Texte de Aldo37.
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Soirée chez notre vieux voisin.
Le lendemain de cette soirée chez Jean-Paul, nous avons été faire des courses à l'hypermarché du coin. Isabelle était mignonne, jean et t-shirt moulant. Revenant vers 11h00, Jean-Paul était dans son jardin, il héla Isabelle :
- Isabelle, viens voir ici, j'ai deux mots à te dire.
Isabelle alla le rejoindre dans le jardin, je les vis entrer dans la maison, tandis que je débarquai les courses. Isabelle ne revint qu'à midi.
- Mais... Que faisais-tu ? Cela fait une heure que je t'attends ??
- A ton avis ???? Pourquoi tu crois qu'il m'a appelée ??? Il m'a fait l'amour sur le canapé, voilà !!! Tu sais tout !!
Isabelle se dirigea vers la salle de bains, et j'entendis la douche couler. Le repas fût assez tendu, mais il nous donna l'occasion d'évoquer le futur travail de ma femme, qui avait obtenu quelques jours de congés supplémentaires. Nous étions samedi, elle commençait le lundi suivant.
- Tu sais, Marc, il va falloir mettre ta jalousie dans ta poche et le mouchoir par dessus. Nous avons accepté leurs conditions, et il va falloir partager. Tu as compris qu'ils veulent disposer de moi comme ils l'entendent, et nous n'avons de toute façon pas le choix. Il y a des tas de secrétaires qui se font prendre par leurs patrons, j'en serai une de plus. Ce n'est pas bien original, et ça nous permet de garder notre maison.
Je n'étais pas convaincu par les explications maladroites que me donnait Isabelle, je me mis à sangloter.
- Marc, mon amour, calme-toi ! C'est toi que j'aime voyons, il n'y a que toi ! Les autres sont des amants, des passades.
Le soir, Jean-Paul vînt, à l'heure de l'apéritif, nous voir.
- Vous viendrez tous les deux après le repas, j'ai envie de faire une série de photos d'Isabelle ! Nous en ferons plusieurs : en lingerie, nue, et bien sûr, en actions ! Marc, tu prendras les photos. Toi, Isabelle, prépare de la lingerie, tout ce que tu pourras trouver !
Jean-Paul finit son Ricard et retourna chez lui.
- Je vous attends à 22h00 ! Tâchez d'être à l'heure !
Isabelle alla dans notre chambre, et chercha dans notre armoire la lingerie exigée par son amant : porte-jarretelles, bas, nuisettes transparentes, guêpières, bustiers, déshabillés transparent, soutien-gorge balconnets, strings brésiliens, ficelle. Moi qui aimais tant la voir sexy, et qui lui offrait très souvent de la lingerie, cette lingerie allait servir à exciter son amant, un homme de 60 ans !! Mais, comme elle me le disait à midi, nous n'avions pas le choix.
Après le dîner, nous allâmes chez Jean-Paul, il avait préparé café et champagne, Isabelle tenait un sac qui contenait lingerie et talons hauts. Jean-Paul fit l'inventaire du sac, et je vous passe les commentaires salaces qu'il formula à cette occasion !! Il alla chercher un caméscope qu'il fixa sur un pied, et me donna un appareil photo et plusieurs rouleaux de pellicule.
- Bien ! On va pouvoir commencer, qu'en pensez-vous ?? Allez, Isabelle, A POIL !
Isabelle s'exécuta, et fût bientôt nue devant nous. Il brancha le caméscope. Jean-Paul lui tendit différents effets de lingerie : soutien-gorge, slip brésilien, porte-jarretelles, bas noirs, et nuisette transparente. Je fus obligé de prendre plusieurs clichés, Isabelle enlevant à chaque fois une pièce de sous-vêtements, en différentes positions et lieux du salon, sous les commentaires de son amant :
- Cambre-toi mieux, offres mieux ton cul !
- Passes ta langue sur tes lèvres !
- Sors la langue !
- Ecarte ta chatte avec deux doigts !
Toute la lingerie fût essayée, et j'en étais déjà au sixième rouleau de pellicule et à ma quatrième coupe de champagne lorsque Jean-Paul décida :
- Maintenant, on va faire un peu d'action On va passer dans la chambre !
Isabelle, qui n'était vêtue que d'un porte-jarretelles, de bas, et de hauts talons, s'allongea tout de suite sur le lit, pendant que Jean-Paul se déshabillait.
- Tu ne t'es pas ennuyée, à midi, mais rassures toi, je vais t'en remettre ! Ca fait plus d'une heure que tu m'excites, avec tes photos.
Nu, il rejoint Isabelle sur le lit, il se mit à genoux à côté d'elle.
- Allez, branle-moi un peu !
Isabelle prit le sexe déjà dressé dans sa main, et commença à le masturber en cadence.
- Alors, elle est belle ma queue ??
- Oh oui elle est belle, et elle est grosse !
- Humm plus grosse que celle de ton mari ??
- Oui plus grosse.et plus raide.
- Ah ça, quand je te vois, je peux dire que tu me mets une trique d'enfer. Continue à me branler plus vite allez !!
Isabelle intensifia le mouvement le sexe gonflait à vue d'œil.
- Eh bien, toi, qu'est ce que tu attends ?? Tu les prends ces photos ?? Tu ne vois pas qu'elle est en train de me branler ??
