jeudi 5 août 2021

Une classe à part.

 Traduction d’un texte de LizIntrouble.

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Rachel savait que son insouciance serait sa perte. Elle a toujours été insouciante dans les écoles précédentes. Son incapacité à garder ses jambes fermées et à s’habiller de façon conservatrice lui cause du tort. Mais pourquoi devrait-elle changer ? Elle a 27 ans et elle est magnifique, mince, un beau visage, des beaux seins bien ronds, un cul ferme, des yeux bleus et des cheveux naturellement blonds avec quelques reflets. Pourquoi ne pourrait-elle pas porter des jupes au-dessus des genoux ou des chemisiers blancs en soie qui laissent voir ses soutien-gorges en dentelle noir dessous ? Et pourquoi ne pourrait-elle pas se maquiller pour plaire aux hommes ? On est au 21ème siècle et elle n’est pas une bonne sœur.

Dans les autres écoles, elle avait toujours eu des flirts avec le personnel ou des élèves. Par contre jamais avec un mineur, elle ne voulait pas être arrêtée. Et bien sûr elle avait été le sujet de messes basses, de jalousie, de dénonciations d’autres enseignants si bien que les directeurs d’école ne voulaient pas que son contrat soit renouvelé. Bien sûr, en bons hypocrites ils lui disaient qu’ils lui donneraient de bonnes références.

Et après un certain temps, même avec ces bonnes références, son CV a commencé à parler pour elle : Trop de départs d’établissements. Il était devenu clair pour tout directeur d’école qui le lisait qu’elle avait des problèmes. Les offres d’emploi ont donc commencé à se réduire. 

Et voilà, elle s’est retrouvé à GREENWARD, une école du centre de LONDRES réputée pour accueillir des élèves difficiles en rupture de scolarité. Ceci étant dit, elle aurait dû faire plus attention à ce qu’elle faisait et ne pas oublier son ordinateur portable dans sa classe de rattrapage d’anglais. Ses élèves ne sont plus des garçons, mais des jeunes hommes de plus de 18 ans obligés de suivre des cours de rattrapage, car le gouvernement avait décidé qu’ils ne pouvaient terminer leur scolarité avant d’avoir obtenu une bonne moyenne en mathématiques et en anglais. Il y avait peu de chance que ça se produise. Ces jeunes hommes avaient continué, irrités à suivre des cours après avoir échoué plusieurs années de suite leurs examens. Ils échoueraient encore.

Ce n’est qu’à midi que Rachel se rend compte qu’elle a perdu son ordinateur portable. Elle frissonne alors qu’elle tente de se rappeler mentalement sa matinée. Quand elle arrive en trombe dans la salle de classe où elle l’a laissé, il y voit une poignée de jeunes hommes noirs de 18 ans souriants et arrogants qui se prélassent. Il y a une légère odeur d’herbe dans l’air.

- Qu’est-ce qui se passe mademoiselle ? Vous avez perdu quelque chose ? Dit en souriant Errol WALKER, le plus grand et le meneur de la bande des garçons.

- Je… je crois que j’ai laissé mon ordinateur ici. Est-ce que quelqu’un l’a vu ? Demande Rachel.

- C’est celui avec tous les films pornos de bondage dessus ?  Non je ne pense pas l’avoir vu ? Répond innocemment Errol.

- Peut-être que quelqu’un va le ramener à l’administration ou au directeur, vous croyez pas ? Déclare Jason YAKUBU, le meilleur ami d’Errol, un jeune maigre.

Un terrible creux à l’estomac, désespérée, Rachel balbutie :

- S’il vous plaît Errol, Jason ! Rendez-le-moi et nous n’en parlerons plus, je vous le promets.

Elle pense à ce qu’il y a dedans. Sa collection pornographique est vaste et occupe les 120Go de capacité de son ordinateur portable. Il y a quelques éléments de choix et sa collection d’histoires est là dans son intégralité. Puis ils n’ont qu’à ouvrir le navigateur Chrome pour trouver les signets vers des sites auxquels elle ne veut même pas penser en ce moment.

- Vous êtes donc une salope perverse Mademoiselle ? Vous aimez vraiment ça ? C’est vraiment vicieux ! Dit Jason.

- Je ne veux pas en discuter avec vous. Rendez-moi mon ordinateur ou je vais aller voir la police.

