dimanche 29 août 2021

Le chantage de Summer Ch. 14

 Traduction d'une histoire de Wilcox010.

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Début de journée à l'université et obéissance.

Après avoir pris sa douche, Summer se dirige vers le lit sur lequel est posée l'enveloppe que Maître T lui a remis plus tôt. Elle rend la main et tire la couette du lit. Elle est choquée par ce que son élève a laissé.

Il y a trois choses et une photo. Tout d'abord il y a un collier de chien blanc large de deux centimètres et demi avec de fausses pierres bleus qui ressemblent à des saphirs et une plaque sur laquelle est gravée « SALOPE ». Avec ce collier il y a une laisse en cuir blanc assortie avec les mêmes fausses pierres précieuses. La seconde chose est un plus anal noir d'un diamètre de quatre centimètres, long de presque quinze centimètres avec une base plate. Il est plus gros que le plug rose qu'elle a été obligée de porter plus tôt dans la soirée. Le troisième objet est un bracelet de cheville en or avec l'inscription « Salope de M. T. » gravée sur une petite plaque.

La photo est pliée en quatre. Quand elle le déplie, elle est surprise par la netteté de l'image. Elle a été photographiée penchée sur le tabouret du bar, les mains menottées dans le dos et la bite de Marc, le livreur de pizza en train de gicler dans sa bouche. La photo montre bien la salive de Summer mélangée au foutre du livreur. La photo est de très bonne qualité et il est évident qu'il s'agit d'une image enregistrée par l'une des mini-caméras installées par Maître T. dans toute la maison.

Elle réalise encore sa situation. Summer est la chienne de Maître T. et elle ne peut rien y faire. Elle se demande pourquoi sa chatte mouille chaque fois qu'elle trouve un mot de son Maître. Elle ouvre l'enveloppe et commence à lire :

« Salope,

Maintenant tu as dû trouver les trois nouveaux objets pour continuer à te transformer en ma salope à plein temps. Ces articles sont à ajouter à ta nouvelle panoplie de salope quand tu es à la maison. Chaque jour, quand tu arrives chez toi, tu iras immédiatement dans ta chambre. Tu te déshabilleras et tu prendras une douche. Sous la douche tu dois te raser les aisselles, les jambes, la chatte et le cul. Tu ne dois jamais avoir de poils à ces endroits.

Une fois que tu seras séchée, tu enfileras bien sûr tes chaussures blanches à talons ainsi qu'un string blanc. Ceci est ton uniforme à la maison en tout temps. Le seul moment où tu pourras couvrir ton corps de salope, c'est seulement si tu dois ouvrir la porte pour une quelconque raison. Tu pourras prendre le peignoir transparent, mais tu ne devras pas le nouer ou le fermer avec tes mains. Cela va t'offrir une certaine intimité si un étranger arrive, mais il ne fera aucun doute que tu es une salope.

Comme tu le sais, d'après la photo sur ton lit, j'ai placé des caméras de manière stratégique dans toute la maison. Le flux vidéo aliment continuellement mon téléphone, ma tablette ou mon ordinateur portable. Je peux toujours te voir, à l'exception de la confidentialité que je t'accorderai dans les toilettes quand tu te soulageras.

Le collier blanc est un collier d'entraînement pour esclave que tu dois porter tout le temps quand tu es à la maison et toujours en ma présence, où que nous soyons. Chaque jour, lorsque tu sors, tu dois le mettre dans ton sac à main pour pouvoir le fermer autour du cou à toute demande de personne sachant que tu l'as. La laisse blanche doit aussi être avec toi tout le temps, mais comme il ne sera pas pratique pour toi de la porter attachée au collier quand tu es seule à la maison, tu n'y es pas obligée.

Le plug anal noir doit être inséré dans ton cul chaque soir après la douche. Il sera maintenu en place par ton string blanc et il ne devra pas être retiré avant que tu t'habilles pour aller travailler le lendemain matin. Le week-end, il restera dans ton cul sauf indication contraire. Le but de ce plug anal devrait être évident pour toi. Tu dois aussi l'emmener dans ton sac à main quand tu quittes la maison. Il faudra que tu achètes du lubrifiant pour bien t'y habituer.

Le bracelet de cheville est mon cadeau qui symbolise que tu es ma propriété. Il ne doit jamais être enlevé et être toujours visible. S'il se casse pour une raison ou une autre, tu devras le rapporter pour le faire réparer au salon de Marco.

Ce soir, je vais te regarder pendant que tu t'habilles et pour m'assurer que tu suis mes instructions. Je prends beaucoup de plaisir à te voir faire ce que je t'ordonne et de voir la façon dont tu le fais.

Tu recevras des instructions supplémentaires et des tâches à exécuter cette semaine par courrier électronique, notes ou par téléphone. Peu importe comment les ordres seront donnés, tu devras les exécuter immédiatement. Si tu hésites ou si tu ne veux pas le faire, une punition (pire que ce soir) te sera donnée et pas obligatoirement par moi.

Maintenant habille-toi avec ce que j'exige, mets ton plug anal et va dans le bureau de ton mari pour utiliser l'ordinateur. Connecte-toi à ta messagerie. Là tu auras plus d'instructions.

Maître T. »

Summer s'assoit sur le bord du lit et commence à sangloter. Elle le fait souvent depuis qu'elle a envoyé cette foutue photo sur internet et qu'elle est tombée entre les mains d'un de ses étudiants. Elle avait succombé à la domination de Maître T. et son corps commençait à être accro au plaisir qu'elle tirait de cette soumission et de son désir de plaire.

Summer ne se souvient pas de ne pas avoir voulu être avec James. Mais pour une raison étrange, son corps a soif du plaisir de servir les autres.

Maintenant, Summer commence à comprendre la véritable profondeur de sa situation et de son impact sur son esprit. Summer se sent perdue pour la première fois de sa vie en sachant que Maître T. ne sera pas dans sa classe demain ni les trois prochains jours.

Elle enfile rapidement le string blanc ainsi que les talons hauts. Elle entre dans la salle de bain et sort la vaseline de l'armoire à pharmacie. Elle en applique sur toute la longueur du plug anal. En le regardant, elle se demande comment elle va pouvoir insérer un si gros objet dans son cul. Mais elle se souvient que le plug rose a déjà dilaté son anus, donc ça ne sera peut-être pas aussi difficile qu'elle se l'imagine.

Satisfaite que le plug noir soit bien recouvert de lubrifiant, Summer tire son string sur le côté, se baisse et place sa main gauche sur le tabouret de sa coiffeuse. Ensuite elle place le bout du plug contre son anus et pousse lentement contre la résistance de ses muscles. Ça lui prend quelques minutes et une nouvelle application de lubrifiant, mais elle réussit à faire pénétrer l'objet à l'intérieur de son cul. Il lui faut accepter la douleur et forcer le plug jusqu'à ce que la base plate soit fermement serrée par ses fesses.

Elle se lève et peut sentir son cul complètement plein par le gros plug de quatre centimètres de diamètre. Mais c'est la longueur qui lui fait le plus de sensations. L'objet touche des zones inaccessibles jusque-là. Summer remet la lanière du string en place. Elle est soulagée de sentir que le fin tissu retient le plug en place, bien qu'elle pense qu'il est impossible qu'il sorte de lui-même.

Summer se dirige vers la porte lorsqu'elle se rappelle qu'elle n'a mis ni le collier ni le bracelet à la cheville. Elle revient, ramasse le collier et le place autour du cou. Elle arrive bien à l'attacher et met la laisse qui pend bientôt de son cou. Puis elle pose son pied gauche sur le lit et attache le petit bracelet avec la gravure indiquant qu'elle est la propriété de Maître T.

Elle se dirige alors hors de la chambre puis dans escaliers pour arriver au bureau de James son mari. A chaque pas, elle sent le plug bien en place dans son cul. Quand elle s'assoit sur le siège du bureau, elle sent l'objet s'enfoncer encore plus profondément dans son corps. Cette sensation fait apparaître des petites gouttes de sueur sur son nez alors que la pointe du plug appuie contre les parois internes de son abdomen.

Summer allume l'ordinateur de bureau de son mari. Elle attend qu'il soit complètement démarré. Une fois complètement initialisé, elle ouvre une session sur son compte de messagerie avec son pseudo Teach101. Dans sa boite se trouver un courrier électronique de Maître T. elle clique dessus et ouvre le message :

« Salope,

Ouvre ton compte de vidéo-chat, invite-moi et allume ta webcam.

Maître T. »

Summer obéit et observe l'ouverture du vidéo-chat. Elle voit alors que son élève et tourmenteur est en ligne. Elle lance une demande de discussion avec lui :

« Maître T., c'est votre salope Summer. S'il vous plaît, veuillez accepter ma demande de discussion. »

Rapidement elle peut voir le visage de son Maître apparaître à l'écran. Elle reste assise et ne bouge pas, car elle ne sait pas ce que veut Maître T. à cette heure de la soirée.

Elle voit alors les mots du garçon défiler sur la fenêtre de la messagerie :

« Salope, je n'ai pas beaucoup de temps, car il est tard et je ne veux pas que mes parents me découvrent et se fâchent. Lève-toi et laisse-moi te regarder! »

Summer repousse sa chaise et reste debout de manière à ce que la webcam soit dirigée vers sa chatte couverte par le string. Elle regarde l'écran et voit Maître T. écrire :

« Salope, fais demi-tour et penche-toi. Écarte tes fesses afin que je puisse voir si tu as bien le plug comme je t'ai ordonné.»

Summer se retourne sur ses talons et se plie à la taille. Alors qu'elle tend les mains dans son dos, elle se demande pourquoi elle est obligée de faire ça alors qu'elle sait qu'il a installé des caméras dans toute la maison et qu'il l'a sûrement vue s'habiller. Mais elle obéit et écarte ses fesses pour prouver à Maître T. qu'elle a bien inséré le plug anal noir dans son cul.

Summer sachant qu'elle s'était conformée aux ordres de son Maître se retourne lentement pour voir un écran noir avec un dernier message du garçon :

« Très bien salope, je suis content que tu aies obéi en mettant le collier et le plug. Tu es maintenant autorisée à aller au lit, mais le plug reste dans ton cul. Je dois revenir jeudi soir, mais je t'enverrai des messages en mon absence. Demain, habille-toi comme tu veux, mais souviens-toi que tu dois porter des vêtements révélateurs avec de la lingerie sexy, pas de collants , mais des bas et des talons hauts. Et n'oublie pas ton rendez-vous au salon de bronzage.

Maître T. »

Summer se déconnecte de l'ordinateur et s'assoit sur la chaise pour réfléchir à la façon dont elle s'est mise dans cette situation. Elle est sous le contrôle de son élève depuis jeudi soir, mais demain mardi elle pourra passer une journée sereine car Maître T. quitte la ville. Elle se lève pour se diriger vers les escaliers et son lit qui l'attend.

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Todd regarde sa tablette alors que sa soumise retourne dans sa chambre. Son visage se plisse d'un sourire vicieux en regardant Summer quitter ses talons et monter dans son lit. Alors qu'elle se penche, la caméra capte la base du plug anal noir maintenu en place par le string blanc. Il sait que la soumission de sa professeure est complète, car elle a son collier marqué « SALOPE » autour du coup quand elle se glisse sous les draps et éteint la lumière.

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Summer est réveillée de son sommeil bien relaxant par le son de son radio-réveil qui diffuse de la musique agréable à écouter qu'elle aime entendre le matin. Elle se tourne pour éteindre la radio et elle grimace. Elle réalise que la douleur dans son cul est toujours là et elle se souvient que le gros plug est resté enfoncé dans son corps toute la nuit, maintenu parfaitement en place par son string blanc. Elle baisse sa main droite sur sa chatte et elle trouve son entrejambe trempé. Elle glisse la main sous le string et trouve son clitoris. Elle commence à le frotter furieusement, car la démangeaison dans son ventre est trop grande pour pouvoir résister.

Elle glisse son autre main entre ses jambes pour trouver la base du plug anal qui dépasse de son cul. Elle commence à baiser son cul avec l'objet au rythme de la caresse de ses doigts sur son clitoris. Elle écarte les jambes plus largement et commence à attaquer son clito avec plus de vigueur pour qu'un orgasme se construise. Et enfin, Summer parvient à jouir, elle en avait tant besoin.

- Oh mon Dieu, qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Se dit-elle doucement.

