Texte de Black Demon (Pimped by Her Own Pastor) traduit par Coulybaca.
Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation) et "Le pasteur se fait maquereau" (Pastor's a Pimp I et II)
Les deux acolytes prostituent une paroisienne.
Son voyage d'affaire à "Springfield" était couronné d'une totale réussite, elle avait vendu une commande pour une somme importante de matériel médical à l'hôpital local, et maintenant elle devait faire une petite étape à "Bridge-port" cet après-midi selon son agenda.
Puis elle rentrerait chez elle tard le lendemain par le vol du vendredi matin pour dîner avec son fiancé. Elle avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à se souvenir avoir pris ce rendez-vous, mais au fond d'elle-même, Kristin savait que monsieur Simpson l'attendrait à la sortie du terminal de l'aérodrome.
- Etait-il un administrateur de l'hôpital ?
- Quel type d'équipement médical recherchait-il ?
Elle n'en savait rien, en fait, elle se rendait compte qu'elle n'était nullement préparée à ce rendez-vous !
***
Julius Simpson qui venait de faire une dotation de 30.000 $ à la fraternité comptait bien en retirer les bénéfices très bientôt. Plus tôt il avait attentivement observé le site web ouvert par monsieur Mollway au nom du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" qui l'avait rapidement convaincu de faire cette donation de 30.000$ à sa fondation.
"Bordel, quel coup de cul d'être tombé sur son site où il publiait des photos des plus jolies membres féminins de sa congrégation, c'est parmi ces photos qu'il avait choisi sa future proie... C'était vraiment incroyable ! Et il n'avait même pas besoin de se déplacer, cette salope vient à moi selon les dire de ce vieux pote de Mollway !" pensait Julius enthousiasmé.
Lorsqu'il avait feuilleté le livre de souvenirs de la congrégation sur le site de Mollway, Julius avait disposé de nombreuses photos des membres de la paroisse et lut les commentaires qui les concernaient. Il y avait de nombreuses ravissantes jeunes femmes, mais l'annonce qu'il avait préférée était celle annonçant le futur mariage de Kristin Corbett avec son fiancé Mike Goodman. Ce nom avait tilté dans sa tête, c'était celui d'une des jeunes femmes qu'il avait remarquée parmi les photos des membres, ce qui devait signifier que cette promise devait être ravissante ! Il était retourné rapidement vers la section photos du site, avait descendu la liste alphabétique. Sa bite s'était cabrée dans son caleçon à, la vue de la photo de la somptueuse jeune femme.
"Bordel de merde, elle semble si douce, si naïve Peut-être bien qu'elle est encore pucelle ! " se mit-il à espérer avec concupiscence.
Lorsqu'un homme se présentant comme maître Mollway du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" à la fondation lui avait téléphoné, il avait reçu un enivrant remerciement pour sa donation. Cet homme avait insisté :
- "Je ne veux pas vous faire perdre votre temps, aussi vais-je aller tout droit au but Je vais vous envoyer un mail avec une adresse pour répondre. Vous l'étudierez, puis vous nous direz de quelle façon nous pourrons vous exprimer notre gratitude pour cette généreuse donation que nous sollicitons ! "
Quelques jours plus tard, un dimanche après-midi, il rappelait monsieur Mollway l'avisant :
- "J'ai vu une photo d'une ravissante beauté, Kristin Corbett, sur le site que vous m'avez conseillé de consulter... Fait-elle partie de l'offre ? C'est elle que je voudrai !" demandait Julius nerveusement.
- "Ah cher ami, un excellent choix ! Je pense que vous avez vu qu'elle devait bientôt se marier. Bien sur qu'elle fait partie de l'offre, vous pourrez en disposer quand vous le voudrez ! Voulez vous l'essayer avant son mariage ? Ou après ? " lui répliqua alors l'ex-pasteur Mollway.
- "Vous voulez dire que je pourrai vraiment me la faire avant son mariage ? " s'enquit Julius d'une voix chargée de désir.
- "Bien entendu... Nous sommes là pour réaliser vos vœux, dans ce domaine tout au moins. Mais cela veut dire qu'il va falloir hâter les choses ! Ne pensez-vous pas qu'une seconde donation de 5.000 $ viendrait appuyer votre désir ? "
Il donna aussitôt les instructions en ce sens, il ne lui restait plus qu'à attendre le coup de fil qui lui donnerait le feu vert et les conditions de la "livraison".
***
En traversant le terminal de l'aéroport, Kristin se sentait accidentellement nerveuse, elle ne parvenait pas à se rappeler les raisons de son rendez-vous.