Mais, confiant, Errol répond :

- Je ne pense pas. Parce qu’alors ils découvriraient que vous apportez un ordinateur à l’école avec tous vos documents pornos et vicieux. Vous seriez arrêtée pour avoir tenté de nous corrompre. Mais peut-être…

Le garçon essaie d’avoir l’air cool avant de continuer :

- Peut-être qu’il y a moyen que vous le récupériez…

Rachel sait très bien ce qui va suivre. Elle rougit d’embarras, mais il y a une partie d’elle qui trouve cette situation assez excitante.

- Je t’écoute. Dit-elle doucement.

- Nous voulons que vous fassiez tout ce qui est pervers sur les vidéos Mademoiselle. Seulement, vous allez les faire pour nous, pour de vrai. Dit Errol.

Rachel ferme les yeux et laisse échapper un soupir, son esprit s’affolant. Elle est piégée et elle le sait. Cette fois il n’y aura pas de licenciement, pas de lettre de référence, rien pour la protéger des journaux ou de la police. Elle commence à envisager la prison et la fin de sa carrière d’enseignante. Elle sait qu’elle n’a qu’un seul choix à faire.

- Très bien ! Quand ? Demande-t-elle vaincue.

Les garçons sourient, ils n’arrivent pas à croire que leur chantage a fonctionné.

- Yes ! Crie Jason ravi.

Un autre jeune plus petit et plus trapu s’appelant Robert dit alors :

- Elle aime ça ! Regardez ses nichons !

Les jeunes portent leur attention sur ses mamelons dressés qui poussent le tissu de son soutien-gorge et de son chemisier.

- Mademoiselle, vous êtes bien vicieuse. Ce week-end. Vendredi soir probablement. Nous vous le dirons, d’accord ? Dit Errol.

- Très bien Dit Rachel avant de sortir de la classe dans un état second.

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Le reste de la semaine se passe comme dans un brouillard. Rachel trouve impossible de se concentrer sur autre chose que ce qui l’attend vendredi soir. Elle est distraite pendant ses cours et elle doit se rendre plusieurs fois aux toilettes pour vomir à cause de sa nervosité. Et pourtant, la pensée d’être à la merci d’une bande de jeunes garçons de 18 ans est fortement excitante.

Si bien que le soir elle regarde des vidéos de violents gang-bang et elle s’imagine à la place de l’actrice porno. Elle laisse sa main glisser à l’intérieur de sa culotte et elle se masturbe pour avoir orgasme après orgasme. 

Elle sait qu’ils ne vont pas être prévenants. Le problème avec les jeunes d’aujourd’hui c’est qu’ils ont grandi en apprenant le sexe avec des vidéos pornos. Ils les considèrent comme des modes d’emploi, comme normaux et non pas comme une expression d’amour entre deux personnes. 

Mais la pensée d’être bousculée l’excite encore plus. Elle n’aura pas d’autre choix que de se soumettre à toutes les envies déviantes qu’ils pourront imaginer, ou plutôt qu’ils ont vues. Elle sait que son ordinateur portable contient des documents assez choquants.

Une lettre est dans son sac le jeudi. Il est écrit : « Vendredi soir, 21 heures ». Il est donné une adresse où se trouvent des appartements abandonnés qui font partie d’un projet de rénovation. Il est aussi écrit : « Habille-toi sexy, avec des bas et tout ça. Et apporte du matériel ».

Le vendredi, Rachel est nerveuse toute la journée. Ses cours sont décousus et ses élèves s’ennuient. Alors que le temps s’écoule lentement sur les horloges de l’école, elle sait que le rendez-vous avec les garçons approche. Heureusement elle n’a pas cours avec eux ce jour-là, car elle n’est pas sûre de pouvoir leur faire face.

Enfin la journée arrive à son terme. Rachel bâcle ses devoirs après les cours pour se précipiter chez elle et se changer.

La tenue qu’elle choisit est une parodie sexy de sa tenue habituelle de professeure. Il s’agit d’une veste bleu foncé et d’une jupe crayon. Mais cette jupe est scandaleusement trop courte pour être portée à l’école. Elle arrive à peine à mi-hauteur de ses cuisses et montre le haut de ses bas lorsqu’elle marche. Son chemisier est mince et transparent, son soutien-gorge en dentelle noir est clairement visible en dessous. Des bas résille, un porte-jarretelle et une culotte noire assortie sont de rigueur. Bien sûr elle ajoute une paire de hauts talons noirs brillants pour se mettre en valeur.  Elle minimise les bijoux, pensant qu’ils pourraient se casser ou disparaître dans ce qui va suivre. Par contre elle exagère le maquillage avec de longs faux cils, du vernis à ongles et rouge à lèvre rouge vif et scintillant.

