefois, elle n’a pas pu prouver que c’était lui qui avait fait ce geste et elle n’a jamais mis en cause le joueur le plus populaire de l’université pour cet incident humiliant.

Joe, le joueur costaud et trapu est un autre de ses élèves. Les filles l’adorent, mais pour Maryline il est juste un enfant arrogant qui lorgne toujours son cul et ses seins. Elle déteste quand ses élèves regardent son anatomie. Et elle essaie d’ignorer les picotements dans ses mamelons que lui cause une telle attention. 

Aujourd’hui Mme CARLSON est dans sa classe pour ranger des papiers pendant sa période libre. Bill DARK entre dans la pièce. Elle présume qu’il est venu quémander une bonne note pour un de ses joueurs.

- Salut Maryline ! Dit-il.

- Bonjour Bill ! Es-tu là pour que change la note de l’un de mes étudiants ? Répond-elle.

- Mieux que ça Maryline. Je suis ici pour te dire comment tu peux aider et inspirer mon équipe pour gagner le championnat et ainsi faire le bonheur de l’université.

- Woowww, comment puis-je faire ça ? Demande-t-elle sarcastiquement.

- Sais-tu à quel point tu es populaire parmi la population étudiante masculine de l’université ?

- Je ne vois pas de quoi tu parles.

Elle ne comprend pas vraiment où l’entraîneur veut en venir.

- J’ai fait un petit sondage informel auprès de mes joueurs, et non seulement tu es considérée comme la meilleure enseignante de l’université, mais aussi celle qu’ils choisiraient parmi toutes celle de l’établissement.

Maryline n’a pas le temps de discuter avec L’entraîneur.

- Bill, je dois classer tous ces papiers. 

- Je suis sérieux Maryline, tous les garçons pensent que tu es très sexy, et tu sais bien que je suis d’accord avec eux.

Elle se dit qu’il invente tout ça.

- Qu’est-ce que tu veux Bill ?

L’entraîneur s’assoit sur le bureau de l’enseignante, jette un coup d’œil vers la porte et dit tranquillement :

- As-tu déjà vu le film « Le meilleur bordel du Texas » ?

- Oui.

- Tu te souviens quand l’entraîneur a emmené son équipe chez les prostitués pour les remercier d’avoir remporté le championnat.

- Oui je crois.

- Eh bien parfois, nous les entraîneurs, devons récompenser nos jeunes joueurs lorsqu’ils remportent des matchs. Et si mon équipe remporte le championnat vendredi soir, elle mérite une récompense spéciale.

Mme CARLSON pense que l’entraîneur plaisante.

- Tu vas emmener ton équipe dans un bordel ?

- Eh bien pas exactement Maryline. Mais… Euhh… on a dit aux joueurs que nous organiserions une fête avec une strip-teaseuse s’ils gagnent. Et… Euuhhh… Tu es leur premier choix pour être la strip-teaseuse.

L’enseignante se sent rougir. Il a le culot de venir ici et de plaisanter sur une telle chose.

- Comment oses-tu venir dans ma classe et me parler comme ça ? Je sais que tu as des amis au conseil d’administration, mais si tu ne pars pas immédiatement, je dépose plainte.

C’est alors que Bill ouvre un dossier qui était attaché à sa tablette.

- Attends Maryline ! Avant que tu ne me prennes de haut et que tu t’énerves, je crois que j’ai trouvé un squelette dans ton placard.

La femme regarde la première page du dossier. Son cœur se serre quand elle réalise qu’il s’agit d’une copie de son casier judiciaire. Plus jeune, à l’université, elle avait été arrêtée avec un groupe de filles après la fermeture des bars. La police avait trouvé un petit sac de drogue dans la voiture. Bien sûr il n’appartenait pas à Maryline, mais toutes les filles ont été accusées de possession de marijuana. Elle n’a jamais fumé, mais l’avocat commis d’office lui a conseillé de plaider coupable afin qu’elle ne s’en tire qu’avec une petite amende.