- Pourquoi ai-je retenu une chambre d'hôtel ?
- Pourquoi l'ai-je retenue alors que mon voyage d'affaire avait commencé, d'autant plus que je n'en sais pas plus sur cette opportunité !
- Qui est ce monsieur Simpson que je dois rencontrer ? se demandait-elle nerveusement.
Elle n 'avait aucune idée de ce qui l'attendait, elle ne savait même pas comment il la reconnaîtrait, elle ne se rappelait pas lui avoir parlé une seule fois au téléphone. Pourtant c'était bien elle qui avait inscrit ce rendez-vous sur son agenda, elle reconnaissait parfaitement son écriture et le talon de la réservation de la chambre qu'elle avait retenu à l'hôtel de l'aéroport pour ce jour. Habituée à emporter peu de bagages, d'autant plus que généralement elle partait une journée, Kristin avait été embarrassé pour faire sa valise la veille au soir. Elle contenait un petit sac de voyage, un élégant soutien-gorge assortie à une affriolante petite culotte et une froufroutante chemise de nuit, elle était loin d'emmener de tels articles habituellement. Encore qu'elle ne comprenait pas pourquoi ce voyage d'affaire serait si différent. Mais elle avait revêtu une très élégante tenue pour ce rendez-vous, elle portait une jupe bleue, un veston classique un chemisier blanc et des hauts talons noirs.
"Pourquoi n'ai je pas pris de tenue d'affaire pour demain ? ." se demandait-elle intriguée.
En sortant du terminal, Kristin chercha des yeux qui pouvait bien l'attendre. Mais lorsqu'elle vit s'approcher un noir musclé très élégant portant un costume gris sombre sur une chemise orange elle fut transportée de joie à l'idée de le rencontrer. Il lui semblait familier, mais elle était incapable de se rappeler quand elle l'avait rencontré, cependant elle était certaine qu'il s'agissait bien de ce monsieur Simpson avec qui elle avait rendez-vous. Cœur battant la chamade, il lui sembla être plongée dans une espèce de transe lorsqu'il lui dit :
- "Mademoiselle Corbett, Julius Simpson, l'homme qui va faire de vous une femme aujourd'hui ! Suivez-moi !"
Sa valise à la main elle le suivit docilement jusqu'à sa voiture parquée devant l'aéroport. Dès qu'elle fut assise dans le siège passager, il lui demanda :
- " Dans quel hôtel nous as-tu réservé une chambre ? "
- "A l'hôtel de l'aéroport ! " répondit Kristin, se demandant pourquoi elle se sentait obligée d'accompagner cet homme qui s'était montré si grossier en l'accostant prétendant entre autre faire d'elle une femme.
Frémissante elle ne se trouvait pourtant incapable de repousser la main de ce pervers qui tenait la sienne commentant :
- "Quelle belle bague de fiançailles. Ton fiancé s'est-il mis à genoux quand il t'a demandé en mariage ? Et qu'il t'a glissé cette bague au doigt ! "
Kristin se contenta de souffler un timide oui. La main pendant le long de la console séparant les deux sièges, elle frémit lorsqu'elle toucha la cuisse droite du conducteur, mais ce n'est pas sur sa cuisse que sa main s'était instinctivement refermée.
- "Mon Dieu que suis-je en train de faire ? " se demandait Kristin en son fort intérieur.
Voila qu'elle empoignait la bite de set étranger au travers du tissu de son pantalon, c'était une chose qu'elle avait peut être fait deux malheureuses fois avec Mike. Il l'encouragea vulgairement :
- "Oh oui ma petite chérie, fais connaissance avec cette bite que tu suceras bientôt ! "
Elle ne parvenait pas en croire ses oreilles, comment pouvait-on se montrer aussi vil. Cependant elle ne pouvait s'empêcher d'agripper sa bite, mesurant de la main sa taille et son épaisseur se demandant toujours :
- "Mon Dieu que suis-je en train de faire ? "
Dans un total état de sidération, Kristin descendit de voiture lorsqu'ils stoppèrent devant l'entrée de l'hôtel puis elle le remonta le vestibule menant au bureau des réservations comme le lui avait intimé monsieur Simpson. Et elle obéit avec complaisance, réclamant la clef de la chambre qu'elle avait réservée. Une fois la chambre payée sur sa carte bancaire, elle retourna alors à la voiture avec la clef magnétique en main et lui donna la direction à suivre pour se rendre à leurs chambres.