Summer sort de ses draps en coton blanc et se dirige vers la salle de bain. Elle est presque à la porte quand elle réalise qu'elle n'a pas remis ses talons de quinze centimètres sur ses pieds douloureux. Elle s'arrête et se souvient des ordres de son élève : « Tu porteras ces chaussures de salope tout le temps quand tu seras chez toi »,

Summer revient au bord du lit et glisse ses pieds dans les talons blancs. Elle sent la tension de ses mollets alors que l'inclinaison des chaussures fait peser un poids sur d'autres parties de ses pieds et de ses jambes. Quand elle entre dans la salle de bain, elle jette un coup d'œil au grand miroir du dressing et elle est surprise par le spectacle qu'elle voit. Alors qu'elle est une professeure respectée, une épouse et mère de deux enfants à l'université, elle a vraiment l'air d'une pute ayant été baisée tout la nuit. Elle est maintenant habillée en salope pour son étudiant avec un string blanc, un plug noir inséré dans son cul, des piercings sur ses tétons, des piercings sur les petites lèvres de sa chatte et une boucle d'oreille avec trois perles rouges.

Summer se dirige vers les toilettes, et, tout en se regardant dans le miroir, elle enlève son string blanc et le laisse tomber au sol. Elle se retourne pour voir ses fesses. Les deux sont rouges et elle peut voir les marques faites par la raquette de ping-pong quand Maître T. lui avait administré sa punition. Elle touche une fesse puis l'autre, et ses soupçons se réalisent. Il va lui être très difficile de s'asseoir à l'école aujourd'hui. Chaque fesse est très douloureuse et lui rappelle qu'elle a été punie pour ne pas avoir suivi les instructions de son Maître-chanteur à la lettre.

Elle place les doigts de sa main droite autour de la base du plug anal noir et commence à le retirer de son anus. Au début, son cul refus de relâcher son emprise sur l'objet, Mais Summer tire plus fort et le plug est lentement retiré de son derrière. Elle regarde son cul dans le miroir et lorsque l'objet est retiré elle remarque que son anus est béant. Elle le fixe pendant un moment encore jusqu'à ce que l'envie de faire pipi se rappelle à elle. Ce que Summer ne sait pas, c'est que le port d'un plug pendant presque huit heures entraîne une décharge fécale rapide. Elle est embarrassée par la situation et elle est consternée par sa situation. Elle ne peut pas laisser Todd diriger ça vie, elle allait le lui montrer.

Après avoir terminé ses besoins dans les toilettes, Summer se place devant le miroir et enlève son collier de salope. Elle est inquiète, car l'objet en cuir a frotté sur son cou toute la nuit et elle a un cercle bien visible autour du cou. Elle espère que ça va se dissiper avant qu'elle commence à travailler.

Summer entre dans sa grande douche et apprécie la sensation d l'eau chaude qui coule sur son corps. Elle adore la sensation des pulvérisations d'eau sur ses mamelons qui réagissent immédiatement à la stimulation. Alors qu'elle commence à se savonner, ses doigts effleurent chaque téton et elle sent les piercings qu'on lui a fait poser le samedi précédent par Marco. Elle continue de se savonner le corps de la main droite alors que sa main gauche descend sur sa chatte. La stimulation de l'eau sur ses mamelons, la mémoire du plug anal dans son cul et la douleur dans ses fesses lui donnent envie d'avoir un orgasme.

Lentement, ses doigts entourent son clitoris et elle écarte les jambes, les plaçant contre les côtés de la cabine de douche. Summer prend le morceau de savon et le fait descendre dans son dos jusqu'à ce qu'il atteigne son cul. Elle frotte le savon sur son anus puis elle le remet sur son support en mosaïque. La main droite revient à son cul et elle insère facilement son majeur grâce à la lubrification du savon ainsi que de l'élargissement provoqué par le plug toute la nuit. Une fois le doigt inséré, Summer se perd dans la stimulation de ses mamelons, de son clitoris et de son trou du cul. Et quelques instants plus tard , elle a l'orgasme que son corps avait désespérément besoin.

Une fois calmée, Summer finit de laver le reste de son corps. Elle lave ses cheveux puis applique le revitalisant qui lui permet de donner du volume à sa chevelure. Pendant que le produit agit, elle s'efforce d'obéir à Maître T. et d'enlever tous poils sur ses aisselles, ses jambes, son cul et sa chatte. Elle porte une attention particulière à celle-ci et aux petites lèvres en s'assurant que tous les poils pubiens disparaissent. Elle réussit à ne pas se couper. Elle doit faire attention aussi de ne pas passer le rasoir près de ses piercings, alors elle écarte ses petites lèvres de la main gauche. De nouveau elle est stimulée et elle éprouve le besoin de titiller son clitoris. Mais Summer se ressaisit, finit de s'épiler et rince le revitalisant sur ses cheveux.

Enfin elle attrape la serviette sur le porte-serviette et commence à sécher son corps. Alors qu'elle frotte le tissu sur son cul, elle laisse échapper un petit gémissement alors que le bord rugueux de la serviette touche ses fesses douloureuses. Alors elle décide de tamponner la serviette sur son cul pour que ça ne soit pas douloureux.

Une fois bien sèche, Summer glisse inconsciemment ses pieds dans les talons blancs, attache le collier de salope autour de son cou, applique de la vaseline sur le plug anal noir avant de l'insérer dans son cul. Puis elle enfile un string blanc et propre en s'assurant qu'il tient bien le plug en place. Ses cheveux encore mouillés enveloppés dans une serviette, elle sort de la chambre et descend les escaliers jusqu'à la cuisine pour prendre son café et lire l'édition de mardi matin du journal local.

Lorsqu'elle atteint le bas des escaliers, Summer réalise que marcher avec ses talons va être très pénible non seulement pour ses orteils, mais également pour ses mollets. Les chaussures la forcent à marcher presque sur la pointe des pieds.

Une fois stabilisée, elle se dirige vers la porte d'entrée pour récupérer le journal du matin. Quand Summer regarde à travers la vitre en verre taillée, elle ne voit pas le journal sur le porche. Pourtant, son mari et elle ont accepté de payer un supplément pour que le livreur de journaux entre dans leur longue allée et le dépose sur le porche.

- Merde, il est au bas des marches. Marmonne Summer pour elle-même.

Elle fait demi-tour et se dirige vers les escaliers pour aller dans sa chambre prendre le peignoir en soir que Maître T. lui a autorisé pour qu'elle soit un peu couverte si elle doit ouvrir la porte d'entrée. Mais elle réfléchit et se rappelle que les instructions doivent êtres suivies à la lettre. Elle n'est autorisée à porter le peignoir que si quelqu'un se présente à la porte. « Je me demande s'il va le remarquer si je le fais » se demande-t-elle.

« Mais pourquoi prendre le risque? » Pense-t-elle encore. Todd a des caméras dans la maison et elle n'est pas sûre de savoir où elles se trouvent et de ce qu'il peut voir ou non. Après tout, il lui suffit d'ouvrir la porte, de descendre quatre marches, de saisir le journal et de rentrer à l'intérieur. Summer sait qu'il est tôt et que la plupart des voisins sont en train de se préparer chez eux. Et personne n'a une vue directe sur son porche , à l'exception de M. JOHNSON.

Le cœur trépidant, Summer ouvre lentement la porte, s'assure qu'elle ne se referme pas et descend les marches, la tête toujours enveloppée dans une serviette. Elle se penche pour récupérer le journal, mais le plug décide à ce moment de jaillir de son cul et tomber sur le sol. Il semble que la fine lanière de son string avait bougé et que son cul a décidé au même moment de cracher le plug anal.

Horrifiée, Summer récupère rapidement l'objet, grimpe les marches aussi vite que ses talons le permettent et claque la porte.

Mais sans qu'elle s'en aperçoive, son voisin M. JOHNSON vient de regarder par hasard par la fenêtre de sa chambre et il a vu Summer récupérer le plug dans l'allée. L'homme qui se souvient de la séance de baise qu'il avait vue et enregistrée le dimanche précédent sait que quelque chose ne va pas chez sa voisine sexy. Il n'arrive pas à comprendre. Il se dit qu'il faut qu'il fasse appel à elle un jour de cette semaine.

Après avoir claqué la porte d'entrée, Summer laisse échapper un rire hystérique. Quand elle prend le temps d'y réfléchir, l'idée de perdre son plus anal de cette façon est à la fois drôle et horrible. Comme elle n'est pas sûre que les caméras de la maison la filment, elle décide de ne pas tenter le sort de savoir si Maître T. l'espionne actuellement précis et constate qu'elle ne se conforme pas à ses exigences. Elle se plie en deux, tire la fine ficelle du string et glisse facilement le plug anal noir dans son cul.

Summer suit ensuite sa routine matinale en buvant une tasse de café, en prenant des vitamines et en ne mangeant qu'un yaourt sans calories afin d'éliminer les kilos que Maître T. lui a ordonné de perdre. Elle va s'asseoir sur le même tabouret sur lequel elle a reçu sa punition la nuit dernière. Mais quand ses fesses le touchent, elle comprend qu'elle ne peut pas s'asseoir, car elle a encore très mal au cul.

- La journée va me paraître très longue aujourd'hui, je ne vais pas pouvoir m'asseoir. Marmonne Summer.

Ayant fini son petit déjeuner, elle monte avec précaution les escaliers, se débarrasse rapidement de ses talons, baisse son string et retire le plug de son cul. Puis elle enlève son collier pour se préparer pour la journée.

Elle s'assoit à sa coiffeuse, enlève la serviette de ses cheveux longs presque séchés. Puis elle applique le maquillage requis sur son visage et ses yeux. Elle s'assure de bien maquiller ses paupières pour avoir un regard provocant comme ordonné par Maître T. Une fois terminé, elle jette un dernier regard à son visage dans le miroir éclairé et elle se sent mal à l'aise de porter ce genre de maquillage à l'université. Elle qui d'habitude était prudente et discrète au travail réalise que sa transformation en adolescente salope était réussie. Elle fixe ses cheveux pour la journée en s'assurant qu'ils soient bien coiffés et tirés derrière son oreille gauche pour que la boucle d'oreille avec les trois boules rouges soit clairement visible.

Summer se dirige vers sa commode et examine sa nouvelle lingerie. Elle fait attention aux caméras qui doivent avoir vue sur sa chambre et son placard. Elle choisit un soutien-gorge en dentelle noire avec un string assorti et des bas auto-fixants beige. Elle ne veut pas sentir les lanières d'un porte-jarretelles frotter contre ses fesses toute la journée. Une fois qu'elle a enfilé son string et agrafé son soutien-gorge, elle glisse un bas sur chaque pied et déplie lentement le tissu soyeux le long de ses jambes. Le bracelet sur la cheville sous le bas la fait ressembler à une de ces pétasses qu'elle a vu dans des bars sans savoir qu'il est inapproprié de porter le bracelet sous le bas. Elle se dit que maintenant elle est en train de se transformer en une pétasse adolescente.

La prochaine tâche de Summer consiste à s'habiller comme une salope pour la journée. Mais heureusement, étant donné que Maître T sera absent de sa salle de classe les trois prochains jours, elle peut se permettre de rester un peu classique. Elle choisit un chemisier rouge uni boutonné sur le devant et une jupe bleue fendue sur le devant. Cette jupe est la plus courte de ses vêtements qu'elle possède. Summer estime que si Todd la voyait, il l'approuverait, car la fente exposerait le haut de ses bas si elle s'asseyait pendant la journée.

Une fois habillée, elle va à ses étagères à chaussures pour faire son choix. De son shopping avec Todd, elle a ramené quatre paires. Il y a les chaussures blanches avec les talons de quinze centimètres ou celles qu'elle est obligée de porter chez elle. Puis il y a la paire de talons rouges avec des sangles à la cheville qu'elle ne peut pas imaginer porter pendant la journée à l'université. La dernière paire est noire avec talons de 10 centimètres avec une lanière sur les chevilles.

Summer prend les chaussures dans ses mains et décide, en hommage à son Maître qu'elle portera la paire de talons noirs. Alors qu'elle les enfile et les attache, Summer sent comment ça va lui donner un air sexy et provocateur. Les talons semblent une extension de ses jambes. Elle se promène dans la chambre pour s'habituer aux chaussures, mais aussi pour permettre à Maître T. de voir comment elle vient de s'habiller s'il la surveille en ce moment. Summer frissonne à l'idée d'être observée dans sa propre chambre par un adolescent, et de plus un de ses élèves et son Maître.

Summer se précipite dans les escaliers, attrape son sac pour l'école, son déjeuner et elle se dirige vers le garage. Alors qu'elle s'installe au volant de son cabriolet, elle baisse les yeux et voit que sa jupe s'est suffisamment relevée pour permettre à la fente de dévoiler le haut de sa cuisse. Elle réalise qu'elle ne va pas pouvoir s'asseoir devant tous ses étudiants avec cette jupe.

Alors qu'elle sort du garage, Summer réalise que le toit de sa décapotable est toujours baissé. Mais, n'ayant pas le temps de la remonter, elle décide de profiter de la brise fraîche de ce matin d'octobre pendant le chemin de vingt minutes jusqu'à l'université.