J'obéis, et le flash crépita de nouveau. Sans qu'il lui demande, Isabelle arrêta de le masturber pour engloutir son sexe dans sa bouche et lui faire une fellation.
- Oui, c'est bien suce-moi suce la grosse pine !
Je voyais ma femme en train de le sucer, les yeux fermés, cette grosse queue dans sa bouche, les couilles de son amant butant quelques fois sur son menton, sortant la langue, titillant le gland, léchant la verge pour la reprendre mieux en bouche.
- Bon, je vais te prendre !
Il se retira de la bouche, vînt au dessus d'Isabelle, la pénétra, puis leva ses jambes bien haut, pour les placer droites sur ses épaules, et commença à la posséder.
- Humm. Ca y est, tu la prends bien.
Ma femme gémissait, tandis que la bite allait et venait en elle. Il la sortait quelquefois, pour mieux la replonger à fond. Il décida au bout d'un moment de changer de position, et mit Isabelle en levrette, puis la pénétra immédiatement de plus belle.
- Je te prends bien là. Tu la sens bien ma grosse queue, hein ??
Il tenait Isabelle par les hanches et donnait de furieux coups de reins. Isabelle criait maintenant sous les coups de boutoir de son amant.
- Tu la sens bien ma queue ??? Réponds-moi, petite salope !!!
- Ouiii Oui je la sens elle est grosse oui !
Il lima encore un moment Isabelle, jusqu'à la faire jouir.
- Ahhh !! Je viens oui, je viens je jouis oh c'est bon salaud, c'est bon !!! Ahhhhh !!!
Isabelle était empalée, épuisée, hurlant, jouissant. Jean-Paul se retira, la queue dressée, luisante, se la frotta sur les fesses de ma femme, le long de la raie.
- Maintenant, je vais te la mettre dans le cul !
Isabelle réagit tout de suite :
- Non ! je vous en prie, pas ça ! Pas ça !
- Pas ça ??? Mais si Isabelle, je vais t' ENCULER !
Joignant le geste à la parole, il porta sa main à ses lèves, enduisit ses doigts de salive, qu'il porta à l'anus d'Isabelle, pour préparer la pénétration. Isabelle résistait, portait ses mains à ses fesses pour l'empêcher.
- Tu restes tranquille oui ??? Je t'ai dit : en levrette !! Alors tu te mets à quatre pattes et tu obéis !
Il humidifia encore ses doigts et pénétra d'un doigt, puis deux, l'anus à Isabelle, qui gémit.
- Bon, tu es prête maintenant, je vais prendre ton petit trou !
Il pointa le gland sur l'anus.
- NON ! je ne veux pas ! je ne veux pas je vous en prie non !
Il ne s'occupa pas des plaintes de ma femme, le gland força le passage.
- AIE !!!! NON non !!! Ca fait mal ! Non !!!
Le gland était déjà entré. Jean-Paul n'eût plus qu'à forcer un peu pour faire entrer la verge entière, ce qui entraîna un hurlement d'Isabelle.
- Ca y est elle est rentrée. Arrête donc de gueuler comme ça ! Ce n'est quand même pas la première fois que tu te fais enculer quand même !
Il commença à la prendre doucement, faisant aller et venir son sexe dans le conduit étroit, puis accéléra le rythme, pour franchement aller et venir et posséder Isabelle dans son intimité la plus secrète.
- Ah salope, il est bien serré, ton cul. Tu aimes ça, hein ??
- Tu la prends bien, je te casse bien le cul.
- Tu aimes, te faire enculer devant ton mari ???
- Réponds !!!!
- Ahh... ah ! ahh oui oui j'aime ça ! Encule-moi.
- Rassure-toi, tu prends ce qu'il faut ! Tu en prends plein le cul. Je t'encule à fond !
Il voulut changer de position. Il s'allongea, et Isabelle dût s'empaler, dans l'anus, dos à lui. Je vis ma femme prendre la queue elle-même, se la placer comme il fallait, et s'empaler sur la queue dressée. Il la fit bouger en cette position, je la vis grimacer, la queue plantée dans le cul. Puis il la reprit, toujours dans le petit, en levrette, et la fît jouir de nouveau. Enfin, il se retira, pour jouir longuement sur ses reins et ses fesses. Littéralement épuisée, Isabelle tomba sur le ventre.
- Dis donc, je lui ai mis sa dose ! Regarde-moi la elle est heureuse, non ??
Il regarda ma femme allongée, les reins et les fesses souillés de sperme :
- Un jour, je te ferai lécher mon foutre sur ta femme ! Je suis sûr que tu aimeras !
Il se mit à rire et alla se laver. Quand il revint, Isabelle se leva et alla prendre une douche. Je lui remis les 10 rouleaux de pellicule utilisés dans la soirée.
- Très bien ! Cela va faire de jolis albums souvenirs. Je vous montrerai ça quand ce sera développé.
Isabelle nous rejoignît, toujours nue, puis alla s'habiller. Nous avons fini la deuxième bouteille de champagne, Jean-Paul ne manqua pas d'embrasser et de peloter encore Isabelle.
- Il est déjà 2 heures du matin ! Le temps passe vite ! Rentrez vite chez vous, parce que lundi, petite Isabelle, tu vas travailler !! Et tu sais bien que tu ne vas pas t'ennuyer, petite coquine.
C'est ainsi que se termina cette journée, ou plutôt que le dimanche commença.
A SUIVRE...
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