Peu après que la voiture ait été garée, Kristin se retrouva seule avec Monsieur Simpson, un homme qu'elle n'avait jamais rencontré auparavant et qui cependant semblait exercer une forte emprise sur elle. Elle savait que c'était fou, que cela ne pouvait pas arriver, et pourtant elle ne parvenait pas à briser cette espèce de sortilège qui lui interdisait de lui désobéir quoi qu'il lui demande de faire. Les yeux braqués sur cet homme, elle n'écoutait plus que sa voix, rien d'autre que cette voix ne semblait exister pour elle. Elle paraissait en transe. Elle ne remarqua pas qu'il plaçait son portable sur la table, braqué sur le lit, il avait commencé prendre des images depuis qu'ils avaient quitté le hall de l'hôtel, se focalisant sur la bague de fiançailles à sa main gauche.
A de nombreux kilomètres de là, dans la petite ville de Presswood, un portable recevait les images qui étaient immédiatement transférées sur un ordinateur. Pour l'instant, on voyait sur l'écran la ravissante Kristin Corbett déboutonner avec hésitation le haut de sa veste bleue.
- "Allez chérie, enlève-moi ce veston !" dut-il répéter pour l'encourager à poursuivre.
Le premier bouton déboutonné, les doigts nerveux œuvrèrent alors sur le second, puis le troisième... Jusqu'à ce qu'elle enlève l'élégante veste.
- "Et maintenant les chaussures ma chérie !"
Elle obéit docilement. Les yeux rivés sur cet homme qu'elle ne connaissait pas une heure plus tôt, elle poussa la première chaussure avec l'autre et l'ôta et se retrouva bien vite pieds nus.
- "Au tour de ta jupe maintenant !" lui intima-t-il avec autorité.
Une fois qu'elle se fut exécutée, il reprit :
- "Le corsage ! "
Quelques instants plus tard, la fiancée de Mike Goodman se tenait presque nue devant un complet étranger, un musculeux noir qui s'était offert les charmes de cette succulente jeune femme.
Les deux hommes avaient les yeux rivés sur l'écran de l'ordinateur, ils observaient la ravissante jeune femme qui tremblait d'effroi alors que Jules Simpson faisait un pas en avant, tendait sa grosse main vers l'affriolant soutien-gorge en dentelle qui voilait les tétons de la future madame Goodman. La fragile beauté effrayée semblait figée sur place, incapable de se débattre ou de résister de quelque manière que ce soit, haletant de détresse alors que ce bâtard lubrique palpait ses miches.
- "Ohhh t'as vraiment de beaux nichons ! " lui dit-il tout en la pelotant allégrement.
Le soutien -gorge en dentelle enlevé, il se pencha sur son torse, embouchant l'un après l'autre les tétons dardés de la ravissante jeune femme en état de sidération.
- "Ooooooooooooooooohhhhhhhh... " soupira-t-elle extasiée alors qu'il suçait divinement ses deux jumeaux.
- "Ummmmmm... Chérie... Est-ce que ton connard de fiancé joue souvent avec tes superbes tétons ? " lui demanda-t-il alors qu'il les lui mignotait de la langue et des dents.
- "Oooooohhhh, ohhhhhhhhhh... Non Non, jamais... Je... Je lui ai dit d'attendre ! D'attendre... Qu'on soit marié ! " répondit la pantelante innocente beauté.
Un instant plus tard, il la poussa à s'agenouiller, alors qu'il guidait ses mains vers son entrecuisse. D'instinct elle descendit la fermeture éclair de sa braguette. Tremblante de nervosité elle s'escrima pour pêcher la grosse mentule cachée dans son caleçon, elle grimaça en serrant la grosse bite entre ses doigts. Une fois le caleçon bien ouvert et l'épaisse mentule dénichée, elle la tint de la main droite, sa main gauche descendant palper ses grosses couilles.
- "Ahhhhhhhhhh... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii..." grogna Julius comme elle le branlait allégrement sinon habilement.
Alors qu'elle observait avec attention le gland turgescent de Julius, elle avala sa salive à la vue d'une perle blanche se formant à la commissure de son méat. Sa bite gonflait de plus en plus, elle frôlait maintenant la moquette, il posa alors une main sur sa nuque l'attirant sur son ventre jusqu'au moment ou ses lèvres frottèrent contre la peau tendue de son gros bourgeon de chair. Bien vite ses lèvres luirent doucement, il avait étalé sur elle la perle de pré-sperme qui avait goutté de son méat.