Elle conduit sur sa route habituelle et ne prête pas vraiment attention au trafic. Elle ne remarque pas le groupe d'adolescents qui se rapproche d'elle dans une camionnette. Les jeunes ne savent pas qui est la femme dans la voiture, mais ils peuvent voir ses cheveux voler au vent. Avec la capote baissée ils vont pouvoir bien la voir. Quand les véhicules approchent de la prochaine intersection, le feu de signalisation passe au rouge. La camionnette transportant les quatre adolescents s'arrête à côté de la BMW décapotable du côté passager. Les jeunes sont surpris de voir leur professeure d'anglais principale, Mme WAYNE. Elle a les jambes légèrement écartées et ils peuvent voir le haut de ses bas et ils jurent avoir pu voir sa culotte.

Summer réalise qu'on la regarde attentivement, mais elle n'ose pas jeter un coup d'œil à sa droite pour voir qui c'est. Lorsque le feu passe au vert, elle appuie sur l'accélérateur et laisse la camionnette sur place.

- J'espère que ce n'était pas quelqu'un que je connais! Dit-elle à voix haute.

Summer entre sur le parking de l'université et gare sa voiture dans son stationnement préféré loin des arbres. Elle met en route le moteur du toit décapotable et celui-ci se referme lentement sur sa tête. Elle vérifie rapidement son maquillage, remet ses cheveux en place et se dirige vers le bâtiment principal. L'endroit est un lieu où elle s'est toujours sentie appréciée. Maintenant, elle le considère comme un lieu d'exhibitionnisme, car elle ne sait pas ce que son Maître peut lui faire faire et ce que les autres vont penser d'elle.

Tout en se rapprochant des bureaux de l'administration, Summer espère ne pas rencontrer Shirley. Sa rencontre de lundi l'avait troublée. Elle n'avait jamais pensé auparavant pouvoir prendre l'ascendant sur une autre femme. Mais l'idée de faire faire à Shirley ce qu'elle fait la fait sourire brièvement.

Bien sûr, Shirley est déjà à son poste dans le secrétariat du principal M. HARDING. Summer la regarde lui jeter un coup d'œil, lui sourire et retourner sur l'écran de son ordinateur. Summer est soulagée que ça n'aille pas plus loin ce matin. Elle ramasse son courrier et se dirige vers sa classe. Le chemin le plus rapide est de passer par la cage d'escalier arrière, mais ces marches lui font mal aux jambes et ravive la douleur dans son cul puni la nuit dernière.

Alors qu'elle monte les escaliers, Summer ne sait pas qu'elle est espionnée par les occupants de la camionnette. Ils l'avaient tranquillement suivie dans le couloir et s'étaient positionnés de façon qu'à chaque pas de leur professeure, ils pouvaient directement voir sous sa jupe le haut de ses cuisses ainsi que les courbes de son cul. Ils sont vraiment satisfaits de leur point de vue et du fait que Summer, sévère mais sexy, porte un string.

Summer entend des rires et des chuchotements dans la cage d'escalier, mais elle n'y prête pas attention. En ouvrant la porte de sa salle de cours, elle trouve une enveloppe qui a du y être glissée après son départ de la veille. Elle est d'assez bonne humeur en pensant qu'elle restera seule pendant trois jours alors que Todd ou Maître T. était absent de la ville jusqu'au jeudi soir. Elle se penche pour ramasser l'enveloppe, et ce faisant, elle sent l'ourlet de sa jupe remonter dans son dos. Elle se retourne pour regarder. Et tandis qu'elle pivote sur ses talons noirs attachés à ses chevilles, elle voit des pieds disparaître rapidement au loin. Elle n'est pas sûre de ce que ces personnes ont vu, mais elle est persuadée qu'ils ont au moins aperçu le haut en dentelle de ses bas.

Elle se dirige rapidement vers son bureau, y pose l'enveloppe et son sac. Puis elle tire sa chaise et s'assoit. Elle grimace de douleur alors que les coups de raquette de Maître T. lui rappelle qu'elle a été punie pour ne pas avoir suivi les instructions strictes de son Maître. Elle ouvre l'enveloppe et en sort une simple feuille qui lui décrit comment va se passer sa journée :

« Salope,

J'espère que ton cul est toujours douloureux et que cette douleur te rappelle la punition que tu recevras si tu ne suis pas toutes mes instructions. J'ai placé une caméra au fond de ta classe. Elle possède un émetteur sans fil et la batterie a une autonomie prolongée. Tu peux vérifier par toi-même si tu le souhaites, car elle est dirigée directement sur ton bureau où tu seras assise la majeure partie de la journée.

Pour chaque cours, tu devras t'asseoir sur ton bureau pour donner les instructions. Chaque cours commencera avec toi derrière ton bureau et, une fois le dernier élève assis, tu entameras ton exposé, tu te lèveras, contourneras ton bureau puis tu t'assiéras dessus face à tes élèves. La caméra est dirigée directement vers toi donc je veux que tu donnes ce spectacle pour moi, ce qui profitera bien sûr aux autres étudiants s'ils écoutent ton cours.

Aujourd'hui, à l'heure du déjeuner, tu iras dans les toilettes des étudiants. Tu te placeras dans la dernière cabine, tu enlèveras ton chemisier et ton soutien-gorge, tu remonteras ta jupe à la taille, tu descendras ton string sur tes chevilles. Tu te dirigeras vers les toilettes. Tu placeras ta main gauche dessus et de la main droite tu inséreras ton plug anal noir dans ton petit trou du cul serré. Tu es autorisée à utiliser du lubrifiant si tu l'as apporté avec toi. Si ce n'est pas le cas, utilise ce dont tu disposes sur place. Mais je veux que ce plug soit inséré dans ton cul.

Une fois que ce sera fait, je veux que tu te tournes vers la porte de la cabine avec toujours ta culotte sur les chevilles. Tu devras frotter ton clitoris jusqu'à ce que tu jouisses. Une fois que tu auras eu un orgasme, tu pourras te rhabiller et prendre ton déjeuner dans la salle des professeurs. Mais tu n'es pas autorisée à retirer le plug de ton cul. I y aura d'autres instructions plus tard dans la journée.

Maître T. »

Summer n'arrive pas à croire son malheur. Elle pensait pouvoir profiter des trois prochains jours sans être dérangée par Todd. Mais ce mardi matin, dès la première heure, elle sait qu'elle est sous ses ordres et qu'elle n'y échappera pas.

Elle jette un coup d'œil rapide à l'horloge et voit qu'il lui reste quinze minutes avant le premier cours. Il va y avoir trois cours avant la pause déjeuner. Elle a mal aux fesses à cause de la punition qu'elle a reçu ma nuit dernière et son front brille à présent d'une légère sueur suite à la prise de conscience soudaine du contrôle total que Maître T. a sur elle-même en son absence.

Summer range rapidement son cartable et va placer son déjeuner dans le réfrigérateur de sa classe. Quand elle en ouvre la porte, elle voit une tasse couverte. Comme elle ne reconnaît pas cette tasse, elle la prend et la sort du réfrigérateur. Elle voit alors les mots écrits sur le dessus qui disent : « Verse le contenu de ce récipient dans ton café du matin ». Summer soulève le couvercle et en regardant à l'intérieur elle comprend que c'est du sperme. « Oh mon Dieu » pense-t-elle. Comme d'habitude elle avait acheté un café avec du lait sans crème sur le chemin de l'école. Et voilà que maintenant elle doit verser dedans le sperme de son Maître pour qu'il puisse la regarder boire sa semence.

Summer met son sac à déjeuner contenant une salade légère et un yaourt sans calorie au réfrigérateur. Elle doit manger léger, car elle doit perdre du poids cette semaine et elle ne veut pas rendre Maître T. furieux parce qu'elle n'aura pas maigri comme il a ordonné.

Déprimée, Summer retourne à ,son bureau avec la tasse à la main. Elle sait qu'elle est surveillée ou tout du moins filmée et qu'elle doit verser le sperme dans son café. L'arôme chaud du café lui emplit les narines, mais est bientôt remplacé par l'odeur âcre du sperme alors qu'elle essaie de le verser de la tasse. Mais comme le foutre est resté dans le frigo, il s'est solidifié en boule plutôt que de rester liquide. Summer utilise son doigt pour pousser le sperme de la tasse dans son café. Elle se souvient alors comment elle a été baisée la nuit dernière et comment le foutre de son Maître est resté en elle toute la nuit. Une fois convaincue que Maître T. sera content qu'elle ait suivi les instructions, elle tend la main vers un mouchoir en papier pour s'essuyer le doigt. Mais Summer réfléchit et se ravise. Elle sait que son Maître ne voudrait pas qu'elle gâche son foutre. Alors elle porte son doigt à ses lèvres et fait face à la caméra. Elle tend la langue et lèche le reste de sperme sur son doigt.

Todd, qui l'observe sur son ordinateur, sourit doucement en voyant sa professeure et salope boire son café avec son sperme dedans. Il ne peut croire qu'en cinq jours, il a réussi à transformer cette enseignante mature en salope consentante. Il est impatient de rentrer de son voyage pour pouvoir achever la transformation de Summer en une pute bienveillante. Marco est en train de dessiner le tatouage qu'il a demandé, une réplique de la mascotte de l'université, l'Aigle Hurlant.

Todd a également décidé qu'il laissera Marco apposer ce tatouage emblématique à l'arrière du cou de Summer, à la hauteur des épaules. Le tatouage ne sera visible que quand elle portera ses cheveux en chignon. Mais de toute façon, Todd a décidé de prévoir une coupe plus courte dans l'avenir de Summer. Il va également lui faire tatouer un fil de fer barbelé autour de la cuisse à une hauteur qui sera cachée sous des jupes courtes, mais qui sera clairement visible lorsqu'elle sera assise.

Todd regarde le premier étudiant entrer dans la salle de cours de sa salope. Il est triste de savoir qu'il va bientôt devoir se déconnecter, mais il veut regarder le début du premier cours.

Summer, perdue dans ses pensées alors qu'elle boit son café arrangé et un peu aigre, ne réalise pas que sa classe est pleine jusqu'à ce que la cloche de début de cours sonne, annonçant ainsi le début de sa journée. Comme ordonné par Maître T. elle commence son cours en disant aux étudiants d'ouvrir leur livre là où elle a terminé le cours de la veille. Tout en commençant son cours, Summer se lève lentement de sa chaise et se dirige vers l'avant de son bureau. Tous les yeux sont posés sur elle, mais elle continue son cours tout en reculant jusqu'au bord du bureau. Elle pose ses fesses contre le bord et ne s'aidant des deux mains, elle glisse lentement et douloureusement sur son bureau.

Maintenant, l'enseignante est embarrassée par son choix de jupe, même si elle sait que Maître est ravi. Elle n'ose pas baisser les yeux, car elle voit les expressions sur les visages de Mélanie ainsi que des deux garçons avec qui elle était au McDonald la nuit dernière. Summer mord l'intérieur de sa bouche, croise les jambes et poursuit son cours. Elle se concentre pour maintenir ses jambes croisées afin de ne pas révéler plus qu'un bref aperçu du haut de sa cuisse. Elle prie pour que la cloche sonne et annonce la fin de ce premier cours, car elle commence à sentir des pulsions dans sa chatte qui voudrait être caressée. La peur de devoir ainsi s'exhiber de la sorte devant ses étudiants l'excite malgré elle.

Elle est ramenée à la réalité à la fin du cours et elle ne bouge pas du haut de son bureau jusqu'à ce que le dernier élève, qui fixe la fente de sa jupe, ne sorte lentement de la pièce. Ce n'est qu'alors qu'elle descend du bureau.

Lorsqu'elle s'assoit sur sa chaise, elle voit que son téléphone clignote pour annoncer un message. Elle ouvre celui-ci et trouve un commentaire de son Maître : « Salope, ta jupe est trop longue et tu n'as pas le droit de croiser les jambes. »

Summer se demande comment elle va pouvoir assurer ses cours aujourd'hui assise sur son bureau, sans croiser les jambes. Mais elle accepte l'idée lorsque les élèves de la deuxième période commencent à entrer dans la classe. Summer débute comme ordonné, puis se dirige vers l'avant de son bureau. Alors qu'elle s'assoit dessus, elle se souvient du message reçu. Alors, elle s'assure que sa jupe remonte et poursuit son cours sans croiser les jambes. Summer est contente d'avoir choisi une culotte noire aujourd'hui, car elle est un peu plus difficile à voir. Le troisième cours se déroule comme les deux premiers, avec elle assise sur le bureau et les étudiants des deux ou trois premiers rangs ne faisant attention qu'à ses jambes et à la fente de sa jupe.

