samedi 23 octobre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 07

 Auteur inconnu.

A la maison.

Cette histoire intervient environ un mois après le séminaire de Sarah, séminaire où elle a oublié son ordinateur du travail à la maison, ce qui m’a permis de découvrir le nouveau visage de ma femme.

- C'est moi, je suis rentrée chéri.

Je m’empresse de quitter la vidéo de Sarah lors de son dernier séminaire dans laquelle elle suce un client pendant qu’il signe un gros contrat (et oui j’ai réussi à récupérer régulièrement ses vidéos). J’ai tout juste le temps d'enfiler un caleçon le pénis encore en érection.
 
- Qu'est-ce que tu faisais ?

- Ben rien, je t'attendais.
 
- Ah...

Sarah pose son sac, accroche sa veste au porte-manteau, prend son paquet de clope et vient s'asseoir au côté de moi dans le canapé. Elle est tellement ravissante avec ses gros seins, son petit cul bombé et ses habits sexy qui la mettent en valeur. Je savais qu’elle attirait le regard des hommes et même plus que les regards, mais j’aime ça maintenant.

Pour nous remettre dans le contexte, j’ai depuis quelques années l’envie de voir ma femme prise par un autre homme, pour être plus général par d’autres personnes que moi. Tout a commencé dans un relais de routier, il y a quelques mois, où j’ai poussé ma femme Sarah dans la gueule du loup. Nous sommes allés manger là-bas et comme nous avions trop bu, un certain Michel m’a proposé de faire « dormir » Sarah dans son camion un petit moment. Sans qu’elle le sache je l’ai observé se faire baiser par des routiers une grande partie de la nuit.

Cela est allé crescendo, elle était réticente à de petits attouchements au début, puis s’est laissée faire sous l’effet de l’alcool avant de carrément en redemander. Cette « sieste » qui devait être d’une heure ou deux a duré toute la nuit. Je n’ai pas assisté à la fin de la nuit de peur de me faire repérer mais ce que j’avais pu regarder était très hard et excitant. Je ne pensais pas ma femme capable de faire ça. Le routier qui l’avait pervertie, un certain Michel lui avait même demandé de venir le voir plus souvent. Je n’avais pas pu voir sa réaction ni savoir ce qu’elle avait répondu à ce moment-là.

Cependant, une fois cet épisode passé notre vie est redevenu normale, pas de signe de tromperie. Hélas à mon grand dépit, cela n’a été que la première de ses nombreuses expériences. En effet, cela a dû créer chez elle un électrochoc, car elle est devenue à partir de là une vraie salope. Notre vie sexuelle a continué à être épanouie mais son appétit était décuplé et elle devenait de plus en plus chaude au lit. Peu de fois à faire l’amour et beaucoup de baise bestiale car oui je différencie les deux.

J’ai aussi, par la suite, trouvé des vidéos sur son ordinateur d’elle à son boulot. Madame est la traînée de service, elle passe du bon temps avec son boss, le fils de son boss mais aussi des clients. Mais ça n’est pas tout, elle a goûté au plaisir lesbien. Son beau-père est aussi de la partie et le gros routier vient parfois lui rendre visite lors des sauteries organisées par son patron.

Je sais qu’elle est une vraie salope, mais elle ne sait pas que je suis au courant. Elle a notamment passé une semaine en séminaire à se faire défoncer. Bref là n’est pas le sujet revenons à notre histoire du jour.

- Ben tu me dis pas bonjour ?

- Ah si, excuse-moi.

Elle me fait un bref baiser qui ne manque pas de me faire tenir mon érection tant le contact même bref de ses lèvres pulpeuses m’excite. Je pourrais parier qu’elle sent le sperme.

- Tu n'as pas oublié que ce soir mon chef a invité toute l'équipe pour le cocktail de fin d'année, chez lui,. On doit venir avec nos moitiés et tu n'es pas habillé, j'espère au moins que tu es lavé ?

- Ah oui j'avais oublié, tu ne peux pas y aller toute seule ? (L’idée de voir ceux qui la tringlent était très bizarre encore)

- Non, à chaque fois tu te défiles ! 

Elle allume une clope visiblement énervée. Toujours en érection, je ne peux m'empêcher de la scruter en train de délicatement inhaler la fumée et la libérer de ses lèvres en un nuage de fumée bleutée. Sa jupe faussement sage et son chemisier la rendent trop belle et désirable. Je me lève la queue au garde à vous et me jette sur ses lèvres l'embrassant fougueusement, la renversant dans le canapé, elle sent ma queue déjà toute dure contre elle. 

