lundi 21 septembre 2020

Les mécaniciens.

 Traduction d’un texte de lets_experiment.

 *****

Je ne comprends pas comment j’ai pu oublier de donner à ma femme Robin l’argent pour payer le garage pour les réparations sur sa voiture. Elle me l’avait demandé la veille et je lui avais assuré que je le ferais, mais j’avais complètement oublié. Et là, il est temps pour elle de récupérer la voiture, sans argent ni carte de crédit pour payer le garage. J’essaie de l’appeler sur son téléphone portable, mais il se contente de sonner jusqu’à ce que la messagerie vocale démarre. Je me demande si elle fait exprès de m’ignorer parce qu’elle est furieuse que j’ai oublié.

Quand j’arrive au garage, les portes sont fermées. Il semble n’y avoir personne. c’est étonnant, car il n’est que quinze heures et normalement il devrait être encore ouvert. Bien que le garage semble fermé, j’essaie d’ouvrir la petite porte sur le côté pour voir s’il y a quelqu’un. Elle n’est pas verrouillée. Alors j’ouvre et j’entre dans un bureau sombre lentement en essayant de voir et d’écouter si d’autres personnes sont présentes. Je peux alors entendre des bruits derrière la porte qui mène à l’atelier. Je me dirige vers celle-ci.

Quand j’y arrive, les bruits que j’entends semblent être des gémissements avec des gens qui parlent à côté. Je m’arrête un instant pour écouter ce qui se dit.

- Putain c’est bon ! 

- c’est mon tour !

J’essaie de comprendre ce qui se passe quand je vois une autre porte menant à un autre bureau qui a une fenêtre sur l’atelier. D’une de mes visites précédentes au garage, je sais que cette vitre est dotée d’une glace sans tain. Elle permet au patron de surveiller ses employés sans être vu.

Je me dirige vers ce bureau, entre à l’intérieur et regarde la zone de l’atelier. j’ai alors la surprise de ma vie. Je vois ma charmante épouse pliée en deux à la taille. Sa robe est remontée sur son dos et un black la baise par-derrière. Un autre noir est à ses côtés avec son pantalon baissé, la bite sortie qu’elle caresse avec une main. Un troisième gars est devant elle et fait glisser son sexe dans et hors de la bouche de Robin. Comme la robe de ma femme est tire bouchonnée à la taille, ses seins pendent librement.

Au début, je me suis dit qu’elle est violée. Il était pour moi hors de question que ma femme puisse faire ça volontairement. J’étais prêt à intervenir. Mais en regardant de plus près, je remarque qu’elle n’est pas tenue et de toute apparence elle participe de son plein gré. Je remarque aussi que je bande plus que je ne l’ai jamais fait.

Tandis que je regarde la scène devant moi, je remarque un quatrième gars qui sort du magasin de l’atelier ? Il tient un appareil photo et s’en sert à tout-va un grand sourire aux lèvres. J’entends alors l’homme qui baise la bouche de ma femme demander au noir qui la baise par-derrière :

- Comment est cette chatte Marcus ?

L’homme répond qu’il s’agit de la meilleure chatte qu’il ait jamais baisée et que comme elle appartient à une femme au foyer blanche c’est encore mieux. Marcus continue de baiser ma femme, les mains sur ses hanches alors qu’il entre et sort avec du rythme. J’ai l’impression que sa queue fait au moins vingt-cinq centimètres et si elle n’est pas aussi épaisse qu’une bouteille de bière, elle doit en être très proche.

Le gars qui a sa bite dans la bouche de ma femme (j’apprendrai plus tard qu’il s’appelle Peter) commence à grogner et à gémir bruyamment. Ses mains se sont posées sur la tête de Robin et la tiennent en place alors qu’il baise son visage. Son sexe blanc fait dix-huit centimètres environ et il n’est pas plus épais que la normale. Mais ce qui est inhabituel pour moi, c’est qu’il pousse sa bite dans et hors de la bouche de ma femme, ses couilles rebondissant contre son menton. Il pousse profondément une dernière fois et il tient sa tête contre son ventre alors qu’il grogne et éjacule dans la gorge de ma femme. Il doit y avoir une grosse quantité de foutre, car je vois ma femme avaler, mais je vois aussi du sperme s’écouler de, la commissure de ses lèvres.

Peter gémit une dernière fois et recule en laissant sa bite tomber de la bouche de Robin. Pendant un bref instant je peux voir luire un brin du mélange sperme-salive s’étirer du bout du sexe jusqu’aux lèvres de ma femme.

L’homme qui pour le moment est branlé par mon épouse se place alors devant elle et glisse son membre dans sa bouche. Je vois maintenant un black la baiser par-derrière tandis qu’un autre black fait glisser sa queue dans et hors de sa bouche. L’homme (je l’ai entendu se faire appeler « G » par les autres) a une bite sombre comme la nuit. Elle est longue de vingt centimètres environ et elle est aussi épaisse qu’un concombre moyen. Il fait glisser lentement son membre dans et hors de la bouche de Robin en gémissant profondément. Tout en s’activant, il commence à retirer le reste de ses vêtements en disant :

- Nous allons rester un certain temps avec cette femme. Elle a beaucoup à nous offrir.

Le quatrième gars qui tient l’appareil photo aurait pu tourner dans un film de motard. Blanc, trente ans, il est musclé et tatoué de partout. Quand il sort de ses vêtements je me rends compte que son sexe est normal. Mike (je découvrirai son nom plus tard aussi) s’avance à côté de Robin. Il lui prend la main gauche et la pose sur sa bite. Je vois comment ma femme a rapidement enroulé ses doigts autour du sexe pour commencer à le caresser. Je vois distinctement l’alliance de mariage sur son doigt alors qu’elle branle la bite.

Mike met une main sous le menton de mon épouse et lui relève la tête. Il lui dit de regarder l’appareil photo pendant que le sexe de G continue de baiser sa bouche. Le flash se déclenche plusieurs fois. Je ne peux deviner combien de photos ont été prises de ma femme suçant la bite d’un homme noir.

Marcus commence à accélérer dans la chatte de ma femme. Je peux entendre les bruits de claquements alors qu’il enfonce sa bite dans sa chatte. Il commence à grogner et je le vois donner un dernier coup de rein pour plonger sa queue le plus profondément possible en elle. Je comprends qu’il éjacule dans son ventre. Au bout d’un moment il recule et dès que sa bite tombe de la chatte de ma femme, je peux voir du sperme commencer à couler sur ses jambes.

Mike dit alors que c’est son tour, qu’il a droit à plus qu’une branlette. Il se déplace derrière Robin. Je le regarde faire glisser son sexe de haut en bas à l’extérieur de l’antre humide. Je me demande si ma femme va être capable de sentir quoi que ce soit dans sa chatte qui vient d’être baisée par l’énorme bite de Marcus. Mike continue de frotter sa bite puis il entre et ressort plusieurs fois. Je le vois alors sortir complètement de la chatte remplie de sperme et se déplacer un peu plus haut. Je réalise alors que je suis sur le point de regarder un  autre homme enculer ma femme.

Mike se lève sur la pointe des pieds et dirige sa bite vers le petit trou serré de Robin. Il commence à avancer et je peux voir les yeux de mon épouse s’élargir alors qu’elle réalise ce qui va se passer. La bite d’ébène de G continue à sortir et entrer entre ses lèvres.

Mike dit alors qu’il a une autre idée pour que ce soit plus confortable. Il recule pendant que G retire sa bite de la bouche de mon épouse. C’est la première fois depuis que je suis entré que je vois ma femme sans une bite en elle. Mike s’assoit sur une chaise à côté d’une boite à outils et demande à Robin de venir vers lui. Ma femme s’approche, la robe enroulée autour de la taille. Ses seins pendent librement. Je ne vois pas son soutien-gorge ou sa culotte.

Lorsque elle arrive vers Mike, elle s’arrête. l’homme tend la main et lui fait faire demi-tour et il l’a fait s’asseoir sur lui. Il pose sa main sur son sexe et je le regarde glisser sa queue dans le cul de mon épouse. Bientôt elle est empalée sur le mécanicien, la bite enterrée dans son cul jusqu’aux couilles, les jambes relevées et bien écartées. G avance , mais au lieu de remettre sa bite dans s abouche, il la place dans sa chatte. Je regarde ma femme être doublement prise par les deux mécanos.

Tandis que les deux hommes s’en donnent à cœur joie en baisant mon épouse, je vois Marcus avancer. Sa grosse bite noire revient à la vie et il la dirige vers le visage de Robin. Elle se tourne vers le monstre, ouvre largement la bouche pour engloutir le sexe noir.

Je vois avec stupéfaction ma femme, la mère de mes enfants, se faire enculer par un homme alors qu’un autre baise sa chatte et qu’un troisième baise sa bouche avec un engin aux proportions monstrueuses. Robin brille de sueur, son visage exprime l’extase. Je ne pense pas l’avoir vu plus belle et plus satisfaite.

Je remarque alors le quatrième homme, Peter, qui se tient en retrait et prend des photos. Il sourit en se déplaçant d’un côté à l’autre et en prenant ma femme sous tous les angles.

C’est Mike qui commence à jouir, puis G et enfin Marcus. Ils grognent, poussent et jouissent à l’intérieur de Robin. Lorsque Marcus recule et que sa bite tombe de la bouche de ma femme, je vois du foutre s’écouler de sa bouche. Peter prend des photos de près et je l’entends dire :

- A moins que vous ne vouliez que ces photos soient distribuées un peu partout, je vous suggère que l’on se réunisse au moins une fois par semaine. D’accord ?

Je vois mon épouse hocher la tête et dire doucement « d’accord ».

Je comprends que tout est fini. Je m’empresse de sortir et je rentre tranquillement chez moi. Une fois à la maison, je ne peux pas me retenir, je vais aux toilettes et je me branle jusqu’à ce que j’asperge la cuvette des WC.

Quand Robin arrive enfin, je vois que ses cheveux sont un peu ébouriffés. Sa robe a l’air froissée et je n’ai pas l’impression qu’elle porte un soutien-gorge ou une culotte. Je lui demande comme les choses se sont passées aujourd’hui. Elle me répond que tout allait jusqu’au moment où elle a dû aller récupérer la voiture au garage. Elle me dit qu’elle s’est alors rendu compte que je ne lui avais pas donné d’argent pour payer la facture et qu’elle n’avait pas de carte de crédit. Elle me dit qu’elle a dû supplier et jurer de revenir avec l’argent pour pouvoir récupérer la voiture. Elle me dit qu’il lui a fallu beaucoup d’efforts pour les convaincre, mais que finalement ils lui ont laissé reprendre la voiture. Elle doit y retourner demain pour payer la facture. Je lui demande alors si elle veut que je m’occupe d’aller payer, mais rapidement elle m’a dit qu’elle avait pris les dispositions nécessaires et qu’elle s’occuperait de ça. Puis elle me dit qu’elle a besoin de prendre une douche et elle se tourne vers la salle de bain. Alors qu’elle s’éloigne, je jurerai avoir vu du sperme couler toujours le long de ses jambes ;

Le lendemain je suis allé au garage et je leur ai dit que j’étais là pour voir si nous devions quelque chose pour les réparations de la voiture. Ils me répondent négativement, me disant que ma femme s’est occupé de tout. Pendant que je leur parle, je remarque que la culotte de ma femme est accroché au mur dans le bureau du patron et que tous les mécaniciens sourient.  Le patron me dit alors que Robin a pris soin de tout et que j’ai sûrement mieux à faire que de traîner dans un garage. En partant, je vois ma femme se garer sur le parking et je vois les mécaniciens fermer le garage. 

Je me demande alors s’ils vont  laisser la petite porte d’entrée ouverte à nouveau.

FIN

Le patron de son mari Ch. 01

 Histoire de George VI traduite par Coulybaca.

Une gentille épouse se sacrifie pour sauver son mari.

1° LE CHANTAGE

Le mari de Linda, Glenn lui confia ses craintes au cours du vol. Après le scandale financier, les chèques disparus, il risquait de devenir le parfait bouc émissaire.

Linda tenta de le rassurer, elle savait son mari d'une honnêteté scrupuleuse. Quelqu'un d'autre, de la compagnie avait du s'emparer des chèques. Mais elle était bien d'accord avec lui, seul Ron le grand patron pourrait le protéger désormais.