En sortant de sa voiture, elle se sent comme une vraie salope, mais elle se dit que c’est le but. Elle se rend à l’endroit désigné et s’arrête. Les appartements abandonnés semblent sombres, mais elle aperçoit une lumière vaciller par une des fenêtres. Le pourtour de l’immeuble est clôturé par des panneaux publicitaires qui annoncent le projet de rénovation, mais il y a un espace dans un coin où Rachel peut se faufiler. Elle cache ses clés de voiture et son téléphone portable sous une brique, juste au cas où les choses deviendraient vraiment incontrôlables. Elle continue dans l’obscurité de s’approcher des appartements.

Elle craint qu’un inconnu ne l’attaque dans ce coin, mais elle ne voit personne jusqu’à ce qu’elle atteigne l’entrée de l’immeuble. Un jeune noir qu’elle ne connaît pas est appuyé contre le mur en béton. Il la regarde de haut en bas dans la faible lumière filtrant de la rue. Il dit :

- Bien ! 2ème étage ! La porte est ouverte.

Elle hoche la tête et continue son chemin à travers des marches en béton qui sentent l’urine. Elle arrive sur un balcon au deuxième étage. Il y a une rangée de portes d’entrée menant aux appartements de ce niveau. Toutes sont cadenassée et les fenêtres sont couvertes par des volets métalliques. Toutefois une porte est restée ouverte. Une faible lumière vacillante en sort ainsi que des bruits de conversation. Elle prend une profonde inspiration et se dirige lentement vers la porte.

A l’intérieur se trouve une pièce éclairée à la lueur de bougies. Cinq jeunes dont Errol, Jason et Robert se prélassent en fumant un joint. Des canettes de bière pleines et vides traînent partout. Il n’y a pas de meubles, seulement un tapis usé et taché. Malgré l’odeur du joint, la pièce sent le vieux et le moisi. A part les bougies, il n’y a pas de lumière. Tous les câbles électriques ont été arrachés. Mais sur un côté, un ordinateur portable, son ordinateur constate Rachel, est allumé projetant une lumière bleutée dans la pièce.

Sur l’écran, il y a une vidéo porno en pause. Rachel la reconnaît immédiatement c’est l’une de ses préférées. Le titre est « sexe et soumission », une jeune femme en jupe se retrouve dans un immeuble miteux à la merci de cinq hommes noirs et costauds. Elle comprend que ça va être le scénario principal pour ce soir. Elle s’est même habillée accidentellement de manière similaire, la seule différence étant qu’elle est blonde et non rousse.

Les garçons sourient vicieusement lorsqu’elle entre dans l’appartement minable. Il n’y a aucun préambule, dès qu’elle est entrée dans la pièce, la porte claque derrière elle et quelqu’un redémarre la vidéo sur l’ordinateur. En même temps un garçon se déplace derrière elle, tout comme l’un des noirs fait à l’actrice sur l’écran. Il lui attrape les bras et les lui épingle sur les côtés. Un autre garçon le rejoint. Maintenant tout en tenant un bras chacun, ils tirent sur sa veste et son chemisier tout en continuant à regarder l’écran où les bruits de protestation de l’actrice sortent des petits haut-parleurs. Les deux garçons essaient de suivre le rythme du film. Cependant, Rachel ne fait aucun bruit et n’émet aucune protestation. Les gars se regroupent autour d’elle pour la toucher. Des doigts rugueux saisissent ses seins, les malaxent à travers le fin tissu de son soutien-gorge et de son chemisier. Sa jupe est remontée à la taille, révélant sa petite culotte ainsi que ses bas et le porte-jarretelle.

Il y a une excitation animale chez les jeunes hommes. Rachel se trouve submergée par leur présence physique et leur empressement vigoureux. Être tirée et bousculée de cette façon, son chemisier déchiré les boutons tombant sur le tapis, son soutien-gorge tiré vers le bas pour laisser ses seins libres, tripotée et caressée sans possibilité de faire quelque chose est à la fois effrayant et érotique, brutal et excitant. Elle se sent s’abandonner à l’instant, sa chatte s’humidifiant. 