Elle s’assoit et reste sans voix.  l’entraîneur lui dit alors :

- Maryline, nous avons tous faits des bêtises plus jeune, mais tu as menti lors de ta candidature pour enseigner ici. Tu connais la politique tolérance zéro de l’université. Si ça se sait, ton avenir dans l’enseignement est limité.

Elle reste assise la tête entre ses mains. Il a raison. Son travail, sa carrière, sa réputation au sein de la communauté, l’embarras que cela causera à sa famille….

- Pourquoi tu fais ça Bill ? Qu’est-ce que tu veux de moi ?

- Je t’ai dit ce que je voulais. Je veux pouvoir dire aux garçons que s’ils gagnent vendredi, tu feras un strip-tease lors d’une soirée privée. C’est toi qu’ils veulent.

L’enseignante est étourdie par cette histoire. Les étudiants veulent-ils vraiment la voir nue ? Ou est-ce qu’il l’invente ?

- Bill, j’ai 36 ans et deux enfants ! Pourquoi voudraient-ils me voir moi ?

- Marilyne, tu sais comme ces garçons sont devant une femme adulte et mature. Tous les jours ils écoutent tes cours en ayant de drôles de pensées à ton sujet. Ne t’inquiète pas, tu seras génial.

La femme reste sans voix. L’entraîneur devine par son attitude qu’elle est déconcertée. Il passe derrière elle et pose ses mains sur ses épaules.

- Ils regardent tous les jours ces gros nichons et ils deviennent amoureux de toi.

Maryline est submergée par différentes émotions : la peur, la colère, l’anxiété, mais elle ressent également d’étranges frissons érotiques en pensant à tous ces garçons qui la convoitent.

- Tu vas le faire n’est-ce pas chérie ? Chuchote Bill.

L’enseignante qui lutte pour ne pas pleurer, hoche la tête.

- Je te donnerai plus de détails plus tard.

L’entraîneur déplace ses mains sur sa poitrine et lui serre les seins avant d’ajouter :

- J’ai hâte de les voir.

Maryline repousse silencieusement ses mains de sa poitrine et l’homme quitte la salle de classe.

 ****

Plus d’une fois sur le chemin menant au restaurant, Mme CARLSON envisage de faire demi-tour. Elle n’est toujours pas sûre de comprendre ce que ce salaud de Bill lui fait faire. Son cœur s’est serré ce matin quand elle a appris que l’équipe avait gagné. Bill l’a appelé ensuite pour lui donner des instructions bien précises à suivre pour la soirée.

A 22 heures ce samedi soir, Maryline entre par la porte de derrière du restaurant. L’heure de fermeture habituelle de l’établissement est passée, mais le propriétaire est un ami de l’entraîneur et il a réservé l’arrière-salle pour une soirée privée. Elle attend dans la cuisine pendant que le gérant va chercher Bill. Elle reste debout en se tordant les mains et en priant pour trouver un moyen de s’en sortir. Elle se regarde dans le miroir au-dessus de l’évier. Elle a passé beaucoup de temps à se coiffer, à se maquiller et à bien s’habiller sans vraiment savoir pourquoi. Ses cheveux dorés qui lui tombent sur les épaules sont chatoyants. De longues boucles d’oreille pendent à ses lobes. Elle craint toujours que la femme qu’elle voit soit une déception pour les étudiants habitués à voir des jeunes filles ou des modèles nus sur des photos. Il y a quinze ans peut-être, elle aurait fait sensation.

Bill entre dans la cuisine, lui sourit et ordonne :

- Enlève ton manteau.

Elle le déboutonne et l’enlève. L’entraîneur fait courir ses yeux de haut en bas sur le blazer rouge couvrant un haut blanc à col roulé, une jupe moulante arrivant à mi-cuisse et des talons noirs. Elle a l’air assez pudique, mais le pull et la jupe sont une demande spécifique de l’entraîneur.

- Oui ça va marcher. Bon, laisse-moi une minute pour t’annoncer, puis tu viens quand tu m’entends t’appeler. Tu vas être géniale !