Assis, les deux macs observaient avec attention la future épouse ouvrir la bouche pour enfouir l'épaisse biroute du noir dans son innocente bouche. Rich saliva à la pensée qu'il était l'outil principal de sa déchéance, c'est lui qui l'avait mise en évidence parmi ses ouailles. Le vieux Mollway le poussa du coude en s'exclamant :
- "Tu devrais être fier de toi mon cher ami. Son propre pasteur, l'homme chargé de célébrer leur cérémonie de mariage... C'est le même homme qui l'a précipité dans les griffes de ce bâtard de Julius Simpson ! "
Ils entendirent alors résonner la voix de Julius :
- "Oh chérie, tu apprends drôlement vite... Tu feras une excellente fellatrice !"
Là bas, dans la petite chambre la ravissante future mariée était agenouillée sur la moquette face à la grosse bite noire, elle apprenait de première main comment une femme pouvait dispenser du plaisir à un homme avec sa bouche. Plus d'un croyait qu'elle attendrait la nuit de ses noces pour apprendre de telles choses, ce jour où elle serait toute vêtue de la longue robe blanche au collier de perles autour de son cou en passant par sa petite culotte, son soutien-gorge et ses bas. Et le pasteur qui célébrerait la cérémonie se demanderait :
- "Mike Goodman voudrait-il toujours épouser sa ravissante fiancée si on lui donnait un instantané de cette érotique scène, qu'en penserait-il au fond de lui-même ? "
Julius Simpson, sûr de son emprise sur la ravissante apprentie fellatrice, tira doucement sur sa chevelure extirpant sa grosse bite palpitante de sa bouche qui l'aspirait comme une ventouse. Il saisit son poignet gauche pour lui faire cesser son branle tant il avait peur de juter prématurément. Il la saisit sous les genoux pour l'emmener sur le sofa, et l'allongea dessus tout en accrochant la ceinture élastiquée de sa petite culotte de dentelle blanche.
Le visage de la ravissante jeune femme affichait de l'incrédulité, lorsqu'il posa ses doigts sur les lèvres de sa fentine. A première vue elle réalisait avec horreur ce qui se passait à l'instant même, mais elle était toujours incapable d'opposer la moindre résistance alors qu'il la dépouillait de son affriolante petite culotte. Elle était en pleine confusion mentale, incapable de penser rationnellement à ce qui lui arrivait. Depuis qu'elle avait posé les yeux sur Julius Simpson dans l'aéroport, elle était plongée dans un état hypnotique qui avait été implanté dans son cerveau quelques temps plus tôt.
Cette emprise mentale lui avait été infligée le jour où elle avait assisté pour la première fois au cours de préparation au mariage auquel le pasteur Knowlton lui avait conseillé de participer. Ces cours étaient conduits par un conseiller marital nommé monsieur Mollway. Il l'avait hypnotisée à son insu ce jour là, il l'avait pré conditionnée pour le jour où elle rencontrerait l'homme dont elle avait eu la photo sous les yeux, il s'agissait de la photo de Julius Simpson bien entendu ce généreux donateur sensible à ses charmes.
Les yeux rivés sur le moniteur, les deux maîtres chanteurs, regardaient attentivement la jeune beauté tremblante serrer timidement ses cuisses l'une contre l'autre, tout en croisant les bras sur sa poitrine dénudée. Elle braquait les yeux au plafond totalement paniquée dans la crainte révérencieuse de cet étranger. Cet homme qui l'avait choisie en contrepartie de sa donation tenait maintenant son affriolante petite culotte entre ses doigts et, la portant à ses narines il en humait les troublantes flagrances. Il la prit sous les genoux et écarta ses cuisses en grand. Cela fait, elle émit un long soupir :
- "Ooooohhhhh, Ohhhhhhhhhhhh Ohhhhhhhhhhhhhhhhh"
alors que ce bâtard plongeait sa tête entre ses cuisses commençant à lui bouffer le gazon.
Alors qu'ils le regardaient procéder habilement, ils virent la jeune beauté décroiser ses bras pour les laisser tomber le long de son corps, ses mains se crispant et se décrispant dans la literie.
- "OhhhhhhhOhhhhhhhhhhhh Ahh... ahhhhhhhhhhhhhhh Arrrrghhhhhhhhhhhhhhhhh" grommela-t-elle alors que son corps était secoué de spasmes incontrôlables, à l'évidence un orgasme d'une exceptionnelle intensité la terrassait.