Les gars ont du mal avec sa culotte, ils la tirent avec frénésie, le tissu lui rentrant dans les fesses et même dans sa chatte avant qu’elle ne se déchire. Elle pousse un premier cri. Elle regarde autour d’elle et ne voit que des yeux sauvages. De grosses mains noires lui frottent les cuisses, les lèvres de sa chatte et sentent la moiteur de son sexe. Elle entend des cris d’approbation sauvages.

- Elle mouille les mecs ! Crie l’un d’eux, probablement Robert.

Une main forte attrape ses cheveux et tire sa tête vers un entrejambe.

- Suce ma bite professeure ! Ordonne Errol.

Sa braguette est défaite et son érection semi-dure dépasse de son jean. Rachel gémit et ouvre docilement ses lèvres pour le laisser pousser sa bite dans sa bouche. Elle goûte la sueur et l’urine rance du membre. Elle aurait dû se douter qu’il n’allait pas prendre la peine de se doucher avant. Le garçon pousse plus loin et tandis que son sexe se raidit, elle sent le gland cogner au fond de sa gorge. Elle commence à étouffer.

Un autre gars se positionne derrière elle en saisissant ses hanches. Il la frappe plusieurs fois avec sa bite raide jusqu’à ce que la pointe trouve son trou humide et glisse à l’intérieur. Il pousse ses hanches en avant et enfouit toute la longueur de sa queue en elle. Rachel grogne autour du sexe dans sa bouche alors qu’elle sent sa chatte s’étirer pour accueillir son élève. Le jeune homme lui claque les fesses, lui envoyant des petits chocs de douleur et rougissant son cul.

- Je baise Mademoiselle HENDERSON la pute ! Crie Jason avec joie.

Les jeunes noirs rigolent et se tapent dans la main.

- Putain de salope ! Ricane un autre avec dédain.

Rachel rougit d’embarras d’être traitée et insultée aussi vulgairement, mais ça lui envoie également des frissons d’excitation dans tout son corps. Elle gémit autour du sexe d’Errol alors qu’il essaie de l’enfoncer plus profondément dans sa gorge, la forçant à l’accueillir. Elle étouffe maintenant, de la salive sort en bulles sur ses lèvres rouge vif et coule sur son menton qui touche les couilles noires et velues du jeune homme.

Penchée à la taille sur ses talons, jupe retroussée, ses seins débordant du soutien-gorge, chemisier ouvert, une bite dans sa chatte, une autre dans sa bouche, Rachel est au paradis. Des mains claquent sur ses fesses et ses cuisses, d’autres giflent ses seins ou son visage, mais ça n’ajoute qu’à la sensation d’être possédée. Elle remarque que l’un des gars se déplace sur le côté pour agripper ses seins après avoir écarté le chemisier. Un autre tourne autour d’Errol en piaffant d’impatience.

- A mon tour mec ! Ils ont changé sur le film, regarde ! Dit-il.

A l’écran, l’homme qui baisait le visage de l’actrice a changé. Donc il semble que les gars s’en tiennent toujours au scénario de la vidéo.

A contrecœur, Errol laisse son sexe glisser hors de la bouche de Rachel, en traînant derrière lui un long brin de salive. Bientôt un nouveau sexe est présenté à l’enseignante pour qu’elle le suce, ce qu’elle fait avec avidité. Lui aussi lui force la gorge, des boules de salive sortant d’elle en tandem avec l’actrice sur l’écran d’ordinateur. Deux grosses mains fermes se posent à l’arrière de sa tête et agrippent ses cheveux pour forcer son visage sur la bite qui la baise.

- Vous êtes vraiment très jolie Mademoiselle. Souriez pour la caméra s’il vous plaît ! Dit Errol.

Du coin de l’œil mouillé par des larmes, elle remarque avec un sentiment de défaite qu’il a sorti son téléphone et qu’il la filme. Elle se sent complètement misérable et salope, mais elle est aussi complètement excitée. Elle est le centre d’attention de cinq mecs excités qui veulent tous la baiser.