- Qui est là ? Interroge nerveusement Maryline.

- Juste l’équipe, les autres entraîneurs et quelques autres personnes. Je dois y aller, tiens-toi prête !

L’enseignante peut alors entendre Bill attirer l’attention de tout le monde :

- Nous avons un petit divertissement de prévu. Je suis sûr que vous allez tous apprécier. Alors allons-y ! Voici Mme CARLSON !

Avant même de franchir la porte, elle entend les applaudissements des adolescents. Puis quand elle entre dans la salle, le bruit double d’intensité. Les douze joueurs sont assis autour d’une table au bout de la salle. L’entraîneur est debout dessus en lui faisant signe de le rejoindre. Il y a une chaise libre près de la table et Maryline dans sa jupe moulante s’en sert pour retrouver Bill. Elle baisse les yeux sur les étudiants qui crient, une canette de bière devant chacun.

C’est assez agaçant, mais ce qui la choque le plus c’est que la plus grande partie du personnel masculin de l’université est assise à une autre table et l’applaudit. Il y a le directeur, tous les professeurs de sport, les concierges, certains collègues avec qui elle travaille depuis des années et son adjoint actuel.

L’entraîneur descend de la table et tout d’un coup une musique rock commence à sortir des hauts-parleurs de la sonorisation. Seule au milieu de tous ces hommes, Maryline commence à danser lentement. Les acclamations redoublent d’intensité.

Elle danse sur place pendant une minute en espérant toujours que quelqu’un viendra à son secours, mais quand elle entend Joe et Rick crier « A poil ! », elle sait qu’elle est vaincue.

Elle retire son blazer rouge de ses épaules et le laisse tomber sous les cris des jeunes. Le pull que Bill lui a demandé de porter est serré et sans manches.

Comme l’entraîneur lui a demandé plus tôt, elle fait de son mieux pour donner l’impression qu’elle apprécie ce qu’elle fait. Elle lève les mains en dansant et ses gros nichons commencent à bouger sous son pull serré. Elle se force à sourire. Elle obtint quelques applaudissements polis, mais les adolescents grossiers crient de nouveau :

- A poil Mme CARLSON !

Elle croise les mains, attrape les bords de son pull
 et commence à le soulever.

Il y a plus de cris alors qu’elle remonte le pull sur son soutien-gorge. Un col roulé n’est  pas le choix le plus facile pour un strip-tease, mais elle le tire maladroitement par-dessus sa tête. Elle le laisse tomber et recommence à danser avec seulement son soutien-gorge blanc. Les ordres de Bill étaient de prendre son sous-vêtement le plus sexy qu’elle possède. C’est un soutien-gorge push up avec de la dentelle le long des bonnets. Elle l’avait acheté pour le porter avec une belle robe. Son décolleté est ample et ses seins tremblent dans et hors du soutien-gorge.

Maryline se force encore à sourire, mais elle a envie de pleurer. Elle a l’impression de vivre un cauchemar. Elle baisse les yeux sur les jeunes étudiants souriants qui l’entourent, et ont les yeux sous sa jupe et sur sa poitrine. Puis elle regarde ses collègues qui s’amusent d’elle et applaudissent. Elle se sent encore plus humiliée quand elle entend Joe crier :

- Regardez, on distingue ses mamelons !

Elle réalise pourtant qu’elle ressent une vague d’excitation involontaire. Elle se souvient de la première fois où elle s’est rendu compte que sa poitrine s’était développée. Elle était tellement fière et elle se rappelle avoir eu le fantasme de danser seins nus pour ses camarades d’université masculins. Mince, pourquoi s’en souvient-elle maintenant ?

Les garçons crient :

- Enlève ton soutien-gorge !!