A l'heure du déjeuner, la culotte de Summer est complètement humide. Elle respire lourdement et ses narines sont brûlantes, car elle est très excitée par les instructions de son maître ainsi que par les regards de ses étudiants. Summer ne comprend pas pourquoi ça a un tel effet sur elle, mais elle comprend que le besoin d'obéir est très fort.

Elle ramasse son cartable, sort son déjeuner du frigo, puis se dirige vars les toilettes des filles à l'étage. Quand elle entre, la porte de la première cabine s'ouvre, c'est Mélanie. Summer remarque que le visage de l'étudiante de 18 ans est un peu rouge et elle la voit reboutonner son chemisier en s'approchant du miroir.

Mélanie fixe l'enseignante dans les yeux puis lui sourit. Elle dit à sa professeure d'anglais qu'elle a vraiment apprécié le cours d'aujourd'hui et que la jupe qu'elle porte lui va vraiment bien. Mélanie dit aussi à Summer qu'elle aime bien les bas qu'elle porte et elle lui demande où elle les a achetés.

Summer est mal à l'aise pour répondre aux questions de l'étudiante avec un sourire entendu sur le visage. Summer sent que Mélanie peut voir qu'elle est troublée et qu'elle est un peu excitée. Elle sent ses tétons se presser contre le tissu de son soutien-gorge en dentelle noire. Dieu merci, elle porte un chemisier foncé aujourd'hui et le vêtement de couleur rouge ne laisse pas voir ses mamelons dressés.

Summer s'excuse auprès de la jeune fille et entre dans la dernière cabine comme ordonné. Elle accroche ses affaires au crochet situé au dos de la porte de la cabine. C'est alors qu'elle comprend pourquoi Todd a choisi ce compartiment. Summer remarque que la serrure intérieure a été enlevée et qu'elle ne peut pas verrouiller la porte. De plus, il y a une fenêtre dans le mur qui expose cette cabine au monde extérieur si quelqu'un y fait attention.

Heureusement, elle est au deuxième étage, donc il n'y a pas de vue directe sur les toilettes. Tout du moins Summer pensait que non. Mais alors qu'elle commence à déboutonner son chemisier comme son Maître lui a commandé, elle s'aperçoit qu'une équipe d'entretien est sur les lieux et que la nacelle montante de l'équipe de maintenance est en train de monter le long du bâtiment pour soulever ce qui ressemble à des luminaires.

Bien que le bras tendu du camion ne se trouve pas directement au-dessus de la fenêtre, Summer est persuadée qu'une jeune fille sans méfiance pourrait être vue par les ouvriers si ceux-ci regardent par la fenêtre. L'enseignante se demande si Maître T. l'avait prévu pour elle ou si c'est seulement une coïncidence. Peu importe, Summer sent le besoin de se conformer aux instructions et elle finit rapidement de déboutonner son chemiser, le sortir de sa jupe, le faire glisser sur ses épaules et le suspendre au crochet sur la porte.

Puis Summer dégrafe son soutien-gorge en dentelle noir dans son dos et l'accroche par-dessus le chemisier. Elle trousse sa jupe jusqu'à ses hanches comme ordonné par Maître T., puis elle place ses pouces dans l'élastique de son string en dentelle noire et le baisse lentement le long de ses jambes. Enfin elle le laisse tomber autour de ses chevilles. Summer veille à ce qu'il ne touche pas le sol, car elle ne sait pas ce qui peut être par terre dans ces toilettes.

Elle met la main dans son sac et en retire le plug anal noir de deux centimètres et demi de diamètre. Summer est en colère contre elle-même de ne pas avoir pensé à la lubrification de l'objet au cas où elle devait l'insérer en cours de journée à l'université. Mais elle n'avait aucun moyen de prévoir que Maître T. la forcerait à le faire ici. Elle se jure de s'en rappeler.

Donc pour lubrifier le plug, elle a deux choix. Soit elle utilise son propre jus de chatte humide, soit elle utilise sa salive. Alors qu'elle fixe l'objet, le bruit de l'eau qui coule la surprend. Elle sait que des étudiantes utilisent les toilettes avant d'aller déjeuner, mais elle espère qu'aucune d'entre elles ne s'intéressera à la dernière cabine.

Summer décide que la meilleure chose à faire et de prendre de la salive et de la frotter sur son trou du cul pendant qu'elle glissera le plug anal dans sa chatte très humide. De cette façon, elle peut lubrifier les deux en même temps et espérer que cette tâche dégradante soit achevée le plus rapidement possible. Elle se retourne, le string noir autour des chevilles et elle place sa main gauche sur les toilettes comme ordonné. Puis Summer introduit le plug noir dans sa chatte. Ensuite elle utilise le majeur de sa main droite pour prendre de la salive dans sa bouche et la frotter sur son petit trou du cul. Elle sent que celui-ci est un peu plissé, mais elle arrive assez facilement à insérer son doigt tout en faisant attention à cause de ses faux ongles longs. Mais ils ne sont pas si longs que ça, car sinon elle ne peut pas taper sur son ordinateur avec précision. Summer recommence l'opération en reprenant de la salive dans sa bouche et en l'appliquant sur son anus ainsi qu'à l'intérieur.

Après s'être assurée d'avoir suffisamment lubrifié son trou du cul, Summer commence à baiser sa chatte lentement avec le plug noir. Elle est toujours penchée au-dessus des toilettes et se tient avec la main gauche sur le tuyau d'eau sortant du mur. Elle retire le plug anal de son cul et le monte à ses yeux afin qu'elle puisse voir s'il est bien lubrifié. Elle voit la fine couche de son jus de chatte sur l'objet et elle sait qu'il est suffisamment lubrifié pour pouvoir être inséré dans son cul.

Elle place le bout du plug anal noir sur son anus plissé. A l'aide de sa salive, elle est capable de forcer rapidement l'objet jusqu'à sa base dans son cul. Puis comme ordonné, avec son string toujours sur ses chevilles, Summer se retourne pour faire face à la porte non verrouillée de la cabine. Elle laisse ses mains glisser jusqu'à ses tétons percés qui sont déjà bien dressés. Elle attrape chaque piercing et commence à les tirer légèrement pour que ses mamelons soient étirés.

Ensuite elle glisse sa main droite jusqu'à son clitoris. Elle est ravie de constater qu'il est gonflé. Elle commence un mouvement circulaire rapide sur son clito. Mais pour une raison inconnue, la simple stimulation de son clitoris n'est pas suffisante pour l'amener à l'orgasme. Alors Summer fait descendre sa main gauche sur sa chatte et inséré rapidement son majeur et son index dans son trou complètement détrempé.

Summer incline la tête en arrière en ignorant que deux regards se posent sur elle. La nacelle du camion de l'équipe d'entretien est montée le long du mur et se trouve maintenant dans une position qui permet à son occupant de regarder par la fenêtre. Il voit une femme dans une cabine, la tête en arrière qui semble être en proie à un orgasme.

L'autre regard appartient à Mélanie. Intrépide, elle avait fait semblant de sortir des toilettes, mais elle avait lentement avancé jusqu'à la cabine où s'était enfermée sa professeure. Puis elle s'était penchée en silence pour voir toute la scène : l'insertion du plug et maintenant la masturbation de l'enseignante dans les toilettes.

Le corps de Summer est secoué par un orgasme puissant et elle ne peut contrôler ses cris de jouissance qu'en se mordant la lèvre inférieure et en se concentrant sur le plaisir dans sa chatte sans laisser échapper les sons de satisfaction de ses lèvres.

Mélanie voit cette jouissance et se rend compte alors que sa professeure d'anglais si stoïque est en fait une vraie bombasse ayant besoin de relâchement dans la journée. Mais Mélanie se demande pourquoi sa professeure a choisi les toilettes des étudiantes alors que la salle des professeurs a sûrement des toilettes privées. Peu importe, Mélanie vient de voir une femme adulte avoir un orgasme. Elle a également vu les piercings sur les mamelons ainsi que sur les petites lèvres de la chatte de l'enseignante.

Mélanie repense à son propre orgasme qu'elle a eu dans les toilettes avant l'entrée de sa professeure d'anglais. Il était le résultat d'un message que son copain, Todd SPILLERS, lui avait envoyé. Il mettait que ça serait bien si elle allait dans les toilettes des étudiantes au deuxième étage pour retirer tous ses vêtements. Mélanie, qui pensait manquer à son petit ami, était volontiers entrée dans la cabine pour suivre ses instructions. Elle avait volontiers fait une photo d'elle qu'elle lui avait envoyée par SMS. C'était une coïncidence que sa professeure d'anglais décide d'utiliser les mêmes toilettes au même moment.

Todd pourra voir les beaux mamelons de 18 ans de Mélanie ornés de piercings dorés avec une boule rouge dans chaque anneau. Todd avait également convaincu la jeune fille de se raser la chatte et d'enlever tous ses poils pubiens blonds bien qu'elle n'en avait pas beaucoup. Il s'était également assuré qu'elle n'ai pas de poils sur le cul. Mélanie avait acheté une réserve de crème épilatrice pour les zones sensibles. Elle n'était pas spécialement conçue pour les parties intimes, mais plutôt pour les lèvres.Mélanie ça suffisait, elle aimait maintenant cette sensation d'être complètement dépourvue de pilosité dans cette région et ça améliorait grandement ses orgasmes.

Alors qu'elle voit Summer commencer à s'éveiller de sa transe orgasmique , Mélanie s'éloigne de la porte. Elle peut toujours voir le string noir autour des talons de l'enseignante. Elle marche doucement sur le sol des toilettes en prenant soins que ses talons rouges ne claquent pas sur le carrelage. Avant d'ouvrir la porte pour sortir des toilettes, elle glisse la main sous sa jupe plissée et touche le tissu de sa culotte pour s'assurer que l'œuf vibrant est bien en place. Elle a la télécommande en main, elle passe au niveau 1 et elle la range dans son sac et se dirige vers la cantine. Elle se doute que dans un avenir proche elle aura un orgasme devant les autres étudiants.

Summer est surprise par le bruit d'une porte que l'on ouvre puis que l'on ferme. « qui cela peut être » se demande-t-elle. Elle se ressaisit et se penche pour remonter son string et s'assurer que le plug reste bien en place dans son cul. Alors qu'elle baisse sa jupe qui était troussée sur ses hanches, elle jette un regard à la fenêtre. C'est alors qu'elle voit une paire d'œils collés à la vitre.. L'enseignante réalise alors que ses dernières actions dans les toilettes femmes ont été vues par l'agent de maintenance noir perché au sommet de la nacelle du camion d'entretien.

Summer tourne rapidement le dos à la fenêtre. Elle enfile le soutien-gorge en dentelle noir, puis glisse ses bras dans les manches de son chemisier rouge foncé. Elle le boutonne jusqu'en haut et range le bas dans sa jupe. Elle décroche son sac du crochet sur la porte de la cabine, ouvre celle-ci et sort très vite des toilettes femmes.

Quand elle sort des toilettes, Summer ne remarque pas les yeux de Mélanie qui observe sa professeure préférée désormais. La jeune fille regarde les chevilles de l'enseignante quand elle chausse ses talons noirs et les fait claquer dans le couloir pour se diriger vers les escaliers de derrière. Mélanie sent les remous d'un nouvel orgasme dans sa culotte. Alors elle se concentre sur son itinéraire jusqu'à la cantine en espérant trouver une table vide où elle pourra s'asseoir et vivre son premier orgasme en public. Elle commence à aimer ce que Todd lui fait ressentir et à quel point elle aime l'idée de lui faire plaisir.

A suivre...

vendredi 27 août 2021

Isabelle Ch. 05

Texte de Aldo37.

 *****

Elle raconte sa journée au travail.

- Tu veux vraiment savoir ce qui s'est passé mon chéri ?? 

- Oui, Isabelle. Si je te demande, c'est que j'ai besoin de savoir.

- Bien, tu risques de te faire du mal pour rien, mais puisque tu veux savoir, pourquoi pas ? Eh bien je suis arrivée à 9 heures, on m'a montré mon bureau, présentée à mes collègues, et j'ai commencé à travailler, comme toute nouvelle employée, Rien d'original à cela !

- Oui, mais concernant l'autre.

- Oh ! ne parle pas comme ça de Serge ! C'est mon patron, il est très gentil ! Bon, il baise ta femme, mais c'est bien pour ça que je suis là bas, non ?? Puisque tu insistes et que tu veux tout savoir, je vais te raconter ! Vers 10 h 30, il m'a faite appeler par sa secrétaire, je suis montée le voir, j'ai attendu un petit peu parce qu'il avait un rendez-vous et il m'a faite entrer.

 ****

- Ah ! Isabelle ! Je vous attendais ! Asseyez-vous !