Tout dépendait de lui : allait-il couvrir Glenn, voire même le disculper, ou allait-il l'accabler, voir même le dénoncer pour détournement de fonds. 

Linda savait que Ron avait toujours bien traité Glenn. C'était un homme corpulent, grand, un peu plus âgé que Glenn et Linda.

Glenn lui avait suggéré de le rencontrer. Virtuellement tous les employés du bureau régional de Glenn devaient passer le week-end à l'hôtel, mais Linda était la seule conjointe ayant accompagné son mari aux frais de la compagnie.

Linda devait passer le week-end à l'hôtel, mais la somptueuse ménagère, mère de trois enfants, se sentait légèrement embarrassée d'être la seule femme en proie aux compliments de Ron et des autres dirigeants. Elle avait toujours senti qu'elle devait entretenir des relations cordiales avec les membres de la société, mais dans ces circonstances elle se demandait si elle parviendrait à se montrer convaincante et décontractée
.
Ron avait ses habitudes dans cet hôtel, il s'était retiré dans sa chambre pour se changer dans la salle de bain lorsqu'il entendit Linda et Glenn entrer dans la chambre voisine de la sienne. Cette proximité n'était pas le fruit d'une coïncidence.

Ron avait déployé tous ses efforts pour convaincre Glenn d'amener sa ravissante femme, il s'était discrètement arrangé pour qu'ils occupent la chambre voisine de la sienne. Ron avait rencontré Linda deux ans plus tôt alors qu'ils arrivaient en ville et que Glenn postulait pour un poste de direction. Glenn était l'un des nombreux candidats encore en lice pour le poste, mais c'est la vue de sa ravissante et sculpturale femme qui avait fait pencher la balance en sa faveur. Il escomptait bien tirer les bénéfices de son choix ce week-end.

Ron n'avait pas averti délibérément Glenn qu'il était responsable de la disparition de ces foutus chèques qu'il avait personnellement encaissés, mais dès la découverte du détournement, Glenn était apparu comme le coupable idéal. C'est à ce moment que Ron décida de tirer avantage de la situation, de réaliser ses fantasmes concernant la ravissante femme de Glenn en profitant de ses charmes.

Linda était jolie et amicale, mais dire qu'elle était prude ne paraissait pas un terme trop fort pour décrire son comportement guindé de bonne grenouille de bénitier. Encore qu'il fut certain qu'elle passerait outre ses principes pour protéger son époux, sa famille et son standard de vie.

Ron frappa leur porte, et impulsivement jeta un œil au-delà de Glenn sur Linda mollement étendue sur le lit. Même son tee-shirt ample ne parvenait pas à dissimuler l'opulence de ses miches. Ses longues jambes étaient étendues sur le lit, il avait envie de repousser Glenn pour sauter sur sa femme si tentante. Il se contenta de prévenir Glenn que de nombreux employés se retrouvaient à la piscine de l'hôtel.

Il n'y avait pas d'activités programmées avant le repas de ce soir, Glenn et Linda acceptèrent de se joindre aux invités autour de la piscine.

Ron se tenait dans le jacuzzi de l'hôtel, il discutait avec plusieurs collaborateurs lorsque Glenn et Linda arrivèrent à la piscine. Immédiatement la conversation des baigneurs dans le jacuzzi porta sur Linda, chacun se demandait quel type de maillot elle pouvait bien porter sous son short et son tee-shirt. James et Larry deux collaborateurs de Ron du même niveau que Glenn reluquaient avec concupiscence les formes de la sculpturale beauté. James avança qu'il espérait qu'elle porte un bikini, mais Ron et Larry étaient d'avis qu'il était plus vraisemblable qu'elle porte un classique maillot une pièce qui correspondrait mieux à sa personnalité.

Ils la lorgnèrent tous trois passant son tee-shirt au-dessus de sa tête dévoilant un maillot une pièce bleue des plus classiques. Ils grognèrent de convoitise lorsqu'elle dégrafa la ceinture de son short, se penchant en avant pour s'en dépouiller. Son maillot était d'une coupe très classique, cependant il était destiné à des jeunes femmes ayant des petites poitrines, ce qui fait que lorsqu'elle se penchait, elle exposait en grande partie ses avantages mammaires.

Glenn et Linda se joignirent au groupe batifolant dans le jacuzzi. Il n'y avait pas assez de place pour qu'ils soient tous assis confortablement, aussi Ron invita-t-il Linda à se serrer contre lui, alors que Glenn s'asseyait à l'autre extrémité du bain bouillonnant.

Linda mit un pied dans l'eau chaude, et resta jambes grandes écartées le temps de reprendre son équilibre. Dans cette pose une petite touffe de poils bruns s'était échappée à l'entrejambe de son maillot, tous les hommes l'avaient remarquée, sa toison était de la même tonalité que sa chevelure.

Comme Glenn discutait boutique à l'un des bouts du jacuzzi, Ron, James et Larry se mirent rapidement à flirter avec Linda. Linda discutait timidement avec eux, consciente de se trouver dans une étroite proximité de ces hommes avec presque rien sur le dos. Les trois hommes avaient les yeux rivés sur ses miches. Le haut de son maillot de bain révélé ses nibards pressés l'un contre l'autre, exposant la démarcation blanche de la peau non bronzée du haut de sa gorge.

Ron et James, assis de chaque coté de sa petite personne, pressaient leurs hanches contre les siennes. Linda n'avait suffisamment de place pour esquiver leurs présences envahissantes et comme elle n'offrait aucune résistance, Ron posa sa main sur sa cuisse. 

Linda était extrêmement gênée de ce geste, mais la précarité de la situation de son mari l'obligeait à ne pas risquer de mettre en colère Ron en protestant à haute voix contre ce geste par trop intime. Tandis qu'ils conversaient Ron lui caressait nonchalamment sa cuisse nue, cette caresse lascive affolait Linda, mais elle n'osait pas protester. Finalement, comme la main de Ron atteignait sa fourche sexuelle, Linda se leva d'un bond et piqua une tête dans la piscine.

C'était une petite victoire pour Ron, il savait maintenant qu'il pouvait se permettre certaines privautés avec Linda, elle n'oserait pas faire de scène, encore moins créer de scandale.

Glenn et Linda remontèrent dans les étages pour se préparer pour le banquet. Dans le jacuzzi, les trois hommes reprirent leur conversation concernant Linda, elle semblait être chaude mais si traditionaliste.

- Elle fera une entorse à ses beaux principes ce week-end !  Se vanta Ron.

- Ca m'étonnerait fort que ce soit le genre de femme à déroger à ses convictions. Le contra Larry.

- Il faut juste savoir sur quel bouton appuyer pur subjuguer une femme. Poursuivit Ron.

- Vous allez regarder travailler le maître les gars ! Après ce week-end, Linda vous apparaîtra bien différente d'actuellement !

Ron se pressa de retourner dans sa chambre, il faisait maintenant assez noir, il se glissa sur son balcon et jeta un coup d'œil dans la chambre de ses voisins au travers d'une petite déchirure du rideau. Il était arrivé au bon moment pour voir Linda parader dans la chambre en petite culotte et soutien-gorge. Il braqua les yeux sur son ample soutien-gorge blanc qui maintenait ses nichons, sa culotte de coton blanc épousait étroitement la forme de sa chatoune et de son cul tout rond. Elle portait des sous-vêtements particulièrement conventionnels qui correspondaient à son caractère des plus traditionalistes. 

Elle s'assit sur son lit pour enfiler des collants, lorsqu'elle se penchait ses nibards débordaient largement de ses bonnets. Elle se releva et glissa ses collants sur sa culotte de coton, tortillant des hanches pour faciliter l'opération.

Ron ne se sentait pas trop frustré de ne pas l'avoir vu nue, il savait pertinemment qu'il en aurait l'occasion d'ici la fin du week-end.


2 ° LE BANQUET

Ron s'était arrangé pour que Linda soit assise à coté de lui pendant le banquet. Ils étaient attablé autour d'une grande table ronde, le dos au mur.

La majorité des femmes qui participaient au banquet, femmes de clients, femmes d'employés d'autres divisions, portaient des robes élégantes et coûteuses, mais Linda, toujours dans son rôle, portait une petite robe de coton fermée par une fermeture éclair dans le dos. Elle était à mi-jarret avec un décolleté au ras du cou, mais elle ne parvenait toutefois pas à dissimuler l'opulence de sa poitrine.

Ron était assis à sa gauche, Glenn à sa droite, Linda détestait ce genre de dîner, elle écoutait les conversations, encore alarmée par les caresses de Ron dans le jacuzzi. Alors qu'il lui parlait, il glissa sa main sous la table et la posa sur une de ses cuisses.

Linda ne pouvait pas se permettre le luxe de le rabrouer sèchement avec son mari à coté d'elle. Elle dut l'autoriser à la caresser au travers de sa jupe et de ses collants.

Le repas et les discours terminés, un orchestre se mit à jouer, les gens commencèrent à danser. Comme à son habitude, Glenn circulait parmi les invités, saluant les clients invités et les chefs de service d'autres sections, de ce fait Linda se retrouvait seule avec Ron.

- Etes vous au courant des problèmes de Glenn au boulot ? Demanda soudain Ron.

- Oui, il m'en a parlé... Répliqua Linda inquiète de le voir aborder ce sujet.

- Si cette histoire venait à être connue de tous, ce serait la fin de la carrière de Glenn ! Il aurait beau dire, beau faire, il serait accusé de détournement de fonds !

Tout en discutant Ron lui pelotait la cuisse, affermissant son emprise, il la caressait en petits gestes circulaires qui se rapprochaient de son entrejambe. Lorsqu'il atteignit sa fourche sexuelle, Linda sursauta et se releva vivement.

- Je vous prie de m'excuser, mais je dois aller me rafraîchir au cabinet de toilette.

- Dansez avec moi ! Lui intima Ron d'une voix autoritaire.

- Oh, non merci, plus tard peut-être !

- Juste une danse !Insista Ron sèchement affichant un masque sévère.

Linda accepta à contrecœur, ayant soudain peur de cet homme qui avait entre ses mains le sort de son mari. Il l'emmena dans un coin éloigné de la piste de danse, un coin obscur de la salle. Dès le début du slow, Ron avait serré étroitement Linda contre lui, il sentait battre son opulente poitrine contre son torse, il lui caressait cyniquement la croupe et poussa sa jambe entre ses cuisses.

- Glenn vous a-t-il dit qui pourrait le sortir de ce gâchis ? L'interrogea-t-il.

- Il m'a dit que vous le pouviez ! 

- C'est exact ! Je suis le seul à pouvoir le tirer d'affaire. J'aime bien votre mari. Je ne voudrai pas voir sa vie professionnelle ruinée. Mais ce serait prendre un bien grand risque que de le couvrir !

- Je vous serai extrêmement reconnaissante d'intervenir pour le sauver ! 

- J'espérai bien que vous me diriez cela ! Mais je demande quelques faveurs en compensation...

Affolée Linda lui demanda d'une voix sourde :

- Et... Que... Que devrais-je faire ?
 
Ron empauma ses fesses avec avidité. Elle sentait ses doigts suivre les courbes de son cul, il avait plaqué ses deux mains sur ses rotondités avenantes et les malaxait lascivement. Linda était abasourdie, mais se tut.

- Tout ce que je te dirai pendant ce week-end ! Je veux que tu sois mienne pendant tout le week-end ! Glenn n'en saura rien ! Et lundi, en retournant au bureau, je trafiquerai les écritures et vos problèmes s'évanouiront.

Linda jeta un coup d'œil circulaire histoire de voir si quelqu'un pouvait voir Ron lui tripoter les fesses. Son dos était tourné vers le kiosque, de ce fait seuls les musiciens pouvaient voir ce qu'il lui faisait. Le fin tissu de sa robe ne prêtait guère de résistance aux privautés qu'il s'octroyait, mais l'épais collant qui lui maintenait les fesses le gênait beaucoup dans ses entreprises.

Ron remonta sa main sous son aisselle, son pouce suivait la bretelle de son soutien-gorge. Il avança sa main la passa dans l'emmanchure de sa robe et empauma rudement son gros nibard bien ferme au travers de son soutien-gorge, il titilla du pouce son mamelon érigé. 

Linda se tenait coite alors qu'il lui pelotait le bas du dos et le nichon droit tout en pressant sa bite déployée contre ses cuisses. Son cœur battait la chamade alors que son visage la brûlait. La danse lui semblait avoir duré une éternité lorsqu'en fin le slow se termina et que Ron la ramena à sa chaise.