Les garçons changent encore, des bites remplaçant celles qui étaient dans sa chatte et sa bouche. Mais l’un des jeunes hommes qui vient de se retirer attrape sa main et la guide sur sa bite dégoulinante. Elle la saisit fermement et commence à la branler, entendant l’homme soupirer de plaisir. 

Ils continuèrent comme ça un moment avant que celui qui est derrière elle commence à la pilonner plus rapidement. Il pousse de plus en plus de grognements et elle peut sentir qu’il resserre ses mains sur ses hanches alors qu’il gicle son foutre dans son ventre. « il n’y a pas de préservatifs ici » pense-t-elle tardivement et bêtement.

- oh mec, tu jouis ? Tu n’étais pas encore censé le faire mon frère ! Dit un gars.

- je ne suis une putain de star du porno mec ! Proteste l’autre faiblement.

Rachel peut sentir son sperme commencer à couler le long de ses cuisses. Devant elle, Robert, elle se rend compte maintenant à qui appartient la bite qu’elle avait dans la gorge, se retire et lui laisse le temps de reprendre son souffle. 

Un des jeunes sort un rouleau de ruban adhésif et lui attache les mains ensemble dans le dos avec. Rachel est forcée de s’agenouiller et la baise de son visage continue. Maintenant les élèves forment un cercle autour d’elle et elle suce les bites à tour de rôle. Pour elle, sa vision se réduit à un flou de queues noires et de mains noires fermes. Sans ses mains, Rachel est maintenant complètement impuissante. Elle n’est plus qu’une bouche ouverte à utiliser comme trou de baise. Ils fourrent leur bite, l’une après l’autre dans sa bouche chaude et baveuse, ne s’arrêtant seulement pour gifler son visage.

Dans un coin, celui qui a déjà joui branle son sexe ramolli pour bander encore en les regardant. L’un des quatre autres autour d’elle lâche soudainement un gémissement. Rachel sent des giclées humides et chaudes sur sa figure et dans ses cheveux. Le sperme blanc épais et collant roule sur son visage et son cou avant de dégouliner sur ses seins exposés, rejoignant sa bave qui s’y trouve déjà. On lui arrache la bouche de la bite qu’elle est en train de sucer afin de nettoyer celle qui vient d’éjaculer. Elle lèche les reste de sperme suintant de la queue, le laisse rouler sur ses lèvres puis l’avale.

- j’ai besoin de pisser ! Où sont les toilettes ! Demande un gars.

- Elles ne fonctionnent pas, ils ont coupé l’eau. Répond Errol. 

Un grand sourire fend son visage et il ajoute :

- Je parie que tu pourrais utiliser Mademoiselle HENDERSON.

Les jeunes sont excités alors qu’ils positionnent leur professeure au centre de la pièce, toujours à genoux. Le jeune ayant envie de pisser dirige son sexe droit vers la bouche de l’enseignante. Rachel grimace de cette nouvelle dégradation, mais ne bouge pas.

- Vous feriez mieux d’ouvrir grand mademoiselle. Ou pas d’ordinateur portable, vous comprenez ? Dit Errol.

Rachel les regarde misérablement, et vaincue elle ouvre docilement la bouche. Presque immédiatement un jet de pisse jaillit de la queue devant elle et remplit sa bouche. Celle-ci bientôt remplie, la pisse se déverse de ses lèvres. Alors elle ferme la bouche et déglutit par réflexe. Elle grimace au goût chaud et saumâtre. Pendant que sa bouche est fermée, le garçon arrose son visage. Rachel ferme les yeux et le laisse faire. Il passe un peu de temps à arroser ses longs cheveux blonds, les plaquant sur son crâne avant de retourner sur sa bouche qu’elle ouvre une nouvelle fois docilement. Rachel prend gorgée de pisse sur gorgée, les valant en grimaçant. La pisse coule sur elle et fait une flaque sur le sol autour d’elle pendant que les autres gars regardent avec une fascination horrifiée.

- Oh c’est dégueulasse !

- Vous êtes une garde vicieuse Mademoiselle !

Une fois de plus le téléphone d’Errol capture chaque instant humiliant.

Finalement le jet d’urine cesse. Les jeunes hommes n’osent pas trop la toucher maintenant. Alors l’un d’eux prend sa veste et son chemisier et essuie Rachel avec. Puis il éponge la mare de pisse sur le sol. Bientôt les gars recommencent à lui fourrer des bites dures dans la gorge.