Mais elle fait exprès de prolonger ce moment. Elle continue de danser tout en déboutonnant sa jupe et en baissant la fermeture éclair sur le côté. Les acclamations recommencent et quand la fermeture éclair est complètement baissée, elle commence lentement et à contrecœur, de faire glisser sa jupe sur ses hanches. L’entraîneur lui avait interdit de porter des collants, mais d’avoir un porte-jarretelles et des bas. Comme elle n’en possède pas dans sa garde-robe, elle est les jambes nues. Elle avait trouvé une culotte en soie blanche assez serrée et c’est ce qu’elle expose lorsque la jupe tombe.

Maryline éloigne la jupe en la poussant avec un pied tout en dansant. La foule siffle et applaudit en la voyant simplement en soutien-gorge, culotte et talons hauts. Sa culotte en soir est tendue sur son mont pubien. Les cuisses et le ventre de cette mère de 36 ans tremblent pendant qu’elle danse, mais c’est toujours sa poitrine rebondissante dans le soutien-gorge qui attire le plus le regard. Lorsque l’enseignante manque de tomber à cause de ses talons, elle se penche et les retire. Ses seins manquent alors de sortir de son soutien-gorge et les cris augmentent. Elle entend de plus en plus de la part des étudiants :

- Enlève le soutif !

Cela devient bientôt un chant continu. Alors Maryline baisse la sangle gauche du soutien-gorge. Les acclamations enflent quand elle baisse la sangle droite. Puis l’enseignante tend les mains derrière elle pour dégrafer le sous-vêtement. Elle aurait voulu le tenir sur ses seins pour protéger sa pudeur, mais elle ne l’attrape pas et il tombe au sol. Ses gros seins blancs sortent des balconnets et commence immédiatement à sauter alors qu’elle danse. Le rugissement de la petite foule devient comme un moteur d’avion à réaction dans les oreilles de Mme CARLSON. Elle a un soudain vertige en se rendant compte qu’elle danse seins nus devant des dizaines d’homme qu’elle connaît à peine.

Elle baisse les yeux sur les étudiants qui rient et montrent du doigt ses gros seins. Leurs yeux sont collés sur ces masses de chair blanches coiffées d’une aréole rose foncé et de mamelons roses et durs. Maryline n’arrive plus à sourire maintenant, l’humiliation est écrasante. Toutefois elle continue à faire le show. Elle lève les mains en l’air, les coudes légèrement pliés et pousse ses nichons d’avant en arrière en bougeant les épaules. 

Tout en regardant les visages de ses collègues de l’université, elle est consciente de son excitation croissante. Elle essaie de la refouler. Mais alors qu’elle danse, elle entend un des joueurs dire :

- Regardez sa culotte, elle mouille !

D’autres soulignent ce fait en faisant des commentaires salaces Rick crie :

- Excitée Mme CARLSON ?

Elle ne peut pas voir la tache qui se répand sur sa culotte à son entrejambe, mais elle sait qu’elle mouille et ça ne fait qu’augmenter sa honte.

- Enlève ta culotte ! Crient les garçons.

Elle les ignore en pensant qu’elle a déjà été assez loin, mais d’autres cris s’ajoutent à ceux des adolescents.

- La culotte ! La culotte !

Elle ne veut pas montrer sa chatte car elle est très velue. Elle avait envisagé de se raser avant de venir, mais son mari s’en serait aperçu. Elle est sûre que la foule va être dégoûtée par sa chatte poilue. Désemparée, elle se tourne et secoue son cul. Quand elle entend que les cris continuent pour qu’elle enlève sa culotte, elle tire sur les côtés de celle-ci pour la changer en string. Elle secoue son cul blanc et presque nu de 36 ans sous les applaudissements et les commentaires obscènes des étudiants. Finalement elle baisse lentement sa culotte sur ses hanches. Elle se penche pour la descendre plus loin et la foule peut voir la touffe de poils pubiens entre ses jambes. Les étudiants et la plupart des hommes de l’assistance n’ont jamais vu le cul d’une femme trembler ainsi.

Finalement, Maryline se tourne et se montre nue. Sa chatte est un triangle de poils blonds foncés. Elle baisse les yeux et voit un jeune gars porter son soutien-gorge sur sa tête et un autre reniflant sa petite culotte avant de la passer au gars suivant. 