Comme son époux n'était toujours pas revenu, Linda s'assit avec Ron en bout de table. Ron ne perdit pas de temps pour glisser sa main sous la table, sous sa longue robe. Il lui palpait les cuisses au travers de ses collants, baladant sa main sur la face interne de ses cuisses. Il aimait le contact du nylon gainant ses jambes.

- Etes vous d'accord avec mon marché ? L'interrogea Ron suavement.

Linda bégaya :

- Euh... Ou... Ou... Oui... 

Elle jeta un nouveau coup d'œil, vérifiant que personne ne leur prêtait une attention particulière. La main de Ron s'approchait de son entrejambe.

- Ecartez vos cuisses ! Lui commanda-t-il entre ses dents.

Sans un mot, elle s'exécuta misérablement lui livrant un accès aisé à son entrejambe protégé par le fond du collant. Elle se tenait raide sur sa chaise, légèrement penchée en avant alors qu'il lui palpait rudement la chatte au travers du collant. Choquée, bien qu'abritée par la lourde nappe, elle se sentit rougir alors que le patron de son mari lui palpait la chatte pendant ce qui lui sembla durer des heures.

Humiliée bien plus que furieuse, elle réalisait que ces caresses subies à contrecœur commençaient à l'exciter. Et plus elle cherchait à l'ignorer, plus son excitation grandissait, elle respirait avec de plus en plus de peine, et avait bien du mal à s'empêcher de se trémousser sur sa chaise.

Elle comprit qu'elle était sur le point de jouir, elle avait une peur intense d'attirer l'attention sur elle aussi tentait-elle de toutes ses forces de repousser cet orgasme non désiré, mais il était trop tard. Elle avala sa salive et gémit sourdement, elle se tortilla sur sa chaise refermant les cuisses sur la main de Ron et frissonna longuement.

- Mais tu jouis comme une salope ! Commenta Ron hilare.

Humiliée comme jamais, Linda se redressa vivement, se releva et se dirigea rapidement vers les toilettes. Elle trouva les toilettes réservées aux dames en bas du hall dans un recoin du vestiaire de la salle des banquets. Elle s'enferma dans une cabine et se mit à pleurer silencieusement alors qu'elle essayait d'essuyer l'entrejambe de ses collants et de sa petite culotte empesé par sa cyprine.

3° LE LOCAL DU CONCIERGE.

Linda avait assez repris ses esprits pour sortir du cabinet de toilette, elle était déterminée à opposer plus de résistance aux avances de Ron. Peut-être que si elle se montrait plus ferme avec lui, il cesserait ses intolérables privautés, cependant elle avait une telle peur de le courroucer.

Comme elle tournait au coin du couloir désert, elle rentra en collision avec Ron. Il lui saisit la main
Elle voulut protester mais Ron posa son doigt sur ses lèvres et lui murmura :

- Chuuuuuuuuuuutttt...

Il l'entraîna en arrière dans le couloir et ouvrit une porte, ils se trouvaient dans le local du concierge, il la poussa à l'intérieur alluma la lumière et ferma la porte dans son dos. Avant qu'elle eut le temps de dire quoi que ce soit, Ron la repoussa contre la porte et pressa ses lèvres contre les siennes. Il lui roula un patin, visitant sa bouche de la langue et Linda étourdie de tant d'audace entrelaça sa langue autour de la sienne. Il posa sa main droite sur ses nichons et les palpa au travers de son corsage et de son fin soutien-gorge. Ron serrait et pétrissait les grosses mamelles.

Linda entendait des gens parler dans le couloir, elle n'avait qu'une peur, que quelqu'un ouvre la porte. Elle aurait voulu protester, mais elle avait peur de faire le moindre bruit qui révélerait leur présence.
Ron tendit sa main libre dans son cou, et dégrafa sa robe, descendant la fermeture éclair au bas de son dos. Gentiment mais fermement il repoussa sa robe sur ses épaules, ses bras et enfin sur sa taille.

Linda se retrouvait maintenant la poitrine uniquement voilée de son affriolant soutien-gorge. Il abaissa les bretelles de son soutien-nénés, il sortit alors ses gros nibards de leurs bonnets. Il admira rapidement ses grosses mamelles, ses larges aréoles bruns foncés, coiffées de ses longs tétons dardés.

Il reprit ses embrassades tout en la caressant lubriquement. Sa bouche se promena dans son cou puis il s'attarda sur ses mamelons capturant son téton droit entre ses lèvres. Le buste de Linda se soulevait au gré de son souffle alors qu'il mâchouillait son mamelon. Elle entendait clairement les clapotis provenant du léchage de ses tétons, Ron allait rapidement d'un téton à l'autre.

Sa main droite glissa sur la hanche de Linda et trouva l'ourlet de sa robe, il remonta sa main sous sa robe atteignant rapidement son entrecuisses. Il empoigna fermement sa croupe et lui pelota rapidement les fesses.

Il la poussa contre la porte et profita de son déséquilibre pour lui écarter les cuisses en grand palpant ainsi aisément sa chatte au travers de ses collants et de sa petite culotte. 

Au prix de quelques efforts, il parvint à glisser sa main dans la ceinture de ses collants, dan sa petite culotte, il entreprit alors d'explorer d'une main avide la fourrure fournie qui cachait sa fentine. Il la parcourait maintenant d'un doigt agile, ils furent tous deux surpris de constater que sa chatte inondée de cyprine.

Linda posa sa main sur ses épaules, elle voulait le repousser mais ses efforts furent vains. C'est alors qu'elle entendit des voix familières résonner de l'autre coté de la porte. 

Ron plongea ses deux mains sous sa robe, agrippa les ceintures de ses collants et de sa petite culotte, et les lui tira sous les fesses. Il les tira lentement au bas de ses cuisses, puis au-delà ses genoux, et enfin sur ses chevilles, il agrippa sa cuisse et releva son pied droit pour que les deux sous-vêtements passent l'obstacle, lui permettant de lui ouvrir les cuisses en grand. Collants et petite culotte étaient maintenant tirebouchonnés autour de sa cheville gauche.

Il s'agenouilla, la tête au niveau de son ventre, remonta sa jupe à sa taille, pour la première fois il s'offrait le spectacle de sa chatte dénudée elle était couverte d'un buisson fourni de poils bruns foncés. Lui empoignant à deux mains ses fesses nues, il plongea son visage dans son entrecuisse, et parcourut avidement sa fentine de la pointe de la langue enfonçant sa langue aussi profondément qu'habilement dans sa foufoune soudain embrasée.

Linda s'efforçait de respirer profondément alors que la tête de Ron avait disparu sous sa jupe et qu'il avait entrepris de lui lécher lubriquement la chatte. Elle refoulait de grosses larmes, et cependant écartait ses cuisses en grand s'arc-boutant pour offrir un accès plus aisé à sa langue dont les caresses l'enivraient.
Elle entendait toujours des gens parler dans le couloir, ce qui l'empêchait de protester.

Ron refit surface et se leva, il déboucla sa ceinture, descendit la fermeture éclair de sa braguette et laissa tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Linda ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil curieux sur son pénis, c'était la plus grosse bite qu'elle ait jamais vue, bien plus grosse que celle de Glenn.

Ron lui prit la main droite et la plaça sur son glaive la guidant de bas en haut sur sa hampe. Comme elle le caressait par saccades, elle sentit la grosse mentule se déployer dans sa main. Aussitôt il releva à nouveau sa jupe, pointa sa bite sur sa chatoune, la pénétra vivement et se mit à la ramoner tout de go. Linda se mordit les lèvres alors qu'il glissait en elle, il s'engouffra tout d'abord lentement puis plus vivement dans son utérus accueillant.

Linda se pressa contre la porte, cuisses grandes ouvertes, cherchant surtout à éviter de faire du bruit. Il donna un puisant coup de rein, elle releva sa jambe la posant sur un évier pour lui offrir un angle plus propice.

On n'entendait que le frou-frou soyeux des vêtements et les clapotis de la grosse verge dans sa chatte détrempée. Des gens discutaient toujours de l'autre coté de la porte, à quelques centimètres d'eux à ce qu'il lui semblait.

En dépit de sa peur, de son angoisse Linda sentait un intense orgasme monter dans ses reins, elle respirait irrégulièrement, cherchant surtout à ne pas crier.

Ron était au septième ciel, cela faisait si longtemps qu'il rêvait de baiser cette charmante femme. Il baissa son regard ses nibards dénudés, toujours sortis de leurs bonnets de soutien-gorge, ils se balançaient et secouaient au rythme de ses coups de boutoir. Il adorait la voir afficher un sourire navré, démontrant la faiblesse de sa chair, empoignant ses hanches il la ramona sauvagement.

Soudain Linda reconnut la voix de Glenn dans le couloir, il discutait boutique avec des clients, juste de l'autre coté de la porte de la petite salle où elle se faisait sauter par son patron. Elle cessa littéralement de respirer le temps que sa voix s'éloigne dans le couloir.

Elle perdit soudain tout contrôle de ses sens et le second orgasme de la soirée la terrassa toute, elle se mordait les lèvres pour s'empêcher d'exprimer sa jouissance. Ron donna encore plusieurs puissants coups de boutoir puis éjacula au cœur de son utérus, le remplissant de son foutre brûlant.

Ils haletaient tous deux peinant à reprendre leur souffle, enfin requinqué, il remonta caleçon et pantalon. Il la regarda remettre ses nichons dans leurs bonnets, remettre en place les bretelles de son soutien-gorge et repositionner le corsage de sa robe. Il la fit tourner et remonta sa fermeture éclair dorsale. Puis elle remonta petite culotte et collants sur ses fesses.

Ron sortit le premier, et une fois sur que personne ne venait, il fit signe à Linda de sortir à son tour du petit local.

4° LE COUP DE CANIF DANS LE CONTRAT :

Lorsque que Linda revint des toilettes après s'être nettoyée et avoir repris une attitude naturelle, Ron lui glissa quelques mots :

- Je veux que tu fasses encore une chose pour me faire plaisir ce soir ! 

- Je ne veux pas que me fassiez de nouveau l'amour ! 

Ron sourit hilare.

- Ce n'est pas ce que je veux ce soir ! Je veux que tu baises avec ton mari !

Linda le regardait abasourdie.

- Je veux que tu entraînes Glenn dans votre chambre et vous baisiez avec passion ! 

- Et pourquoi ? Murmura Linda effarée.

- Il y a un trou dans les rideaux des baies donnant sur les balcons, et comme je suis dans la chambre à coté...

Linda comprit enfin :

- Vous voulez nous mater ? 

- C'est ça !  C'est pourquoi je veux que tu baises avec ton mari. Je vais te dire ce que tu dois faire. Quelle que soit la façon de t'y prendre, tu dois insister pour que Glenn te saute. Quelque soit son degré de fatigue, tu feras tout ce que tu peux pour le séduire.

Linda le regardait affichant une expression vivement choquée, mais ne dit rien.

- Quelques détails encore que tu devras te rappeler : tu devras te déshabiller face aux rideaux, lumière allumée et lorsque tu seras nue tu ne devras rien cacher de tes charmes ! 

- Mais... C'est ma vie privée... Je... 

Ron la coupa secouant la tête.

- Je veux que tu nous offres un formidable spectacle !

Alors qu'il la quittait la laissant de plus en plus choquée, elle lui jeta un regard égaré, cherchant visiblement à assimiler ses derniers mots, elle s'indigna dans son fort intérieur :

- Nous... Qui sera dehors à me regarder me foutre à poil et baiser avec mon mari ? 

La pensée de se donner en spectacle à des pervers, l'humiliait profondément. Elle avait l'intention de fermer les volets et de se mettre au lit dès arrivée dans sa chambre.

Mais, en sentant le foutre de Ron s'écouler de sa petite chatte engorgée, elle comprit qu'elle avait franchi le point de non retour, qu'elle devrait maintenant endurer toutes les humiliations que lui infligerait Ron pour sauver Glenn et son couple du déshonneur.

Elle retrouva Glenn buvant et discutant avec ses collègues James et Larry. Elle ne remarqua pas leurs regards rampant sur ses charmes, la dévorant littéralement des yeux. Elle parvint à persuader Glenn qu'il était temps de remonter dans leur chambre.