Julius Simson se tenait à coté du lit, sur lequel la jeune femme gisait épuisée, amollie, Mollway et Rich Knowlton regardait l'athlétique noir se dépouiller de ses vêtements. C'est alors que Mollway confia à Rich un petit secret qu'il détenait depuis peu lui disant seulement :
- "Attend quelques minutes, ça va devenir succulent d'ici peu ! Dès qu'elle réalisera qu'il va fourrer cette épaisse queue dans son étroite foufoune, elle va frémir d'horreur... et ça ne va pas tarder ! Simpson le sait, c'est lui qui me l'a suggéré, il veut que cette prude jeune femme, soit pleinement conscient de qu'elle se fait violer."
Julius Simpson empoigna ses chevilles et lui leva haut les jambes de façon à disposer de son compas grand ouvert, il caressa tendrement ses plantes de pied avant d'écarter en grand ses cuisses. Il se pressa alors dans son entrecuisse sachant pertinemment que bientôt son esprit sombrerait à nouveau. Julius parcourut lentement sa fentine du bout du gland lubrifiant sa bite et lui annonça cruellement :
- "Je vais faire de toi une femme ma petite chérie ! Je vais cueillir ton précieux pucelage... Que va dire ton mari, lorsque le jour de ta nuit de noce il découvrira qu'à l'évidence sa promise s'est donnée à un autre homme ?"
Kristin, en sentant l'épais bourgeon découvrir les replis intimes de son vagin se réveilla totalement et chercha à se libérer de son emprise.
- "Mon Dieu que fais-je ici ? Et avec cet homme ! Ce noir ! Mon Dieu mais je suis entièrement nue ! C'est trop grave. Ca ne peut pas m'arriver. Non... Pas ça ! "
Elle se dit alors qu'elle allait s'éveiller et sortir de ce terrible cauchemar.
- "Je suis prêt à faire de toi une vraie femme !" entendit-elle alors cet homme annoncer.
Et comme il pressait son épais gland contre sa chatoune affolée, forçant son chemin dans son tunnel, Kristin réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un cauchemar, qu'elle était vraiment en train de se faire dépuceler.
- "Arrêtezzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzz... Je vous en prieeeeeeeee... Je vous en prie. Ne me violez pas. Je ne veux pas..." sanglotait Kristin dans un ultime effort de faire cesser son viol.
Mais relevant la tête vers son agresseur, elle comprit que ses cris, ses plaintes, ses pleurs ne faisaient qu'accroître son plaisir de la forcer. Elle tenta encore de lutter pour lui échapper, mais il la tenait fermement aux hanches, elle ne pouvait bouger que de quelques centimètres. Elle hurla de peur lorsque de ses fortes mains il l'attira à lui pour que son gland turgescent s'introduise dans son fourreau inexploré. Elle essaya une dernière fois de le repousser de toutes ses forces.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !" hurla-t-elle à pleins poumons alors que d'un violent coup de boutoir il la pénétrait inexorablement. Et lorsqu'il se retira pour plonger à nouveau en elle poussa un hurlement strident :
- "Nonnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !"
Un violent coup de rein et son pucelage s'était envolé à jamais ! 25 ans d'abstinence, elle avait tout planifié pour se présenter pure et virginale pour sa nuit de noce, tout cela anéanti en un instant. Kristin pensait maintenant à son petit fiancé chéri, se demandant comment elle pourrait lui faire face maintenant. Voudrait-il encore l'épouser après ce drame.
- "Oh, oui chérie... Julius est venu et a fait de toi une vraie femme..." gloussait-il avec fierté à la vue de sa bite souillée de traînées sanguinolentes.
Il était heureux d'avoir fait une aussi large donation au "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor", cette somptueuse jeune femme valait tout l'or du monde. Quel remerciement fantastique il avait reçu en retours de cette fondation, l'opportunité de dépuceler une adorable beauté blanche qui venait tout juste de se fiancer avec un de ces petits connards de blanc. Ses cris, ses plaintes, et sa lutte pour se libérer de son emprise, tout cela s'ajoutait à l'honneur d'avoir cueilli la fleur de cette jeune promise. Sans avoir à se tracasser, une telle donation à la fondation du père Mollway n'était rien pour un gars comme Julius Simpson, il avait de l'argent à gogo. Il n'aurait sûrement pas pu se faire une telle beauté sans se tracasser de risquer la prison sans l'intervention de ce Mollway.