Soudainement la musique s’arrête et l’entraîneur se trouve en dessous d’elle pour la faire descendre de la table sous des applaudissements tonitruants. Il passe son bras autour de son corps nu et ils font face à la foule. Il annonce alors :

- Les gars, je suis content que vous ayez apprécié le spectacle. Mais Mme CARLSON n’a pas encore fini. Pour récompenser vos efforts durant cette saison, elle veut que vous sachiez, qu’ici et maintenant, vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec elle et elle fera tout ce que vous voudrez. Allez-y les gars !

Maryline lance un regard incrédule, les yeux grands ouverts, bouche bée. Immédiatement Rick se lève et tripote son sein gauche. Joe lui saisit le sein droit. Le reste de l’équipe s’attroupe autour d’elle. Ils se disputent pour pouvoir mettre la main sur n’importe quelle partie de leur professeure de français. Maryline pousse des cris alors que des mains tripotent ses seins , son cul, sa chatte et ses cuisses. Alors qu’elle est malmenée, elle voit Bill et les autres enseignants regarder et rire. Surtout, elle est entourée d’une douzaine d’étudiants qui la touche et caresse.

Après le choc initial, tous ces attouchements ont des effets sur l’enseignante. Même si elle lutte pour se libérer, les tripotages de ses seins, le pincement de ses mamelons, et les doigts sur sa chatte l’excitent. Ses cris sont ponctués de gémissements. Rick pose ses lèvres sur un sein et Joe fait de même avec l’autre. Les deux garçons sont populaires et sont ceux qui ont le plus d’expérience sexuelle. Rick abandonne bientôt le sein de sa professeure à un de ses coéquipiers et il frotte sa chatte avec une main. Quand il insère un doigt en elle il crie :

- Waouhhh, c’est la chatte la plus humide que je connaisse.

Il insère deux autres doigts et les fait glisser facilement dans la chatte bien lubrifiée. Il fait remonter son majeur et le fait glisser sur le clitoris enflée de Marilyne.

- Ooooooohhhh… Gémit-elle, à la plus grande joie de son auditoire.

Elle recule jusqu’à ce que ses fesses soient posées sur le bord de la table. Rick écarte ses genoux, s’agenouille et enfouit son visage dans son entrejambe. Il passe sa langue dans et hors de sa chatte, la faisant gémir davantage. 

Un certain Ron pose ses lèvres sur celle de sa professeure et il force sa langue dans sa bouche pour l’embrasser furieusement alors qu’elle s’appuie sur ses coudes. Ses cris sont ainsi étouffés et elle ne peut voir Rick qui sort sa bite bien raide de son pantalon. Il la dirige vers la chatte dégoulinante et il y plonge son gland avant que Maryline ne s’en aperçoive. On peut entendre les gémissements étouffés de la femme alors qu’il enfonce sa queue en entier entre les cuisses féminines. Les autres étudiants l’encourage :

- Allez Rick ! Bourre-la !

Avec empressement, Rick baise Maryline qui pousse encore plus de gémissements.

- Ohhh Rick ! Rick ! Dit-elle alors qu’il donne de grands coups de rein.

Mais à son grand étonnement, elle ne le supplie pas d’arrêter alors qu’il éjacule au fond de sa chatte. 

- Vas-y ! Ohhhh oui ! Je jouis ! OoooOOOOHHH OUUIUII !

Les autres professeurs sont amusés et stupéfaits des cris de jouissance de l’enseignante mariée. Ils la voient se tortiller de partout sous les effets d’un orgasme brutal.

Quand Maryline se détend un peu, Rick se retire. Elle se relève immédiatement, mais l’un des étudiants la tourne et la pousse sur la table. Il sort sa bite bien dure de son pantalon et enfile la chatte par-derrière. Il la baise et fait trembler son cul alors qu’elle pose ses mains sur la table.