-Qu'est-ce que tu fais, on n'a pas le temps ! Va t'habiller on doit être là-bas dans une heure ! 

 Arg ! elle a déjà dû avoir sa dose aujourd’hui. Mais j’ai trop envie d’elle, mon dieu. Je me relève et lui présente ma queue au garde à vous.

-Si tu m'autorises un câlin, je viens et reste jusqu'à la fin. Mais avant je vais t’honorer, ma coquine de femme.

Elle tire sur sa cigarette comme pour réfléchir, voit la queue fière d'excitation, elle ne voudrait pas céder, mais compte tenu qu'il lui assure de venir, elle accepte et puis de toute façon cela lui apportera aussi du plaisir.

Elle prend ma queue de sa main libre et commence une lente masturbation. Son regard est déjà très sexy, le regard d’une chatte en chaleur.

- Oh oui !

Je suis déjà fou d'excitation, elle commence à l'être aussi du fait de me voir dans un tel état. Elle embrasse la base du gland, le lèche, puis prend désormais la bite en bouche. Elle la pompe, creusant ses joues comme pour aspirer l'excitation qui pour moi monte de plus en plus. Je commence à bander comme un âne. Elle suce vraiment comme une reine. Elle crache sur ma queue puis la prend au fond de la gorge, malaxe mes testicules, tapote mon sexe sur sa langue. Bref elle fait son maximum pour m’exciter. J’ai beau essayer de me maîtriser mais après 15 minutes de ce traitement ça en est trop.

- Attends, je vais venir !

Elle retire mon sexe en laissant traîner ses lèvres le long de ma verge qui, à peine libérée de l'étreinte de la bouche de Sarah, tressaillit.

- Tu veux me prendre sauvagement mon chéri ? Je suis déjà toute humide. J’ai envie de ton sexe.

- Oui, je suis trop chaud mon cœur, tu m’excites trop.

Je me concentre pour ne pas éjaculer, mais je peux plus me contrôler quand elle, seulement du bout de ses doigts, me reprend la bite tout en massant les couilles et en passant sa langue sur ses lèvres rouges. Alors j’éjacule par de nombreuses giclées une quantité importante de foutre qui atterrit directement sur le chemisier de ma belle, qui reste immobile tant elle est surprise de la vitesse et la quantité des jets.

-Bien joué ça fait le troisième chemisier que tu me tâches ce mois-ci ! 

Désolé, dis-je en culpabilisant, je vais me préparer. 

Elle regarde l'ampleur des dégâts :

- Tu es chiant, moi je reste sur ma faim !

Elle s’allume une nouvelle clope en me snobant. Visiblement déçue. En même temps qui peut tenir une pipe comme ça ?

- Effectivement ça n'a pas duré longtemps ! me tacle-t-elle.

 Elle finit sa clope et part changer de chemisier, frustrée de ne même pas avoir été pénétrée. En fait, elle revient changée et habillée comme une escort-girl. Une jupe courte noire qui laisse voir qu’elle porte des porte-jarretelles. Son chemisier rose est très moulant pour ses gros seins. Je n’ose rien dire pour ne pas la vexer et en même temps elle est tellement belle que je ne peux rien lui dire. 

 Le trajet est relativement calme, même si nous discutons de tout et de rien. Pourtant, je sens qu’elle m’en veut de ne pas l’avoir honorée et je dois avouer que je suis un peu gêné. L’ambiance devient par contre lourde quand j’ai le malheur de critiquer son boss. Elle me réplique qu’il est adorable et que je suis un abruti de le critiquer sans le connaître. Et vu la soirée que cela allait être il valait mieux que je sache rester sympa.

- Je tiens à mon job, si tu n’es pas content tu resteras pas avec lui. Il est un patron génial et tu ne peux juste pas comprendre... Je dois rester avec lui et faire bonne impression avec son fils aussi.

- Je ne dis pas ça mais leurs blagues lourdes de ces machos m’énervent.

- Peu importe mais c’est comme ça. Je t’aime quand même mon amour, mais le travail c’est le travail.

 La soirée s’annonce tellement bien ! Ma femme va rester à rire avec ses cocufieurs et moi je vais devoir assister à ça. Je suis honteux et en même temps très excité.

A suivre...

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