Dans ce cas précis il n'avait rien à craindre, cette petite pute était venue à lui de son plein gré et avait même payé la chambre d'hôtel avec sa carte de crédit. Et comme le réceptionniste de l'hôtel pourrait témoigner que c'était elle qui avait pris les deux cartes ouvrant la porte de la chambre, peut être même bien l'avait-il vu attendre dans la voiture où elle était venue le rejoindre. Il n'avait vraiment pas à se tracasser, elle ne risquait pas de courir se plaindre aux flics.
Il coulissait allégrement dans sa foufoune échauffée, il tonna alors à son oreille :
- "Hey chérie, ne dois-tu pas te marier dans cinq semaines ? Peut-être bien que je pourrai annoncer à ce petit con que tu vas épouser, que je t'ai collé un petit polichinelle noir dans le tiroir."
Ces mots redoublèrent ses sanglots ce qui rendait le viol encore plus excitant alors qu'il continuait à la ramoner, il espérait vraiment l'engrosser ce qui serait la cerise sur le gâteau.
- "C'est un échange de bon procédé, je suis venu et j'ai cueilli ta précieuse petite fleur mais je te laisse un souvenir dont ton connard de blanc pourra prendre soin !" gloussait-il.
Il serra brusquement les dents alors que son corps se cabrait, il giclait à grosses saccades dans sa foufoune bien vite engorgée en gémissant :
- "Ohhhhhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !"
Le viol avait fourni un spectacle hautement érotique pour aux deux pasteurs, l'ancien et l'actuel, mais ce fut encore mieux lorsque le pervers noir roula sur le flanc le temps de reprendre son souffle. L'innocente jeune femme restait étendue sur le lit sanglotant sa détresse, ses jambes étaient largement ouvertes, un mélange de foutre et de sang virginal s'écoulait lentement de sa chatte tuméfiée.
- "C'est beaucoup trop d'un seul coup pour une virginale promise, hein Rich ! " gloussa Mollway, puis il ajouta :
- "Par l'enfer, elle descendra l'allée centrale derrière toi avec un bébé noir grossissant dans son ventre"
Il réfléchit quelques secondes, et poursuivit :
- "Je suppose que Simpson sera tout heureux de faire une nouvelle donation si cela lui permet de passer une autre journée avec cette sensuelle beauté. Pendant son voyage de noce par exemple ! "
Un peu plus tard, la bite de Julius s'était réveillée et il coulissait à nouveau dans la cramouille de la future épousée, il était évident que l'innocente jeune femme subissait passivement son sort, elle ne répondait en aucune manière à ses assauts lubriques.
Mollway avisa alors Rich :
- Attends qu'il lui murmure à l'oreille la formule magique : 'violée et ruinée", elle se transformera immédiatement en une goulue avide de bites noires.
Et effectivement lorsque Julius se pencha pour chuchoter à son oreille ces quelques mots, elle leva bras et jambes et les enroula autour de son torse, elle se mit alors à participer activement à la séance de baise en cours, s'arc-boutant sur les talons pour mieux accueillir son amant, haletant :
- "Baise-moi mon chéri... Je t'en prie baise-moi. fourre-moi avec ta grosse bite noire ! "
Le lendemain, confortablement assise dans le vol qui la ramenait chez elle, Kristin avait les nerfs à fleurs de peau, ses mains tremblaient constamment.
"Will remarquera-t-il que j'ai changé cette nuit ? Peut-être que je devrai lui téléphoner pour décliner son invitation au restaurant... Je ne sais pas si je supporterai de l'y accompagner ! En fait, je me sens vraiment malade rien qu'y repenser ! " ressassait-elle depuis l'envol.
"Comment une telle chose peut-elle arriver ? Pourquoi l'ai-je fait ? Je dois l'avoir rencontré plus tôt puisque je l'ai reconnu dès que je l'ai vu dans l'aéroport ! Je n'arrive pas à relier les choses ! Tout ce que je sais c'est que c'est arrivé. J'ai fait l'amour avec un total étranger... Je l'ai laissé cueillir ma virginité !" réalisait-elle affolée.
A mi parcours, incapable de cesser de rabâcher cet événement dramatique, Kristin réfléchissait :
"Avons-nous fait l'amour six ou sept fois ? Dois-je compter cette fois, juste avant de quitter l'hôtel lorsqu'il m'a fait mettre à genoux pour le sucer une dernière fois ?"
La langue courant sur l'intérieur de ses joues, elle avala profondément les quelques traces de foutre qui lui rappelait qu'il avait éjaculé dans sa bouche, des restes qu'elle avait oublié de savourer à ce moment. Puis elle se remémora cet instant où il l'avait prise bestialement à quatre pattes sur le lit alors qu'il commentait qu'elle méritait de se faire baiser comme la vraie pute qu'elle était.