- Bonjour monsieur.
.
- Bonjour petite Isabelle. Vous êtes bien installée ?

- Oui, mon bureau est superbe, et mes collègues ont l'air très très sympas !

- Très bien. Heureux que tout cela vous plaise. Moi, c'est vous qui me plaisez, Isabelle !

Isabelle se mit à rougir un peu.

- J'ai longuement parlé de vous avec mon père. Lui aussi vous trouve très craquante. D'ailleurs, je crois qu'il a déjà plusieurs fois fait l'amour avec vous Non ??

- Oui, c'est vrai

- Il m'a même confié que vous lui aviez offert votre voie la plus intime ?

Isabelle ne répondit pas et baissa la tête.

- N'ayez pas honte Isabelle ! C'est tout à votre honneur ! Cela prouve seulement que vous êtes une bonne salope ! et les hommes aiment les salopes !! Il n'y a pas de honte à se faire enculer, bien au contraire Nous aurons l'occasion de vérifier tout cela, rassurez-vous ! Dites-moi, il paraît que votre mari n'accepte pas facilement la situation ?? Répondez-moi ??

- Oui ça le travaille, disons, lorsque j'ai eu les rapports avec votre père, il était gêné, disons un peu jaloux.

- Eh bien, il va falloir qu'il s'y fasse ! Et rapidement ! Je ne veux pas d'un mari jaloux qui va venir nous empoisonner la vie ! Mon père verra ça avec lui ! Quant à vous, vous avez intérêt à lui expliquer et qu'il comprenne vite, si vous ne voulez pas que notre accord soit rompu ! Vous avez compris ??

- Oui, oui monsieur je lui en ai déjà parlé d'ailleurs ne vous inquiétez pas, cela ne remet rien en cause.

- J'espère bien ! En tout cas, cette conversation m'a agacé ! Je ne veux plus entendre parler de lui ! Parlons de choses plus agréables maintenant, et passons aux choses sérieuses. Qu'est ce que tu attends pour te déshabiller ? Allez, retire moi tout ça !

Isabelle retira sa veste, son chemisier, sa jupe.

- Très jolis sous-vêtements Tu mettras désormais chaque jour porte-jarretelles et bas. Je te veux très raffinée et très aguichante. Compris ??

Isabelle acquiesça de la tête.

- Bien ! Retire le reste, dépêche-toi donc, ne me fais pas attendre !

Le soutien-gorge et le slip vinrent rejoindre le reste des vêtements entassés sur le fauteuil. Isabelle était entièrement nue, debout, devant son directeur. Celui-ci vînt la rejoindre, passa derrière elle, lui embrassa délicatement le cou. Tout en l'embrassant, il lui susurra à l'oreille :

- Tu sais que tu as un beau cul, toi ?

Il en profita pour peloter les seins à pleines mains, à titiller les bouts.

- Là, ce n'est pas mal non plus dis donc !

Puis il descendit vers le sexe, caressa doucement et longuement la toison.

- Et j'adore ta petite fourrure. Ta chatte blonde. Mais dis donc, petite salope, on dirait que tu mouilles déjà ?

Il se frotta le ventre aux fesses d'Isabelle.

- Regarde mon chou, dans quel état tu m'as mis tu sens ma grosse bite contre tes fesses ?

- Oui je la sens, elle est dure !

- Bien dure pour bien ramoner ta petite chatte !!

Serge se recula, se déshabilla en un temps record, et se retrouva nu, avec une solide érection au bas du ventre. Il s'assit dans le second fauteuil, Isabelle s'agenouilla.

- Humm !!! oui suce-moi bien comme ça oui ! Oh salope tu suces bien  ! oui pompe-moi bien ! pompe bien !

Isabelle s'activait sur la queue de son patron, l'engloutissait.

- Sors bien la langue comme ça, oui ta langue sur le gland ! Ouii. Assez ! tu vas me faire jouir !

Il se leva.

- Allez, grimpe sur le fauteuil, je vais te prendre !

Isabelle se mit à genoux sur le fauteuil, fesses bien offertes, et cramponna le dossier.

- Ahhh ! humm !

Le mâle l'avait pénétrée, et le va et vient commençait lent au début, mais accélérant au fil des coups de boutoir.

- AH ! ohhhh !

- Oui ! tu la prends bien Elle est bonne, ta chatte ! Tu sens comme ma grosse queue glisse bien ??

- Ahhh oui je la sens... baisez moi ! baisez-moi bien avec votre grosse bite !! Mettez-moi tout !

- Ca ma chérie, je ne vais pas me priver ! je vais te défoncer la chatte !

- Humm. oui prenez moi baisez moi baisez-moi bien à fond ouiiii !

Serge accéléra les mouvements, défonçant Isabelle. La jouissance ne tarda pas à venir pour elle.

- Ahhhh je viens ! Je viens. Oh salaud. Je JOUIS.. ahhhhhh !! oui !

Il continuait à la limer de plus en plus fort, Isabelle n'en pouvait plus, hurlait maintenant son plaisir.

- JE VIENS ! JE PRENDS MON PIED ! SALAUD, JE JOUIS !!

Il se retira.

- Allez, maintenant, tu t'allonges sur mon bureau !

Isabelle obéit, et fût immédiatement pénétrée.

- Oh non ! je n'en peux plus, arrêtez je vous en prie, non.

Serge ne s'occupait pas des supplications de la jeune fille et, de nouveau, la posséda vigoureusement. Isabelle subissait le coït, les cuisses largement écartées, offerte, se caressant quelquefois les seins. A un moment, elle se caressa le clitoris et repartit pour un nouvel orgasme, ce qui déclencha celui de son amant. Il se retira soudain, et cria :

- Ca y est ! tu me fais jouir. Tiens salope, tiens, prends mon foutre, prend ça !

Le premier jet de sperme atteignit Isabelle sur les seins tellement il était puissant, les autres atterrirent sur le ventre et sur la toison, le dernier sur la cuisse gauche. Isabelle crût que Serge n'arrêterait pas d'éjaculer tellement les jets de sperme se succédaient, nombreux, et surtout abondant. Elle était couverte de sperme !! Il lui remit sa queue dans la chatte, leva ses jambes sur ses épaules, et la lima quelques instants.

- Ahh tu es bonne.

Il se retira. Isabelle était épuisée et restait nue, allongée, cuisses toujours écartées sur le bureau.

- Vraiment, toi, tu es un bon coup au lit je n'ai jamais eu une baiseuse pareille !!

Il alla dans une pièce contiguë, se lava, et apporta une serviette à Isabelle, qui s'essuya tant bien que mal.

- Il y a un cabinet de toilette à côté, tu peux aller te laver !

Isabelle ne se le fit pas dire deux fois, et alla faire une toilette bien méritée. Quand elle revint, Serge était debout près de son réfrigérateur, et avait sortit deux whiskies.

- Tiens, bois, cela te redonnera des forces ! Dis-moi, quand tu as pris ton pied, tout à l'heure, tu as gueulé, tu as dû ameuter toute la maison. Maintenant, tu vas avoir la réputation d'être la pute du patron !!

Isabelle baissa la tête.

- Cela n'a pas d'importance, rassure-toi ! C'est moi le patron ! L'important, c'est que tu sois toujours aussi docile, et que tu baises toujours aussi bien. Mais. Il est déjà 11 h 45 ! C'est bientôt l'heure de la pause déjeuner ! Dis donc, tu n'as pas beaucoup travaillé, ce matin ! Il va falloir te rattraper cet après-midi. Je ne t'invite pas à déjeuner, car j'ai un rendez-vous d'affaires. C'est mieux pour toi, car sinon, tu y serais encore passée cet après-midi ! Allez ! Rhabille toi et vas déjeuner ! Si j'ai besoin de toi, je t'appellerai !

Isabelle se rhabilla, se redonna une touche de maquillage, et sortit. La secrétaire la regarda d'un œil moqueur et entendu.

- Bon appétit Isabelle !

 ****

- Voilà ce que tu voulais savoir. L'après midi, j'ai travaillé comme n'importe quelle employée, et je suis sortie à l'heure prévue. Serge ne m'a pas appelée.

- Tu as vraiment joui avec lui ?

- Oui il a une belle queue, et tu sais, une fois qu'un homme te prend, au bout d'un d'un moment, il faut laisser faire la nature, tout vient tout seul.

- Pour la lingerie, ce qu'il t'a demandé, tu vas obéir ?

- Oui ! Bien obligée. D'ailleurs, il faut que nous allions acheter des bas, je n'en ai plus beaucoup, et aussi deux ou trois porte-jarretelles, pour varier.

Ce soir là, nous sommes sortis acheter la lingerie prévue. J'accompagnai ma femme acheter porte-jarretelles, bas, slip, soutien gorge qui serviraient à exciter son amant.

A suivre...

mercredi 25 août 2021

La femme du révérend - Ch. 03

 Texte de Stevecom traduit Par Coulybaca

*****

Elle livre ses filles à son maquereau.

Tyrone empoigna son portable, c'était Jake l'immense noir ex-taulard.

- C'est toi mon frère ? demanda Tyrone reconnaissant la voix de Jake.

- Oui mon frère, j'ai repensé à ton offre concernant ces deux pucelles blanches... Les filles de ta pute préférée qu'on a baisé avec mes potes il y a deux semaines ! 

Tyrone explosa de rire.

- Sûr mon frère... Une des jumelles a 19 ans, elle a de longs cheveux blonds et ce qu'il faut là où il faut... Des petits nibards bien ronds, bien fermes, de longues jambes bien galbées, un corps de pute... Et en plus cette ravissante petite blanche est encore pucelle, je crois qu'elle s'appelle Sue !

- Te souviens-tu de Bobby et Junior qui se sont fait Linda il y a deux semaines... Ils ont trouvé deux autres amateurs de pucelles blanches... Ils veulent tous 4 s'en faire une... Ils offrent 2000 $ pour la baiser à leur gré... Ils ont le fric... Quant à sa soeur...

- L'autre, se nomme Carole, elle ressemble comme deux gouttes d'eau à sa mère, une belle paire de nibards, de longues jambes, un ravissant petit cul... Tout comme sa mère... Rétorqua Tyrone sentant la bonne affaire.

- 4 autres gars sortant de prison cherchent une vierge blanche à se faire... Je te donne 2500 pour elle, et tu me livres leur mère gratuitement ! Je leur ai aussi parlé d'elle et il y a une paire de clients qui aimeraient la sauter. Es-tu d'accord ?

- Sûr mon frère... Quand ? L'interrogea Tyrone ravi.

- Rappelle-moi cette nuit sur le coup de 22 heures si c'est d'accord. Conclut Jake.

Du haut de ses 18 ans, Tyrone l'aide serveur noir ne parvenait pas à croire en sa chance, 4.500 $ de gagné en une soirée. Il pourrait donner 100 $ à Caroline pour son entremise qui permettrait à ses clients de baiser ses deux aînées.

Il attendrait un peu pour se les faire à son tour, en attendant, il s'était réservé la plus jeune et par le diable, jamais il n'avait gagné autant d'argent en une soirée. Il se ferait sucer la bite par Caroline avant que n'arrivent leurs clients. Il téléphona ensuite à Caroline.

- Hey ma petite pute c'est Tyrone...

- Salut Tyrone, je suis dans mon bureau à l'église, je suis en rendez-vous. Je ne peux pas te parler pour l'instant ! Répondit Caroline d'une voix sourde.

- Ecoute-moi bien ma chérie. J'ai besoin de toi et de tes jumelles cette nuit à 22 heures. J'ai quelques potes qui veulent les sauter. Ils veulent se faire tes petits anges. Jette un coup d'œil discret sur les gens présents dans ton église et dis-moi en catimini que cela t'excite follement de voir des bites noires s'enfoncer dans les chagattes vierges de tes petits anges ! Allez, dis-le-moi...

Caroline qui ne voulait pas préjuger de ses réactions à ce spectacle lui répondit nerveusement :

- Cela devrait effectivement m'exciter. Tu le sais bien. Je serai heureuse d'y assister.

- C'est d'accord ma chérie. Je veux que tu assistes au dépucelage de tes petits anges.

- Oh merci mon chéri, on sera toi et moi. C'est merveilleux. Concéda Caroline ravie.

- Au revoir... 

Tyrone éteignit son portable sans même attendre de réponse. Il savait qu'à défaut de la baiser à couilles rabattues, il se ferait tailler une pipe. 

Caroline descendit au rez-de-chaussée, elle portait une mini-robe noire sur des bas noirs qui galbaient ses longues jambes. Sa robe gainait sa croupe et exposait sa succulente paire de nichons. Elle avait maquillé ses lèvres avec un rouge vif qui contrastait fortement avec ses grands yeux verts. Ses longs cheveux blonds cascadaient sensuellement sur ses épaules, elle était ravissante.