A peine entrée dans leur chambre, Linda sut qu'elle devrait travailler son mari au corps pour le séduire tant il paraissait fatigué et éméché.

- Ne te couche pas tout de suite chéri ! Lui susurra-t-elle.

- Je voudrai batifoler un peu !

- Je suis trop fatigué ! Répliqua Glenn en baillant.

- J'en ai follement envie ! Le supplia Linda.

Elle lui roula un patin enfiévré, de la même façon que le patron de son mari l'avait embrassée quelques heures plus tôt. Elle jetait des coups d'œil sur le rideau par dessus son épaule et effectivement elle vit une déchirure dans le coin. Elle distinguait des mouvements lents dans l'obscurité parfois même la lumière réfléchie par le verre d'un de ses admirateurs. Elle savait qu'ils étaient plusieurs à la mater, mais elle devait repousser ces pensées au fin fond de son esprit pour se consacrer uniquement à séduire son mari avant qu'il ne s'écroule sur le lit épuisé de fatigue.

Elle tendit la main et agrippa son entrejambe, sa bite était molle.

- Je suis vraiment crevé... Avança Glenn.

Il se détacha d'elle et se laissa tomber à la renverse sur le lit, qui se trouvait contre le mur opposé au balcon. Linda s'agenouilla sur le lit et dégrafa sa braguette. Elle sortit sa bite molle de son caleçon et se mit à la branler avec conviction.

- Contente-toi de rester étendu sur le dos, je ferai le reste... Annonça Linda les doigts serrés sur la hampe de sa bite.

Elle amplifia le rythme de sa branlette, il durcit enfin entre ses mains. 

Sur le balcon, Ron vidait un godet avec Karl le grand patron, ce dernier avait 60 ans, des cheveux gris et portait des lunettes. Lorsque Ron avait bâti son plan pour faire chanter Linda il avait tout de suite décidé de consolider sa place au sein de la société en se servant d'elle. Ron savait que Karl était un grand amateur de chair fraîche et qu'il convoitait Linda, lors d'une réunion postérieure ils avaient eu une grande conversation portant sur ses charmes.

Aussi lorsque Ron informa Karl qu'il avait sauté Linda dans le local du concierge, qu'elle se trouvait dans la chambre adjacente à la sienne, qu'il y avait une déchirure dans les rideaux qui permettraient de la mâter évoluant en petite culotte et soutien-gorge, il n'eut pas grand mal à retenir Karl pour venir vider un dernier godet en sa compagnie.

Ils étaient assis tous deux sur le balcon, et regardaient silencieusement Linda branler son mari. A leurs cotés se trouvaient James et Larry, deux proches collaborateurs de Ron.

Lorsqu'elle vit qu'elle ne parvenait pas à faire bander correctement son mari, Linda sut que faire. Elle se pencha en avant, emboucha la bite en semi-érection et entreprit de la sucer avec habileté. Elle était tentée de tourner le dos vers le balcon, cachant ainsi ce qu'elle faisait, mais elle préféra permettre aux spectateurs assis sur le balcon de la voir aller et venir sur la hampe de son mari, elle était bien consciente que pour la première fois de sa vie, celle taillait une pipe à son homme, en public ! 

Non seulement son mari se mit à bander dur, mais il tendit la main et se saisit de ses tétons au travers de sa robe.

Ron et Karl voyaient clairement la tête de Linda s'élever et s'abaisser sur la bite dressée de Glenn.

- Allez chérie, fous-toi à poil... Soupira Karl impatient d'assister à son effeuillage.

- Montre-nous tes nichons ! 

Comme si elle les avait entendus, Linda se releva et face à son mari et au balcon dégrafa la fermeture dorsale de sa robe. Elle rabattit le corsage sur sa taille, dévoilant son affriolant soutien-gorge. Elle réalisa alors qu'un étrange cocktail d'émotions l'agitait : elle était extrêmement humiliée de devoir se foutre à poil devant Ron et ses comparses qui se trouvaient sur le balcon, mais elle se sentait étrangement excitée de devoir se déshabiller pour plusieurs hommes, ce qui ne lui était jamais arrivé bien sûr.

Elle se dépouilla de sa robe et se redressa, se tenant en petite culotte, collants et soutien-gorge elle faisait des efforts démesurés pour ne pas tourner les yeux vers le balcon. Elle glissa ses pouces sous la ceinture de ses collants et de son slip et les descendit doucement, comme elle se penchait, Ron Karl et leurs acolytes virent ses nichons, bien qu'emprisonnés dans leurs bonnets soyeux, leur jaillir au visage, Larry en gémit de concupiscence.

Linda se cambra, et tendit une main dans son dos, elle put ainsi dégrafer la fermeture de son soutien-nénés, elle rabaissa les bretelles sur ses coudes et ôta le soutien gorge. Elle se redressa tout de suite, ses gros nibards bien fermes pointant vers les spectateurs enchantés du spectacle. Ils admiraient tous quatre ses superbes nichons, bien ronds, aussi blancs que pouvaient l'être des nibards de femme, avec la surprenante taille de ses aréoles brunes. Karl susurra à Ron :

- Vous au moins, vous savez choisir vos employés ! Ce sont les plus beaux nichons que j'ai vus depuis bien longtemps... 

Ron se réjouissait tout autant du spectacle, il était fier d'avoir impres-ionné son patron.

Linda agrippa sa petite culotte de chaque coté de sa ceinture et la tira lentement vers le bas. Comme elle se penchait pour l'enlever, ses gros nichons se balançaient mollement. Lorsqu'elle se redressa entièrement nue, Ron se réjouit de revoir sa toison broussailleuse, mais à son grand désappointement son boss n'appréciait pas.

- Chérie, j'aimerai que tu disciplines ta fourrure ! Chuchota Karl.

Ron soupira :

- Moi j'aime son buisson fourni ! 

- Et moi non ! Répliqua sèchement son patron.

- Elle ferait mieux de le tailler ou mieux encore le raser entièrement, j'adore les monts chauves ! 

Avant même que Linda ne grimpe dans le lit, Glenn intervint :

- Fais-moi cette chose que tu fais avec tes nibards ! 

- Oh chéri, pas ce soir ! 

Elle savait parfaitement ce qu'il voulait. Elle lui avait accordé cette faveur en de rares occasions, mais en fait, elle trouvait cela dégradant.

- Allez chérie, juste une minute ! 

Linda saisit son nichon gauche à deux mains, baissa la tête, allongea le cou et posa la langue sur son téton.

Les spectateurs sur le balcon se prirent d'un intérêt soutenu pour cette scène incongrue, pas un d'entre eux n'avait vu, jusqu'ici de femme lécher ses propres tétons. Ils observaient cette femme si conservatrice enrouler sa langue autour de son mamelon dressé et le sucer lascivement, puis l'autre, puis de nouveau le premier, puis...

Elle grimpa alors dans le lit tout contre Glenn et s'appuya sur un coude, toujours faisant face au balcon. Elle caressa de nouveau la bite de son mari. Elle s'était toujours satisfaite de la taille de la bite de son mari, mais après avoir goûté à celle de Ron ce soir même, elle était navrée de voir qu'elle était bien plus petite.

Glenn tendit la main et empoigna un de ses nichons. Il emboucha langoureusement un de ses tétons dardés, Linda avait peur que Glenn se rende compte qu'elle avait appartenu çà un autre homme cette nuit, mais il était bien trop éméché pour réaliser quoi que ce soit.

La main de Glenn rampa vers la chatoune de sa femme, Elle leva un genou et écarta ses cuisses en grand pour lui faciliter l'accès à ses charmes. Elle craignait qu'il se rende compte que sa chatte était engorgée de foutre lorsqu'il introduisit son majeur dans sa fentine, mais une fois de plus Glenn ne fit aucune remarque.

Linda roula sur le flanc, sachant que des hommes l'observaient en train de branler son mari alors qu'il la doigtait lubriquement. Elle voulait que cette épreuve se termine rapidement, mais en même temps cette situation scandaleuse l'excitait au plus haut point. Glenn triturait son clito comme elle adorait qu'il le fasse.

- Allez, bordel baise-la bien, Susurra James.

Les quatre hommes assis silencieux, la bite érigée regardait la performance sexuelle de la gentille petite ménagère dodue.

Linda dépouilla Glenn de son pantalon et de son caleçon, et l'enfourcha. Elle s'accroupit la minette pointée sur sa bite dressée, et chaloupa des hanches pour se disposer dans l'axe. Elle s'empala sur lui et entreprit immédiatement une sarabande endiablée, s'abaissant et se relevant langoureusement sur sa bite.

Les spectateurs sur le balcon avaient les yeux braqués sur ses langues jambes étreignant les flancs de son mari. Lorsqu'elle se redressait ses gros nichons se balançaient paresseusement.

- Regardez-moi ses gros nichons danser ! Chuchota Karl ravi du spectacle.

Les mains de Glenn rampaient sur les flancs et les cuisses de son épouse, puis il étreignit ses fesses alors qu'il remuait voluptueusement des hanches. Il tendit les mains et attrapa ses nibards qu'il malaxa amoureusement, étirant lubriquement ses mamelons. Linda haletait. Elle baisait avec autant d'ardeur qu'elle le pouvait. Elle était bien consciente de tous ses mouvements, mais elle voulait pas que ses spectateurs pensent d'elles qu'elle n'était qu'une minable amante. Elle se pencha en avant s'appuyant sur les mains, ses gros nichons oscillaient sur le visage de son mari au rythme de ses gestes.

Les spectateurs sur le balcon la regardaient chalouper des fesses alors que ses nichons bringuebalaient dans tous les sens.

Glenn redressa la tête comme il aimait le faire et chopa à pleines dents un des tétons qui dansait devant ses yeux. Sa langue allait d'un mamelon à l'autre alors qu'il pressait ses nibards l'un contre l'autre.
Il tendit la main entre les cuisses de sa femme dénicha son clito qui surplombait sa bite et le tritura lascivement. Cela suffit à faire jouir Linda, elle se mit à girer des hanches serrant les cuisses sur le torse de Glenn secouer de frissons spasmodiques. Ses yeux étaient fermés, son visage crispé, sa tête rejetée en arrière. Il n'était nul besoin qu'on vienne dire à ses mateurs qu'elle jouissait, Larry commenta :

- Ca y'est, elle jouit ! 

Linda sentit son époux cracher son foutre au fin fond fin de son fourreau d'amour, elle chaloupa encore plus des hanches et hurla son plaisir. Ses admirateurs entendirent ses cris au travers des vitres de la baie.

- Hé bien ! S'esclaffa Glenn.

- Jamais tu ne t'es montrée aussi bruyante auparavant ! 

Toujours sous l'emprise de son orgasme, Linda pensa aux spectateurs sur le balcon, elle avait joui devant des tiers et était maintenant terriblement honteuse qu'ils aient pu l'admirer sa performance. Elle descendit du lit, offrant à ses voyeurs une dernière vue enchanteresse de son corps dénudé et ferma la lumière. Elle retourna dans le lit dans l'obscurité, et distingua trois ou quatre silhouettes qui se relevaient de leur siège et quittaient le balcon.

A suivre...

Coralie Miss Camping ! Ch. 02

 Texte d'Alexis.

Exhibition au camping.

Je me réveille à l'aube avec mon envie matinale habituelle d'uriner. Jean dort encore à mes côtés, sous la tente. Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J'en profite pour jeter un regard sur son beau corps endormi et nu (nous avons fait l'amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre).

Son petit sexe rose est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J'en suis toute attendrie... Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente, soulagée qu'il ne se soit pas réveillé ! Aujourd'hui, je veux lui faire une surprise.

Tout d'abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seuls quelques matinaux sont éveillés et s'activent en silence, soit pour préparer un petit-déjeuner, soit pour faire leurs sacs à dos, en vue de randonnées ou de promenades matinales. Sur le chemin, plusieurs hommes me sourient et la plupart m'appellent par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très reconnaissable, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres campeurs: je suis intégralement nue, les poils du sexe coupés très court, presque rasés, depuis que j'ai gagné le concours de "Miss Camping" quelques jours plus tôt. Bref, tout le monde connaît «Coralie, Miss Camping».

La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m'ont rendu la tâche plus facile, la nudité plus supportable. Cependant, quelques-uns et surtout quelques-unes n'avaient pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner, et me le faisaient bien savoir, régulièrement.