Ensuite ils lui détachent les mains et elle se retrouve à quatre pattes. Jason passe derrière elle et la baise un moment avant de se retirer.

Puis Rachel, sent sa bite gluante pousser contre son petit trou du cul. Elle grimace à nouveau en comprenant ce qui va arriver. Dans la seconde suivante, le jeune garçon pousse fortement et une sensation de déchirure annonce son entrée dans son trou du cul. Elle crie, mais le son est étouffé alors que sa gorge est encore pleine d’une queue. 

L’engin dur et chaud est enfoui profondément dans son petit cul sensible. Rachel avait déjà utilisé des godes, mais ce n’est pas comparable à cette sensation d’une bite bien raide qui ramone son cul. La douleur s’estompe rapidement et l’enseignante apprécie presque cette sensation d’être remplie, sensation qu’elle n’a pas avec sa chatte.

- Elle a un petit cul serré ! Déclare Jason.

Il pousse ses hanches d’avant en arrière et prend un rythme rapide. Il accélère de baiser ce petit trou serré et bientôt il lâche un long gémissement de satisfaction. Rachel sent le sperme qui gicle profondément dans ses entrailles. 

Le garçon se retire avec un « plop » et lui tend son sexe souillé à nettoyer. Rachel évite de penser d’où il vient et se retrouve docilement la langue tendue pour le lécher. Les garçons sont ébahis et crient :

- Putain !

- Ohh quelle salope vicieuse !

Rachel perd alors conscience de son environnement. Elle n’est devenue qu’un jouet pour les besoins sexuels masculins. Les queues se succèdent dans sa bouche, sa chatte et son cul. Elle se sent dériver dans un océan de plénitude alors qu’elle est baisée brutalement. 

Un noyau de plaisir se construit en elle jusqu’au moment où elle se retrouve à se tordre et à trembler autour d’une bite dans sa bouche. c’est l’orgasme le plus intense et fracassant qu’elle n’a jamais éprouvé.

Elle se retrouve tremblante et faible, allongée par terre, incapable de résister à toute nouvelle pénétration. Le foutre gicle dans sa bouche, sa chatte, son cul, sur ses seins douloureux ou son visage rouge et enflé. Le scénario du film est depuis longtemps oublié. Elle n’est plus qu’un objet sexuel.

Enfin ça commence à se calmer. Même si ces jeunes hommes sont en pleine forme, ils se sont bien dépensés. Ils commencent lentement à partir un par un. Rachel entend quelques « Faudra recommencer » ou « A plus tard salope ! ». l’un des jeunes prend même le temps de la remercier pour la soirée. Bientôt il ne reste qu’Errol qui continue à filmer.

- Votre ordinateur portable est là-bas. Vous pouvez le reprendre ? De toute façon j’ai maintenant beaucoup choses pour vous garder sous la main. Dit-il.

Puis il se racle la gorge et crache un gros mollard sur le visage de Rachel. Celle-ci lève les yeux vers lui, sans broncher. Errol continue :

- Vous êtes notre garce maintenant. Nous vous possédons. Vous devrez faire tout ce que nous dirons sinon…

Il laisse la menace en suspens. Rachel acquiesce silencieusement, acceptant sa soumission. 

Le jeune homme prend dans sa main sa bite flasque et commence à pisser sur elle, pointant le jet de haut en bas sur son corps épuisé et tremblant. Il prend soin de bien mouiller ses vêtements, son visage, ses cheveux, comme un chien marquant son territoire. Ayant fini il renifle avec mépris, puis sort de l’appartement en laissant Rachel, allongée seule dans la faible lumière de l’écran de son ordinateur.

Elle baisse les yeux sur son corps. Ses bas sont en lambeaux, une chaussure est seulement retenue par sa bride à sa cheville, sa mini-jupe est froissée et mouillée autour de sa taille, son soutien-gorge est toujours baissé sous ses seins. Sa culotte n’est pas visible, sa veste et son chemisier sont trempés d’urine. Sa bouche, sa chatte et son cul, tous endoloris, laissent échapper des filets de foutre. 

Fatiguée et encore allongée, sa main glisse jusqu’à sa chatte gonflée et maltraitée. Elle laisse ses doigts glisser dans l’antre souillé d’un mélange de fluides et elle commence à se masturber.

FIN

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