Le Révérend Mike James pénétra dans la maison après avoir emmené sa plus jeune fille, Laura chez ses amies. Son cœur s'emballa à la vue de sa femme ainsi vêtue.

- Assieds-toi mon chéri ! L'invita benoîtement Caroline.

- Tyrone m'a appelé. Sue et Carole doivent m'accompagner. L'informa-t-elle doucement.

Le révérend Mike savait ce que cela sous-entendait. Ses deux ravissantes aînées allaient appartenir à de nombreux noirs cette nuit ! 

- Oh chéri... Mon pauvre chéri... Cela te fait bander... Mon pauvre chéri... Constata Caroline en lui caressant la cuisse. Je te raconterai tout en rentrant.

Leurs deux petits anges les rejoignirent au rez-de-chaussée. Carole portait une mignonne petite robe d'été jaune qui lui arrivait à mi-cuisses, elle portait un soutien-gorge push up qui mettait ses miches en valeur. Elle s'était maquillée légèrement, ses cheveux étaient serré en queue de cheval, ses yeux bleus étincelaient.

Sue, sa jumelle portait une tunique bleue qui moulait son jeune corps qui exposait aux yeux de tous ses longues jambes halées. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses tétons pointaient librement au travers du fin tissu, ses superbes nichons étaient visiblement bien fermes et ses cheveux bruns cascadaient sur ses épaules, elle était véritablement somptueuse.

Le révérend Mike embrassa tendrement ses deux filles en leur souhaitant une bonne soirée, Caroline le regardait droit dans les yeux.

- Je les surveillerai de près... On va passer une excellente soirée... Rétorqua Caroline en embrassant à son tour son époux.

Dans leur voiture, Caroline tentait d'expliquer, en demeurant dans le vague, le but de leur sortie. Elle leur vantait ces bons moments qu'elles allaient passer ensemble.

- Ces hommes ont besoin de nous... Nous sommes des femmes d'église... C'est notre vocation de faire le bonheur de tous... Leur confia Caroline hypocritement.

Sa chatte était trempée à la perspective de ce qui allait leur arriver.

- Nous ferons de notre mieux maman... Nous sommes si heureuses de t'assister... Répliquèrent les deux filles en chœur.

Tyrone leur ouvrit la porte et siffla d'admiration.

- Wow... Quelles beautés... Entrez...

La pièce était pleine de fumées de joint. Les deux filles regardaient abasourdies Tyrone enlacer leur mère pour lui rouler une pelle fiévreuse. Il se détourna et quitta la pièce. Les jumelles regardaient fixement leur mère.

- Je me suis seulement montrée gentille avec cet homme, c'est vrai... Vous devrez aussi embrasser ses amis... Nous sommes ici pour aider ces malheureux... Les apaisa caroline d'une voix contrite.

Tyrone, de retour dans la pièce tendit un joint à Caroline, elle inhala profondément et s'assit sur le canapé entre ses deux aînées. 

- Carole, prend cette cigarette entre tes lèvres inspire profondément et retiens ton souffle quelques instants avant de rejeter la fumée... A ton tour Sue... 

Caroline et Tyrone éclatèrent de rire en voyant les jeunes filles tousser en chœur après avoir avalé la fumée.

- Allez les filles une nouvelle bouffée...

Les deux jeunes innocentes se conformèrent aux ordres de leur mère. Soudain les trois filles ressentirent une forte chaleur qui envahissait leur corps. La drogue opérait. On frappa à la porte, Tyrone ouvrit aux arrivants.

Caroline reconnut alors Jake le colosse noir aux bras couverts de tatouages. Il était accompagné de quatre solides gaillards, elle pensa tout de suite qu'il s'agissait encore de connaissances faites en prison.

- C'est pour toi Tyrone... Dit Jake en lui tendant une épaisse enveloppe.

Jake observa attentivement les trois jeunes femmes assises sur le canapé. Les deux jeunes filles se blottissaient contre leur mère.

- Debout salope ! Viens ici ! Cria Jake s'adressant à Caroline.

Comme elle s'approchait de lui, il l'empoigna et lui roula un patin baveux, sa langue pénétra profondément entre ses lèvres, elle ouvrit servilement la bouche. Jake cessa brusquement de l'embrasser et interpella ses comparses :

- Allez les gars venez donc palper les appas de cette garce... C'est un très bon coup...

Quatre paires de mains explorèrent alors sur son corps, lui pelotant le cul et les nichons.

- Quelle salope les gars ! Bordel, ce qu'elle est chaude ! Palpez donc ses miches !Q uelle chienne en chaleur ! Se congratulaient les quatre gaillards en riant en chœur.

Un gros noir passa sa main sous ses jupes lui palpant la chatoune, elle était trempée.

- Hey les gars elle est trempée comme une soupe... c'est vraiment une sacrée salope ! Rit-il à pleins poumons.

Déjà Caroline jouissait sous ses doigts. Les deux jumelles étaient profondément choquées de voir leur mère subir les assauts de ce gros noir.

- Maman, maman... S'il te plait, ne lui faites pas ça... Ne te laisse pas faire... Je t'en prie... Hurlaient ses deux filles affolées.

Caroline les regarda en souriant.

- C'est rien les filles... Rien de bien grave...

On frappa de nouveau à la porte. Tyrone ouvrit une nouvelle fois la porte, Junior et Bobby entèrent suivis de deux autres violeurs sortant tout juste de prison. Ils tendirent eux aussi une épaisse enveloppe à Tyrone tout en reluquant avec convoitise les deux jeunes filles.

- Maman, maman... Viens à notre secours... Oh maman... J'ai peur... Maman...

Caroline cessa ses embrassades en voyant une des brutes saisir un de ses petits anges par le bras et l'entraîner dans une chambre en compagnie de Bobby, Junior et leur dernier complice. Elle entendit alors Bobby s'exclamer :

- Ta gueule salope... Tu vas être gentille avec nous petite pute... Hey Junior caresse-moi ces appas. Bordel comment peut-elle être aussi mignonne...

Junior ajouta en riant :

- Bordel je ne peux plus attendre plus longtemps... J'ai une folle envie de la baiser... J'adore les jeunes pucelles blanches !

Caroline dut se mettre à genoux, pour prendre soin des deux nouveaux clients. Elle ne savait où donner de la tête pour sucer simultanément leurs gros chibres noirs. Elle vit Jake emmener Carole dans une chambre, la main posée sur sa somptueuse croupe. Quatre noirs dans la force de l'âge les suivaient en riant à pleins poumons.

- Quelle jolie petite chatte, on va s'amuser comme des petits fous cette nuit, on va te baiser toute la nuit jolie petite pute, tu ne seras plus qu'une petite pute blanche ! Discutaient-ils entre eux en jubilant.

Elle vit Caroline en entrant dans la chambre.

- Maman, j'ai peur ! Maman, s'il te plait maman viens à mon secours ! Je t'en prie... 

De grosses larmes perlaient à ses paupières. Jake l'empoigna rudement tout en jetant un œil sur Caroline agenouillée, il gifla sévèrement Carole en plein visage, quelques autres claques suivirent.

- Ecoute-moi bien petite pute... Pleurer ne te servira rien.. Tu ferais mieux de te montrer gentille et docile avec moi et mes copains, on va te baiser à couilles rabattues !

Caroline entreprit de tailler une pipe à l'un de ses clients, elle sentit qu'on lui remontait sa jupe, avant de descendre son string de satin noir sur ses cuisses. Son autre suborneur, James, demanda à Tyrone.

- Comme personne ne s'occupe d'elle, puis-je la baiser en con ou bien lui lécher le cul ?

Tyrone éclata de rire

- Elle est libre, encule la... Enconne la... Si tu le veux, elle te sucera avec cœur... Tu peux en faire ce que tu veux en attendant de sauter sa fille !

Lui écartant les fesses en grand, James entreprit de lui lécher le trou du cul. Caroline était sur le point d'orgasmer, ses nichons étaient en feux. Soudain elle sentit James engouffrer sa grosse mentule noire dans sa chatoune inondée de cyprine, tout en lui claquant les fesses.

- Bordel quelle chaude putasse ! Tortille-toi sur mon vit salope ! C'est ça... Comme ça...

L'autre gars avait la bite enfouie profondément dans sa gorge, Caroline sentit soudain son gland s'expandre, elle sut alors qu'il était sur le point de gicler.

- Uuuuggghhhhhhhh... Avale mon foutre salope ! Avale mon sperme de noir... Uuuuggghhhhhhh... 

Et jet après jet il se vida les couilles dans sa gorge accueillante, caroline n'en manqua pas une goutte. Son suborneur se mit à la gifler à tour de bras en, lui prenant le menton.

- Pour une femme mariée t'es une drôle de salope ma chérie, tu me suces la bite mieux qu'une pute... Une chienne blanche en rut !

Il la gifla à nouveau, Caroline jouit brusquement.

- Je jouiiiiiiisssssssss... Aaaaaaaahhhhhhh... Ahhhhhhh...

- Avale tout salope ! 

Caroline sentait James se vider à gros geysers dans sa chatoune embrasée, gifle après gifle il se vidait jusqu'à la moelle.

- T'aimes le sexe brutal ma chérie...

Et la giflant de plus belle.

- Et maintenant nettoie ma bite salope...

- Aahhhhhhhhhh... Oh mon Dieu... Je jouis aussi...

Caroline vit alors son autre client se diriger vers la chambre d'un de ses petits anges. Caroline entendit Carole sangloter dans sa chambre. Jake dit alors :

- C'est d'accord les gars, vous pouvez lui bouffer le gazon et lui pourlécher le trou du cul, mais c'est moi qui la baiserais en premier...

Carole poussait des cris étouffés :

- Maman, oh maman... Oh mam... 

Caroline se figura que quelqu'un lui roulait une pelle interrompant net ses plaintes.

- Allez les gars foutez la à poil... Regardez-moi cette délicieuse chagatte... ha, ha, mon Dieu admirer ces succulents tétons... ces longues jambes bronzées... dépouillez-la de sa petite culotte... oh mon Dieu quelle mignonne petite chatoune !

Un de ses clients éclata de rire en lui pelotant la croupe :

- Moi je veux me faire son trou du cul... Uuuuummmmm... Mon Dieu, que sa peau est douce... Que son cul est tentant... Mon Dieu palpez donc ce délicieux cul...

Un autre jouait avec ses nibards en s'esclaffant :

- Quelle belle paire de miches ! 

James la délaissa se dirigeant vers la chambre de Sue. Tyrone regarda alors fixement Caroline lui enjoignant :

- Et maintenant suce moi salope ! Bouffe-moi la bite !

Caroline leva son regard sur lui tout en l'embouchant :

- Je pensais que nous serions tous deux ensemble cette nuit, juste toi et moi...

- Le business d'abord ma chérie... Et maintenant suce moi avec application... Lui rétorqua Tyrone impavide.

Caroline entendit alors Bobby dire à Junior :

- Elle a vraiment un corps somptueux cette petite pute... Un corps de jeune pucelle... Je meurs d'envie d'y goûter...

Junior ne put que grogner, la langue enfoncée jusqu'à la garde dans le trou du cul rétif de Sue, il plongeait profondément dans l'étroit œillet resserré.

- Caressez-moi ses cuisses, et ses petits nichons ? Bordel, que sa peau est douce et soyeuse... palpez-moi ces nibards...

- Bordel, elle a tellement peur qu'elle vient de pisser sous elle, écartez-vous de mon chemin que je puisse goûter à son urine, elle doit être aussi savoureuse que son petit corps ! Allez ma chérie, pisse-moi dans la bouche, Bordel que j'aime le goût des jeunes pucelles blanches... Aaaahhhhhhhhhhh... Que j'aime le goût de son flot d'or ! 

- Maman... Maman... J'ai peur... Maman... Mam...

Slap. Slap...

- Ferme là petite pute... Je vais sucer tes tétons... Bordel que son corps est goûteux... Extirpez vos langues de son con et de son trou du cul qu'elle puisse vous sucer...

Ils éclatèrent tous de rire.

- Maman... Maman... Mam...

Caroline comprit qu'une grosse bite noire venait de forcer ses lèvres.

- Suce-moi salope... Suce ma bite comme ta mère me l'a sucée... Tu n'es plus rien d'autre qu'une suceuse de bite... Regardez la les gars... Elle doit aimer ça... Elle me suce avec application alors je caresse ses charmes... Bordel ses tétons sont succulents... 

- C'est ça les gars... Dépêchez-vous que je puisse à mon tour lui fourrer ma grosse bite dans la bouche ! 

Tyrone se vidait les couilles dans la bouche asservie de Caroline, elle adorait le goût de son foutre, si crémeux et si salé.