J'avais bien vite décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, j’étais en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pensais que je ne verrais jamais plus ces gens. Bref, pour moi, c'était une parenthèse originale dans ma vie, qui devait reprendre son cours normalement après les vacances.
Je me trompais.

Arrivée aux toilettes, je tombe sur un homme que je ne connaissais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement et ses raisons. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire et ma docilité, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses. Enfin, il s'empare de mes seins qu'il malaxe sans ménagement. Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j'ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c'est le train-train !

Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d'une trentaine d'année. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : 

- Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse.

D'abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. J'accepte donc. Que de chemin parcouru depuis le concours de Miss Camping, où je rougissais de honte, la peur au ventre, dès qu’un homme me touchait ! Maintenant, j’ai toujours la peur au ventre, mais je les attends presque les caresses ! Et lorsqu’elles arrivent, c’est avec plaisir que je les accueille.

Me voici donc debout, les jambes écartées et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d'uriner, toute honte bue, devant un illustre inconnu qui me pétrit fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches. Au début, l'urine a du mal à venir : l'inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perlent tout d'abord sur mes lèvres intimes, puis soudain un jet dru arrive. L'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette "production". Avec ses doigts, il s'amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses.

Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit :

- Retiens-toi maintenant.

 Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : 

- C'est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fais le poirier !

Sous le charme, je m'exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces). Je m'appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrées tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l'aise, les cuisses ouvertes et le sexe offert bien malgré moi. En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée :

- Maintenant, continue à pisser !

Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée. Mais il ne laisse pas sa prise et répète :

- Pisse !

Je me concentre alors pour satisfaire son désir, d'autant que j'ai aussi encore bien envie. Mais l'urine ne veut pas sortir. Il me dit :

- Concentre-toi, j'attendrais aussi longtemps qu'il faille.

Plusieurs minutes s'écoulent alors. J'en profite pour lui dire que j'ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s'écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L'urine coule d'abord sur mon sexe, puis sur mon abricot  rasé de près, elle s'écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d'autre de mon cou. Je me couvre littéralement d'urine ! Cependant, la sensation qui en découle n'est pas désagréable. Au contraire, je me sens bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau.

Lorsque j'ai fini, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit :

- Je crois qu'il y a des douches là-derrière. Vas-y, tu l'as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout !

Puis il s'en va, non sans avoir tapoté et caressé langoureusement une dernière fois mon fessier. Le regard qu’il lui a alors jeté me laissait clairement deviner qu’à notre prochaine rencontre, c’est à d’autres types de besoin qu’il allait me contraindre.

Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cette heure. Mais l'eau chaude n'est pas encore en marche : c'est une douche froide qui me remet de mes émotions. Ensuite, trempée, car je n'ai pas de serviette, je m'oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c'est la "surprise" que je veux faire à mon homme). 

C'est le gérant qui m'accueille. Dès la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser. Encore une fois, il profite de la situation. Me voyant mouillé, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cette heure), ce que j'accepte avec plaisir car j'ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins.

Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu'il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.

Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivée d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide. Mes seins pendent, dur comme de l'acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartées, j'attends avec impatience l'arrivée du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartées. Ainsi, je demeure folle de désir, inassouvie, offerte sur le comptoir.

Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie :

- Maintenant qu’elle est bien chaude, qui veut la caresser ?

Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse son bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime qu’il porte à sa bouche. Honteuse, je dois endurer des remarques du type "C'est vraiment une pute, elle aime ça !" pendant que d'autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue).

Les caresses se font de plus en plus insistantes et intimes : des doigts pénètrent ma chatte, titillent mon clitoris, puis un index s’introduit brutalement dans mon anus. C’est la première fois qu’on me pénètre par ce côté. La douleur est forte, mais comme les caresses sur ma vulve se font de plus en plus insistantes, le plaisir arrive. Par réflexe, j’abaisse mon bassin, me cambre au maximum en écartant les cuisses, poitrine offerte. J’halète comme une femelle en chaleur. Alors que le doigt va et vient dans mon cul, qu’une main me tripote la moule, que deux mains me malaxent les seins, une autre main s’abat sur mes fesses avec violence.

- Jouis salope ! Jute à fond ! Crie le nouvel intervenant.

Un vertige me saisit. Je jouis sans retenue et m’affale sur la table. Je crois entendre :

- Sacrée traînée, dans une semaine on va pouvoir en faire ce que l’on veut… Y compris l’emmener à poil au marché !

Je reprends peu à peu mes esprits. Je suis seule avec le gérant. Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venue chercher et part sans demander mon reste.

En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort tout en me tirant sur les seins que je pousse un petit cri de douleur. Décidément, mes électeurs ne sont pas des gentlemen. Les larmes aux yeux, je regagne la tente.

A suivre...

Voyage au Sénégal.

Grégoire a 50 ans. C'est un paysan dans un village perdu au milieu de la France. Il est célibataire, mais ce n'est pas étonnant, car il est moche. Il s'est bien inscrit dans plusieurs agences pour trouver l'âme sœur, mais sans succès. Il a même écrit à l'émission "Le bonheur est dans le pré" qui ne lui a pas répondu, il n'aurait peut-être pas du envoyer de photos.

Puis un jour il a vu dans un reportage que des femmes africaines se mariaient avec des français même âgées pour obtenir un visa. Il s'est renseigné et s'est inscrit dans une agence matrimoniale à Dakar au Sénégal. Il a donné 5 000 euros afin qu'on lui trouve une jeune fille à marier. 

Et aujourd'hui dimanche, après avoir laissé sa ferme à ses copains, il arrive au Sénégal pour un séjour d'une semaine afin de rencontrer des prétendantes. Cinq rendez-vous sont prévu du lundi au vendredi. Toutefois Grégoire est très difficile, il veut une femme soumise qui lui obéira en tout. Et il veut une femme active sexuellement, car Grégoire a de très gros besoins qu'il satisfaisait jusqu'à maintenant avec des prostitués.

Le lundi, il retrouve Fatou, une très jeune fille de 22 ans.

Ils passent la journée ensemble, mais Grégoire se rend compte qu'il effraie la jeune fille. Alors il décide d'être franc. Il lui explique qu'il recherche une femme docile, obéissante et active. Fatou qui a du mal à comprendre acquiesce aux paroles du paysan.

Grégoire décide alors de la tester. Ils s'engagent dans une petite ruelle pour se retrouver dans la cour d'une maison en ruine. Il ordonne alors à Fatou de se déshabiller.

La jeune fille hésite, mais doit penser que la vie en France sera surement meilleure que celle qu'elle vit actuellement. Alors elle se déshabille lentement et s'accroupit pour montrer ses charmes à Grégoire.

Celui-ci tend alors la main pour la toucher, mais Fatou ne peut se retenir et fond en sanglots. Le paysan la laisse alors se rhabiller et la ramène à l'agence.

Le mardi, Grégoire a rendez-vous avec Aminata, une belle jeune femme de 28 ans, avec des formes exceptionnelles. pourtant le paysan la trouve un peu hautaine. 

Comme la veille il lui explique ce qu'il recherche exactement. Dans un coin tranquille, Aminata n'hésite pas à se déshabiller et à s'asseoir jambes écartées sur un vieil escalier en béton. Elle laisse Grégoire lui tripoter les nichons sans rien dire.

Le paysan sort alors sa bite et lui la présente devant le visage. La femme grimace et fait non de la tête avant de lui montrer son sexe.

Un peu déçu, Grégoire se branle pour bien bander puis il présente sa queue à l'entrée de la chatte offerte. Il pénètre Aminata sans qu'elle bronche. il la baise énergiquement pendant dix minutes avant de se vider en elle. La jeune femme ne dit toujours rien.

Grégoire range son attirail, attend qu'Aminata se rhabille avant de la ramener à l'agence. Il se demande d'ailleurs s'il n'a pas eu à faire avec une prostituée.

Le mercredi, il retrouve Coumba une jeune fille de 25 ans environ. 

Grégoire recommence ses explications. La jeune fille se déshabille très vite et s'accroupit en tirant la langue. Dès que le paysan sort sa bite, elle l'avale rapidement. Elle s'applique à faire une fellation habile afin de faire jouir notre homme.

Mais le paysan est résistant. Il décide de sortir sa bite de la bouche accueillante de Coumba qui semble être déçue. Mais elle se tourne et se met à quatre pattes. Grégoire n'hésite pas et l'embroche aussitôt. il la baise vaillamment en lui provoquant des petits gémissements. 

Mais quand il place son pouce sur le petit œillet et appuie, la jeune fille pousse de grands cris et se débat. Il retire alors son pouce et continue de la baiser. Cinq minutes après il éjacule dans son ventre. 

Le lendemain, il retrouve Mariama qui a 32 ans. Elle lui plaît tout de suite car elle est bien en chair.

Après lui avoir expliquer ce qu'il recherche, la femme l'emmène dans un endroit discret. elle se déshabille et prend tout de suite la direction des événements.

Elle défait son pantalon, sort sa bite et l'avale. Avec sa langue elle fait des miracles. La queue de Grégoire est rapidement bien raide.

Cinq minutes plus tard, elle crache la queue et se retourne pour se mettre à quatre pattes et présenter sa chatte. Le paysan n'attend pas et s'enfonce d'un bon coup de rein. Mariama gémit. Grégoire commence à la baiser avec rudesse.

Puis il voit la femme qui d'une main commence à écarter une fesse pour lui présenter son petit trou du cul. L'homme ne comprend que trop bien. Il sort sa queue de la chatte humide et la présente sur le trou du cul de la femme. Il pousse et sa bite pénètre l'antre sombre alors que Mariama pousse un petit cri. Alors qu'il commence à sodomiser lentement la femme noire, il voit qu'elle lève sa main et claque sa fesse. Il comprend qu'il peut faire pareil.

Alors, joyeusement il encule la femme en lui claquant les fesses. Il ne faut pas longtemps avant de se vider dans le cul noir. Il est satisfait de la jeune femme.

Le vendredi, c'est au tout de Khady, 24 ans, de faire la connaissance du paysan cinquantenaire.

Tout de suite, dès le début de la balade, elle lui sourit et lui prend la main.

Comme pour les autres, Grégoire lui explique ce qu'il veut. La jeune fille l'emmène alors dans un entrepôt désaffecté. Elle fait glisser sa petite robe par-dessus sa tête et reste immobile.

Le paysan en bave. Le corps de la petite sénégalaise est parfait avec des seins bien ronds, une taille de guêpe et un petit cul parfait. Il ne peut s'empêcher de tripoter la jeune fille qui continue de lui sourire.

Puis elle s'agenouille, défait son pantalon, sort sa bite et commence à la lécher de haut en bas. Grégoire bande comme un âne. Khady engouffre la bite dans sa bouche et commence à sucer habilement le paysan.

Après dix minutes de ce traitement, elle se met à quatre pattes et attend que l'homme la baise. Grégoire s'empresse d'enfoncer son gros membre dans la chatte accueillante. Il commence des va-et-vient qui font gémir la petite sénégalaise.

Toutefois quand il pose son pouce sur le petit trou du cul, Khady enlève sa main et fait non de la tête. Il comprend qu'il ne pourra pas la sodomiser et il est un peu déçu.

Il continue alors de la baiser avant d'éjaculer dans son ventre. Mais alors qu'il se retire et commence à ranger son sexe, la jeune fille se met à genoux devant lui et trifouille sa ceinture pour lui l'enlever. Intrigué, Grégoire la laisse faire.

La jeune fille ôte complètement la ceinture et se la passe autour du cou, puis elle tend le bout au paysan en disant :

- Maintenant, moi esclave de toi !

L'homme sourit et prend le bout de ceinture pour l’ôter du cou de Khady. Les deux se rhabillent et rentrent à l'agence.

Le samedi, Grégoire fait la grasse matinée avant de se rendre à l'agence matrimoniale pour faire le point. le dimanche il s'envole pour rentrer en France, les couilles vides.

D'après vous, qu'a-t-il fait ensuite ?

vendredi 11 septembre 2020

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 03

 Histoire de Méfistho

Où la fête commence dans la villa.

Deux heures ont passé depuis le départ du métis et de ma sœur. Ses potes sont restés à la maison en attendant que d'autres gars arrivent pour participer à l'orgie prévue.