Elle se rappelait, avec honte, avoir répondu éperdue à tous ses assauts pendant cette longue séance de baise qui les avait réunis. Elle dut bien en conclure qu'il avait raison : fallait vraiment être une salope pour coucher avec un étranger, lui accorder son pucelage et satisfaire ses appétits lubriques comme elle l'avait fait.
Les deux semaines qui suivirent, bourrée de remords, elle se repassait continuellement les images de son dépucelage dans la tête. Kristin était profondément confuse, elle ne comprenait pas comment elle avait pu tromper ainsi son adorable fiancé.
"Comment ai-je pu faire une chose aussi honteuse ? "
"Comment ai-je pu être aussi ignominieusement infidèle à mon futur époux ? "
"Pourquoi ? Pourquoi ai-je fixé un rendez-vous à monsieur Simpson à l'aéroport ? Ca n'avait rien à voir avec un rendez-vous d'affaire ! j'y suis allée uniquement pour faire l'amour avec lui, pour lui offrir ma virginité. mon pucelage que seul devait cueillir Mike lors de notre nuit de noce !" se demandait-elle toujours et encore.
Elle ne savait pas quoi faire, elle aurait bien besoin d'un conseiller et d'un confident. Seul le bienveillant pasteur de leur communauté pouvait être assez compréhensif pour écouter ses révélations. Son seul espoir d'apaiser son esprit était de confier cette déplorable aventure à ce bienveillant pasteur.
Elle lui demanda si elle ne devait pas annuler le mariage, elle ne méritait plus d'épouser son adorable fiancé, elle n'était plus digne de devenir sa femme. Kristin sortit rassurée de leur entrevue, il lui avait seulement dit que ces choses arrivaient parfois, et que de toute manière elle n'avait nullement violé ses engagements puisqu'ils n'avaient pas encore prononcé leur promesse d'être fidèles l'un envers l'autre.
Kristin remercia vivement le bon pasteur de l'avoir rasséréné, elle était si contente d'avoir entendu cet avis et c'est avec reconnaissance qu'elle se promettait de suivre ses excellents conseils. Jamais elle n'aurait cru que ce bon pasteur puisse se montrer si compréhensif, assis à coté d'elle, il avait posé son bras sur ses épaules l'attirant à lui pour qu'elle puisse pleurer dans son giron.
Elle était loin de soupçonner que ce bon pasteur avait été l'instrument principal de sa déchéance, que sous la férule de son maître chanteur il l'avait virtuellement prostituée pour éviter d'être humilié en public. Elle ne réalisait pas plus que ce sale bâtard avait pris son pied regardant toute la séance de baise sur l'écran d'un ordinateur, et que lorsqu'il l'avait pris dans ses bras pour la consoler, il bandait comme un âne en respirant son doux parfum.
Un bras autour des épaules la jeune beauté angoissée, il joua le rôle du gentil pasteur Knowlton si compréhensif. Il prit sa main dans sa main gauche et tout en lui disant :
- "Ma chère petite Kristin vous devez avoir confiance en moi, vous devez me confier tous les détails de votre abandon ce qui me permettra de mieux vous assister et ainsi d'alléger ce fardeau qui pèse sur vos faibles épaules !"
Alors que la malheureuse Kristin lui racontait sa triste aventure, Rich Knowlton prenait grand plaisir à voir sa bague de fiançailles étinceler à son index. Il se remémorait ses instants ou il avait vu le même doigt orné de la même bague refermé sur l'appendice de Simson qu'elle branlait allégrement.
Cinq semaines plus tard, encore étonnée d'avoir pu surmonter ces pénibles événements, Kristin était heureuse de recevoir les toasts que lui adressaient les membres de la fraternité de Mike. Houspillant son mari qui avait assez gaspillé de temps pour gagner leur suite nuptiale, elle espérait que son plan fonctionnerait à merveille. Elle feint une certaine douleur lorsque Mike la pénétra, et comme elle l'espérait l'excitation de Mike, "d'en la faire une femme", était telle qu'il éjacula rapidement.
Comme il somnolait sous le coup de l'ivresse et de la fatigue, elle se lova contre lui, et comme elle l'avait prévu, sortit une aiguille pointue de son sac. Elle se piqua le doigt à plusieurs reprise, de grosses gouttes de sang tombèrent sur le drap le tâchant à l'endroit voulu. Elles apparaîtraient clairement comme les ultimes traces de son pucelage le lendemain matin à leur réveil.