- Essuie-toi le visage et viens avec moi voir tes filles se faire baiser !

Caroline s'assit sur le canapé et entreprit de nettoyer ses cuisses couvertes du foutre de James. Elle entendit Jake intervenir :

- On s'est assez amusé avec elle les gars... Je veux la baiser maintenant...

Caroline se releva vivement et pénétra dans la chambre. Jake embrassait son petit ange à pleine bouche, un doigt fourré dans sa cramouille. Il rit à gorge déployée.

- Cette petite pute est trempée... Sa chatte dégouline de cyprine...

Il se releva et écarta les cuisses de Carole en grand, elle hurlait totalement paniquée alors que l'épais gland s'engouffrait dans sa chagatte vierge martyrisée. Carole hurlait de douleur.

- J'ai mal... Om mon Dieu arrêtezzzzzz... Arrêtezzzzzzz... J'ai trop mal...

Elle hurla de plus belle quand Jake enfouit sa grosse bite en elle massacrant son hymen.

- Je vous en prie arrêtez... Oooooooohhhhh... Que j'ai mal...

Les épaisses lèvres de Jake se posèrent alors sur les siennes. Jake coulissait âprement en elle, chaque fois il la pénétrait plus profondément, dévastant son fourreau d'amour tout endolori. La jeune Carole n'avait jamais ressenti de telles sensations auparavant. Ce bâtard de nègre l'avait copieusement pelotée, tandis que d'étranges chaleurs lui embrasaient le corps. Tout d'abord, elle se sentait coupable, souillée et endolorie, mais maintenant son corps la brûlait toute.

- Mon Dieu que c'était bon... 

Elle ne savait pas ce qu'étaient ces nouvelles sensations, mais cet émoi était si enivrant. Jake l'empalait de plus en plus profondément, Caroline voyait sa petite Carole se cambrer sur les hanches pour mieux accueillir les coups de boutoir de Jake, elle gémissait sourdement.

Jake empoigna les longues jambes blanches de l'ex-pucelle et les verrouilla dans son dos musclé. Il l'embrassa de plus belle en enfouissant ses 30 centimètres de bite dans sa chatoune distendue, elle poussait des grognements satisfaits.

- Ooooooohhhhhhh... Aaaaaaahhhhhhhhhh... gémissait-elle.

Jake la labourait âprement, il ressentait une folle joie de dépuceler cette jeune blanche. Il baissa les yeux sur le visage extasié de sa ravissante proie.

- Baise-moi plus fort... Encore... Oh mon Dieuuuuuu... Je jouiiiiiisssssssss...

Il se déversait à torrent dans la chatte de la jeune blanche dépucelée, jet après jet il lui tapissait l'utérus. Il extirpa sa grosse bite de sa chagatte dévastée avec un "plop" sonore.

- Poses tes fesses là et nettoie ma grosse mentule noire avec ta langue.

Carole lui obéit servilement. Caroline gagna l'autre chambre où se trouvait Sue la jumelle de Carole. Elle était accroupie sur le visage de Junior, un gros chibre noir fourré dans sa bouche.Les yeux de deux autres comparses étaient braqués sur eux, ils brillaient de concupiscence. Junior lui broutait la moule, elle gémissait sourdement.

- Bordel je veux me la faire ! Poussez-vous les gars que je baise cette somptueuse petite salope ! Je veux sentir son étroite petite cramouille enserrer mon épaisse mentule ! Relève-toi Junior, que je puisse la posséder ! Bordel ce que j'ai envie de cette savoureuse pucelle ! Pose-là le cul sur le lit, on la baisera chacun à notre tour ! Regardez les charmes de cette petite salope ! Quatre violeurs de jeunes femmes enfermés dans une chambre avec une jeune pucelle blanche ! Elle a les yeux pleins de plaisir ! Elle miaule comme une chatte en rut ! 

- S'il vous plait... Nonnnnnnn... Je vous en prieeeeeeee... Pas ça... Nonnnnnnnnnn.... Les suppliait la jeune fille affolée.

Bobby la gifla rudement en plein visage.

- Ferme ta gueule salope !

C'est à peine si Sue avait déjà embrassé son petit ami auparavant, jamais un homme n'avait glissé ses mains sur ses charmes intimes. Ce bâtard venait de dévaster son jeune corps, il l'avait violentée sans vergogne, cependant son langage des plus vulgaires l'excitait au plus haut point. L'énorme queue de Bobby s'engouffra dans sa mignonne petite cramouille, à peine l'eut-il pénétré que déjà il était sur le point de jouir en elle.

- Bordel sa chatte est brûlante comme l'enfer... C'est la première fois qu'elle se fait fourrer !

- J'ai mal... Je vous en prie... Arrêtezzzzzzzz... Ca fait mal... Je vous en prie... Arrêtezzzzzzzzzzz... Pleurnichait-elle misérablement.

Slap... Slap...

- Allez petite salope tortille ton cul ! 

Bobby débordait de joie. Sa bite le brûlait depuis qu'il avait déchiré son hymen. Son fourreau s'avérait aussi trempé de cyprine et qu'étroit.

- Oooooohhhhhhhhh... Aaaaahhhhhhh... Mon Dieu... Epargnez-moi... Ayez pitié... Je vous en supplie...

Sue n'était pas qu'endolorie, elle était submergée par un intense plaisir, elle se sentait souillée mais son corps la brûlait tant son excitation était grande.

- Allez, baise-la Bobby... Fourre-moi cette petite salope blanche... Je crois qu'elle aime se faire baiser... Allez les gars matez son grand corps noir allongé sur cette petite blanche ! Suce ses tétons Bobby... Ils sont adorables... Je n'en peux plus d'attendre pour la baiser ! Quelle petite salope ! 

Tyrone empoigna le bras de Caroline et l'entraîna sur le canapé lui offrant un joint. Ils fumèrent de concert écoutant attentivement les grognements de plaisir emplissant la chambre.

Une fois sorti de l'hôtel, Tyrone intima à Caroline :

- Je veux que tu descendes la rue en roulant des hanches, tu vas jusqu'au croisement et tu reviens.

Des voitures ralentissaient sur son passage, deux jeunes branleurs lui demandèrent combien elle prenait pour une pipe, un vieil homme voulait lui pisser dans la bouche. Une voiture s'arrêta le chauffeur l'interrogea :

- Hey chérie... Combien tu prends pour une passe ? 

Arrivée au croisement deux jeunes ados la sifflèrent et l'interpellèrent à leur tour :

- Hey salope... T'es vraiment bien carrossée... Combien ?

Caroline n'en revenait pas de ces chaudes propositions, cela la troublait énormément alors qu'elle revenait vers Tyrone.

- Tiens voila 100 $ pour m'avoir livré tes filles ! Autre chose maintenant... Jake prendra soin de toi lorsque je serai parti... Approche que je tâte ta chatoune... Mais elle est trempée... C'est les propositions de tous ces éventuels clients qui t'émeut tant que cela ? Réponds-moi...

Caroline ne put qu'approuver son sentiment :

- Oui... J'ai... J'ai aimé ça ! 

- C'est excellent, nous allons te faire faire le trottoir, tu vas nous rapporter pas mal de fric ! Nous nous partagerons les gains Jake et moi... Tes filles t'accompagneront... A mon retour je me ferai ta plus jeune... Elle sera à moi...

Caroline ne put qu'approuver de la tête. Lorsqu'ils retournèrent dans la pièce, quatre des clients rhabillés fumaient un joint assis sur le canapé. Caroline pénétra dans la chambre occupée par Carole, un homme l'enculait alors qu'elle suçait la bite d'un autre.

- Ohhhh mon Dieuuuu... Cette jeune salope baise comme une déesse. Grommelait son enculeur tout en lui claquant les fesses.

Caroline gagna alors la chambre occupée par Sue. Ses quatre clients la mignotaient avec concupiscence. Ils meurtrissaient son jeune corps. L'un d'eux déclara soudain :

- Je vais la baiser à nouveau... Bordel ce qu'elle est bandante...

 Sur ces mots il lui enfourna sa bite en pleine bouche. Caroline s'assit sur le divan. Jake et Tyrone discutaient en riant aux éclats. Des grognements sourds émanaient des deux chambres.

- Ce sont mes filles qui gémissent aussi lubriquement... Subodora-t-elle rapidement, J'espère qu'elles prennent leurs pieds !

Quatre clients les quittèrent après avoir salué Jake et Tyrone. Les quatre autres sortirent des deux chambres en remontant leur pantalon.

- Bordel les gars... C'était délicieux... Quelles petites salopes ! Elles vont faire des putes sensationnelles ! Rirent-il en chœur.

Ils les quittèrent sur ces mots. Caroline pénétra à nouveau dans la chambre de Carole.

Son corps était couvert d'épaisses traînées de foutre. Son visage était couvert de sperme. Ses cheveux étaient empesés. Des rigoles de foutre suintaient de son con et de son trou du cul. Caroline s'assit à son coté, elle racla la couche de semence qui embourbait son visage avec ses doigts qu'elle suça machinalement.

- Tiens ma petite chérie suce mes doigts... C'est du foutre de tes clients... Il est vraiment goûteux... Et maintenant tu vas te nettoyer pendant que je m'occupe de ta sœur.

Sue était étendue sur le lit cuisses grandes ouvertes. Ses lèvres saignaient à force d'être giflée. Son corps était couvert de foutre, de la semence crémeuse, blanchâtre s'écoulait de son trou du cul, et de sa chatoune. Son corps était meurtri, on distinguait clairement les traces de coups et les marques de morsures qui couvraient ses cuisses et ses jeunes nichons. Sue gémissait :

- Ohhhh que c'était bon... Nonnn pas ça... Mon Dieu, mon corps me brûle... Oooooooohhhhh, aaaaahhhhhhhhhhh...

Caroline constatait avec joie que Sue venait d'éprouver ses premiers orgasmes. 

Les filles étaient calmes dans la voiture, Caroline pensait déjà à l'avenir qui les attendait, elles devraient toutes trois se prostituer, faire le trottoir pour Jake et Tyrone.

Elles embrassèrent tendrement leur père sur la bouche. Ces baisers lubriques le choquèrent profondément. Le révérend Mike léchait le sperme de James qui s'écoulait de la chatoune de son épouse tandis qu'elle lui racontait comment ses filles avaient appartenus à huit hommes, quatre pour chacune. Elle décide de ne pas l'avertir, pour l'instant qu'elles allaient faire le trottoir pour leurs deux souteneurs. Elle entendit son mari haleter.

- Oh mon pauvre chéri... Mon cœur... Tu jouis sur mes chevilles... Ha, ha, ha... Lèche-moi la foufoune avant que nous allions nous coucher.

Caroline ferma les yeux sous les caresses de la langue de son mari.

A suivre...

lundi 23 août 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 01

Auteur inconnu.

 Repas au routier.

Cette histoire est le début du pourquoi nous sommes ici.

J'ai toujours eu le fantasme de voir ma femme Sarah coucher avec un autre homme devant moi. Je n'ai jamais su pourquoi. Elle est tellement belle : 25 ans, brune avec un carré à cette période (elle change souvent de couleur et de coiffure), la peau douce, 1m70, de longues jambes bien galbées, un petit cul bombé, un 90C à damner un saint, une bouche pulpeuse et gourmande, des traits fins, et très féminine en plus. On pourrait dire qu’elle est carrément une bombasse.

Lorsque je suis sorti avec elle il y a 6 ans, je lui parlais déjà de ce fantasme lors de nos parties de baise. Oui, je dis bien de baise, car je différencie le fait de baiser et de faire l'amour. Et il m'arrive plus souvent de la baiser que de lui faire l'amour. Il faut dire qu'elle préfère ça (même si comme toutes les femmes elle a besoin de sexe plus "doux" de temps en temps). Toujours est-il qu'elle ne voulait pas en entendre parler au début, me menaçant presque de me quitter si je continuais à la saouler avec cette histoire. Mais quelques années après, cette idée ne m'ayant pas quittée, je réintroduisis ce vœu pendant nos ébats, et je remarquais qu'elle mouillait vraiment quand je lui parlais de ça. Et petit à petit c'est elle qui introduisait le fantasme de « l'inconnu la baisant » mais sans jamais vouloir franchir le pas séparant le fantasme de la réalité. 

Puis un jour j'ai vraiment eu l'envie de franchir le cap du fantasme. J'avais déjà, pendant nos parties de baise, évoqué l'envie de la voir se faire prendre devant moi par un routier bien vicieux dans sa couchette, mais cette idée ne l'enchantait guère, au vu du stéréotype du routier barbu et bedonnant. Mais nous savions par des amis, qu'on mangeait très bien dans certains relais routiers. J'eus donc l'idée de rechercher un relais faisant une formule avec vin à volonté. J'en trouvais un pas mal, mais un peu loin de chez nous. J'allais donc voir mon épouse, lui proposant un week-end en amoureux sans lui parler bien sûr de mes projets. Elle accepta évidemment sans se faire prier. 