Pour resituer la situation, mes parents ont acheté une maison de campagne pour les vacances dans le sud de la France. Elle est isolée, à une bonne dizaine de kilomètre du village le plus proche. Ma mère, ma sœur et moi avons précédé mon père d'une semaine afin d'aménager la maison pour passer les vacances. Des voleurs, déjà rencontrés près d'un lac, débarquent et en profitent pour violer ma sœur. Ma mère, au retour des courses, s'est faite violer également.

Le métis, désirant profiter de ma sœur seul, s'est sauvé avec elle, en laissant les autres. Avant, il a appelé des potes pour faire la fête à la maison et surtout pour baiser ma mère.

Depuis, ils m'ont libéré de ma chaise mais je n'en reste pas moins impuissant en assistant aux multiples humiliations que ces voyous lui font endurer. Elle est obligée de rester en bikini en subissant les pelotages incessants et les mains baladeuses des kidnappeurs. Entre-temps, ils l'ont forcée à se remaquiller et l'ont obligée à en rajouter une bonne couche, histoire qu'elle passe vraiment pour une salope.

Jamais, je ne l'ai vu maquillée comme ça, elle, toujours discrète dans ses tenues, ne se permettant qu'en de rares occasions, des décolletés un peu osés.

J'ai du mal à la reconnaître avec ce rouge à lèvres rose marquant fortement le contour de sa bouche, ses yeux noisette aux sourcils fins, avec un mascara vert. Elle a mis un léger fond de teint histoire de gommer une ou deux rides superflues. A 46 ans, elle a gardé un joli visage rond et presque sans aucune ride.

Ils ont vidé la moitié des bouteilles achetées par ma mère. Ils sont bien éméchés mais se retiennent de profiter plus avant de ce corps de femme à leur merci. Ils se contentent de la tripoter ; surtout ses énormes seins et ses deux grosses fesses séparées par l'espèce de string bikini.

Honteuse de subir cela devant moi, son propre fils, elle évite mon regard, comme si elle voulait m'ignorer.

Le portable de maman, sonne : C'est Claude, mon père. L'un des gars se lève et sort son couteau. Ma mère comprend le message et fait de son mieux pour répondre. La discussion dure un quart d'heure et Isabelle lutte pour ne pas craquer. Elle reste le plus naturel possible. Mon père doit arriver en fin de semaine car il est resté garder la pharmacie avec la stagiaire pour la fin du mois.

- Oui mon chéri, tout va bien ici! David est là et Liza aussi.

Si mon père savait ce que ma sœur et elle ont subies. Elle coupe le portable.

- C'est bien, ma putain, tu as raté ta vocation d'actrice! On va t'offrir l'opportunité de tester tes talents d'actrice de porno.

Ils rient.

Les premières voitures arrivent vers 21 heures.

- Ah, les voilà enfin!

Ils sortent accueillir leurs potes nous laissant seuls dans la maison. On ne pense même pas à fuir par la porte de derrière. De toute façon, ils nous rattraperaient. Il y a bien le portable mais aucun des deux n'osons nous en servir tant nous craignons les représailles.

En plus, le métis est avec Liza et elle pourrait, elle aussi, payer cher toute tentative d'évasion. D'ailleurs, avec inquiétude, je me demande ce qu'elle devient.

Je regarde au dehors et réalise avec horreur qu'ils sont au moins une vingtaine maintenant. Comment quatre voitures peuvent-elles contenir autant de monde. Ils sortent des sacs entiers de nourritures et surtout d'alcools. Il y a des chiens aussi. Deux bergers bâtards et un Rotweiller.

Ils les attachent à un arbre, à l'entrée. Tous rentrent précipitamment pour voir ma mère.

- Viens là, salope!

Ça siffle.

- Regardez sa paire de lolos!

- C'est naturel ça?

- Ben oui, ça se voit

- Putain! Ils sont gros et lourds, dommage qu'ils pendent un peu.

- Hhmm! des grosses fesses comme je les aime!

Les commentaires les plus dégradants fusent sur ma mère, beaucoup de remarques sur son bikini trop petit qui fait déborder ses atouts, notamment ses gros seins et ses fesses. Certains sont déjà bien éméchés. Ils ont sortis un énorme poste radio et mettent le son à fond. La maison grouille de monde maintenant. Ma mère est malmenée par ces rustres dont le plus vieux doit avoir la quarantaine : une sorte de gitan avec des cheveux longs et un sale air. Avec son mètre 62, Isabelle paraît bien petite à coté de tous ces mecs. Moi, je suis obligé de servir à boire et on me fiche la paix.

Je dois quand même subir les insultes de certains du style : « Ta mère c'est une sale pute, une bourgeoise mal baisée » ainsi que des commentaires sur sa grosse poitrine et ses grosses fesses. Puis un gars saisit le bas de bikini et tire dessus. Le string résiste mais un de ses compagnons fait la même chose et tire de son côté.

Ma mère se plie pour résister et tente de retenir les fils mais la tension est trop forte et le tissu cède. Le gars, heureux, s'empare du bikini et le hume en rigolant tandis que ma mère se retrouve cul et chatte à l'air. Par réflexe, elle cache son sexe. Trois hommes se lèvent alors et lui saisissent les bras. Un autre tire sur le fil du haut du maillot et arrache tout.

Les seins tombent. Ils sont vraiment gros. Il se met à les presser vigoureusement par derrière. Il plaque ses mains sur les deux énormes mamelles et les malaxe tout en pinçant les tétons.

Ses mains s'enfoncent dans la chair molle. Comme elle essaie de retirer les mains de sa poitrine, elle découvre sa chatte rasée et un des hommes en profite pour la doigter. Instinctivement, elle replie ses cuisses mais deux gars lui saisissent les chevilles et écartent ses jambes. Son sexe est offert et facilement accessible. Elle pleurniche. L'homme continue à la fouiller de son doigt tandis qu'on lui maintient les bras et les jambes écartées. Ils se mettent à se disputer son corps comme des hyènes, mais le gitan calme le jeu.

- Y'en aura pour tout le monde! Chacun son tour!

Celui qui la doigte prend son temps et rajoute un deuxième doigt. Il en explore bien les parois. D'être ainsi fouillée et tripotée déclenche en elle un plaisir mécanique. Son corps réagit au plaisir déclenché par les stimulations et malgré toute sa volonté, elle ne peut résister. L'homme qui s'occupe de ses nichons se met à la téter et voilà Isabelle qui s'abandonne. Elle sent d'innombrables mains qui la caressent, la pelotent, la fouillent. Un doigt s'enfonce dans sa bouche et elle se met à le sucer alors que cinq minutes plus tôt elle l'aurait mordu.

Un autre lui fourre un doigt dans l'anus. Celui qui la doigte caresse son clitoris. Elle ne peut plus réagir tant le plaisir l'inonde. Ses orifices sont explorés, violés. Celui qui lui fouille la chatte crie victorieusement qu'elle mouille! Et moi, ça me fait bander... Pourtant, c'est ma mère qui se fait souiller et humilier, nue, au milieu de ces inconnus qui la tripotent, l'humilient, la souillent et violent ses orifices. Ils la soulèvent et la mettent sur les genoux en lui tenant les bras. Le gitan lui prend la tête et sort son sexe. Il est énorme et bien bandé. Ma mère ne semble pas savoir ce qu'est une pipe ou je dirai qu'elle ne l'a jamais pratiqué avec mon père. Elle reçoit le sexe dans la bouche sous les insultes du gitan.

- Putain de bourgeoise, t'es nulle comme suceuse! vas-y suce! allez!

Il la prend par les cheveux et fait des va et vient avec la tête tandis que ses potes maintiennent ma mère à genoux et immobilisent ses bras. Il a décalotté son pénis et a enfourné son gland dans la bouche de ma mère.

- Lèche mon gland! Sale pute! Lèche-le!

Ma mère fait ce qu'elle peut. Avec sa langue, elle essaie de satisfaire l'homme. Le mouvement de va et vient de sa tête, imprimé par le gitan, fait bouger aussi le haut de son corps. Ses nibards ballottent de bas en haut de façon rythmée. Ils sont vraiment lourds. Que dire en voyant ma mère réduite à l'état de vulgaire objet sexuel. Elle si posée, si prude et si consciencieuse dans son travail de pharmacienne. Elle qui est toujours gentille et nous a si bien élevés : la femme idéale pour mon père.

Le gitan lui éjacule dans la bouche. Les joues de ma mère se gonflent.

- Avale, avale, avale. Ordonne le gitan.

Trop maladroite et hésitante, elle garde tout mais comme l'éjaculation dure, elle finit par ne plus pouvoir contenir la semence. Elle en recrache une partie et en avale un peu. Elle a envie de vomir. L'homme continue à lui éjaculer, en pleine figure, des jets énormes et pleins de vigueur. Ma mère est obligée de fermer les yeux tant il y en a. Le jus coule sur son menton, dégouline sur son cou et un mince filet lui coule entre ses seins.

- T'es nulle comme suceuse! Va falloir t'entraîner!

Il claque des doigts et voilà ma pauvre mère face à une chaîne de mecs faisant la queue pour se faire sucer. Elle est toujours maintenue à genoux et les bras prisonniers derrière son dos. Ils imitent le gitan en la prenant par la tête et en lui baisant la bouche. Elle fait des bruits de succions obscènes. Les bites se succèdent, éjaculant sur son visage et dans sa bouche. Elle gémit en engouffrant les sexes, à la limite de l'étouffement.

- hmmmppff! hmmmmppff! hmmmppff!

Un homme se masturbe littéralement dans sa bouche. Il se branle à toute vitesse en maintenant fermement la tête de ma mère. D'un coup il arrête et je vois son gland décalotté, dans la bouche entrouverte, jouir en déversant une quantité de sperme incroyable dans la gorge. A peine se retire-t-il qu'un autre le remplace et ça repart.

- hmmmpff! hmmmpff! hmmmpff!

Le mouvement de ses gros seins attire le regard. Lorsque l'homme explose son sperme au visage de ma mère, l'un dit :

-Allongez là! Allongez là!

On la maintient jambes et bras écartés. Elle est sur le dos. Un noir s'assoit sur elle et cale sa grosse bite entre les énormes seins de ma mère.

- Tu vas voir, sale truie!

Avec ses grandes mains, il presse les seins autour de sa gaule et se branle entre les grosses mamelles. Le sexe noir semble englouti par les deux lolos. Mais la pression des doigts sur les nichons est douloureuse.

- Presse les bien!

Un autre pose ses mains sur les mains du noir.

- Vas-y! regarde un peu ses nichons!

- Oui, je vais juter sur cette truie et sur ses grosses mamelles mais je veux l'enculer d'abord.

A cette phrase, les hommes qui maintiennent ma mère la retournent.

- Ecartez lui les fesses!

- Nooonn! Crie ma mère, le visage maculé de sperme.

Elle reçoit une claque sur les fesses.

- Tu as une trop grosse bite, il faut lubrifier sinon elle aura mal.

Celui qui dit ça écarte quand même les deux fesses de ma mère offrant son trou.

- Regarde, elle doit être vierge de ce côté!

- Oui, je vais lui dépuceler le cul.

Ma mère se débat.

- Bouge pas salope, laisse-toi faire! Ecarte encore.

L'autre écarte encore plus les deux grosses fesses blanches.

- Ce cul de bourgeoise ça m'excite!

Il crache sur son doigt et humidifie la paroi anale.

- Vas-y encule-la! encule-la! Hurlent les gars en cœur.

Le noir amorce alors sa pénétration anale. Mais il le fait doucement.

- Laisse toi faire et résiste pas ou tu auras mal.

Le noir y va lentement. Sa grosse pine noire s'enfonce dans l'anus maternel. Il se retire, recommence, se retire et recommence. Ma mère se remet a pleurnicher.

- Noon pas ça! pas ça! ne me sodomisez pas!

Mauvais calcul car les pleurs excitent le noir et sa grosse pine s'enfonce alors. Ma mère hurle.

- Aaahhhhhh

- Ferme là où je te défonce vraiment le trou!

Il commence à la limer doucement.

- Regardez comme je l'encule la bourgeoise.

Il pose ses mains sur les hanches de ma mère maintenue à quatre pattes et la chevauche. Petit à petit l'anus se dilate et la pine entre et sort plus facilement.

- Tu commences à aimer ça hein!

Ma mère ne répond que par des râles.

- Regardez comment il lui lime son gros cul blanc.

- Regarde ta mère comme elle aime ça!

J'avais trop honte de ne pouvoir réagir. Comment était-il possible que cette situation nous arrive à nous.