Joe grimpe sur la table, sort sa queue bien épaisse et la presse contre le visage de l’enseignante. Maryline fixe le monstre pendant une minute et fait de son mieux pour ouvrir la bouche pour accueillir le gros gland. Elle suce la bite pendant qu’elle est baisée par-derrière et que les autres tripotent ses gros seins.

L’étudiant derrière elle jouit rapidement  et est remplacé aussitôt par un autre, puis un autre. Joe descend de la table et oblige sa professeure a s’allonger sur le dos. Il se positionne entre ses jambes et dirige son énorme bite vers sa chatte.

- Non ! Non Joe ! Elle est trop grosse ! Non !

Joe fait lentement pénétrer sa grosse queue dans la chatte bien lubrifiée. Maryline grogne. Quand il l’a pénétré complètement il commence à la baiser.

- Oooohhhh ! Ohhhhh ! Grogne l’enseignante.

A ce moment, Rick a récupéré. Il monte sur la table et enjambe la poitrine de Maryline en disant :

- Je dois baiser ces gros nichons !

Il pose sa bite entre les deux seins qu’il saisit à pleines mains. Puis il fait glisser son engin entre les deux boules de chair alors que son copain continue à pilonner la chatte ouverte. Un autre joueur sort sa queue, tourne la tête de Maryline et lui fait sucer son membre.

Mme CARLSON est utilisée sans ménagement par les trois adolescents. Le premier à jouir est celui qu’elle suce. Il gicle son foutre dans sa bouche et sur son visage. Maryline baisse les yeux à temps pour voir Rick cracher son sperme sur sa poitrine, son cou et son menton. Joe continue à la baiser pendant qu’elle grogne, gémit et halète.

- Oooohhh Joe ! Je jouis ! JOE ! OOOOOOHHHHH !

L’étudiant décharge en même temps dans sa chatte alors qu’elle tremble sous un autre orgasme.

Pendant que les autres joueurs baisent l’enseignante, les professeurs boivent de la bière et regardent l’action. Heureusement pour la chatte de Maryline, la plupart des étudiants jouissent rapidement. Quand ils finissent enfin, elle pense qu’elle ne peut pas être plus dégradée ou avoir plus d’orgasmes qu’elle vient d’en avoir. 

Elle reste allongée sur la table maculée de sperme lorsqu’elle voit l’entraîneur s’approcher, complètement nu, avec une queue impressionnante se tenant au garde à vous. Il la regarde avec un sourire narquois et lui dit :

- Ça fait longtemps que j’attends ça !

Il la tire par un bras et la relève. Puis il plante ses paumes dans ses fesses et la soulève. Elle n’est pas légère, mais il la manipule comme un brin de paille. Il l’empale sur sa bite. Les étudiants s’émerveillent de sa force physique, alors qu’il se redresse tout en baisant sa collègue. Il libère sa main gauche tout en continuant à la tenir avec sa main droite et il saisit son sein droit. Il plante ses lèvres sur le sein gauche. Maryline enroule ses jambes autour de son corps et ses bras autour de son cou. Son ventre nu est pressé contre le sien alors qu’il la pilonne à la vue de tout le monde.

L’entraîneur la baise comme un marteau-piqueur, faisant trembler ses fesses et ses cuisses, tout en serrant et suçant ses gros seins. Les cris le Maryline résonnent dans toute la pièce.

- Bill ! Bill ! Continue, baise-moi ! Ne t’arrête pas !

- Tu as aimé être la récompense de l’équipe, n’est-ce pas ?

- Oui ! Gémit-elle.

- Tu as aimé la façon dont ils te regardaient danser nue, n’est-ce pas ?

- Oh oui !

- Tu aimes te comporter comme une salope ? 

- Oui ! 

- Et tu aimes que je te baise, non ?

- Oui Bill ! Ohhh je vais jouir ! Ohhh mon dieu !! je jouis ! OOOOHHHHHHHHHHH !

Quand les cris de l’enseignante s’apaisent, l’entraîneur la dépose lentement sur la table. Il laisse la femme épuisée aux autres membres du corps professoral. 

FIN

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