Et nous voilà partis pour le week-end. Je lui parle du programme et donc du dîner dans le relais routier en lui disant qu'il m'a été conseillé par un couple d'amis. Elle ne percute pas et me donne son accord. Je commence déjà à avoir des pensées cochonnes. La journée du samedi se passe, nous flânons dans les boutiques de la ville, elle trouve un petit haut "top-jupette" rose très près du corps et sans bretelle à mettre avec un jean ou un leggins car un peu court seul. Nous rentrons pour nous préparer pour le dîner. Elle essaye son haut devant moi juste en string, et je tente de la convaincre de sortir comme ça juste avec des talons. Elle fait un essai et je fais tout pour la persuader qu’elle est trop sexy comme ça.

- Mais bien sûr ! Comme ça tout le monde verra mon cul quand je me pencherai en avant. Je ne suis pas une pute tu sais. Me dit-elle.

Et elle enfile un leggins noir qu'elle associe avec des talons à lanières. Elle se rend compte alors qu'elle a oublié son soutien-gorge sans bretelle.

- Mince j’ai oublié mon soutif. On voit mes seins sans rien ? Me demande-t-elle.

- Non ! Lui réponds-je.

- T'es sûr ? dit-elle pas convaincue.

- Un petit peu, mais c'est sexy !

Après une hésitation de 10 minutes elle se décide quand même à rester ainsi pour mon plus grand bonheur. C’est vrai que le haut est un peu transparent par moment, selon la lumière. Elle se maquille : fard à paupières, mascara, blush et rouge à lèvres rose.

Maquillée, coiffée et habillée comme ça, elle me fait déjà bander. Et la voir marcher devant moi ne fait qu’empirer la situation. La soirée s’annonce bien.

Lorsque nous arrivons au relais, il est 22H00 et il commence à faire nuit. Il faut dire que nous nous sommes arrêtés dans un bar sympa pour prendre l'apéro en terrasse. Ma femme a eu droit à des regards appuyés par les hommes nous entourant durant tout le temps que nous avons passé dans ce café. J’adore voir les gens la dévorer des yeux

Je décide de garer ma voiture sur le parking réservé aux poids lourds, ce qui entraîne la désapprobation de ma chérie :

- Tu n'as rien à faire là, c'est réservé aux camions ! On va avoir des problèmes.

Je ne l'écoute pas et nous descendons de voiture. Des rideaux sont déjà tirés sur certains pare-brises de camions, ce qui signifie que leurs propriétaires dorment sûrement. Le restaurant est à 100 mètres, et encore une fois j'essuie les reproches de mon épouse.

- Tu aurais pu te garer devant, au lieu de te mettre sur le parking POIDS LOURDS, ça m'aurait évité de marcher.

- On est arrivé ma chérie. Lui réponds-je.

Je peux une nouvelle fois admirer son petit cul moulé dans sa tenue.

Nous entrons, l'intérieur est propre, mais quasiment désert.

- Bonsoir jeunes gens ! Installez-vous j'arrive ! Nous lance le patron avant de disparaître dans la cuisine.

Nous nous asseyons à une table de trois places contre le mur, l'un en face de l'autre.
 
- Sympa ton resto ! Me lance ironiquement mon épouse en voyant celui-ci presque vide.

Je regarde autour de moi, nous ne sommes que cinq. Deux hommes à une table, la cinquantaine, moches, surtout l'un d'entre eux, qui m'a l'air bedonnant, mais ils semblent bâtis comme des armoires à glaces. Ils regardent dans notre direction, enfin dans celle de ma femme, et le plus gros me fait un signe de la tête. Je lui réponds timidement. Un autre est seul, dos à nous et dîne tranquillement. Il s'en va d'ailleurs peu de temps après notre arrivée en saluant les deux autres, ce qui me laisse penser qu'ils sont tous les trois camionneurs. Vu la tronche des mecs, mon plan s'annonce très mal.

- On va bien manger ! Dis-je à mon épouse.

Pour seule réponse, j'ai droit à un haussement d'épaules. Le patron revient avec les cartes, très souriant et sympa. Nous choisissons la formule avec vin rosé à volonté. Je me fais déjà à l'idée de dîner et rentrer. Nous vidons deux pichets et demi de rosé, mangeons très bien, rigolons beaucoup. C'est juste un peu long, car le patron est souvent dans sa cuisine. Ma femme est déjà un peu pompette avec tous ces verres que nous avons bus en l'attendant, et balbutie déjà sur des phrases. Nous nous apprêtons à régler la note et partir, lorsqu'on voit le patron ressortir de sa cuisine avec deux verres.

- Tenez jeunes gens ! Prune maison ! Dit-il avec la même voix enjouée.

Nous nous regardons avec ma chérie.

- Merci ! Lui dis-je.

- Oh, mais ce n’est pas moi ! C'est le monsieur là-bas ! Répond-il en me montrant du doigt le gars qui m'avait salué.

Nous le remercions avec ma femme, ce à quoi il lève son verre en la regardant dans les yeux. Celle-ci me glisse tout bas ou du moins essaie de me glisser :

- Je ne peux pas le boire, je suis bourrée.

Je lui réponds :

- Bois-le sinon il va mal le prendre !

Et pan ! D'une traite elle le boit en grimaçant. Je fais de même et regarde la tête de ma femme. Elle n'est vraiment pas en forme. Nous payons le patron qui file à nouveau dans sa cuisine, et nous sommes prêts à partir. 

- Je vais aux toilettes ! Me dit-elle.

Elle se lève, et la voyant tituber un peu, je me lève à mon tour et l'accompagne dans le couloir. Elle rentre dans les toilettes dames. Je regarde en direction de la salle, le gros n'en a pas perdu une miette visiblement. Je vais pisser aussi, je ressors, pas de trace de mon épouse. Je pousse la porte des toilettes, entre, avance un peu, ma femme est assise sur la cuvette des toilettes, la porte grande ouverte, le leggins et le string en bas des chevilles, la tête contre le mur du fond, les yeux fermés.

- Ma chérie, ça va ?

Elle ne répond pas. Je lui repose la question, elle balbutie :

- C'est pas la forme.

Et là en une seconde une idée perverse me traverse l'esprit. Je m'approche d'elle, m'accroupis et lui enlève son leggins. Je pense que c’est à ce moment que mon esprit a dévié et que je ne pouvais plus faire marche arrière. Elle me demande ce que je fais, les yeux à moitié fermés, ce à quoi je lui réponds qu'elle aura moins chaud comme ça. Je la lève des toilettes, tire un peu sur son haut. C'est vrai qu'il est court, il cache juste le bas de son cul. Elle est magnifique comme ça, perchée sur des talons hauts, ses longues jambes bronzées, son petit haut qui ne cache presque rien de son anatomie si parfaite.

Nous sortons des toilettes. J'espère juste que le patron sera encore et toujours dans sa cuisine. C'est le cas. Ma femme titube un peu, je lui propose de s'asseoir un peu avant de partir et nous nous posons à notre table. Je l'aide à s'asseoir, elle croise les jambes, on voit presque son cul. Je m'assieds et regarde en direction des deux camionneurs. Le gros est bouche bée. Il dit un mot à son pote qui regarde dans la direction de ma femme et sourit. Ce dernier lui répond un truc à son tour et reprend la dégustation de son dessert. Le gros ne peut plus détacher son regard des jambes de ma femme et a même sa main sur sa braguette. Sarah le voit et balbutie :

- Quel gros porc !

Il croise mon regard, pas gêné, se lève, vient vers nous, et sans rien demander s'assied entre ma femme et moi et engage la conversation :

- Alors les tourtereaux, elle était bonne ma prune ? Lance-t-il dans ma direction tout en matant ma chérie.

- Oui, mais elle nous a achevé, surtout ma femme. Elle est bourrée et a très chaud !

Je le vois sourire. Et de me demander si on vient souvent dans le coin, d'où on vient, un tas de banalités, alors que je vois son bras droit qui bouge, me laissant à penser qu'il est en train de caresser les cuisses de ma femme qui ne réagit que par à-coups maladroits en le repoussant timidement. Je fais le mec bourré et je lui dis que nous allons rentrer. Le mec, pas démonté, nous lance :

- Je vous raccompagne !

Et il se lève. J'aide ma femme à se relever, tandis que le gros lance à son pote :

- Salut Gilbert, bonne nuit, je raccompagne les jeunes à leur voiture. Ne te branle pas trop ce soir ! 

Nous sortons. Ma femme me glisse :

- On rentre ?

Je lui réponds :

- Oui, oui ma chérie !

Le gros me demande où nous sommes garés, je lui réponds que nous sommes sur le parking poids lourds. Et là la phrase que j'attendais et que je n'espérais plus fuse :

- Ah bon, vous êtes sur mon parking ? Dit-il comme s’il lui appartenait.

Puis il ajoute :

- Venez je vais vous faire visiter mon camion.

Je lui réponds que je ne suis pas sûr, que nous sommes bourrés et fatigués. Il insiste en me disant que ce sera juste un petit coup d'œil. J’hésite encore et il devient presque menaçant. Nous arrivons à son camion qui n'est pas loin de ma voiture. Un gros camion. Le type me dit qu'il est transporteur indépendant, me parle de son bébé (son camion bien sûr), et nous montons à bord. Il fait monter ma femme en premier et mate son cul sans gêne. C’est comme si je n’existais plus. Il faut dire que la vue sur son string noir est plus que belle. Il me semble qu’il va jusqu’à lui mettre une main au cul. Je suis à la fois choqué et terriblement excité.

La cabine est immense. A mon regard le mec est tout fier. Et surtout de la partie couchette. Un grand lit surélevé, un frigo, une douche, la grande classe quoi. Ou presque ! Quelques posters de nanas à poils ou en petites tenues sont affichés sur un pan de cloison. Il voit que je les regarde et me lance en rigolant un :

- Ça ce sont mes petites chéries. Elles sont toutes passées dans mon lit.

Il nous propose une boisson fraîche en nous disant qu'elle nous fera du bien. Il ferme les rideaux qui séparent la couchette du pilotage en balançant :

- Voilà on est tranquille là !

Nous nous asseyons sur le lit. Ma femme à encore le réflexe de tirer un peu sur son haut, mais toujours maladroitement, ce qui couvre juste le haut de ses cuisses. Bourrée elle n'a même pas percutée qu'elle n'avait plus de leggins. Le gros s'installe vers nous. Nous buvons, discutons, mais pas ma femme qui cuve un peu. Il reluque ses cuisses et ses seins, qui de ma position et de la sienne sont presque visibles entièrement par transparence due à la lumière. Je fais alors semblant de ne pas être bien, et je lui dis qu'on va partir. Il me rétorque alors que je ferais bien de dormir un peu, car ce n'est pas prudent de prendre le volant dans mon état. Il ajoute qu'on peut dormir dans sa couchette une heure ou deux si on le veut, et que lui dormira dans le poste de pilotage. Je lui réponds que je préfère aller somnoler dans ma voiture, mais que je veux bien que ma femme dorme un peu sur un lit plus confortable. Je ne sais pas pourquoi je dis ça, je la jette en plein dans la gueule du loup. Sarah ne réagit pas trop sur le coup, puis me bafouille un :

- On rentre mon amour ?

Je lui réplique alors qu'elle va se reposer un peu là, et que je ne suis pas loin, que je viens la chercher dans peu de temps. Je dis au gros que je vais à ma voiture et qu'il vienne me réveiller dans une heure. D'un ton tout mielleux il m'assure que ce sera fait, et sort une couverture pour ma femme. Ma femme me demande un bisou, me redemande de venir la chercher vite. Michel le camionneur rigole et dit :

- Ne t’inquiète pas je ne vais pas te faire de mal.

Je fais deux pas, tire le rideau, regarde le gros qui fait mine de déplier la couverture, mon épouse me regarde tristement, les yeux embués par l'alcool. J'hésite presque à tout arrêter et partir avec elle, je dis au gros que je claque la porte. Celui-ci me répond :

- Pas de soucis je la bloquerai en me couchant !

Finalement je referme le rideau, me glisse vers la porte passager, et fait mine à mon tour de partir, l'ouvrant et la claquant quelques secondes après. Je ne bouge pas pendant quelques instants tout en craignant que le gros ne surgisse de la couchette. J'ai le sang qui bouillonne au niveau de mon visage, les jambes qui flagellent un peu. J'attends. Rien. Je me rapproche de l'ouverture des rideaux, et les écartent un peu...

A suivre…