Le noir accélère la cadence et la bourre de plus en plus vite. Ma mère est secoué, les bruits sont obscènes. Les gros testicules du noir frappent le cul maternel.

- Haaaahh! hhhaaaaahh!

Ma mère est décoiffée, le visage recouvert de sperme. Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Le noir l'encule de toute ses forces, je ne peux plus cacher ma bosse dans mon pantalon.

- Hé! regardez, le fils, il bande en voyant sa mère se faire enculer.

Le gitan me regarde avec mépris.

- Allez! amène-toi et fais-toi sucer par ta pute de mère.

Ma mère écarte les yeux et hurle :

- Noon!

Mais trop tard. On me maintient et le gitan baisse mon pantalon et mon slip.

- Regardez cette gaule!!

Il prend ma bite et la colle sur les lèvres de ma mère.

- Hmmm! hmmmm!

- Ouvre la bouche et suce-le!

Mais ma mère ne veut pas franchir ce cap avec son propre fils. Elle ferme sa bouche et tourne la tête.

- Regarde comme il bande en te voyant te faire baiser!

Le gitan tape ma queue sur les joues et les lèvres de ma mère.

- Allez suce!

Ma gaule est énorme surtout que je vois le noir l'enculer. Je ressens les coups de bites de celui-ci dans le cul maternel. Un flot d'insultes tombe sur elle et le ton monte. Je n'arrive pas à de débander surtout que je reste figé sur son visage collant de foutre. Son visage si rond et d'habitude si soigné est complètement souillé par le sperme. Ma mère, cette bourgeoise si polie et bien tenue se retrouve réduite à un jouet sexuel. Le noir l'encule encore plus fort et ses deux gros seins sautent littéralement et rebondissent dans une cadence infernale. Elle ouvre la bouche sous l'effet de la sodomie brutale et le gitan en profite pour lui carrer mon sexe gonflé dedans. Elle tente de le repousser mais se résigne.

Elle finit par céder et se met à me pomper le dard tout en se faisant enculer. Elle gobe mon sexe qui fait des bosses sur ses joues tantôt à gauche, tantôt à droite. Le noir gicle dans son cul et ses intestins. On sent qu'il se libère de tout son jus. Il explose dans le cul de ma mère. Je fais pareil et je gicle dans sa bouche, beaucoup trop excité par la situation.

Je n'éprouve pas de culpabilité dans ce moment d'excitation. Pour me rassurer je me dis que ce n'est pas vraiment de l'inceste. Ma mère commence à être conditionnée vu qu'elle avale mon foutre. Le noir reste longtemps à éjaculer en elle. J'ignore la quantité de sperme qu'elle a reçu mais ça ne doit pas être triste. Il met du temps à se retirer. La chaleur estivale affecte les corps et celui de ma mère est littéralement en sueur : Une vraie fontaine comme si elle sortait d'un sauna.

- On fait une pause les gars! dit le gitan.

Il relève ma mère et la met sur le petit canapé de la véranda où trois mecs sont vautrés. Elle se retrouve assise au milieu d'eux. Des mains la pelotent aussitôt. Ses seins malaxés, sa chatte et son cul encore dégoulinant de sperme.

- Faites la boire un peu!

On lui donne à boire mais de l'alcool. Un cocktail fait par les gars. Assoiffée, elle ne se pose pas de question et avale la boisson fraîche. La fatigue commence à la terrasser et la chaleur aussi. D'autant plus qu'elle n'a pas l'habitude de boire ; c'est même plutôt le style à empêcher les membres de la famille à boire plus que de raison. Elle s'abandonne alors à la fatigue, sans volonté. Les mains, les doigts la fouillent. Ses orifices n'ont plus de secret pour personne. Ses seins sont massés, sucés et j'en passe... L'alcool finit son œuvre et elle sombre dans le sommeil. Mais même endormie, les hommes qui n'ont pas baisé sont bien déterminés à se vider les couilles. Elle est amenée sur son lit. Là, elle est allongée, nue et complètement endormie.

La soirée continue dans l'alcool et la déchéance. La maison commence à en pâtir et il y a de la casse. On me force à nettoyer et à servir à boire. De temps en temps, un gars va à la chambre et se vide les couilles dans ma mère endormie. Certains se branlent entre ses seins, d'autres la baisent ou la sodomisent. Vers Minuit et demi, ivres et excités, les mecs la réveillent et la portent à poil dehors. La nuit est un peu plus fraîche. Elle ne réalise pas trop ce qui lui arrive car elle est transportée par deux hommes. La, le gitan ordonne :

- Tenez là sur le dos, bras et jambes écartés!

A nouveau maintenue au sol par quatre hommes, un pour chaque membre, sa chatte, ses gros seins et sa bouche sont accessibles. Elle émerge de son sommeil et ne comprends pas ce qui arrive. Elle ressent une douleur à l'anus suite aux multiples sodomies et se rend compte que ses énormes seins sont recouvert d'une pellicule de sperme séché. Elle se secoue la tête et demande :

- Que faites-vous?

Elle ne comprend pas pourquoi elle est immobilisée par ces hommes qui puent l'alcool. Que peuvent ils lui faire de plus?

Le gitan revient mais accompagné de ses trois chiens...

A suivre...

Confession d’une femme au foyer Ch. 06

 La perversion de ma femme continue.

Ma femme s'est allongée sur le canapé, les jambes écartées et ouvertes. Une main était à l'intérieur de sa culotte noire en dentelle, l'autre tenait son verre. Elle portait des bas noirs avec un porte-jarretelles. Pour ma part, j'avais enlevé mon pantalon et mon caleçon. Je caressai lentement ma bite. Ma femme continua son récit :

- Parfois, après avoir couché avec ces hommes, je laissais l'un d'entre eux entrer avec moi à la salle de bain et nous prenions une douche. Je lavais leur bite et ils me savonnaient. J'aimais bien laver celui qui avait la bite très épaisse. J'aimais jouer avec et la regarder. Parfois, si j'avais le temps, je les excitais à nouveau et je les branlais ou les suçais et je me laissais baiser à nouveau. Parfois, je me pliais au-dessus de la baignoire ou de la cuvette des WC et ils me baisaient par-derrière. Des fois, alors que je me retrouvais sous la douche avec un homme, un des autres venait pour faire pipi. Ça me mettait en colère, mais je regardais. Une fois, j'étais debout et un homme me baisait en me tenant le cul. Il me souleva et je mis mes jambes autour de lui. Lorsque je regardai par-dessus son épaule, je vis un autre homme faire pipi pendant que j'étais baisée. Ça m'a fait jouir tout de suite. Par contre ils ne m'ont jamais demandé de tenir leur queue pendant qu'ils pissaient.

- Mais est-ce que tu l'as encore tenue pour l'autre gars, celui avec qui tu l'avais déjà fait?

- Je suis sur le point de te le dire, c'est pourquoi j'avais besoin de cette boisson. Dit-elle doucement.

Elle poursuivit :

- Oui. Quand Bob a été envoyé dans une autre maison, ils ont été séparés. Et son ami a eu l'occasion de venir seul plusieurs fois. Je voulais éviter de t'en parler. Avoua-t-elle.

- C'est ce qu'il me semblait. Continue s'il te plaît!

- La première fois qu'il est venu tout seul, nous avons commencé par discuter. C'était tôt le matin, donc je n'attendais personne d'autre. Nous avons bavardé un peu puis il a commencé à m'embrasser. Il m'a dit qu'il avait vraiment apprécié ce que nous avions fait quelques semaines auparavant. Je pense qu'il avait un peu peur de le dire. C'était avant qu'il sache ce que je faisais avec les autres gars ou qu'ils soient quatre. Je lui ai répondu que je n'étais pas sûr de ce qu'il voulait dire. Il me dit alors : « Ce que nous avons fait dans les toilettes, j'aimerai le refaire ». Il m'a demandé si ça me plaisait. Je n'ai pas répondu. Quand il m'a de nouveau posé la question j'ai répondu que ça me plaisait un peu. Il m'a embrassé plus fort et m'a demandé d'aller dans les toilettes avec lui.

Elle fit une pause puis continua :

- Je n'étais pas sûr mais je savais que ça m'excitait de voir l'effet que ça avait sur lui. Je lui dis d'accord pour aller aux toilettes mais qu'il devait verrouiller la porte avant. Dans la salle de bain je lui ai dit d'en parler à personne, que c'était juste entre lui et moi. Il me dit qu'il ne voulait pas gâcher les choses et qu'il garderait ça secret. Il était vraiment excité. Il m'a embrassé et je l'ai senti sortir sa queue de son pantalon. J'ai posé ma main dessus et je l'ai aidé. Je savais qu'il voulait que je prenne les devants, alors j'ai dit : « Tu ne dois pas faire pipi avec force, je vais faire en sorte de t'aider ». Il était vraiment excité. J'ai tiré un peu sur sa queue puis je me suis agenouillée et je l'ai léché. Puis il m'est venu une idée. Je lui ai dit qu'il n'avait pas besoin de diriger sa bite vers le bas. Je l'ai tourné vers le lavabo et j'ai mis sa queue sur le bord puis je lui ai demandé de pisser dedans. Il a eu du mal à se détendre au début, mais ça a commencé à sortir par petits jets. J'étais très excitée.

La main de ma femme bougea de plus en plus vite dans sa culotte. Elle ferma les yeux et raconta :

- J'ai regardé son urine sortir. Mais comme j'étais totalement excitée, je l'ai retourné, me suis assise sur les toilettes et j'ai pris sa queue dans ma bouche. Quand j'ai senti le liquide chaud, j'ai aspiré et tout avalé. Il a essayé de s'éloigner de moi mais j'ai gémi et tenu sa bite dans la bouche. J'ai mis une main derrière lui pour l'empêcher de reculer. Il a laissé des petits jets d'urine couler dans ma bouche. Puis il me dit qu'il fallait que je le laisse se libérer complètement. Je lui dis d'attendre et je me suis levée. J'ai enlevé mon haut et ma jupe, je l'ai embrassé en lui disant à l'oreille qu'il ne devrais jamais dire ce que nous faisions. Il hocha la tête pendant que je m'asseyais de nouveau sur la cuvette. Il avait compris que je voulais qu'il pisse sur moi alors il me dit qu'il allait salir mon soutien-gorge et ma culotte. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter et j'ai pris son sexe pour le lécher.

Ma femme cria :

- Putain, qu'est-ce que j'étais excitée!

Puis elle poursuivit :

- Il commença à uriner sans être sûr de pouvoir contenir la puissance du jet. Je levai les yeux et gémis. Il commença par arroser mes seins. Je pris sa queue pour contrôler le débit. Nous avons regardé tous les deux son urine mouiller mon soutien-gorge et ma culotte. Je lui répétai alors de ne rien dire à personne. Il me répondit honnêtement qu'il ne le ferait pas. Alors j'ai ouvert ma bouche et j'ai pointé sa bite pour que le flot y entre. Il a dit : « Putain que c'est génial ». J'ai laissé l'urine remplir ma bouche et déborder sur mon visage. J'essayai de presser sa queue pour ralentir le débit puis je la lâchai. J'ai avalé les dernières gouttes des dernières petites giclées.

Quand elle était dans cet état, il s'agissait davantage de revivre les évènements pour elle-même plutôt que de me le raconter. Je m'agenouillai entre ses jambes et je léchai sa chatte à travers sa culotte. Puis j'embrasai sa cuisse avant de demander :

- Qu'as-tu fait d'autre? Est-ce que tu as fait d'autres choses plus perverses?

- Hmmm, mais je vais te rendre fou. Je n'ai jamais fait ça avec toi. Tu n'aimeras pas l'entendre.

Je soulève sa culotte et embrasse sa chatte avant de rétorquer :

- Dis-moi! Dis-moi quelle fille coquine tu étais.

- Tout ne s'est pas passé ce jour-là. Il est venu de lui-même plusieurs fois. Puis j'ai perdu contact avec tous ces gars. Ils ont eu de nouveaux chefs et les choses ont été moins faciles. De toute façon j'avais mis un terme à tout ça. C'était moins spontané et ça ne m'excitait plus autant. C'était idiot que l'homme doive vérifier à chaque fois s'il n'y avait personne. La situation était devenue stupide. Ce sont deux événements qui m'ont fait terminer ces jeux. Je dois admettre que j'ai apprécié mais ce n'était pas une bonne idée. C'était dangereux et ça m'a fait peur.