Ils devaient passer une semaine dans un palace romantique, un endroit merveilleux recevant de nombreux couples en lune de miel. Kristin repensait au sermon plein d'élégance qu'avait prononcé le pasteur Knowlton faisant de leur mariage un jour mémorable. Et maintenant, au troisième jour de sa lune de miel, Mike était parti sur le terrain de golf voisin pour frapper quelques balles puis faire une partie avec d'autres joueurs.
Au début, Kristin aurait aimé qu'ils restent ensemble pour la durée de leur lune de miel, mais elle renonça en voyant à quel point son mari avait envie de fouler le terrain de golf, et était déterminé à faire une bonne partie. En entendant la sonnette, elle se demanda qui cela pouvait bien être puisque son mari avait une carte pour ouvrir la porte de la suite, elle se précipita pour répondre à cet appel.
Jetant un œil au travers du judas de la porte, elle vit un noir athlétique qui portait l'uniforme des employés de l'hôtel.
- "Oui ? " demanda-telle au travers de la porte.
- "Le service madame... C'est adressé à madame Goodman et c'est signé de la main de votre mari Mike... "
Toute souriante, pensant que son mari était vraiment aux petits soins avec elle, ou qu'il se sentait un peu coupable de l'avoir abandonnée pour une partie de golf, Kristin ouvrit la porte. Elle se retrouva alors face à un visage très familier, un visage qui la plongea illico dans le même état de sidération que la première fois qu'elle l'avait vu en sortant du terminal de l'aéroport six semaines plus tôt.
- "Ah, bonjour madame... Je dois dire madame Goodman maintenant, n'est ce pas ? Je vais profiter que ton mari est parti faire une partie de golf pour te prendre ! Je vais me faire quelques trous ! Il aurait peut-être du rester ici il aurait pu ainsi apprécier ma façon de "putter"" ironisait Julius Simpson en entrant dans la suite nuptiale sans que la jeune mariée ne lui oppose la moindre résistance.
Elle n'offrit pas plus de résistance lorsqu'il l'entraîna vers le grand lit après avoir suspendu l'habituel "Ne pas déranger" à la cliche de porte. Repoussant la robe de chambre blanche qu'elle avait enfilée à la hâte sur sa chemise de nuit de satin pour répondre à la porte, Julius put apprécier de nouveau les appâts de la jeune mariée, il s'approcha d'elle et lui roula alors une pelle des plus passionnées.
Obéissant aux suggestions hypnotiques profondément imprimées dans son esprit, la jeune mariée de quelques jours, ne put résister à la tentation de caresser la peau couleur d'ébène de son athlétique visiteur. Lorsque Julius Simpson avait fait une nouvelle donation au "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor", le pasteur Knowlton avait reçu mission d'envoyer le futur marié chez le même conseiller marital que Kristin avait vu lors de la session de cours préalables au mariage.
A l'insu du malheureux futur mari, non seulement l'ex pasteur Mollway avait implanté au plus profond de son esprit de se livrer à une partie de golf le 3ème jour de sa lune de miel, mais il avait aussi implanté dans son esprit de se montrer très compréhensif et bienveillant et très entreprenant avec sa merveilleuse jeune femme en rentrant de sa partie de golf.
Il avait bien fait attention de lui ordonner de caresser longuement ses jambes crémeuses puis de les écarter en grand, il devait ensuite la dépouiller de sa petite culotte, d'embrasser et lécher ses cuisses nues et enfin de poser sa bouche sur juteuse féminité velue.
Grace à sa contribution, Julius savait qu'il pouvait disposer de la jeune femme jusqu'à 16 heures, il connaissait aussi les ordres implantés dans l'esprit du jeune marié quant à son retour dans la suite nuptiale, et il était ravi d'avoir accompli sa tâche en garnissant la féminité de sa femme d'une épaisse crème juteuse que le jeune mari pourrait savourer en dessert.
Juste avant son départ, conformément à l'accord pris avec l'ex-pasteur Mollway, il devait implanter dans l'esprit de la somptueuse beauté qu'elle devrait se réjouir de voir son mari enfouir son visage dans son entre-cuisse pour savourer sa petite chatte juteuse !
Qu'elle devrait lui réclamer qu'il déguste sa cramouille !
Qu'elle devrait s'arc-bouter et agripper sa tête pour l'enfoncer entre ses cuisses accueillantes !
Qu'elle devait lui faire déguster le foutre de noir dont il venait de lui tapisser la vulve !
A suivre...
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