- Qu'est-ce que tu évites de me dire? Accusai-je.

- Rien. Mais quelques mois plus tard, quand les travaux étaient terminés, j'ai encore rencontré l'homme. Explique-t-elle.

- Et tu l'as invité? Suggérai-je.

- Eh bien, je lui ai demandé s'il voulait venir prendre un café.

- Et c'est à ce moment là que tu as fait pire?

Elle me fit une moue de mauvaise fille.

- D'accord, combien de fois l'as-tu fait avant de perdre contact? Demandai-je.

Je ne voulais pas qu'elle garde des secrets.

- Eh bien, il me demandait s'il pouvait me regarder pendant que je faisais pipi. Un jour, je me suis mis au-dessus de la cuvette et je l'ai laissé regarder alors que j'urinais. Il a pointé sa queue vers ma chatte et nous avons pisser ensemble. C'était comme ça, habituellement je tenais sa queue, assise sur les toilettes et je le laissais me pisser dessus.

- Et est-ce qu'il t'a baisée aussi parfois?

- Oui... A moins que je ne le suce. Comme je t'ai dit ça s'est terminé peu de temps après.

- Maintenant, tu devrais me parles des deux événements que tu as mentionnés. Nous reviendrons au truc du pipi plus tard. Tu ne vas pas m'éviter, tu caches encore quelque chose. Continue.

- Comme je le disais, les choses sont devenues plus difficiles pour ces ouvriers. Les anciens sont partis et des nouveaux sont arrivés. Les gens revenaient dans leur maison et se plaignait des travaux. Il m'arrivait de parler à de nouveaux ouvriers mais rien ne se passait. Certains me demandèrent si je pouvais garder leurs boisons froides dans mon frigo. Ils revenaient à la pause de midi pour les récupérer et parfois ils restaient pour bavarder. Ils étaient trois ou quatre. Nous ne faisions que discuter...

Elle eut un rire.

- ... bien que je doive admettre que j'aimais regarder leur corps. Il faisait très chaud, donc ils ne portaient pas grand-chose.

Elle se remémora les hommes avant de reprendre.

- Un midi, ils se moquaient d'un jeune garçon qui venait d'avoir juste 18 ans. Ils lui ont demandé s'il était toujours vierge et s'il savait embrasser une fille. On rigolait beaucoup et on plaisantait. L'un des hommes me demanda si j'allais lui donner un baiser pour son anniversaire pour lui montrer comment ça fait. Les autres rirent en disant qu'il serait trop gêné de laisser une femme l'embrasser. L'homme continua de me presser pour que je l'embrasse, en me disant qu'il n'avait jamais embrassé une vraie femme avant. Le jeune garçon semblait d'accord, il prenait tout cela avec bonne humeur. Il était plutôt beau alors je me suis dit qu'il n'y avait aucun mal à l'embrasser. J'ai dit OK et je me suis assise sur le canapé que nous avions dans le coin. Quand il est venu s'asseoir à côté de moi et que j'ai vu tout le monde nous regarder, j'ai commencé à me sentir sexy. Ça m'a rappelé des sensations que j'avais eu auparavant.

Elle reprit son souffle.

- Le jeune garçon a penché la tête vers moi et m'a embrassé sur les lèvres. Je vis qu'il était nerveux car les autres faisaient des commentaires stupides. Quand il a rompu le contact, l'un des hommes a demandé si c'était le meilleur que l'on puisse faire. Les autres en ont rajouté en nous demandant d'y mettre plus de passion. Je laissai le jeune m'embrasser à nouveau. Je mis ma langue dans sa bouche pour le taquiner un peu. Il me poussa en arrière et mes fesses glissèrent un peu sur le siège. J'entendais les autres faire des commentaires. Il m'embrassa plus longuement que prévu et il devint plus passionné. Je pense qu'il essayait de prouver qu'il était un homme à ses amis. Enfin, il rompit le baiser et embrassa le côté de mon cou, ce qui m'excita. Puis il mit sa langue dans mon oreille. Et ça, ça me rend toujours plus faible. J'entendis un des hommes dire : « Wow, laisse-le toucher tes seins » et un autre a dit : « Ouais, vas-y, elle n'y verra pas d'inconvénients c'est ton anniversaire. Il a trouvé le courage de le faire. Tout le monde s'est calmé quand ils ont réalisé que je n'allais pas l'arrêter.

- Tu étais habillée comment? Demandai-je.

- Un tee-shirt blanc, un peu court mais bien, et une jupe. Je suppose que mes tétons pointaient et ressortaient à travers le tissu. Quelqu'un a dit alors : « Pourquoi ne relève-t-elle pas son tee-shirt? ». Je savais qu'ils allaient pousser le garçon pour savoir jusqu'où il irait. Je sentis mon haut être tiré par la main de quelqu'un d'autre. Le garçon m'embrassait toujours et quand il réalisa qu'il pouvait toucher mon soutien-gorge, il commença à respirer plus fort. Un autre homme prit ma main et la guida vers son entrejambe. Je n'ai pas fait d'objection, j'ai juste commencé à le caresser. Alors il recula et me regarda. Ils le faisaient tous. Un des autres hommes s'approcha et s'assit sur le bras du canapé, puis il se pencha pour m'embrasser. Sa main se dirigea vers mes seins et il la glissa sous mon soutien-gorge pour titiller mes tétons. Soudainement il tira mon soutif par-dessus mes seins et tout le monde put voir ma poitrine. Je les ai laissé enlever mon tee-shirt et mon soutien-gorge.

- Est-ce que tu caressais toujours l'entrejambe du jeune garçon?

- Oui, je continuais pendant que l'autre tripoter mes seins. Les autres regardaient. C'est vraiment le genre de chose qui m'excite. Personne d'autre ne m'a embrassée, ils voulaient juste regarder. Je décidai alors d'aller plus loin et j'ai relevé ma jupe et écarté les jambes. Quelqu'un me demanda alors pourquoi je n'allais pas voir ce qu'il y avait à l'intérieur du pantalon du jeune. J'ai descendu sa braguette, mais quand j'ai mis ma main à l'intérieur et touché sa queue, il a éjaculé. Tout le monde a rigolé et ça m'a en quelque sorte réveillé. Tout s'est terminé alors.

- Mais s'il n'avait pas joui, tu les aurais laissé continuer?

- Oui il est probable que je l'aurais fait. Répondit-elle.

- D'accord! Et qu'est-ce qu'il y a eu d'autre?

- C'était l'autre incident. Celui qui m'a fait peur et qui m'a décidé d'arrêter de laisser entrer quelqu'un dans la maison, à part celui que j'ai retrouvé plus tard. La dernière fois que deux hommes sont venus chercher leurs boissons, ils sont restés pour bavarder et j'ai accepté de boire avec eux. Je savais qu'il s'agissait d'alcool mais je pensais que ce n'était pas important. Après la deuxième boisson je me sentis étourdie et insouciante. Plus tard je me suis dit qu'il devait y avoir autre chose dans le liquide. Les hommes ont fait beaucoup de plaisanteries et j'ai bien rigolé avec eux.

Elle fait une pause pour bien se rappeler de la suite.

- Je les ai laissé commencer à toucher mes seins et mettre leurs mains sur mon corps. Puis un autre homme est entré. L'un de ceux qui me tripotaient murmura au nouveau venu. Il dut lui dire que j'avais bu. Quelqu'un dit : « Regardons ce que tu as sous ton chemisier ». Puis je sentis que l'on déboutonnait ma jupe. Je voulus dire quelque chose mais pas un son ne sortit de ma bouche. J'étais impuissante. D'ailleurs je me souviens d'avoir ressenti que je m'en foutais totalement de ce qu'ils faisaient. Quand ma jupe est tombée, une main s'est posée sur ma chatte. Puis un homme m'a tourné vers lui tandis que l'autre derrière moi descendait ma culotte. Il me dit de lever la jambe et j'obéis sans rien dire. Après cela, je ne suis pas bien sûre de ce qui est arrivé. Je me souviens de la porte qui s'est ouverte et j'ai entendu plusieurs voix. Je les ai laissé m'utiliser. Je me souviens d'avoir été agenouillée sur le sol, levant les yeux sur deux d'entre eux qui me dirent d'ouvrir la bouche pour la remplir de sperme. Ils m'ont fait toutes sortes de choses et je les ai simplement laissés faire.

- Te rappelles-tu si tu as apprécié? Demandai-je.

- Oui, je me souviens avoir ressenti un plaisir intense. Je n'en avais jamais assez. Ils m'ont emmenée à l'étage et je me souviens que quand l'un me baisait, je faisais signe à un autre pour qu'il vienne à côté de moi pour que je le suce. Je crois qu'ils ont essayé de voir combien de bites je pouvais avoir à la fois. J'en avais une dans ma chatte, une dans chaque main et une autre dans la bouche. Quand ils furent tous satisfaits, certains sont retournés au travail mais deux d'entre eux sont restés. C'est le moment qui m'a marqué plus tard quand j'ai pris conscience.

Elle hésite à continuer mais mon expression la pousse à le faire.

- Je me souviens de m'être allongée sur le lit et d'avoir sucer une bite, alors que l'autre homme allongé derrière moi jouait avec ma chatte. Il n'arrêtait pas de faire courir son doigt le long de la raie de mes fesses. C'était agréable alors je ne l'ai pas arrêté. Puis il a essayé de mettre son doigt dans mon cul. Comme ça me faisait mal je lui ai dit : « Non arrête ça fait mal : ». Mais j'étais encore engourdie par ce qu'ils m'avaient donné. L'homme n'arrêtait pas de me demander de me détendre. Il me demanda si j'avais de la crème et que ça ne ferait pas mal. J'ai dit mais il insistait tout en passant son doigt autour de mon trou du cul. Finalement, je lui dis qu'il y en avait sur la coiffeuse. Il y alla et revint sur le lit. Je le sentis étaler de la crème sur mon anus puis il a inséré son doigt dedans. Ensuite il l'a entré et sorti comme si c'était une bite.

- Comment te sentais-tu?

- Je ne sais pas. Ça faisait un peu mal et j'étais mal à l'aise. Mais j'étais excitée aussi, je savais que c'était très vicieux. Il me dit de me détendre et souleva ma jambe pour m'ouvrir davantage. J'étais couché là, les yeux fermés. L'autre gars tripotait mes seins et regardait. Je n'arrêtais de dire à l'autre qu'il ne fallait pas qu'il fasse ça mais je le laissais continuer. Je sentis sa queue appuyer sur mon petit œillet et je lui dis qu'il ne pouvait pas faire ça. Son ami a saisi ma jambe et l'a tiré de façon que mes fesses soient bien écartées. L'autre commença à me pénétrer, mais je protestai et me contractai en lui disant que ça me faisait mal. Il me dit alors de me mettre à quatre pattes. J'étais idiote n'est-ce pas, je n'arrêtais pas de lui dire qu'il ne devait pas le faire mais je me mis sur les genoux et les coudes en montant mes fesses en l'air?

Je ne répondis pas alors elle continua :

- J'étais complètement soumise. Il me dit d'écarter les genoux et j'obéis. Il me dit de soulever plus les fesses et j'obéis. Il me dit de me détendre et que ça ne me ferait pas mal, c'est ce que j'ai fait. Je l'ai laissé m'enculer et me baiser. Et son ami s'est fait sucer pendant qu'il regardait. Et tu sais quoi? J'ai aimé. J'ai senti son sperme chaud inondé mon cul et j'ai aimé. Après cela, je ne me souviens plus de grand-chose. Je suis resté sur le lit et j'ai commencé à me sentir mal. J'ai réussi à téléphoner à une amie pour qu'elle récupère les enfants à l'école et j'ai pris une douche avant de m'endormir. Mon amie est venue voir si j'allais bien et quand tu es rentré à la maison je t'ai dit que j'étais un petit peu malade. J'avais peur de ce que je devenais et de la manière dont j'avais été manipulée. Donc je ne voulus plus rien avoir à faire avec eux. J'ai arrêté les visites.

- A part celui avec qui tu es allée dans la salle de bain? Et puis tu m'as dit que les ouvriers n'étaient pas les premiers. Nous n'avons pas encore abordé ce sujet.

- Tu n'abandonnes jamais, n'est-ce pas? N'en as-tu pas assez entendu pour le moment. N'est-ce pas ennuyeux?

Qu'en pensez-vous lecteurs?

A suivre...